Vaccination COVID-1984, Le crime parfait — Le livre



Vaccination COVID-1984
Le crime parfait


Écrits hérétiques
par Olivier Probst

2021


Merci à tous ceux qui ont soutenu et partagé mon travail. Mille mercis à Guillaume Locussol pour avoir prêté sa voix à mon film “Vaccination COVID-1984, Le Crime Parfait”, merci à tous ces éveilleurs de conscience qui œuvrent sans relâche sur la toile pour apporter un autre regard sur la situation. Ils sont trop nombreux pour que je puisse tous les citer. 


Adresse du film de 3h30 sur Odysée :
https://odysee.com/@olivierprobst:8/Vaccination-COVID-19,-le-crime-parfait:e

Version audio de 9h00 de ce livre :


AVANT-PROPOS

CHAPITRE 01 : UNE GESTION DE CRISE SANITAIRE CATASTROPHIQUE, VOIRE CRIMINELLE !

CHAPITRE 02 : “LE VACCIN À ARN MESSAGER”, OU LA MISE À JOUR DE L’HUMANITÉ

CHAPITRE 03 : LA DÉRIVE TOTALITAIRE

CHAPITRE 04 : CORONAVIRUS, LE COURONNEMENT DE LEUR PROJET ?

CHAPITRE 05 : L’HOMME CONTRE LES ROBOTS, LE MONDE DE DEMAIN

CHAPITRE 06 : UN SYMBOLISME OCCULTE OMNIPRÉSENT

CHAPITRE 07 : UNE CRISE PLUS SPIRITUELLE QUE SANITAIRE ?

CHAPITRE 08 : DE L'ACCUSATION DE COMPLOTISME

CHAPITRE 09 : QUE FAIRE ?


«Celui qui regarde un crime sans le dénoncer est plus coupable que celui qui le commet.» – Albert Camus

«Taire la vérité, n’est-ce pas déjà mentir ? Qui ne gueule pas la vérité, quand il sait la vérité, se fait le complice des menteurs et des faussaires !»Charles Péguy

«Il y a quelque chose de pourri au Royaume du Danemark» – William Shakespeare dans Hamlet

«C’est en gardant le silence quand ils devraient hurler que les hommes deviennent des lâches.» – Abraham Lincoln

 

AVANT-PROPOS

Avant toute chose, je tiens à préciser que ce livre n’est pas celui d’un médecin, d’un universitaire, d’un chercheur, d’un sociologue, d’un anthropologue, d’un intellectuel, d’un théologien, d’un théoricien, d’un journaliste ou même d’un écrivain… C’est celui d’un simple être humain, assez curieux de nature et qui s’interroge non seulement sur cette crise sanitaire, mais aussi sur l’état actuel du monde et la trajectoire de la société dans laquelle il évolue…

Pourquoi me suis-je lancé dans l’écriture de ce pamphlet ?

Eh bien à la base, ce n’était pas vraiment prémédité, mon objectif était simplement de réaliser une série de deux ou trois courtes vidéos très synthétiques pour exposer la situation générale de la pandémie et dénoncer les incohérences manifestes de la gestion de cette crise sanitaire par ce gouvernement, que je qualifierais de véritablement criminelle ! Depuis, le projet a grossi et petit à petit, je me suis retrouvé un peu dépassé par son ampleur… Ce livre a donc commencé par l’écriture d’un simple article de blog, pour se poursuivre par un premier montage vidéo qui a été énormément visionné, copié, relayé et commenté sur la toile, avec à ce que j’ai pu en voir, au moins 2 millions de visionnements.

J’ai été moi-même totalement surpris par l’ampleur virale de cette diffusion. Je pense donc que le contenu est sans doute susceptible d’intéresser plusieurs personnes et de trouver chez elles un écho. Comme il est sans doute arrivé à beaucoup d’entre nous, cette crise a fait que je me suis retrouvé plongé dans des abîmes d’incompréhension, en quête de sens et avec de profonds questionnements par rapport à ce qui nous arrivait collectivement… Très vite, j’ai instinctivement perçu que quelque chose ne tournait décidément pas rond avec toute cette histoire et que cela cachait sans doute quelque chose de très grave. Dans toute cette affaire, j’ai rapidement identifié le gouvernement comme étant le principal et le plus virulent virus pour le peuple. Pour ne pas perdre mon intégrité, j’ai alors décidé d’activer toutes mes défenses immunitaires, tant intellectuelles que morales, de déployer tous les gestes barrières qui s’imposaient pour ne pas être infecté par la propagande étatique hautement toxique.

Sans doute, ces confinements à répétition auront été propices à une introspection et auront contribué à une certaine prise de conscience, en nous permettant de nous extirper momentanément du rythme effréné et infernal imposé par la vie contemporaine. Pour certains, il a alors été possible de prendre un peu de recul et de hauteur nécessaires pour comprendre ce que nous étions en train de subir collectivement.

Peut-être que ce livre pourra apporter quelques éléments de réponses, même si je suis sans doute loin d’en avoir cerné toutes les clés, les tenants et les aboutissants.

Cette crise sanitaire inédite de par son ampleur et surtout de par la démesure disproportionnée de son traitement, cristallise toutes les autres crises qui semblent irrémédiablement converger. Ainsi, bien des dangers semblent nous guetter et rendent notre avenir de plus en plus incertain : de la crise bancaire et financière sans précédent qui menace d’éclater (et qui remonte à 2008), en passant par la crise alimentaire, un possible effondrement de la civilisation, un probable chaos et une potentielle guerre civile, avec des tensions inter-communautaires exacerbées depuis des années… Le moins que l’on puisse dire, c’est que la situation est explosive et que ce coronavirus est venu à point nommé pour détourner notre attention de ces autres menaces, comme l’arbre en flamme dont l’épaisse fumée cacherait le reste de la forêt en feu.

L’avenir à plus ou moins brève échéance semble malheureusement bien sombre ! Comme si nous étions plongés dans une période de grandes turbulences et de tribulations. Nous sommes à l’aube d’une transformation majeure de notre société, d’un profond changement de civilisation, et j’ai bien peur que malheureusement, le monde que nous avons connu jusqu’à présent soit bel et bien derrière nous… La société semble avoir basculé dans toujours plus de folie, elle est en pleine mutation et nous ne reconnaissons déjà plus l’ancien monde, celui que nous avons laissé derrière nous depuis la survenue de cette pandémie. Ce qui est sûr, c’est qu’avec cette crise, les événements semblent s’accélérer de manière fulgurante, ils nous dépassent. Nos libertés volent les unes après les autres en éclats.

J’ai pleinement conscience que cette lecture ne plaira pas à tout le monde, elle me vaudra sans doute quelques railleries, voire de l’hostilité, car contrairement aux documentaires à charge les plus critiques de l’action des gouvernements pendant cette crise sanitaire et qui furent volontiers qualifiés de “complotistes” par le système, comme “Hold-Up”, “Mal traités”, “The New Normal”Covidence“Ceci n’est pas un complot”ou encore “Plandemic” aucun n’a abordé la crise que nous vivons dans sa dimension spirituelle, voire ésotérique et occulte… Cette approche audacieuse ne fera certainement pas l’unanimité et fera sans nul doute fuir les plus matérialistes d’entre vous, surtout dans le monde de plus en plus sécularisé qui est le nôtre. Certains d’entre vous se rangeront à ma vision des choses, d’autres pas du tout et la rejetteront avec force. Mais qu’importe, ce qui compte pour moi est d’approcher de la vérité autant que possible et je ne veux plus me mentir à moi-même, ni pratiquer la politique de l’autruche.

Humainement, je ne me fais plus trop d’illusions sur la possibilité d’un éveil massif des consciences. Il semble de plus en plus utopique et j’ai bien peur qu’il ne nous reste que bien peu de chance et de temps pour infléchir sur le cours des choses… La machine mondialiste à broyer de l’humain est bien en marche, implacable ! Mais il ne faudrait surtout pas négliger une aide surnaturelle, nous pouvons encore compter sur la Providence.

Ce livre n’a donc pas la prétention de changer les choses, il a pour seule ambition d’être une petite particule, un infime grain de sable parmi tant d’autres dans cet effroyable système qui se met sournoisement en place. Je souhaiterais de tout cœur participer à remettre l’humanité sur de meilleurs rails. Ce livre est ma modeste contribution pour aller dans ce sens, c’est ma petite part de colibri, même si je risque d’y laisser quelques plumes…

Qu’importe, car au point où nous en somme, il y a finalement si peu à perdre et comme le disait très justement l’Abbé Pierre : «La responsabilité de chacun implique deux actes : vouloir savoir et oser le dire !» Devant la gravité de ce qui nous arrive, ne rien dire, c’est tout simplement consentir. Il y a donc un impérieux devoir moral à prendre position pour réagir et manifester son désaccord face à l’inacceptable, pour ne pas avoir à un jour dire : «Je savais, mais je n’ai rien fait, ni même dit.» De toute évidence, la période actuelle sera sans nul doute jugée très durement par les futures générations… Notre passivité, notre lâcheté et notre résignation collective sont sans doute pour beaucoup dans le marasme dans lequel nous nous trouvons maintenant empêtrés.

Rappelons-nous aussi le constat d’une grande lucidité d’Étienne de la Boétie dans son Discours de la servitude volontaire : «les tyrans de ce monde ne sont grands, que parce que nous sommes à genoux.», ou bien encore, cette vérité intemporelle d’Edmund Burke «La seule chose qui permet au mal de triompher est l’inaction des hommes de bien.»

Vu le degré de folie ambiante, l’écriture de ce texte fut aussi pour moi une nécessité, une sorte de catharsis pour ne pas sombrer et perdre pied. Comme nous sommes en guerre, c’est un peu mon carnet de guerre pour rendre compte de tout le déroulement des événements que je me suis attaché à reproduire le plus fidèlement possible.

Tout au long de cette crise sanitaire, j’avais un peu l’impression d’être embarqué dans un douloureux et amer voyage, à l’image du Capitaine Willard, du film “Apocalypse Now” qui, à mesure qu’il remonte la rivière sur son embarcation et s’enfonce dans l’impénétrable et hostile jungle, dans les eaux troubles et boueuses, en quête du mystérieux colonel Kurz, remonte le cours des abominations de ce monde et s’enfonce toujours plus loin dans la folie humaine… C’est un peu la perte de l’innocence et les illusions perdues.

Pour moi, cette crise fut aussi une sorte d’Apocalypse, dans le sens de dévoilement et de révélation puisque paradoxalement, alors que l’on masque les visages dans l’espace public, de plus en plus de masques de notre société tombent les uns après les autres pour ceux qui veulent bien se donner la peine de le voir.

Comment désormais ne plus voir la lâcheté, l’indifférence, voire la complicité de l’écrasante majorité des artistes, la faillite de nos institutions, le dévoiement de la classe politique inféodée au pouvoir financier, l’absence de véritables et authentiques contre-pouvoirs et ces faux opposants qui gesticulent en vain pour donner le change, la démission et la trahison des syndicats, la servilité et la corruption des médias, le pouvoir de Big Pharma, l’illusion totale de la liberté d’expression ?

Aussi, comment continuer à garder une foi aveugle en ce système, qui nous parle d’esprit «Je suis Charlie», mais qui dans le même temps, censure toute parole authentiquement dissidente, supprime la diffusion de documentaires alternatifs et stigmatise les opposants ? Ce système qui se gargarise de bons mots, nous parle perpétuellement de tolérance, d’inclusion, tout en instaurant un système de ségrégation et d’apartheid entre “bons” et “mauvais” citoyens, qui n’a de cesse de nous parler d’ouverture et de “Liberté”, tout en enfermant les individus à travers des quarantaines prolongées, en conditionnant cette dernière à un statut “sanitaire”, ou en instaurant partout des micros-frontières au sein même du territoire… Dans ce nouveau monde, quelles libertés nous reste-t-il, à part celles de travailler et de consommer, et encore ? Ce système nous parle aussi d’“Égalité” comme d’une abstraction, alors que les inégalités n’ont concrètement jamais été aussi abyssales. Il nous parle également de “Fraternité”, tout en empêchant les contacts humains et en imposant une distanciation sociale (ou plutôt une réalité antisociale) tout en encourageant la délation entre citoyens, en entretenant la division entre eux, en alimentant de veines polémiques. Il nous parle de libéralisme, tout en paralysant l’économie de certains secteurs d’activité et en favorisant systématiquement les multinationales. Il nous parle de démocratie, mais sans jamais consulter les peuples, tout en détruisant littéralement leur existence. Il nous parle de justice sociale, tout en ayant un système de passe-droit, et en pratiquant le deux poids deux mesures systématiquement en faveur des plus puissants de la société… Et que dire de cette “République” qui n’a strictement plus rien de la chose publique, mais qui a été vidée de son sens, phagocyté par des intérêts privés et des forces d’argent.

Jamais la parole biblique «La vérité vous rendra libre» n’aura eu autant d’écho que dans la situation actuelle, car nous sommes littéralement privés de nos libertés les plus fondamentales
sur la base de nombreux mensonges.

Ce livre se veut donc un cri d’alarme et un cri du cœur. Je l’ai écrit avec mes tripes, animé par la révolte et le dégoût profond que m’inspirait la situation. C’est un cadeau du plus profond de mon âme à destination de toutes les autres âmes qui l’accueilleront et le comprendront, je le lance un peu comme une bouteille à la mer dans cet océan tumultueux et à l’approche de cette tempête qui s’annonce.

