Vaccination COVID-1984, Le crime parfait — Le livre
2021
Adresse du film de 3h30 sur Odysée :https://odysee.com/@olivierprobst:8/Vaccination-COVID-19,-le-crime-parfait:e
Version audio de 9h00 de ce livre :
AVANT-PROPOS
Avant toute chose, je tiens à préciser que ce livre n’est pas celui d’un médecin, d’un universitaire, d’un chercheur, d’un sociologue, d’un anthropologue, d’un intellectuel, d’un théologien, d’un théoricien, d’un journaliste ou même d’un écrivain… C’est celui d’un simple être humain, assez curieux de nature et qui s’interroge non seulement sur cette crise sanitaire, mais aussi sur l’état actuel du monde et la trajectoire de la société dans laquelle il évolue…
Pourquoi me suis-je lancé dans l’écriture de ce pamphlet ?
Eh bien à la base, ce n’était pas vraiment prémédité, mon objectif était simplement de réaliser une série de deux ou trois courtes vidéos très synthétiques pour exposer la situation générale de la pandémie et dénoncer les incohérences manifestes de la gestion de cette crise sanitaire par ce gouvernement, que je qualifierais de véritablement criminelle ! Depuis, le projet a grossi et petit à petit, je me suis retrouvé un peu dépassé par son ampleur… Ce livre a donc commencé par l’écriture d’un simple article de blog, pour se poursuivre par un premier montage vidéo qui a été énormément visionné, copié, relayé et commenté sur la toile, avec à ce que j’ai pu en voir, au moins 2 millions de visionnements.
J’ai été moi-même totalement surpris par l’ampleur virale de cette diffusion. Je pense donc que le contenu est sans doute susceptible d’intéresser plusieurs personnes et de trouver chez elles un écho. Comme il est sans doute arrivé à beaucoup d’entre nous, cette crise a fait que je me suis retrouvé plongé dans des abîmes d’incompréhension, en quête de sens et avec de profonds questionnements par rapport à ce qui nous arrivait collectivement… Très vite, j’ai instinctivement perçu que quelque chose ne tournait décidément pas rond avec toute cette histoire et que cela cachait sans doute quelque chose de très grave. Dans toute cette affaire, j’ai rapidement identifié le gouvernement comme étant le principal et le plus virulent virus pour le peuple. Pour ne pas perdre mon intégrité, j’ai alors décidé d’activer toutes mes défenses immunitaires, tant intellectuelles que morales, de déployer tous les gestes barrières qui s’imposaient pour ne pas être infecté par la propagande étatique hautement toxique.
Sans doute, ces confinements à répétition auront été propices à une introspection et auront contribué à une certaine prise de conscience, en nous permettant de nous extirper momentanément du rythme effréné et infernal imposé par la vie contemporaine. Pour certains, il a alors été possible de prendre un peu de recul et de hauteur nécessaires pour comprendre ce que nous étions en train de subir collectivement.
Peut-être que ce livre pourra apporter quelques éléments de réponses, même si je suis sans doute loin d’en avoir cerné toutes les clés, les tenants et les aboutissants.
L’avenir à plus ou moins brève échéance semble malheureusement bien sombre ! Comme si nous étions plongés dans une période de grandes turbulences et de tribulations. Nous sommes à l’aube d’une transformation majeure de notre société, d’un profond changement de civilisation, et j’ai bien peur que malheureusement, le monde que nous avons connu jusqu’à présent soit bel et bien derrière nous… La société semble avoir basculé dans toujours plus de folie, elle est en pleine mutation et nous ne reconnaissons déjà plus l’ancien monde, celui que nous avons laissé derrière nous depuis la survenue de cette pandémie. Ce qui est sûr, c’est qu’avec cette crise, les événements semblent s’accélérer de manière fulgurante, ils nous dépassent. Nos libertés volent les unes après les autres en éclats.
J’ai pleinement conscience que cette lecture ne plaira pas à tout le monde, elle me vaudra sans doute quelques railleries, voire de l’hostilité, car contrairement aux documentaires à charge les plus critiques de l’action des gouvernements pendant cette crise sanitaire et qui furent volontiers qualifiés de “complotistes” par le système, comme “Hold-Up”, “Mal traités”, “The New Normal”, “Covidence”, “Ceci n’est pas un complot”, ou encore “Plandemic” aucun n’a abordé la crise que nous vivons dans sa dimension spirituelle, voire ésotérique et occulte… Cette approche audacieuse ne fera certainement pas l’unanimité et fera sans nul doute fuir les plus matérialistes d’entre vous, surtout dans le monde de plus en plus sécularisé qui est le nôtre. Certains d’entre vous se rangeront à ma vision des choses, d’autres pas du tout et la rejetteront avec force. Mais qu’importe, ce qui compte pour moi est d’approcher de la vérité autant que possible et je ne veux plus me mentir à moi-même, ni pratiquer la politique de l’autruche.
Humainement, je ne me fais plus trop d’illusions sur la possibilité d’un éveil massif des consciences. Il semble de plus en plus utopique et j’ai bien peur qu’il ne nous reste que bien peu de chance et de temps pour infléchir sur le cours des choses… La machine mondialiste à broyer de l’humain est bien en marche, implacable ! Mais il ne faudrait surtout pas négliger une aide surnaturelle, nous pouvons encore compter sur la Providence.
Ce livre n’a donc pas la prétention de changer les choses, il a pour seule ambition d’être une petite particule, un infime grain de sable parmi tant d’autres dans cet effroyable système qui se met sournoisement en place. Je souhaiterais de tout cœur participer à remettre l’humanité sur de meilleurs rails. Ce livre est ma modeste contribution pour aller dans ce sens, c’est ma petite part de colibri, même si je risque d’y laisser quelques plumes…
Qu’importe, car au point où nous en somme, il y a finalement si peu à perdre et comme le disait très justement l’Abbé Pierre : «La responsabilité de chacun implique deux actes : vouloir savoir et oser le dire !» Devant la gravité de ce qui nous arrive, ne rien dire, c’est tout simplement consentir. Il y a donc un impérieux devoir moral à prendre position pour réagir et manifester son désaccord face à l’inacceptable, pour ne pas avoir à un jour dire : «Je savais, mais je n’ai rien fait, ni même dit.» De toute évidence, la période actuelle sera sans nul doute jugée très durement par les futures générations… Notre passivité, notre lâcheté et notre résignation collective sont sans doute pour beaucoup dans le marasme dans lequel nous nous trouvons maintenant empêtrés.
Rappelons-nous aussi le constat d’une grande lucidité d’Étienne de la Boétie dans son “Discours de la servitude volontaire” : «les tyrans de ce monde ne sont grands, que parce que nous sommes à genoux.», ou bien encore, cette vérité intemporelle d’Edmund Burke «La seule chose qui permet au mal de triompher est l’inaction des hommes de bien.»
Vu le degré de folie ambiante, l’écriture de ce texte fut aussi pour moi une nécessité, une sorte de catharsis pour ne pas sombrer et perdre pied. Comme nous sommes en guerre, c’est un peu mon carnet de guerre pour rendre compte de tout le déroulement des événements que je me suis attaché à reproduire le plus fidèlement possible.
Tout au long de cette crise sanitaire, j’avais un peu l’impression d’être embarqué dans un douloureux et amer voyage, à l’image du Capitaine Willard, du film “Apocalypse Now” qui, à mesure qu’il remonte la rivière sur son embarcation et s’enfonce dans l’impénétrable et hostile jungle, dans les eaux troubles et boueuses, en quête du mystérieux colonel Kurz, remonte le cours des abominations de ce monde et s’enfonce toujours plus loin dans la folie humaine… C’est un peu la perte de l’innocence et les illusions perdues.
Pour moi, cette crise fut aussi une sorte d’Apocalypse, dans le sens de dévoilement et de révélation puisque paradoxalement, alors que l’on masque les visages dans l’espace public, de plus en plus de masques de notre société tombent les uns après les autres pour ceux qui veulent bien se donner la peine de le voir.
Comment désormais ne plus voir la lâcheté, l’indifférence, voire la complicité de l’écrasante majorité des artistes, la faillite de nos institutions, le dévoiement de la classe politique inféodée au pouvoir financier, l’absence de véritables et authentiques contre-pouvoirs et ces faux opposants qui gesticulent en vain pour donner le change, la démission et la trahison des syndicats, la servilité et la corruption des médias, le pouvoir de Big Pharma, l’illusion totale de la liberté d’expression ?
Aussi, comment continuer à garder une foi aveugle en ce système, qui nous parle d’esprit «Je suis Charlie», mais qui dans le même temps, censure toute parole authentiquement dissidente, supprime la diffusion de documentaires alternatifs et stigmatise les opposants ? Ce système qui se gargarise de bons mots, nous parle perpétuellement de tolérance, d’inclusion, tout en instaurant un système de ségrégation et d’apartheid entre “bons” et “mauvais” citoyens, qui n’a de cesse de nous parler d’ouverture et de “Liberté”, tout en enfermant les individus à travers des quarantaines prolongées, en conditionnant cette dernière à un statut “sanitaire”, ou en instaurant partout des micros-frontières au sein même du territoire… Dans ce nouveau monde, quelles libertés nous reste-t-il, à part celles de travailler et de consommer, et encore ? Ce système nous parle aussi d’“Égalité” comme d’une abstraction, alors que les inégalités n’ont concrètement jamais été aussi abyssales. Il nous parle également de “Fraternité”, tout en empêchant les contacts humains et en imposant une distanciation sociale (ou plutôt une réalité antisociale) tout en encourageant la délation entre citoyens, en entretenant la division entre eux, en alimentant de veines polémiques. Il nous parle de libéralisme, tout en paralysant l’économie de certains secteurs d’activité et en favorisant systématiquement les multinationales. Il nous parle de démocratie, mais sans jamais consulter les peuples, tout en détruisant littéralement leur existence. Il nous parle de justice sociale, tout en ayant un système de passe-droit, et en pratiquant le deux poids deux mesures systématiquement en faveur des plus puissants de la société… Et que dire de cette “République” qui n’a strictement plus rien de la chose publique, mais qui a été vidée de son sens, phagocyté par des intérêts privés et des forces d’argent.
Ce livre se veut donc un cri d’alarme et un cri du cœur. Je l’ai écrit avec mes tripes, animé par la révolte et le dégoût profond que m’inspirait la situation. C’est un cadeau du plus profond de mon âme à destination de toutes les autres âmes qui l’accueilleront et le comprendront, je le lance un peu comme une bouteille à la mer dans cet océan tumultueux et à l’approche de cette tempête qui s’annonce.
Je tiens également à préciser qu’à travers toute cette virulente dénonciation, je n’ai pas pour objectif de nourrir et de déchaîner la colère, ou l’envie de révolte violente. Car pour moi, il est bien possible que ce soit justement l’objectif visé par tout ce système que de nous conduire dans cette impasse pour en réalité qu’il puisse se renforcer. D’ailleurs, n’était-ce pas Jacques Attali qui prédisait une révolution dans notre pays avant 2022… En tout état de cause, on ne peut éteindre un incendie avec un lance-flammes.
D’ailleurs en ce sens, on aura remarqué que le système ne cesse de jouer sur de grossières provocations, Emmanuel Macron semble être devenu un spécialiste en la matière depuis le début de son mandat. Il a multiplié les affronts et les déclarations méprisantes à l’égard du petit peuple en traitant les Français tour à tour de “gaulois réfractaires”, de “procureurs”, “d’amishs”, de fainéants, d’illettrés, de gens qui ne sont rien, voir même de “connards” ! Il est fort probable que le système cherche à utiliser cette colère montante contre les gouvernements qui ne sont en réalité que l’interface d’un pouvoir bien plus profond. Toute révolte violente serait alors le prétexte idéal pour accélérer la chute programmée des États-nations et de ces gouvernements qui auraient faillis afin de mettre en place une “Gouvernance Mondiale”. Cela ne ferait sans doute que renforcer la tyrannie qui se met en place.
Bonne lecture, et que Dieu nous vienne en aide pour sortir de cet enfer !
Extrait d’un dialogue tiré du film “My Dinner with André” de Louis Malle (1981)
«Oui, on s’emmerde, on s’emmerde tous ! Mais ce processus, qui conduit à cette morosité que l’on observe désormais, alimente peut-être une entreprise inconsciente de lavage de cerveau, mise en place par un Gouvernement Mondial totalitaire dirigé par le fric ! C’est plus dangereux qu’on ne croit ! Ce n’est pas une question de survie individuelle, Wally, c’est que si on s’emmerde, on dort, et l’homme qui dort, ne sait plus dire non. Ces gens, j’en vois partout !
Il y a quelques jours, j’ai vu cet homme que j’admire beaucoup, ce physicien suédois Gustave Bjornstrand et il m’a dit, qu’il ne regardait plus sa télévision, ne lisais plus les journaux, ni aucun magazine. Il a arrêté complètement ! Parce qu’il est persuadé qu’on vit dans un cauchemar à la George Orwell et tout ce qu’on entend contribue à nous changer en robots.
Et à Findhorn, j’ai rencontré ce formidable expert en arbres, qui a voué sa vie à la protection des arbres. Revenant de Washington pour y défendre les Redwoods ! À 84 ans, il voyage avec un sac à dos, il ne sait jamais où il sera demain ! À Findhorn, il m’a demandé : «D’où êtes-vous» ? J’ai répondu, «New-York». Il a dit : «Ah, c’est intéressant, New-York ! Vous connaissez des New-yorkais qui rêvent de partir, mais ne le font jamais ?» Et j’ai dit : «Oh oui !» Il a dit : «Pourquoi, d’après vous ?» J’ai répondu des banalités. «Ce n’est pas ça du tout.»
«New-York est le nouveau prototype du camp de concentration… Bâti par les détenus eux-mêmes, ces détenus qui sont leurs propres gardiens. Ils sont fiers d’avoir bâti leur propre prison ! Ils vivent en état de schizophrénie à la fois gardien et détenus. Il en résulte qu’ils le voient pas, qu’ils sont lobotomisés, donc incapables de quitter leur prison, ni même de voir que c’est une prison !» Il a fouillé dans sa poche et a pris une graine en disant : «C’est un pin.» Il me l’a donné en disant : «Filez, avant qu’il ne soit trop tard !» En fait, tu vois… Depuis 2 ou 3 ans, Chiquita et moi, on a ce sentiment inconfortable que nous devrions partir !
On se sent comme des Juifs allemands en 36. Il faut fuir ! Mais la question, c’est : où aller ? Car il semble évident que le monde entier va dans la même direction ! Je pense qu’il est très possible que les années 60 aient vu l’ultime manifestation de l’homme avant l’extinction finale. Et que c’est le début d’une ère nouvelle. Et que désormais, nous ne serons plus que des robots marchands en tous sens, ne ressentant rien, ne pensant à rien… Il ne restera presque personne pour se souvenir qu’il existe à jadis une espèce appelée «race humaine» douée de sentiments et de raison… L’histoire et la mémoire sont d’ores et déjà effacés, et bientôt, personne ne se souviendra que la vie a existé sur cette planète.»
«La plupart des gens préfèrent croire que leurs dirigeants sont justes et équitables même en face de preuves du contraire, puisque lorsqu’un citoyen reconnaît que le gouvernement sous lequel il vit ment et est corrompu, il doit décider de ce qu’il compte faire. Poser des actions face à un gouvernement corrompu représente des risques d’atteintes à sa vie ou à celle d’êtres chers. D’un autre côté, choisir de ne rien faire implique de trahir toute idéologie personnelle de «défense de ses principes. « La majorité des gens n’ont pas le courage de faire face à ce dilemme. Par conséquent, la plupart de la propagande n’est pas conçue pour tromper l’esprit critique, mais simplement pour donner aux lâches d’esprit une excuse pour ne pas penser du tout.» – Michael Rivero
CHAPITRE 1
UNE GESTION DE CRISE SANITAIRE CATASTROPHIQUE, VOIRE CRIMINELLE !
Créer le problème, pour offrir les solutions ?
Pourquoi n’avoir pas pris dès le début de cette crise sanitaire toutes les mesures qui s’imposaient pour endiguer l’épidémie à la racine, alors qu’il y avait pourtant tout le recul nécessaire pour le faire, le virus étant arrivé dans notre hémisphère bien après la Chine ! Étrangement, le gouvernement n’avait alors dans cette période-charnière et décisive, rien mis en œuvre pour contenir la propagation du virus, alors qu’il était pourtant, à en croire les édifiantes et larmoyantes confessions de l’ex-ministre de la Santé, Agnès Buzyn, parfaitement au courant de la gravité de la situation, de la dangerosité et de la virulence de cette maladie, et ce depuis le début de la propagation. Elle aurait même la première, alerté le gouvernement et le directeur général de la santé des potentiels risques, elle qui était si concernée par la situation qu’elle avait fort opportunément démissionné juste avant la tempête à venir de la COVID-19. Pourtant, cette même ministre s’était fendue d’un communiqué ultérieur, affirmant le 20 janvier 2020 avec aplomb que je cite : «Le risque d’importation depuis Wuhan est quasi nul. Le risque de propagation du Coronavirus dans la population est très faible !» Soit, tout et son contraire, un comble pour une dame qui a le toupet de se présenter ainsi : «Moi, je suis transparente et sincère, comme un livre ouvert. Mes convictions me portent au-delà de mes émotions.»
C’est beau comme l’antique…
Un tel degré d’amateurisme, d’inconséquence et de légèreté laisse pantois. Enfin, en tout état de cause, il serait dans le présent cas, manifestement bien plus adapté de parler de mensonges calculés et délibérés, portés par un culot et un cynisme abyssal !
Mais de toute manière, dans notre merveilleux monde, un tel degré de duplicité et de mensonge ne peut que finir par être rétribué à la hauteur de la félonie. Ce qu’on n’aura d’ailleurs pas manqué de vérifier quelques mois plus tard, puisqu’à la demande expresse de l’Élysée, la dame Buzyn vient maintenant de se voir propulser à “l’Organisation Mondiale de la Santé” en tant qu’ambassadrice auprès de “La Fondation Bill & Melinda Gates”, ce qui lui confère au passage une immunité diplomatique bien pratique et une paye confortable de 15 000 euros mensuels. De quoi acheter à vil prix le silence de la dame sur les compromissions du gouvernement. Comme quoi en “Macronie”, ce n’est pas la roue de la justice qui tourne, mais uniquement les portes tournantes qui s’activent…
Aussi, pourquoi ne pas avoir fermé de toute urgence les frontières ? Pourquoi avoir avec un tel battage médiatique, déplacé dans des TGV médicalisés des malades contaminés dans d’autres régions, où personne ne l’était encore, alors même que des cliniques privées étaient disponibles pour les prendre en charge ? Pourquoi même avoir autorisé, en dépit du bon sens des rassemblements sportifs avec une rencontre de foot France/Italie regroupant plus de 60 000 spectateurs, alors même que l’Italie était déjà plongée dans une crise sanitaire aiguë, qu’elle était à ce moment-là le principal foyer européen actif et donc un vecteur à haut risque pour la propagation de la pandémie ? Ou encore, pourquoi avoir maintenu envers et contre tout des élections qui auraient pu être reportées ? Le vote Républicain passerait-il avant la santé des Français ?
S’agissait-il là en réalité d’une inavouable stratégie visant à laisser pourrir délibérément la situation et générer de nouveaux foyers de contamination ?
À ce moment-là, au tout début de la pandémie, il n’y avait presque aucun matériel de disponible : ni masques, ni surblouses, ni gels, ni respirateurs, ni même test de dépistage. Dans l’urgence, les soignants devaient même s’improviser des combinaisons de protection à base de sacs-poubelles… Une honte pour un pays soi-disant développé !
Pourtant, force est de constater que dans d’autres domaines, lorsqu’il s’agit par exemple de fracasser et de brimer le petit peuple, comme avec le mouvement de contestation sociale des Gilets Jaunes, la pénurie ne se fait jamais ressentir, même après plus d’une année ininterrompue d’intenses manifestations ! Le gouvernement était alors capable de prévoir et d’anticiper de larges stocks de munitions, 4 ans à l’avance, en faisant l’implacable démonstration d’une gestion rigoureuse et exemplaire ! Serait-ce donc à croire que le gouvernement est plus prompt à taper et à éborgner ses citoyens qu’à les soigner, ou à les guérir ?
D’autre part, pourquoi juste après la première vague, ne pas avoir renforcé le nombre de lits disponibles, alors qu’à les écouter, ils s’attendaient tous à la venue d’une seconde vague. Pourtant, à en croire de nombreux spécialistes, un tel scénario de seconde vague était des plus improbables, voire totalement inédit en matière de virologie… Le 27 août 2020, le gouvernement avait pourtant promis, 12 000 lits supplémentaires pour faire face à l’afflux des malades. Pire que cela, d’après ce que rapporte le journal du “Canard Enchaîné”, le nombre de lits en réanimation en Île-de-France serait passé en pleine pandémie de 2 500 à 1 700 ! Dans toute la France, c’est un total de 5758 lits d’hospitalisation complète qui ont été supprimés au plus fort de la pseudo-pandémie. Il n’y aurait plus que 5 000 lits de réanimation pour une population vieillissante de 67 millions de Français. C’est proprement délirant ! Dans chaque pays, il y a une corrélation évidente entre le nombre de décès et le nombre de lits de soins intensifs par milliers d’habitant. C’est donc un facteur déterminant pour amortir une épidémie, c’est le nerf de la guerre.
Il faut aussi bien avoir conscience que la problématique de la saturation des services hospitaliers ne date certainement pas de l’épisode de la COVID-19, mais remonte à des dizaines d’années. En effet, cette intolérable situation est récurrente depuis la destruction progressive du système de santé publique liée aux politiques ultra-libérales mises en place par les différents gouvernements qui se sont succédé. Il y a eu une suppression de plus de 60 000 lits d’hôpitaux en 25 ans sous les mandats de Nicolas Sarkozy, François Hollande et Emmanuel Macron. Et d’après les chiffres de l’OCDE, depuis les années 70, il y aurait eu une suppression de 9 lits sur 10 dans le service hospitalier public. Cette problématique a été régulièrement rapportée par les journaux télévisés, avec des scènes surréalistes de patients honteusement entassés dans les couloirs des hôpitaux, par manque de place et qui doivent parfois attendre des heures durant avant d’espérer êtres pris en charge, quelques fois trop tard ! L’argument avancé de ne surtout pas chercher à saturer le système de soins est donc un sommet d’hypocrisie et est nul et non avenu. Autant dire qu’ils ont sciemment organisé l’insuffisance de moyens, ce qui a servi à justifier la mise en place des confinements afin de répondre à l’insuffisance de ces mêmes moyens.
En outre, pourquoi serait-ce de la responsabilité du citoyen d’assurer et d’endosser la bonne viabilité d’un hôpital public à bout de souffle et la continuité des soins ? Il me semble que nous payons amplement assez d’impôts pour cela, nous devrions avoir un service à la hauteur de nos investissements, avec 330 milliards d’euro en budget pour la Sécurité Sociale ! Il faudrait par exemple, surtout moins gaspiller l’argent public par les fenêtres, en remboursant à prix d’or des médicaments et des traitements parfois totalement inefficaces à Big Pharma… D’après la “Revue prescrire”, il existerait une liste d’au moins 90 médicaments qui ne servent strictement à rien, voir qui sont dangereux.
Par ailleurs, comment les autorités sanitaires peuvent-elles, des mois à l’avance, anticiper le comportement d’un virus inconnu, parler avec assurance de deuxième et de troisième vague, prévoir une fin de crise à l’horizon de 2025 pour la Banque Économique Mondiale, voire anticiper jusqu’à six vagues pour Neil Ferguson de “l’Imperial College of London”, fort de ses modélisations mathématiques hasardeuses ? Quelle est cette science miraculeuse, qui permet de se projeter de la sorte dans le temps, tel un dieu omniscient ou un oracle, pour établir de telles projections ?
Comment peut-on réduire la complexité biologique du vivant à de telles équations, à des modèles mathématiques théoriques ? Il est à relever que ce Neil Ferguson qui est responsable de notre confinement, a été arrosé avec 79 000 000 de dollars par Bill Gates pour réaliser ces rapports. Vous savez, le milliardaire qui compte bien vacciner les presque 8 milliards d’individus que compte la population mondiale… Et pour cause, Bill Gates a massivement investi dans tous les laboratoires pharmaceutiques qui se sont lancés dans la course au vaccin de “Moderna”, en passant par celui de “Oxford”, de “Pasteur”, de “Johnson & Johnson”, de “Novartis”, ou encore de “Sinopharm”. Bill Gates avait déclaré que le plus profitable investissement qu’il ait jamais fait sont les vaccins, qui dégagent des marges bénéficiaires de 1 à 20. On comprend mieux son ardeur à vouloir piquer l’ensemble de la planète… Autant dire que d’un point de vue purement financier, il a tout intérêt à pousser à cette vaccination mondiale et à repousser tout autre forme d’alternative. Il est d’ailleurs piquant de savoir que du propre aveu de son ancien médecin privé à Seattle dans les années 90, Bill Gates le monsieur vaccin, se refuserait à faire vacciner ses propres enfants, Jennifer, Rory et Phoebe, ou tout du moins, à en reculer l’administration. Cela ne manquera pas de nous faire penser à l’hypocrisie des grands pontes de la “Silicon Valley”, Steve Jobs et Bill Gates en tête, qui refusaient catégoriquement d’acheter des tablettes numériques pour leurs propres enfants, bien conscients des dommages cognitifs irréversibles que ces appareils peuvent provoquer sur des cerveaux en formation, tout en en assurant la promotion et le développement pour les enfants des autres… Pour en revenir à Neil Ferguson, il est donc en conflit d’intérêt manifeste et qui plus est, il a la particularité de se tromper de manière spectaculaire presque systématiquement dans ses prédictions Apocalyptiques, qui nous annoncent à chaque fois des catastrophes de grande ampleur. Ce fut déjà le cas lors de la crise de la vache folle, ou celle du H1N1, où il s’était déjà magistralement planté, avec l’anticipation de milliers de morts, alors qu’il n’en fut rien ! Ses modèles mathématiques étant systématiquement surévalués, avec un taux d’erreur allant de un à cent. Pour cette crise de la Covid, ce Ferguson avait tout de même pronostiqué une hécatombe de 62,5 millions de morts dont 2 millions aux États-Unis et 510 millions en Grande-Bretagne !
Pour la petite anecdote au passage, il est aussi des plus cocasses de savoir que ce Ferguson a été pris la main dans le sac, en train de passer outre les mesures sanitaires de confinement pour aller batifoler avec sa maîtresse, une affaire qui a fait scandale et les choux gras de la presse britannique. Sous la pression populaire, Ferguson a été contraint de démissionner.
«Confiner les gens sains, c’est du jamais-vu.» – Dr. Violaine Guérin
Le confinement mondial est un événement sans précédent. Jamais toute l’économie d’un ou plusieurs pays n’avait été paralysé et jamais une atteinte à une liberté aussi fondamentale que celle d’aller et de venir n’avait été limitée de la sorte, même dans les pires dictatures. Cette privation de liberté a été imposée au prétexte de ne pas surcharger les unités COVID… Mais, n’aurait-il pas été beaucoup plus judicieux et économique de financer ces quelques lits supplémentaires, plutôt que de paralyser tout le pays, en lui imposant un confinement désastreux à tout point de vue, en ruinant l’économie, en massacrant l’éducation, en sacrifiant les jeunes générations tout en tuant à petit feu les petits commerçants et entrepreneurs ? Combien de “dommages collatéraux”, de suicides, de troubles psychiatriques de divorces, de violences au sein des foyers, de traumatismes, de maladies non prises en charge, etc. par la faute de ces criminels !
À ce propos, Klaus Schwab du “Forum Économique Mondial”, le grand architecte de cette gigantesque prise d’otages affirme avec aplomb et grand cynisme dans son livre “COVID-19, la Grande Réinitialisation” que je cite : «Aucune industrie ou entreprise ne sera épargnée.» Mais aussi que «Jusqu’à 75 pourcents des restaurateurs indépendants pourraient ne pas survivre aux verrouillages et aux mesures de distanciation sociale.» Soit un véritable carnage bel et bien délibéré.
Aussi, pourquoi ne pas avoir tout simplement réquisitionné toutes ces cliniques, avec 115 000 lits de disponibles ? Pourquoi ne pas avoir eu recours aux médecins réservistes et aux étudiants de fin de cycle pour éviter d’avoir à bloquer l’entièreté du pays ? En effet, en temps de guerre, si guerre il y a, comme le pantin qui nous sert de Président n’a eu de cesse de le scander d’un ton martial à six reprises : On Réquisitionne ! Enfin, pourquoi ne pas avoir eu recours à la médecine ambulatoire de ville afin d’éviter tout effet de saturation du système hospitalier ? De plus, pourquoi ne pas avoir concentré tous les efforts sur les plus exposés au virus dans la société, à savoir, les plus fragiles et les plus âgés, au lieu de saborder de manière suicidaire, voire méthodique le pays tout entier ?
Assassinats sur ordonnance, on achève bien les petits vieux !
Au lieu de cela, qu’a-t-on pu observer : l’abandon total de la prise en charge des anciens, quand ce n’est pas pour les euthanasier tout court, par le biais de brigades d’intervention rapide GIR, à grands coups de protocole de “Rivotril” et sans même en avoir informé les familles au préalable ! Ces pauvres âmes furent ainsi laissées, livrées à elles-mêmes, enfermées, cloîtrées dans leur chambre. Elles furent totalement isolées de leurs proches pour quitter ce bas monde. Beaucoup d’anciens ne sont pas morts de la Covid-19, mais tout simplement de désespoir, de solitude et de chagrin lié au sentiment d’abandon. La sociabilité jouant chez-eux de manière déterminante sur leur espérance de vie. Pour les personnes âgées, elle est un facteur qui va du simple au double. Les familles ont juste eu l’insigne privilège de récupérer en guise d’adieu leurs derniers effets dans des sacs-poubelles. La grande classe au pays de l’humanisme et des droits de l’homme ! Quel bel hommage pour clôturer une vie de dur labeur…
En 2020, les prescriptions de “Rivotril” ont explosées avec 25 000 de plus par rapport aux autres années. Autant dire que les empoisonnements à mort, l’euthanasie active, le géronticide a dû battre son plein !
Voilà qui devrait faire grandement plaisir à un certain Jacques Attali, lui qui déclarait en 1981, dans “l’avenir de la vie” : «Dès qu’il dépasse 60-65 ans l’homme vit plus longtemps qu’il ne produit et il coûte cher à la société. La vieillesse est actuellement un marché, mais il n’est pas solvable. Je suis pour ma part en tant que socialiste contre l’allongement de la vie. L’euthanasie sera un des instruments essentiels de nos sociétés futures.»
Comme le rapporte le docteur Gérard Delépine, le décret “Rivotril” a été un assassinat programmé des anciens, quelques fois sur la base de simples suspicions Covid liées à la présence de problèmes respiratoires. Les pensionnaires des EPHAD ne bénéficiant d’aucun test de dépistage pour le confirmer, car ils étaient réservés au personnel soignant. Dans le cas de l’apparition du moindre symptôme respiratoire, ils étaient d’office considérés comme atteints de la Covid. Une seringue était alors préparée pour être injectée par le premier aide-soignant venu, s’il pensait que la maladie s’aggravait, sans même l’expertise et le diagnostic préalable d’un médecin. Avec cet abject décret, il s’agit donc d’une mort par ordonnance légalisée. Le “Rivotril” est fatal en cas d’insuffisance ou de détresse respiratoire, ce cas de figure fait précisément partie des contre-indications majeures de cet anxiolytique.
Même sordide constat en Angleterre, avec John O'looney, un directeur de pompes funèbres qui est en relation avec 45 autres entreprises de pompes funèbres, ce qui lui permet d’avoir une vision très claire de ce qui s’est passé. Il témoigne de ce qu’il a observé tout au long de la crise sanitaire et expose les dissimulations de son gouvernement autour du COVID-19 depuis 2019. Il affirme que des milliers de personnes ont été tuées et euthanasiées : «D’habitude sur dix décès, huit sont de l’hôpital. En mars 2020 on m’appelait tous les soirs pour des décès covid seulement en maison de retraite. Je n’ai jamais vu de médecin, de test ou de ventilateur. Je soupçonne que des milliers de gens ont été euthanasiés à l’aide du “Midazolam”.» Au début de la pandémie, ce croque-mort n’avait constaté aucune augmentation significative du nombre de morts, mais simplement beaucoup de personnes étiquetées arbitrairement COVID, alors qu’elles étaient manifestement mortes de toute autre chose. Les personnes âgées avaient été transférées des hôpitaux vers les maisons de retraite pour les décharger. Durant cette même période, la quantité de commande en pharmacie de “Midazolam”, une molécule de la famille des benzodiazépines, avait augmenté de mille pourcents ! Il a alors été appelé à une fréquence tout à fait anormale par des maisons de retraite pour des décès intempestifs de personnes âgées, toutes les nuits pendant trois semaines. Du jamais vu. Sur place, il n’avait constaté la présence d’aucun matériel, d’aucun médecin ni incubateur. Il n’y avait donc aucune raison de sédater ces personnes… Il a donc une très forte présomption que tous ces pauvres personnes furent tout simplement euthanasiées dans ces établissements, à l’aide du “Midazolam” dont il avait sur les lieux constaté la présence de plusieurs fioles. Pour se référer à cette période, il parle de douze semaines “d’abattage”. Pour lui, ces décès en série ont été instrumentalisés pour prétendre qu’il y avait une vague très mortelle de COVID qui sévissait. Des milliers de personnes âgées sont ainsi mortes dans les EPHAD durant la première vague, les rapports ont été détruits et les autopsies interdites.
Tout cela est encore plus cynique sachant que le gouvernement a axé toute sa communication de prévention COVID vis-à-vis du reste de la population et des jeunes en particulier, en les culpabilisant qu’ils mettraient en péril les personnes âgées et vulnérables au virus, s’ils ne respectaient pas les gestes barrière… Mais de son côté, qu’a fait ce gouvernement pour nos anciens, si ce n’est de les abandonner lâchement à leur triste sort, ou de les euthanasier sans le moindre état d’âme ? Au lieu de protéger les anciens, les plus faibles, on les a sacrifiés ! Le degré d’une civilisation peut s’évaluer aux égards qu’elle réserve à ses morts. Les malades décédés de la COVID-19 n’ont même pas bénéficié de funérailles dignes de ce nom et les proches n’ont même pas été en mesure de reconnaître leurs morts et de veiller sur eux pour faire leur deuil. C’est proprement monstrueux. On se retrouve plongés dans le mythe de la tragédie grecque d’“Antigone” où le roi Créon interdit à cette dernière d’enterrer son propre frère, si bien qu’elle se fait enterrer et emmurer vivante pour pouvoir l’accompagner dans l’au-delà. Comment peut-on expliquer de telles mesures, avec une telle absence de considération pour la dignité humaine ? Comment a-t-on pu veiller des semaines durant sur ces mêmes malades juste avant leur mort, avant de se refuser à leur rendre ce dernier hommage ? Ça n’a aucun sens… Comment là encore ne pas y voir une volonté délibérée et bien perverse de semer la peur dans la population ?
Des confinements désastreux à tous points de vue
«Le confinement est une arme de destruction massive.» - Jean-François Toussaint, Directeur de l’institut de recherche biomédicale et d’épidémiologie du sport.
Quant aux confinements à répétition, on peut sérieusement douter de leur efficacité étant donné que les pays qui n’ont pas confiné, comme la Suède ont eu tout de même d’excellents résultats en misant tout sur l’immunité collective… Avec à l’arrivée, un taux de mortalité inférieur à la France, à l’Allemagne, à l’Italie ou à l’Espagne et cela, sans la moindre imposition de mesures drastiques de confinement ou de couvre-feu. Le Dr Gérard Delépine a démontré l’inefficacité totale de ces mesures, en comparant le confinement strict de la Belgique et l’absence totale de confinement aux Pays-Bas et en se basant sur les chiffres officiels de l’OMS. Les Pays-Bas ont ainsi eu beaucoup moins de morts que la Belgique et que la France. Paradoxalement, les pics de mortalité les plus élevés se trouvent dans les pays ayant le plus confiné. Si l’efficacité de cette méthode moyenâgeuse, qui n’a jamais été appliqué sur des populations saines, reste à prouver, en revanche, ses effets destructeurs et dévastateurs, tant sur le plan humain qu’économique, sont indéniables. On peut parler de véritable catastrophe, tant sanitaire que civilisationnelle. Il est hors de tout doute, que ces confinements successifs vont dans leur sillage entraîner sur le long terme, beaucoup plus de morts et de victimes collatérales que le coronavirus lui-même n’en aurait jamais pu causer, d’autant plus qu’il faut souligner que son taux de létalité est très faible.
Le Pr. Jean-François Toussaint, invité de Cnews, s’exprimant au sujet de ces mesures iniques entreprises par le Gouvernement, notamment la mise en place d’un Couvre-feu renforcé, n’a pas hésité à parler de sacrifice de masse : «On est plus sur des mesures qui ressemblent à celles que les Incas prenaient face au solstice et face aux grandes catastrophes climatiques, en sacrifiant leurs plus beaux adolescents !» L’image du sacrifice n’est pas ici outrancière ou hors de propos, puisque toutes ces mesures ne s’appuient en réalité sur aucun fondement scientifique véritable et sont contraires à toute raison. Elles sont des mesures politiques volontaires, dont les instigateurs sont pleinement conscients de ce qu’ils mettent en œuvre. La sédentarité et la dégradation psychologique liée à l’isolement contribuent en réalité à l’effondrement du système immunitaire.
On peut d’ailleurs légitimement se demander si pendant le premier confinement, le fait d’avoir enfermé dans la plus grande promiscuité les personnes malades contaminées, avec celles qui sont saines n’était pas en fait le meilleur moyen de créer de nouveau foyers de contagion au sein même des familles et d’accroître ainsi la transmission du virus au sein de la population… N’était-ce pas d’ailleurs Olivier Véran en personne qui au début de l’épidémie, avait affirmé que, je cite : «C’est le confinement qui provoque la circulation du virus.» Le risque d’infection par le virus étant directement lié à la durée d’exposition au virus et à la charge virale du malade. La seule chose raisonnable à faire, était donc de placer en quarantaine, de séparer temporairement les personnes infectées présentant de réels symptômes des non-infectées. Tout en proposant en compensation de ce petit sacrifice, des conditions d’isolement très confortables, en réquisitionnant par exemple des hôtels quatre étoiles, qui de toute manière étaient fermés. Le confinement aveugle et sans discernement augmente en réalité la mortalité. Mais ne nous y trompons pas, si la quarantaine consiste traditionnellement à isoler des personnes malades, la tyrannie elle, est bien d’isoler des personnes en bonne santé. C’est une atteinte aux libertés sans précédent.
L’éminent chercheur et professeur de médecine, John Ioannidis de l’Université Stanford, un grand ponte de l’épidémiologie a publié une large étude dans “l’European Journal of Clinical Investigation”, comparant les résultats entre les différents pays appliquant ou non certaines mesures sanitaires. Elle démontre que les mesures de restrictions comme le confinement n’ont en réalité aucun effet sur le nombre de cas de COVID-19. John Ioannidis déclare au sujet de toute cette crise sanitaire, que «les données collectées jusqu’à présent sur le nombre de personnes infectées et l’évolution de l’épidémie ne sont absolument pas fiables», en référence aux modèles prédictifs qui prévoyaient des millions de morts aux États-Unis» et n’hésite pas à qualifier la gestion de crise de «fiasco de preuves unique dans un siècle.» De même, une récente étude publiée dans la grande revue scientifique “Nature” démontre que les confinements n’ont aucune incidence véritable sur l’évolution du virus… Envers et contre tous, l’État du Texas a complètement ouvert au milieu des avertissements de morts de masse imminente, mais absolument rien de tel ne s’est produit. Les décès par habitant les plus élevés proviennent des États qui ont appliqué le verrouillage et non pas des États ouverts. La Floride a ouvert tôt, tandis que la Californie est fermée depuis un an pour un résultat qui est le même. Il faut aussi savoir que dans la principauté de Monaco, qui n’avait mis en place aucune mesure de confinement drastique, pour la période de décembre, on a eu seulement 3 morts attribués au COVID-19, alors même que la densité et l’âge de la population monégasque est élevé. Ce virus, serait-il comparable au nuage de Tchernobyl, incapable de traverser certaines frontières ?
Et puis d’ailleurs, si toutes ces mesures sanitaires de distanciation sociale étaient vraiment efficaces, et bien alors pourquoi faudrait-il les renouveler sans cesse sur des mois, alors que pour le moment, elles ont été scrupuleusement suivies et respectées à la lettre par l’immense majorité de la population ? À la base, il était question, faut-il le rappeler de faire un effort national concentré sur deux semaines et on se retrouve plus d’un an après, exactement dans la même situation. Pourtant, on continue contre toute raison exactement les mêmes politiques, on reproduit à l’infini les mêmes erreurs. Si aucune des mesures mises en place et imposées par les gouvernements n’arrive à contrôler le virus, en revanche, elles arrivent très bien à contrôler les populations… Coïncidence ? Je ne pense pas !
De plus, combien de pathologies n’ont pas été diagnostiquées et traitées pendant ce temps-là. Rien que pour le cancer, on parle de 93 000 cas qui n’auraient pas été signalés pour un bilan estimé à 6 000 morts supplémentaires… Et on ne parle même pas des autres maladies non prises en charge. Soit encore des milliers de morts à venir ! Mais bon, après tout, il faut croire que ça ne doit pas avoir tant d’importance, puisqu’ils ne sont pas morts de la COVID-19… Enfin plutôt si, mais de manière collatérale !
Le cas des tests RT-PCR en question, une épidémie de cas positifs ?
Par ailleurs, que penser des tests RT-PCR (réaction en chaîne par polymérase), si peu fiables en produisant des faux positifs très nombreux ?
Ainsi, John Magufuli, le Président de la Tanzanie par exemple, qui était méfiant, avait trompé l’OMS en faisant tester en laboratoire des animaux et fruits, sous couvert de fausses identités humaines. Bilan des courses, une chèvre, une papaye et d’autres exemples improbables étaient revenus positifs ! À noter au passage que ce Président est depuis lors mort dans de bien étranges circonstances, après avoir été porté disparu pendant deux semaines.
Encore plus incroyable et ahurissant, certains tests seraient même contaminés au Covid-19 dès le départ comme l’a rapporté l’Agence de la santé publique du Canada avec pas moins de 7 000 écouvillons défectueux, tandis qu’au Manitoba, ce serait 8 800 tests de dépistages en provenance du Laboratoire national de microbiologie qui étaient pré-contaminés. Le Nouveau-Brunswick a aussi reçu 6 400 trousses de dépistages contaminées. Tandis qu’en Otario, le Premier ministre Doug Ford a également rapporté une livraison de 100 000 écouvillons en provenance d’Asie souillés avec la présence de moisissures. Au total, ce serait au moins 1 million de tests qui étaient pré-contaminés au Covid-19 et sans doute beaucoup plus. On parle de 380 000 au Canada et 600 000 en Angleterre, mais aussi aux États-Unis, soit d’une contamination de très grande ampleur et à échelle industrielle. Comment est-ce possible, car ces tests étant des dispositifs médicaux, ils devraient être produits dans des environnements parfaitement contrôlés et stériles. Certains de ces tests, distribués dans le monde entier, ont-ils pu contribuer à diffuser encore plus vite le virus en contaminant les personnes testées ?
Le biochimiste Kary Mullis, ayant gagné un prix Nobel de Chimie en 1993 pour son invention du procédé PCR disait lui-même que ce test constituait un excellent outil pour rendre visible à l’œil humain des choses qu’il ne pourrait pas voir, mais qu’il ne peut en aucun cas déterminer si une personne est malade ou infectée, car il ne peut faire la distinction entre de la matière morte et vivante. «Le PCR n’est qu’un amplificateur de signal et il ne peut pas être utilisé pour un diagnostic, car il ne peut pas indiquer si un individu est malade ou non.» Curieusement, il se trouve que Kary Mullis est malheureusement mort d’une pneumonie le 07 août 2019, soit tout juste quelques mois avant le début de la pandémie et avant même de pouvoir dévoiler que son test ne pouvait pas être utilisé pour détecter le Covid et que son usage était détourné et abusif. Ces tests n’ont jamais été mis sur le marché pour diagnostiquer une maladie, on en a donc totalement dévoyé l’usage initial.
Même le CDC américain reconnaît que ces tests RT-PCR ne sont pas assez fiables pour un diagnostic. Ces tests RT-PCR sont des interprétations, qui devraient être systématiquement mises en relation avec des observations cliniques préalables, ce qui n’a jamais été le cas dans toute cette crise. Ce test n’aurait d’intérêt qu’à titre individuel, pour confirmer le diagnostic chez quelqu’un de symptomatique Depuis la création de la technologie PCR, on sait qu’il ne faut jamais utiliser ces tests pour faire du dépistage de masse en population générale. Le test RT-PCR n’est pas validé par la communauté scientifique, ce n’est pas un outil pour faire un pilotage épidémiologique. Tous les scientifiques, les experts et les virologues le savent pertinemment et pourtant cette hérésie continue de plus belle dans un silence complice assourdissant. Il faut bien comprendre que le second confinement, qui était déjà une hérésie en soi, qui était censé faire face à une seconde vague s’est appuyé sur ces tests. Il n’a donc aucune base scientifique véritable et ne repose sur aucun fondement.
En outre, le document qui a établi le test RT-PCR de Drosten n’a jamais fait l’objet d’un examen par les pairs avant sa publication par la revue Eurosurveillance. Il a pourtant été accepté dans la plus grande précipitation par cette revue, dont Drosten était membre du comité de rédaction, en étant donc juge et partie : «L’article de Corman-Drosten a été soumis à Eurosurveillance le 21 janvier 2020 et accepté pour publication le 22 janvier 2020. Le 23 janvier 2020, l’article était en ligne.» Dès le 17 janvier, l’OMS s’est précipitée, soit avant même la publication de l’article, pour reconnaitre officiellement ce protocole, comme test mondial pour déterminer la présence du coronavirus.
Pour la petite anecdote, il faut aussi savoir que l’inventeur allemand de ces tests RT-PCR, le Dr. Christian Drosten serait un fraudeur ayant usurpé sur son CV son titre de doctorat en médecine, car on ne trouve aucune trace de sa thèse, ce qui lui avait tout de même permis de prendre la tête de l’Hôpital de la Charité à Berlin. Drosten va probablement faire face à des poursuites judiciaires pour un titre de doctorat frauduleux. Ce qui n’a pas empêché ce dernier de se voir décoré en grandes pompes de “l’ordre du mérite” par la chancelière allemande Angela Merkel. Il est aussi pour le moins douteux que fin 2020, alors que ce Christian Drosten déclarait au reste du monde que ce virus n’était pas si préoccupant, qu’il ne fallait pas s’en inquiéter outre mesure, dans le même temps, il était occupé à mettre au point et à développer le test PCR de dépistage pour cette infection ! Comment se fait-il que toutes ces décisions sanitaires se soient basées sur les travaux d’un seul et unique personnage aussi douteux que ce Christian Drosten et que les autorités se soient systématiquement refusées à écouter tous les autres scientifiques et experts qui se tenaient disponibles et qui contredisaient cette approche ?
Mais, le plus extravagant au sujet de ces tests RT-PCR reste encore le fait que leur sensibilité a été considérablement amplifiée, ce qui les rend beaucoup plus facilement positifs. Ils se comportent comme des zooms qui à mesure qu’on les amplifient deviennent de plus en plus flous. En France, ils montent jusqu’à 50 cycles. Or, tous les spécialistes s’accordent à dire qu’à 60 cycles, absolument tout le monde aurait le coronavirus. Tous les tests RT-PCR effectués avec un seuil d’amplification CT de 33 cycles ou plus sont donc invalides et tous les soi-disant “cas positifs” confirmés et enregistrés dans les bases de données au cours des 14 derniers mois seraient par conséquent erronés. Ces tests sont aussi tellement sensibles qu’ils détectent des particules de virus inactives ! Selon de nombreux virologistes, il serait impossible de détecter du virus vivant au-delà de 33 cycles. Jusqu’à 90 % des testés positifs ayant nécessité 40 cycles d’amplification n’auraient ainsi pas été désignés positifs si la limite d’amplification avait été de 30 cycles. D’après les équipes de l’IHU de Marseille, il y aurait avec cette méthode de dépistage jusqu’à 44 pourcents de faux positifs, ce qui est absolument considérable ! Le Dr Mike Yeadon, a déterminé que pour un seuil de 35 pourcents d’amplification, on arrive à 97 % de faux positifs. Autant dire que si on casse le thermomètre, on ne peut plus mesurer la température avec précision… L’association des consommateurs italiens “Codacons” a révélé après enquête que 95% des tests RT-PCR n’étaient pas fiables. Neuf procureurs sont sur l’affaire pour escroquerie organisée par le gouvernement italien. Qui plus est, d’après le Dr. Ian Davis dans le “Offguardian”, le test RT-PCR n’est même pas spécifique au virus Sars-CoV 2 et pire encore, l’amorce du test réagirait sur 90 autres microbes et 92 autres partie du génome ! Comment peut-on baser toute une politique de Santé publique en prenant en compte des données aussi contestables ?
D’ailleurs, on comprend mal pourquoi il faudrait s’infliger une telle torture pour se faire tester, avec des écouvillons qui s’insèrent si profondément à proximité du cerveau pour récolter quelques prélèvements à analyser, alors qu’à les en croire, le moindre postillon aurait le potentiel de contaminer la moitié du village. Un simple test salivaire, ne devrait-il pas faire l’affaire ? Ce test RT-PCR Naso-pharyngé est même si intrusif, qu’il peut même blesser occasionnellement les parois internes des narines, avec certains témoignages d’enfants ou d’adultes qui rapportent des saignements du nez et des démangeaisons prolongées de la narine pendant 24 heures. Sur le média en ligne citoyen Vécu, on peut trouver le témoignage ahurissant de Sarah, une dame qui sous l’insistance de son médecin traitant a effectué à contrecoeur un de ces tests PCR qui a très mal tourné. Depuis ce jour, sa vie a basculé et elle a perdu sa santé, en étant victime de toutes sortes de symptômes comme des vertiges, des malaises, un état de faiblesse, des saignements du nez et des maux de tête permanents. Même “L’Académie de médecine” rapporte que ces écouvillons qui servent à réaliser les tests nasopharyngés peuvent provoquer, je cite : «des brèches de l’étage antérieur de la base du crâne associées à un risque de méningite».
Mais ce n’est pas tout, le plus incroyable est encore de se rendre compte que certains écouvillons en provenance de Chine, ont été trempés et imbibés d’une substance cancérogène, “l’oxyde d’éthylène”, qui est un pesticide interdit en Europe, car hautement dangereux pour la santé. “L’oxyde d’éthylène” est un désinfectant gazeux, classé comme agent cancérogène, mutagène et reprotoxique. Il a été prouvé que l’exposition à “l’oxyde d’éthylène” par inhalation chez l’homme augmente le risque de cancer, comme les lymphomes, myélomes, leucémie, des cancers du cerveau, du poumon, du tissu conjonctif, ou bien pour les femmes, de l’utérus et des seins ! C’est donc un agent stérilisant. L’oxyde d’éthylène est mutagène, ce qui signifie qu’il peut changer l’ADN dans vos cellules. Dans les études sur l’inhalation de cette substance, on peut trouver qu’il peut provoquer la survenue de fausses couches ou altérer le système reproducteur avec une diminution du poids des testicules et une baisse de la concentration des spermatozoïdes. Et c’est cela qu’on nous fourre bien profondément dans le nez, alors même que la pertinence et fiabilité de ces tests est remise en cause par de nombreux professionnels. Malgré tout cela, on poursuit inlassablement ce mode de tests aberrant pour un coût astronomique, avec déjà plus de 70 millions de tests réalisés en France. Avec un coût de 43.20 € le test PCR et 310 000 tests effectués par jour, le coût pour la sécurité sociale est de 13 392 000 € par jour. En réalité, Le test PCR est un instrument de gestion politique pour justifier et appuyer des décisions politiques et non sanitaires.
Ces tests si peu précis, ne seraient-ils pas plutôt en réalité un moyen détourné, un excellent prétexte pour mettre en place des prélèvements massifs de matériel génétique, de l’ADN des populations pour le placer dans des bases de données ? Car, il faut bien savoir que curieusement, nos génomes semblent les intéresser au plus haut point. Ainsi, dès 2016, l’ancienne ministre de la Santé Marisol Touraine avait affirmé qu’ils avaient pour objectif de cartographier le génome de chaque individu : «Demain, pour soigner de manière adaptée au capital humain de chacun, nous avons besoin de connaître aujourd’hui le génome de chaque individu.» Depuis, ils ont mis en place, dans le cadre d’un plan appelé “Médecine France Génomique 2025”, jusqu’à douze plateformes de séquençage à haut débit, capables d’analyser l’ADN de 18 000 personnes chaque année. Chacune de ces machines coûte la bagatelle de 100 000 euros pièce. En outre, le prix de ces tests RT-PCR est aussi considérable avec un coût qui oscille de 100 à 150 euros par test, des milliards d’euros ont été dépensés. C’est proprement délirant ! Autant dire que pour la sécurité sociale et le système de soin, c’est un véritable gouffre. C’est dire qu’il doit y avoir un vrai enjeu caché là-derrière.
On nous annonce que le but de ces séquençages serait de progresser dans le traitement des maladies comme le cancer, mais ce qui est sûr, c’est que ce serait surtout un excellent moyen d’associer dans l’avenir ce génome aux futurs dispositifs d’identification et de contrôle des populations, comme l’identité numérique à des fins de fichage infalsifiable. En outre, nos informations génétiques sont précieuses, elles sont une matière première et dans un futur proche, elles pourront être exploitées par des compagnies d’assurances pour déterminer les personnes à risque et ceux qui ne méritent pas d’êtres assurés. Dans le monde radieux de demain, malheur aux plus faibles ! Il faut aussi bien garder à l’esprit que nos données de santé seront dans les mains du géant “Microsoft”, stockées sur leurs serveurs, la même société qui travaille à la mise en place de cette identité numérique avec Bill Gates. D’ailleurs, la Fondation de Bill Gates a justement financé une entreprise de génomique, “BGI Genomics” qui est liée à la Chine et au Parti communiste chinois pour exploiter les données ADN grâce aux tests du Covid-19. En septembre 2012, la fondation du créateur de “Microsoft” a signé un protocole d’accord pour former une collaboration sur la santé mondiale. Le cofondateur de BGI a fait l’éloge de cet accord, célébrant les prochaines «percées scientifiques dans les domaines de la génomique humaine, végétale et animale.» Il a également révélé que les efforts de collaboration étaient axés sur le séquençage des génomes.
En outre dans une conférence de 2014, Laurent Alexandre a aussi affirmé que pour lire dans les cerveaux dans les années qui viennent, cela requiert de se servir du séquençage ADN, qui donne des informations extrêmement importantes sur notre structure mentale. Lire dans l’ADN permettrait de connaître nos patterns psychanalytiques et psychologiques et ainsi, de mieux nous manipuler.
Une pandémie classique se caractérise normalement par un nombre de patients hospitalisés et de morts conséquents, avec un taux de mortalité au-delà de 12 pourcents… Mais force est de constater que même lors du pic épidémique, nous en avons été très loin. Rappelons que dans le discours médiatique de peur ambiant, nous sommes passés du nombre de morts égrainé, à celui du nombre de réanimations, puis celui des hospitalisations, pour poursuivre avec l’épidémie des cas, c’est-à-dire des gens non-malades qui sont justes rentrés en contact avec le virus. Par ailleurs, si l’on prête attention au vocabulaire utilisé dans les médias suite à ces tests de dépistage, on nous parle de “cas possible”, “probable” ou “confirmé”, de “cas contact à risque” ou à “risque négligeable”, ou encore de “cas asymptomatiques”… Or en médecine, on ne parle habituellement pas de “cas”, mais bien de malades, il s’agit là d’un glissement sémantique qui a toute son importance… La deuxième vague tant annoncée reposait essentiellement sur ces faux positifs et les mesures sanitaires liberticides aussi. C’est donc avant tout une épidémie artificielle reposant sur des tests positifs très contestables, plus que de malades véritables à laquelle nous avons assisté. On peut véritablement parler de manipulation de masse à ce sujet.
De plus, d’après une énorme étude réalisée par la Chine et publiée dans la revue “Nature”, deux mois après l’incident de Wuhan et portant sur une base de test de dix millions de personnes, les “asymptomatiques” ne peuvent être considérés comme malades, car ils ne sont pas contagieux ! Des gens en parfaite santé sont considérés comme des risques biologiques. Ça n’a aucun sens. Le Dr. Michael Yeadon, l’ancien vice-président et directeur scientifique de “Pfizer”, affirme à ce sujet : «Cette idée que l’on peut être malade, même si vous n’avez aucun symptôme et que vous pouvez être une menace virale respiratoire pour quelqu’un d’autre, même si vous n’avez aucun symptôme. Ça a aussi été inventé en 2020, c’est tout simplement inédit et ça défie le bon sens aussi.» Donc pourquoi terroriser tout le monde sur cette base dans les médias, si ce n’est pour plonger l’ensemble de la population dans une forme de paranoïa aiguë, en postulant que tout le monde représenterait une menace et un danger potentiel pour sa santé…
Mais ce n’est pas tout, il est maintenant de plus en plus question de l’introduction de tests de prélèvement rectaux qui seraient plus fiables que les naseaux… Ces écouvillonements rectaux seraient aussi pour les enfants, avec une pénétration au niveau de l’anus, sur 3 à 5 cm ! Là aussi, pourquoi ne pas tout simplement faire des prélèvements dans les selles ? Ne faut-il pas y voir comme une inavouable volonté d’humiliation des individus qui devraient maintenant littéralement baisser leur pantalon et leur froc afin d’ouvrir leurs fesses pour se faire tester ?
Une pandémie de peur médiatique ?
«Dans ce moment de panique, je n’ai peur que de ceux qui ont peur.» – Victor Hugo
«La peur de la mort finit par l’emporter sur toutes les autres émotions humaines.» – Klaus Schwab
«N’ayez jamais peur ! La peur n’empêche pas la mort, elle empêche la vie. Tant que vous craindrez la mort, vous ne serez pas vivants !» – Naguib Mahfouz
«Agiter le peuple avant de s’en servir, sage maxime.» – Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord
«Celui qui contrôle les médias contrôle les esprits» – Jim Morrison
«Les journalistes ne croient pas les mensonges des politiques, mais ils les répètent ! C’est pire !» –Coluche
«Le spectacle est le mauvais rêve de la société moderne enchaînée, qui n’exprime finalement que son désir de dormir.» – Guy Debord, “La Société du spectacle”
Les chiffres de ce redoutable virus, n’ont-ils donc pas étés scandaleusement et artificiellement gonflés ? Que dire par exemple de tous ces morts abusivement attribués au Covid-19, alors qu’ils étaient atteints d’une toute autre pathologie ? La Dr. Deborah Birks, coordinatrice de la réponse de la Maison-Blanche au coronavirus, a confirmé que tous les décès, qu’ils soient liés à des accidents de la route, des blessures par balle, des noyades, de la démence, des overdoses, de l’alcoolisme, ou un séjour d’une semaine à l’hôpital, sont à comptabiliser comme décès Covid, du moment qu’ils étaient positifs aux tests. La plupart des gens ne sont donc pas morts “DU”, mais ils sont juste morts “AVEC” la Covid. Une nuance de taille… D’après le CDC américain, seuls 6 % des certificats de décès indiqueraient que la Covid-19 était la cause unique de la mort, sans d’autres facteurs. Il faudrait donc minimiser l’impact de cette maladie de 94 pourcents et grandement relativiser la notion de pandémie ! Sur 160 000 personnes décédées, seules 9210 l’auraient donc réellement été du Covid. L’institut supérieur de la santé italien a aussi fini par admettre que sur les 130 000 décès attribués à la COVID, seuls 3 000 étaient liés à la maladie et qu’il s’agissait seulement de personnes très âgées avec des lourdes comorbidités. De même, au Portugal, il a été aussi admis que sur 17 000 morts attribués à la COVID, seule une petite centaine l’étaient vraiment.
Comme le rapporte le professeur et épidémiologiste Laurent Toubiana, qui a élaboré tout un rapport d’expertise pour les tribunaux relatif aux anomalies béantes de cette épidémie, la communication a été essentiellement axée sur un nombre cumulé de cas, ce qui n’a jamais été un facteur déterminant pour juger de la gravité et s’assurer du bon suivi d’une épidémie. D’autant plus si les cas dits “positifs” supposés, sont cumulés avec les cas bien réels dans le décompte de la maladie comme le précise bien le site du CDC. Il n’est pas représentatif, c’est un nombre qui ne fait qu’augmenter, même si entre-temps, bon nombre de contaminés par le virus sont sortis de la maladie. Il faudrait uniquement comptabiliser les nouveaux cas de malades, prendre en compte le taux d’incidence et la vitesse de propagation du virus. De même, lorsque nous sommes passés d’une année à l’autre, ils ont cumulé le nombre de malades des deux années au lieu de repartir à zéro en réinitialisant le décompte. Tout a donc été fait pour gonfler outrageusement les chiffres rapportés. De plus, il faut savoir que d’après les travaux de Laurent Toubiana, au pire de la crise, nous avons eu au maximum sur une semaine 140 malades pour 100 000 habitants en mars 2020 et depuis ce chiffre ne fait que baisser avec 31 malades en août 2021 pendant la 5ᵉ vague ! Il a précisé aussi que pour la grippe saisonnière (qui a d’ailleurs disparu) le pic pouvait atteindre 600 /100 000 habitants. Cherchez l’erreur !
On pourra aussi relever que le spectre des symptômes attribués à la Covid-19 est très large et d’une parfaite banalité. Ils recoupent ceux de presque tous les virus que l’on peut rencontrer en hiver tel que la grippe ou la gastro-entérite, comme la fièvre, une toux sèche, de la fatigue et des courbatures, des maux de gorge, des diarrhées, des conjonctivites, des maux de tête, la perte de l’odorat ou du goût, des irruptions cutanées, une décoloration des doigts et des orteils, une difficulté à respirer, un essoufflement, une douleur ou une oppression à la poitrine, ou encore la perte de l’élocution ou de la motricité.
Au passage, il est des plus curieux que “l’Organisation Mondiale de la Santé” ait recommandé de ne pas procéder à des autopsies, alors que cela aurait été un excellent moyen d’en savoir plus sur la nature du virus et sur son mode d’action…
Par ailleurs, comment se fait-il aussi que depuis le 27 avril 2009, les critères pour définir une pandémie aient été assouplis par “l’Organisation Mondiale de la Santé” ? En effet, l’OMS avait alors modifié les termes de la définition de pandémie. À partir de cette date, pour déclencher un plan pandémique, il suffit qu’une maladie soit identifiée seulement dans deux pays d’une même zone OMS. Le critère de la mortalité et de sévérité de la maladie n’est même plus un facteur déterminant !
Gardons aussi bien à l’esprit que les effroyables chiffres de la mortalité pronostiqués à l’origine par les instances officielles se sont révélés au final parfaitement faux, avec 500 000 morts brandis pour la première vague, qui se sont révélés à l’arrivée n’être que 35 000… Quant aux 400 000 morts annoncés pour la seconde vague, ils se sont soldés au final par 25 000 ! Il est bien aisé de brandir de tels astronomiques chiffres pour sidérer les esprits afin de justifier des mesures sanitaires exceptionnelles et d’affirmer par la suite que les mesures prises ont été efficaces, car elles auraient évité l’hécatombe tant annoncée. Olivier Véran n’est pas en reste dans cette campagne de peur, avec sa formule choc : «le Covid-19 c’est, un malade toutes les deux secondes, une hospitalisation toutes les trente secondes, un mort toutes les 4 minutes.» À en croire les miteux mensonges de ce misérable croque-mitaine de pacotille, si cela était vrai alors, un malade toutes les deux secondes, cela reviendrait à 1 296 000 malades par mois, tandis qu’une hospitalisation toutes les 30 secondes, cela reviendrait à 86 000 hospitalisations par mois et enfin un mort toutes les 4 minutes, cela reviendrait à 10 800 morts par mois ! Le mensonge éhonté est un mode de gouvernance pour ce gouvernement.
Manifestement, nous sommes face à un pouvoir terroriste, qui gouverne et impose ses mesures par la peur. Pourtant, une étude des chercheurs d’Oslo démontre qu’en réalité, il n’y a même pas eu en 2020 de surmortalité notable observable suite au Covid-19, ce qui contraste singulièrement vis-à-vis du discours de peur ambiant. Dans ces conditions, peut-on dès lors encore raisonnablement parler de pandémie ?
Par ailleurs, d’après un article du 7 février 2021 paru dans le journal allemand “Die Welt”, le gouvernement allemand aurait même commandé à des scientifiques de “l’Institut Robert Koch” et d’autres institutions des projections alarmistes basées sur un faux modèle de calcul visant à justifier la mise en place par le ministère de l’Intérieur, Horst Seehofer de mesures préventives et répressives ! Ainsi, le ministère de l’Intérieur allemand aurait même été jusqu’à soudoyer des scientifiques pour qu’ils établissent de faux rapports, avec des projections de mortalité allant jusqu’à 1 million de morts. De même, dans une vidéo YouTube, l’important journal allemand “Bild” a présenté par la voix de son rédacteur en chef ses excuses au peuple allemand pour la couverture médiatique ultra-anxiogène de la crise, déplorant une gestion politique grave de la crise Covid vis-à-vis des enfants.
En outre, d’après le rapport d’activité hospitalière COVID-19 de 2020 publié par l’ATIH, “l’Agence technique de l’information sur l’hospitalisation”, le pourcentage d’hospitalisations COVID-19 sur l’ensemble des patients hospitalisés au cours de l’année 2020, tous champs hospitaliers confondus comparé au total annuel ne serait que de… 2.3% et ne représenteraient que 4.4% des réanimations habituelles ! Avec le recul, il s’avère donc qu’en 2020, il n’y a pas eu de saturation des hôpitaux plus grande que les années précédentes. On est très très loin du tsunami infernal rapporté quotidiennement par les médias de la peur. Si en tant que 6ᵉ puissance mondiale, on se révèle incapable de gérer une telle situation, c’est tout simplement que c’est voulu ainsi. L’hôpital public était bien en capacité d’absorber le choc COVID et le système de santé n’a donc jamais été véritablement menacé et toutes les mesures de restrictions prises ont dont été totalement disproportionnées par rapport à la nature de la menace.
Et que penser de ces nombreuses petites séquences vidéos virales propagées sur le réseau Tik Tok au plus fort de la pandémie, où le personnel soignant s’affichait en train d’exécuter des chorégraphies sur des musiques entraînantes, soi-disant pour décompresser… Est-ce que ce genre de mises en scène fort incongrues est compatible avec la plus grande pandémie que l’humanité ait jamais traversée depuis la grippe espagnole ? Je ne pense pas !
Encore une fois, quel est l’objectif visé qui se cache derrière ces scandaleuses manipulations. Quel est l’occulte dessin recherché par ces mensonges répétés qui manifestement vont tout à fait à l’encontre de l’intérêt même des populations et de leur santé… Depuis le début de cette pandémie, force est de constater que le mensonge est roi et que les fraudes à haut niveau semblent dominer. Et s’il y a la moindre manipulation dans tout ce dispositif, il est absolument certain que les intentions derrière ne sont pas saines !
En outre, où sont passées les autres pathologies comme la grippe saisonnière influenza qui aurait miraculeusement disparu cette année, avec seulement 72 cas recensés, alors qu’en règle générale, ils sont des milliers ? En effet, chaque année, la France déplore en moyenne par exemple environ 15 000 cas de décès attribués à la grippe saisonnière. En 2020, plus de bronchites, de pneumonies, de cancers, de crises cardiaques, voir aussi de décès naturels causés par le vieillissement. On nous affirme que si ce chiffre de la grippe est si ridiculement bas, c’est grâce aux mesures sanitaires de confinement. Soit, mais alors QUID de la COVID-19 ? Pourquoi ces mesures n’en viendrait-elle alors pas à bout ?
N’oublions pas la fameuse maxime que l’on doit à Antoine Laurent de Lavoisier «Rien ne se perd, rien ne se crée : tout se transforme.»
Aussi, comment expliquer les petits bidouillages et arrangements avec la réalité de ces médias, lorsque par exemple, ils se permettent d’utiliser des rushs provenant de la base de données de vidéos de “Shutterstock”, en présentant toute honte bue de faux malades, de jeunes figurants maquillés et hospitalisés dans un sale état pour habiller les arrière-plans de leurs journaux d’information, comme le démontre le documentaire indépendant belge, “Ceci n’est pas un complot”, alors même qu’ils ne correspondent pas du tout à la tranche d’âge atteinte en priorité par le virus. Tout est mis en œuvre pour plonger la population dans l’effroi et la sidération, générer un climat hautement anxiogène, même le recours à des mises en scène photo pour la presse, avec de fausses équipes de nettoyage en combinaison complète, comme s’ils faisaient face à une redoutable attaque bactériologique. De même, ces chaînes de désinformation continues comme BFMTV, n’ont pas non plus hésité à recycler des images provenant de Pologne et datant de novembre 2020 pour illustrer la situation en île de France en mars 2021, afin d’entretenir l’illusion d’une situation toujours aussi critique dans les services de Santé. Mêmes bidouillages éhontés constatés outre-atlantique, où on a vu l’utilisation par des journaux télévisés de la même séquence filmée au même endroit pour illustrer tour à tour différentes situations, censées se dérouler aux États-Unis sur “CBS” le 25 mars 2020, en Italie sur “Sky News” le 22 mars 2020 et en Australie sur “7News Melbourne Reporting” le 18 juillet 2020. Encore plus incroyable, ces médias ont même osé se servir d’images directement tirées du film catastrophe “Contagion” pour illustrer la gravité de la pandémie aux États-Unis avec une scène présentant une fosse commune de morts de la Covid.
On a retrouvé le même type de grossière manipulation de l’information dans le “New York Post” du 26 avril 2021. Dans un article au titre spectaculaire de “Une vague de Covid avale des gens en Inde, des images montrent des personnes mortes dans les rues” et décrivant une situation critique du virus et l’apparition d’un nouveau variant Indien, “les journalistes” n’ont pas hésité pour illustrer leur propos à recycler pour l’occasion d’anciennes images-chocs de morts gisant à terre. Ces dernières venaient en réalité de photos prises bien plus tôt dans le média ABS CBN, le 07 mai 2000 pour couvrir l’accident d’une fuite de gaz dans le sud du pays et qui avait entraîné la mort de 9 personnes. Des médias tels que le journal dit de référence “Le Monde” ont surenchéri en titrant “L’Inde dans l’enfer du Covid-19”, en montrant des crémations de corps en plein air, en se gardant bien d’oublier de préciser que de telles crémations en plein-air sont une tradition religieuse millénaire et importante chez les Indiens, en somme tout ce qu’il y a de plus banal. Et dire que ce sont ces mêmes journalistes propagandistes qui se livrent à une chasse auxdites “Fake News” sur les réseaux sociaux. Cela se passe de commentaires…
D’autre part, des internautes se sont aussi rendus directement sur place dans certains hôpitaux pour constater avec stupéfaction que bien des services n’étaient pas du tout saturés, contrairement au récit apocalyptique rapporté par les médias…
Par ailleurs, comment également expliquer que l’on ait vu au tout début de la pandémie, lors de son apparition en Chine, tant de vidéos virales présentant des personnes s’effondrant littéralement raides mortes en pleine rue, comme foudroyées sur place et que dans les semaines suivantes lorsque le virus s’est propagé en Europe, absolument rien de tel ne se soit passé. N’y a-t-il pas eu là une manipulation et une orchestration de la peur ?
Encore plus fort, dans une autre vidéo particulièrement surprenante tirée d’un journal télévisé, des internautes ont aussi remarqué que dans une courte séquence filmée, présentant une scène avec des images de cadavres couverts d’une couverture mortuaire et présentés comme morts de la Covid, l’un d’entre eux n’était visiblement pas encore tout à fait refroidi, car dans un ultime spasme, ce pauvre bougre bougeait encore miraculeusement le bras, sans doute dans une tentative désespérée de se raccrocher à la vie !
Dans un journal télévisé espagnol, on a aussi vu une scène absolument délicieuse présentant un échange surréaliste entre une journaliste, visiblement en service commandé et un médecin de terrain se voulant rassurant sur la situation qu’il vivait au quotidien dans son service. Les propos de ce dernier ne cadrant manifestement pas du tout avec la ligne éditoriale du journal, on a alors vu la journaliste en mode panique reprendre systématiquement les propos du médecin, pour en direct de son plateau lui imposer sa propre réalité, dans un échange digne d’Orwell, comme si 2 plus 2 équivalaient à cinq.
Mais ce n’est pas tout : on a aussi vu de la part de “Cnews”, un titre d’article annoncer que 65 % des Français étaient favorables à une vaccination obligatoire et forcée du personnel soignant, alors même que les résultats effectifs de ce même sondage étaient en réalité de 70,4 pourcents d’avis défavorables à cette obligation. Où comment toute honte bue, tordre le réel, pour le redéfinir au gré de la propagande.
Le plus insupportable étant encore de constater qu’en fait, certains d’entre eux ne croient même pas un traître mot à toute cette intensive propagande médiatique qu’ils distillent de manière éhontée depuis des mois à longueur de journées sur leurs plateaux. Ainsi, comme le rapporte “Le Canard Enchaîné”, on peut en avoir l’éclatante démonstration, avec le rocambolesque épisode d’une vingtaine de journalistes de BFMTV qui le 24 février 2021, furent surpris par des policiers peu avant minuit dans le restaurant clandestin “Les Trois Présidents” appartenant à Patrick Drahi. En plein confinement ils étaient attablés en compagnie de consultants experts santé de la chaîne pour partager un bon petit gueuleton, et plus si affinités. Sans doute, s’agissait-il là d’une réunion informelle de travail pour mieux accorder leurs violons lors des prochaines intoxications médiatiques. Une telle affaire met en lumière le mélange des genres, la complicité et l’endogamie malsaine de ces milieux, qui mangent dans la même gamelle en toute impunité. Adieu donc la pseudo-neutralité journalistique ! Ce sont les mêmes qui du matin au soir n’ont de cesse d’appeler jusqu’à la nausée à des mesures drastiques de restrictions de nos libertés, qui demandent la mise en place de nouveaux confinements, qui insistent en permanence sur le port du masque, qui culpabilisent les Français pour leur relâchement face aux mesures sanitaires, voir qui traitent les incrédules et les sceptiques de complotistes irresponsables… Ces parfaits tartufes se rendent ainsi coupables d’un degré d’hypocrisie proprement sidérant et parfaitement insupportable. Ils incarnent à merveille l’adage populaire du «Fait ce que je te dis, mais pas ce que je fais !» Ils donnent la nausée…
Ce sont aussi ces mêmes journalistes moralisateurs, qui se sont vus exemptés de port du masque à l’intérieur de leurs plateaux de tournages, arguant du fait qu’ils avaient un système de climatisation efficace dans leurs studios. Pourtant, cet été, nous avons bien été témoins de la tournée en maisons de retraites du sinistre de la santé, Olivier Véran, interdisant formellement en pleine canicule, l’usage du moindre ventilateur pour éviter tout risque de propagation du virus dans l’air !
«Tous les animaux sont égaux, mais certains sont plus égaux que d’autre.» − Georges Orwell dans “La ferme des animaux”
Et au niveau des politiques, on peut faire le même constat : en dehors de leurs discours médiatisés, de par leur comportement, ils n’ont pas l’air de trop croire non plus en la véracité de cette si mortelle pandémie… Ainsi, on aura par exemple surpris un François Bayrou avachi en toute décontraction dans le hall de l’aéroport d’Orly sans masque, alors même que tout le monde autour de lui en portait un, mais aussi Bruno Lemaire lire tranquillement son journal du matin dans le TGV, ou Castaner à l’Elysée parader sans masque devant les caméras des journalistes, ou bien encore Carla Bruni, défier avec arrogance telle une jeune écervelée les gestes barrières, tout en mimant une fausse quinte de toux et en se moquant éperdument des risques encourus avec cette pandémie… Aux États-Unis, on a aussi vu un porte-parole du département de la justice filmé à son insu hors-champs, débarquer démasqué en coulisses derrière les rideaux, avant d’ajuster au dernier moment son masque pour prononcer son discours devant un pupitre placé sous les feux des projecteurs. Quelques fois, la pièce de théâtre est si grossière que l’on peut assister à des scènes vraiment cocasses, comme cette séquence filmée en direct, où une équipe de figurants placée derrière le politicien Renaud Muselier (qui pour l’occasion porte fort bien son nom), ne porte aucun masque. En effet, ils ne savent alors pas que la caméra tourne et qu’ils sont déjà en direct. Mais, dès qu’ils se rendent comptent du contraire, ils ajustent alors comme par magie en toute urgence leur muselière, comme si de rien était… Chez ces tartufes imposteurs, le masque est exclusivement réservé aux passages TV. Quant à Emmanuel Macron, le peu de fois où il a porté le masque, il a manqué de s’étouffer en demandant fébrilement un masque plus léger, dans une scène d’une irrésistible drôlerie. On a aussi pu observer Meghan Markle et le Prince Harry n’ajuster leurs masques qu’au moment des séances photos officielles, le temps d’une petite mise en scène, comme un figurant de cinéma sortirait son accessoire juste avant d’effectuer sa prise sur le plateau de tournage. Dans le même temps, nos enfants sont obligés de s’infliger le port de ces muselières toute la journée dans les écoles. Avec cette histoire de masque, nous sommes vraiment dans la “Commedia dell'arte”, dans une farce cruelle et tragi-comique de très mauvais goût, qui est l’occasion de constater à quel souverain degré ces “élites” se moquent littéralement du peuple.
Et du côté des puissants de ce monde, réunis lors du sommet du dernier G7 du 11 juin 2021, on peut dire que le summum de l’hypocrisie est sans peine atteint, car il va sans dire que ces derniers ne s’embarrassent pas des sempiternels gestes barrières, sauf pour la photo officielle à destination de la plèbe, histoire de maintenir les apparences et de faire vaguement illusion. En effet, dès que les objectifs des photographes ne sont plus braqués sur eux, la proximité est de mise et les distances protocolaires de rigueur sont oubliées pour faire place à de franches accolades et de fraternelles poignées de main, le tout sans le moindre masque, bien entendu. Tout ça finalement, n’est pas digne de leurs rangs, c’est juste bon pour les manants et les gueux ! Ce n’est vraiment pas très responsable car, parmi cette auguste assemblée, bien des participants font directement partie du cœur de cible de ce virus et il faudrait veiller à préserver les dernières années d’une personne à haut risque comme la Reine Mère Élisabeth II, bien que cette dernière ait une santé de fer et la peau très dure, avec ses 95 ans bien trempés.
Même constat au niveau des forces de l’ordre, que l’on peut tour à tour voir s’échanger en pleine manifestation dans la plus parfaite insouciance une seule et même bouteille d’eau, tandis que d’autres étaient joyeusement regroupés sans masques dans un restaurant, qui bénéficiait visiblement de quelques mystérieux passe-droits… D’autres plus festifs, organisaient en plein couvre-feu une aimable sauterie en l’honneur de la mutation d’un collègue, le tout sans le moindre geste barrière… D’autres encore, d’une grande cohérence dressent à visage découvert de salées amendes pour non-port du masque… D’ailleurs le fait que le gouvernement leur avait strictement interdit dans un premier temps le port du masque pour lequel ils dressent maintenant des contraventions ne semble pas leur poser plus de questions existentielles que cela.
Quant aux bourgeois bohèmes des quartiers huppés parisiens et au gratin de la République, ministres compris, ils sont bien loin de souffrir des privations et des restrictions sanitaires imposées au reste de la population à coup d’exorbitantes amendes. Les automates des forces de l’ordre sanitaire, allant dans leur misérable soumission aveugle, jusqu’à harceler des SDF en pleine rue, qui se voient infligés eux aussi des PV majorés à 645 euros pour non-port du masque. Tandis que ces nantis se retrouvent dans la joie et la bonne humeur, entre gens de bonne compagnie, dans l’intimité feutrée de restaurants clandestins, à l’abri des regards indiscrets. Dans ces cénacles VIP privés, ils peuvent ainsi le plus naturellement du monde et dans la plus grande insouciance, sabrer une bonne bouteille de “Mouton Rothschild” entre deux petits-fours à 200 euros la pièce. Le tout aux frais du contribuable, cela va sans dire. Car il faut bien comprendre que dans ces lieux privilégiés, le virus, qui semble être un virus social très sélectif, n’a plus cours ! Sans doute, n’ose-t-il pas franchir le seuil de la porte devant tant d’indécence…
Et pour ce qui est du Palais du Festival de Cannes, il doit sans doute constituer une sorte de faille spatio-temporelle à lui tout seul, une galaxie lointaine très reculée de la planète Corona, une zone de non-droits où les virus n’ont pas droit de cité. Dans ce lieu privilégié, nos brillantes étoiles hors-sol tant “adulées”, s’élèvent bien au-dessus de la bassesse des contingences sanitaires d’ici-bas. Ces nantis s’en donnent à cœur joie dans les mondanités, multipliant dans la plus pure insouciance les franches accolades et les bisous bisous, Roselyne Bachelot comprise, elle qui aurait pourtant été si durement frappée par cette redoutable maladie après sa seconde injection. Et bien entendu pas un journaliste sur place ou en studio pour relever la chose, ils réservent leur indignation sélective au petit peuple. Ce qui est sûr, c’est que cette année, le prix de la meilleure comédie humaine est déjà attribué.
En tous les cas, pour braver le danger avec autant d’ardeur et d’enthousiasme, ces braves gens auraient-ils accès à des traitements préventifs adéquats interdits au reste de la vile populace ? À leurs yeux, la peur, c’est exclusivement réservé aux sans-dents, c’est un vrai truc de prolos. C’est parfaitement incompatible avec la jouissance de vivre ! Faut-il croire que ces valeureux représentants du peuple posséderaient quelques informations exclusives que nous ignorons au sujet de ce virus ? Si ces gens, qui sont au plus près des informations de première main n’ont pas peur de cette redoutable maladie, alors pourquoi devrions-nous de notre côté en avoir si peur ?