Je tiens également à préciser qu’à travers toute cette virulente dénonciation, je n’ai pas pour objectif de nourrir et de déchaîner la colère, ou l’envie de révolte violente. Car pour moi, il est bien possible que ce soit justement l’objectif visé par tout ce système que de nous conduire dans cette impasse pour en réalité qu’il puisse se renforcer. D’ailleurs, n’était-ce pas Jacques Attali qui prédisait une révolution dans notre pays avant 2022… En tout état de cause, on ne peut éteindre un incendie avec un lance-flammes.

D’ailleurs en ce sens, on aura remarqué que le système ne cesse de jouer sur de grossières provocations, Emmanuel Macron semble être devenu un spécialiste en la matière depuis le début de son mandat. Il a multiplié les affronts et les déclarations méprisantes à l’égard du petit peuple en traitant les Français tour à tour de “gaulois réfractaires”, de “procureurs”, “d’amishs”, de fainéants, d’illettrés, de gens qui ne sont rien, voir même de “connards” ! Il est fort probable que le système cherche à utiliser cette colère montante contre les gouvernements qui ne sont en réalité que l’interface d’un pouvoir bien plus profond. Toute révolte violente serait alors le prétexte idéal pour accélérer la chute programmée des États-nations et de ces gouvernements qui auraient faillis afin de mettre en place une “Gouvernance Mondiale”. Cela ne ferait sans doute que renforcer la tyrannie qui se met en place.

Bonne lecture, et que Dieu nous vienne en aide pour sortir de cet enfer !



Extrait d’un dialogue tiré du film “My Dinner with André” de Louis Malle (1981)


«Oui, on s’emmerde, on s’emmerde tous ! Mais ce processus, qui conduit à cette morosité que l’on observe désormais, alimente peut-être une entreprise inconsciente de lavage de cerveau, mise en place par un Gouvernement Mondial totalitaire dirigé par le fric ! C’est plus dangereux qu’on ne croit ! Ce n’est pas une question de survie individuelle, Wally, c’est que si on s’emmerde, on dort, et l’homme qui dort, ne sait plus dire non. Ces gens, j’en vois partout !

Il y a quelques jours, j’ai vu cet homme que j’admire beaucoup, ce physicien suédois Gustave Bjornstrand et il m’a dit, qu’il ne regardait plus sa télévision, ne lisais plus les journaux, ni aucun magazine. Il a arrêté complètement ! Parce qu’il est persuadé qu’on vit dans un cauchemar à la George Orwell et tout ce qu’on entend contribue à nous changer en robots.

Et à Findhorn, j’ai rencontré ce formidable expert en arbres, qui a voué sa vie à la protection des arbres. Revenant de Washington pour y défendre les Redwoods ! À 84 ans, il voyage avec un sac à dos, il ne sait jamais où il sera demain ! À Findhorn, il m’a demandé : «D’où êtes-vous» ? J’ai répondu, «New-York». Il a dit : «Ah, c’est intéressant, New-York ! Vous connaissez des New-yorkais qui rêvent de partir, mais ne le font jamais ?» Et j’ai dit : «Oh oui !» Il a dit : «Pourquoi, d’après vous ?» J’ai répondu des banalités. «Ce n’est pas ça du tout.»

«New-York est le nouveau prototype du camp de concentration… Bâti par les détenus eux-mêmes, ces détenus qui sont leurs propres gardiens. Ils sont fiers d’avoir bâti leur propre prison ! Ils vivent en état de schizophrénie à la fois gardien et détenus. Il en résulte qu’ils le voient pas, qu’ils sont lobotomisés, donc incapables de quitter leur prison, ni même de voir que c’est une prison !» Il a fouillé dans sa poche et a pris une graine en disant : «C’est un pin.» Il me l’a donné en disant : «Filez, avant qu’il ne soit trop tard !» En fait, tu vois… Depuis 2 ou 3 ans, Chiquita et moi, on a ce sentiment inconfortable que nous devrions partir !

On se sent comme des Juifs allemands en 36. Il faut fuir ! Mais la question, c’est : où aller ? Car il semble évident que le monde entier va dans la même direction ! Je pense qu’il est très possible que les années 60 aient vu l’ultime manifestation de l’homme avant l’extinction finale. Et que c’est le début d’une ère nouvelle. Et que désormais, nous ne serons plus que des robots marchands  en tous sens, ne ressentant rien, ne pensant à rien… Il ne restera presque personne pour se souvenir qu’il existe à jadis une espèce appelée «race humaine» douée de sentiments et de raison… L’histoire et la mémoire sont d’ores et déjà effacés, et bientôt, personne ne se souviendra que la vie a existé sur cette planète.»

«La plupart des gens préfèrent croire que leurs dirigeants sont justes et équitables même en face de preuves du contraire, puisque lorsqu’un citoyen reconnaît que le gouvernement sous lequel il vit ment et est corrompu, il doit décider de ce qu’il compte faire. Poser des actions face à un gouvernement corrompu représente des risques d’atteintes à sa vie ou à celle d’êtres chers. D’un autre côté, choisir de ne rien faire implique de trahir toute idéologie personnelle de «défense de ses principes. « La majorité des gens n’ont pas le courage de faire face à ce dilemme. Par conséquent, la plupart de la propagande n’est pas conçue pour tromper l’esprit critique, mais simplement pour donner aux lâches d’esprit une excuse pour ne pas penser du tout.» – Michael Rivero



CHAPITRE 1
UNE GESTION DE CRISE SANITAIRE CATASTROPHIQUE, VOIRE CRIMINELLE !




«C’est un malheur du temps que les fous guident les aveugles.» – William Shakespeare

«Moi je trouve que, puisqu’il y a eu une métaphore militaire… Notre président a dit, nous allons mener la guerre contre le COVID. Un général qui perd une bataille on le vire, je suis désolé… Et éventuellement, on le fusille !»  Dr. Gérard Delépine

«La première victime d’une guerre, c’est la vérité.»  Rudyard Kipling 

«Dans les temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire.» – George Orwell“1984”

 

Créer le problème, pour offrir les solutions ?

Pourquoi n’avoir pas pris dès le début de cette crise sanitaire toutes les mesures qui s’imposaient pour endiguer l’épidémie à la racine, alors qu’il y avait pourtant tout le recul nécessaire pour le faire, le virus étant arrivé dans notre hémisphère bien après la Chine ! Étrangement, le gouvernement n’avait alors dans cette période-charnière et décisive, rien mis en œuvre pour contenir la propagation du virus, alors qu’il était pourtant, à en croire les édifiantes et larmoyantes confessions de l’ex-ministre de la Santé, Agnès Buzyn, parfaitement au courant de la gravité de la situation, de la dangerosité et de la virulence de cette maladie, et ce depuis le début de la propagation. Elle aurait même la première, alerté le gouvernement et le directeur général de la santé des potentiels risques, elle qui était si concernée par la situation qu’elle avait fort opportunément démissionné juste avant la tempête à venir de la COVID-19. Pourtant, cette même ministre s’était fendue d’un communiqué ultérieur, affirmant le 20 janvier 2020 avec aplomb que je cite : «Le risque d’importation depuis Wuhan est quasi nul. Le risque de propagation du Coronavirus dans la population est très faible !» Soit, tout et son contraire, un comble pour une dame qui a le toupet de se présenter ainsi : «Moi, je suis transparente et sincère, comme un livre ouvert. Mes convictions me portent au-delà de mes émotions.»

C’est beau comme l’antique…

Un tel degré d’amateurisme, d’inconséquence et de légèreté laisse pantois. Enfin, en tout état de cause, il serait dans le présent cas, manifestement bien plus adapté de parler de mensonges calculés et délibérés, portés par un culot et un cynisme abyssal !

Mais de toute manière, dans notre merveilleux monde, un tel degré de duplicité et de mensonge ne peut que finir par être rétribué à la hauteur de la félonie. Ce qu’on n’aura d’ailleurs pas manqué de vérifier quelques mois plus tard, puisqu’à la demande expresse de l’Élysée, la dame Buzyn vient maintenant de se voir propulser à “l’Organisation Mondiale de la Santé” en tant qu’ambassadrice auprès de “La Fondation Bill & Melinda Gates”, ce qui lui confère au passage une immunité diplomatique bien pratique et une paye confortable de 15 000 euros mensuels. De quoi acheter à vil prix le silence de la dame sur les compromissions du gouvernement. Comme quoi en “Macronie”, ce n’est pas la roue de la justice qui tourne, mais uniquement les portes tournantes qui s’activent…

Aussi, pourquoi ne pas avoir fermé de toute urgence les frontières ? Pourquoi avoir avec un tel battage médiatique, déplacé dans des TGV médicalisés des malades  contaminés dans d’autres régions, où personne ne l’était encore, alors même que des cliniques privées étaient disponibles pour les prendre en charge ? Pourquoi même avoir autorisé, en dépit du bon sens des rassemblements sportifs avec une rencontre de foot France/Italie regroupant plus de 60 000 spectateurs, alors même que l’Italie était déjà plongée dans une crise sanitaire aiguë, qu’elle était à ce moment-là le principal foyer européen actif et donc un vecteur à haut risque pour la propagation de la pandémie ? Ou encore, pourquoi avoir maintenu envers et contre tout des élections qui auraient pu être reportées ? Le vote Républicain passerait-il avant la santé des Français ?

S’agissait-il là en réalité d’une inavouable stratégie visant à laisser pourrir délibérément la situation et générer de nouveaux foyers de contamination ?

À ce moment-là, au tout début de la pandémie, il n’y avait presque aucun matériel de disponible : ni masques, ni surblouses, ni gels, ni respirateurs, ni même test de dépistage. Dans l’urgence, les soignants devaient même s’improviser des combinaisons de protection à base de sacs-poubelles… Une honte pour un pays soi-disant développé !

Pourtant, force est de constater que dans d’autres domaines, lorsqu’il s’agit par exemple de fracasser et de brimer le petit peuple, comme avec le mouvement de contestation sociale des Gilets Jaunes, la pénurie ne se fait jamais ressentir, même après plus d’une année ininterrompue d’intenses manifestations ! Le gouvernement était alors capable de prévoir et d’anticiper de larges stocks de munitions, 4 ans à l’avance, en faisant l’implacable démonstration d’une gestion rigoureuse et exemplaire ! Serait-ce donc à croire que le gouvernement est plus prompt à taper et à éborgner ses citoyens qu’à les soigner, ou à les guérir ?

D’autre part, pourquoi juste après la première vague, ne pas avoir renforcé le nombre de lits disponibles, alors qu’à les écouter, ils s’attendaient tous à la venue d’une seconde vague. Pourtant, à en croire de nombreux spécialistes, un tel scénario de seconde vague était des plus improbables, voire totalement inédit en matière de virologie… Le 27 août 2020, le gouvernement avait pourtant promis, 12 000 lits supplémentaires pour faire face à l’afflux des malades. Pire que cela, d’après ce que rapporte le journal du “Canard Enchaîné”, le nombre de lits en réanimation en Île-de-France serait passé en pleine pandémie de 2 500 à 1 700 ! Dans toute la France, c’est un total de 5758 lits d’hospitalisation complète qui ont été supprimés au plus fort de la pseudo-pandémie. Il n’y aurait plus que 5 000 lits de réanimation pour une population vieillissante de 67 millions de Français. C’est proprement délirant ! Dans chaque‌‌ pays, il‌ y‌ ‌a‌ ‌une‌ ‌corrélation‌ ‌évidente‌ ‌entre‌ le‌ nombre‌ ‌de‌ ‌décès ‌et‌ le‌ ‌nombre‌ ‌de‌ ‌lits‌ ‌de‌ ‌soins‌‌ intensifs‌‌ par milliers ‌‌d’habitant. C’est donc un facteur déterminant pour amortir une épidémie, c’est le nerf de la guerre.



Il faut aussi bien avoir conscience que la problématique de la saturation des services hospitaliers ne date certainement pas de l’épisode de la COVID-19, mais remonte à des dizaines d’années. En effet, cette intolérable situation est récurrente depuis la destruction progressive du système de santé publique liée aux politiques ultra-libérales mises en place par les différents gouvernements qui se sont succédé. Il y a eu une suppression de plus de 60 000 lits d’hôpitaux en 25 ans sous les mandats de Nicolas Sarkozy, François Hollande et Emmanuel Macron. Et d’après les chiffres de l’OCDE, depuis les années 70, il y aurait eu une suppression de 9 lits sur 10 dans le service hospitalier public. Cette problématique a été régulièrement rapportée par les journaux télévisés, avec des scènes surréalistes de patients honteusement entassés dans les couloirs des hôpitaux, par manque de place et qui doivent parfois attendre des heures durant avant d’espérer êtres  pris en charge, quelques fois trop tard ! L’argument avancé de ne surtout pas chercher à saturer le système de soins est donc un sommet d’hypocrisie et est nul et non avenu. Autant dire qu’ils ont sciemment organisé l’insuffisance de moyens, ce qui a servi à justifier la mise en place des confinements afin de répondre à l’insuffisance de ces mêmes moyens.


En outre, pourquoi serait-ce de la responsabilité du citoyen d’assurer et d’endosser la bonne viabilité d’un hôpital public à bout de souffle et la continuité des soins ? Il me semble que nous payons amplement assez d’impôts pour cela, nous devrions avoir un service à la hauteur de nos investissements, avec 330 milliards d’euro en budget pour la Sécurité Sociale  ! Il faudrait par exemple, surtout moins gaspiller l’argent public par les fenêtres, en remboursant à prix d’or des médicaments et des traitements parfois totalement inefficaces à Big Pharma… D’après la Revue prescrire, il existerait une liste d’au moins 90 médicaments qui ne servent strictement à rien, voir qui sont dangereux.