Sommes-nous en train d’entrer dans une société de castes, avec d’un côté les grands seigneurs de l’immunité, tant physiologique que politique et de l’autre côté les impurs et intouchables gueux, les super-contaminateurs, véritables bombes virales ambulantes qui s’ignorent ? Il y a visiblement comme une jubilation sadique et perverse, dans la pratique affichée et ostentatoire de ce qu’il interdit aux autres.
Le masque, le stigmate de la mascarade
«Comment un homme s’assure-t-il de son pouvoir sur un autre Winston ?
Winston réfléchit : en le faisant souffrir, répondit-il
— Exactement. En le faisant souffrir. L’obéissance ne suffit pas. Comment, s’il ne souffre pas peut-on être certain qu’il obéit, non à sa volonté, mais à la nôtre ? Le pouvoir est d’infliger des souffrances et des humiliations. Le pouvoir est de déchirer l’esprit humain en morceaux que l’on rassemble ensuite sous de nouvelles formes que l’on a choisies.» Dialogue tiré de “1984” de George Orwell
«Pour devenir moi, j’ai besoin du regard de l’autre, de tisser des liens avec lui.» – Albert Jacquard
Penchons-nous maintenant sur la question du port prolongé du masque en population générale. Si le masque chirurgical est si efficace, alors pourquoi avoir imposé la fermeture de tant de commerces, d’établissements et de restaurateurs pendant des mois ? À contrario, si le masque n’est pas efficace, (comme en réalité tout porte à le croire, études scientifiques récentes à l’appui, avec une étude danoise en population portant sur 6 024 personnes), eh bien pourquoi l’avoir imposé à tout le monde, jusqu’aux enfants de six ans ?
Dans ce dernier cas, ne s’agit-il pas pour ces jeunes générations, de pure maltraitance et d’un profond traumatisme, d’une atteinte à leur intégrité tant physique que psychologique, avec de désastreux effets sur le long terme ?
Quel sera leur rapport à la vie et aux autres dans les années à venir ? Les premiers effets commencent déjà à se faire ressentir, avec certains tous petits enfants qui ont peur d’enlever leurs masques, car ils se sentent en danger dès qu’ils ne l’ont plus au bout du nez. D’autres, par la puissance de leur conditionnement précoce, s’éloignent maintenant instinctivement de leurs proches, car ils se perçoivent comme une menace permanente pour leur entourage… Pour ces jeunes esprits en formation, le masque inscrit durablement une nouvelle norme dans la société, il les reprogramme.
Avec ce masque, il s’agit donc de redéfinir une nouvelle réalité, comme un certain nombre d’entreprises opportunistes, l’ont bien compris, en cherchant à faire de ce dernier un accessoire de mode, résolument dans l’air du temps. Des chercheurs mexicains ont ainsi créé un masque nasal, pour ne plus jamais avoir à le quitter, même en mangeant.
Une autre entreprise a même développé un masque futuriste et high-tech, le Xupermask qui fera, à n’en pas douter, fureur chez les Geeks. Vendu à 299 dollars, cette muselière dernier cris, est équipée d’écouteurs, de la fonction Bluetooth (pour rester connecter, tout en étant totalement déconnecté socialement), d’éclairages LED, de filtres à air haute efficacité, de ventilateurs… En bref, un prototype pour un mauvais film de science-fiction, dont on aimerait rapidement voir le générique de fin, ou même pouvoir prématurément quitter la salle de cinéma en cours de projection.
«Un oiseau né en cage pense que voler est une maladie.» – Alejandro Jodorowski
Quel type d’humains sommes nous en train de fabriquer ? Pensons juste aux nouveaux-nés, pour qui il est essentiel dans leur développement psycho-affectif, de pouvoir lire et décoder les émotions sur les visages de leurs parents. Chez les moins de 15 ans, on assiste déjà à une hausse inédite de 80 pourcents des hospitalisations psychiatriques. Le masque éteint les sourires, tue les émotions, il coupe la joie de vivre et l’étincelle de vie naturelle des enfants. Les enfants, victimes de ces mesures iniques, sont plongés dans un tel degré de mal être et de souffrance, que certains d’entre eux, à peines âgés de 9 ans, se pendent ou se défenestrent. Pour tous les professionnels de l’enfance et les pédopsychiatres, c’est du jamais vu dans toute leur carrière comme le rapporte la Société française de pédiatrie. Mais la liste des préjudices imposés de force à ces enfants ne s’arrête pas là, avec des problématiques d’obésité, de santé, ou encore une spectaculaire baisse de 40% de leurs capacités cognitives. Jusqu’où allons-nous encore aller, avant de mettre un terme définitif à cette intolérable folie ? Avec toute cette mascarade, on demande paradoxalement aux enfants d’agir comme des adultes responsables, tandis qu’on infantilise à outrance les adultes, pour qu’ils agissent et pensent comme des enfants ! D’après une grosse étude allemande dirigée par un collectif de 363 médecins et portant sur plus de 25 000 enfants concernant le port des masques à l’école, les effets sont tout simplement désastreux ! Les déficiences causées par ce port prolongé du masque au-delà de 4h30 par jour sont notamment : l’irritabilité, les maux de tête, la difficulté à se concentrer, moins de bonheur, la réticence à aller à l’école, le malaise, les troubles d’apprentissage, ainsi qu’une somnolence et une fatigue accrue. Sans parler des retards de langage avec des visages masqués. Une telle obligation, parfaitement incompréhensible, relève bien d’une volonté criminelle, d’autant plus que les enfants ne tombent même pas malade de ce virus et ne seraient pas du tout contagieux !
Dans certaines écoles, les instituteurs ont même accepté sans broncher et sans la moindre honte de mettre en place pour leurs élèves, un système hautement pervers à base de jetons pour leur accorder au choix le privilège d’aller respirer, ou faire pipi. Les enfants disposant ainsi de seulement trois jetons triangulaires, valables pour toute la journée d’école ! Ils doivent ainsi choisir entre prendre quelques instants une bouffée d’oxygène à l’air pur et se soulager aux toilettes !
La psychologue Marie-Estelle Dupont explique le processus d’acceptation généralisée de ces mesures de pure maltraitance ainsi « Dans une famille, un parent maltraitant va réussir à pénétrer le cerveau de l’enfant, à lui faire faire des choses absurdes ou contradictoires. L’enfant pour survivre est obligé de se cliver à l’intérieur de lui, ce qui fait que lorsqu’un individu extérieur lui dit que tu n’es pas obligé de faire ça, il se met en colère contre cette personne dans un syndrome de Stockholm, parce que s’il doit reconnaitre que la personne en qui il a confiance, qui a autorité sur lui, lui a fait faire quelque chose qui était soi-disant pour son bien, mais n’était pas bon pour lui (C’est pour ton bien de porter un masque à l’école mais en fait tu as de la buée sur les lunettes, tu as des migraines et tu ne mémorises rien) Et bien c’est terrible, c’est un deuil terrible, et donc pour beaucoup d’enseignants et pour beaucoup d’élèves, ils ont dû rentrer dans un processus de syndrome de Stockholm, où ils ont dû absorber l’idée que c’était le bien parce qu’ils n’avaient pas les moyens de se révolter. »
Signalons au passage qu’en Suède, où les écoliers ne sont pas soumis à un port du masque permanent, on ne déplore strictement aucun mort de la Covid-19 sur un ensemble de deux millions d’enfants allant de 1 à 16 ans. Le gouvernement suédois a aussi recommandé à sa population de ne pas porter le masque, car c’est nocif pour la Santé. Et pas la moindre hécatombe à déplorer de leur côté, malgré cette absence de mesures.
Sur plus de 10 mois d’imposition du port des masques dans l’espace public, il n’y a eu aucune différence significative entre ceux l’ayant porté et ceux qui ne l’ont pas fait. Paradoxalement, 85 % des personnes testées positives portaient bien des masques. Aux États-Unis, les courbes d’une étude comparative, révèlent que l’imposition du masque dans certains États n’a en réalité eu aucune incidence positive sur l’épidémie par rapport aux États qui ne l’ont pas imposé.
Et puis d’ailleurs, comment les masques pourraient-ils bien être efficaces, puisqu’à l’échelle microscopique, leurs fibres sont poreuses et qu’un seul de ses pores de quelques microns (millièmes de millimètre) pourrait laisser traverser l’équivalent de 20 000 virus de quelques nanomètres (millièmes de microns)… Le virus fait un micro, la plus grande gouttelette qui peut contenir une particule virale est de 62 microns et les plus petits espaces chirurgicaux sur les masques sont de 80 microns. Autant chercher à stopper un grain de sable avec un tamis !
Au passage, pour ceux qui savent lire, il est même inscrit en toutes lettres par les fabricants sur leurs boîtes de masques qu’ils ne sont pas des dispositifs médicaux et qu’ils ne protègent en rien contre les attaques virales ! Juridiquement, les fabricants de masques ne veulent certainement pas être tenus pour responsables en cas de contamination à de la Covid-19… C’est une garantie pour eux de ne pas être condamnés en justice dans le cas de dépôts de plainte. Dans ce monde, l’argent ne ment pas.
«Aucune étude ne prouve une quelconque utilité du masque pour prévenir les maladies respiratoires virales, que se soit en intérieur ou en extérieur. Point final !» – Le Pr. Denis Rancourt
Il existe au moins une douzaine d’études scientifiques qui ont démontré que les masques n’ont aucun intérêt pour arrêter la propagation des virus respiratoires. Une méta-analyse publiée par le CDC en mai 2020 n’a révélé «aucune réduction significative de la transmission de la grippe avec l’utilisation de masques faciaux.» Une autre étude portant sur plus de 8 000 sujets a révélé que les masques «ne semblaient pas être efficaces contre les infections respiratoires virales confirmées en laboratoire ni contre les infections respiratoires cliniques.»
Pire que cela, portés plusieurs heures durant, les masques se salissent et deviennent de véritables boîtes de Pétri ambulantes, des bouillons de culture et des nids à bactéries, des cloaques microbiens, ils nous font respirer nos propres miasmes en circuit fermé et deviennent rapidement un terrain favorable à l’amplification des micro-organismes. De plus, ils appauvrissent la quantité d’oxygène que le sang distribue aux tissus et au cerveau, d’où le risque accru de développer des hypoxies avec de possibles graves séquelles physiologiques ultérieures. Les masques impliquent aussi un risque d’auto-contamination, car ils sont proches des muqueuses des yeux et de la bouche et sont bien souvent mal manipulés par des mains potentiellement contaminées. Ils sont la source de maux de tête et de difficultés respiratoires. Les masques n’ont jamais été conçus pour êtres portés dans de telles conditions et il s’avère que contrairement aux idées reçues, même en salle d’opération lors d’une intervention chirurgicale, l’utilité du masque n’aurait jamais été démontrée dans la littérature scientifique, comme l’affirme Didier Raoult dans l’un de ses livres de démystification. Il est juste là pour éviter que le chirurgien ne crache dans la plaie au risque d’infecter son malade. Les masques de blocs opératoires ne sont efficaces que pour les bactéries, les levures et les micros champignons. La seule catégorie de masque vraiment efficace et assez filtrante contre des virus est le masque FFP1. Les masques FFP2 et les FFP3 dont on nous impose continuellement le port sont clairement très insuffisants. Ils peuvent retenir les postillons et les crachats, mais c’est tout. Ils ont tout au plus une valeur de Grigri pour conjurer la peur. Malgré tout, les pouvoirs publics s’acharnent depuis des mois, à nous les imposer en ruinant notre santé. Pourquoi cet entêtement ?
Il y a pourtant bien des désagréments particulièrement délétères tant physiologiques que psychologiques liés à ce port du masque prolongé et répété, dont voici une petite liste non-exhaustive : des bronchites sévères, des conjonctivites graves, des maux de tête, des furoncles, une grande fatigue, de l’herpès labial, des staphylocoques sur les lèvres et les joues, des impétigos, de l’hypoxie, de l’hypercapnie, de l’essoufflement, de l’augmentation de l’acidité et de la toxicité, de l’immunosuppression, du déclin des performances cognitives, de la prédisposition aux maladies virales et infectieuses, du stress chronique, de l’anxiété et de la dépression, etc. Et bien sûr, c’est un danger pour les personnes qui ont de l’asthme ou des problèmes respiratoires.
Ne faut-il donc pas voir dans cette volonté d’imposer le port du masque, une intention perverse, précisément après avoir dit que c’était inutile, voire contre-productif, comme une volonté d’affirmer et de manifester sa toute-puissance, en soumettant le peuple aux décisions les plus absurdes et arbitraires ?
Le gouvernement ayant toujours clamé s’appuyer sur les décisions d’un Conseil scientifique, dès lors comment expliquer de tels revirements à 180 degrés dans le discours officiel ? Il faut savoir que les experts-médecins des conseils scientifiques chargés d’éclairer Emmanuel Macron pendant la crise du coronavirus ont touché pas moins de 450 000 euros des firmes pharmaceutiques. À la tête de cette commission, on trouve l’immunologue Jean-François Delfraissy, qui avait déjà sévi lors du monumental fiasco de la pseudo-crise du H1N1. Non seulement il est maintenant le président du “Conseil Scientifique”, mais aussi celui du “Comité d’Éthique” chargé de contrôler l’éthique des mesures préconisées par ce même “Conseil Scientifique” ! Lors du H1N1, Delfraissy avait d’ailleurs admis s’être plusieurs fois trompé dans les grandes largeurs dans la gestion de ce dossier, qui avait coûté en pure perte beaucoup d’argent public, mais bien enrichi de 1,5 milliards d’euros les labos de Big Pharma… Lors de cette pseudo-crise sanitaire, on aura comptabilisé en France un effroyable bilan de… 450 morts ! Déjà à l’époque, une campagne de propagande intensive avait été déployée, avec des chiffres particulièrement angoissants.
Et pourquoi retrouve-t-on les mêmes acteurs qu’à l’époque ? Eh bien, il faut comprendre qu’en Macronie, on ne change jamais une équipe qui perd ! C’est aussi sans doute pour cela que l’on retrouve le même Jean Castex, qui lors de la crise sanitaire du H1N1, avait géré l’histoire des masques et participé avec Roselyne Bachelot à l’arnaque de la vaccination de masse au Pandemrix. D’ailleurs, on comprend mieux pourquoi Roselyne Bachelot a été lors de cette actuelle crise propulsée au ministère de la Culture, puisque sa toute première action à ce poste a été d’attaquer et de discréditer aux yeux du public, au prétexte qu’il serait “complotiste”, “le Journal France Soir”, l’un des seuls journaux d’opposition militant sérieux à la politique sanitaire gouvernementale actuelle. À noter que ce journal fut en 1944 fondé par des résistants, à une époque où la propagande et la censure faisaient rage, un peu comme de nos jours… De même Alain Fischer, le “Monsieur vaccin”, chargé de mettre en place la stratégie de vaccination décidée par le gouvernement, présidait déjà en 2016 “le comité d’orientation de la concertation citoyenne sur la vaccination” censée rétablir la confiance à l’égard des vaccins.
Dans un premier temps, pourquoi avoir mis en place l’interdiction formelle en plein pic épidémique de distribution en pharmacie de ces masques, avant dans un second temps de les rendre obligatoires, sous peine de lourdes sanctions financières ! À en croire le témoignage de certains entrepreneurs, l’État aurait lui-même organisé la pénurie ! Ces derniers furent alors empêchés d’importer ces masques directement de Chine via leurs filières d’approvisionnement ! Entre-temps, le masque est paradoxalement devenu la pierre angulaire pour combattre la propagation de la maladie ! De qui se moque-t-on ?
Mais la problématique du masque ne s’arrête pas là, puisqu’il faut aussi prendre en compte l’aspect écologique désastreux, car ces masques chirurgicaux n’étant pas en papier, ils vont mettre 450 ans à se dégrader. Ils constituent donc une source de pollution à très long terme. En l’espace d’une seule année, 129 milliards de ces masques sont utilisés de par le monde, pendant que les autorités parlent à tout bout de champ de protection de la planète.
Il faut aussi évoquer le budget conséquent qu’il fait peser sur les foyers les plus modestes. À l’origine, le gouvernement avait pourtant affirmé à ce sujet, par la voix d’Agnès Buzyn, qu’il serait question de distribuer les masques gratuitement à la population en cas d’obligation… Encore un grossier mensonge éhonté de plus !
J’en veux pour preuve que le gouvernement avait même fait intervenir les forces de l’ordre dans le quartier de la Goutte d’Or pour faire interdire manu militari avec la plus grande fermeté, comme s’il s’agissait d’un acte terroriste, la distribution gratuite de masques en tissus à l’initiative de la boutique de tissus africains Barakatou. Bien au contraire, force est de constater que l’État a permis aux grandes surfaces d’engranger des profits considérables sur la vente des masques, avec des marges monstrueuses et parfaitement indécentes sur les prix pratiqués pour un article relevant pourtant de la santé publique… La moindre des choses aurait été un encadrement très strict de ces prix. Encore une fois, c’est bien la preuve manifeste que la santé n’est pas la priorité dans toute cette affaire !
Par ailleurs, il est maintenant de plus en plus question de mettre plusieurs couches superposées de masques sur le visage pour s’assurer d’une meilleure protection ! Quant aux masques en tissus qui ont pourtant mobilisé un effort national de la part de tant de couturières bénévoles, ils seraient entre-temps devenus inefficaces et interdits d’usage ! Ne s’agit-il pas là d’une forme d’aveu que le masque unique a en réalité toujours été parfaitement inutile ? Ou bien alors, ne serait-ce pas là plutôt une volonté manifeste d’en faire toujours plus dans le registre de la peur et de renchérir dans la psychose collective ? Jusqu’où ira encore toute cette mascarade ?
La seule utilité véritable de ce masque est donc son impact psychologique, qui lui est indéniable. Le masque permet de faire exister le virus de manière très visuelle, de matérialiser en permanence la menace. Il permet donc de plonger et de maintenir les individus dans une forme de peur latente et de psychose collective, ainsi que d’entretenir le mensonge de l’urgence sanitaire absolue. Ce qui entraîne au passage, un dévastateur effet psychologique nocebo des plus malsain et pervers ! La peur est plus dangereuse et contagieuse que le virus. Elle empêche de raisonner correctement et bloque toute sagesse, elle exacerbe l’émotivité et génère des comportements et des pensées irrationnelles. Un phénomène souligné par le Professeur Didier Raoult devant la commission d’enquête du sénat du 15 septembre 2020 : «Quand vous dites aux gens qu’ils vont mourir, on voit les zones qui s’éteignent dans le cerveau, ça s’appelle l’effet nocebo. Quand on dit ça tous les soirs à la télé, on crée l’effet nocebo, qui est visible radiologiquement.»
Le masque implique aussi directement les individus dans la lutte contre le virus, il valide la réalité du récit officiel. Il est aussi un indicateur bien visible de l’acceptation par la population au mensonge, il donne le signal de la soumission aux autorités, comme un sondage continu en temps réel. Il permet aussi de diviser les Français dans d’interminables luttes entre pro-masques et opposants qui sont savamment entretenues dans les médias. Bref, en termes de manipulation mentale, c’est un accessoire parfait.
Mais le scandale de ces masques ne s’arrête pas là, puisque certains masques chirurgicaux distribués en masse à la population et notamment aux enfants dans les écoles seraient hautement cancérigènes. Certains masques chirurgicaux faciaux jetables bleus et gris en provenance de Chine, sont susceptibles de contenir des matières toxiques semblables à l’amiante. Ils révèlent un potentiel de toxicité pulmonaire précoce, avec le risque de développer des lésions extrêmement graves liées à l’inhalation de microscopiques particules de graphène nanoformé. Ils peuvent engendrer des problèmes de santé à long terme en cas d’inhalation.
En fait, cette volonté incompréhensible d’imposer ce satané masque n’est-elle pas une inavouable intention d’affaiblir nos systèmes immunitaires, plutôt que de les protéger ? Car, à bien y regarder de près, tout se passe comme si ce gouvernement avait sciemment tout mis en œuvre pour nous couper de toutes les ressources nécessaires pour nous maintenir en forme. Comme par exemple, de faire fermer les salles de sport, de nous interdire les baignades, ou en nous privant avec le confinement de sorties au grand air et au soleil et donc de vitamine D, qui est pourtant absolument essentielle. De même, bien que l’OMS définisse le bien-être comme étant basé sur la santé physique, la santé mentale et la sociabilité, ils ont fait d’une pierre trois coups en détruisant sciemment toute sociabilité, ce qui détruit la santé mentale et vient en dernière instance à détruire la santé physique. Notre système immunitaire se renforce par nos interactions avec les autres qui sont coupées…
“Stratégie du Choc” et “État de Sidération”
«La peur et l’anxiété, couplée à l’isolement humain décompensent psychologiquement les individus et ils ont une panne… Ils ne sont plus capables d’une pensée rationnelle. Une psychose globale est en cours et les gens se tourneront alors vers toutes fausses promesses qui réduiront la douleur émotionnelle qu’ils ressentent à cause de la peur. Vous pouvez donc leur faire miroiter un faux vaccin et ils y croiront, parce qu’ils ne veulent plus ressentir la douleur. Si vous remettez en question ce récit, ils deviennent agressifs, parce que vous les ramenez à cet état de douleur émotionnel dans lequel ils ne veulent pas se trouver. Ils ont littéralement perdu la tête, et les gens qui ont élaboré tout cela sont absolument diaboliques, mais aussi très brillants !» - Dr. Zelenko
L’opération COVID a été lancée comme une Blitzkrieg psychologique fulgurante, comme une guerre médiatique brutale pour créer un choc initial, suivit dans la foulée d’un confinement immédiat, de l’enfermement des populations. Les instigateurs de cette pandémie ont une connaissance poussée de la psyché humaine, des mécanismes de la psycho trauma et de la suractivation du système limbique grâce à un matraquage médiatique sans précédent couplé avec une censure inédite. En outre, on pourra remarquer que le déroulement de toute cette pandémie rappelle les techniques de tortures développées à l’échelle individuelle sur les prisonniers dans des camps de détention comme Guantanamo, avec le manuel de torture psychologique “Kubark” et “La Charte de Biderman”, mais qui serait cette fois-ci appliqué à grande échelle, celle des sociétés. Albert D. Biderman a étudié pour la “Rand Corporation”sur le conditionnement des prisonniers de guerre US en Corée du Nord, ainsi que les techniques de lavage de cerveaux utilisées par les tortionnaires chinois.
Ainsi, on y retrouve pêle-mêle :
- “La privation sensorielle”, avec le port du masque obligatoire.
- “Le développement d’un sentiment d’insécurité et de stress permanent”, avec un martelage médiatique
incessant et quotidien du nombre de morts par le croque-mort en chef,
Jérôme Salomon. Quoi de mieux aussi pour rendre les gens malades que de
leur parler de maladie à longueur de journée, surtout pour les personnes
les plus sensibles et hypocondriaques.
- “L’isolement”, avec le confinement, les
gestes barrières et l’éloignement des proches. Dans les prisons,
l’isolement a toujours été utilisé pour casser le moral du prisonnier,
pour le briser. Il faut priver la victime de tout soutien social qui lui donnerait la capacité de résister et développer chez-elle une préoccupation intense à propos d’elle-même. Rendre la victime dépendante de l’autorité.
- “Le harcèlement des concitoyens”, avec des
mesures absurdes, sous peine de se voir infligé des amendes
exorbitantes, le port du masque continuel. Tout est fait pour rendre la
vie quotidienne pénible. Tels des pervers narcissiques, ils soufflent le chaud et le froid en alternant des périodes de pression et de stress intense avec des périodes de relâchement, ils passent de promesses de douceur à la violence la plus brutale. L’alternance de menaces, de chantage, de décisions absurdes et de contre-ordres vise à provoquer l’apathie, la résignation, la soumission.
- “La monopolisation de la perception et de l’attention”, avec le matraquage continuel des chaînes d’informations telles que BFMTV. Il s’agit de fixer l’attention sur une situation difficile immédiate, d’éliminer les infos en compétition avec celles contrôlées par l’autorité et de punir toutes les actions contraires à la soumission.
- “Un épuisement induit”, tant psychologique et moral que physique, lié à la peur pour sa santé, sa vie et son avenir. Il faut briser tout esprit de résistance.
- “Des indulgences occasionnelles”, avec par exemple certains restaurants qui sont autorisés à ouvrir seulement sous certaines capacités. Procurer une motivation positive à respecter les directives, à se conformer et à se soumettre. Empêcher l’accoutumance aux privations imposées en lâchant de temps en temps la bride. On peut penser aux confinements aux couvre-feux par intermittence.
- “Des demandes stupides imposées”, le port imposé d’un masque inutile, alors que le virus se transmettrait essentiellement de manière manu portée, ou le sens de circulation imposé dans certains magasins, ou bien avec certains rayons fermés car jugés non-essentiels tandis que d’autres restent ouverts, ou encore porter un masque en pleine nature ou à la plage, etc. Développer les habitudes de soumission par des directives totalement stupides, inutiles et infondées.
- “Des menaces”, avec celle d’être exclu de la société, celle de se voir infliger des amendes, celle du retrait des enfants si on ne respecte pas scrupuleusement les mesures sanitaires décrétées par le gouvernement, etc. Il faut cultiver l’anxiété, le stress, et le désespoir.
- “Une démonstration de toute-puissance”, avec la fermeture arbitraire du monde entier, des amendes exorbitantes pour imposer des mesures absurdes et le narratif officiel, sans la moindre remise en question des autorités scientifiques. Il faut suggérer l’inutilité et la futilité de la résistance, comme celle du vaccin qui serait de toute manière rendu obligatoire, ce n’est qu’une question de temps.
- “Des dégradations et des humiliations”, comme celle du port du masque, celle d’avoir à justifier du moindre de ses déplacements, ou l’humiliation des tests dans le nez et les fesses. Faire apparaître le prix de la résistance comme plus dommageable pour l’estime de soi que pour celui de la capitulation.
- “La désorientation et la perte des repères”, avec des discours officiels évolutifs qui changent en permanence de manière contradictoire, des injonctions paradoxales, des mesures à géométrie variable, voir parfaitement incohérentes. La confusion est savamment entretenue à tous les niveaux pour décourager les gens à chercher la vérité cachée derrière un épais rideau de fumée.
On dirait donc bien la mise en œuvre de ce que la politologue Naomi Klein décrivait dans son essai sur la montée du capitalisme du désastre, comme la “Stratégie du choc”. Une stratégie proprement machiavélique, qui permet de profiter de l’état de sidération généralisé pour passer en force et sans la moindre réaction des mesures absolument inacceptables d’un point de vue éthique et démocratique et qui seraient rejetées avec force et véhémence en temps normal. Depuis ce choc initial, on aura observé que la population a été maintenue dans une forme d’hypnose médiatique continuelle. Le choc initial permet de créer une amnésie du préexistant, de faire une table rase pour reprogrammer la société.
Le schéma manipulateur pour obtenir le consentement de la population à faire quelque chose qu’elle ne voudrait pas, ne procède pas directement, mais indirectement. Il est le suivant : on crée, ou on amplifie une crise qui effraie les gens, puis le gouvernement introduit ses dispositions non désirées, sous l’aspect de mesures nécessaires pour combattre cette crise, afin de préserver la sécurité et le niveau de vie, tout en incriminant quiconque qui y est opposé de “complotiste”. Pour échapper à l’angoisse, beaucoup de personnes régressent psychologiquement à l’état d’enfance, où l’on obéit à l’adulte sachant qui vous prend en charge, est en effet plus confortable et sécurisant. Ce mécanisme de défense a néanmoins un coût qui est la perte d’autonomie.
Semer et entretenir la confusion
«Tout résultat est résultat politique, et la politique elle-même est une accumulation de mensonges, de faux-fuyants, de folie, de haine et de schizophrénie. Une société totalitaire qui est arrivée à se perpétuer instaurerait probablement un système de pensée schizophrénique.» – Georges Orwell dans “1984”
«Ils auront quand même réussi à introduire de nouvelles valeurs, la ségrégation altruiste, le consentement obligatoire, la pensée unique réfléchie et intelligente, l’expérimentation sûre et sans danger, le conflit d’intérêts bienveillant, et tant d’autres paradoxes.» – Stéphane de Troie sur Twitter
Beaucoup de gens s’imaginent, à tort que parce qu’il avance tout et son contraire, le gouvernement est incompétent. Mais, tout a sciemment été fait pour brouiller les cartes et la compréhension des Français, qui ont été soumis à de nombreuses “injonctions paradoxales”, également appelées “doubles contraintes” incompatibles. Une notion théorisée dans les années 50 au sein de l’école de “Palo Alto” par l’anthropologue Gregory Bateson, à l’origine de troubles mentaux comme la schizophrénie. Il s’agit d’une situation dans laquelle une personne est soumise à deux contraintes ou pressions contradictoires ou incompatibles. Si la personne est ou se sent prisonnière de la situation, surtout si elle est dans l’incapacité de communiquer à son sujet, cela rend le problème insoluble et engendre à la fois troubles et souffrances mentales. Les exemples sont innombrables dans la gestion de cette pandémie : Confinez-vous, mais allez travailler ; Ne vous rencontrez pas, mais soyez solidaires ; Restez chez vous, mais faites du sport ; Le masque est inutile, mais il est pourtant obligatoire ; Pour protéger nos enfants, acceptons de les maltraiter ; Pour sauver nos aînés, laissons-les mourir de solitude ; Pour éviter les attroupements, fermons les petits magasins ; Pour préserver notre santé, fermons les salles de sport ; Pour sauver nos hôpitaux, détruisons notre économie…
En réalité il s’agit donc d’une technique de manipulation parfaitement maîtrisée et d’un des grands ressorts insidieux du totalitarisme, qui fait disjoncter la masse des cerveaux lassés par tant de paradoxes afin de mieux les soumettre et les dominer. Et force est de constater que cette stratégie est redoutablement efficace, puisque la plupart des gens perdent tout esprit critique et sont comme hébétés, incapables de la moindre réaction. C’est donc bien une insidieuse guerre psychologique qui nous est livrée, un petit jeu bien malsain et hautement pervers.
George Orwell avait déjà décrit dans son “1984”, à travers la novlangue, le dispositif de «double pensée» destiné à empêcher la représentation d’une chose. Elle consiste à «retenir simultanément deux opinions qui s’annulent, alors qu’on les sait contradictoires et croire à toutes deux», tout en étant capable d’en oublier une, lorsque l’injonction surmoïque se manifeste. Ensuite, il convient d’oublier que l’on vient d’oublier, c’est-à-dire «persuader consciemment l’inconscient, puis devenir ensuite inconscient de l’acte d’hypnose que l’on vient de perpétrer». Cette procédure interdit tout jugement et entraîne une indifférenciation des éléments de la réalité.
À force d’être soumis à de constants et d’incessants changements de consignes et de directives (souvent dénuées du moindre sens, mais qu’il est néanmoins réduit à suivre bien servilement) l’individu perd progressivement toute confiance en lui-même. De même, le fait qu’il puisse voir ses droits les plus élémentaires et ses besoins les plus fondamentaux êtres remis en cause et soumis au bon vouloir de l’autorité, le dévalorise, le rend impuissant et résigné. Par ce processus de manipulation et de prise de contrôle progressif, il entre dans un état régressif de docilité et de totale soumission. L’individu est alors désorienté et brisé dans sa volonté de résistance.
Ce ressort psychologique induit est celui dit de “l’impuissance apprise”, ou de la “résignation acquise” théorisée en 1975 par le chercheur en psychologie Martin Seligman. C’est un sentiment d’impuissance permanente et générale qui résulte de l’expérience du vécu de l’individu. Il est provoqué par le fait que l’individu est plongé, de façon durable ou répétée, dans des situations sur lesquelles il ne peut agir et auxquelles il ne peut se soustraire. L’impuissance apprise engendre dépression, anxiété, désespoir et soumission.
La “Fabrique du Consentement”
«Les décisions, aujourd’hui, ne sont pas prises en fonction d’une réalité qui serait celle de la circulation du virus, mais pour dire qu’il faut continuer à être disciplinés comme vous l’êtes.» - Roxana Maracineanu, ministre déléguée aux Sports 3
«Pire que le bruit des bottes le silence des pantoufles» – Max Frisch
Ce que nous avons traversé collectivement ces derniers mois, ressemble donc à une gigantesque entreprise de contrôle social et de soumission de la population, à l’instar de la fameuse “Expérience de Milgram”. Ainsi, on doit obéir aveuglément aux décisions les plus aberrantes, au nom du respect de l’autorité supérieure, car c’est elle qui serait détentrice de l’expertise scientifique, des compétences et du savoir, malgré des conflits d’intérêts patents qui sautent aux yeux.
Une soumission qui a culminé jusqu’à l’absurde, avec la nécessité ubuesque et profondément humiliante de se faire signer à soi-même une dérogation d’autorisation de sortie, lors des phases de confinements. Attestations de déplacement dérogatoires officielles, qui n’avaient en réalité aucun caractère obligatoire, comme cela a été ultérieurement avoué par le Conseil d’État. Nous nous sommes ainsi transformé en gardiens, en geôlier de notre propre résidence surveillée et prison. Quelle idée tordue et quelle perversion ! Une brillante initiative que l’on doit au cabinet-conseil “McKinsey & Company”, spécialisé dans le “Nudging”, à savoir dans des techniques de marketing incitatif, basées sur l’ingénierie sociale et l’économie comportementale, de façon à induire certaines actions dans la population en la manipulant de manière infra-consciente, comme le rapporte la philosophe Barbara Stiegler. “Nudge” peut se traduire par coup de pouce. Nous sommes là en plein dans la fabrique du consentement. À savoir aussi que ce cabinet de conseil américain, appuyant le gouvernement pour sa stratégie vaccinale contre la Covid-19, a tout récemment défrayé la chronique en étant directement impliqué dans un retentissant scandale des opiacés aux États-Unis, en étant reconnu responsable de 500 000 morts ! Le cabinet conseil privé a écopé d'une amende de 573 millions de dollars, ce qui n’a pas empêché le gouvernement français d’avoir recours à ses services, en pleine connaissance de cause, sans passer par aucun appel d'offre et moyennant des honoraires s’élevant à 9,56 millions d’euros, ce qui représente un coût de 50 mille euros la journée de conseil. À noter au passage que la société responsable de la campagne en relations publiques de l’OMS pour le coronavirus, n’est autre que “Hill + Knowlton Strategies”, qui fut impliquée dans le mensonge de la propagande des couveuses, du faux témoignage du massacre des nouveau-nés au Koweït lors de la première guerre du Golfe.
Dans cette crise, on a aussi neutralisé tout sentiment de révolte et de colère en jouant sur la culpabilité et en laissant entendre que les gens, par leur manque d’application dans la mise en œuvre des mesures sanitaires étaient directement responsables de la propagation du virus et de l’aggravation de la situation. Un procédé de manipulation classique qui permet de retourner les responsabilités. On a aussi inculqué aux gens leur impuissance et leur résignation alors que chacun de nous devrait faire ce qu’il croit être juste et en accord avec ce que lui dicte sa conscience.
À travers le traitement médiatique de cette pandémie, on a pu observer un recours intensif à des mécanismes d’ingénierie sociale et de manipulations qui relèvent de la “Psychologique Comportementale Appliquée”, de façon à faire passer un agenda politique sous couvert de Santé publique. Inlassablement, le public a été soumis à des procédés linguistiques très sophistiqués, à des messages qui ont été construits et élaborés avec des techniques psychologiques très subtiles de façon à mieux pénétrer les subconscients. Cela fait une cinquantaine d’années maintenant que les pouvoirs étudient scientifiquement les moyens de manipuler en masse les populations. Ils connaissent en profondeur la nature humaine et ses faiblesses, les ressorts psychologiques des individus et comment agir sur eux. Cette science de la manipulation est directement issue des travaux de “l’École de Francfort” et de “l’Institut Tavistock des relations humaines” fondée en 1947 par le “British Intelligence Service” et financée par la “Fondation Rockefeller”. Véritable temple du “Behaviourisme”, cette dernière s’est spécialisée dans les expérimentations sociales, dans l’étude du comportement de groupe et du comportement organisationnel. D’après les travaux du chercheur allemand en psychologie sociale Kurt Lewin qui eut une grande influence sur le travail de cet institut, la société pourrait être contrôlée et ramenée à un état régressif infantile et immature, en étant plongée dans un chaos social qu’il a nommé “Fluidité”. Il avait théorisé la “table rase”, selon laquelle lorsque la terreur est induite dans toute société donnée, la société se réfère alors à une sorte d’état d’hébétude, situation où le contrôle peut alors facilement être obtenu à partir d’un point extérieur. Frédéric Emery, un autre chercheur de cet institut, décrit les effets induits par ce chaos social engendré par des traumatismes sociaux, c’est-à-dire des crises économiques, politiques et des conflits sociaux. La société se polarise alors en deux groupes hostiles, pendant que les institutions s’effondrent. Des groupes extrémistes voient alors le jour. Pour Emery, la forme de chaos social la plus achevée correspond à la dissociation, un état dans lequel la personne individuelle s’identifie à la société en elle-même et se dissocie de sa personnalité qui lui est propre. À cause de la peur, elle s’isole des autres membres du groupe social. Les individus, devenus méfiants et paranoïaques se replient sur eux-mêmes. La culture dominante se fonde alors sur les superstitions et les fantasmes, tandis que les seuls moyens de communication entre les êtres sont les médias électroniques, agissant comme des leurres et accentuant la séparation et la dissociation. Les moyens employés par cet institut pour parvenir au contrôle de la société étant de modeler le déclin de la morale, de la spiritualité, de la culture, de la politique et de l’économie.
On peut voir la mise en œuvre de ce que le philosophe Naom Chomsky définissait comme la “stratégie du dégradé”, afin de faire grandir la “Fenêtre d’Overton”. Ainsi, étape par étape, et de manière fort insidieuse, on introduit des mesures de plus en plus liberticides afin de faire accepter l’inacceptable, par paliers. On fait ainsi lentement évoluer l’opinion publique, pour au final entériner dans le droit des mesures parfaitement intolérables et qu’elles deviennent légales, même si dans le fond, elles sont parfaitement immorales. Avec ce procédé, on passe ainsi d’une opinion de rejet catégorique, en considérant la chose comme impensable, à reconsidérer cette même chose comme extrémiste, puis à la juger comme licite, voire acceptable, pour en dernière instance s’en faire l’ardent défenseur.
Dans cette crise, on peut voir et c’est assez compréhensible, que tout le monde a aussi peur de perdre ses acquis, sa position sociale, son emploi ou sa maison, de se voir ostracisé par le reste du groupe ou de s’attirer l’hostilité de sa famille et de ses proches. Mais, comme le dirait l’anthropologue et physicien Philippe Bobola : «Chacun en essayant de s’auto-conserver, sous l’action de son cerveau reptilien, finit par cautionner un système qui va finir par balayer tout le monde !» Il faut arrêter de résonner sur la courte durée pour défendre son pré-carré par instinct de survie immédiat, car, à force de tenter de sauvegarder ses petits intérêts, de vouloir conserver ses acquis et ses subventions, nous allons collectivement dans une impasse. Il faut bien avoir conscience que l’assistanat sous perfusion de l’État n’aura qu’un temps et il tombera assurément lors du “Grand Reset”. Ce n’est donc que reculer pour mieux sauter…
À croire qu’ils sont aussi en train d’évaluer le degré d’abrutissement et de “zombification” de la population générale, avant de passer à la vitesse supérieure…
Un Hold-Up sur nos vies ?
En fait, force est de constater que tout se passe plutôt comme si ces “bons dirigeants”, qui font mine de prendre tant à cœur notre Santé, nous livraient en réalité une guerre totale, une guerre larvée sournoise et des plus insidieuses, une guerre sans morts apparents, mais avec tant de victimes collatérales, une guerre contre la dignité, une guerre contre l’humanité, une guerre contre la vérité et même une guerre contre la réalité. Une guerre qui mettrait tout en œuvre pour nous affaiblir sur tous les plans tant physiologique, qu’affectif, que psychologique, et bientôt économique !
Et puis toutes ces mesures, qui nous sont imposées et qui nous rendent la vie quotidienne infernale, sans véritable raison sanitaire justifiée, ne sont-elles pas elles aussi une guerre de nerfs et d’usure, une vaste entreprise de démoralisation destinée à nous faire accepter l’inacceptable, voire jusqu’à supplier pour une vaccination que l’on présente comme la fin du calvaire, le bout du tunnel, “le Saint Graal”, l’ultime panacée permettant de regagner notre vie antérieure confisquée et volée. C’est du moins leur promesse, bien qu’en réalité, ils n’en pensent pas un traître mot…
D’ailleurs, le décidément incontournable Klaus Schwab l’avait annoncé dès le début de la pandémie alors même que le virus n’avait encore que quelques semaines : «Un retour complet à la “normale” ne peut être envisagé avant qu’un vaccin soit disponible.» Tandis que de son côté, Melinda Gates nous avait aussi affirmé avec un aplomb inouï qu’il n’y aura «Pas de vie normale tant que le monde entier ne sera pas vacciné !»
CHAPITRE 2
“LE VACCIN À ARN MESSAGER”,
OU LA MISE À JOUR DE L’HUMANITÉ
Le refus délibéré et criminel de tout traitement
Pourquoi la vaccination serait-elle devenue l’horizon indépassable de cette épidémie, l’Alpha et l’Oméga de la sortie de cette crise, alors que contrairement à ce qu’avance le gouvernement, de nombreux autres traitements ont fait leurs preuves à travers le monde, comme l’“Hydroxychloroquine” couplée avec l’antibiotique “Azithromycine”, avec une meta-étude qui synthétise plus de 208 autres études internationales, qui démontrent sans l’ombre d’un doute son efficacité. On peut aussi évoquer l’“Ivermectine” associée à la “Doxycycline” encore plus efficace, mais aussi le Zinc, la vitamine C et D, la “Fluvoxamine”, la “Bromhexine”, ou encore des plantes naturelles comme l’Artemisia. Ces traitements ont démontré leur efficacité dans les pays pauvres, où la mortalité est de très loin inférieure à la nôtre. La '“Fluvoxamine” coûte seulement quatre euros la boîte, qui permet une réduction de 66 % des taux d’hospitalisation et de 91 % des taux de décès liés à la COVID chez les patients à haut risque. On peut aussi faire mention de la “Plitidepsine”, un médicament produit en Espagne qui réduit de près de 100 % la charge virale de la Covid-19. Et qu’est devenu le “Clofoctol” développé par l’Institut Pasteur de Lille et défendu comme «efficace à 100%» par le Pr. Benoit Deprez dès l’été 2020 et qui aurait dû sortir début 2021 ? Pourtant malgré tous ces traitements, on a assisté à des campagnes médiatiques de désinformation massives en vue de diaboliser, voire de nier l’existence de ces derniers auprès de l’opinion publique. Les preuves que ces traitements fonctionnent étant systématiquement relégués en tant que “Fake News”, tandis que toute communication autour de ces traitements a été sévèrement censurée avec la complicité des GAFAM sur les réseaux sociaux.
Aussi, pourquoi ne jamais avoir parlé des moyens efficaces pour renforcer notre immunité et consolider de manière préventive notre santé, au moment même où c’est justement le plus essentiel et décisif ? Le système immunitaire serait-il devenu lui aussi une “Théorie du Complot” ? Pourquoi un tel déni et une telle impasse sur l’immunité naturelle, qui est pourtant la plus robuste et protectrice ? La Santé publique du Québec a par exemple tout simplement pris la décision unilatérale de bloquer l’administration de vitamine D, qui est un antiviral et qui permet de booster le système immunitaire des personnes âgées. Quoi de mieux pour affaiblir ces dernières et augmenter au passage à bon compte les chiffres pandémiques.
De manière parfaitement incompréhensible, tout au long de cette pandémie, les médecins traitants généralistes ont été totalement et scandaleusement mis sur la touche, méprisés, court-circuités, entravés dans leur droit de prescription, alors qu’ils auraient dû en toute logique êtres placés en première ligne pour faire remonter de précieuses informations du terrain et de très utiles retours sur expérience, afin de lutter efficacement contre ce nouveau virus inconnu du Sars-CoV 2. Mais c’est l’exact inverse qui a été fait : leur action a été étroitement encadrée et leur parole a été étouffée, contrairement à celle des ultra-médiatisés médecins cathodiques de plateaux comme les Michel Cymes, les Karine Lacombe, les Martin Blachier ou les Gilbert Deray. Ces derniers se gardent bien de préciser, comme l’exige pourtant la loi, leurs conflits d’intérêts patents avec l’industrie et déversent sur les ondes leur propagande sans la moindre retenue. L’Article L4113-13 du Code de la santé publique est pourtant clair à ce sujet : «Les membres des professions médicales qui ont des liens avec des entreprises et établissements produisant ou exploitant des produits de santé ou des organismes de conseil intervenant sur ces produits sont tenus de les faire connaître au public lorsqu’ils s’expriment lors d’une manifestation publique ou dans la presse écrite ou audiovisuelle sur de tels produits. Les conditions d’application du présent article sont fixées par décret en Conseil d’État.» Le CSA, l’autorité publique française de régulation de l’audiovisuel censée veiller à ce que ce genre d’entorse à la loi ne se produise pas, n’y trouve pourtant absolument rien à y redire. Elle est complice de cette situation et un auxiliaire de la manipulation. Mais ne nous en étonnons pas outre mesure, car c’est le président de la République en personne qui nomme le président du CSA…
Dans ce traitement médiatique, on pourra aussi s’étonner de constater que les experts en épidémiologie, comme les Christian Peronne, les Laurent Toubiana ou les Jean-François Toussaint, dont c’est le principal champ d’expertise, ne sont pas écoutés et sont même discrédités et évincés des plateaux, au profit de médecins qui sont néphrologues ou bien urologues… Le discours de vérité est à chercher du côté des médecins qui prennent des risques, qui s’exposent aux coups, qui ont tout à perdre et non pas du côté des médecins qui pérorent sous les feux des projecteurs des plateaux TV.
Les recommandations officielles étaient de ne pas aller directement voir son médecin traitant, ou alors de préférence en consultation à distance, de prendre du “Paracétamol”, du “Doliprane”, de rester chez soi et en cas de difficultés respiratoires grave, autrement dit lorsque c’est trop tard, d’appeler le 15 pour être pris en charge à l’hôpital. Il est cocasse de constater que le “Paracétamol” a en fait plus d’effets secondaires que la chloroquine et l’hydroxychloroquine réunies et notamment dans le domaine cardiaque, comme cela est rapporté sur la Vigibase, la base de données des effets secondaires des médicaments de l’OMS. En somme, c’est ce que l’on pourrait caractériser comme de la non-assistance à personne en danger… Le Dr Pierre Brihaye, médecin ORL déplore ces recommandations : «Au début du confinement il a été demandé aux médecins d’arrêter de soigner… Les patients suspectés d’avoir le Covid étaient renvoyés chez eux sans être examinés, avec du Dafalgan comme seul traitement… C’est contraire à la médecine.»
Jamais, on aura vu une telle approche dans toute l’histoire de la médecine, qui a toujours reposé sur le diagnostic du médecin, suivi d’un traitement adapté et rapide ! Cette négation des traitements relève d’un refus de soigner et donc d’un véritable crime, avec au 07 mai 2020, une surmortalité en France estimée à 25 000 morts, comme le rapporte le Dr. Christian Peronne, l’ancien Président de la commission des maladies transmissibles du Haut Conseil de la Santé publique et ancien membre expert à l’OMS sur la politique vaccinale en Europe, dans son livre réquisitoire explosif “Y a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ?”… Cet aveuglement volontaire est le péché originel de ce gouvernement, celui dont découlent toutes les autres fautes et crimes ultérieurs. C’est comme si dans sa profonde duplicité, Emmanuel Macron pour répondre à la guerre, à la croisade sanitaire qu’il avait déclarée contre ce virus, avait tout simplement choisi de délibérément désarmer les Français pour y faire face ! Cela relève de la haute trahison du peuple et mériterait une destitution et un jugement en bonne et due forme. Mais, il faut bien comprendre que la négation de tout traitement était la condition préalable sine qua non pour l’autorisation de la mise sur le marché des différents vaccins… Et il fallait aussi dans un premier temps déclarer l’épidémie comme une “Pandémie” pour légitimer leur production. De même que la prolongation de l’état d’urgence sanitaire était la condition sine qua non pour autoriser des vaccins qui n’ont pas été approuvés. Si on n’enclenche pas la chaîne de soins pour les malades, si on ne diagnostique pas, si on n’examine pas et si on ne traite pas délibérément les patients et bien alors, les situations cliniques ne peuvent qu’empirer et les services de soins ne peuvent être que saturés !
Contrairement à ce que se sont évertués à marteler dans l’espace médiatique les Olivier Véran, les Karine Lacombe, ou encore les Jérôme Salomon, il existe donc bel et bien tout un arsenal de traitements efficaces pour lutter contre le virus, à la condition d’agir de manière assez précoce, pendant la phase virale… Ainsi, des milliers de médecins de ville à travers le monde, rapportent avoir traité leurs patients avec par exemple, de simples antibiotiques, en relevant des améliorations spectaculaires sur leur état, avec une diminution de 50 à 80 pourcents des hospitalisations et des décès, reléguant la gravité de ce redoutable virus à celle d’une grippe des plus classiques.
Aux États-Unis, “America’s Front Line Doctors”, un regroupement de médecins et de professionnels de la santé s’est constitué pour affirmer l’efficacité bien réelle des traitements précoces comme l’“Hydroxychloroquine”. Il s’était illustré pendant la pandémie en allant manifester avec les blouses blanches devant le Sénat américain, mais a pourtant été purement et simplement censuré des réseaux sociaux. Ce collectif compte maintenant dans ses rangs plus de 700 000 membres, dont des milliers de médecins bénévoles et sans conflit d’intérêt, qui travaillent à ré-informer leurs concitoyens.
Pour ce qui est de l’“Ivermectine”, elle serait en traitement précoce, efficace à 85 % pour diminuer le taux de mortalité de ce virus et qui plus est, il s’agit d’une molécule largement connue, sur laquelle on a tout le recul nécessaire. Ce médicament éliminerait le coronavirus à 99 %, comme cela a été confirmé lors d’études de micro-organismes. Que demander de plus? En Inde, où le gouvernement a décidé de passer outre les préconisations de “l’Organisation mondiale de la santé” de ne pas utiliser l’“Ivermectine”, les résultats contre le variant indien ont été immédiats, avec une chute spectaculaire du nombre de cas et de décès. Plus d’une vingtaine de pays utilisent l’“Ivermectine” avec grand succès.
Une association du barreau indien, “l’Indian Bar Association” a même signifié un avis juridique pour “outrage au tribunal” et “crimes contre l’humanité” au directeur général de “l’Organisation mondiale de la santé”, le Dr Tedros Adhanom Gebreyesus, ainsi qu’au scientifique en chef de l’OMS, le Dr Soumya Swaminathan. “l’Indian Bar Association” a signifié cet avis en raison du fait que l’OMS continue de diffuser de la désinformation sur le médicament “Ivermectine”, bien qu’elle ait pleinement connaissance d’un jugement rendu par “l’Honorable Haute Cour de Bombay” à Goa le 29 mai 2021. L’OMS a toujours déclaré qu’il n’y avait pas suffisamment de preuves pour prouver que l'“Ivermectine” aidait à soulager la prétendue maladie de Covid-19. L’avis de 51 pages de “l’Indian Bar Association”, envoyé le 25 mai, a qualifié les déclarations du Dr Soumya Swaminathan de «très déraisonnables, trompeuses et émises avec des fins inavouées et une intention délibérée de minimiser l’efficacité de l'“Ivermectine” dans le traitement des patients de Covid-19 ainsi que son utilisation comme prophylaxie et pour dissuader les gens d’utiliser ce médicament en créant des doutes dans l’esprit des gens quant à la sécurité de l'“Ivermectine”». L’association a demandé des mesures en vertu des articles 302 (punition pour meurtre), 304 (II) (homicide coupable n’équivalant pas à un meurtre), 88 (acte non destiné à causer la mort), 120 (B) (participation à un complot criminel) et 34 (actes accomplis par plusieurs personnes dans la poursuite d’une intention commune) et d’autres dispositions du Code pénal indien et de la Loi de 2005 sur la gestion des catastrophes. Le deuxième avis juridique rendu par “l’Indian Bar Association” indique que Tedros et son collègue Swaminathan exécutent un complot criminel visant à empêcher les gens de revenir à la normale. «Il semble que, afin de vous sauver vous-même et les autres accusés impliqués dans le complot plus large et de causer des gains injustifiés à la Pharma Mafia et à d’autres, vous avez exécuté ce complot criminel pour priver le peuple indien de panacée comme l'“Ivermectine” et peut-être d’autres drogues aussi et vous trois, vous êtes déterminés à empêcher les gens de revenir à un semblant de normalité. L’autre stratégie de votre groupe est de maintenir le public sous le choc sous une peur constante et de le pousser davantage dans la pauvreté. Le complot est exécuté en sachant parfaitement qu’il y a des pertes massives de vies humaines, ce qui n’est rien d’autre qu’un cas manifeste de meurtres de masse de sang-froid, c’est-à-dire de génocide.»
De plus, il s’avère que d’après le témoignage du chirurgien et urologue, le Dr. Maudrux intervenant sur les ondes de Sud Radio, la France via l’INSERM, par l’entremise de l’épidémiologiste Dominique Costagliola et de Marisol Touraine, serait directement intervenue au niveau de l’OMS pour bloquer toute forme de traitement à base d’“Ivermectine”. Ils ont ainsi fait pression pour faire modifier les conclusions d’une étude demandée par Andrew Hill qui s’était avérée très concluante en démontrant une efficacité spectaculaire de ce médicament, avec une diminution par deux des symptômes et par quatre de la mortalité. De même, le Dr. Tess Lawrie, chercheuse et directrice de “l’Evidence Based Medicine Consultancy”, dans un avis lancé aux populations du monde entier, confirme bien que l’“Ivermectine” fonctionne, mais que tout est fait pour retarder l’approbation de ce traitement.
En outre, deux médecins généralistes mosellans, les Dr. Erbstein et Dr. Gastaldi ont été sommés de se taire par le “Conseil de l’Ordre des Médecins”, alors qu’ils avaient trouvé un traitement très encourageant basé sur un protocole à base d’azithromycine et de Zinc efficace contre la Covid-19. Comment ne pas voir dans tous ces agissements criminels, une volonté délibérée de bloquer toute forme de traitement thérapeutique et de sortie de crise ?
Il faut aussi savoir que pendant qu’ils mettaient toute leur énergie pour bloquer l’hydroxychloroquine au niveau du peuple, ils ont passé des commandes pour des réserves de chloroquine de plus de deux tonnes afin d’approvisionner la Pharmacie centrale des armées. L’Ivermectine et l’hydroxychloroquine ont été autorisées par décret et délivrées à volonté aux forces de l’ordre et aux politiques, dans n’importe quel hôpital militaire.
Le sort semble d’ailleurs véritablement s’acharner sur l’“Hydroxychloroquine”, puisque le 20 décembre 2020, par un malheureux concours de circonstances, la deuxième plus grande usine de production au monde de cette molécule, la “SCI Pharmatech” située tout près de l’aéroport international de Taïwan dans la province de Taoyuan a été ravagé par les flammes. Cet incendie a stoppé net la production de cette molécule. Tandis qu’en France, “Famar”, la seule usine habilitée à fabriquer de la chloroquine à Saint-Genis-Laval près de Lyon a le 12 juillet 2019 été en toute discrétion placée en redressement judiciaire. La liquidation ayant été organisée par un hedgefunds américain KKR, en étroite relation avec le laboratoire “Pfizer”qui produit le vaccin Covid-19…
D’après le cardiologue, le Dr Peter McCullough, consultant et vice chef du service de médecine du “Baylor University Medical Center” à Dallas, en Australie, dès avril 2020, soit dès le début de la pandémie, ils avaient passé dans les registres, comme une loi, que si un médecin prescrivait de l’“Hydroxychloroquine” à l’un de ses patients atteints du Covid-19, il serait alors mis en prison pour six mois. Comment auraient-ils pu avoir connaissance aussi tôt et sans avoir au préalable effectué le moindre test clinique qu’elle n’était pas une thérapie efficace et qu’il ne faudrait surtout pas utiliser ce traitement ? Cette chronologie des prises de décision, suggère qu’il y a ici quelque chose qui est totalement anormal.
Qui plus est, d’après le témoignage de l’humoriste Jean-Marie Bigard, qui aurait directement échangé en privé avec Emmanuel Macron, le Président lui aurait fait la confidence et l’aveu que s’il tombait malade, il prendrait immédiatement, le jour même le protocole du Professeur Didier Raoult. Cela n’empêche pas ce dernier de complètement nier ce protocole en tant que traitement et d’en limiter la diffusion pour le bas-peuple… Quel spectaculaire degré d’hypocrisie !
De son côté, le Professeur Didier Raoult s’avoue littéralement abasourdi autour de la controverse et du scandale médiatique généré autour de l’“Hydroxychloroquine” et résume ainsi la situation : «Honnêtement, si un jour on se met à réfléchir sur l’histoire de l’“Hydroxychloroquine” qui est quand même l’histoire la plus fantasque que j’ai jamais vue en médecine de ma vie. C’est un médicament qui existe depuis quatre-vingt ans, qui a été prescrit à peut-être un tiers de la population du monde, qui en France est vendu à trente-six millions de pilules par an et d’un coup, il y a toutes les autorités qui commencent à dire que c’est un truc épouvantable, criminel, qu’on va tous mourir d’arythmie cardiaque parce qu’on prend ce truc… C’est le truc le plus fantasque que j’ai jamais vu ou entendu… C’est inouï !» Didier Raoult souligne la totale incohérence de ce procès à l’encontre de cette molécule : «On a dénoncé l’un des deux médicaments les plus prescrits au monde… On en a probablement donné à 2 milliards de personnes, en affirmant qu’il tuait 10% des patients.»
Question subsidiaire, qu’est donc bien devenu l’essai clinique “Discovery” de l’INSERM sous la tutelle de Yazdan Yazdanpanah pour évaluer les différents traitements antiviraux ? Malgré les fracassantes annonces initiales du gouvernement, semaines après semaines, nous avons été sans nouvelles… Il semblerait bien que le projet ait lamentablement échoué ! Dans cet essai, l’“Hydroxychloroquine” a été volontairement torpillée, en la testant sur des malades gravement atteints déjà entrés dans une phase virale avancée et en leur administrant un surdosage de chloroquine de quatre fois supérieur à celui préconisé par le Pr Raoult dans son protocole. Pourtant ce dernier avait bien précisé que c’est un traitement qui ne fonctionne efficacement qu’en préventif, avant l’apparition des symptômes graves. Tout porte donc à croire que cette étude peu concluante a été mise en place seulement pour gagner du temps, ou plutôt en perdre en attendant la sortie des vaccins, tout en bloquant les potentiels traitements… Comme le disait Georges Clemenceau : «Si vous voulez enterrer un problème, nommez une commission!» Rappelons-nous aussi des conseils de ce vieux briscard et mafieux de Charles Pasqua: «Quand on est emmerdé par une affaire, il faut susciter une affaire dans l’affaire, et si nécessaire une autre affaire dans l’affaire de l’affaire, jusqu’à ce que personne n’y comprenne plus rien.»
Vacciner, oui mais pourquoi ?
«Les recommandations vaccinales ne sont pas scientifiques, mais politiques.» – Professeur Didier Raoult, épidémiologiste et spécialiste des maladies infectieuses
«Le vaccin n’a jamais été apporté pour le COVID. Le COVID a été apporté pour le vaccin. Une fois que vous avez réalisé cela, tout fait sens.» – Maître Reiner Fuellmich
«Nos gouvernants et nos parlementaires, de par leur pouvoir et leur influence, vont inciter toute une population à faire un geste dont l’intérêt n’est pas démontré et dont les conséquences ne sont pas mesurées, et se présenter ainsi en sauveurs. Cela évoque les techniques sectaires et les suicides collectifs.» – Dr Frédéric Badel, médecin-psychiatre
Pour commencer, cela relève d’une totale aberration que de vouloir injecter aveuglément et sans le moindre discernement la même substance à toute la planète. On ne tient plus compte du fait que chaque être humain est un micro-système bien spécifique. La médecine est un art et est basée sur l’observation du patient. En fait, c’est le contraire même de la science et de la vraie médecine, qui doit toujours prendre en compte le terrain et l’état physiologique du patient pour adapter le traitement. Il faut un traitement approprié et non un traitement à priori. La négation de la singularité des individus pris dans leur ensemble comme une masse informe et indifférenciée est une approche purement totalitaire.
De plus, quelle est la pertinence de développer un vaccin pour un virus comme le Sars-CoV 2, qui est un virus de type ARN de la famille des coronavirus, qui ont pour principale caractéristique d’êtres génétiquement particulièrement instables et hautement mutagènes, avec une souche qui évolue aussi souvent par un procédé qui s’appelle la recombinaison ? En Chine, les chercheurs ont déjà identifié un nombre impressionnant de mutations, avec 150 variantes mineures sur une centaine de génomes analysés. En toute logique, la protection ne peut être durable avec un virus qui génère l’apparition d’autant de variants, comme on peut déjà le voir actuellement, avec l’apparition des variants Brésiliens, Anglais, Sud-Africain, ou encore Breton… De plus, il faut savoir que ces virus mutent sur la protéine “Spike”, qui est justement responsable de l’infectivité et qui est celle qui varie le plus. Et il se trouve que c’est précisément elle qui est ciblée par ces vaccins à “ARN messager”…
Le grand scientifique Luc Montagnier expose les dangers de cette vaccination qui fait croire qu’elle lutte contre la pandémie. Or, c’est précisément le contraire, elle la nourrit ! De plus, le virus variant résiste à la vaccination : «Les nouveaux variants sont créés par la sélection des anticorps produits par la vaccination.» Il a aussi déclaré que les variants sont générés par les vaccinations : «C’est une énorme erreur, c’est une erreur scientifique et une faute médicale inexplicable, l’histoire fera le bilan un jour de tout ça, car c’est effectivement la vaccination qui a créé le variant.»
Christian Vélot, président du CRIIGEN, “le Comité de Recherche et d’Information Indépendantes sur le Génie Génétique”, s’étonne que pour «lutter contre un virus qui nous réserve énormément d’incertitudes, on ait recours à des technologies pour lesquelles on n’a pas de recul. C’est-à-dire qu’on ajoute à l’incertitude et à l’imprévisibilité d’un virus, l’incertitude et l’imprévisibilité d’une technologie.»
Aussi, pourquoi alors prendre le moindre risque avec notre santé, sur de potentiels effets secondaires à très long terme ? Le comble étant encore d’entendre dans un mémoire officiel, le ministre de la Santé Olivier Véran, avouer à demi-mots, en guise de réponse à un retraité vacciné qui avait saisi le “Conseil d’État” pour demander à recouvrer la levée du confinement pour les personnes vaccinées : «L’efficacité partielle des vaccins est devenue particulièrement contingente, du fait de l’apparition de nouveaux variants », mais aussi que «Les personnes qui ont été vaccinées sont celles qui sont les plus exposées aux formes graves en cas d’inefficacité.» Le pauvre homme, par trop sensible à la propagande médiatique, croyait bien naïvement que le vaccin était synonyme de “Liberté”. Hélas pour lui, c’était sans compter la mauvaise foi légendaire de nos dirigeants, si bien qu’il a vite été débouté avec une voie de non-recevoir. D’abord présenté comme la clé de voûte de la sortie de crise, on prépare déjà les esprits au fait que le vaccin ne permettra en fait nul retour à la normale.
Tous les médias arguent du fait qu’il est essentiel de se vacciner, car il protégerait des formes graves de la maladie. Pourtant, les fabricants même de ces vaccins précisent l’exact contraire directement dans la notice du dictionnaire de référence des médicaments qu’est le “VIDAL”, à la page de “Moderna” et de “Pfizer”. D’autre part, de nombreuses personnes âgées et doublement vaccinées de par le monde ont tout de même contracté des formes graves, comme ce fut le cas avec l’emblématique exemple de Roselyne Bachelot.
D’après le virologue et expert mondial en vaccination, le Dr. Geert Vanden Bossche, ayant travaillé en tant qu’ingénieur chef pour la GAVI, Global Alliance et “la Fondation Gates”, avant de devenir indépendant, une vaccination de masse réalisée conjointement à une période épidémique, pendant une circulation virale forte est extrêmement dangereuse. Elle est la condition idéale pour entraîner des mutations du SARS-CoV-2 et donc l’apparition de nouveaux variants. Car, le virus cherche naturellement à adopter une stratégie de contournement rapide des anticorps spécifiques qui ont été générés par la vaccination. Ces derniers devenant alors rapidement caducs. C’est ce phénomène que l’on appelle “l’échappée immunitaire”. D’après ce scientifique, cette vaccination de masse en pleine pandémie a donc tout le potentiel pour transformer ce virus, qui somme toute s’est avéré pour le moment plutôt bénin, en une redoutable “bombe biologique de masse”. Il pourrait bien devenir super infectieux et capable de dépasser notre système de défense le plus précieux, à savoir notre système immunitaire. Le Dr. Geert Vanden Bossche expose les risques ainsi : «Le fait est que ces anticorps (générés par la vaccination) à longue durée qui ont une haute spécificité bien-sûr, pour le virus, ils concurrencent nos anticorps naturels. Parce que nos anticorps naturels ont un très large spectre, mais ils ont une faible spécificité (affinité). Les anticorps spécifiques vont continuer à concurrencer vos anticorps naturels, et ceci est un gros problème parce que ces anticorps naturels vous fournissent une large protection. Cette protection n’est pas spécifique aux variants, peu importe les variants que vous attrapez, peu importe même le type de coronavirus qui vous infecte, ils vous protégeront. Sauf si bien sûr, vous supprimez leur degré d’immunité inné, ou si par exemple, ils sont concurrencés par des anticorps spécifiques à longue durée de vie.» C’est donc face à un risque d’effondrement des défenses immunitaires pour toutes les autres agressions ultérieures que les vaccinés s’exposent. «Le problème dont je parle est mondial, il ne s’agit pas d’un individu qui a des effets secondaires, c’est un problème mondial qui rend le virus de plus en plus infectieux, parce que nous lui donnons en permanence une possibilité d’échapper à notre système immunitaire et de conduire ceci, ou d’augmenter ceci à un niveau où le virus est si infectieux que nous ne pourrons pas le contrôler.»
Comme le virus échappe très rapidement au vaccin, cette stratégie vaccinale n’a donc aucune pertinence ! De ce fait, l’argument culpabilisant et responsabilisant comme quoi celui qui ne serait pas vacciné, ferait courir un risque inconsidéré aux autres peut donc être totalement retourné. En effet, la vaccination induit l’apparition de nouveaux variants du virus. En induisant de nouveaux virus, on pourrait se retrouver face à une nouvelle forme encore plus virulente et pathogène, comme l’a aussi signalé le biologiste Jacques Testart. Chaque nouveau vacciné devenant alors un foyer potentiel pour l’émergence de nouveaux virus. De l’aveu même du gouvernement, lorsque l’on se vaccine, on augmente le risque de développer une forme grave de la maladie ou de mourir, en devenant particulièrement vulnérable aux nouveaux variants et aux réinfections. Les vaccinés abaissent donc leurs défenses immunitaires. Et comble de l’absurdité, les vaccinés seraient même plus contagieux.
Donc en résumé, si on récapitule : vous vous vaccinez, donc vous devenez plus vulnérable aux variants, donc vous devez vous vacciner contre les variants, donc vous propagez davantage le variant autour de vous, ce qui favorise l’apparition de nouveaux variants contre lesquels vous devrez à nouveau vous vacciner, car vous serez davantage vulnérable, et ainsi de suite. On aboutit à une boucle infernale sans fin, au serpent qui se mord la queue.
Assistons-nous donc ici à la naissance d’un nouveau et immense marché mondial, d’une société de la vaccination perpétuelle, avec l’imposition régulière de nouveaux vaccins toutes les quatre-saisons et l’entretien permanent d’un carnet vaccinal ? C’est bien ce que semble annoncer Stéphane Bancel, le PDG désormais milliardaire de “Moderna”, qui nous assure que le virus serait là pour toujours et que la piqûre devra donc se renouveler tous les ans ! Et pourquoi pas à l’apparition de chaque nouveau variant… il avait affirmé dans son modèle commercial et marketing vouloir faire des vaccins un acte tendance en affirmant qu'«On veut proposer un vaccin comme un iPhone.» Sans surprise, c’est aussi ce qu’annonce le 09 novembre 2021 le PDG de Pfizer, Albert Bourla : «Si je peux faire une prédiction, […] Il semble qu’il y est une chance que cela devienne une revaccination annuelle.» Ainsi, on peut déjà anticiper que moins le vaccin sera efficace contre les nouveaux variants et plus il faudra l’inoculer. “Pfizer” ne parle maintenant même plus de pandémie, mais “d’endémie”, c’est-à-dire d’un business plan et une manne financière assurée pour toujours. Les actionnaires se frottent déjà les mains… La belle affaire ! Il ne faut donc surtout pas consentir à cet engrenage infernal, si l’on ne souhaite pas se voir transformé en patient chronique captif de ces nouveaux marchés pharmaceutiques simplement sur la vague promesse que ces produits permettraient potentiellement de ne pas contracter de forme grave d’une infection virale qu’ils semblent par ailleurs incapables de prévenir.
Bien entendu, comme on pouvait s’y attendre au niveau de “l’Union mafieuse européenne”, une totale opacité sur les négociations de tous les contrats passés avec les laboratoires de “Big Pharma” a été de mise. Aucun compte à rendre sur les faramineuses sommes engagées en argent public, sans pour autant que les brevets ne tombent dans le domaine public, comme l’a dénoncé l’eurodéputée des verts, Michèle Rivasi. Cette dernière a essayé en vain de consulter les contrats vaccinaux, elle a tout juste eu le droit de pénétrer une demi-heure dans la salle des contrats pour accéder à des dossiers de 300 pages, sans aucune possibilité de prendre la moindre photo. Elle a juste eu la stupéfaction de se rendre compte que les prix étaient rayés à la main pour des contrats qui se chiffrent en milliards d’euros.
Et l’opacité de “Pfizer” sur ses injections ne s’arrête pas là, car selon un article du “British Medical Journal”, le groupe “Ventavia”, chargé par la firme d’évaluer l’efficacité de ces dernières, aurait falsifié des données et tardé à assurer le suivi des effets secondaires. Qui plus est, il n’y aurait pas eu de vrai double-aveugle dans les essais cliniques. Reproche qui a été fait en boucle au Pr. Didier Raoult avec sa première étude, avant que 10 études ultérieures ne viennent valider l’Hydroxychloroquine. Un deux poids deux mesures scandaleux.
Mais ce n’est pas tout, selon la TV indienne, les contrats “Pfizer” comportent en effet 6 clauses léonines proprement scandaleuses. Ainsi, dans ce parfait marché de dupes, “Pfizer” se réserve le droit de faire taire les gouvernements par le biais de ses contrats, ce qui a forcé les États à cacher le contenu des contrats. De plus, c’est elle qui contrôle la distribution des vaccins et non pas l’État qui les achète. En outre, si elle est accusée de vol de propriété intellectuelle, ce sont les États qui paieront les condamnations et pas “Pfizer” ! Par ailleurs, tout contentieux éventuel sera réglé par des arbitres privés et non par les tribunaux publics… Par-dessus le marché, “Pfizer” pourra exiger des actifs de l’État pour être réglée. Et enfin, pour couronner le tout, c’est “Pfizer” qui décide du calendrier de livraison et de bien d’autres choses !
Au sein de la “Commission européenne” qu’il conviendrait de rebaptiser la “compromission européenne”, la connivence entre les hauts fonctionnaires et lobbyistes pharmaceutiques privés s’affiche sans vergogne. Ainsi, Ursula Von Der Leyen, la présidente de la commission a pour mari le discret Heiko Von Der Leyen. Il se trouve que ce dernier est directeur médical dans une entreprise de biotechnologie chez “Orgenesis” spécialisée dans les thérapies géniques que l’on retrouve dans justement dans ces nouveaux vaccins dont celui de “Pfizer”. Dès lors, l’on ne s’étonnera pas qu’Ursula félicite Albert Bourla, le patron de “Pfizer” en lui décernant le prix du meilleur dirigeant commercial. Et pendant que ces deux monstres froids, se frottent les mains, s’auto-congratulent et s’embrassent (bien entendu sans le moindre geste barrière, ces simulacres étant exclusivement réservés à leurs cobayes), les pays massivement vaccinés européens connaissent un regain d’épidémie, il y a plus d’un million d’effets secondaires et 28 000 potentiels décès rapportés dans la base d’Eudravigilance. Il y a plus d’effets secondaires cumulés avec ces injections en une seule année que tous les autres vaccins réunis en 34 ans. Mais pourquoi s’arrêter en si bon chemin ? Avec ses inoculations, les deux labos “Pfizer” et “Moderna” réalisent le vertigineux et spectaculaire chiffre d’affaires de 65 000 dollars par minute, sans pour autant qu’ils aient à prendre en charge les effets secondaires de leurs produits ! Ce vétérinaire grec, escroc notoire, a vendu jusqu’à 4,7 millions d’euros en actions juste après l’annonce des résultats trafiqués avec prétendument 94 % d’efficacité donnés par sa propre société pour son propre vaccin. Suprême culot, ce même Albert Bourla se permet de traiter de criminels tous ceux qui osent remettre en cause ses vaccins. On est typiquement dans de la perversion narcissique, dans l’inversion accusatoire, qui afflige l’autre de ce qu’il est lui-même. Pourtant, force est de constater qu’il y a une escroquerie manifeste puisqu’au fur et à mesure, ces produits miraculeux, mirifiques que l’on a vendus avec une immunité allant au-delà de 95 pourcents sont rapidement passés dans le discours officiel à 75 pourcents, puis à 50 pourcents, avant d’avouer qu’en fait, ils n’immunisaient pas mais réduisaient tout de même la transmission, pour finir par conclure qu’ils ne réduisent pas la transmission, mais protègent tout de même des formes graves !
Des vaccins sans risques, vraiment ?
D’ailleurs, ces vaccins semblent êtres tout sauf sans risques, car il semblerait d’après les statistiques du CDC américain, que rien qu’avec le vaccin développé par la firme “Pfizer”, on dénombrerait déjà parmi les premiers vaccinés, une proportion d’effets secondaires graves de l’ordre de 2,8 pourcents, ce qui est tout simplement considérable, surtout pour une maladie qui à la base, ne frapperait tout au plus que 0,5 pourcents de la population et presque exclusivement des personnes âgées ou des personnes présentant des comorbidités. Et ne parlons même pas des potentiels problèmes qui ne manqueront sans doute pas de se déclarer ultérieurement !
Pire, suite à la campagne de vaccination en cours, les décès mystérieux survenus juste après l’injection commencent à s’accumuler dans différents pays, comme à Miami, au Portugal, en Israël, en Suisse ou en Islande… Au 22 janvier, le CDC rapportait déjà 329 décès aux États-Unis et 285 dans d’autres pays et pas moins de 9 516 incidents. En Israël, qui est très en avance sur cette campagne vaccinale, les premières remontées du terrain sont catastrophiques, avec une explosion spectaculaire de la mortalité pour le mois de janvier sur les populations les plus fragiles. En trois mois, le vaccin de “Pfizer” aurait à son actif le triste palmarès de 6 000 morts, juste pour l’Union-européenne. Le taux de décès en quelque mois dépasse déjà le taux de mortalité lié à la vaccination en 20 ans, c’est du jamais vu.
De même, dans les deux mois suivant l’injection, le nombre de contagions n’a pas du tout été contenu par le vaccin, si bien que les malades ont paradoxalement été multipliés par trois ! Dans les pays qui ont le plus vacciné, c’est à une explosion épidémique à laquelle nous assistons. Le ministère de la Santé déclare que sur 100 000 personnes vaccinées, 11 % de ces personnes seraient devenues COVID positif en seulement deux semaines, soit une probabilité beaucoup plus élevée de devenir COVID positif dans la population générale. Un comble ! On a pu observer le même phénomène en Angleterre, avec un mois de janvier catastrophique, mais également aux Émirats arabes Unis, où les contaminations journalières sont supérieures de quatre fois et le nombre de morts journaliers de deux fois par rapport à la situation d’avant le début de la campagne. Cet alarmant constat peut être attribué à l’effet des “anticorps facilitateurs”, qui font que paradoxalement, après la vaccination, le virus se diffuse encore plus vite. C’est un phénomène bien connu lorsque l’on vaccine en pleine épidémie et qui s’était déjà produit dans le cadre du vaccin contre la dengue. D’après la Généticienne Alexandra Henrion-Caude, une personne vaccinée émettrait jusqu’à six fois plus de particules virales. En somme, sur les trois pays champions de la vaccination concernant les trois premiers mois, les résultats précoces sont déplorables ! Aux Seychelles, le pays le plus vacciné au monde, avec plus de 62 pourcents de la population ayant reçu ses deux doses, le nombre des cas explosent. Tant est si bien que les autorités ont décidé de reconfiner tout le pays. Trente-cinq pourcents des malades étant des personnes doubles-vaccinés. En France, le personnel soignant, qui était prioritaire pour la vaccination s’est vu touché par des effets secondaires massifs, certes souvent assez bénins, mais avec jusqu’à 25 pourcents du personnel affecté se trouvant dans l’incapacité momentanée de travailler. À tel point que le service hospitalier a été contraint de stopper en toute urgence la vaccination pour l’échelonner par service afin de limiter la casse et les arrêts de travail intempestifs !
Par ailleurs, des médecins ont effectué des analyses de sang très préoccupantes sur les personnes vaccinées en relevant des taux de D-dimères très élevées. Il s’agit d’une molécule qui marque une dégradation des plaquettes. Les D-dimères sont facteurs de thromboses, à savoir des artères bouchées par un sang trop visqueux, ce qui peut entraîner la nécrose de certains organes, ou un risque d’embolie pulmonaire.
Et que penser du fiasco intégral du vaccin “AstraZeneca”, qui après plusieurs morts et des centaines d’effets secondaires très graves relevés à travers le monde, avec notamment des risques de thromboses, de formation de caillots sanguins et la disparition massive de plaquettes, a été massivement suspendu dans une vingtaine de pays. Ainsi, le 15 mars 2020, Emmanuel Macron a annoncé l’arrêt de ce vaccin, alors même que tout juste quatre jours avant, le ministre de la Santé Olivier Véran se voulait des plus rassurants, en affirmant péremptoirement que d’après l’Agence Nationale de la Santé, il fallait avoir une parfaite confiance dans ce vaccin. Pire que cela, la veille de l’annonce du retrait par Macron, Jean Castex avait lui aussi maintenu mordicus qu’il n’y avait aucun problème avec ce vaccin, alors même qu’il était déjà retiré dans huit pays à ce moment-là. Comment placer sa confiance en de tels affabulateurs pathologiques ? Peut-être, faut-il voir dans ce retrait une énième manœuvre, une stratégie visant à imposer les deux autres vaccins à base de thérapie génique et d’“ARN Messager”…
L’expert, le Dr. Sucharit Bhakdi, professeur émérite de microbiologie médicale et d’immunologie et ancien président de “l’Institut de microbiologie médicale et d’hygiène de l’Université Johannes Gutenberg de Mayence”, en Allemagne a fortement mis en garde contre le risque avec ces vaccins de formation de caillots sanguins. «Nous craignons donc deux choses : d’abord, que les personnes souffrant de pathologies préexistantes soient vaccinées et ne puissent pas tolérer ces effets secondaires, puis qu’elles meurent. Et notre deuxième grande inquiétude est que les plus jeunes tombent également malades, gravement malades, car vous n’avez pas exclu la possibilité que ces nouveaux vaccins à base de gènes puissent produire des effets secondaires très différents. Maintenant, il y a des choses qui arrivent dont vous n’êtes pas au courant parce qu’elles n’apparaissent pas dans les journaux et je pense que c’est très dangereux. Il y a des femmes qui ont perdu leurs enfants, il y a des personnes qui sont devenues aveugles, il y a des personnes qui n’avaient soudainement plus de plaquettes et qui se sont vidées de leur sang. Donc ils ont eu des attaques, ils ont eu des ecchymoses. Et le tout n’est pas cohérent parce qu’on ne peut pas l’expliquer. – Et puis, excusez-moi de le dire – les autorités disent qu’il ne peut pas y avoir de lien, et ça, je ne trouve pas que ce soit correct. Il peut très bien y avoir un lien et je me permets maintenant de vous donner notre avis à ce sujet, car il est important que tout le monde y réfléchisse. Eh bien, regardez, ces nouveaux vaccins à base de gènes, justement ceux de “Biontech” et “Moderna”, qui sont utilisés en Allemagne – le gène de ce virus est emprisonné, donc le virus piège la porte d’accès et nous voulons fabriquer des anticorps contre lui et c’est pourquoi le gène de cette protéine est emballé ici et ce gène est injecté dans les muscles. Où va le gène quand il est injecté ? Ce n’est pas un exemplaire, c’est environ un milliard d’exemplaires. Si vous pensez que les gènes, les dix milliards de “colis”, vont rester dans les muscles, vous vous trompez. Une grande partie passe dans les ganglions lymphatiques, une partie encore plus grande passe dans le sang. Et une fois que ces “colis” sont dans la circulation sanguine, ils n’en sortiront jamais, car la paroi des vaisseaux sanguins est comme le papier peint de vos chambres, étanche, ces “colis” ne peuvent plus en sortir. Et cela se répand dans tout le corps, dans tout votre corps, dans tous les organes, de haut en bas, dans les plus petits vaisseaux. Les cellules qui vont prendre ces “colis” sont d’abord les cellules musculaires elles-mêmes tout autour du point d’injection, ensuite les cellules des ganglions lymphatiques, enfin les cellules sanguines qui entourent les virus. Mais quatrièmement, et c’est probablement le plus important de tout, ce sont les cellules qui tapissent les vaisseaux, car il est bien connu que ces petits paquets sont très facilement absorbés par la paroi du vaisseau. Où cela va-t-il se passer ? Personne ne le sait, car les producteurs de ce vaccin n’ont jamais cherché. C’est ce dont nous nous plaignons : il n’y a pas eu assez d’études précliniques. On ne sait même pas où ça va nous mener. Mais nous prédisons que « celui qui cherche trouve », et vous verrez qu’une bonne partie de ces gènes se retrouvent dans les cellules des parois des vaisseaux. Où ? Là où le sang circule le plus lentement, car c’est là que les cellules ont le temps de les absorber. OK ? Et ça, c’est dans les plus petits vaisseaux. Vous ne les voyez pas, ce sont des capillaires dans vos organes, ils sont dans votre cerveau, votre moelle épinière, finalement partout.» Catastrophé, il conclut son avertissement ainsi : «Qu’est-ce qui va se passer ? Personne ne le sait, car Mesdames et Messieurs, chers auditeurs, chers collègues et confrères scientifiques : ce type d’expérience n’a jamais été réalisé dans l’histoire de la recherche moderne. Il n’y a pas de modèle. Vous, qui vous faites inoculer, vous êtes le modèle, et c’est un modèle fascinant. Si c’est vrai, cela signifierait qu’en fait les parois vasculaires sont rompues à de nombreux endroits du corps, dans de nombreux organes. Que se passe-t-il alors ? Normalement, lorsque les parois vasculaires sont rompues, la coagulation du sang est déclenchée, la coagulation du sang. Le sang devrait en fait devenir solide dans les petits capillaires. Une pensée incroyablement effrayante. Une pensée qui me dit : « Je ne me ferai jamais vacciner tant que nous n’aurons pas déterminé si cela peut arriver. Je ne veux pas que le sang se coagule dans mes veines et dans tous mes organes. Vous ne savez pas où. Maintenant, que se passe-t-il quand un caillot se forme ? Votre organe ne reçoit pas assez d’oxygène. Bien sûr, il ne faut pas plus que ça. Vous pouvez tomber malade, très malade, au point d’être paralysé, au point de devenir aveugle. Vous pouvez avoir une crise cardiaque. Tout peut arriver.»