Par ailleurs, comment les autorités sanitaires peuvent-elles, des mois à l’avance, anticiper le comportement d’un virus inconnu, parler avec assurance de deuxième et de troisième vague, prévoir une fin de crise à l’horizon de 2025 pour la Banque Économique Mondiale, voire anticiper jusqu’à six vagues pour Neil Ferguson de “l’Imperial College of London”, fort de ses modélisations mathématiques hasardeuses ? Quelle est cette science miraculeuse, qui permet de se projeter de la sorte dans le temps, tel un dieu omniscient ou un oracle, pour établir de telles projections ?

Comment peut-on réduire la complexité biologique du vivant à de telles équations, à des modèles mathématiques théoriques ? Il est à relever que ce Neil Ferguson qui est responsable de notre confinement, a été arrosé avec 79 000 000 de dollars par Bill Gates pour réaliser ces rapports. Vous savez, le milliardaire qui compte bien vacciner les presque 8 milliards d’individus que compte la population mondiale… Et pour cause, Bill Gates a massivement investi dans tous les laboratoires pharmaceutiques qui se sont lancés dans la course au vaccin de “Moderna”, en passant par celui de “Oxford”, de “Pasteur”, de “Johnson & Johnson”, de “Novartis”, ou encore de “Sinopharm”Bill Gates avait déclaré que le plus profitable investissement qu’il ait jamais fait sont les vaccins, qui dégagent des marges bénéficiaires de 1 à 20. On comprend mieux son ardeur à vouloir piquer l’ensemble de la planète… Autant dire que d’un point de vue purement financier, il a tout intérêt à pousser à cette vaccination mondiale et à repousser tout autre forme d’alternative. Il est d’ailleurs piquant de savoir que du propre aveu de son ancien médecin privé à Seattle dans les années 90, Bill Gates le monsieur vaccin, se refuserait à faire vacciner ses propres enfants, Jennifer, Rory et Phoebe, ou tout du moins, à en reculer l’administration. Cela ne manquera pas de nous faire penser à l’hypocrisie des grands pontes de la Silicon Valley, Steve Jobs et Bill Gates en tête, qui refusaient catégoriquement d’acheter des tablettes numériques pour leurs propres enfants, bien conscients des dommages cognitifs irréversibles que ces appareils peuvent provoquer sur des cerveaux en formation, tout en en assurant la promotion et le développement pour les enfants des autres… Pour en revenir à Neil Ferguson, il est donc en conflit d’intérêt manifeste et qui plus est, il a la particularité de se tromper de manière spectaculaire presque systématiquement dans ses prédictions Apocalyptiques, qui nous annoncent à chaque fois des catastrophes de grande ampleur. Ce fut déjà le cas lors de la crise de la vache folle, ou celle du H1N1, où il s’était déjà magistralement planté, avec l’anticipation de milliers de morts, alors qu’il n’en fut rien ! Ses modèles mathématiques étant systématiquement surévalués, avec un taux d’erreur allant de un à cent. Pour cette crise de la Covid, ce Ferguson avait tout de même pronostiqué une hécatombe de 62,5 millions de morts dont 2 millions aux États-Unis et 510 millions en Grande-Bretagne !

Pour la petite anecdote au passage, il est aussi des plus cocasses de savoir que ce Ferguson a été pris la main dans le sac, en train de passer outre les mesures sanitaires de confinement pour aller batifoler avec sa maîtresse, une affaire qui a fait scandale et les choux gras de la presse britannique. Sous la pression populaire, Ferguson a été contraint de démissionner.

«Confiner les gens sains, c’est du jamais-vu.» – Dr. Violaine Guérin

Le confinement mondial est un événement sans précédent. Jamais toute l’économie d’un ou plusieurs pays n’avait été paralysé et jamais une atteinte à une liberté aussi fondamentale que celle d’aller et de venir n’avait été limitée de la sorte, même dans les pires dictatures. Cette privation de liberté a été imposée au prétexte de ne pas surcharger les unités COVID… Mais, n’aurait-il pas été beaucoup plus judicieux et économique de financer ces quelques lits supplémentaires, plutôt que de paralyser tout le pays, en lui imposant un confinement désastreux à tout point de vue, en ruinant l’économie, en massacrant l’éducation, en sacrifiant les jeunes générations tout en tuant à petit feu les petits commerçants et entrepreneurs ? Combien de “dommages collatéraux”, de suicides, de troubles psychiatriques de divorces, de violences au sein des foyers, de traumatismes, de maladies non prises en charge, etc. par la faute de ces criminels !

À ce propos, Klaus Schwab du “Forum Économique Mondial”, le grand architecte de cette gigantesque prise d’otages affirme avec aplomb et grand cynisme dans son livre “COVID-19, la Grande Réinitialisation” que je cite : «Aucune industrie ou entreprise ne sera épargnée.» Mais aussi que «Jusqu’à 75 pourcents des restaurateurs indépendants pourraient ne pas survivre aux verrouillages et aux mesures de distanciation sociale.» Soit un véritable carnage bel et bien délibéré.

Aussi, pourquoi ne pas avoir tout simplement réquisitionné toutes ces cliniques, avec 115 000 lits de disponibles ? Pourquoi ne pas avoir eu recours aux médecins réservistes et aux étudiants de fin de cycle pour éviter d’avoir à bloquer l’entièreté du pays ? En effet, en temps de guerre, si guerre il y a, comme le pantin qui nous sert de Président n’a eu de cesse de le scander d’un ton martial à six reprises : On Réquisitionne ! Enfin, pourquoi ne pas avoir eu recours à la médecine ambulatoire de ville afin d’éviter tout effet de saturation du système hospitalier ? De plus, pourquoi ne pas avoir concentré tous les efforts sur les plus exposés au virus dans la société, à savoir, les plus fragiles et les plus âgés, au lieu de saborder de manière suicidaire, voire méthodique le pays tout entier ?


Assassinats sur ordonnance, on achève bien les petits vieux !

«Je suis encore… choquée. Je suis choquée par ça. Qu’on ait osé nous demander… de piquer nos patients pour les faire partir plus vite… C’est insupportable, c’est un sentiment d’horreur…» Témoignage anonyme d’une soignante au journal de France 3


Au lieu de cela, qu’a-t-on pu observer : l’abandon total de la prise en charge des anciens, quand ce n’est pas pour les euthanasier tout court, par le biais de brigades d’intervention rapide GIR, à grands coups de protocole de “Rivotril” et sans même en avoir informé les familles au préalable ! Ces pauvres âmes furent ainsi laissées, livrées à elles-mêmes, enfermées, cloîtrées dans leur chambre. Elles furent totalement isolées de leurs proches pour quitter ce bas monde. Beaucoup d’anciens ne sont pas morts de la Covid-19, mais tout simplement de désespoir, de solitude et de chagrin lié au sentiment d’abandon. La sociabilité jouant chez-eux de manière déterminante sur leur espérance de vie. Pour les personnes âgées, elle est un facteur qui va du simple au double. Les familles ont juste eu l’insigne privilège de récupérer en guise d’adieu leurs derniers effets dans des sacs-poubelles. La grande classe au pays de l’humanisme et des droits de l’homme ! Quel bel hommage pour clôturer une vie de dur labeur… 

En 2020, les prescriptions de “Rivotril” ont explosées avec 25 000 de plus par rapport aux autres années. Autant dire que les empoisonnements à mort, l’euthanasie active, le géronticide a dû battre son plein  !

Voilà qui devrait faire grandement plaisir à un certain Jacques Attali, lui qui déclarait en 1981, dans “l’avenir de la vie” «Dès qu’il dépasse 60-65 ans l’homme vit plus longtemps qu’il ne produit et il coûte cher à la société. La vieillesse est actuellement un marché, mais il n’est pas solvable. Je suis pour ma part en tant que socialiste contre l’allongement de la vie. L’euthanasie sera un des instruments essentiels de nos sociétés futures.»

Comme le rapporte le docteur Gérard Delépine, le décret “Rivotril” a été un assassinat programmé des anciens, quelques fois sur la base de simples suspicions Covid liées à la présence de problèmes respiratoires. Les pensionnaires des EPHAD ne bénéficiant d’aucun test de dépistage pour le confirmer, car ils étaient réservés au personnel soignant. Dans le cas de l’apparition du moindre symptôme respiratoire, ils étaient d’office considérés comme atteints de la Covid. Une seringue était alors préparée pour être injectée par le premier aide-soignant venu, s’il pensait que la maladie s’aggravait, sans même l’expertise et le diagnostic préalable d’un médecin. Avec cet abject décret, il s’agit donc d’une mort par ordonnance légalisée. Le “Rivotril” est fatal en cas d’insuffisance ou de détresse respiratoire, ce cas de figure fait précisément partie des contre-indications majeures de cet anxiolytique.

Même sordide constat en Angleterre, avec John O'looneyun directeur de pompes funèbres qui est en relation avec 45 autres entreprises de pompes funèbres, ce qui lui permet d’avoir une vision très claire de ce qui s’est passé. Il témoigne de ce qu’il a observé tout au long de la crise sanitaire et expose les dissimulations de son gouvernement autour du COVID-19 depuis 2019. Il affirme que des milliers de personnes ont été tuées et euthanasiées : «D’habitude sur dix décès, huit sont de l’hôpital. En mars 2020 on m’appelait tous les soirs pour des décès covid seulement en maison de retraite. Je n’ai jamais vu de médecin, de test ou de ventilateur. Je soupçonne que des milliers de gens ont été euthanasiés à l’aide du “Midazolam”.» Au début de la pandémie, ce croque-mort n’avait constaté aucune augmentation significative du nombre de morts, mais simplement beaucoup de personnes étiquetées arbitrairement COVID, alors qu’elles étaient manifestement mortes de toute autre chose. Les personnes âgées avaient été transférées des hôpitaux vers les maisons de retraite pour les décharger. Durant cette même période, la quantité de commande en pharmacie de “Midazolam”, une molécule de la famille des benzodiazépines, avait augmenté de mille pourcents ! Il a alors été appelé à une fréquence tout à fait anormale par des maisons de retraite pour des décès intempestifs de personnes âgées, toutes les nuits pendant trois semaines. Du jamais vu. Sur place, il n’avait constaté la présence d’aucun matériel, d’aucun médecin ni incubateur. Il n’y avait donc aucune raison de sédater ces personnes… Il a donc une très forte présomption que tous ces pauvres personnes furent tout simplement euthanasiées dans ces établissements, à l’aide du “Midazolam” dont il avait sur les lieux constaté la présence de plusieurs fioles. Pour se référer à cette période, il parle de douze semaines “d’abattage”. Pour lui, ces décès en série ont été instrumentalisés pour prétendre qu’il y avait une vague très mortelle de COVID qui sévissait. Des milliers de personnes âgées sont ainsi mortes dans les EPHAD durant la première vague, les rapports ont été détruits et les autopsies interdites.

Tout cela est encore plus cynique sachant que le gouvernement a axé toute sa communication de prévention COVID vis-à-vis du reste de la population et des jeunes en particulier, en les culpabilisant qu’ils mettraient en péril les personnes âgées et vulnérables au virus, s’ils ne respectaient pas les gestes barrière… Mais de son côté, qu’a fait ce gouvernement pour nos anciens, si ce n’est de les abandonner lâchement à leur triste sort, ou de les euthanasier sans le moindre état d’âme ? Au lieu de protéger les anciens, les plus faibles, on les a sacrifiés ! Le degré d’une civilisation peut s’évaluer aux égards qu’elle réserve à ses morts. Les malades décédés de la COVID-19 n’ont même pas bénéficié de funérailles dignes de ce nom et les proches n’ont même pas été en mesure de reconnaître leurs morts et de veiller sur eux pour faire leur deuil. C’est proprement monstrueux. On se retrouve plongés dans le mythe de la tragédie grecque d’Antigone où le roi Créon interdit à cette dernière d’enterrer son propre frère, si bien qu’elle se fait enterrer et emmurer vivante pour pouvoir l’accompagner dans l’au-delà. Comment peut-on expliquer de telles mesures, avec une telle absence de considération pour la dignité humaine ? Comment a-t-on pu veiller des semaines durant sur ces mêmes malades juste avant leur mort, avant de se refuser à leur rendre ce dernier hommage ? Ça n’a aucun sens… Comment là encore ne pas y voir une volonté délibérée et bien perverse de semer la peur dans la population ?


Des confinements désastreux à tous points de vue

«Le confinement est une arme de destruction massive.» - Jean-François ToussaintDirecteur de l’institut de recherche biomédicale et d’épidémiologie du sport.


Quant aux confinements à répétition, on peut sérieusement douter de leur efficacité étant donné que les pays qui n’ont pas confiné, comme la Suède ont eu tout de même d’excellents résultats en misant tout sur l’immunité collective… Avec à l’arrivée, un taux de mortalité inférieur à la France, à l’Allemagne, à l’Italie ou à l’Espagne et cela, sans la moindre imposition de mesures drastiques de confinement ou de couvre-feu. Le Dr Gérard Delépine a démontré l’inefficacité totale de ces mesures, en comparant le confinement strict de la Belgique et l’absence totale de confinement aux Pays-Bas et en se basant sur les chiffres officiels de l’OMS. Les Pays-Bas ont ainsi eu beaucoup moins de morts que la Belgique et que la France. Paradoxalement, les‌‌ pics‌‌ de‌‌ mortalité‌‌ les‌‌ plus‌‌ élevés‌‌ se‌‌ trouvent‌‌ dans‌‌ les‌‌ pays‌‌ ayant‌‌ le‌‌ plus‌‌ confiné.‌ Si l’efficacité de cette méthode moyenâgeuse, qui n’a jamais été appliqué sur des populations saines, reste à prouver, en revanche, ses effets destructeurs et dévastateurs, tant sur le plan humain qu’économique, sont indéniables. On peut parler de véritable catastrophe, tant sanitaire que civilisationnelle. Il est hors de tout doute, que ces confinements successifs vont dans leur sillage entraîner sur le long terme, beaucoup plus de morts et de victimes collatérales que le coronavirus lui-même n’en aurait jamais pu causer, d’autant plus qu’il faut souligner que son taux de létalité est très faible.