Mais ce n’est pas tout, le 01 juin 2021, le Dr. Byram Bridle, professeur-associé d’immunologie virale à “l’Université de Guelph” d’Ontario au Canada, a publié une étude scientifique sur les risques très alarmants de la protéine de pointe, “Spike” qui est produite par le corps après les injections de vaccins à ARN Messager. Ce docteur est loin d’être un charlatan, au regard de ses brillants états de service et de son CV. D’après ses recherches, cette protéine “Spike” serait toxique pour le corps humain et donc dangereuse pour l’homme. La protéine Spike du virus est responsable des formes graves dans la COVID, des orages de cytokines, de la coagulation et de la mort ! Elle endommage les cellules et il s’avère que cette protéine ne reste pas au point d’injection, mais a tendance à se diffuser via le système sanguin aux principaux organes, elle s’accumule par exemple dans le foie, les ovaires. Elle peut alors se lier aux récepteurs de nos plaquettes pouvant provoquer coagulation, caillots et problèmes neurologiques ! Ce qui explique tous les effets secondaires graves que l’on a déjà pu observer jusqu’à présent. Il déclare que «Jusqu’à récemment, nous n’avions jamais pensé que les protéines Spike pouvaient être toxiques ! Les vaccins ARNm qui ont été testés pour la première fois sur des animaux et dont les études n’ont jamais été rendues publiques, montrent que les nanoparticules d’ARNm ne restent pas localement au site de ponction dans le tissu musculaire, comme supposé et revendiqué par les fabricants, mais vont dans les organes à des concentrations parfois dramatiques, où ils sont transférés de cellules en cellules et absorbés en continu.» Son verdict, au nom du principe de précaution est sans appel : «Il faut arrêter immédiatement toutes vaccinations Covid-19 utilisant la protéine Spike»
Cette alerte est confirmée par une autre étude majeure publiée le 30 avril 2021 par le prestigieux et important “Institut Salk” de Californie sur le rôle clé de la protéine “Spike” dans la maladie du Covid-19. Johnatan Salk était le créateur du premier vaccin efficace contre la Polio. Cette autre équipe de chercheurs prévient des risques conséquents de développer des maladies cardio-vasculaires suite à l’injection comme des thromboses de la veine sinusale, des caillots sanguins, des hématomes, des coagulations et des circonstances à long terme. Les protéines “Spike” aident le virus à infecter son hôte en se fixant sur les cellules saines. Cette inoculation de matériel génétique contourne les formes naturelles de notre système immunitaire pour implémenter des instructions dans nos organismes, afin de produire des trillions de protéines toxiques dans nos cellules. La base technologique des vaccins à “ARN Messager” est donc défectueuse. Il n’y a aucun bouton arrêt pour la production de cette protéine, c’est comme si nous devenions des incubateurs de cette toxine ! Le corps devient le producteur de son propre ennemi. Cela revient en quelque sorte à nourrir un ennemi, avant de le tuer. L’organisme ainsi augmenté et détourné de ses fonctions naturelles devient ainsi le producteur d’une protéine de virus qui n’était pas de son espèce. Assurément, il y aura des maladies auto-immunes qui vont progressivement se développer et aussi baisser le système immunitaire qui sera quasiment, au fil du temps, uniquement dirigé contre la protéine Spike. La réponse non spécifique du système immunitaire, visant à lutter contre toutes sortes de virus et bactéries, sera affaiblie parce que notre corps devra lutter à chaque fois contre l’invasion permanente de la protéine Spike.
Visiblement, en ce qui concerne le vaccin de “Pfizer”, certains des vaccinés déclencheraient des paralysies faciales de Bell, avec un côté du visage totalement raide et ne répondant plus du tout musculairement. On peut ainsi par exemple, retrouver sur la toile, le bouleversant témoignage de Khaliah Mitchell, une infirmière américaine certifiée de Nashville, victime de cette pathologie tout juste trois jours après sa vaccination et qui met en garde contre ce vaccin en disant qu’elle ne souhaiterait pas d’un tel calvaire à son pire ennemi… À noter que lors des essais cliniques menés par “Pfizer”, quatre volontaires avaient déjà développé cette même forme de paralysie.
Bien-entendu, comme on pouvait s’y attendre, la relation entre la mort et la vaccination est presque systématiquement rejetée, attribuée le plus souvent à de la comorbidité, alors même que pour les morts liés au virus, on a fait l’exact contraire ! Un deux poids, deux mesures insupportable… Comme le rapporte avec une glaçante ironie Ilana Rachel Daniel, conseillère santé et politicienne Israélienne : «Si vous prenez une balle dans la tête, mais que vous avez un test positif du Covid, alors vous êtes mort du Covid ! Mais, si vous décédez d’une insuffisance cardiaque dans les deux semaines juste après avoir reçu l’injection du vaccin, il n’y a aucune corrélation !»
D’après la FDA, “Food and Drug Administration”, qui est le service de la santé publique aux États-Unis, seuls 1 pourcent des effets secondaires légers, graves ou mortels sont remontés et comptabilisés dans les statistiques officielles du centre de pharmaco vigilance américain, le VAERS. Pour avoir une idée plus précise des effets réels, il faudrait donc multiplier par presque huit les chiffres rapportés !
En outre, les effets secondaires de cette soupe génétique sont habilement dissimulés ou bien souvent délibérément non enregistrés par les autorités sanitaires nationales. En France, les centres de pharmacovigilance, de Tours, de Limoges ou de Toulouse sont littéralement saturés et débordés par l’ampleur des déclarations des effets secondaires rapportés, si bien qu’ils ne sont même plus en mesure de les signaler. En quelques semaines, ils ont eu plus de déclarations que sur toute l’année dernière sur tous les médicaments ! D’autre part, chose incroyable, il a été relevé que les retours de pharmacovigilance pour l’Europe varient entre les différents pays d’un facteur de un à quarante-sept, ce qui est impossible, puisque ce sont exactement les mêmes types de produits inoculés et les mêmes types de groupes ethniques d’êtres humains concernés. Il y a donc une sous-évaluation à minima de 47 pourcents dans les données remontées par certains pays. De même, les cas très suspects de morts de jeunes personnes, dans la force de l’âge et intervenants après un laps de temps très court après inoculation ne donnent lieu à aucune autopsie, comme pour dissimuler les traces et les preuves de l’arme du crime. Est-ce là encore une stratégie bien malsaine pour minimiser l’ampleur réelle des effets secondaires de ces inoculations expérimentales, alors qu’il faudrait être d’autant plus vigilant dans le cadre d’un essai clinique ?
Sur “Facebook” des groupes de victimes tentent avec toutes les peines du monde de communiquer sur leurs effets secondaires, ou témoignent de décès survenus parmi leurs proches juste après l’inoculation. Mais, ils se font régulièrement censurer par le réseau social de Mark Zuckerberg, comme le groupe “Recensement effets indésirables vaccin COVID”, avec ses 194 983 membres et ses milliers de témoignages fermé de la plus arbitraire manière. Cette censure est inadmissible et purement criminelle. On nous serine que les effets secondaires, s’ils existent bien, sont extrêmement rares. Pourtant, il suffit de suivre quelques lives Internet, où les gens témoignent directement pour se rendre compte que les effets sont innombrables et souvent gravissimes. Le fossé entre le discours officiel et la réalité observable est béant.
Cette sous-évaluation n’est pas étonnante puisque l’on découvre horrifié que les médecins reçoivent même des intimidations pour ne pas remonter les très inquiétants effets secondaires des vaccins. C’est par exemple le cas du courageux médecin de village canadien, le Dr. Charles Hoffe, qui très alarmé par les ravages du vaccin “Moderna”, a écrit une lettre ouverte à l’officier provincial de santé en s’indignant que cette expérience de thérapie immune se poursuive, sans plus aucune considération éthique, malgré les nombreux cas très graves signalés. «Vous ne pouvez pas continuer à faire mal aux gens pour voir à quel point c’est mauvais. Vous devez interrompre le processus clinique s’il s’avère que c’est nocif.» Après avoir publié cette lettre en toute urgence, il a finalement reçu une réponse des régulateurs lui disant qu’il poussait trop à la défiance vis-à-vis de la vaccination et qu’il était sommé de se taire. Si les médecins ne sont même plus habilités à remonter leurs mauvaises expériences du terrain, qui peut le faire ? N’est-ce pas là de la part des autorités une cécité volontaire purement criminelle ? Peut-on encore parler de santé et de recherche du bien du peuple avec un tel niveau de dissimulation et de mensonges ?
Mais ce n’est pas tout, comble de l’aberration, les laboratoires ne garantissent même pas que ces vaccins immunisent totalement de la maladie, ni même que le vacciné ne soit plus contagieux, qu’il n’en soit plus ni le porteur, ni le transmetteur ! En outre, dans leur communication nébuleuse, ils ne se prononcent pas non plus sur l’efficacité durable de cette hypothétique protection… Les fabricants ne s’engagent ni sur l’efficacité, ni sur la sécurité de leurs vaccins de manière contractuelle et pourtant les gouvernements nous assurent de l’exact contraire. Dans un courrier adressé en février 2021 aux praticiens et professionnels de santé libéraux par l’organisme “Santé Publique France” portant sur les conseils relatifs à la vaccination, il est bien stipulé noir sur blanc que je cite : «Nous ne savons pas si les vaccins contre la Covid-19 sont efficaces contre les formes symptomatiques de la maladie et s’ils réduisent la transmission du virus ; si une immunité de groupe peut être atteinte ; si des mutations pourraient réduire leur efficacité. » Dans un autre paragraphe, il est aussi avoué que « Nous ne connaissons pas : la durée de protection des vaccins ; l’efficacité et la tolérance du vaccin chez les enfants ; l’efficacité et la tolérance du vaccin chez les femmes enceintes ou allaitantes.» Dès lors quel réel bénéfice peut-on escompter de ces traitements ? Comment peut-on proposer, voire imposer ces derniers à l’ensemble de la population, même celle qui n’est pas à risques, sans en connaître la tolérance ? On peut donc dire que pour le moment, la balance bénéfice/risque n’est donc clairement pas en faveur de ces nouveaux vaccins expérimentaux. Le remède ne serait-il pas ici bien pire que le mal ? Et pourtant, contre toute logique la campagne de vaccination continue de plus belle, comme si de rien était.
Une logique sacrificielle
Mais cette frénésie vaccinale ne s’arrête pas là, puisqu’en dépit du bon sens, abjection et suprême hérésie, ils comptent bien aussi vacciner les enfants et les bébés, avec ces produits expérimentaux, alors même qu’ils ne sont pas concernés par ce virus. En effet, le nombre d’enfants touchés est infinitésimal avec un taux de survie à la COVID-19 de 99,997 pourcents. Pour les enfants de 0 à 9 ans, on parle d’un taux de mortalité de 0,00032%, pour les 10 à 19 ans, un taux de 0,00035% et pour les 20 à 29 ans, un taux de 0,00125% ! De plus, ils ne sont pas sujets aux formes de COVID grave, ils ne sont pas vecteurs de transmission de ce virus et ils ne contaminent ni les autres enfants, ni les adultes, comme les études cliniques le démontrent. Dès lors, pourquoi diable un jeune dans la fleur de l’âge, en parfaite santé et ne risquant rien de cette maladie devrait faire preuve de “solidarité”, risquer de ruiner son avenir, voire sa vie pour préserver celle d’un vieillard en bout de course, avec une espérance de vie résiduelle de quelques mois, l’âge moyen des décès COVID étant de 84 ans ? Dans une société normale, les adultes prennent tous les risques et se sacrifient pour sauver les enfants, car ils représentent l’avenir de la communauté. Mais ici, dans une inversion qui défie la raison et l’ordre naturel des choses, on exige que les enfants se sacrifient pour préserver les anciens. Qui peut accepter une telle équation ? Leur faire porter sur les épaules le risque d’exposer leurs grands-parents est ignoble, profondément malhonnête et relève de la manipulation mentale.
D’après le Dr. Mickael Yeadon, les enfants auraient cinquante fois plus de chance de mourir du vaccin que de la COVID-19. Le bénéfice-risque pour les enfants est donc totalement défavorable. Ces inoculations compromettent donc gravement tout leur avenir, ils sont sacrifiés sur l’autel d’une pseudo et hypothétique immunité collective. Cette dernière est un leurre totalement illusoire puisqu’aujourd’hui, nous savons qu’elle ne sera jamais atteinte par le biais de ces injections, qui ne protègent ni des réinfections, ni de la contagiosité et pas plus que des variants. Exposer ainsi les enfants est donc purement et tout simplement criminel !
Il en va de même pour les femmes enceintes, qui ne faisaient pas du tout partie des groupes testés. Ils procèdent donc à l’aveugle, sans recul, sans la moindre donnée ou expérience. Pourtant, une femme enceinte est habituellement traitée avec les plus grands égards, avec les plus grandes précautions, afin de ne surtout pas porter préjudice au développement si fragile de son bébé. Elle ne peut quasiment rien prendre comme traitement, même pas du paracétamol. Ne risque-t-on pas de voir apparaître une nouvelle génération de bébés au développement altéré, voire mutants ? D’après certaines études, il y aurait jusqu’à 27 pourcents de risques de fausses couches, 10 pourcents de prématurés très graves, 4 pourcents de malformations chez les enfants. Et on a observé des micros-thromboses au niveau des placentas des bébés qui naissent.
Pour noyer le poisson (ou poison), on a maintenant le droit à des campagnes de sensibilisation et de prévention pour les AVC qui toucheraient aussi les enfants, comme si cela relevait d’un phénomène naturel et fréquent, alors que c’est du jamais vu ! Il faut bien trouver des explications «naturelles» pour anticiper et couvrir dans l’opinion les désastreux effets du vaccin.
Dans cette campagne d’inoculation, pourquoi cibler des populations qui ne sont pas du tout impactées par ce virus, comme les enfants et les femmes enceintes ? Pourquoi faire courir de tels risques à l’humanité ? Que cache un tel forcing parfaitement déraisonnable ? On dirait bien que ce qui compte avant tout est d’injecter ces produits aux personnes, quoi qu’il en coûte !
D’ailleurs maintenant qu’une bonne partie de la population est déjà inoculée, certains crachent le morceau, comme Stefan Oelrich, membre du conseil d’administration de “Bayer AG” et responsable de la division “Pharmaceuticals”. Lors du Sommet mondial de la santé le 24 octobre 2021, il a officiellement admis, avec le plus grand cynisme et un culot monstre, que la pandémie a été utilisée pour vacciner tout le monde avec ces “thérapies géniques cellulaires” et que dans d’autres circonstances, 95% de la population aurait probablement refusé ces injections. Au passage, petite piqûre de rappel sur le groupe “Bayer”, qui il faut le savoir est issu de “IG Farben” de sinistre mémoire, la boucle est bouclée…
Autre extravagance proprement hallucinante, dans certains centres de vaccination, on se permet même parfois, pour assurer les deux injections, de mélanger les doses de différents vaccins, alors qu’ils sont basés sur des technologies et des modes d’action différentes, tout en diluant ainsi au passage la responsabilité juridique en cas de complication… De même, pour pallier à l’échec cuisant de “l’AstraZeneca” et compléter la seconde dose de ce vaccin retiré du marché ayant déjà été injecté une première fois chez 55 000 Français, ils n’hésitent pas à mélanger des injections à ADN et d’autres à ARN Messager, pour obtenir une improbable tambouille, des cocktails hautement hasardeux. Peut-on encore parler de médecine à ce niveau-là ? Pourtant “Le Vidal” déconseille catégoriquement le “panachage” des vaccins “Pfizer” et “Moderna” qui eux sont basés sur la même technologie ! Mais pour le sinistre de la santé, Olivier dit le véreux, ça devrait passer, ça se laisse tenter. Comment, peut-on mépriser et insulter à un tel degré l’intelligence des gens et mettre à ce point en péril leur santé ?
À propos de ces doses, il est aussi particulièrement douteux qu’il faille les renouveler aussi fréquemment, tous les cinq à six mois, alors qu’avant l’épisode COVID, c’était par exemple une piqûre de rappel tous les 20 ans pour la vaccination contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite. Et pourtant dans les médias, on nous a présenté ces nouveaux “vaccins” comme une véritable révolution, comme le summum de la technologie et la panacée ultime, avec un taux d’efficacité redoutable au-delà de 95%. Autant dire que multiplier ces doses ad vitam æternam revient à multiplier les risques d’effets secondaires désastreux.
Aussi, pourquoi chercher à vacciner à tout prix tout le monde, sans la moindre exception et sans avoir le moindre recul sur les effets secondaires au niveau de la santé pour les mois et années à venir, le tout au mépris du plus élémentaire principe de précaution ? C’est on ne peut plus louche… Pourquoi par exemple, vacciner sans la moindre distinction, ceux qui ont déjà développé une forme d’immunité naturelle, en ayant déjà rencontré le virus et qui ont développé une protection qui est très durable, valable pour des années, contrairement à celle de ces pseudos-vaccins, qui n’offrent aucune garantie réelle dans ce domaine. Pourquoi au préalable, ne pas leur faire faire un test sérologique, afin de leur éviter de prendre des risques inconsidérés et inutiles, avec de potentiels et gravissimes effets secondaires ultérieurs ? Ça n’a absolument aucun sens, sauf si l’objectif visé est tout autre que celui avancé par cette vaccination…
Nous sommes manifestement face à un pouvoir assassin, qui malgré des remontées de chiffres catastrophiques et largement sous-estimés des effets secondaires et des morts post-vaccinaux, s’acharne à pousser plus avant toute cette politique. C’est donc bien qu’il y a une volonté de tuer et une logique génocidaire à l’œuvre. On passe donc du mensonge d’État, au crime d’État.
Des vaccins, ou des thérapies géniques expérimentales ?
L’arme du crime parfait ?
«Il faut prévenir les hommes qu’ils sont en danger de mort, la science devient criminelle.» – Albert Einstein en 1946
«Parce que je connais tout le potentiel de l’ARN, l’administrer à des individus sains me paraît de l’ordre de la folie.» – Alexandra Henrion Caude, généticienne et spécialiste de l’ARN.
«Il n’y a aucune raison de mettre des gens en danger dans une étude pour un vaccin sans efficacité» – Karen Maschke, chercheuse au Centre Hastings.
«[…] c’est une activité criminelle pratiquée par des médecins qui ont oublié le serment d’Hippocrate… Tout ceci doit être considéré comme des crimes qui seront payés un jour…» – Pr. Luc Montagnier, le 08/2021
«La limite pour arrêter un programme de vaccination, c’est 20 à 25 décès et aujourd’hui, en mai, nous avons plus de 4 000 décès» – Pr. Mc Cullough
Précisons au passage que, dans le cas le plus extrême où ces vaccins contre la COVID-19 seraient utilisés comme une arme biologique, ou un outil d’épuration de la population, le crime serait parfait, car les morts pourraient alors être facilement imputés à l’arrivée de nouveaux variants beaucoup plus virulents, voire mortels, en détournant ainsi fort opportunément la responsabilité des véritables instigateurs de ces crimes sur une cause d’origine “naturelle”. De plus, avec la multiplication du nombre de doses, on pourrait moduler, lisser et diluer dans le temps un potentiel meurtre programmé de masse, afin de le rendre beaucoup plus indolore, d’agir en dégradé et en toute discrétion. Et une stérilisation progressive éveillerait encore moins de soupçons.
À ce sujet, l’ancien vice-président et directeur scientifique de “Pfizer”, le Dr Michael Yeadon a fait publiquement part de ses plus grandes craintes. Précisons d’emblée qu’il ne s’agit pas d’un hurluberlu, puisqu’il a travaillé des années pour de très grandes compagnies pharmaceutiques et qu’il est un expert de tout premier plan en matière d’infections respiratoires virales. Il avance ainsi l’hypothèse que : «Il est tout à fait possible que ce vaccin soit utilisé pour une dépopulation à grande échelle». Il ajoute que : «Si vous vouliez dépeupler une partie significative du monde, et le faire d’une manière qui ne nécessiterait pas la destruction de l’environnement avec des armes nucléaires, ou l’empoisonnement de tout le monde avec de l’anthrax ou quelque chose du genre, et que pouvoir le nier de façon plausible vous soit nécessaire, tout en ayant à faire face depuis plusieurs années à une crise sanitaire infectieuse, je ne pense pas que vous pourriez trouver un meilleur plan que celui qui semble exister pour ce que je peux en voir. Je ne peux pas affirmer que c’est ce qu’ils vont faire, mais imaginer une raison anodine de la raison pour laquelle ils le font ne m’est pas possible.» Les innombrables mensonges éhontés proférés par les différents gouvernements dans cette crise sanitaire l’ont amené à la conclusion suivante : «Je pense que l’objectif de la pandémie, les mensonges étaient de nous conduire vers une identification numérique électronique. Que se passerait-il si le contenu du 3ᵉ, 4ᵉ ou 5ᵉ vaccin était une séquence génétique conçue pour nous assassiner ? Je ne sais pas, je n’ai pas commis ce crime. Mais si je voulais créer un système pour obtenir un contrôle total et avoir un alibi plausible, on ne peut pas rêver un meilleur plan pour gérer des milliards de personnes pendant des mois ou des années, quelque chose qui les affecte et les tue. Je vais vous dire que si vous pensez que je suis devenu complètement fou, montrez-moi en quoi ma logique est fausse et où je me suis trompé, parce que sinon vous vous basez sur le fait que les gens ne sont pas si mauvais, et je crains qu’il y ait des gens mauvais et qu’il y en ait toujours eu… Regardez Pol Pot, les nazis, Staline, ce qui c’est passé en Argentine dans les années 70… Il y a eu partout des gens dans l’histoire qui ont voulu tuer les autres pour arriver à leurs fins… Tout ce que je dis c’est que ça se passe maintenant et la seule différence c’est qu’ils emploient la technologie au lieu d’employer les armes et que l’internet a permis d’impliquer toutes les personnes de la planète. À part cela, ce sont les mêmes personnes misérables, répugnantes ayant une mentalité criminelle.»
En tous les cas, la sincérité et la probité de cet expert ne fait pas le moindre doute car, pourquoi ce modeste et discret microbiologiste, ayant travaillé toute sa carrière dans l’ombre se compromettrait en s’exprimant de la sorte, au risque de se voir moqué, calomnié, dénigré voir même éliminé physiquement. La seule explication plausible est que pour ce faire, il soit animé par une conviction profonde et poussé par un impérieux devoir moral auquel il ne puisse se soustraire. Il affirme sa volonté de témoigner, malgré les risques encourus: «Je suis bien conscient des crimes contre l’humanité perpétrés contre une grande partie de la population mondiale… Je ressens une grande peur, mais je ne suis pas dissuadé de donner un témoignage d’expert à de multiples groupes d’avocats compétents comme Rocco Galati au Canada et Reiner Fuellmich en Allemagne.» De plus, il est fermement opposé à une vaccination étendue à l’ensemble de la population, des jeunes et des personnes en bonne santé qui ne meurent pas du virus «Dans ce grand groupe, il est tout à fait contraire à l’éthique d’administrer quelque chose de nouveau et dont le potentiel d’effets indésirables après quelques mois n’est absolument pas caractérisé». Yeadon adresse une mise en garde sans appel contre les multiples mensonges des gouvernements pendant toute cette crise : «Je vous préviens que les gouvernements du monde entier et certainement le vôtre localement vous mentent de diverses manières qui sont faciles à établir pour vous. Si vous choisissez de ne pas le faire, il n’y a rien que quelqu’un comme moi puisse y faire. OK, vous avez été soumis à la propagande et aux mensonges de personnes qui sont très bien entraînées pour ça. Et je suis un parfait inconnu… Donc je vous dis simplement que si vous voulez vérifier n’importe laquelle des choses que j’ai dites, vous verrez que c’est vrai. Et je voudrais vous faire remarquer que si vous trouvez une chose que votre gouvernement a dite qui est clairement fausse, je vous demande alors ceci : Pourquoi croiriez-vous tout ce qu’ils vous ont dit ? […] Quand votre gouvernement vous ment une ou deux fois, nous sommes probablement habitués que les politiciens prononcent occasionnellement des mensonges sans conséquence et nous les laissons faire… Mais quand ils vous mentent sur quelque chose de technique, quelque chose que vous pouvez vérifier, qu’ils le font de manière répétée pendant des mois, et qu’ils le font sur d’innombrables éléments à propos du même événement… De grâce vous devez me croire, ils ne disent pas la vérité ! Et s’ils ne disent pas la vérité, cela signifie qu’il y a quelque chose d’autre qui se prépare… Et je suis aujourd’hui là pour vous dire qu’il y a quelque chose de très mauvais qui se passe. Et si vous ne faites pas attention, vous perdrez rapidement toute chance de faire quoi que ce soit à ce sujet. Et ne dites pas que vous n’avez pas été prévenus ! Parce que j’avertis les gens depuis aussi longtemps que j’ai pu et aussi fort que je peux.»
Or, si on passe en revue les mensonges proférés par ces gouvernants depuis le début de cette crise, on ne peut que se rendre à l’évidence qu’ils sont innombrables : mensonge sur la création des lits supplémentaires pour faire face au cas de COVID, mensonge sur l’origine artificielle et chimérique du virus, mensonge sur la létalité du virus, mensonge sur l’urgence sanitaire, mensonge sur l’absence de traitements efficaces pour juguler le virus, mensonges statistiques, mensonges de fausses études, mensonge sur la nature du produit injecté qui n’est en rien un vaccin, mensonge sur le caractère expérimental de l’injection, mensonge du retour à la vie normale après injection, mensonge sur l’utilité et l’efficacité des masques, mensonge sur l’utilité du confinement, mensonge sur l’obligation vaccinale, mensonge sur la mise en place du pass sanitaire et l’étendue de son application, mensonge de l’immunité collective, mensonge de l’efficacité et l’innocuité du vaccin, mensonge et dissimulation sur le contenu des ingrédients des injections, mensonge sur l’efficacité des tests PCR comme outil de diagnostic, mensonge des cas asymptomatiques transmetteurs du virus, mensonge sur l’ampleur des mobilisations contre la politique gouvernementale, mensonge sur le consensus scientifique autour de la vaccination. Le mensonge de ces autorités n’est pas une erreur de parcours, mais une stratégie délibérée de communication pour aveugler et conduire les masses dans une certaine direction.
Un autre lanceur d’alerte face à cette campagne d’injection est le Dr. Vladimir Zelenko. Il a traité avec succès directement plus de 7000 patients contre la COVID-19 avec son célèbre Protocole Zelenko et dénonce lui aussi, au péril de sa vie, un génocide en cours. Précisons d’emblée qu’il ne s’agit pas d’un hurluberlu, puisqu’il a soigné entre autres le président Trump, Rudy Giuliani, le ministre israélien de la santé ou encore le président brésilien Bolsonaro. Pour lui, il y a trois façons d’évaluer un traitement : est-il efficace, est-il sûr et en avez-vous réellement besoin d’un point de vue médical. Or, les injections de thérapies géniques ne répondent à aucun de ces critères… Il pointe l’échec cuisant de la politique vaccinale en Israël (avec pourtant plus de 80% de la population vaccinée) sans pour autant que l’épidémie ne soit enrayée avec les nouveaux variants. Il s’interroge sur le fait de multiplier les doses vaccinales avec un effet cumulatif délétère, alors même que le résultat des premières doses n’est pas du tout à la hauteur des attentes et des espérances. Souvenons-nous du précepte de base de la médecine de Paracelse, «C’est la dose qui fait le poison.» Pour la sécurité, Zelenko parle de trois niveaux de morts, à court, moyen et long terme. Pour les effets à court terme, dans les trois ou quatre premiers jours, il expose les risques inhérents à la production par trillions par l’organisme de protéines de Spikes qui migrent vers l’endothélium, qui est le revêtement intérieur des vaisseaux sanguins, formant de petites épines à l’intérieur de votre vascultature et entraînant des risques de formation de caillots sanguins, de crise cardiaque si cela arrive au niveau du cœur, ou d’AVC au niveau du cerveau. De plus, d’après un article scientifique du New England Journal of Medicine, le taux de fausses couches explose d’un facteur de huit en cas d’injection au cours du premier trimestre de la grossesse passant de 10% à 80%. Dans les effets à moyen terme, il révèle que des études sur les animaux un grand nombre d’entre eux sont morts à cause d’un dysfonctionnement de leur système immunitaire, avec une réaction immunitaire pathologique désastreuse. Sur l’homme, nous n’avons aucun recul… Ces injections sont donc une substance potentiellement destructrice et mortelle. Il s’agit donc pour lui du plus grand risque jamais encouru pour l’humanité et le plus grand risque de génocide de l’histoire de l’humanité. Et pour ce qui est des effets à long terme, il y a des preuves indéniables que cela affecte la fertilité, endommage la fonction ovarienne et réduit le nombre de spermatozoïdes, mais aussi provoque un nombre conséquent de maladies auto-immunes, des cancers avec une réduction de l’espérance de vie à prévoir. D’après ses estimations, si les 7 milliards d’individus de la planète devaient être inoculés, le taux de mortalité induit serait de l’ordre de deux milliards. Il nous supplie de nous réveiller : «C’est la troisième guerre mondiale. C’est un niveau de malfaisance et de malveillance que nous n’avons probablement jamais vu dans toute l’histoire de l’humanité.» Il conclut son exposé ainsi : «Il y a zéro justification, zéro d’utiliser ce poison mortel, à moins de vouloir sacrifier des êtres humains !» En ce qui concerne la vaccination des enfants qui ne risquent rien avec cette maladie avec un taux de rémission de 99,998%, il ne mâche pas ses mots : «La seule raison pour laquelle vous voudriez traiter un enfant est si vous croyez au sacrifice des enfants.»
De son côté, le Dr. Dolores Cahill a lancé l’effroyable avertissement suivant : «Nous savons que les dommages causés par ces vaccins à ARN messager seront encore plus importants dans les années à venir. Ce que je dis depuis le début, c’est que toute personne de plus de 70 ans qui reçoit l’un de ces vaccins mourra probablement dans les deux à trois ans, et toute personne qui reçoit l’injection d’ARN messager, quel que soit son âge, verra son espérance de vie réduite et décéder, si vous êtes dans la trentaine dans les cinq à dix ans en ayant probablement des allergies, des problèmes neurocognitifs, des inflammations et bien sûr l’infertilité, le principal problème.»
De plus, les “ARN messager” vaccinaux sont capables d’atteindre les organes reproducteurs, les testicules et les ovaires, comme cela est précisé dans l’autorisation conditionnelle de mise sur le marché de ces vaccins. À la page 54 de l’AMM du Vaccin “Pfizer/BioNtech”, il existe un paragraphe dédié à l’étude du vaccin où il est ainsi clairement précisé que les “ARN messager” encapsulés dans les nanoparticules lipidiques atteignent de nombreux organes comme la rate, le cœur, les reins, les poumons ou le cerveau. Mais également que des “ARN messager” ont été retrouvés dans les ovaires et les testicules lors des études de biodistribution de ce vaccin. Michael Yeadon, ainsi que le médecin allemand Wolfgang Wodard, ont récemment envoyé une pétition à “l’Agence européenne des médicaments”, demandant à l’EMA d’arrêter les essais cliniques du vaccin COVID-19 de “Pfizer”. Ils ont affirmé que le vaccin pourrait bloquer une protéine qui est cruciale dans la formation d’un placenta et les médecins ont affirmé que cela pourrait «entraîner une infertilité des femmes vaccinées.» Aucune réponse des autorités malgré ces avertissements. À noter aussi que s’il n’y avait aucun risque, pourquoi est-il vivement recommandé de ne pas avoir d’actes sexuels pendant les 28 jours qui suivent la vaccination “Pfizer” ? Dans le protocole des essais cliniques de “Pfizer” il est donc conseillé d’éviter de procréer une fois vacciné, car on ne sait pas quelles anomalies ou déformation l’ARN pourrait provoquer sur le fœtus.
Après les effets secondaires chez l’utérus des femmes, voilà que les organes masculins seraient aussi touchés d’après le témoignage d’un autre docteur, le Dr. Rubinowicz. Cet urologue américain alerte sur les “faux” taux anormalement élevés de PSA, “Antigène Prostatique Spécifique” dans les dosages sanguins servant au dépistage du cancer de la prostate et des risques d’infertilité dans les six semaines suivant la vaccination. Allons-nous nous retrouver plongés dans le scénario du roman de science-fiction dystopique de “La Servante Écarlate” de Margaret Atwood, où l’humanité ne pourra plus enfanter ?
Ne s’agit-il donc pas ici potentiellement d’un crime contre l’humanité qui est sur le point d’être perpétré ? Et comme le gouvernement est parfaitement conscient de cet état de fait et que malgré tout, il cherche à tout prix à nous l’imposer, il y a tout lieu de s’en méfier comme de la peste, car je ne pense pas que l’appât du gain de Big Pharma soit la seule variable à toute cette satanée équation…
Dans le cas des vaccins à ARN, que l’on ne s’y trompe pas : il s’agit ni plus, ni moins que de la plus gigantesque manipulation génétique de tous les temps. Faut-il croire qu’après avoir été les victimes d’une expérience d’ingénierie et de contrôle social à grande échelle, nous serions maintenant en passe de devenir les cobayes d’une expérimentation médicale insensée ? Une telle entreprise, aussi hasardeuse et incontrôlable, ne relève-t-elle pas plus du scientisme que de la véritable science, voir du charlatanisme le plus total ? En fait, nous sommes plongés dans un essai thérapeutique grandeur nature qui va durer jusqu’en 2023, voire 2024 pour certaines de ces inoculations. Car, il faut bien savoir que pour ces vaccins, il n’y a même pas eu d’essais cliniques en phase 3 ! C’est bien pourtant l’étape la plus incontournable et cruciale pour l’approbation d’un vaccin sur le marché. Mais cette fois-ci, sous le fallacieux prétexte de l’urgence sanitaire absolue, elle a tout simplement été sautée, alors même que pour l’immense majorité de la population ce virus ne s’est finalement pas révélé si létal. Les étapes classiques de la sécurité sanitaire n’ont donc pas été respectées, ce qui explique la prodigieuse vitesse à laquelle ils ont été déployés sur le marché. Dans une réunion à huis clos, les responsables de l’OMS se sont mis d’accord pour autoriser les tests sur les humains alors même qu’il n’y a pas eu d’essais précliniques sur des animaux. Le Sénateur Bob Hall, au comité sénatorial des affaires d’État du Texas précise à ce sujet, ce qui n’est pas fait pour nous rassurer, que : «Ils ont arrêté les tests sur les animaux, car les animaux étaient en train de mourir.» D’ailleurs, la brochure officielle de la FDA, “la Food and Drug Administration” relative au vaccin précise bien qu’il est encore en phase 3 de test… De même, le registre officiel d’essais cliniques, le “ClinicalTrials.gov”, émanant des Instituts de recherches médicales aux États-Unis (National Institutes of Health, NIH) rappelle aussi que la phase 3 de ces vaccins permettant de valider leur innocuité ne se termine qu’entre décembre 2021 et 2023. De plus, on nage en plein flou artistique au niveau de “l’Autorisation de Mise sur le Marché” AMM de ces vaccins, qui d’après les documents officiels qui émanent de “l’Agence européenne du médicament”, est qualifiée de “conditionnelle”. Il y aurait aussi des incertitudes relatives à la qualité intrinsèque de ces produits et de leurs procédés de fabrication, dont la conformité et la permanence ne pourrait être assurée dans le temps au niveau des lots délivrés. Nous avons donc ici quitté la science dont l’un des fondements est d’assurer la reproductibilité. On croit rêver ! En outre, comment peut-on encore parler de science, lorsque qu’avec ces injections, tout est aussi fluctuant et aléatoire. Ainsi, on est passé d’une technique de conservation des fioles dans des super congélateurs à −70°, puis dans de simples frigos, de même on ne devait pas mélanger les doses, puis on les a allègrement mélangé, on est passé d’une seule dose initiale en promesse d’un retour à la normale à quatre et par la suite, d’un rappel tous les 6 mois, à tous les 5 mois. C’est bien l’un des seuls domaines où l’on peut se permettre un tel degré d’amateurisme et d’approximation, sans en subir la moindre conséquence. Les lacunes d’évaluation sont donc béantes : aucune étude n’a été faite pour étudier les potentielles réactions croisées avec d’autres médicaments que nous pourrions prendre, aucune réelle étude de toxicité n’a été faite, aucune étude toxico-cinétique pour savoir comment ces produits évoluent dans l’organisme, aucune étude de toxicité génique pour savoir s’ils sont susceptibles d’endommager l’ADN, aucune étude sur la potentielle cancérogénicité, aucune étude sur les femmes enceintes ou allaitantes, aucune étude sur les personnes âgées de moins de 18 ans ou celles de plus de 55 ans, aucune étude d’impact sur le développement pré et post natal ou sur le développement des nouveaux-nés, aucune étude sur ce qu’il se passe lorsque deux vaccinés font un enfant, aucune étude sur les maladies auto-immunes et sur les personnes immunodépressives. Pourtant, cela n’a pas empêché ce menteur patenté d’Olivier Véran d’affirmer sans la moindre vergogne, toute honte bue devant les caméras de télévision que ces injections ne sont pas du tout en phase expérimentale 3. Cela en dit très long sur son degré de probité du bonhomme, de sa profonde duplicité et l’absence totale de considération qu’il porte véritablement à la santé de ses concitoyens.
Même le Dr Robert Malone, l’inventeur du vaccin à ARN Messager reconnaît l’existence d’un risque lié au vaccin avec cette technologie. Il affirme qu’il y a un danger à ne pas négliger et qu’il ne faudrait surtout pas vacciner les enfants et les adolescents. Victime de censure suite à ses alertes, il se dit aussi très inquiet de la dérive totalitaire actuelle : «J’ai traversé épidémies après épidémies et je n’ai jamais rien vu de tel : l’intégration, l’harmonisation et l’application… je veux dire, c’est ouvertement autoritaire et cela vient d’en haut, et c’est coordonné. Ils ont développé un tas de véhicules différents pour renforcer le récit dominant et faire en sorte qu’aucune autre information ne soit disponible au public, afin que les gens se comportent comme les services de santé et l’OMS veulent qu’ils se comportent. C’est le contrôle du comportement. Ce sont vraiment des opérations psychologiques, voilà ce qu’il se passe. Il s’agit d’opérations psychologiques appliquées pour contrôler les gens et leur comportement, afin qu’ils acceptent ces produits qui sont encore expérimentaux et basés sur une technologie qui n’a jamais été déployée à ce niveau. Et au fur à mesure que les données sortent, il apparaît de plus en plus évident que ces produits ne sont pas totalement sûrs.»
Pourtant, les médias ont tous affirmé la main sur le cœur que ces vaccins étaient sans risques, comme s’il s’agissait de la distribution de bonbons ou d’une simple prise de médicament, alors qu’il s’agit bien d’un acte médical irréversible et tout sauf anodin, d’autant plus que cette fois-ci il serait même susceptible d’altérer l’espèce humaine, rien que cela ! Ils ont donc menti sur toute la ligne et sans la moindre vergogne. Mais, dans un monde qui voue un culte sans bornes à Mammon, la vérité sort assurément de la bouche des assureurs. Et pour ces derniers, tant pour les assurances-vie que pour les assurances-santés, ces vaccins constituent bel et bien des expériences biomédicales, tant et si bien qu’en cas de préjudice, ils ne seront donc pas couverts étant entendu que le vacciné serait considéré comme ayant donné son consentement dit éclairé, alors même qu’il n’aura pourtant pas disposé de la moindre information claire, libre, loyale, appropriée et indépendante…
Force est de constater qu’on a remplacé dans toute cette affaire le consentement éclairé par un nouveau concept qui relève de l’oxymore : “le consentement imposé”. Les pressions exercées pour contraindre les non-vaccinés à l’injection sont telles qu’elles entendent annihiler tout libre arbitre en forçant les consciences. Comment osent-ils encore parler de consentement “libre et éclairé”, tout en pointant un pistolet sur la tempe de tous ceux qui s’y refuseraient, en allant par exemple jusqu’à leur refuser toute possibilité de travailler, la possibilité de se faire soigner, la possibilité de se déplacer ? C’est ignoble ! En réalité, il s’agit là d’un véritable viol en bande organisée des intégrités physiques. C’est une logique totalitaire.
Par ailleurs, on pourra s’étonner que dans une société aussi atomisée, rendue depuis des décennies aussi individualiste et où l’on est en permanence baigné dans le culte à outrance de l’ego, on nous enjoigne instamment à nous sacrifier pour le bien d’autrui. Désormais, il faudrait totalement s’oublier par altruisme et par considération pour les autres. On nous parle d’un ton culpabilisant et réprobateur de solidarité pour soutenir l’intérêt général. Mais c’est comme pour la guerre, on croit s’acquitter de son devoir pour servir sa patrie et défendre fièrement son drapeau alors qu’en réalité, on se fait juste trouer la peau uniquement pour l’intérêt de marchands de mort et ici engraisser les profits de laboratoires véreux. Que cache ce soudain changement de discours, ce total changement de paradigme ?
Au passage, on pourra relever que si pour le protocole du Professeur Didier Raoult, on a exigé des études très poussées en double-aveugle pour une molécule peu coûteuse et déjà largement utilisée de par le monde depuis plus de 40 ans, sans que l’on puisse relever de contre-indication majeure, quand il s’agit de ces vaccins, on nous les impose à marche forcée en quelques mois, alors que pourtant comme tous les spécialistes s’accordent à le dire, la mise en œuvre de tels vaccins prendrait une bonne dizaine, voire une quinzaine d’années en termes de développement et de contrôles. D’après Stéphane Bancel, Président-directeur général de “Moderna Therapeutics”, le vaccin “Moderna” aurait même été mis au point en un seul week-end. Sommes-nous donc tenus et forcés de croire qu’il aura fallu 40 ans aux autorités sanitaires pour se rendre compte que la chloroquine était potentiellement dangereuse et 4 mois pour affirmer que les vaccins sont efficaces à 97,5 pourcents ?
L’éminent microbiologiste Didier Raoult est catégorique au sujet de ces vaccins : «J’ai dit que le vaccin relevait de la science-fiction pour moi, je ne vais pas rentrer dans des explications trop compliquées, mais prenez l’exemple du vaccin contre la grippe, on a mis une quinzaine d’années à le stabiliser et encore à l’heure actuelle, il n’est pas fiable à 100 % et là pour une maladie qu’on connaît depuis un an à peine, certains laboratoires nous sortent des résultats à plus de 90 %. Non mais franchement, qui peut croire une chose pareille ?» L’acharnement incroyable sur le Professeur Didier Raoult, que même “l’Ordre des médecins” s’évertue à traîner dans la boue et en justice comme le dernier des charlatans, en dit bien plus long sur le degré de corruption manifeste des plus hautes institutions de Santé de ce pays que sur ce bon docteur. Ce dernier ayant eu la faiblesse de vouloir respecter son serment d’Hippocrate, au milieu de toute cette hypocrisie ambiante et généralisée. D’ailleurs, pensez-vous sérieusement que la gestion du prestigieux Institut de Recherche sur les Maladies Infectieuses de Marseille, le plus pointu en son domaine de toute la France aurait été confié au premier pied nickelé et charlatan venu ? Faut-il rappeler que le Professeur Didier Raoult est le chercheur européen dont les publications ont été les plus citées par la communauté scientifique internationale dans le domaine des Maladies Infectieuses où il est mondialement reconnu comme étant un des meilleurs experts, qu’il a à son actif 3000 publications à comité de lecture, qu’il est “Commandeur de l’Ordre du mérite”, “Officier de la Légion d’honneur”, “Chevalier de la Légion d’honneur” et “Chevalier de l’Ordre du mérite”. C’est à la mesure de cette diabolisation extravagante et si soudaine que l’on mesure toute la puissance de nuisance des médias, capables de faire et défaire les réputations en un éclair, de dresser des couronnes de laurier aux rois du moment et de jeter l’opprobre sur les pestiférés tous désignés. NON, décidément, ça ne tient donc pas la route deux secondes, comme la calamiteuse gestion de toute cette crise par ce gouvernement, avec pour la France, des résultats déplorables parmi les pires de toute la planète ! En effet, d’après les données publiées par l’OMS au 13 août 2020, nous sommes dans le top sept de la plus grande mortalité par millions d’habitants. Sur mille contaminés, en France, nous avons eu le plus haut indice de létalité au monde, soit cinquante fois au-dessus des taux de l’Algérie et du Maroc, vingt-cinq fois au-dessus des taux de la Russie. Le nombre de décès liés à la Covid-19 est supérieur en France de 17% à celui de la Suède, qui elle n’a pas enfermé sa population, ni arrêté son économie, de 55% à celui de notre voisin allemand. Si l’on se compare aux pays d’Afrique ou d’Asie, les chiffres sont accablants, avec 6 fois plus de morts en France qu’au Maroc (soigné à la chloroquine), 20 fois plus qu’au Sénégal, 41 fois plus qu’en Corée du Sud. Et pourtant aucune démission à l’horizon…
Et d’ailleurs, comment expliquer que miraculeusement les différents Labos qui se sont lancés dans la recherche et le développement de ces vaccins arrivent à proposer, presque tous en même temps leur solution vaccinale, en trois à quatre mois, alors que c’est du jamais-vu en termes de timing ? Avant 2020, aucun vaccin efficace contre un coronavirus humain n’avait jamais été développé. Et là, nous en aurions fabriqué 20 en 18 mois. Par quel prodige a-t-on développé toutes ces solutions vaccinales, alors même que pour le Sida, en 40 ans, ils ne sont jamais parvenus à trouver le moindre vaccin, et que l’on a des années durant récolté et engrangé des fonds considérables pour la recherche, via des campagnes de communication intensives et des opérations tapageuses et ultra-médiatisées telles que le “Sidaction” ? Une opération qui fut initiée dès 1994, soit il y a maintenant 27 ans. De même, pas plus de vaccin fiable contre la grippe… Ni de traitement contre la maladie d’Alzheimer… Ni de traitement efficace contre le cancer, après 100 ans de recherche… Rien !
Mieux encore, dans une interview surréaliste au journal télévisé de TF1, le dirigeant d’entreprise Thierry Breton nous a gratifié d’un aveu cuisant : «La bonne nouvelle, c’est qu’on a tout de même fait des progrès absolument incroyables et que pour la toute première fois dans l’histoire de l’humanité, on a réussi à mettre sur pied des vaccins qui fonctionnent en 18 mois !» Petit problème, au moment de cette affirmation dithyrambique, dix-huit mois avant, le virus n’avait même pas commencé à sévir sur l’ensemble de la planète. Autant dire que si cette affirmation est véridique, ils auraient lancé le développement desdits vaccins avant même d’en avoir besoin… Quelle précognition miraculeuse !
L’État a annoncé ne pas avoir l’intention de rendre le vaccin obligatoire… Car, il reconnaît lui-même implicitement qu’il y aurait tout de même quelques risques à cet acte médical tout sauf anodin et que par conséquent, il ne peut se résoudre à le rendre obligatoire. Il faut par là entendre qu’ainsi, il se coupe par la même de toute responsabilité et qu’il n’est plus engagé dans les dégâts qu’il ne manquera pas de causer… Il faut aussi savoir que les fabricants ne peuvent être poursuivis qu’en cas de vaccin obligatoire. Avec ce système mafieux, on paye donc à la fois pour le vaccin, mais on paye aussi pour les dégâts potentiels infligés du vaccin. En d’autres termes, c’est privatisation des profits et socialisation des pertes et ce sont les contribuables, c’est-à-dire ces cons qui vont verser leur tribu à Big Pharma. De plus, bien qu’étant non obligatoire, il est dans le même temps question de couper de toute vie sociale tous ceux qui s’y refuseront, rendant ainsi de facto cette vaccination indirectement obligatoire de la plus hypocrite et cynique manière, c’est une contrainte déguisée ! Il va sans dire qu’en cas de complications, les Labos de Big Pharma ne prendront de leur côté en charge aucun dédommagement, sous le fallacieux prétexte que l’urgence sanitaire ne leur a pas permis de réaliser des études classiques standardisées et les procédures de contrôle habituelles… En gros, il faut bien avoir conscience que ce jeu de dupe, qui n’en vaut décidément pas la chandelle, est par avance pipé : c’est “face” tu perds, et “pile”, ils gagnent ! Donc, si on résume l’ensemble du tableau, le fabricant n’est pas responsable, le gouvernement n’est pas responsable et le vaccinateur n’est pas responsable, mais en revanche à les écouter, si vous n’êtes pas vacciné, alors vous seriez un parfait irresponsable !
Pour reprendre les propos ironiques de Fabrice Di Vizio à ce sujet : «Pourquoi le labo n’est pas responsable ? Et mieux, pourquoi les médecins se félicitent de ne pas l’être non plus ? En gros, personne ne veut être responsable d’un truc qui sauve des vies ? Je ne comprends pas !»
Et d’ailleurs, si ces vaccins sont aussi bénéfiques et efficaces qu’ils le prétendent, alors pourquoi les laboratoires s’évertuent à organiser au préalable leur totale immunité juridique, tout en jouant à la roulette russe avec notre système immunitaire ? Un jeu de la seringue russe, avec plusieurs doses dans le barillet, une, deux, trois, voire quatre pour l’amour du risque et où on retenterait son tour dans ce périlleux jeu tous les 5 mois, jusqu’à que mort s’ensuive ! Qui plus est, avec une touche de cynisme absolue et un raffinement suprême qui consisteraient à faire payer la balle du condamné par sa propre famille… Si de leur côté, ils ne prennent ainsi pas le moindre risque avec leurs comptes bancaires, alors pourquoi devrions-nous du nôtre, en prendre avec notre santé ? Dans leur échelle de valeur, notre santé aurait-elle moins d’importance que leurs profits et leurs dividendes ? Poser la question, c’est y répondre… La seule immunité dont il ne sera jamais question avec ces pseudo-vaccins est celle des laboratoires pharmaceutiques et la seule santé dont Macron et sa bande se préoccupe véritablement est celle des multinationales.
Tout le monde n’est décidément pas prêt à risquer sa peau inutilement, à partir à l’aventure, comme le laisse entendre avec un argument-choc, cet insupportable cuistre et dandy surfait à l’écharpe rouge de Christophe Barbier qui affirme avec un culot monstre que : «Une des raisons de se faire vacciner, c’est le goût du risque. Avec un vaccin inconnu, il y a toujours un tout petit risque.»
Relevons au passage que les vaccins produits par ces labos sont si sûrs que depuis 1988, via un programme national d’indemnisation des victimes, le gouvernement américain a déboursé la bagatelle de 4,1 milliards de dollars pour couvrir en dommages-intérêts et en dommages-décès les victimes touchées et les familles endeuillées.
Contrairement à toutes les déclarations préalables du gouvernement, qu’en la circonstance on pourrait décomposer en “Gouverne” et “Ment”, il s’agirait donc bien d’une obligation vaccinale qui se profile à l’horizon, puisque dans un avis rendu le 04 mai 2021 par le “Conseil d’Orientation de la Stratégie Vaccinale” présidée par Alain Fischer, il est de plus en plus question de déployer une “stratégie de vaccination en anneau”, dans le but de contraindre tous les individus cas contacts d’autres infectés confirmés, ainsi que toutes les personnes ayant été en contact avec ce premier cercle de sujets contacts.
Comment peut-on raisonnablement oser envisager d’imposer et de soumettre le peuple à des traitements dont l’AMM est conditionnelle, à des produits expérimentaux, avec si peu de données et de recul scientifique, dont les essais cliniques sont incomplets, avec une chaîne de fabrication aussi hasardeuse et qui plus est dont l’utilité n’est même pas prouvée et alors même qu’il existe des traitements sans risque pour s’en prémunir ? Comble de l’aberration, il s’avère même que “l’Agence européenne du Médicament” a officiellement reconnu qu’elle ne connaissait pas la composition exacte de ces flacons ! Et pourtant, ils n’ont pas de scrupules à vouloir imposer ces vaccins à l’ensemble de la population, sans en connaitre le contenu. Le ratio bénéfice-risque est donc fondé sur des risques inconnus et minimisés ainsi que des bénéfices et des avantages surestimés et présumés. C’est une déclaration de guerre faite au peuple. Dans toute cette affaire, le gouvernement est manifestement en conflit d’intérêts avec des organisations privées : il a été complètement phagocyté, il a trahi l’intérêt général au prix du sang.
«Les techniques de domination du gouvernement sont les mêmes que celles de la mafia : il terrorise les victimes, puis se présente comme le protecteur en échange de notre docilité. L’obligation vaccinale c’est de l’extorsion.» − Etienne Chouard
L’État voyou a littéralement mis le couteau sous la gorge du personnel soignant pour le contraindre à une inoculation forcée et détournée, en fixant en ultimatum une date butoir au 15 septembre 2021, sous peine de quoi ils perdront leur droit à exercer leur profession, le tout en bafouant allègrement pour l’occasion le “Droit du travail” et le “Code de Nuremberg”. Pour tous les praticiens libéraux de la Santé, ils perdront ainsi leur habilité à soigner et à poursuivre leur activité. Ce funeste jour est donc une date marquée du sceau de l’infamie, un tournant historique, un jour de deuil national. Ce gouvernement, dans le cadre de son état d’urgence dit “sanitaire” (comprendre “totalitaire”) a unilatéralement décrété l’exclusion, la mort sociale d’une frange entière de notre société, composée de valeureux soignants, pompiers, médecins, ambulanciers, brancardiers ou auxiliaires de vie. Toutes ces belles personnes, qui ont la notion de sacrifice chevillée au corps, vont être sacrifiés sans le moindre état d’âme sur l’autel de Big Pharma. Et comble de l’ignominie, la nauséabonde propagande des médias collabos cherche à nous faire passer ces braves gens, qui résistent à l’oppression et qui ont voué toute leur vie au service d’autrui, pour un ramassis d’irresponsables égoïstes qui méritent finalement bien leur sort. Ces malheureux se retrouvent maintenant congédiés comme des malpropres de leur travail, sans avoir la moindre faute professionnelle à se reprocher, quelques fois après des années de bons et loyaux services et de dévouement. Ils sont acculés à la misère, pour le seul crime d’avoir fait-valoir leur droit à la liberté de disposer de leur propre corps en refusant en toute conscience et dans la dignité ce viol sous la contrainte de leur intégrité physique par cette injection génique expérimentale. Dans son abjection, il a même eu l’audace de faire interdire les cagnottes de solidarité destinées aux soignants, qui se retrouvent ainsi coupés de toutes ressources pour survivre. Décidément, le cynisme de cette caste de politiciens parasites, de cette poignée de technocrates hors-sol corrompus aux abjectes méthodes mafieuses n’a plus aucune limite. Sous couvert de mesure sanitaire, il s’agit d’une aubaine pour faire un plan social à peu de frais et continuer le projet de casse de l’hôpital tout en reportant la responsabilité dans une inversion extraordinaire sur les soignants réfractaires.
Là aussi une question existentielle s’impose : comment peut-on se payer le luxe de congédier des milliers de soignants, en pleine pandémie ? On parle tout de même d’un chiffre ahurissant de 300 000 professionnels de la Santé selon les chiffres du ministère de la Santé, soit 10% des effectifs. Ne serait-ce pas un aveu qu’il n’y a en réalité aucune véritable pandémie mortelle qui décime la population ? Se débarrasser de ses meilleurs et plus vaillants soldats, ceux qui sont montés au front en première ligne, tout en privant la population des armes pour se défendre en pleine guerre, ne relève-t-il pas d’un crime de haute trahison ? Comment peut-on encore invoquer des raisons sanitaires en procédant d’une manière aussi irresponsable… Les soins en flux tendu, qui souffraient déjà d’un manque cruel de moyens, ne pourront dans bien des cas, tout simplement plus être assurés, ce qui provoquera une rupture dans la chaîne des soins. D’innombrables patients tomberont alors en totale déshérence et dans la plus grande détresse. Les conséquences de ces mesures iniques seront catastrophiques, il s’agit tout simplement d’une mise en danger de la vie des citoyens, d’une perte de chance qui témoigne à quel degré ces gouvernants méprisent en réalité la vie qu’ils font par ailleurs mine de tant vouloir protéger. Encore une fois, de telles mesures ne feront qu’accélérer la volonté de casse de l’hôpital public et renforcer des acteurs de la Santé privés. Les offres d’emplois que propose directement Pôle Emploi donnent une idée de l’ampleur du désastre provoqué par cette politique criminelle. Ainsi, au 27 septembre 2021, on trouvait 7 674 offres pour le poste de chirurgien, 5 524 offres pour le poste d’anesthésiste, 11 515 offres pour le poste de médecin, 13 997 offres pour le poste d’aide soignant, 24 747 offres pour le poste d’infirmier, 2 045 offres pour le poste d’agent de service hospitalier. Soit plus de 65 500 postes dans le milieu médical à pourvoir immédiatement et dont le savoir-faire est si nécessaire et vital ! Le démantèlement de l’hôpital traditionnel pour le remplacer par le “home-spital” et par une nouvelle médecine privée de haute technologie, préventive et personnalisée fait partie des objectifs visés par le “Forum Économique Mondial”.
Sur la toile, on peut retrouver des témoignages bouleversants de soignants, comme celui de Julie Fabre du 16 septembre 2021 : «La sentence est tombée : suspendue ! «Madame vous devez immédiatement quitter votre poste et rentrez chez vous.» Ce sont ces mots qui résonnent encore dans ma tête, et pour longtemps je pense. Je ne vais jamais m’en remettre d’ailleurs. Éjectée. Mais je l’aime moi mon métier, messieurs, mesdames, je veux rester. Un collègue déposera bientôt sa démission, une autre est déjà en maladie, deux de mes collègues mamans célibataires avec des enfants à charge, ont dû céder pour survivre, par chantage, pour nourrir leur famille. Elles l’ont fait contre leur volonté, par peur de se retrouver sans rien, à juste titre. Quand je suis partie, elles ont pleuré dans mes bras, et m’ont dit «merci pour nous». Quand je suis allée signer ma suspension aujourd’hui, j’ai croisé une infirmière dans le couloir, 25 ans de métier, qui m’a dit «je me suis fait vaccinée hier, ils m’ont fait flancher, je ne voulais pas, ce soir je vais rédiger mon testament.» J’ai pleuré avec elle. La tension est affreuse. Ils n’en parleront pas aux médias. Pourtant c’est la réalité, c’est la vraie vie. Hier ils sont allés carrément dans les services, chercher et sortir les soignants un par un ! Dehors ! À dégager. J’ai honte de mon pays. J’ai honte de ce qu’ils sont en train de faire. Et on laisse faire. Personne ne bouge. J’ai la gorge plus que nouée. Hier tout le monde applaudissait. Et aujourd’hui ?»
En fait, il faut comprendre qu’en se débarrassant des soignants qui sont restés fidèles aux valeurs fondatrices de leur art, ils ont tué la conscience de la profession en liquidant les plus intègres du corps médical.
Autre aberration qui démontre que tout ceci est purement politique et non sanitaire, dans les hôpitaux, on dépense jusqu’à 60 millions d’euros chaques mois pour embaucher des vigiles ayant pour rôle de contrôler les Passanitaires de la honte. Ce budget de flicage est prélevé directement sur celui des hôpitaux, alors même qu’il y a un cruel manque de moyens, de personnel soignant et de matériel ! Combien d’hôpitaux de proximité pourraient être construits juste avec cette somme ?
À toutes fins utiles, une vaccination obligatoire est contraire à au moins huit textes juridiques fondamentaux, à savoir : au “Serment d’Hippocrate”, au “Code de Déontologie Médicale”, au “Code de Nuremberg”, à la “loi Kouchner” de mars 2002 sur le consentement libre et éclairé, à la “Convention d’Oviedo” de 1997, à “l’arrêt Salvetti” selon lequel aucun traitement médical n’est obligatoire au sein de l’Union européenne, à la “Déclaration de Genève”, à la “Résolution 2361”, adoptée le 28.01.21 par le Conseil de l’Europe, art 7.3.1 et 7.3.2
Le “Serment d’Hippocrate”, qui est le texte fondateur de la médecine et défini l’éthique de tout les médecins stipule que : «Je ne remettrai à personne du poison, si on m’en demande. Ni ne prendrai l’initiative d’une pareille suggestion.»
Le “Code de Déontologie Médicale”, art 36 précise bien que «Le consentement de la personne examinée ou soignée doit être recherché dans tous les cas. Lorsque le malade, en état d’exprimer sa volonté, refuse les investigations ou le traitement proposé, le médecin doit respecter ce refus après avoir informé le malade de ses conséquences.»
Le “Code de Nuremberg” affirme que «Nul ne peut être soumis à une expérience médicale ou scientifique sans son consentement.»
La “Loi Kouchner”, du 4 mars 2002 (article 11, L1111-4) précise qu’« aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment.»
La “Déclaration d’Helsinki” insiste bien dans ses Articles 25 et 26 sur le consentement libre et éclairé du patient. Elle est signée par les 35 États.
La “Convention d’Oviedo”, pour la protection des Droits de l’Homme et de la dignité de l’être humain à l’égard des applications de la biologie et de la médecine stipule dans son Article 2 que l’intérêt et le bien de l’être humain doivent prévaloir sur le seul intérêt de la société ou de la science. Dans son Article 5, elle précise bien qu’une intervention dans le domaine de la santé ne peut être effectuée qu’après que la personne concernée y a donné son consentement libre et éclairé. Cette personne reçoit préalablement une information adéquate quant au but et à la nature de l’intervention ainsi que quant à ses conséquences et ses risques. La personne concernée peut, à tout moment, librement retirer son consentement. Dans son Article 10, il est précisé que toute personne a droit au respect de sa vie privée s’agissant des informations relatives à sa santé. Article totalement violé par le pass sanitaire… Dans son Article 1, il est déclaré que toute forme de discrimination à l’encontre d’une personne en raison de son patrimoine génétique est interdite. Et enfin dans son Article 13, il est précisé qu’une intervention ayant pour objet de modifier le génome humain ne peut être entreprise que pour des raisons préventives, diagnostiques ou thérapeutiques et seulement si elle n’a pas pour but d’introduire une modification dans le génome de la descendance.
La “Déclaration de Genève” stipule quant à elle que «Je respecterai l’autonomie et la dignité de mon patient» et que «Je n’utiliserai pas mes connaissances médicales pour enfreindre les droits humains et les libertés civiques, même sous la contrainte.»
Tous ces textes incontournables seraient-ils devenus subitement caducs, ou est-ce la fin de l’État de droit ? C’est tout simplement insupportable…
Un vaccin Cheval de Troie ?
Aussi, avec ce pseudo-vaccin, allons-nous devenir des OGM sur pattes, voir même perdre le contrôle, la pleine maîtrise et la propriété de notre corps ? Ce dernier sera-t-il susceptible de devenir la propriété de quelques acteurs privés extérieurs, à l’image de la firme “Monsanto”, véritable pirate du vivant, s’accaparant sans vergogne, grâce à ses brevets iniques, la propriété de ses plantes génétiquement modifiées, qui relèvent pourtant du patrimoine ancestral et sacré de l’humanité… Ou bien, suite à cette vaccination allons-nous nous convertir, à notre corps défendant, en des sortes d’antennes réceptrices, afin de subir contre notre gré et sans plus en avoir la moindre conscience, des influences extérieures par le biais d’ondes 5G ? Serons-nous alors toujours les maîtres de nos émotions, de nos pensées et de nos actions ?
IMPOSSIBLE : Pure “Théorie du Complot” et divagations émanant d’illuminés en mal de frissons, me rétorquerez-vous…
Et pourtant Bill Gates, qui est très impliqué dans toute cette campagne de vaccination mondiale, est aussi très actif dans l’alimentation et les OGM de la firme “Monsanto”, (l’une des firmes les plus impliquées dans la production consciente et massive d’armes biologiques), comme le terrifiant Agent Orange utilisé au Viêtnam. Et autant dire que ce genre de méthodes parfaitement crapuleuses et déloyales est déjà de mise dans ce secteur, ce qui n’a pas l’air de grandement perturber sa conscience d’humaniste… De là à penser que ce genre de procédés pourraient être étendus à l’homme, il n’y a donc qu’un pas… De la même façon, on a bien commencé par pucer le bétail et les animaux domestiques, avant d’en arriver à envisager de pucer les hommes… N’était-ce pas aussi notre ancien Président Nicolas Sarkozy, qui affirmait dans l’un de ces discours que, je cite : «L’homme n’était pas une marchandise comme les autres.» On peut donc comprendre qu’à leurs yeux, l’homme est donc bel et bien une sorte de marchandise !
Signalons aussi que dans une conférence filmée datant de 1995, le médecin québécois Pierre Gilbert, un ancien initié et repentis “Rose-Croix”, nous mettait déjà en garde contre de futurs plans de vaccination massive sur les populations à venir, en parlant de : «Poisons que l’on mettrait dans le sang et les veines de l’humanité, en créant des infections. Et en ayant créé ces infections volontaires, on créera des lois qui obligeront la population à se faire donner des vaccins. Et dans ces vaccins, il y aura tout ce qu’il faut pour que vous puissiez être contrôlés. On introduira dans ces vaccins des cristaux liquides. Ces cristaux se logeront dans les cellules de votre cerveau et deviendront des micros récepteurs à des champs électromagnétiques envoyés par des ondes ultra-soniques à très basses fréquences et avec ces ondes, on pourra vous empêcher de penser, on pourra faire de vous des zombis. Et n’allez pas croire que je suis au stade où je pense que c’est une hypothèse, ce que je vous conte, c’est fait ! […] Et aux États-Unis, j’ai chez moi des photos qui montrent des camps de concentration dans le territoire nord-américain et dans ces camps de concentration, on recevra cela parmi vous qui ne voudront pas être d’accord avec la définition du nouveau citoyen !»
Dans la même veine, en 2013, le journaliste d’investigation Anthony Patch, après avoir passé des années de recherche portant sur des plans de contrôle du monde par les élites, avait dans un entretien prédit ceci : «[…] Il s’agit d’amener le public à réclamer un vaccin, une injection ou un médicament. Pourquoi dans la mesure où vous avez le contrôle, le pouvoir absolu, pourquoi voudriez-vous que le public réclame un vaccin ? Eh bien parce qu’il y a quelque chose dans ce vaccin que vous voudriez que les gens aient à l’intérieur de leur corps. Qu’y a-t-il dans ce vaccin que vous souhaitez que tout le monde ait dans son corps ? C’est un manipulateur d’ADN, un modificateur. J’ai parlé plus tôt du troisième brin d’ADN. Il existe déjà et vous pouvez le trouver sur Internet, un troisième brin d’ADN composé de silicone – on revient encore aux ordinateurs et aux puces en silicone –. En somme, vous êtes en train de créer un troisième brin d’ADN que vous importez à l’intérieur du corps d’une personne avec un vaccin que cette personne réclame, car elle a peur d’attraper le MERS, le coronavirus, la grippe aviaire, ou n’importe quoi d’autre. Donc, on peut imaginer le gouvernement ou les pouvoirs en place prendre du recul et se dire : Nous ne pouvons pas forcer les gens à faire ce vaccin, voire recevoir ce troisième brin d’ADN caché, ils se rebelleraient et s’y opposeraient. Mais si nous créons le problème et apportons la solution, le public réclamera cette solution, ce qui permettra d’atteindre notre but ultime, à savoir que tout le monde ait son ADN modifié ! Mais creusons encore, quel est le but ? Si on change l’ADN des personnes… Que deviennent ces personnes ? Des hybrides ! Le plus insidieux c’est qu’une fois ces personnes injectées, presque immédiatement son ADN subit des transformations, elle efface presque immédiatement toute conscience du fait qu’elle vient de perdre son indépendance, sa capacité à penser par elle-même, à prendre ses propres décisions, ce qui va avoir des conséquences sur son niveau de morale sur son indépendance au niveau moral, sur ses croyances religieuses, éthique, juridiques. Tout cela disparaît. Si vous retirez la pensée libre et la conscience, votre indépendance a disparu. Que font alors les pouvoirs en place avec cette nouvelle forme d’humain hybride ? Ils peuvent les contrôler. Ils peuvent les transformer en une classe de serfs, une classe d’esclaves pour servir l’élite.» En 2014, dans une autre entrevue filmée, il déclarait : «Ils propageront un coronavirus artificiel. En conséquence, les gens exigeront un vaccin pour les protéger. Ce vaccin ajoutera une troisième souche d’ADN au corps d’une personne, ce qui en fera essentiellement un hybride.» Il mettait également en garde que «Une fois qu’une personne est injectée, son ADN subit presque immédiatement une transformation. Ce changement génétique fera perdre aux gens la capacité de penser par eux-mêmes, sans même qu’ils s’en rendent compte. Ainsi, ils peuvent être contrôlés plus facilement, pour devenir les esclaves de l’élite.»
Visiblement, il s’agirait en fait de connecter les humains au “Cloud”, au grand nuage informationnel global, un peu comme on connecterait son ordinateur au réseau internet.
Laurent Alexandre affirmait en 2014 que “le Connectome”, soit un plan complet des connexions neuronales d’un cerveau, progresse vite, à mesure que la puissance de l’informatique augmente : « On va dans les années à venir analyser des paquets de quelques millions de neurones, puis quelques milliers, puis analyser à distance le fonctionnement des neurones individuellement. »
J’en veux pour preuve que dans une interview de la chaîne suisse RTS datée de 2016, nous avons entendu de la bouche même de Klaus Schwab, une allusion directe à l’implantation des individus par des puces dans les dix années à venir, soit avant 2026. Voici sa déclaration : «On les implanterait d’abord dans les vêtements et après, on pourrait s’imaginer qu’on les implante dans nos cerveaux ou dans notre peau, et à la fin, il y a une communication directe entre notre cerveau et le monde digital. Ce que nous voyons, c’est une sorte de fusion du monde physique et digital.»
Ces velléités de prise du contrôle de l’esprit humain ne remontent pas à hier, puisque déjà en 1963, le neurophysiologiste José Manuel Rodríguez Delgado, un pionnier des neurosciences, avait réussi, dans une stupéfiante et spectaculaire expérience restée célèbre, à stopper net la charge d’un taureau, grâce à un dispositif d’électrodes connecté au cerveau du bovin. Le pauvre animal était alors commandé à distance via des ondes radio et piloté à l’aide d’une télécommande.
Ce pionnier dans la technologie des implants cérébraux avait travaillé, dans différentes agences d’espionnage, gouvernementales et militaires. Ils ont découvert un vaste champ d’application pour les champs électromagnétiques sur l’esprit et le corps des humains. José Delgado s’est aussi intéressé au contrôle à distance du comportement de singes de laboratoire, en utilisant des pulsations de champs magnétiques à faible puissance sans qu’il n’ait recours à la moindre antenne implantée. Enthousiaste, il déclarait dans une interview de l’époque : «Est-ce que vous réalisez les possibilités fantastiques si de l’extérieur nous pouvons modifier ce qui se passe à l’intérieur, nous pourrions induire des messages à l’intérieur. Et le plus beau maintenant, c’est que l’on utilise même plus d’électrodes. Les différentes fonctions dans le cerveau, les émotions, l’intellect ou la personnalité pourraient être modifiés par cette méthode non-invasive.»
En 1985, l’auteure scientifique, Kathleen McAulife, rapportait déjà dans un article “the mind fields” paru dans le “magazine Omni”, l’avancée des travaux sur le contrôle de l’esprit de Delgado : «Les effets de la manipulation sans fil de Delgado étaient un défi pour la CIA. Il avait découvert que les animaux, placés dans un champ électromagnétique pouvaient être manipulés, sans qu’on les touche. Et surtout que, les champs que Delgado utilise sont très faibles : il suffit de 1/50ᵉ de la force des propres champs magnétiques de la Terre, lorsque le signal est accordé à des fréquences bien précises. Delgado pouvait faire bien plus que simplement endormir un singe…»
Dans les années 1969, dans son livre : “Physical Control of the Mind : Toward a Psychocivilized Society”, Delgado exposait à l’Université de Yale, (le fief de l’organisation occulte des “Skulls n” Bones”) les résultats de ses expériences poussées de contrôle sur le cerveau humain : «Les transmetteurs cérébraux peuvent rester à vie dans le cerveau d’un sujet. L’énergie qui actionne le transmetteur est transmise par des fréquences radio. […] L’une des possibilités des transmetteurs cérébraux est d’influencer les gens, afin qu’ils se conforment aux systèmes politiques. Les comportements individuels et sociaux, les réactions émotionnelles et mentales, peuvent être provoquées, maintenues, modifiées ou inhibées, chez les animaux comme chez l’homme, par la stimulation des structures cérébrales spécifiques. Le contrôle physique de plusieurs fonctions cérébrales est un fait établi. Il est même possible de suivre les intentions, le développement des pensées et les expériences visuelles.»
Dans un procès-verbal provenant des séances du Congrès américain du 24 février 1974, ce scientifique déclarait aussi : «Nous avons besoin d’un programme de psychochirurgie pour le contrôle politique de notre société. Le but est le contrôle physique de l’esprit. Chacun qui dévie de la norme donnée peut être chirurgicalement mutilé. L’individu peut penser que la réalité la plus importante est sa propre existence, mais c’est seulement son point de vue personnel. Même si cette attitude libérale est très séduisante, cela manque de perspective historique. L’homme n’a pas le droit de développer sa propre façon de penser. Nous devons contrôler le cerveau électriquement. Un jour, les armées et les généraux seront contrôlés par stimulation électrique du cerveau.»
Grâce aux recherches de ces fous furieux n’ayant rien à envier au Dr. Frankenstein, on arrive à un impressionnant degré de finesse dans le contrôle neurologique. Il devient dès lors possible d’activer ou non certaines zones du cerveau à des fins de contrôle du comportement. Ainsi, comme le révèle un impressionnant exposé de 2016 au “Quai des savoirs”, intitulée “Et si on prenait le contrôle des neurones par la lumière”, animé par Laure Verret, maîtresse de conférences au centre de recherche sur la cognition animale : des scientifiques se sont servis d’un laser bleu, de l’émission d’un champ électrique et d’impulsions sur les neurones d’une souris pour lui faire ingurgiter des aliments qu’elle ne mangerait pas en temps normal, ou bien encore pour la faire dormir, puis la réveiller sur simple commande. C’est-à-dire, la faire agir contre son gré et contre sa propre nature, sans pour autant qu’elle en éprouve le moindre besoin physiologique. Les scientifiques arrivaient même à contrôler son humeur et son niveau d’agressivité. Bien entendu, comme on pouvait s’en douter, il est question d’étendre ces découvertes à l’homme et il existe déjà des casques, comme le casque connecté “Thync”, capables en stimulant le système nerveux à l’aide d’impulsions électriques, de moduler les humeurs de son porteur, selon des programmes implémentés au préalable dans le casque, le tout contrôlable depuis un smartphone. De nos jours, les scientifiques ont donc déjà cartographié le cerveau et sont capables d’agir sur certaines zones spécifiques, pour obtenir des effets bien précis. Il devient alors possible de lire dans les pensées, en scannant le cerveau. Les possibilités donnent littéralement le vertige, puisqu’à l’aide d’interfaces homme/machine, on en arrive même à contrôler et piloter avec précision des objets par la pensée sans commande, des drones, ou des appareils dans des simulateurs de vol. Vous ne le savez peut-être pas encore, mais ces savants fous de scientifiques, ont aussi pour ambition de faire de notre cerveau une télécommande universelle d’ici 2030 !
Dans le même ordre d’idée, voici ce qu’écrivait dès 1970, Zbigniew Brzeziński, l’Ancien Conseiller à la sécurité nationale des États-Unis dans son livre “Between Two Ages : America’s Role in the Technetronic Era”, L’ère technotronique : «L’ère technotronique implique l’apparition progressive d’une société plus contrôlée et plus dirigée. Une telle société serait dominée par une élite dont la soif de pouvoir politique reposerait sur un savoir-faire scientifique supérieur. Libérée des contraintes des valeurs traditionnelles libérales, cette élite n’hésiterait pas pour arriver à ses fins politiques à utiliser les dernières techniques modernes pour influencer la conduite du public et garder la société sous étroite surveillance et contrôle.» Dans un autre passage, il anticipe la soociété du futur basée sur le contrôle total : «En même temps, la possibilité d’exercer un contrôle social et politique sur l’individu ne fera qu’augmenter; il sera bientôt possible d’exercer un contrôle continu sur chaque citoyen par le biais du dossier avec une information sans cesse renouvelée et contenant les détails les plus intimes sur son état de santé et son comportement personnel, en plus des données habituelles. Le pouvoir sera entre les mains de ceux qui détiendront l’information. Nos institutions en place seront remplacées par des institutions de gestion et de prévention des crises. Leur tâche sera d’identifier à l’avance les crises sociales et de développer les programmes pour y répondre.»
En ayant au préalable pris connaissance de toutes ces informations, de ces possibilités technologiques vertigineuses, il est donc bien légitime de se demander si avec tout ce programme de vaccination particulièrement douteux, nous ne serions pas en présence d’une sorte de mise-à-jour de l’humanité et d’un nouveau délire transhumaniste qui avancerait masqué et ne dirait pas son nom ?
D’ailleurs, en août 2002, dans le Magazine Nexus N°35 “Votre Santé”, intitulé “Êtes-vous des cobayes ou des robots ?”, la regrettée lanceuse d’alerte Sylvie Simon se posait déjà cette question : «Et si l’injection vaccinale n’était que le moyen technique d’implanter dans le corps des cristaux liquides qui, comme la puce, permettent le contrôle permanent de chaque individu ? La pression vaccinale des autorités est devenue telle que l’on est obligé de s’interroger sur les buts réels de la vaccination.» Et il faut bien avouer que cette brave dame n’avait encore rien vu en termes de pression avec la période actuelle ! Elle se faisait aussi cette réflexion : «S’il ne s’agissait que de santé, la contrainte n’aurait pas lieu d’être, la persécution des non-vaccinés serait dénoncée comme toute violation des droits fondamentaux, enfin les campagnes vaccinales systématiques apparaîtraient comme une aberration. Plutôt que de santé, ne pourrait-il être question de contrôle mondial de la population ? L’identification des chiens et des chats grâce à ce procédé a été mise en place en France par un arrêté du 1ᵉʳ octobre 1997. Il semblerait qu’il soit désormais possible d’injecter, par le biais d’un vaccin, un implant électronique servant a l’identification personnelle. Ce serait la normalisation à outrance des conduites par le truchement des vaccinations.»
Cela semble bien être le cas, puisqu’il se trouve que la plateforme de vaccin “ARN Messager” est justement littéralement d’écrite par l’entreprise “Moderna”, comme un “Système d’Exploitation”, son logiciel de la vie en cours d’installation, ou plutôt de piratage dans notre corps et sur lequel un “logiciel” sous forme d’ARN m est déployé et mis à jour pour produire des “applications” qui sont des protéines. Ahurissant… Tout cela ne relève pas de fantasmes et de spéculations hasardeuses, mais est décrit par le menu directement sur le site Web de “Moderna”! Dans leur vision purement mécaniste, artificielle et fonctionnelle de l’homme, “Moderna” décrit son “Système d’Exploitation” ainsi : «Reconnaissant le vaste potentiel de la science de l’ARN messager, nous avons entrepris de créer une plate-forme technologique d’ARN messager qui fonctionne très bien comme un système d’exploitation sur un ordinateur. Il est conçu de manière à pouvoir brancher et jouer de manière interchangeable avec différents programmes. Dans notre cas, le “Programme” ou “APP” est notre médicament ARN messager – la séquence d’ARN messager unique qui code pour une protéine.»
Finalement, vu sous cet angle, on comprend mieux ce que diable vient faire un informaticien tel que Bill Gates dans toute cette affaire ! C’est parfaitement cohérent, en réalité… Si l’objectif de ces fous est bien de fusionner l’homme et la machine dans une logique transhumaine, Bill Gates incarne à merveille la fusion de l’informatique et de la santé humaine, où l’homme est traité comme un ordinateur, le virus biologique, comme un virus informatique et l’antivirus vaccin, comme un antivirus informatique. Dans leur logique, notre pare-feu naturel et gratuit, qui est notre si précieux système immunitaire, qui prévient ses attaques extérieures, serait inopérant et devrait être remplacé par des solutions de protections artificielles et commerciales régulièrement mise-à-jour, avec des injections à répétition et un abonnement renouvelable pour se protéger de l’apparition de chaque nouveau variant.
Bill Gates et sa fondation, des liens très étroits avec la firme “Moderna”… Cette société américaine de biotechnologie a été fondée en 2010, qui n’a strictement aucun antécédent dans la recherche de vaccins, mais qui a développé des partenariats avec “AstraZeneca”, mais également avec la DARPA, l’Agence de Défense Militaire Américaine spécialisée dans la recherche de nouvelles technologies à usage militaire, ce qui est des plus inquiétants. Il faut aussi savoir que le nom initial de “Moderna” était “ModeRNA”, sous-entendu, modifier l’ARN.