Le Pr. Jean-François Toussaint, invité de Cnews, s’exprimant au sujet de ces mesures iniques entreprises par le Gouvernement, notamment la mise en place d’un Couvre-feu renforcé, n’a pas hésité à parler de sacrifice de masse : «On est plus sur des mesures qui ressemblent à celles que les Incas prenaient face au solstice et face aux grandes catastrophes climatiques, en sacrifiant leurs plus beaux adolescents !» L’image du sacrifice n’est pas ici outrancière ou hors de propos, puisque toutes ces mesures ne s’appuient en réalité sur aucun fondement scientifique véritable et sont contraires à toute raison. Elles sont des mesures politiques volontaires, dont les instigateurs sont pleinement conscients de ce qu’ils mettent en œuvre. La sédentarité et la dégradation psychologique liée à l’isolement contribuent en réalité à l’effondrement du système immunitaire.

On peut d’ailleurs légitimement se demander si pendant le premier confinement, le fait d’avoir enfermé dans la plus grande promiscuité les personnes malades contaminées, avec celles qui sont saines n’était pas en fait le meilleur moyen de créer de nouveau foyers de contagion au sein même des familles et d’accroître ainsi la transmission du virus au sein de la population… N’était-ce pas d’ailleurs Olivier Véran en personne qui au début de l’épidémie, avait affirmé que, je cite : «C’est le confinement qui provoque la circulation du virus.» Le risque d’infection par le virus étant directement lié à la durée d’exposition au virus et à la charge virale du malade. La seule chose raisonnable à faire, était donc de placer en quarantaine, de séparer temporairement les personnes infectées présentant de réels symptômes des non-infectées. Tout en proposant en compensation de ce petit sacrifice, des conditions d’isolement très confortables, en réquisitionnant par exemple des hôtels quatre étoiles, qui de toute manière étaient fermés. Le confinement aveugle et sans discernement augmente en réalité la mortalité. Mais ne nous y trompons pas, si la quarantaine consiste traditionnellement à isoler des personnes malades, la tyrannie elle, est bien d’isoler des personnes en bonne santé. C’est une atteinte aux libertés sans précédent. 

L’éminent chercheur et professeur de médecine, John Ioannidis de l’Université Stanford, un grand ponte de l’épidémiologie a publié une large étude dans “l’European Journal of Clinical Investigation”, comparant les résultats entre les différents pays appliquant ou non certaines mesures sanitaires. Elle démontre que les mesures de restrictions comme le confinement n’ont en réalité aucun effet sur le nombre de cas de COVID-19. John Ioannidis déclare au sujet de toute  cette crise sanitaire, que «les données collectées jusqu’à présent sur le nombre de personnes infectées et l’évolution de l’épidémie ne sont absolument pas fiables», en référence aux modèles prédictifs qui prévoyaient des millions de morts aux États-Unis» et n’hésite pas à qualifier la gestion de crise de «fiasco de preuves unique dans un siècle.» De même, une récente étude publiée dans la grande revue scientifique Nature” démontre que les confinements n’ont aucune incidence véritable sur l’évolution du virus… Envers et contre tous, l’État du Texas a complètement ouvert au milieu des avertissements de morts de masse imminente, mais absolument rien de tel ne s’est produit. Les décès par habitant les plus élevés proviennent des États qui ont appliqué le verrouillage et non pas des États ouverts. La Floride a ouvert tôt, tandis que la Californie est fermée depuis un an pour un résultat qui est le même. Il faut aussi savoir que dans la principauté de Monaco, qui n’avait mis en place aucune mesure de confinement drastique, pour la période de décembre, on a eu seulement 3 morts attribués au COVID-19, alors même que la densité et l’âge de la population monégasque est élevé. Ce virus, serait-il comparable au nuage de Tchernobyl, incapable de traverser certaines frontières ?

Et puis d’ailleurs, si toutes ces mesures sanitaires de distanciation sociale étaient vraiment efficaces, et bien alors pourquoi faudrait-il les renouveler sans cesse sur des mois, alors que pour le moment, elles ont été scrupuleusement suivies et respectées à la lettre par l’immense majorité de la population ? À la base, il était question, faut-il le rappeler de faire un effort national concentré sur deux semaines et on se retrouve plus d’un an après, exactement dans la même situation. Pourtant, on continue contre toute raison exactement les mêmes politiques, on reproduit à l’infini les mêmes erreurs. Si aucune des mesures mises en place et imposées par les gouvernements n’arrive à contrôler le virus, en revanche, elles arrivent très bien à contrôler les populations… Coïncidence ? Je ne pense pas !

De plus, combien de pathologies n’ont pas été diagnostiquées et traitées pendant ce temps-là. Rien que pour le cancer, on parle de 93 000 cas qui n’auraient pas été signalés pour un bilan estimé à 6 000 morts supplémentaires… Et on ne parle même pas des autres maladies non prises en charge. Soit encore des milliers de morts à venir ! Mais bon, après tout, il faut croire que ça ne doit pas avoir tant d’importance, puisqu’ils ne sont pas morts de la COVID-19… Enfin plutôt si, mais de manière collatérale !


Le cas des tests RT-PCR en question, une épidémie de cas positifs ?


«Le test PCR inadapté est la pierre angulaire de toute la débâcle liée au coronavirus. Cette pierre doit être brisée pour que tout le château de cartes s’effondre finalement.» - Me Reiner Fuellmich.

Par ailleurs, que penser des tests RT-PCR (réaction en chaîne par polymérase), si peu fiables en produisant des faux positifs très nombreux ?

Ainsi, John Magufuli, le Président de la Tanzanie par exemple, qui était méfiant, avait trompé l’OMS en faisant tester en laboratoire des animaux et fruits, sous couvert de fausses identités humaines. Bilan des courses, une chèvre, une papaye et d’autres exemples improbables étaient revenus positifs ! À noter au passage que ce Président est depuis lors mort dans de bien étranges circonstances, après avoir été porté disparu pendant deux semaines.

Encore plus incroyable et ahurissant, certains tests seraient même contaminés au Covid-19 dès le départ comme l’a rapporté l’Agence de la santé publique du Canada avec pas moins de 7 000 écouvillons défectueux, tandis qu’au Manitoba, ce serait 8 800 tests de dépistages en provenance du Laboratoire national de microbiologie qui étaient pré-contaminés. Le Nouveau-Brunswick a aussi reçu 6 400 trousses de dépistages contaminées. Tandis qu’en Otario, le Premier ministre Doug Ford a également rapporté une livraison de 100 000 écouvillons en provenance d’Asie souillés avec la présence de moisissures. Au total, ce serait au moins 1 million de tests qui étaient pré-contaminés au Covid-19 et sans doute beaucoup plus. On parle de 380 000 au Canada et 600 000 en Angleterre, mais aussi aux États-Unis, soit d’une contamination de très grande ampleur et à échelle industrielle. Comment est-ce possible, car ces tests étant des dispositifs médicaux, ils devraient être produits dans des environnements parfaitement contrôlés et stériles. Certains de ces tests, distribués dans le monde entier, ont-ils pu contribuer à diffuser encore plus vite le virus en contaminant les personnes testées ?

Le biochimiste Kary Mullis, ayant gagné un prix Nobel de Chimie en 1993 pour son invention du procédé PCR disait lui-même que ce test constituait un excellent outil pour rendre visible à l’œil humain des choses qu’il ne pourrait pas voir, mais qu’il ne peut en aucun cas déterminer si une personne est malade ou infectée, car il ne peut faire la distinction entre de la matière morte et vivante. «Le PCR n’est qu’un amplificateur de signal et il ne peut pas être utilisé pour un diagnostic, car il ne peut pas indiquer si un individu est malade ou non.» Curieusement, il se trouve que Kary Mullis est malheureusement mort d’une pneumonie le 07 août 2019, soit tout juste quelques mois avant le début de la pandémie et avant même de pouvoir dévoiler que son test ne pouvait pas être utilisé pour détecter le Covid et que son usage était détourné et abusif. Ces tests n’ont jamais été mis sur le marché pour diagnostiquer une maladie, on en a donc totalement dévoyé l’usage initial.

Même le CDC américain reconnaît que ces tests RT-PCR ne sont pas assez fiables pour un diagnostic. Ces tests RT-PCR sont des interprétations, qui devraient être systématiquement mises en relation avec des observations cliniques préalables, ce qui n’a jamais été le cas dans toute cette crise. Ce test n’aurait d’intérêt qu’à titre individuel, pour confirmer le diagnostic chez quelqu’un de symptomatique Depuis la création de la technologie PCR, on sait qu’il ne faut jamais utiliser ces tests pour faire du dépistage de masse en population générale. Le test RT-PCR n’est pas validé par la communauté scientifique, ce n’est pas un outil pour faire un pilotage épidémiologique. Tous les scientifiques, les experts et les virologues le savent pertinemment et pourtant cette hérésie continue de plus belle dans un silence complice assourdissant. Il faut bien comprendre que le second confinement, qui était déjà une hérésie en soi, qui était censé faire face à une seconde vague s’est appuyé sur ces tests. Il n’a donc aucune base scientifique véritable et ne repose sur aucun fondement.

En outre, le document qui a établi le test RT-PCR de Drosten n’a jamais fait l’objet d’un examen par les pairs avant sa publication par la revue Eurosurveillance. Il a pourtant été accepté dans la plus grande précipitation par cette revue, dont Drosten était membre du comité de rédaction, en étant donc juge et partie : «L’article de Corman-Drosten a été soumis à Eurosurveillance le 21 janvier 2020 et accepté pour publication le 22 janvier 2020. Le 23 janvier 2020, l’article était en ligne.» Dès le 17 janvier, l’OMS s’est précipitée, soit avant même la publication de l’article, pour reconnaitre officiellement ce protocole, comme test mondial pour déterminer la présence du coronavirus.

Pour la petite anecdote, il faut aussi savoir que l’inventeur allemand de ces tests RT-PCR, le Dr. Christian Drosten serait un fraudeur ayant usurpé sur son CV son titre de doctorat en médecine, car on ne trouve aucune trace de sa thèse, ce qui lui avait tout de même permis de prendre la tête de l’Hôpital de la Charité à Berlin. Drosten va probablement faire face à des poursuites judiciaires pour un titre de doctorat frauduleux. Ce qui n’a pas empêché ce dernier de se voir décoré en grandes pompes de “l’ordre du mérite” par la chancelière allemande Angela MerkelIl est aussi pour le moins douteux que fin 2020, alors que ce Christian Drosten déclarait au reste du monde que ce virus n’était pas si préoccupant, qu’il ne fallait pas s’en inquiéter outre mesure, dans le même temps, il était occupé à mettre au point et à développer le test PCR de dépistage pour cette infection ! Comment se fait-il que toutes ces décisions sanitaires se soient basées sur les travaux d’un seul et unique personnage aussi douteux que ce Christian Drosten et que les autorités se soient systématiquement refusées à écouter tous les autres scientifiques et experts qui se tenaient disponibles et qui contredisaient cette approche ?

Mais, le plus extravagant au sujet de ces tests RT-PCR reste encore le fait que leur sensibilité a été considérablement amplifiée, ce qui les rend beaucoup plus facilement positifs. Ils se comportent comme des zooms qui à mesure qu’on les amplifient deviennent de plus en plus flous. En France, ils montent jusqu’à 50 cycles. Or, tous les spécialistes s’accordent à dire qu’à 60 cycles, absolument tout le monde aurait le coronavirus. Tous les tests RT-PCR effectués avec un seuil d’amplification CT de 33 cycles ou plus sont donc invalides et tous les soi-disant “cas positifs” confirmés et enregistrés dans les bases de données au cours des 14 derniers mois seraient par conséquent erronés. Ces tests sont aussi tellement sensibles qu’ils détectent des particules de virus inactives ! Selon de nombreux virologistes, il serait impossible de détecter du virus vivant au-delà de 33 cycles. Jusqu’à 90 % des testés positifs ayant nécessité 40 cycles d’amplification n’auraient ainsi pas été désignés positifs si la limite d’amplification avait été de 30 cycles. D’après les équipes de l’IHU de Marseille, il y aurait avec cette méthode de dépistage jusqu’à 44 pourcents de faux positifs, ce qui est absolument considérable ! Le Dr Mike Yeadon, a déterminé que pour un seuil de 35 pourcents d’amplification, on arrive à 97 % de faux positifs. Autant dire que si on casse le thermomètre, on ne peut plus mesurer la température avec précision… L’association des consommateurs italiens “Codacons” a révélé après enquête que 95% des tests RT-PCR n’étaient pas fiables. Neuf procureurs sont sur l’affaire pour escroquerie organisée par le gouvernement italien. Qui plus est, d’après le Dr. Ian Davis dans le “Offguardian”, le test RT-PCR n’est même pas spécifique au virus Sars-CoV 2 et pire encore, l’amorce du test réagirait sur 90 autres microbes et 92 autres partie du génome ! Comment peut-on baser toute une politique de Santé publique en prenant en compte des données aussi contestables ?