En somme, la COVID-19 ne serait alors qu’un cheval de Troie visant à assiéger nos organismes et à les pirater… Dès lors, il serait possible d’interagir directement sur nos êtres, à distance ! Soit d’acquérir une porte d’entrée pour une forme de contrôle extérieur absolu sur nous tous ! Une hypothèse aussi avancée par le Blogueur et consultant en informatique décisionnelle Erno Renoncourt, qui écrit dans un article que : «Un vaccin qui vectorise des nanoparticules ionisant un champ électromagnétique, sensible au milliardième de mètre près, pour activer le Système immunitaire adaptatif par des ARN messagers, évoque vraisemblablement l’idée d’une porte dérobée installée comme protocole d’échange pour des desseins sanitaires peu transparents.» Je ne sais pas pour vous, mais en ce qui me concerne, il est hors de question de me laisser faire et de me prêter au jeu de ce genre de délires dignes des pires scénarios de science-fiction. Avant tout, je suis un être humain et certainement pas un composant informatique en série, ou le rouage d’un système mondialiste en roue libre…
À noter que chose incroyable, mais vraie : de nombreux vaccinés se sont rendu compte de l’apparition d’un bien étrange et très inquiétant phénomène, avec la présence post-vaccinale d’un léger, mais bel et bien présent magnétisme à rayonnement très bas dans le bras, juste à proximité du point d’injection ! Ainsi, des petits aimants sont attirés par le champ magnétique émis par cette zone et tiennent sur le bras en défiant la gravité. Pourtant, lorsqu’ils placent exactement le même aimant dans une partie différente de leur corps, il ne colle pas et tombe tout de suite. Si au départ, on pouvait penser à un “Fake” fantaisiste, à une légende urbaine, c’est pourtant la triste réalité et des témoins de confiance du milieu médical ont bien constaté, sans le moindre doute l’existence de ce phénomène.
De même, l’association indépendante et citoyenne Luxembourgeoise “European Forum for Vaccin Vigilance” a mené un test, une étude en double aveugle portant sur un panel de 60 personnes composé de 30 personnes vaccinées et de 30 autres personnes non- vaccinées afin de vérifier ce phénomène de magnétisme au point d’injection. Le résultat de l’expérimentation est sans appel, le phénomène de magnétisme chez les vaccinés s’est bien produit sur 29 des 30 vaccinés, tandis que dans le groupe des non-vaccinés, le nombre de personnes présentant une attraction à l’aimant était de 0. La vaccination induit donc un champ électromagnétique et plus les individus ont été vaccinés tôt, plus ils dégagent un champ fort. L’expérimentateur a décidé de ne pas poursuivre l’expérience plus avant, car cela était trop éprouvant tant humainement, que psychologiquement. Il n’arrive plus à faire face au désarroi et à l’impuissance des gens qui constatent impuissant le phénomène, dont le visage se pétrifie lorsqu’ils réalisent qu’ils ont été injectés avec une substance dont ils ne savent finalement rien : «Les individus s’intéressent à l’expérience par curiosité et puis quand ils voient que l’aimant s’accroche à leur peau, ils deviennent dubitatifs dans un premier temps, puis d’un coup ils deviennent froids. Certains d’entre eux deviennent même extrêmement nerveux, voir complètement sous le choc. Les personnes s’interrogent sincèrement sur le fait de voir comment un aimant peut adhérer à leur peau aussi facilement que celui-ci adhère à un poteau métallique.» De leur côté, fidèles à eux-mêmes, lorsque les vidéos de témoignages ont commencé à fleurir sur les réseaux sociaux, les médias officiels se sont empressés de crier à la Fake-News et de tourner la chose en totale dérision. Pourtant, ces nombreux témoignages, qui émanent du monde entier, sont d’autant plus crédibles que toutes ces personnes qui en font état ne peuvent être taxées d’anti-vax primaires, puisqu’elles sont allées se faire vacciner en toute confiance et sans même y êtres forcées…
Mais ce magnétisme, outre de jouer le rôle d’une sorte de super-adjuvant accélérateur, n’est-il pas aussi peut-être là dans une optique de contrôle des masses ? Ces dernières années en neurosciences, l’optogénétique à fait de fulgurantes avancées. Il s’agit de la relation entre l’activité neuronale et le comportement, pour jouer à distance sur ces paramètres par le biais de la magnétogénétique. Il serait alors possible d’activer ou de désactiver à distance certaines zones du cerveau, de cibler précisément certaines zones. Il est question de prendre le contrôle du système nerveux. Le magnétisme permet de produire des stimuli par ondes radio à des cibles situées en profondeur dans le corps, sans l’endommager.
Ces techniques ont déjà été éprouvées avec succès sur les souris, comme le rapporte un article datant de 2016 publié dans le Figaro, intitulé “La magnétogénétique permet de manipuler le cerveau à distance” : «Stimuler à distance un comportement est devenu une réalité grâce à une nouvelle technique, développée par des scientifiques américains de l’université de Virginie et détaillée dans la revue Nature Neuroscience. Les chercheurs ont mis au point une protéine, baptisée Magneto et capable d’activer les cellules nerveuses en présence d’un champ magnétique, puis l’ont introduite dans des neurones précis du circuit de la récompense chez des souris. Celles-ci ont alors montré une préférence marquée pour l’endroit où régnait un champ magnétique élevé. Les chercheurs ont ainsi fait la double démonstration du rôle joué par ces neurones et de la possibilité de les activer directement, instantanément et à distance par l’application d’un champ magnétique continu.»
En analysant au microscope optique et au microscope électronique le contenu de tous ces pseudos-vaccins de nouvelle génération, des chercheurs indépendants espagnols, le biostatisticien, microbiologiste et immunologue Martin Delgado et le docteur José Luis Sevillano, ont fait une scandaleuse et édifiante découverte. Ces flacons contiennent d’énormes doses de nanoparticules d’oxyde de graphène. Il en va de même pour les vaccins anti-grippaux, certains masques, pour les tests-PCR et les tests anti-géniques. Il s’agit d’un composé inorganique de carbone, sous forme de nanoparticules.
Le Dr Robert Young a dans son laboratoire analysé les ingrédients des vaccins contre le COVID-19 grâce à la microscopie électronique à transmission et à balayage et à la spectroscopie à rayons X à dispersion d’énergie. Dans son rapport d’analyse, il révèle que «les quatre sociétés pharmaceutiques n’ont pas fourni de divulgation complète à la FDA sur leur boîte de vaccin, leur fiche d’information ou leur étiquette pour bon nombre des ingrédients majeurs et/ou mineurs contenus dans ces soi-disant vaccins». Pourtant, en vertu du droit international par le Code de Nuremberg de 1947, l’information sur les ingrédients majeurs et mineurs de ces produits est essentielle pour qu’un consentement libre et éclairé puisse être possible. L’imposition sous la contrainte de ces produits à la demande de gouvernement ou d’employeurs est une violation caractérisée des droits de l’homme en vertu du Code de Nuremberg de 1947.
Cette analyse confirme bien la présence de bandes de graphène. Il conclut son analyse ainsi : Ces nouveaux médicaments produits par Pfizer – le vaccin ARNm BioNTech, par Moderna-Lonza – le vaccin ARNm-1273, le vaccin Serum Institute Oxford Astrazeneca et le vaccin Janssen COVID-19, fabriqué par Janssen Biotech Inc, une société pharmaceutique Janssen de Johnson & Johnson, ne sont PAS des vaccins mais des médicaments nanotechnologiques fonctionnant comme une thérapie génétique. Le nom “vaccin” est probablement un escamotage (ruse) utilisé pour des raisons bureaucratiques et technocratiques afin de recevoir une approbation d’urgence, en ignorant toutes les règles normales nécessaires pour les nouveaux médicaments, en particulier pour ceux qui impliquent de nouveaux mécanismes nanotechnologiques qui n’ont jamais été développés ni expérimentés par l’homme, où que ce soit, à n’importe quel moment de l’histoire du monde. Tous ces soi-disant “vaccins” sont brevetés et leur contenu réel est donc tenu secret, même pour les acheteurs, qui, bien sûr, utilisent l’argent des contribuables. Ainsi, les consommateurs (les contribuables) n’ont aucune information sur ce qu’ils reçoivent dans leur corps par inoculation. L’humanité est maintenue dans l’ignorance en ce qui concerne les processus technologiques de nanoparticules impliqués, les effets négatifs sur les cellules du corps, mais surtout l’effet possible de la nano-bio-interaction magnétotoxique, cytotoxique et génotoxique sur le sang et les cellules du corps. Cette étude actuelle, qui consiste en une analyse directe des soi-disant “vaccins” susmentionnés à l’aide d’instruments technologiques à nanoparticules, révèle des informations troublantes et susceptibles de changer la vie des personnes concernées, concernant la vérité sur le contenu acide toxique réel de ces soi-disant vaccins. Les médicaments Pfizer, Moderna, Astrazeneca et Janssen ne sont PAS des “vaccins” mais des agrégats complexes de nanoparticules d’oxyde de graphène composés de divers nano-éléments fixés à des acides nucléiques génétiquement modifiés d’ARNm provenant de cellules animales ou vero et de cellules fœtales humaines avortées. Ces analyses révèlent aussi la présence de carbone, de soufre, d’oxygène, de chlorure d’azote et de plusieurs métaux toxiques comme le chrome et l’aluminium, mais aussi des parasites comme le Trypanosoma cruzi (maladie de Chagas) qui attaquent le cœur, l’œsophage, le côlon et tout le système nerveux périphérique et dont les personnes infectées meurent généralement d’insuffisance cardiaque. Il existe d’ailleurs un lien avec le VIH-1 puisque Trypanosoma cruzi est un inhibiteur du VIH
En 2015, une thèse relevait que le graphène est une nanoparticule bidimensionnelle d’épaisseur atomique présentant des propriétés uniques, qu’elles soient mécaniques, électriques ou thermiques. Il est transparent, supraconducteur, flexible et ultra résistant. Ceci ajouté à une faible densité et à une très grande surface spécifique, fait que l’ajout de graphène et de nanoparticules dérivées (oxyde de graphène, graphite exofilé) pour renforcer des matrices polymères est devenu un sujet d’études d’intérêt majeur dans le domaine des nanocomposites.
L’oxyde de graphène est un outil de disruption technologique, indispensable à la révolution digitale, il est semble-t-il un composant incontournable qui doit participer à cette révolution globale. Le graphène semble être le matériel de pointe, incontournable pour paver la voie au transhumanisme, pour passer de l’homme au cyborg augmenté et pour faire la passerelle entre les hommes et le cloud, le nuage informationnel, nous connecter, nous emprisonner dans le système de contrôle numérique globalisé. Cela est sans doute à mettre en relation avec “la 4ᵉ révolution industrielle” qu’appelle de ses vœux Klaus Schwab qui devrait mener au transhumanisme, lui-même n’étant qu’une phase transitoire vers le post humanisme.
Dans cette dynamique révolutionnaire, “l’Union européenne” a même lancé, depuis 2013, une initiative de recherche scientifique exclusivement consacrée au graphène et à ses propriétés révolutionnaires y compris pour des applications biologiques directement sur le corps humain. Baptisée “Graphene Flagship”, ce consortium universitaire et industriel est dotée d’un colossal budget de 1 milliard d’euros, d’une ampleur sans précédent…
Il est possible d’utiliser des capteurs à base de graphène pour la surveillance de la santé humaine, y compris dans des capteurs portables flexibles non invasifs et dans des dispositifs invasifs. Les capteurs à base de graphène ont été explorés pour mesurer un large éventail de signes vitaux et de biomarqueurs du corps humain, qui sont très prometteurs dans un avenir prévisible pour des applications dans les soins de santé, la médecine personnalisée/préventive, le traitement des maladies et l’interaction homme-machine, comme avec des interfaces cerveau-ordinateur. Il a la faculté d’aller au cerveau et d’entourer les neurones. Ainsi, l’entreprise “Inbrain Neuroelectronics” développe par exemple, des solutions pour décoder les signaux émis par le cerveau et les nerfs grâce à de nouvelles interfaces neuronales basées sur le graphène. Grâce à ces technologies électroniques mini-invasives, il est possible à la fois de mesurer mais aussi de stimuler l’activité du cerveau.
Au tout début de la crise du COVID-19, en février 2020, une étude chinoise portant le titre de «Progrès récents de l’oxyde de graphène en tant que vecteur potentiel de vaccin et adjuvant» a été publiée. Dans cette publication, les scientifiques admettaient l’usage de l’oxyde de graphène en médecine. L’oxyde de graphène est largement utilisé pour l’administration de biomolécules. Il excelle dans le chargement et l’administration d’antigènes et montre le potentiel d’activation du système immunitaire. Petit problème, on peut aussi lire que : «Cependant, l’oxyde de graphène s’agrège dans le liquide biologique et induit la mort cellulaire, et il présente également une faible biosolubilité et biocompatibilité. Pour pallier ces limitations, divers protocoles de modification de surface ont été utilisés pour intégrer des substances compatibles aqueuses avec l’oxyde de graphène afin d’améliorer efficacement sa biocompatibilité.» Le graphène est très oxydant pour l’organisme, c’est un véritable poison : il s’attaque à l’équilibre du glutathion, une protéine naturellement produite par l’organisme, ce qui détruit le système immunitaire. Il a été démontré que les graphènes circulent très bien dans le sang et ont une grande facilité à passer la barrière hémato-encéphalique, la barrière placentaire et à s’accumuler dans les poumons, le foie, la vessie, les testicules, la moelle osseuse ou encore dans la rate…
En outre, il faut savoir que la fréquence de ces graphènes vibre exactement et comme par hasard à la même fréquence que les ondes 5G. Il peut donc être excité à distance par ces ondes. Relevons au passage que la ville de Wuhan, premier foyer du COVID-19 dans le monde, était aussi une ville-pilote dans le déploiement de la 5G en Chine. Le graphène est toxique et cause des thromboses, il génère une coagulation du sang, il entraîne un risque de tempête cytokinique, il provoque une saveur métallique dans la bouche et la perte de l’odorat. Des symptômes qui recoupent en tout point ceux de la COVID-19 qui seraient causés par le SARS-CoV-2. Autrement dit, en prolongeant l’usage et l’imposition de ces dispositifs que sont les masques, les RT-PCR et les vaccins, qui polluent les organismes avec toujours plus de graphène, on favorise et on entretient l’apparition des symptômes de la pandémie, comme un cercle infernal sans fin ! Il introduit des propriétés magnétiques dans le corps et peut donc expliquer la présence du phénomène magnétique observé.
Il faut savoir que le magnétisme joue un rôle clé dans les recherches de la DARPA pour développer une interface/cerveau machine, sans chirurgie. Nous savons que depuis des décennies, certains groupes au sein de la CIA, du Pentagone, de la DARPA, de la NSA, de l’ONI, du CFR, de “l’Institut Tavistock”, de “l’école de Francfort”, de “Princeton” ou encore du MIT, sont activement plongés dans des recherches portants sur le comportement humain, afin d’arriver à complètement le contrôler, voire à en changer son essence. Imaginer que depuis tant d’années, ils ont consacré autant d’énergie pour développer toutes ces technologies, non sans avoir l’intention de les utiliser un jour parait bien naïf.
On peut entre autre faire référence au “Projet Pandora”, une étude top secrète initiée en 1965 et menée par la DARPA. Il s’agissait d’étudier les effets de faibles niveaux de rayonnement micro-ondes. Le projet a été lancé après que le gouvernement américain ait découvert que les Soviétiques diffusaient des micro-ondes à son ambassade à Moscou pour rendre les employés fous. Le but était de diriger le comportement des soldats en guerre, en leur faisant entendre des voix dans leur tête, grâce à la création de champs électromagnétiques. Il y a vingt-cinq ans, le Biologiste médical Ross Adey, qui fut impliqué sur ce projet décrivait comment les cellules «peuvent chuchoter ensemble à travers la barrière des membranes cellulaire». De tels messages, croyait-il, pourraient contrôler des processus biologiques complexes. De plus, Adey a soutenu que le rayonnement électromagnétique externe pouvait également activer, submerger ou brouiller de tels processus. Ceux-ci sont plus communément appelés effets non thermiques.
En 2014, dans l’une de ces conférences, “Hacker le Cerveau, la menace ultime ?”, Laurent Alexandre nous dévoile l’avenir programmé du neurobusiness, qui ambitionne de créer le “cerveau 2.0” du nouvel homme. Il est question de violer le sanctuaire des cerveaux, de sélectionner les cerveaux, de hacker les cerveaux et même de modifier les souvenirs… “Total Recall” de Philip K. Dick n’est décidément plus très loin.
En 2016, le transhumaniste en chef et futurologue, Ray Kurzweil de chez “Google”, affirmait que les humains auront des cerveaux “hybrides”, alimentés par le cloud d’ici à 2030. Dans l’avenir, l’homme et la machine ne seront plus des entités séparées. À ce moment, nos cerveaux pourront être connectés directement aux ressources d’internet via le “cloud” par des puces implantées. Nous serons des humains “augmentés” par l’implantation de relais. Progressivement, prévoit Kurzweil, la partie “non biologique” de notre cerveau finira par comprendre et donc par dominer l’autre. Nous serons alors devenus des hybrides hommes-machines. Et la séparation entre intelligence humaine et intelligence artificielle cessera d’être pertinente. Notre pensée elle-même sera devenue une pensée hybride. D’ici 15 ans, les humains se verront implanter des nanobots qui connecteront leur cerveau à Internet, permettant une cognition considérablement accélérée. Dix ans plus tard, la plupart de nos réflexions «se feront en ligne».
De plus, dans une conférence au titre éloquent : “Le futur serait-il humain ?” Yuval Noah Harari, historien et philosophe Israélien parlait explicitement du piratage du vivant : «Nous pouvons pirater, non seulement des ordinateurs, mais aussi des êtres humains et d’autres organismes. Ces organismes, qu’il s’agisse de virus, de bananes ou d’êtres humains, ne sont en fait que des algorithmes biochimiques et nous apprenons à déchiffrer ces algorithmes. Quand la révolution de l’info technologique fusionne avec la révolution de la biotechnologie, ce que l’on obtient est la possibilité de pirater un être humain. Qu’est-ce dont vous avez besoin pour pirater un autre humain ? Vous avez besoin de deux choses : vous avez besoin de beaucoup de puissance de calcul, et vous avez besoin de beaucoup de données, et surtout des données biométriques. Pas des données sur ce que j’achète ou là où je vais, mais des données sur ce qui se passe dans mon corps et dans mon cerveau. Et peut-être que la plus importante des inventions, pour la fusion de l’info tech et de la biotech, est le capteur biométrique, qui traduit les processus biochimiques du corps et du cerveau en signaux électroniques qu’un ordinateur peut stocker et analyser. […] Aujourd’hui les données sont le bien le plus important au monde. Ceux qui contrôlent les données contrôlent le futur, non seulement celui de l’humanité mais aussi celui de la vie elle-même. Une fois que vous avez acquis suffisamment d’informations biométriques et assez de puissance de calcul, vous pouvez créer des algorithmes qui me connaissent mieux que moi-même. Vous ne pourrez pas vous cacher d’Amazon, d’Alibaba, et de la police Secrète.» En janvier 2020, Yuval Noah Harari est aussi intervenu au “Forum Economique Mondial” de Davos en posant une terrifiante équation pour définir ce à quoi va ressembler la vie au 21ᵉ siècle. Cette équation était composée des connaissances biologiques, qui sont multipliées par la puissance de calcul informatique, qui sont multipliées par le nombre de données recueillies, ce qui confère la possibilité de pirater et de tracer les êtres humains. Ainsi Harari affirme que : «Si vous disposez d’assez de ces connaissances, vous pouvez pirater le cerveau et le corps humain et vous êtes en mesure de comprendre et connaitre mieux l’individu qu’il ne se connait lui-même. Ainsi, vous pouvez connaitre mon profil psychologique et mes orientations politiques, mes préférences, mes faiblesses, mes peurs et mes espoirs. Vous pouvez le faire pour tout le monde. Il est aussi possible d’anticiper les prises de décision des individus, voire même de les manipuler. Dans le passé, beaucoup de gouvernements avaient ces ambitions de contrôle des masses, mais ils ne connaissaient pas la biologie assez bien et personne ne disposait encore de la puissance informatique nécessaire pour pirater des millions de gens. Ni la Gestapo, ni le KGB pouvaient le faire. Mais bientôt, au moins quelques corporations privées et gouvernements seront en mesure de pirater les gens à très grande échelle. Il va falloir que nous nous fassions à l’idée que nous ne sommes plus des âmes mystérieuses pour les gouvernements, mais nous sommes devenus du bétail traçable.»
De même, dans une conférence de 2017 intitulée “Thinking Digital”, le Dr Julian Sanchez, agrégé de génie biomédical et de neurosciences travaillant à la DARPA affirmait que : «Pour une personne comme moi, le cerveau n’est pas seulement une boîte noire, il n’est pas seulement cette masse entre les deux oreilles : c’est un signal très complexe et élégant de tous ces neurones. Ce que nous faisons à la DARPA, c’est développer la technologie permettant de détecter ces signaux en temps réel, et même d’écrire des signaux dans le cerveau.»
Tous ces scientifiques de premier plan font clairement référence à une communication entre notre corps et quelque chose d’extérieur. Si nous les laissons aller au bout de leur folie, nous serons semblables des souris de laboratoire dans leur boîte, comme dépossédés de nous-même, réagissant à des stimuli étrangers artificiels, qui ne viendront plus de notre esprit ou de notre cœur, de notre volonté naturelle, mais d’un monstre créé ad hoc, peut-être situé sur un satellite lointain !
Dans le monde rêvé et tant fantasmé de nos pseudo-élites, tout sera bientôt interconnecté, tant les humains, que les objets, les machines ou les infrastructures, et tout pourra être piloté et contrôlé d’une manière efficace, rationalisée et centralisée, à l’aide de la puissance de l’Intelligence Artificielle… Dans cette nouvelle société, plus rien ne doit échapper à l’emprise de l’empire technologique qui doit coloniser et embrasser tous les espaces, tous les objets, tous les êtres. C’est le grand rêve d’une société cybernétique telle que l’avait théorisée Norbert Wiener, le père de cette discipline. Dans la langue de la cybernétique, l’univers n’est plus composé que d’informations, de messages et de codes, qui sont organisés par la communication. Ce système de pensée n’établit plus aucune nuance qualitative entre deux objets ou sujets, entre le vivant et le non-vivant, mais ne s’intéresse qu’à l’aspect quantitatif. L’univers n’étant alors plus qu’une vaste abstraction mathématique, que l’on peut modéliser. Toute réalité pouvant se réduire à une série de chiffres et d’équations… Ils ambitionnent d’appliquer la science des systèmes aux collectivités humaines.
Ainsi dès 2008, le patron d’IBM, Sam Palmisano décrivait ce nouveau monde : «Les infrastructures numériques et physiques du monde sont en train de converger. Nous mettons la puissance informatique au service de choses que nous n’aurions jamais reconnues avant comme étant des ordinateurs. En réalité presque tout, qu’il s’agisse d’une personne, d’un objet, d’un processus, ou d’un service pour une organisation, publique ou privée, grande ou petite peut devenir sensible à la réalité numérique et faire partie d’un réseau.»
D’où la nécessité d’avoir conjointement à cette pseudo-pandémie, pendant le premier confinement, déployé en catimini le réseau 5G pour pouvoir faire circuler de telles faramineuses quantités d’informations… En effet, pourquoi a-t-on assisté en toute urgence au déploiement massif de ce réseau, avec sa pléthore de satellites, ses milliers d’antennes relais et ses millions de capteurs, si ce n’est pour mettre en place un réseau de contrôle planétaire, une sorte de toile d’araignée géante, un dispositif de contrôle des populations ? À l’internet des objets, dont nous parlent les scientifiques officiels de la 5G, il faut sans doute ajouter l’internet des personnes. Autrement dit, ils vont nous transformer de force en transhumains, porteurs de milliers ou de millions de ces nanoparticules, qui vont progressivement s’assembler et contrôler l’activité de nos neurones. Tous ces gouvernements sont tellement soucieux de notre santé qu’ils s’empressent de permettre l’implantation et le déploiement massif de ces antennes 5G, alors même que de nombreuses études et avis scientifiques démontrent sans la moindre équivoque sa dangerosité extrême. Mais il faut croire que pour ces apprentis dictateurs, les outils de la prochaine Dictature Numérique sont la priorité absolue.
Et pour ceux qui seraient encore dubitatifs sur cette folle réalité, je rapporte l’allocution surréaliste que le président du Chili, Sebastián Piñera, a prononcée devant un large public, en compagnie des ministres des Transports, des Communications et des Sciences, concernant le processus d’appel d’offres pour le réseau 5G : « […] C’est la possibilité que les machines puissent lire nos pensées, et peuvent même insérer des pensées, insérer des sentiments. Certains disent que la meilleure façon de prédire l’avenir est de l’inventer. Eh bien… c’est ce à quoi nous aspirons tous. La 5G est un énorme bond en avant, c’est un bond cosmique, Copernicien, car ce que la technologie 5G va vraiment signifier, c’est un changement encore plus grand dans nos vies que ce que toutes les technologies précédentes ont signifié dans ce domaine : la possibilité que les machines puissent lire nos pensées et peut-être même insérer des pensées, insérer des sentiments. Et cela va changer nos vies et la 5G va se transformer en véritable système nerveux de notre société. Tout comme le nôtre. Je me demande à quel point le cœur bat pour la survie humaine : il est vital. Personne ne s’inquiète que le cœur bat; il existe un système intelligent dans notre corps qui permet à plusieurs organes d’exécuter des fonctions extrêmement sophistiquées avec une coordination parfaite. Et très peu de décisions viennent à notre conscience. La plupart sont prises par ce système nerveux de manière autonome et intelligente. La même chose se produira dans de nombreuses autres sphères de notre vie, grâce à cette technologie. Et un impératif dont l’urgence et l’importance ne nécessitent pas de deuxièmes lectures, pour moderniser notre État, afin que ce soit un changement qui parvienne à tous les foyers de notre pays.»
Pour citer les propos d’Elon Musk, le patron de “Tesla” et de “Space X” sur l’Intelligence Artificielle : «Avec l’intelligence artificielle, nous invoquons un démon.»
Elon Musk met aussi en garde l’humanité : «L’intelligence Artificielle pourrait stimuler la création d’un véritable robot dictateur qui pourrait gouverner l’humanité à jamais. […] Au moins, lorsqu’il y a un dictateur diabolique humain, il finira par mourir. Mais pour une I. A., il n’y a pas de mort – elle pourrait vivre éternellement. Nous aurions alors un dictateur diabolique immortel, dont nous ne pourrions jamais nous débarrasser. […] Nous nous dirigeons rapidement vers une super-intelligence numérique qui dépasse de loin tout humain. Je pense que c’est évident !»
Si cette Intelligence Artificielle supplante celle de l’homme, alors nous en perdrons tout contrôle et nous nous retrouverons plongés dans le mythe de Frankenstein, ou dans celui du Golem de Prague, où ces monstres artificiels, créés par l’ambition Prométhéenne de l’homme, finissent par vouloir détruire leurs propres créateurs.
Cette entité toute puissante disposerait alors de toutes les caractéristiques traditionnellement attribuées à Dieu, à savoir :
- L’omnipotence, puisqu’il pourrait tout faire en contrôlant la matière par le biais des nanotechnologies et du réseau mondial ;
- L’omniprésence, puisqu’il serait partout à travers les caméras disséminées partout ;
- L’omniscience, puisqu’il saurait tout, en étant capable de lire jusque dans les pensées les plus intimes des gens ;
Une telle entité aurait la puissance de soumettre l’intégralité des hommes à sa propre volonté et à son monde aux valeurs sataniques.
Pour souligner encore cette dimension religieuse sous-jacente de ces courants technophiles, on peut faire mention du cas d’Anthony Lewandowski de la “Silicon Valley”, l’inventeur de la voiture autonome, qui a fondé aux États-Unis, une nouvelle organisation religieuse, appelée “Way of the future”, la voie du futur, qui fait de l’Intelligence Artificielle une divinité, censée améliorer la société.
Le tropisme eugéniste des élites mondialistes
Par ailleurs, il n’est vraiment pas rassurant de se rendre compte que ceux qui ont financé les recherches sur ces pseudos-vaccins sont des eugénistes Malthusiens qui prônent explicitement un contrôle et une limitation de la population humaine… Il faut bien avoir conscience que le point commun entre les plus riches et influents acteurs actuels du philantro-capitalisme, de Bill Gates à Georges Soros, en passant par David Rockefeller, Warren Buffet ou Jeff Bezos est de partager l’idéologie du néo-malthusianisme et de la dépopulation !
Comme après l’épisode du “Troisième Reich”, l’eugénisme avait très mauvaise presse dans l’opinion, il fallait bien lui donner un nouveau visage, plus respectable… Ces mondialistes, profondément préoccupées par l’amélioration et l’avenir de l’homme ont alors, sous l’impulsion de Julian Huxley, un farouche eugéniste, postulé que l’écologie serait un excellent moyen de parvenir à leurs fins… Car, qui peut en effet, raisonnablement être contre la protection de l’environnement, la limitation de l’exploitation des ressources de la planète, ou la lutte contre la pollution ? Dès 1946, Julian Huxley, le premier directeur général de l’UNESCO, confirmait cette manœuvre avec cette déclaration sans équivoque : «S’il est vrai qu’une politique eugénique radicale sera politiquement et psychologiquement impossible pendant de nombreuses années, il sera important pour l’UNESCO de veiller à ce que le problème eugénique soit examiné avec le plus grand soin et que le public soit informé sur le sujet en question, afin que tout ce qui semble impensable aujourd’hui puisse au moins redevenir pensable.» Déjà à leur époque, les nazis, avaient déguisé l’eugénisme en “science de la santé héréditaire” ou en “soins héréditaires” pour le rendre acceptable pour les masses.
Au passage, il faut savoir que Julian Huxley était le frère d’Aldous Huxley, l’auteur de l’incontournable “Meilleur des Mondes”. Ce roman n’était pas un simple récit dystopique, mais la formulation d’un projet politique, la proposition d’une nouvelle société reflétant les aspirations profondes de ces milieux mondialistes, comme Aldous Huxley l’avait lui-même avoué lors d’une conférence à Berkley. Un monde dont il était non pas un farouche opposant et un critique, mais un fervent partisan. Dès lors, on ne s’étonnera pas de voir le monde décrit dans ce livre devenir de plus en plus une réalité au cœur de notre société… Huxley affirmait au sujet de l’avenir «Il me semble parfaitement plausible qu’il y ait, dans une ou deux générations, un moyen pharmacologique pour que les gens aiment leur servitude, produisant ainsi une sorte de camp de concentration pour des sociétés entières afin que les gens privés de liberté aiment ça, parce qu’ils auront perdu tout désir de se révolter grâce à la propagande, le lavage de cerveau provoqué par des méthodes pharmacologiques.»
Pour comprendre cette liaison étroite entre écologie et eugénisme, on peut par exemple faire référence aux déclarations eugénistes de David Ross Brower, un écologiste et environnementaliste très connu aux États-Unis, fondateur de nombreuses organisations environnementales, dont le “Sierra Club Fondation” dont voici une éloquente citation : «La grossesse devrait être un crime punissable contre la société à moins que les parents aient une licence du gouvernement. Tous les parents potentiels devraient être tenus d’utiliser des contraceptifs chimiques et des antidotes seraient données par le gouvernement aux citoyens choisis pour procréer.»
Dans la même veine, on peut se référer à Philip Cafaro, professeur à “l’Université d’État du Colorado”, qui dans un article intitulé “Ethique du climat et politique de la population” affirme que «Mettre fin à la croissance de la population humaine est presque certainement une condition nécessaire (mais non-suffisante) pour prévenir un changement climatique mondial catastrophique. En effet, une réduction significative du nombre humain actuel peut être nécessaire pour le faire.»
Bien plus récemment et dans ce même état d’esprit, on pourra aussi relever le livre très révélateur “Permis de procréer” d’Antoine Buéno, un proche du pouvoir, conseillé au Sénat chargé du suivi de la “Commission du Développement durable”. Dans ce livre choc, ce croisé de la dénatalité défend l’idée que pour des raisons écologiques il faudrait réguler drastiquement la population en mettant en place un contrôle des naissances fondé sur un contrat de parentalité à l’échelle nationale, avec l’introduction d’un marché mondial des droits à procréer !
De son côté, Le premier, ministre britannique Boris Johnson a déclaré que : «Le principal défi de notre espèce est de se reproduire elle-même… Il est temps que nous ayons une discussion adulte sur la quantité optimale d’êtres humains dans ce pays et sur cette planète… Les preuves montrent que nous pouvons contribuer à réduire la croissance démographique et la pauvreté dans le monde en favorisant l’alphabétisation, l’émancipation des femmes et l’accès au contrôle des naissances.»
Nicolas Sarkozy a lui aussi fait part de ses inquiétudes relatives à la croissance démographique dans un discours au MEDEF en 2019 : «Le Choc n’est pas un choc climatique, il y a un dérèglement climatique évident auquel il faut apporter une réponse, mais le plus grand choc mondial, c’est le choc démographique. Des dérèglements climatiques, le monde en a connu, qui on conduit pour certain à la disparition de plus de 80% des espèces du vivant. Mais un choc démographique comme celui que nous sommes en train de vivre, le monde ne l’a jamais connu, JAMAIS ! […] Le sujet démographique est un sujet, mais monumental, tectonique ! […] Si on n’agit pas très rapidement, on va devant d’une catastrophe extravagante. La question combien d’êtres humains peuvent-ils vivre en même temps sur cette planète ?»
Il est aussi particulièrement intéressant et révélateur de prêter une oreille attentive aux déclarations ultra-cyniques, de certains puissants de ce monde, comme celles, proprement édifiantes du Prince Philip de Mountbatten, le duc d’Édimbourg, cofondateur du “World Wild Found”, l’ONG représentée par un adorable panda, qui confiait que : «Si j’étais réincarné, j’aimerais l’être sous la forme d’un virus mortel afin de contribuer à résoudre le problème de la surpopulation.» Espérons pour nous qu’il ne s’agisse pas là d’une prophétie et qu’il ne se réincarne en “COVID-PHILIP-21”, puisque ce dernier vient tout juste de passer de vie à trépas, à l’âge de 99 ans. Le WWF a placé parmi ses objectifs principaux, la réduction de la population mondiale, surtout dans les nations développées, les fonds nécessaires étant fournis par les Rockefeller pour laquelle l’eugénisme est une tradition familiale… Ainsi, feu David Rockefeller affirmait : «L’impact négatif de la croissance démographique sur tous nos écosystèmes planétaires devient de plus en plus évident.»
De même, le mathématicien Bertrand Russell, de la “Fabian Society” et de la “London School of Economics”, qui dans une vision scientiste et rationaliste souhaitait que la Mort noire, c’est-à-dire la peste, frappe le monde à large échelle à chaque génération, de façon à ce que les survivants «puissent procréer librement sans sur-peupler trop le monde.» En 1931, dans son essai, “The Scientific Outlook” il faisait la déclaration eugéniste suivante : «On doit supposer que pour chaque génération, 25 pourcents des femmes et 5 pourcents des hommes seront sélectionnés pour être les parents de la prochaine génération, et le reste de la population sera stérilisé.» Il affirmait aussi que : «Il y a trois façons de stabiliser la population. La première est celle du contrôle des naissances,la deuxième celle de l'infanticide ou des guerres vraiment destructrices,et la troisième celle de la misère générale sauf pour une minorité puissante…» Dans l’esprit de Russell, ce techno gestionnaire globaliste, il faut mettre un terme à la famille qui est une source d’attachement irrationnel, pour préférer une gestion directe des individus par l’État mondial scientifique.
Francis Crick, qui fut le Prix Nobel de 1962, pour sa découverte du génome humain, déclarait de son côté : «Aucun enfant nouveau-né ne devrait être reconnu humain avant d’avoir passé un certain nombre de tests portant sur sa dotation génétique […] S’il ne réussit pas ces tests, il perd son droit à la vie.»
Quant à Warren Buffett, troisième fortune mondiale au classement “Forbes”, avec ses 82,5 milliards de dollars, il avait aussi déclaré que, je cite : «Il y a une lutte des classes, bien sûr, mais c’est ma classe, celle des riches, qui fait la guerre. Et nous gagnons !» Au regard de la situation générale actuelle, on ne peut que lui donner raison… Précisons au passage que c’est ce même grand humaniste devant l’éternel, qui se préoccupe tant de notre bonne Santé qui dirige aux côtés de Bill Gates, “La Fondation Bill & Melinda Gates”… Voilà qui n’est pas des plus rassurants !
Les propos de Ted Turner, le grand magnat des médias, fondateur de CNN et donateur d’un milliard de dollars aux Nations Unies sont aussi édifiants puisqu’il estime pour sa part «qu’une population totale de 250 à 300 millions de personnes, soit une diminution de 95 % par rapport au niveau actuel, serait idéale.»
Parmi ces adeptes absolument décomplexés de la dépopulation, on peut aussi faire référence à John Holdren, l’ancien conseiller d’Obama pour les sciences et les technologies. Surnommé le “Tsar de la science”, il est l’auteur du livre “Ecoscience – Population, Resources, Environment” qui fut publié en 1977 et dans lequel il déclare explicitement que la population mondiale optimale serait d’un milliard. Pour y arriver, il prônait des avortements forcés, de la stérilisation de masse, la diffusion de drogues dans l’approvisionnement d’eau et la mise en place de permis de naissance… Tout un programme ! Et cerise sur le gâteau empoisonné, il parle lui aussi d’un gouvernement supranational, un régime planétaire qui imposerait une population maximum dans les différentes zones du monde. Soit le programme du meilleur des mondes.
L’ancien conseiller scientifique du président George W. Bush, auteur de l’essai “The Population Bomb”, Paul R. Ehrlich déclarait la chose suivante : «La résolution du problème de la population ne résoudra pas les problèmes du racisme… du sexisme… de l’intolérance religieuse… de la guerre… de l’inégalité économique flagrante. Mais si vous ne résolvez pas le problème de la population, vous ne résoudrez aucun de ces problèmes. Quel que soit le problème qui vous intéresse, vous ne pourrez le résoudre que si vous résolvez également le problème de la population.» ou encore «Une population mondiale de cinq cents millions d’hommes, moyennant quelques changements technologiques minimes et quelques changements radicaux dans le rythme d’utilisation et la répartition des ressources mondiales, on résoudrait sans doute la crise écologique.»
De même la biologiste Penny Chisholm, professeure au MIT, le “Massachusetts Institute of Technology” affirmait que : «Le vrai truc, pour tenter de se stabiliser à un niveau inférieur à ces 9 milliards, est de faire chuter les taux de natalité dans les pays en développement aussi vite que possible. Et cela déterminera le niveau auquel les humains se stabiliseront sur la terre.»
Sir David Attenborough, le célèbre rédacteur scientifique, écrivain et naturaliste britannique déclarait que : «On ne peut plus permettre à la population humaine de croître de la même manière incontrôlée. Si nous ne prenons pas en charge la taille de notre population, la nature le fera pour nous.» ou bien qu’ «Au lieu de contrôler l’environnement de la planète pour le bénéfice de la population, peut-être devrions-nous contrôler la population pour assurer la survie de notre environnement.»
Quant à Thomas Ferguson, l’ancien responsable du “Bureau des affaires de la population du Département d’État américain”, il affirmait que : «Tous nos travaux ont un thème unique : nous devons réduire les niveaux de population. Soit les gouvernements agissent à notre façon, avec des méthodes propres et agréables, soit ils obtiennent le genre de dégâts que nous avons en El Salvador, en Iran ou à Beyrouth. La population est un problème politique. Une fois la population incontrôlable, il faut un gouvernement autoritaire, voire fasciste, pour le réduire…»
En octobre 2021, Lord Adair Turner, l’ancien président de la Commission britannique sur les transitions énergétiques, a aussi reconnu que l’élite souhaite que la population de la Terre diminue dans les années à venir. «Mais l’arrêt d’une croissance démographique sans fin permettra également de réduire la pression future de l’humanité sur l’environnement naturel, d’atténuer le défi que représente la fourniture de logements adéquats et de faciliter la réalisation d’émissions nettes de gaz à effet de serre nulles tout en soutenant la croissance de la prospérité dans les pays en développement.» Lui-même père de cinq enfants, il a également suggéré que les «droits de fertilité» pourraient être commercialisés afin d’inciter les personnes pauvres à ne pas avoir d’enfants en tirant profit de la vente de leur crédit d’enfant à des personnes plus riches.
Les élites sont depuis longtemps très préoccupées par la révolution démographique, comme on peut le voir dès les années soixante, avec le fameux “Rapport Meadows” : “Les limites de la croissance” qui fut publié en 1972 par le groupe de réflexion mondialiste du “Club de Rome”. Ce club de réflexion était financé par la famille Rockefeller. Ce rapport alarmant mettait déjà en exergue les dangers de la croissance démographique. Ils avaient pronostiqué à l’horizon 2020 une rupture des énergies fossiles, avec une possibilité d’effondrement de la civilisation. On peut aussi faire mention du sommet de la terre à l’ONU, avec les interventions de Maurice Strong, le secrétaire général de la Conférence des Nations unies sur l’environnement. Il est vrai que nous sommes tout de même passés en 50 ans de 2 à près de 8 milliards d’habitants… Ce dernier affirmait que : «Soit nous réduisons volontairement la population mondiale, soit la nature le fera pour nous, mais brutalement.» La pensée de Strong a grandement inspirée celle de Klaus Schwab qui le considère comme un grand ami et un mentor pour son action au sein du “Forum Économique Mondial”.
Dans le sillage du grand architecte de la cause écologique Maurice Strong, on retrouve des personnages très versés dans la mystique “New-Age” tels que James Lovelock, le scientifique de la “Gaïa theory”, codirigeant de l’ONG “Population Maters”. Gaïa étant le culte écologiste voué à la Terre Mère, comme une substance universelle qui contient tous les êtres vivants. Auteur du livre “L’hypothèse Gaïa”, il a déclaré que «Sur Terre, les humains se comportent à certains égards comme des micro-organismes pathogènes, ou comme les cellules d’une tumeur ou d’un néoplasme. Nous avons accru notre population et ses effets nocifs sur Gaïa à un tel point que notre présence est devenue visiblement invalidante, comme une maladie. […] Aucune des atteintes écologiques auxquelles nous sommes confrontés […] ne constituerait un problème perceptible si la population humaine du globe était de 50 millions. Même avec un milliard d’humains, il serait probablement encore possible de limiter les pollutions.» En 2009, il déclarait aussi à un journaliste de la BBC que Gaïa ne pouvait plus soutenir et tolérer qu’un nombre limité d’humain de l’ordre de 1 milliard, voire probablement moins, en vivant sur le mode de vie actuel. En 2019 il parlait de la COVID-19 comme d’une volonté de Gaïa de réguler la population excédentaire : «La COVID-19 pourrait bien avoir été un retour négatif. Gaïa fera plus d’efforts la prochaine fois avec quelque chose d’encore plus méchant.»
Le Rapport Kissinger NSSM-200, produit le 10 décembre 1974 commandité par le président Richard Nixon avoue noir sur blanc que l’objectif de la politique étrangère en Afrique est de réduire la population, car elle dispose d’importantes matières premières et ressources minérales. La croissance de la population dans le tiers-Monde est considéré comme une menace pour les intérêts des États-Unis. Ce rapport a été mis en pratique à partir de 1976 et la politique étrangère des États-Unis a pris un caractère résolument néo-malthusien. Des milliards de dollars ont été utilisés par les fonctionnaires des ambassades américaines dans le monde pour financer des programmes pour le contrôle démographique comprenant, en même temps que la contraception, des pratiques comme l’avortement et la stérilisation.
Par ailleurs, le 18 janvier 2010 était publié dans le journal “le Monde” un article intitulé “Faut-il réduire la population mondiale pour sauver la planète ?” qui faisait état de deux rapports sur la surpopulation mondiale, le premier, émanant en 2009 du “Fonds des Nations unies pour la population” (UNFPA) et postulant que le réchauffement planétaire ne peut être endigué que par une réduction massive de la population mondiale, le second émanant de la “London School of Economics” qui estimait que le moyen le moins coûteux de résoudre le problème du réchauffement planétaire serait de réduire la population mondiale de 500 millions d’individus d’ici 2050. Or, comme la majorité des projections prévoient que la population totale devrait s’élever à plus de 9 milliards d’ici là, la proposition de réduire la population mondiale à seulement 6 milliards implique l’élimination de 3 milliards de personnes…
Sachant qu’en plus, parallèlement au problème insoluble des ressources, le Grand Capital, avec la généralisation de la robotisation et de l’automatisation de la production appuyée par l’avènement de l’I. A., n’a plus du tout besoin d’autant de main-d’œuvre pour fonctionner. Cette masse grouillante de travailleurs laborieux devient inutile, voire encombrante et dangereuse du point de vue des puissants de ce monde, avec des risques accrus de révoltes de la part de ces laissés pour comptes, de ces damnés de la mondialisation… Ainsi, une étude réalisée par des scientifiques d’Oxford conclut que dans à peine une génération, 47 % de tous les métiers seront remplacés par des systèmes automatisés et des robots. On arrive à grands pas sur une société qui n’a plus besoin que de 20 % d’activité humaine pour être fonctionnelle, ce qui implique que 80 % d’humains n’auront plus le moindre intérêt du point de vue des élites. Désormais, il faut bien comprendre que le Grand Capital ne vise plus à exploiter un sous-prolétariat comme un bon père de famille en redistribuant quelques maigres richesses produites, comme avec le Fordisme, mais à s’en débarrasser, car il n’a plus besoin de l’entretenir pour tirer profit de sa force de travail. L’humain devient obsolète.
On débouche ainsi sur la société des 20/80 qu’avait anticipé l’éminence grise des Présidents américains Zbigniew Brzeziński, le fondateur de la “Commission Trilatérale”, avec son concept du “Tittytainment”. Il s’agit d’une sorte de réactualisation du “Panem et Circenses” des Romains remis au goût du jour avec les moyens modernes. Histoire de canaliser et d’anesthésier l’esprit de révolte des masses, de neutraliser leurs frustrations en les noyant sous un déluge de divertissements infantiles, d’émission de TV poubelles débilitantes, de séries “Netflix” chronophages, de drogues abrutissantes, de jeux-vidéos ultra-répétitifs, de pornos et d’alimentation dégradées bourré d’additifs et de sucre, j’en passe et des meilleurs. Sans cette fabrique à crétins organisée et programmée, les peuples auraient encore les ressources intellectuelles et l’esprit critique assez développé pour garder tout leur instinct de survie et réagir à l’inacceptable.
Signalons aussi qu’en mai 2009, avait lieu à New-York une très discrète et secrète rencontre des milliardaires les plus influents des États-Unis, appartenant au club le plus élitiste au monde, le “Good Club”. Parmi eux, on pouvait relever la présence de David Rockefeller, le cofondateur du “Groupe de Bilderberg”, principal décideur du CFR, le “Conseil des Relations Étrangères” et de la “Commission Trilatérale”, Bill Gates, Warren Buffet, George Soros, Michael Bloomberg, Ted Turner et Oprah Winfrey. Ces milliardaires se sont réunis chez Sir Paul Nurse, prix Nobel et biochimiste pour évoquer la question de la surpopulation, des crises sanitaires et environnementales qui sévissent dans le monde. Lors de ces discussions, il y a eu un consensus sur la problématique de la “surpopulation”, comme étant la cause déterminante et supérieure englobant toutes les autres. Bill Gates et George Soros via leur “Good Club” semblent bien mettre en œuvre les prophéties et les préceptes de Maurice Strong, lorsque celui-ci affirmait que «Les experts ont prédit que la réduction de la population humaine pourrait bien se poursuivre au point que ceux qui survivront ne seront peut-être pas plus nombreux que les 1.61 milliard de personnes qui peuplaient la Terre au début du 20ᵉ siècle.»
N’en doutons pas, ces ultra-riches et ultra-cyniques, ces sociopathes en puissance, adeptes du “Darwinisme social”, entendent surtout bien maintenir leur train de vie et continuer à jouir des ressources en raréfaction de la planète. Cette oligarchie prédatrice considère la populace avant tout comme une menace susceptible de remettre en cause son pouvoir et son hégémonie. La grande hantise du pouvoir est de le perdre, donc il recherche le contrôle absolu. Le processus de dépopulation permet de réduire drastiquement le nombre de variables à contrôler. Partant de cet implacable constat, ces élites mondialistes pourraient-elles dans leur rationalité froide et pure, envisager de réduire drastiquement la population ? C’est une question excessivement difficile à soulever, presque inconcevable à envisager, voire à intégrer pour l’esprit humain du commun des mortels… Cependant, il faut bien avoir en tête que la psychologie, la tournure d’esprit, les dispositions morales et éthiques de cette caste de puissants n’ont strictement rien à voir avec celles de l’homme ordinaire. D’ailleurs, le fait que dans les prémices de cette crise dite sanitaire, les autorités aient en douce euthanasié bon nombre de personnes âgées, qu’ils se soient refusé à traiter bon nombre de malades, en leur bloquant tout simplement l’accès aux traitements disponibles, qu’ils exposent l’ensemble de la population à des inoculations génétiques encore en phase de test et qu’ils s’en prennent aussi aux tous jeunes enfants, alors même qu’ils ne risquent strictement rien avec ce virus, démontre de manière éclatante que bien qu’ils prétendent le contraire, ils méprisent la vie au dernier degré ! Seuls des pervers narcissiques peuvent agir ainsi, en mentant sciemment, sans le moindre état d’âme pour des questions touchant à la santé et à la vie humaine, ce qui est un profil compatible avec des génocidaires de masse potentiels. L’hypothèse d’une dépopulation programmée ne peut donc pas être définitivement écartée et doit être prise en considération. Voici une perspective qui éclaire l’actuelle crise sanitaire et sa flagrante instrumentalisation de la plus inquiétante manière et n’invite décidément pas à la confiance aveugle !
Daniel Tanuro un ingénieur agronome et environnementaliste qui collabore au Monde diplomatique écrit ainsi en juin 2020 dans la revue à Contretemps : «Au nom de la nécessité scientifique, la biopolitique montrera ouvertement son caractère dictatorial. Elle pourrait même prendre la forme d’un biofascisme, car le capitalisme ne se résoudra jamais à produire moins, transporter moins et partager plus; Or, si l’on refuse cette solution de bon sens, la disparition d’une bonne partie de la population mondiale apparaîtra en définitive comme le seul moyen de “résoudre” la contradiction entre l’infinitude de l’accumulation du capital et la finitude de la planète… En clair, la réponse que le système improvisera face au désastre climatique risque de ressembler au “triomphe de la mort” de Bruegel…»
Les Georgia Guidestones, “la pierre tombale de l’humanité”
Dans l’idéal de ces bâtisseurs, il s’agit de restaurer l’équilibre et l’harmonie entre l’homme et le cosmos, d’aligner les individus, petits fragments du grand tout de l’univers… «Il faut vivre en harmonie avec l’infini.» Voilà qui se rapporte à la doctrine hermétique de «Ce qui est en haut équivaut à ce qui est en bas». Il s’agit d’un manifeste à la fois politique, philosophique et spirituel, ainsi que d’une feuille de route à suivre pour parvenir à l’édification d’un “Nouvel Ordre Mondial”.
Parmi les dix commandements préconisés, il est explicitement question de réduire drastiquement la population mondiale ! Le premier commandement propose ainsi, dans un souci purement écologique de : «Maintenir l’humanité, en dessous de 500 millions d’individus, en perpétuel équilibre avec la nature !» Un chiffre proprement ahurissant et très choquant, qui laisserait entendre que douze personnes sur treize seraient des bouches de trop à nourrir, comparables à de vulgaires parasites, nuisibles à l’équilibre de la bonne marche du monde. Cette sinistre approche de l’humanité est encore confirmée dans le dixième et tout dernier commandement, qui rejoint en tous points l’esprit du premier : «Ne soyez pas un cancer à la surface de la Terre. Laissez de l’espace à la nature.»
Il est donc ici établi un sordide parallèle entre la vie humaine et une forme de virus destructeur, un cancer, une tumeur nuisible, dont il faudrait limiter et contraindre l’expansion. Il est question de guider l’humanité vers un “Nouvel Âge de la Raison”, pour l’aider à faire face aux grands enjeux de notre temps, qu’ils soient de nature écologique, démographique ou énergétique. Pour y parvenir, il est question d’imposer une gestion purement rationnelle des ressources et de la population, en s’appuyant sur la supériorité de la raison, tout en rejetant toute forme de révélation. Autant dire qu’avec une aussi détestable philosophie, la vie humaine perd son caractère sacré et les individus ne deviennent plus alors que des variables d’ajustement, une ressource à gérer parmi tant d’autres.
Pour en revenir aux autres commandements édictés par ces “Georgia Guidestones”, le second propose, toujours dans un esprit purement eugéniste, de «Guidez la reproduction sagement, en améliorant l’aptitude et la diversité.» Cela suppose donc la mise en place d’une politique autoritaire de contrôle et de régulation des naissances. «Améliorer l’aptitude et la diversité» sous-entend aussi l’application d’une politique de reproduction sélective et arbitraire des individus, selon leurs caractéristiques, et bien entendu, la stérilisation des individus jugés indésirables au corps social.
“Deagel”, des pronostics très macabres !
Par ailleurs, il est à prendre aussi en considération que l’organisme privé “Deagel” prévoit d’ici 2025, une hallucinante dépopulation mondiale massive de l’ordre de 50 à 80%. S’agit-il d’un obscur et délirant site “conspirationniste”? Eh bien non, il s’agit d’une organisation de renseignement militaire fournissant des informations qui sont ensuite exploitées par les communautés de renseignement mondiales et les gouvernements. Voici une liste partielle des partenaires et clients connus de “Deagel”, selon leur propre site Web : la NSA, l’OTAN, l’OCDE, l’OSCE, “l’Agence russe d’approvisionnement en matière de défense”, la “Banque mondiale” et les “Nations unies”. Rien que cela… D’après leurs perspectives macabres, la population de la France passerait selon eux de 67 millions d’habitants en 2017 à 39 millions en 2025 ! À noter que ces estimations cataclysmiques remontent à 2015, soit avant le déclenchement de l’actuelle crise sanitaire. Un niveau de perte humaines inédit dans toute l’histoire de l’humanité.
Une surmortalité exceptionnelle envisagée à Londres ?
En juillet 2021, la ville de Londres a passé en appel d’offre pour le stockage temporaire de corps, en cas de surmortalité. Voici les détails de l’offre : « L’Autorité cherche à obtenir un accord-cadre pour le stockage temporaire des corps en cas de décès excessifs pour les 32 arrondissements de Londres et la ville de Londres, sous la direction du conseil municipal de Westminster. L’accord-cadre désignera un seul fournisseur et sera conclu pour une période de 4 ans. Il s’agira d’un contrat d’urgence, auquel il ne sera fait appel que dans le cas où une situation de sur décès surviendrait à l’avenir et où la capacité locale de stockage des corps existants devrait être augmentée. L’objectif principal de cet appel d’offres est de trouver un fournisseur unique capable de fournir des installations de stockage temporaire des corps pour héberger les défunts en cas de surmortalité. Les défunts seront stockés avec dignité et respect, dans des lieux à déterminer en fonction des besoins locaux de Londres à ce moment-là et nécessiteront certains éléments de conception pour s’adapter aux conditions et contraintes du site local, tout en étant capables d’être déployés, construits et mis en service rapidement selon une norme convenue. »
“Tuer pour maintenir en vie”
En Colombie, les mesures pseudo-sanitaires, criminelles et délirantes de restriction imposées par le gouvernement à sa population mènent à d’inextricables situations. Ces mesures hors de toutes proportions, plongent littéralement le peuple dans une misère noire, elles l’empêchent de travailler et d’assurer ses moyens de subsistance en le réduisant à la famine. Cette situation intolérable conduit inéluctablement le pays dans un climat insurrectionnel explosif et dans un chaos inévitable. Au prétexte totalement hypocrite et fallacieux de veiller sur la santé, ces gouvernements assassins affament donc littéralement leurs peuples, sans la moindre once d’humanité. “Tuer pour maintenir en vie”, il fallait y penser… Sans parler des risques d’épidémie que cette situation d’extrême pauvreté va engendrer. Tout cela est d’une absurdité sans nom. Réveillons-nous avant qu’il ne soit trop tard : ce n’est plus une crise sanitaire, mais c’est un crime de masse programmé, planifié en toute connaissance de cause, un crime contre l’humanité ! Une guerre sans merci livrée aux peuples, où le virus n’est que l’instrument et le bras armé de ce génocide.
Les ravages de “La Fondation Bill & Melinda Gates”
À partir des années 2000, Bill Gates s’éloigna de la présidence de “Microsoft” pour se lancer avec sa femme dans la création de la “Fondation Bill & Melinda Gates”. La louable intention affichée par cette organisation humaniste et humanitaire, serait de lutter contre les inégalités, la pauvreté et la faim dans le monde, mais aussi de favoriser l’accès à l’éducation et à la technologie, notamment dans les pays en développement du tiers-monde. La réalité est cependant bien moins reluisante, car derrière cette belle façade, toutes ces sublimes et généreuses déclarations d’intentions, la fondation investit en réalité dans des activités fort douteuses et très peu éthiques, qui ne feraient, au bout du compte, que renforcer les inégalités tout en amplifiant les fléaux contre lesquels elle prétend lutter… Force est de constater que cette puissante et très influente fondation tend en fait à diffuser partout dans le monde, le modèle de société prônée par Gates. Il s’agit pour lui d’un outil d’ingérence redoutablement efficace, qui lui permet d’imposer au monde entier à coût de valises de billets sa propre vision technocratique, technologique, ultra-libérale et mondialiste. Elle lui permet d’influencer directement sur la politique des pays dans lesquels elle intervient en orientant leurs politiques de recherches et de développement scientifiques, et en contrôlant leurs investissements. Doté d’un budget annuel d’environ 4,7 milliards de dollars, cet immense Trust, pèse plus lourd, en matière de budget, que bien des États, qu’il n’hésite d’ailleurs pas au besoin à soudoyer ou à faire odieusement chanter, en refusant de leur accorder ses financements et ses aides en cas de non-coopération à ses politiques. Voilà une bien curieuse conception de la charité qui ressemble plus à une mise sous tutelle !
Bien loin d’être le fruit de généreux dons, de nature altruiste et purement désintéressée, la fondation s’appuie sur de subtils montages financiers, qui permettent en réalité à Bill Gates de faire de l’optimisation fiscale, pour échapper à l’imposition et de gagner bien plus d’argent que de n’en perdre. La preuve en est que le milliardaire et redoutable homme d’affaires Warren Buffett, qui fait partie du trio à la tête du conseil d’administration de cette fondation aux visées soi-disant philanthropiques, a pour philosophie et code de conduite de ne jamais investir le moindre dollar dans une entreprise qui ne dégagerait pas de substantiels bénéfices, ou qui perdrait de l’argent, même si elle aurait de brillantes perspectives d'avenir. Il s’agit donc là de “l’Art de la fausse générosité”, comme l’a appelé le journaliste Lionel Astruc dans son ouvrage consacré au système de philanthrocapitalisme développé par Gates. Il s’agit en fait de l’application de modèles commerciaux à la charité. La fondation ne dépense en fait pratiquement que ce qu’elle gagne via ses investissements boursiers. Ses placements lui rapportent de nombreux dividendes pour financer ses activités pseudo-philanthropique. Avec Gates, plus il donne et plus il s’enrichit de manière obscène, c’est magique !
La fondation est aussi en pointe sur la diffusion de l’agriculture chimique, des pesticides et des OGM, avec leur imposition massive et progressive à travers le monde. Il existe ainsi un partenariat étroit entre Bill Gates et la firme hautement criminelle “Monsanto” (Bayer). Cette dernière possède un passé très trouble, émaillé par différents scandales et crimes contre l’humanité, comme le “Round Up”, ou la production du fameux défoliant “Agent Orange”, qui fit tant d’irréversibles dégâts sur les populations pendant la guerre du Vietnam. D’ailleurs, Bill Gates et “Monsanto” ont pour point commun d’avoir comme ambition et prétention affichée de vouloir sauver le monde, tout en se rendant coupable, sans le moindre scrupule, des pires horreurs ! “Monsanto” a ainsi mis en place tout un système hautement pervers de prédation du vivant, de captation du patrimoine de l’humanité, pour se l’accaparer à son unique profit, en le brevetant, à grands coups de corruption et de lois iniques. La fondation de Gates, qui possédait auparavant des parts d’action chez “Monsanto”, reste un gros appui pour ses produits et encourage le développement des semences brevetées et des produits chimiques, dont elle pousse, par exemple, l’utilisation au Malawi.
Bill Gates, est aussi impliqué dans certaines des entreprises parmi les plus critiquées au monde pour être les plus polluantes, les moins soucieuses du respect de la dignité et des droits humains mais aussi pour leur propension à l’évasion fiscale, le tout dans des secteurs qu’il va sans dire, n’ont strictement rien à voir avec la quête affichée de la recherche d’un monde meilleur. Il s’agit des grandes sociétés minières “Barrick Gold”, “BHP Billiton”, “Freeport Mac Moran”, “Glencore”, “Rio Tinto”, “Vedanta”ou “Vale”. Ou bien encore, des entreprises agroalimentaires responsables de la malbouffe comme “Nestlé”, “Unilever”, “Archer Daniel Mitland”, “Kraft Heinz”, “Mondeles International. Mais aussi, des sociétés chimiques et pharmaceutiques comme BASF, “Daw Chemicals, “Glaxo Smith Kline”, “Moderna”, “Novartis” et “Pfizer”. Sans oublier des sociétés de boissons comme “Coca-Cola”, Diageo”, “PepsiCo”, ou des entreprises de construction comme “Caterpillar”. Et le plus choquant, pour un homme dont la vie entière serait vouée au bien commun, de financer des entrepreneurs de la défense militaire comme BAE Systèmes (le plus grand exportateur d’armes du Royaume-Uni), et enfin les entreprises de combustibles fossiles comme BP, “Anadarko Petroleum”, “Shell”, “Chevron”ou “Total”.
La “Fondation Bill & Melinda Gates” finance aussi à hauteur de 3 milliards de dollars l’ONG “PATH”. Celle-ci s’intéresse principalement à la planification familiale, c’est-à-dire au contrôle de la population, comme en atteste son acronyme original qui était PIACT, pour Programme pour l’Introduction et l’Adaptation des Technologies Contraceptives. Le nom a été depuis changé, car il était sans doute un peu trop explicite quant aux réels objectifs visés par cet organisme…
Voila qui invite donc véritablement à la plus grande méfiance pour cette campagne de vaccination de la COVID-19, d’autant plus qu’on a déjà vu l’usage en Afrique de vaccins qui rendaient stériles certaines femmes après injection ! Ainsi, la plus grande association de médecins catholiques du Kenya a directement incriminé l’OMS et la “Fondation Gates” d’avoir à travers une campagne de vaccination, administré jusqu’à 3 millions de femmes des produits stérilisant et contraceptifs ! Une accusation qui fut confirmée en 2017 par Raila Odinga, l’ancien Premier ministre du Kenya. Pour notre grand philanthrope devant l’éternel, l’affaire est entendue, l’Afrique n’a pas en priorité besoin d’une eau propre et potable, d’une alimentation saine et nutritive, de bonnes conditions d’hygiène, ou d’écoles. Non, non, rien de tout cela… Ce dont elle a besoin avant tout, c’est des campagnes de vaccinations massives et régulières.
On peut aussi mentionner un autre scandale en Inde, où la “Fondation Gates” avait également pris le contrôle du “Groupe Consultatif Technique National sur l’Immunisation” et où le vaccin GAVI contre la polio, aurait aussi tué des milliers d’enfants ! En raison du chevauchement des programmes de vaccination des enfants, jusqu’à 50 doses de vaccins obligatoires contre la polio ont été prescrites à chaque enfant avant l’âge de 5 ans ! Les médecins indiens accusent la campagne de Gates d’être à l’origine d’une épidémie déclenchée par ce phénomène. Bien que le vaccin n’ait pas généré de polio, il aurait provoqué, entre 2000 et 2017, le développement d’une paralysie flasque aiguë sur plus de 490 000 enfants. En outre, en 2014, la “Fondation Gates” a aussi financé des vaccins expérimentaux comme le “Gardasil” contre le papillomavirus développé par les laboratoires “GlaxoSmithkline” et “Merck”. Dans les semaines suivant cette vaccination, de nombreux enfants sont tombés malades. Il fut administré à 23 000 jeunes filles dans des provinces indiennes éloignées. Selon l’étude, environ 1 200 d’entre elles souffrent d’effets secondaires graves, notamment des troubles auto-immunes et des troubles de la fertilité et 7 jeunes filles sont mortes. Suite aux enquêtes menées par le gouvernement indien, les chercheurs financés par Gates sont accusés de profondes et gravissimes violation éthiques, en usant de méthodes de voyous telles que : exercer une pression sur les jeunes filles faibles des villages, harceler les parents, falsifier les formulaires de consentement et en outre, refuser les soins médicaux aux jeunes filles qui sont malades et victimes de la vaccination. En 2017, par le biais de sa cour suprême, l’Inde, a directement poursuivi “la Fondation Bill & Melinda Gates”. Elle a rejeté le programme de vaccination de Bill Gates et lui a demandé de quitter le pays avec toute sa politique de vaccination. Le gouvernement indien a donc décidé de suspendre toute administration de vaccins provenant de l’alliance GAVI. En conséquence, les taux de paralysie flasque aiguë ont chuté rapidement !
En 2017, “l’Organisation mondiale de la Santé” a admis, à contrecœur, que l’explosion mondiale de la polio était en grande partie due à la vaccination. Les épidémies les plus terrifiantes qui ont frappé le Congo, les Philippines et l’Afghanistan, seraient toutes liés à la vaccination. En 2018, 70 % des cas de polio dans le monde étaient liés au vaccin de Gates.
L’OMS et l’UNICEF ont aussi par le passé été pris la main dans le sac dans de nombreux programmes de vaccination de masse, avec divers vaccins contenant un agent stérilisant à l’insu des femmes qui les recevaient, comme pour le tétanos au Pérou, la variole en Afrique noire, mais aussi en Inde, au Pakistan, au Bangladesh, et en Indonésie. Plus récemment, aux Philippines, 3 millions de femmes ont été stérilisées, alors qu’elles pensaient aussi qu’il s’agissait d’une campagne de vaccination contre le tétanos. Même chose au Nicaragua, et au Mexique. En effet, le “Comité Pro Vida” de Mexico, une organisation de terrain catholique romaine, qui avait décidé de vérifier plusieurs flacons de vaccin, avait découvert qu’ils contenaient de l’hormone gonadotrophine chorionique humaine, ou hCG. une hormone de grossesse produite par la femme lorsqu’elle est enceinte et qui bloque la fertilité pour qu’elle ne retombe pas enceinte pendant le développement du bébé. Il s’agit d’un agent stérilisant, que venait-il faire dans un vaccin anti-tétanique ?
Selon une étude publiée en 2017 dans une revue respectée par les scientifiques du vaccin les plus réputés au monde, le vaccin DTC (contre la diphtérie, la coqueluche et le tétanos) de Bill Gates a tué 10 fois plus de filles africaines que la maladie elle-même, en compromettant leur système immunitaire. Chez les enfants de 3 à 5 mois, le fait d’avoir reçu le DTC était associé à un rapport de mortalité 5 fois plus élevé que pour les non-vaccinés.
En outre, les méthodes employées par la “Fondation Gates” sont aussi parfois plus que douteuses. On peut évoquer, par exemple, une vaccination forcée dans le village de Gouro au Tchad, où les enfants d’une école auraient été enfermés et vaccinés contre la méningite A, sans l’obtention de l’accord préalable des parents et sous la menace de ne pas pouvoir poursuivre les études en cas de refus de la vaccination. Jusqu’à 500 enfants ont été atteints de paralysie.
Les journaux sud-africains ont répondu en se plaignant, nous sommes des cobayes pour les compagnies pharmaceutiques. L’ancien économiste en chef de Nelson Mandela, le professeur Patrick Bond, affirme que les pratiques philanthropiques de Gates sont, non seulement immorales, mais aussi «sans retenue et sans scrupule».
Au Pakistan, les vaccins de GAVI contre la poliomyélite sont aussi tenus responsables du décès de 10 000 enfants !
D’inquiétants liens entre le vaccin “AstraZeneca”
et le courant eugéniste
Par ailleurs, il faut aussi savoir que les développeurs du vaccin “Oxford-AstraZeneca”, sont directement liés au mouvement eugénique racial britannique, avec une certaine proximité idéologique avec des organismes tels que le “Wellcome Trust” et le “Galton Institut”.
Le chercheur principal de ce vaccin, Adrian Hill, est en lien avec la “British Eugenics Society”.
L’anthropologue Francis Galton est considéré comme le père du mouvement eugéniste. L’ambition première de ce mouvement de penser était d’améliorer la race humaine, en se basant sur l’hérédité, via un programme de sélection artificielle et un contrôle des mariages.
Quant à la bibliothèque du “Wellcome Trust”, elle est la gardienne des archives historiques de “l’Eugenics Society”. Lorsque le “Wellcome Trust” a créé pour la première fois son Centre d’archives médicales contemporaines, la toute première archive qu’il a cherché à acquérir était de manière révélatrice, celle de “l’Eugenics Society-Galton Institute”. Le site Web de Wellcome décrit le but initial de “l’Eugenics Society” comme «d’augmenter la compréhension publique de l’hérédité et d’influencer la parentalité en Grande-Bretagne, dans le but d’améliorer la biologie de la nation et d’atténuer les influences que font peser sur la société les génétiquement inaptes.»
Il est aussi fort curieux et interpellant que le “John Hopkins Center for Health Security”, ait suggéré que le gouvernement américain rende les vaccins COVID-19 disponibles en tout premier aux minorités ethniques et aux handicapés mentaux… Voilà qui confère des relents plus que douteux, particulièrement sulfureux et nauséabonds à ce vaccin, dont le développement soulève par ailleurs des point plus qu’inquiétant… En effet, selon le magazine “Forbes”, le vaccin “AstraZeneca” a été inefficace pour arrêter la propagation du coronavirus dans leurs essais sur les animaux.
Les six singes ayant reçu le vaccin COVID-19 “d’AstraZeneca” ayant été infectés par la maladie après avoir été inoculés. Tous les singes ont été mis à mort, ce qui signifie que l’on ne sait pas si ces singes auraient subi d’autres effets indésirables ultérieurs… En outre, la composition de ce vaccin est inquiétante, car sur sa notice, on peut lire qu’il comprend de l’adénovirus de chimpanzés, des OGM, mais aussi du rein embryonnaire humain modifié !
Enfin, il faut savoir que ce sont ces mêmes laboratoires, en conflit d’intérêts permanent, capables de corrompre jusqu’aux politiques à la tête des plus hautes instances, qui fournissent les études et se portent garant de l’efficacité de leurs propres vaccins ! Ces laboratoires si peu scrupuleux, comme “Pfizer”, qui de par le passé se sont déjà rendus responsables et coupables de nombreux crimes, comme de la publicité mensongère relative au vaccin, avec de retentissants scandales sanitaires portés en justice.
La corruption de Big Pharma à son plus haut niveau
N’oublions pas la mise en garde sans appel du Pr. Philippe Even concernant toute cette industrie : «L’industrie pharmaceutique est la plus lucrative, la plus cynique, la moins éthique de toutes les industries, de tous les domaines réunis. Et ça se passe dans le domaine de la santé, ça me paraît deux fois plus grave !»
Aussi, comment encore accorder sa pleine confiance dans les autorités sanitaires et dans l’industrie pharmaceutique, elles qui ont déjà de par le passé généré tant de retentissants scandales, en se portant garant du résultat : du “Remdesevir”, en passant par le “Tamiflu”, le “Levothyrox”, le “Distilbène”, “l’hormone de croissance”, le “Chlordécone”, le sang contaminé, “l’Isoméride”, le “Médiator”, le “Viox”, le “Diane 35”, le “Thalidomide”, ou encore le “Cérivastatine”…
Cette corruption endémique de cette industrie est même directement avouée à demi-mot de la bouche des rapporteurs de l’ONU, qui la considèrent comme la plus grande cause de corruption au monde, ou encore par les rédacteurs en chef des plus grandes revues scientifiques médicales au monde, qui reconnaissent que la recherche médicale est très souvent manipulée et falsifiée.
Marcia Angell, elle aussi rédactrice en chef de ce même journal, affirme pour sa part avec grande amertume que : «Il n’est simplement plus possible de croire à l’essentiel de la recherche clinique qui est publiée, ou de se fier au jugement des médecins de référence, ou à des directives médicales faisant autorité. Je n’ai aucun plaisir à faire ce constat auquel je suis parvenue lentement et avec réticence au cours de deux décennies passées comme rédactrice en chef du “New England Journal of Medecine”.»
Quant à Richard Horton, le rédacteur en chef du “Lancet”, il affirme de son côté que : «Une grande partie de la littérature scientifique, sans doute la moitié, pourrait être tout simplement fausse. Affligée d’études avec des échantillons réduits, d’effets infimes, d’analyses préliminaires invalides, et de conflits d’intérêts flagrants, avec l’obsession de suivre les tendances d’importance douteuse à la mode, la science a pris le mauvais tournant vers les ténèbres.»
Enfin, Kamran Abbasi, lui aussi rédacteur en chef du “British Medical Journal” a résumé la crise sanitaire de la COVID-19 en trois mots : «Corruption, Politisation et Suppression de la science.» De même, le gouvernement affirme d’ailleurs systématiquement avoir appuyé et motivé toutes ses décisions, même les plus incohérentes sur la base d’un conseil scientifique. Mais ce dernier est-il vraiment composé de personnes intègres ? On peut raisonnablement en douter, vu l’aberration de certaines mesures adoptées…
Le “British Medical Journal” a admis de son côté que dans cette pandémie : «La science est actuellement réprimée pour des raisons politiques et financières. Le COVID-19 a déclenché la corruption de l’État à grande échelle, elle est nuisible à la Santé publique. Les politiciens et les industries sont responsables de ce détournement opportuniste. La pandémie a révélé comment le complexe politico-médical peut être manipulé. Lorsque la bonne science est supprimée, les gens meurent !»
De même, l’OMS ou “l’Organisation Mondiale de la Santé” n’a pas plus de crédibilité… Elle est en grande partie sous la coupe de Bill Gates via la “Fondation Bill & Melinda Gates” qui l’a financé à hauteur de 531 millions de dollars en 2017 et 2018 et qui en est l’un des principaux contributeurs en assurant 70% de son budget de fonctionnement. Cette organisation, financée en grande partie par des fonds privés, est le relais, la courroie de transmission des grands cartels et roule pour le “Gouvernement Mondial”. C’est sa raison même d’exister ! En outre, on retrouve à sa tête, Tedros Adhanom Ghebreyesus, qui n’est même pas médecin et qui est visé par le journaliste David Steinman, en lice pour le “Prix Nobel de la Paix”, par une plainte pour crime contre l’humanité en Éthiopie entre 2013 et 2015. Un ancien terroriste pour provoquer la terreur dans les populations. On peut dire que le bonhomme est parfaitement à sa place. Autant dire qu’en la matière, il serait sans doute plus approprié de parler “d’Organisation Mafieuse de la Santé”…
Quant aux médias, leur intégrité et neutralité peuvent aussi être grandement remises en question, avec la bagatelle de 417 000 000 € versés en financements par les entreprises pharmaceutiques à l’ensemble de la presse. Le journaliste d’investigation Tim Schwab a examiné 20,000 subventions caritatives de la “Fondation Bill & Melinda Gates” et a trouvé plus de 250 millions de dollars destinés aux médias. Parmi les bénéficiaires, le journal dit de référence “le Monde” en France qui aurait ainsi reçu en deux ans, 4 millions d’euros de fonds. C’est ce même Journal, qui part à la chasse aux “Fake News” concernant les attaques visant Bill Gates et qui nous dresse d’élogieux portraits hagiographiques de ce remarquable bienfaiteur de l’humanité… La “Fondation Gates” a ainsi chapeauté et noyauté une bonne partie de la presse mainstream, avec de prestigieux titres tels que l’AFP, la BBC, le “New York Times”, le NPR, “Al Jazeera”, la “Propublica”, le “National Journal”, “The Guardian”, “The Atlantic”, “The Texas Tribune”, “Gannet”, le “Washington Monthly”, “Center for Investigative Reporting”, le “Pulitzer Center”, la “National Press Fondation”, le “International Center for Journalists”, ainsi que de nombreux journaux de l’Europe de l’Est. Ces organes de presse ne sont donc pas indépendants, mais juges et parties… Bill Gates, finance par ailleurs des écoles de journalisme et des médias de vérification qui font la chasse aux dites “Fake News” sur les réseaux sociaux. Bill Gates a aussi financé Harvard à hauteur de 65 millions de dollars. En quelques années, Bill Gates a développé tout un réseau d’influence tentaculaire, en finançant toutes les principales organisations et unités administratives qui ont un rôle prépondérant dans cette pandémie. Cela s’étend de “l’Organisation Mondiale de la Santé”, en passant par “l’Université John Hopkins”, financée à hauteur de 870 millions de dollars et qui fournit les statistiques de cette pandémie, par la GAVI, financée à hauteur de 3 billions de dollars, en passant par “l’Impérial College de Londres”, financé à hauteur de 280 millions de dollars, par “l’Université d’Oxford”, financée à hauteur de 242 millions de dollars et qui développe des vaccins, par le CDC, financé à hauteur de 155 millions de dollars et qui conseille le gouvernement américain en matière de santé, ou encore par le NIH, le “National Institute of Health” d’Anthony Fauci, financé à hauteur de 18 millions de dollars et qui conseille aussi le gouvernement américain. Le pouvoir et l’influence politique de Bill Gates est astronomique, bien au-dessus des chefs d’États et le bonhomme n’a été élu par personne !
Mais ça ne devrait pas nous surprendre car dès février 1997, Bill Gates avait déjà ouvertement déclaré au magazine “George”, «qu’il finançe le contrôle de la population.»
Lorsque Big Pharma soigne ses opposants
avec des traitements spéciaux
Comme toute mafia qui se respecte, les laboratoires de Big Pharma n’hésitent pas à neutraliser, voir à se débarrasser de ses opposants en les liquidants. On pourra ainsi relever autour du COVID-19, où les enjeux financiers sont faramineux, une invraisemblable succession de morts très suspectes, comme :
Serge Rader, un pharmacien opposant aux vaccins et intervenant dans le documentaire “Hold-Up”;
Brandy Vaughan, une courageuse lanceuse d’alerte qui travaillait en tant que cadre dirigeante pour les laboratoires Merck. Elle fut retrouvée morte à son domicile de Santa Barbara. Se sentant menacée, elle avait passé des tests médicaux visant à prouver qu’elle était en bonne santé et elle avait averti tout son entourage que s’il lui arrivait quelque chose cela viendrait de son employeur ; Écœurée par les pratiques dénuées de toute éthique de son employeur qui cherchait à maximiser ses profits au mépris de la santé quitte à trafiquer les résultats des études qui démontraient que tel vaccin pouvait entraîner de violents et dangereux effets secondaires. Elle était partie en croisade contre Big Pharma et l’a payé de sa vie ;
Kary Mullis, le Prix Nobel de Chimie et inventeur de la technique PCR, très hostile à Anthony Fauci, est mort le 15 août 2019, tout juste trois mois avant le début de la pandémie ;
Alexander Kagansky, un biologiste russe de Saint-Pétersbourg qui travaillait sur un vaccin contre le coronavirus et qu’on a aidé à se suicider puisqu’il a été retrouvé jeté par la fenêtre, après avoir été poignardé de quatre coups de couteau ;
Zhou Yusen, un scientifique militaire de Wuhan, collaborateur de Zhengli Shi financé par le NIH américain de Fauci qui est mystérieusement mort à 54 ans trois mois après avoir déposé un brevet de vaccin COVID en février 2020 ;
Bing Liu, un professeur adjoint de 37 ans de la faculté de médecine de “l’Université de Pittsburgh”, assassiné, retrouvé mort à son domicile avec de multiples blessures par balle à la tête, alors même qu’il était sur le point de faire de capitales découvertes dans le cadre de ses études sur le Covid-19. Son assassin a été retrouvé gisant près de sa voiture, lui aussi avec une balle dans la tête ;
Barry Sherman et sa femme Honey Sherman, le fondateur de la compagnie pharmaceutique Apotex et plus gros producteurs de chloroquine au Canada, retrouvés morts le 15 décembre 2017 à leur domicile suite à un double homicide par étranglement ;
Andrew Brooks, un neuroscientifique moléculaire, concepteur du test salivaire ultra-rapide de dépistage du COVID-19 qui meurt d’une crise cardiaque à 51 ans ;
Le Dr. Peter Salama, membre des services de renseignements américains et en poste à l’OMS, un épidémiologiste spécialisé en guerre bactériologique et des épidémies en pleine santé mort d’une crise cardiaque le 23 janvier 2020 ;
Le Pr. Fourtillan embastillé ;
Bernard Lachance, lanceur d’alerte sur le Sida au canada ;
John Magufuli, le Président de la Tanzanie et Pierre Nkurunziza, le Président du Burundi, tous deux farouches opposants à l’OMS et à sa politique sanitaire sont décédés en 2020 dans de curieuses circonstances. Nkurunziza avait parlé d’ingérence inacceptable dans sa gestion du coronavirus, il avait exhorté ses citoyens à poursuivre leur vie sans crainte et avait expulsé l’équipe d’experts déléguée dans son pays pour “Fausse pandémie”.
Jovenel Moïse, le président haïtien assassiné le 10 juillet 2021 par un commando. Haïti était un des seuls pays à ne pas avoir mis en place la politique vaccinale.
Andry Rajoelina, le président du Madagascar, qui soigne son peuple avec un remède local, le Covid-Organics, basé sur la plante Artemisia, plutôt que les vaccins de Big Pharma, a aussi essuyé une tentative d’assassinat perpétrée par deux militaires français