D’ailleurs, on comprend mal pourquoi il faudrait s’infliger une telle torture pour se faire tester, avec des écouvillons qui s’insèrent si profondément à proximité du cerveau pour récolter quelques prélèvements à analyser, alors qu’à les en croire, le moindre postillon aurait le potentiel de contaminer la moitié du village. Un simple test salivaire, ne devrait-il pas faire l’affaire ? Ce test RT-PCR Naso-pharyngé est même si intrusif, qu’il peut même blesser occasionnellement les parois internes des narines, avec certains témoignages d’enfants ou d’adultes qui rapportent des saignements du nez et des démangeaisons prolongées de la narine pendant 24 heures. Sur le média en ligne citoyen Vécu, on peut trouver le témoignage ahurissant de Sarah, une dame qui sous l’insistance de son médecin traitant a effectué à contrecoeur un de ces tests PCR qui a très mal tourné. Depuis ce jour, sa vie a basculé et elle a perdu sa santé, en étant victime de toutes sortes de symptômes comme des vertiges, des malaises, un état de faiblesse, des saignements du nez et des maux de tête permanents. Même “L’Académie de médecine” rapporte que ces écouvillons qui servent à réaliser les tests nasopharyngés peuvent provoquer, je cite : «des brèches de l’étage antérieur de la base du crâne associées à un risque de méningite».

Mais ce n’est pas tout, le plus incroyable est encore de se rendre compte que certains écouvillons en provenance de Chine, ont été trempés et imbibés d’une substance cancérogène, “l’oxyde d’éthylène”, qui est un pesticide interdit en Europe, car hautement dangereux pour la santé. “L’oxyde d’éthylène” est un désinfectant gazeux, classé comme agent cancérogène, mutagène et reprotoxique. Il a été prouvé que l’exposition à “l’oxyde d’éthylène” par inhalation chez l’homme augmente le risque de cancer, comme les lymphomes, myélomes, leucémie, des cancers du cerveau, du poumon, du tissu conjonctif, ou bien pour les femmes, de l’utérus et des seins ! C’est donc un agent stérilisant. L’oxyde d’éthylène est mutagène, ce qui signifie qu’il peut changer l’ADN dans vos cellules. Dans les études sur l’inhalation de cette substance, on peut trouver qu’il peut provoquer la survenue de fausses couches ou altérer le système reproducteur avec une diminution du poids des testicules et une baisse de la concentration des spermatozoïdes. Et c’est cela qu’on nous fourre bien profondément dans le nez, alors même que la pertinence et fiabilité de ces tests est remise en cause par de nombreux professionnels. Malgré tout cela, on poursuit inlassablement ce mode de tests aberrant pour un coût astronomique, avec déjà plus de 70 millions de tests réalisés en France. Avec un coût de 43.20 € le test PCR et 310 000 tests effectués par jour, le coût pour la sécurité sociale est de 13 392 000 € par jour. En réalité, Le test PCR est un instrument de gestion politique pour justifier et appuyer des décisions politiques et non sanitaires.


Ces tests si peu précis, ne seraient-ils pas plutôt en réalité un moyen détourné, un excellent prétexte pour mettre en place des prélèvements massifs de matériel génétique, de l’ADN des populations pour le placer dans des bases de données ? Car, il faut bien savoir que curieusement, nos génomes semblent les intéresser au plus haut point. Ainsi, dès 2016, l’ancienne ministre de la Santé Marisol Touraine avait affirmé qu’ils avaient pour objectif de cartographier le génome de chaque individu : «Demain, pour soigner de manière adaptée au capital humain de chacun, nous avons besoin de connaître aujourd’hui le génome de chaque individu.» Depuis, ils ont mis en place, dans le cadre d’un plan appelé  “Médecine France Génomique 2025”, jusqu’à douze plateformes de séquençage à haut débit, capables d’analyser l’ADN de 18 000 personnes chaque année. Chacune de ces machines coûte la bagatelle de 100 000 euros pièce. En outre, le prix de ces tests RT-PCR est aussi considérable avec un coût qui oscille de 100 à 150 euros par test, des milliards d’euros ont été dépensés. C’est proprement délirant ! Autant dire que pour la sécurité sociale et le système de soin, c’est un véritable gouffre. C’est dire qu’il doit y avoir un vrai enjeu caché là-derrière.

On nous annonce que le but de ces séquençages serait de progresser dans le traitement des maladies comme le cancer, mais ce qui est sûr, c’est que ce serait surtout un excellent moyen d’associer dans l’avenir ce génome aux futurs dispositifs d’identification et de contrôle des populations, comme l’identité numérique à des fins de fichage infalsifiable. En outre, nos informations génétiques sont précieuses, elles sont une matière première et dans un futur proche, elles pourront être exploitées par des compagnies d’assurances pour déterminer les personnes à risque et ceux qui ne méritent pas d’êtres assurés. Dans le monde radieux de demain, malheur aux plus faibles  ! Il faut aussi bien garder à l’esprit que nos données de santé seront dans les mains du géant Microsoft, stockées sur leurs serveurs, la même société qui travaille à la mise en place de cette identité numérique avec Bill Gates. D’ailleurs, la Fondation de Bill Gates a justement financé une entreprise de génomique, “BGI Genomics” qui est liée à la Chine et au Parti communiste chinois pour exploiter les données ADN grâce aux tests du Covid-19. En septembre 2012, la fondation du créateur de Microsoft a signé un protocole d’accord pour former une collaboration sur la santé mondiale. Le cofondateur de BGI a fait l’éloge de cet accord, célébrant les prochaines «percées scientifiques dans les domaines de la génomique humaine, végétale et animale.» Il a également révélé que les efforts de collaboration étaient axés sur le séquençage des génomes.

En outre dans une conférence de 2014, Laurent Alexandre a aussi affirmé que pour lire dans les cerveaux dans les années qui viennent, cela requiert de se servir du séquençage ADN, qui donne des informations extrêmement importantes sur notre structure mentale. Lire dans l’ADN permettrait de connaître nos patterns psychanalytiques et psychologiques et ainsi, de mieux nous manipuler.

Une pandémie classique se caractérise normalement par un nombre de patients hospitalisés et de morts conséquents, avec un taux de mortalité au-delà de 12 pourcents… Mais force est de constater que même lors du pic épidémique, nous en avons été très loin. Rappelons que dans le discours médiatique de peur ambiant, nous sommes passés du nombre de morts égrainé, à celui du nombre de réanimations, puis celui des hospitalisations, pour poursuivre avec l’épidémie des cas, c’est-à-dire des gens non-malades qui sont justes rentrés en contact avec le virus. Par ailleurs, si l’on prête attention au vocabulaire utilisé dans les médias suite à ces tests de dépistage, on nous parle de “cas possible”, “probable” ou “confirmé”, de “cas contact à risque” ou à “risque négligeable”, ou encore de “cas asymptomatiques”… Or en médecine, on ne parle habituellement pas de “cas”, mais bien de malades, il s’agit là d’un glissement sémantique qui a toute son importance… La deuxième vague tant annoncée reposait essentiellement sur ces faux positifs et les mesures sanitaires liberticides aussi. C’est donc avant tout une épidémie artificielle reposant sur des tests positifs très contestables, plus que de malades véritables à laquelle nous avons assisté. On peut véritablement parler de manipulation de masse à ce sujet.

De plus, d’après une énorme étude réalisée par la Chine et publiée dans la revue “Nature”, deux mois après l’incident de Wuhan et portant sur une base de test de dix millions de personnes, les asymptomatiques ne peuvent être considérés comme malades, car ils ne sont pas contagieux ! Des gens en parfaite santé sont considérés comme des risques biologiques. Ça n’a aucun sens. Le Dr. Michael Yeadon, l’ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer, affirme à ce sujet : «Cette idée que l’on peut être malade, même si vous n’avez aucun symptôme et que vous pouvez être une menace virale respiratoire pour quelqu’un d’autre, même si vous n’avez aucun symptôme. Ça a aussi été inventé en 2020, c’est tout simplement inédit et ça défie le bon sens aussi.» Donc pourquoi terroriser tout le monde sur cette base dans les médias, si ce n’est pour plonger l’ensemble de la population dans une forme de paranoïa aiguë, en postulant que tout le monde représenterait une menace et un danger potentiel pour sa santé…

Mais ce n’est pas tout, il est maintenant de plus en plus question de l’introduction de tests de prélèvement rectaux qui seraient plus fiables que les naseaux… Ces écouvillonements rectaux seraient aussi pour les enfants, avec une pénétration au niveau de l’anus, sur 3 à 5 cm ! Là aussi, pourquoi ne pas tout simplement faire des prélèvements dans les selles ? Ne faut-il pas y voir comme une inavouable volonté d’humiliation des individus qui devraient maintenant littéralement baisser leur pantalon et leur froc afin d’ouvrir leurs fesses pour se faire tester ?


Une pandémie de peur médiatique ?


«Dans ce moment de panique, je n’ai peur que de ceux qui ont peur.» – Victor Hugo

«La peur de la mort finit par l’emporter sur toutes les autres émotions humaines.»Klaus Schwab

«N’ayez jamais peur ! La peur n’empêche pas la mort, elle empêche la vie. Tant que vous craindrez la mort, vous ne serez pas vivants !»Naguib Mahfouz

«Agiter le peuple avant de s’en servir, sage maxime.» – Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord

«Celui qui contrôle les médias contrôle les esprits» – Jim Morrison

«Les journalistes ne croient pas les mensonges des politiques, mais ils les répètent ! C’est pire !» –Coluche

«Le spectacle est le mauvais rêve de la société moderne enchaînée, qui n’exprime finalement que son désir de dormir.» Guy Debord, La Société du spectacle

Les chiffres de ce redoutable virus, n’ont-ils donc pas étés scandaleusement et artificiellement gonflés ? Que dire par exemple de tous ces morts abusivement attribués au Covid-19, alors qu’ils étaient atteints d’une toute autre pathologie ? La Dr. Deborah Birks, coordinatrice de la réponse de la Maison-Blanche au coronavirus, a confirmé que tous les décès, qu’ils soient liés à des accidents de la route, des blessures par balle, des noyades, de la démence, des overdoses, de l’alcoolisme, ou un séjour d’une semaine à l’hôpital, sont à comptabiliser comme décès Covid, du moment qu’ils étaient positifs aux tests. La plupart des gens ne sont donc pas morts “DU”, mais ils sont juste morts “AVEC” la Covid. Une nuance de taille… D’après le CDC américain, seuls 6 % des certificats de décès indiqueraient que la Covid-19 était la cause unique de la mort, sans d’autres facteurs. Il faudrait donc minimiser l’impact de cette maladie de 94 pourcents et grandement relativiser la notion de pandémie ! Sur 160 000 personnes décédées, seules 9210 l’auraient donc réellement été du Covid. L’institut supérieur de la santé italien a aussi fini par admettre que sur les 130 000 décès attribués à la COVID, seuls 3 000 étaient liés à la maladie et qu’il s’agissait seulement de personnes très âgées avec des lourdes comorbidités. De même, au Portugal, il a été aussi admis que sur 17 000 morts attribués à la COVID, seule une petite centaine l’étaient vraiment.

Comme le rapporte le professeur et épidémiologiste Laurent Toubiana, qui a élaboré tout un rapport d’expertise pour les tribunaux relatif aux anomalies béantes de cette épidémie, la communication a été essentiellement axée sur un nombre cumulé de cas, ce qui n’a jamais été un facteur déterminant pour juger de la gravité et s’assurer du bon suivi d’une épidémie. D’autant plus si les cas dits “positifs” supposés, sont cumulés avec les cas bien réels dans le décompte de la maladie comme le précise bien le site du CDC. Il n’est pas représentatif, c’est un nombre qui ne fait qu’augmenter, même si entre-temps, bon nombre de contaminés par le virus sont sortis de la maladie. Il faudrait uniquement comptabiliser les nouveaux cas de malades, prendre en compte le taux d’incidence et la vitesse de propagation du virus. De même, lorsque nous sommes passés d’une année à l’autre, ils ont cumulé le nombre de malades des deux années au lieu de repartir à zéro en réinitialisant le décompte. Tout a donc été fait pour gonfler outrageusement les chiffres rapportés. De plus, il faut savoir que d’après les travaux de Laurent Toubiana, au pire de la crise, nous avons eu au maximum sur une semaine 140 malades pour 100 000 habitants en mars 2020 et depuis ce chiffre ne fait que baisser avec 31 malades en août 2021 pendant la 5ᵉ vague ! Il a précisé aussi que pour la grippe saisonnière (qui a d’ailleurs disparu) le pic pouvait atteindre 600 /100 000 habitants. Cherchez l’erreur !

On pourra aussi relever que le spectre des symptômes attribués à la Covid-19 est très large et d’une parfaite banalité. Ils recoupent ceux de presque tous les virus que l’on peut rencontrer en hiver tel que la grippe ou la gastro-entérite, comme la fièvre, une toux sèche, de la fatigue et des courbatures, des maux de gorge, des diarrhées, des conjonctivites, des maux de tête, la perte de l’odorat ou du goût, des irruptions cutanées, une décoloration des doigts et des orteils, une difficulté à respirer, un essoufflement, une douleur ou une oppression à la poitrine, ou encore la perte de l’élocution ou de la motricité.

Au passage, il est des plus curieux que “l’Organisation Mondiale de la Santé” ait recommandé de ne pas procéder à des autopsies, alors que cela aurait été un excellent moyen d’en savoir plus sur la nature du virus et sur son mode d’action…

Par ailleurs, comment se fait-il aussi que depuis le 27 avril 2009, les critères pour définir une pandémie aient été assouplis par “l’Organisation Mondiale de la Santé” ? En effet, l’OMS avait alors modifié les termes de la définition de pandémie. À partir de cette date, pour déclencher un plan pandémique, il suffit qu’une maladie soit identifiée seulement dans deux pays d’une même zone OMS. Le critère de la mortalité et de sévérité de la maladie n’est même plus un facteur déterminant !

Gardons aussi bien à l’esprit que les effroyables chiffres de la mortalité pronostiqués à l’origine par les instances officielles se sont révélés au final parfaitement faux, avec 500 000 morts brandis pour la première vague, qui se sont révélés à l’arrivée n’être que 35 000… Quant aux 400 000 morts annoncés pour la seconde vague, ils se sont soldés au final par 25 000 ! Il est bien aisé de brandir de tels astronomiques chiffres pour sidérer les esprits afin de justifier des mesures sanitaires exceptionnelles et d’affirmer par la suite que les mesures prises ont été efficaces, car elles auraient évité l’hécatombe tant annoncée. Olivier Véran n’est pas en reste dans cette campagne de peur, avec sa formule choc : «‌‌le Covid-19 c’est, un malade ‌‌toutes ‌‌les ‌‌deux secondes, une hospitalisation‌‌ toutes‌‌ les‌‌ trente secondes,‌‌ un mort‌‌ toutes‌‌ les‌‌ 4‌‌ minutes‌‌.» À en croire les miteux mensonges de ce misérable croque-mitaine de pacotille, si cela était vrai alors, un malade toutes les deux secondes, cela reviendrait à 1 296 000 malades par mois, tandis qu’une hospitalisation toutes les 30 secondes, cela reviendrait à 86 000 hospitalisations par mois et enfin un mort toutes les 4 minutes, cela reviendrait à 10 800 morts par mois ! Le mensonge éhonté est un mode de gouvernance pour ce gouvernement.

Manifestement, nous sommes face à un pouvoir terroriste, qui gouverne et impose ses mesures par la peur. Pourtant, une étude des chercheurs d’Oslo démontre qu’en réalité, il n’y a même pas eu en 2020 de surmortalité notable observable suite au Covid-19, ce qui contraste singulièrement vis-à-vis du discours de peur ambiant. Dans ces conditions, peut-on dès lors encore raisonnablement parler de pandémie  ?

Autre point particulièrement suspect avec les chiffres rapportés suite à cette pandémie : il se trouve que les données remontées par “le réseau Sentinelle” donnent des chiffres bien différents que ceux-ci alarmants qui sont quotidiennement bombardés dans les médias. Ce réseau de veille sanitaire est spécialisé dans le suivit des maladies transmissibles et est directement fondé sur des données cliniques irréfutables, car remontées directement du terrain par des médecins en première ligne. Depuis une trentaine d’années, “le réseau Sentinelle” est l’outil fiable par excellence pour suivre l’évolution des épidémies. Pourtant, cette fois-ci, pour la toute première fois, depuis l’apparition du Covid-19, il n’est plus utilisé comme référence  ! Pour une mystérieuse raison, on a changé d’indicateur, pour privilégier une positivité aux tests RT-PCR, dont la fiabilité est plus que douteuse et contestable, comme nous l’avons précédemment signalé… Il se trouve que depuis des mois, les données communiquées par “le réseau Sentinelle” sont extrêmement stables et basses, contrairement aux chiffres rapportés par les tests RT-PCR, ce qui implique que les médecins généralistes de toute la France ne voient en réalité que très peu de malades. Selon le réseau Sentinelles du 20 juin 2021 concernant le covid-19, la grippe et autre virus respiratoire tout confondu, il y aurait 30 cas pour 100 000 habitants en médecine générale et 1 cas pour 100 000 habitants en médecine générale pour le Covid-19 seul, soit un nombre très inférieur à la Diarrhée aigüe.

Par ailleurs, d’après un article du 7 février 2021 paru dans le journal allemand “Die Welt”, le gouvernement allemand aurait même commandé à des scientifiques de “l’Institut Robert Koch” et d’autres institutions des projections alarmistes basées sur un faux modèle de calcul visant à justifier la mise en place par le ministère de l’Intérieur, Horst Seehofer de mesures préventives et répressives ! Ainsi, le ministère de l’Intérieur allemand aurait même été jusqu’à soudoyer des scientifiques pour qu’ils établissent de faux rapports, avec des projections de mortalité allant jusqu’à 1 million de morts. De même, dans une vidéo YouTube, l’important journal allemand “Bild” a présenté par la voix de son rédacteur en chef ses excuses au peuple allemand pour la couverture médiatique ultra-anxiogène de la crise, déplorant une gestion politique grave de la crise Covid vis-à-vis des enfants.

En outre, d’après le rapport d’activité hospitalière COVID-19 de 2020 publié par l’ATIH, “l’Agence technique de l’information sur l’hospitalisation”, le pourcentage d’hospitalisations COVID-19 sur l’ensemble des patients hospitalisés au cours de l’année 2020, tous champs hospitaliers confondus comparé au total annuel ne serait que de… 2.3% et ne représenteraient que 4.4% des réanimations habituelles ! Avec le recul, il s’avère donc qu’en 2020, il n’y a pas eu de saturation des hôpitaux plus grande que les années précédentes. On est très très loin du tsunami infernal rapporté quotidiennement par les médias de la peur. Si en tant que 6ᵉ puissance mondiale, on se révèle incapable de gérer une telle situation, c’est tout simplement que c’est voulu ainsi. L’hôpital public était bien en capacité d’absorber le choc COVID et le système de santé n’a donc jamais été véritablement menacé et toutes les mesures de restrictions prises ont dont été totalement disproportionnées par rapport à la nature de la menace.

Et que penser de ces nombreuses petites séquences vidéos virales propagées sur le réseau Tik Tok au plus fort de la pandémie, où le personnel soignant s’affichait en train d’exécuter des chorégraphies sur des musiques entraînantes, soi-disant pour décompresser… Est-ce que ce genre de mises en scène fort incongrues est compatible avec la plus grande pandémie que l’humanité ait jamais traversée depuis la grippe espagnole ? Je ne pense pas !

Encore une fois, quel est l’objectif visé qui se cache derrière ces scandaleuses manipulations. Quel est l’occulte dessin recherché par ces mensonges répétés qui manifestement vont tout à fait à l’encontre de l’intérêt même des populations et de leur santé… Depuis le début de cette pandémie, force est de constater que le mensonge est roi et que les fraudes à haut niveau semblent dominer. Et s’il y a la moindre manipulation dans tout ce dispositif, il est absolument certain que les intentions derrière ne sont pas saines !

En outre, où sont passées les autres pathologies comme la grippe saisonnière influenza qui aurait miraculeusement disparu cette année, avec seulement 72 cas recensés, alors qu’en règle générale, ils sont des milliers ? En effet, chaque année, la France déplore en moyenne par exemple environ 15 000 cas de décès attribués à la grippe saisonnière. En 2020, plus de bronchites, de pneumonies, de cancers, de crises cardiaques, voir aussi de décès naturels causés par le vieillissement. On nous affirme que si ce chiffre de la grippe est si ridiculement bas, c’est grâce aux mesures sanitaires de confinement. Soit, mais alors QUID de la COVID-19 ? Pourquoi ces mesures n’en viendrait-elle alors pas à bout ?

N’oublions pas la fameuse maxime que l’on doit à Antoine Laurent de Lavoisier «Rien ne se perd, rien ne se crée : tout se transforme.»


La pandémie qui nous a frappé n’est-elle pas avant tout une pandémie médiatique, une campagne de peur intensive, savamment orchestrée, alimentée et relayée de manière permanente et outrancière par les chaînes d’informations continues ? N’est-ce pas là une forme de terrorisme sanitaire ? En tout état de cause, ces journalistes ont une responsabilité écrasante dans cette approche de la communication hautement anxiogène, dans ces attaques psychiques permanentes.

Aussi, comment expliquer les petits bidouillages et arrangements avec la réalité de ces médias, lorsque par exemple, ils se permettent d’utiliser des rushs provenant de la base de données de vidéos de “Shutterstock”, en présentant toute honte bue de faux malades, de jeunes figurants maquillés et hospitalisés dans un sale état pour habiller les arrière-plans de leurs journaux d’information, comme le démontre le documentaire indépendant belge, “Ceci n’est pas un complot”, alors même qu’ils ne correspondent pas du tout à la tranche d’âge atteinte en priorité par le virus. Tout est mis en œuvre pour plonger la population dans l’effroi et la sidération, générer un climat hautement anxiogène, même le recours à des mises en scène photo pour la presse, avec de fausses équipes de nettoyage en combinaison complète, comme s’ils faisaient face à une redoutable attaque bactériologique.  De même, ces chaînes de désinformation continues comme BFMTV, n’ont pas non plus hésité à recycler des images provenant de Pologne et datant de novembre 2020 pour illustrer la situation en île de France en mars 2021, afin d’entretenir l’illusion d’une situation toujours aussi critique dans les services de Santé. Mêmes bidouillages éhontés constatés outre-atlantique, où on a vu l’utilisation par des journaux télévisés de la même séquence filmée au même endroit pour illustrer tour à tour différentes situations, censées se dérouler aux États-Unis sur “CBS” le 25 mars 2020, en Italie sur “Sky News” le 22 mars 2020 et en Australie sur “7News Melbourne Reporting” le 18 juillet 2020. Encore plus incroyable, ces médias ont même osé se servir d’images directement tirées du film catastrophe “Contagion” pour illustrer la gravité de la pandémie aux États-Unis avec une scène présentant une fosse commune de morts de la Covid. 

On a retrouvé le même type de grossière manipulation de l’information dans le “New York Post” du 26 avril 2021. Dans un article au titre spectaculaire de Une vague de Covid avale des gens en Inde, des images montrent des personnes mortes dans les rues” et décrivant une situation critique du virus et l’apparition d’un nouveau variant Indien, “les journalistes” n’ont pas hésité pour illustrer leur propos à recycler pour l’occasion d’anciennes images-chocs de morts gisant à terre. Ces dernières venaient en réalité de photos prises bien plus tôt dans le média ABS CBN, le 07 mai 2000 pour couvrir l’accident d’une fuite de gaz dans le sud du pays et qui avait entraîné la mort de 9 personnes. Des médias tels que le journal dit de référence Le Monde ont surenchéri en titrant “L’Inde dans l’enfer du Covid-19”en montrant des crémations de corps en plein air, en se gardant bien d’oublier de préciser que de telles crémations en plein-air sont une tradition religieuse millénaire et importante chez les Indiens, en somme tout ce qu’il y a de plus banal. Et dire que ce sont ces mêmes journalistes propagandistes qui se livrent à une chasse auxdites “Fake News” sur les réseaux sociaux. Cela se passe de commentaires…

D’autre part, des internautes se sont aussi rendus directement sur place dans certains hôpitaux pour constater avec stupéfaction que bien des services n’étaient pas du tout saturés, contrairement au récit apocalyptique rapporté par les médias…

Par ailleurs, comment également expliquer que l’on ait vu au tout début de la pandémie, lors de son apparition en Chine, tant de vidéos virales présentant des personnes s’effondrant littéralement raides mortes en pleine rue, comme foudroyées sur place et que dans les semaines suivantes lorsque le virus s’est propagé en Europe, absolument rien de tel ne se soit passé. N’y a-t-il pas eu là une manipulation et une orchestration de la peur ?

Encore plus fort, dans une autre vidéo particulièrement surprenante tirée d’un journal télévisé, des internautes ont aussi remarqué que dans une courte séquence filmée, présentant une scène avec des images de cadavres couverts d’une couverture mortuaire et présentés comme morts de la Covid, l’un d’entre eux n’était visiblement pas encore tout à fait refroidi, car dans un ultime spasme, ce pauvre bougre bougeait encore miraculeusement le bras, sans doute dans une tentative désespérée de se raccrocher à la vie !

Dans un journal télévisé espagnol, on a aussi vu une scène absolument délicieuse présentant un échange surréaliste entre une journaliste, visiblement en service commandé et un médecin de terrain se voulant rassurant sur la situation qu’il vivait au quotidien dans son service. Les propos de ce dernier ne cadrant manifestement pas du tout avec la ligne éditoriale du journal, on a alors vu la journaliste en mode panique reprendre systématiquement les propos du médecin, pour en direct de son plateau lui imposer sa propre réalité, dans un échange digne d’Orwell, comme si 2 plus 2 équivalaient à cinq.

Mais ce n’est pas tout : on a aussi vu de la part de “Cnews”, un titre d’article annoncer que 65 % des Français étaient favorables à une vaccination obligatoire et forcée du personnel soignant, alors même que les résultats effectifs de ce même sondage étaient en réalité de 70,4 pourcents d’avis défavorables à cette obligation. Où comment toute honte bue, tordre le réel, pour le redéfinir au gré de la propagande.

«Si vous ne lisez pas de journaux, vous n’êtes pas informé. Si vous en lisez, vous êtes désinformé.» - Mark Twain

Ces médias sont-ils vraiment là pour rapporter fidèlement et de manière impartiale le réel, ou bien pour le travestir, voir même le fabriquer ? Où est passée la “Charte de Munich” des journalistes, leur intégrité et leur déontologie ? Probablement au même endroit que le “Serment d’Hippocrate” de bien des médecins en ces temps de pandémie…

Le plus insupportable étant encore de constater qu’en fait, certains d’entre eux ne croient même pas un traître mot à toute cette intensive propagande médiatique qu’ils distillent de manière éhontée depuis des mois à longueur de journées sur leurs plateaux. Ainsi, comme le rapporte “Le Canard Enchaîné”, on peut en avoir l’éclatante démonstration, avec le rocambolesque épisode d’une vingtaine de journalistes de BFMTV qui le 24 février 2021, furent surpris par des policiers peu avant minuit dans le restaurant clandestin “Les Trois Présidents” appartenant à Patrick Drahi. En plein confinement ils étaient attablés en compagnie de consultants experts santé de la chaîne pour partager un bon petit gueuleton, et plus si affinités. Sans doute, s’agissait-il là d’une réunion informelle de travail pour mieux accorder leurs violons lors des prochaines intoxications médiatiques. Une telle affaire met en lumière le mélange des genres, la complicité et l’endogamie malsaine de ces milieux, qui mangent dans la même gamelle en toute impunité. Adieu donc la pseudo-neutralité journalistique ! Ce sont les mêmes qui du matin au soir n’ont de cesse d’appeler jusqu’à la nausée à des mesures drastiques de restrictions de nos libertés, qui demandent la mise en place de nouveaux confinements, qui insistent en permanence sur le port du masque, qui culpabilisent les Français pour leur relâchement face aux mesures sanitaires, voir qui traitent les incrédules et les sceptiques de complotistes irresponsables… Ces parfaits tartufes se rendent ainsi coupables d’un degré d’hypocrisie proprement sidérant et parfaitement insupportable. Ils incarnent à merveille l’adage populaire du «Fait ce que je te dis, mais pas ce que je fais !» Ils donnent la nausée…

 

Ce sont aussi ces mêmes journalistes moralisateurs, qui se sont vus exemptés de port du masque à l’intérieur de leurs plateaux de tournages, arguant du fait qu’ils avaient un système de climatisation efficace dans leurs studios. Pourtant, cet été, nous avons bien été témoins de la tournée en maisons de retraites du sinistre de la santé, Olivier Véran, interdisant formellement en pleine canicule, l’usage du moindre ventilateur pour éviter tout risque de propagation du virus dans l’air !

«Tous les animaux sont égaux, mais certains sont plus égaux que d’autre.» − Georges Orwell dans “La ferme des animaux”

Et au niveau des politiques, on peut faire le même constat : en dehors de leurs discours médiatisés, de par leur comportement, ils n’ont pas l’air de trop croire non plus en la véracité de cette si mortelle pandémie… Ainsi, on aura par exemple surpris un François Bayrou avachi en toute décontraction dans le hall de l’aéroport d’Orly sans masque, alors même que tout le monde autour de lui en portait un, mais aussi Bruno Lemaire lire tranquillement son journal du matin dans le TGV, ou Castaner à l’Elysée parader sans masque devant les caméras des journalistes, ou bien encore Carla Bruni, défier avec arrogance telle une jeune écervelée les gestes barrières, tout en mimant une fausse quinte de toux et en se moquant éperdument des risques encourus avec cette pandémie… Aux États-Unis, on a aussi vu un porte-parole du département de la justice filmé à son insu hors-champs, débarquer démasqué en coulisses derrière les rideaux, avant d’ajuster au dernier moment son masque pour prononcer son discours devant un pupitre placé sous les feux des projecteurs. Quelques fois, la pièce de théâtre est si grossière que l’on peut assister à des scènes vraiment cocasses, comme cette séquence filmée en direct, où une équipe de figurants placée derrière le politicien Renaud Muselier (qui pour l’occasion porte fort bien son nom), ne porte aucun masque. En effet, ils ne savent alors pas que la caméra tourne et qu’ils sont déjà en direct. Mais, dès qu’ils se rendent comptent du contraire, ils ajustent alors comme par magie en toute urgence leur muselière, comme si de rien était… Chez ces tartufes imposteurs, le masque est exclusivement réservé aux passages TV. Quant à Emmanuel Macron, le peu de fois où il a porté le masque, il a manqué de s’étouffer en demandant fébrilement un masque plus léger, dans une scène d’une irrésistible drôlerie. On a aussi pu observer Meghan Markle et le Prince Harry n’ajuster leurs masques qu’au moment des séances photos officielles, le temps d’une petite mise en scène, comme un figurant de cinéma sortirait son accessoire juste avant d’effectuer sa prise sur le plateau de tournage. Dans le même temps, nos enfants sont obligés de s’infliger le port de ces muselières toute la journée dans les écoles. Avec cette histoire de masque, nous sommes vraiment dans la “Commedia dell'arte”, dans une farce cruelle et tragi-comique de très mauvais goût, qui est l’occasion de constater à quel souverain degré ces “élites” se moquent littéralement du peuple.

 

Et du côté des puissants de ce monde, réunis lors du sommet du dernier G7 du 11 juin 2021, on peut dire que le summum de l’hypocrisie est sans peine atteint, car il va sans dire que ces derniers ne s’embarrassent pas des sempiternels gestes barrières, sauf pour la photo officielle à destination de la plèbe, histoire de maintenir les apparences et de faire vaguement illusion. En effet, dès que les objectifs des photographes ne sont plus braqués sur eux, la proximité est de mise et les distances protocolaires de rigueur sont oubliées pour faire place à de franches accolades et de fraternelles poignées de main, le tout sans le moindre masque, bien entendu. Tout ça finalement, n’est pas digne de leurs rangs, c’est juste bon pour les manants et les gueux ! Ce n’est vraiment pas très responsable car, parmi cette auguste assemblée, bien des participants font directement partie du cœur de cible de ce virus et il faudrait veiller à préserver les dernières années d’une personne à haut risque comme la Reine Mère Élisabeth II, bien que cette dernière ait une santé de fer et la peau très dure, avec ses 95 ans bien trempés.


Même constat au niveau des forces de l’ordre, que l’on peut tour à tour voir s’échanger en pleine manifestation dans la plus parfaite insouciance une seule et même bouteille d’eau, tandis que d’autres étaient joyeusement regroupés sans masques dans un restaurant, qui bénéficiait visiblement de quelques mystérieux passe-droits… D’autres plus festifs, organisaient en plein couvre-feu une aimable sauterie en l’honneur de la mutation d’un collègue, le tout sans le moindre geste barrière… D’autres encore, d’une grande cohérence dressent à visage découvert de salées amendes pour non-port du masque… D’ailleurs le fait que le gouvernement leur avait strictement interdit dans un premier temps le port du masque pour lequel ils dressent maintenant des contraventions ne semble pas leur poser plus de questions existentielles que cela.

Quant aux bourgeois bohèmes des quartiers huppés parisiens et au gratin de la République, ministres compris, ils sont bien loin de souffrir des privations et des restrictions sanitaires imposées au reste de la population à coup d’exorbitantes amendes. Les automates des forces de l’ordre sanitaire, allant dans leur misérable soumission aveugle, jusqu’à harceler des SDF en  pleine rue, qui se voient infligés eux aussi des PV majorés à 645 euros pour non-port du masque. Tandis que ces nantis se retrouvent dans la joie et la bonne humeur, entre gens de bonne compagnie, dans l’intimité feutrée de restaurants clandestins, à l’abri des regards indiscrets. Dans ces cénacles VIP privés, ils peuvent ainsi le plus naturellement du monde et dans la plus grande insouciance, sabrer une bonne bouteille de “Mouton Rothschild” entre deux petits-fours à 200 euros la pièce. Le tout aux frais du contribuable, cela va sans dire. Car il faut bien comprendre que dans ces lieux privilégiés, le virus, qui semble être un virus social très sélectif, n’a plus cours ! Sans doute, n’ose-t-il pas franchir le seuil de la porte devant tant d’indécence…

Et pour ce qui est du Palais du Festival de Cannes, il doit sans doute constituer une sorte de faille spatio-temporelle à lui tout seul, une galaxie lointaine très reculée de la planète Corona, une zone de non-droits où les virus n’ont pas droit de cité. Dans ce lieu privilégié, nos brillantes étoiles hors-sol tant “adulées”, s’élèvent bien au-dessus de la bassesse des contingences sanitaires d’ici-bas. Ces nantis s’en donnent à cœur joie dans les mondanités, multipliant dans la plus pure insouciance les franches accolades et les bisous bisous, Roselyne Bachelot comprise, elle qui aurait pourtant été si durement frappée par cette redoutable maladie après sa seconde injection. Et bien entendu pas un journaliste sur place ou en studio pour relever la chose, ils réservent leur indignation sélective au petit peuple. Ce qui est sûr, c’est que cette année, le prix de la meilleure comédie humaine est déjà attribué.

 

En tous les cas, pour braver le danger avec autant d’ardeur et d’enthousiasme, ces braves gens auraient-ils accès à des traitements préventifs adéquats interdits au reste de la vile populace ? À leurs yeux, la peur, c’est exclusivement réservé aux sans-dents, c’est un vrai truc de prolos. C’est parfaitement incompatible avec la jouissance de vivre ! Faut-il croire que ces valeureux représentants du peuple posséderaient quelques informations exclusives que nous ignorons au sujet de ce virus ? Si ces gens, qui sont au plus près des informations de première main n’ont pas peur de cette redoutable maladie, alors pourquoi devrions-nous de notre côté en avoir si peur ?

Sommes-nous en train d’entrer dans une société de castes, avec d’un côté les grands seigneurs de l’immunité, tant physiologique que politique et de l’autre côté les impurs et intouchables gueux, les super-contaminateurs, véritables bombes virales ambulantes qui s’ignorent ? Il y a visiblement comme une jubilation sadique et perverse, dans la pratique affichée et ostentatoire de ce qu’il interdit aux autres.


Le masque, le stigmate de la mascarade

«Comment un homme s’assure-t-il de son pouvoir sur un autre Winston ?
Winston réfléchit : en le faisant souffrir, répondit-il
— Exactement. En le faisant souffrir. L’obéissance ne suffit pas. Comment, s’il ne souffre pas peut-on être certain qu’il obéit, non à sa volonté, mais à la nôtre ? Le pouvoir est d’infliger des souffrances et des humiliations. Le pouvoir est de déchirer l’esprit humain en morceaux que l’on rassemble ensuite sous de nouvelles formes que l’on a choisies.» 
Dialogue tiré de “1984” de George Orwell

«Pour devenir moi, j’ai besoin du regard de l’autre, de tisser des liens avec lui.» – Albert Jacquard

Penchons-nous maintenant sur la question du port prolongé du masque en population générale. Si le masque chirurgical est si efficace, alors pourquoi avoir imposé la fermeture de tant de commerces, d’établissements et de restaurateurs pendant des mois ? À contrario, si le masque n’est pas efficace, (comme en réalité tout porte à le croire, études scientifiques récentes à l’appui, avec une étude danoise en population portant sur 6 024 personnes), eh bien pourquoi l’avoir imposé à tout le monde, jusqu’aux enfants de six ans ?

Dans ce dernier cas, ne s’agit-il pas pour ces jeunes générations, de pure maltraitance et d’un profond traumatisme, d’une atteinte à leur intégrité tant physique que psychologique, avec de désastreux effets sur le long terme ?

Quel sera leur rapport à la vie et aux autres dans les années à venir ? Les premiers effets commencent déjà à se faire ressentir, avec certains tous petits enfants qui ont peur d’enlever leurs masques, car ils se sentent en danger dès qu’ils ne l’ont plus au bout du nez. D’autres, par la puissance de leur conditionnement précoce, s’éloignent maintenant instinctivement de leurs proches, car ils se perçoivent comme une menace permanente pour leur entourage… Pour ces jeunes esprits en formation, le masque inscrit durablement une nouvelle norme dans la société, il les reprogramme.

Avec ce masque, il s’agit donc de redéfinir une nouvelle réalité, comme un certain nombre d’entreprises opportunistes, l’ont bien compris, en cherchant à faire de ce dernier un accessoire de mode, résolument dans l’air du temps. Des chercheurs mexicains ont ainsi créé un masque nasal, pour ne plus jamais avoir à le quitter, même en mangeant.

Une autre entreprise a même développé un masque futuriste et high-tech, le Xupermask qui fera, à n’en pas douter, fureur chez les Geeks. Vendu à 299 dollars, cette muselière dernier cris, est équipée d’écouteurs, de la fonction Bluetooth (pour rester connecter, tout en étant totalement déconnecté socialement), d’éclairages LED, de filtres à air haute efficacité, de ventilateurs… En bref, un prototype pour un mauvais film de science-fiction, dont on aimerait rapidement voir le générique de fin, ou même pouvoir prématurément quitter la salle de cinéma en cours de projection.

«Un oiseau né en cage pense que voler est une maladie.» – Alejandro Jodorowski

Quel type d’humains sommes nous en train de fabriquer ? Pensons juste aux nouveaux-nés, pour qui il est essentiel dans leur développement psycho-affectif, de pouvoir lire et décoder les émotions sur les visages de leurs parents. Chez les moins de 15 ans, on assiste déjà à une hausse inédite de 80 pourcents des hospitalisations psychiatriques. Le masque éteint les sourires, tue les émotions, il coupe la joie de vivre et l’étincelle de vie naturelle des enfants. Les enfants, victimes de ces mesures iniques, sont plongés dans un tel degré de mal être et de souffrance, que certains d’entre eux, à peines âgés de 9 ans, se pendent ou se défenestrent. Pour tous les professionnels de l’enfance et les pédopsychiatres, c’est du jamais vu dans toute leur carrière comme le rapporte la Société française de pédiatrie. Mais la liste des préjudices imposés de force à ces enfants ne s’arrête pas là, avec des problématiques d’obésité, de santé, ou encore une spectaculaire baisse de 40% de leurs capacités cognitives. Jusqu’où allons-nous encore aller, avant de mettre un terme définitif à cette intolérable folie ? Avec toute cette mascarade, on demande paradoxalement aux enfants d’agir comme des adultes responsables, tandis qu’on infantilise à outrance les adultes, pour qu’ils agissent et pensent comme des enfants ! D’après une grosse étude allemande dirigée par un collectif de 363 médecins et portant sur plus de 25 000 enfants concernant le port des masques à l’école, les effets sont tout simplement désastreux ! Les déficiences causées par ce port prolongé du masque au-delà de 4h30 par jour sont notamment : l’irritabilité, les maux de tête, la difficulté à se concentrer, moins de bonheur, la réticence à aller à l’école, le malaise, les troubles d’apprentissage, ainsi qu’une somnolence et une fatigue accrue. Sans parler des retards de langage avec des visages masqués. Une telle obligation, parfaitement incompréhensible, relève bien d’une volonté criminelle, d’autant plus que les enfants ne tombent même pas malade de ce virus et ne seraient pas du tout contagieux !

Dans certaines écoles, les instituteurs ont même accepté sans broncher et sans la moindre honte de mettre en place pour leurs élèves, un système hautement pervers à base de jetons pour leur accorder au choix le privilège d’aller respirer, ou faire pipi. Les enfants disposant ainsi de seulement trois jetons triangulaires, valables pour toute la journée d’école ! Ils doivent ainsi choisir entre prendre quelques instants une bouffée d’oxygène à l’air pur et se soulager aux toilettes ! 

Dans le même genre de folie, suivant le protocole sanitaire en vigueur, à l’école maternelle de Villefranche, la directrice a par exemple fait passer dans le carnet de liaison une recommandation aux parents pour que leur bout de chou aille désormais uniquement aux toilettes à la maison et non plus à l’école, pour ne surtout pas risquer de croiser d’autres classes. Comment est-il possible de faire appliquer de telles recommandations aussi dénuées de sens et qui relèvent de la pure maltraitance ? Comment peut-on en être arrivé à un tel degré de bêtise, de manque d’humanité et d’abjection ? Le monde, plongé dans une forme d’hypnose collective, aurait-il définitivement perdu la raison ?

La psychologue Marie-Estelle Dupont explique le processus d’acceptation généralisée de ces mesures de pure maltraitance ainsi « Dans une famille, un parent maltraitant va réussir à pénétrer le cerveau de l’enfant, à lui faire faire des choses absurdes ou contradictoires. L’enfant pour survivre est obligé de se cliver à l’intérieur de lui, ce qui fait que lorsqu’un individu extérieur lui dit que tu n’es pas obligé de faire ça, il se met en colère contre cette personne dans un syndrome de Stockholm, parce que s’il doit reconnaitre que la personne en qui il a confiance, qui a autorité sur lui, lui a fait faire quelque chose qui était soi-disant pour son bien, mais n’était pas bon pour lui (C’est pour ton bien de porter un masque à l’école  mais en fait tu as de la buée sur les lunettes, tu as des migraines et tu ne mémorises rien) Et bien c’est terrible, c’est un deuil terrible, et donc pour beaucoup d’enseignants et pour beaucoup d’élèves, ils ont dû rentrer dans un processus de syndrome de Stockholm, où ils ont dû absorber l’idée que c’était le bien parce qu’ils n’avaient pas les moyens de se révolter. »

Signalons au passage qu’en Suède, où les écoliers ne sont pas soumis à un port du masque permanent, on ne déplore strictement aucun mort de la Covid-19 sur un ensemble de deux millions d’enfants allant de 1 à 16 ans. Le gouvernement suédois a aussi recommandé à sa population de ne pas porter le masque, car c’est nocif pour la Santé. Et pas la moindre hécatombe à déplorer de leur côté, malgré cette absence de mesures.

Sur plus de 10 mois d’imposition du port des masques dans l’espace public, il n’y a eu aucune différence significative entre ceux l’ayant porté et ceux qui ne l’ont pas fait. Paradoxalement, 85 % des personnes testées positives portaient bien des masques. Aux États-Unis, les‌ ‌courbes‌ d’une étude comparative, ‌révèlent‌ ‌que‌ ‌l’imposition‌ du masque dans certains États‌‌ ‌n’a‌ en réalité ‌eu‌ ‌aucune‌‌ incidence‌‌ positive ‌‌sur ‌‌l’épidémie par‌‌ rapport‌‌ aux‌‌ États‌‌ qui‌‌ ne‌‌ l’ont‌‌ pas‌‌ imposé.‌

Et puis d’ailleurs, comment les masques pourraient-ils bien être efficaces, puisqu’à l’échelle microscopique, leurs fibres sont poreuses et qu’un seul de ses pores de quelques microns (millièmes de millimètre) pourrait laisser traverser l’équivalent de 20 000 virus de quelques nanomètres (millièmes de microns)… Le virus fait un micro, la plus grande gouttelette qui peut contenir une particule virale est de 62 microns et les plus petits espaces chirurgicaux sur les masques sont de 80 microns. Autant chercher à stopper un grain de sable avec un tamis !

Au passage, pour ceux qui savent lire, il est même inscrit en toutes lettres par les fabricants sur leurs boîtes de masques qu’ils ne sont pas des dispositifs médicaux et quils ne protègent en rien contre les attaques virales ! Juridiquement, les fabricants de masques ne veulent certainement pas être tenus pour responsables en cas de contamination à de la Covid-19… C’est une garantie pour eux de ne pas être condamnés en justice dans le cas de dépôts de plainte. Dans ce monde, l’argent ne ment pas.

«Aucune étude ne prouve une quelconque utilité du masque pour prévenir les maladies respiratoires virales, que se soit en intérieur ou en extérieur. Point final !» – Le Pr. Denis Rancourt

Il existe au moins une douzaine d’études scientifiques qui ont démontré que les masques n’ont aucun intérêt pour arrêter la propagation des virus respiratoires. Une méta-analyse publiée par le CDC en mai 2020 n’a révélé «aucune réduction significative de la transmission de la grippe avec l’utilisation de masques faciaux.» Une autre étude portant sur plus de 8 000 sujets a révélé que les masques «ne semblaient pas être efficaces contre les infections respiratoires virales confirmées en laboratoire ni contre les infections respiratoires cliniques.»

Pire que cela, portés plusieurs heures durant, les masques se salissent et deviennent de véritables boîtes de Pétri ambulantes, des bouillons de culture et des nids à bactéries, des cloaques microbiens, ils nous font respirer nos propres miasmes en circuit fermé et deviennent rapidement un terrain favorable à l’amplification des micro-organismes. De plus, ils appauvrissent la quantité d’oxygène que le sang distribue aux tissus et au cerveau, d’où le risque accru de développer des hypoxies avec de possibles graves séquelles physiologiques ultérieures. Les masques impliquent aussi un risque d’auto-contamination, car ils sont proches des muqueuses des yeux et de la bouche et sont bien souvent mal manipulés par des mains potentiellement contaminées. Ils sont la source de maux de tête et de difficultés respiratoires. Les masques n’ont jamais été conçus pour êtres portés dans de telles conditions et il s’avère que contrairement aux idées reçues, même en salle d’opération lors d’une intervention chirurgicale, l’utilité du masque n’aurait jamais été démontrée dans la littérature scientifique, comme l’affirme Didier Raoult dans l’un de ses livres de démystification. Il est juste là pour éviter que le chirurgien ne crache dans la plaie au risque d’infecter son malade. Les masques de blocs opératoires ne sont efficaces que pour les bactéries, les levures et les micros champignons. La seule catégorie de masque vraiment efficace et assez filtrante contre des virus est le masque FFP1. Les masques FFP2 et les FFP3 dont on nous impose continuellement le port sont clairement très insuffisants. Ils peuvent retenir les postillons et les crachats, mais c’est tout. Ils ont tout au plus une valeur de Grigri pour conjurer la peur. Malgré tout, les pouvoirs publics s’acharnent depuis des mois, à nous les imposer en ruinant notre santé. Pourquoi cet entêtement ?

Il y a pourtant bien des désagréments particulièrement délétères tant physiologiques que psychologiques liés à ce port du masque prolongé et répété, dont voici une petite liste non-exhaustive : des bronchites sévères, des conjonctivites graves, des maux de tête, des furoncles, une grande fatigue, de l’herpès labial, des staphylocoques sur les lèvres et les joues, des impétigos, de l’hypoxie, de l’hypercapnie, de l’essoufflement, de l’augmentation de l’acidité et de la toxicité, de l’immunosuppression, du déclin des performances cognitives, de la prédisposition aux maladies virales et infectieuses, du stress chronique, de l’anxiété et de la dépression, etc. Et bien sûr, c’est un danger pour les personnes qui ont de l’asthme ou des problèmes respiratoires.

Pourtant, rappelez-vous, au tout début de l’épidémie, tous les interlocuteurs du gouvernement étaient unanimes sur la question, à commencer par l’inénarrable Sibeth Ndiaye. Ils avaient alors scandé en cœur l’inutilité, voir le caractère parfaitement nuisible et contre-productif du port prolongé de ce masque en population générale. Même le ministre de la Santé Olivier Véran l’avait avoué indirectement en évoquant le sujet de la grippe, contre laquelle le masque serait inutile : «Les études montrent que ça ne marche pas trop là-dessus.» Or, le virus de la Covid-19 étant encore plus petit que celui de la grippe, dès lors, comment le masque pourrait-il se montrer plus efficace…

Ne faut-il donc pas voir dans cette volonté d’imposer le port du masque, une intention perverse, précisément après avoir dit que c’était inutile, voire contre-productif, comme une volonté d’affirmer et de manifester sa toute-puissance, en soumettant le peuple aux décisions les plus absurdes et arbitraires ?

«Le Parti recherche le pouvoir pour le pouvoir, exclusivement pour le pouvoir. Le bien des autres ne l’intéresse pas. Il ne recherche ni la richesse, ni le luxe, ni une longue vie, ni le bonheur. Il ne recherche que le pouvoir. Le pur pouvoir.» – George Orwell dans “1984”

Le gouvernement ayant toujours clamé s’appuyer sur les décisions d’un Conseil scientifique, dès lors comment expliquer de tels revirements à 180 degrés dans le discours officiel ? Il faut savoir que les experts-médecins des conseils scientifiques chargés d’éclairer Emmanuel Macron pendant la crise du coronavirus ont touché pas moins de 450 000 euros des firmes pharmaceutiques.  À la tête de cette commission, on trouve l’immunologue Jean-François Delfraissy, qui avait déjà sévi lors du monumental fiasco de la pseudo-crise du H1N1. Non seulement il est maintenant le président du Conseil Scientifique, mais aussi celui du “Comité d’Éthique” chargé de contrôler l’éthique des mesures préconisées par ce même Conseil Scientifique ! Lors du H1N1, Delfraissy avait d’ailleurs admis s’être plusieurs fois trompé dans les grandes largeurs dans la gestion de ce dossier, qui avait coûté en pure perte beaucoup d’argent public, mais bien enrichi de 1,5 milliards d’euros les labos de Big Pharma… Lors de cette pseudo-crise sanitaire, on aura comptabilisé en France un effroyable bilan de… 450 morts ! Déjà à l’époque, une campagne de propagande intensive avait été déployée, avec des chiffres particulièrement angoissants.

Et pourquoi retrouve-t-on les mêmes acteurs qu’à l’époque ? Eh bien, il faut comprendre qu’en Macronie, on ne change jamais une équipe qui perd ! C’est aussi sans doute pour cela que l’on retrouve le même Jean Castex, qui lors de la crise sanitaire du H1N1, avait géré l’histoire des masques et participé avec Roselyne Bachelot à l’arnaque de la vaccination de masse au Pandemrix. D’ailleurs, on comprend mieux pourquoi Roselyne Bachelot a été lors de cette actuelle crise propulsée au ministère de la Culture, puisque sa toute première action à ce poste a été d’attaquer et de discréditer aux yeux du public, au prétexte qu’il serait “complotiste”, “le Journal France Soir”, l’un des seuls journaux d’opposition militant sérieux à la politique sanitaire gouvernementale actuelle. À noter que ce journal fut en 1944 fondé par des résistants, à une époque où la propagande et la censure faisaient rage, un peu comme de nos jours De même Alain Fischer, le “Monsieur  vaccin”, chargé de mettre en place la stratégie de vaccination décidée par le gouvernement, présidait déjà en 2016 “le comité d’orientation de la  concertation citoyenne sur la vaccination” censée rétablir la confiance à l’égard des vaccins.

Dans un premier temps, pourquoi avoir mis en place l’interdiction formelle en plein pic épidémique de distribution en pharmacie de ces masques, avant dans un second temps de les rendre obligatoires, sous peine de lourdes sanctions financières ! À en croire le témoignage de certains entrepreneurs, l’État aurait lui-même organisé la pénurie ! Ces derniers furent alors empêchés d’importer ces masques directement de Chine via leurs filières d’approvisionnement ! Entre-temps, le masque est paradoxalement devenu la pierre angulaire pour combattre la propagation de la maladie ! De qui se moque-t-on ?

Mais la problématique du masque ne s’arrête pas là, puisqu’il faut aussi prendre en compte l’aspect écologique désastreux, car ces masques chirurgicaux n’étant pas en papier, ils vont mettre 450 ans à se dégrader. Ils constituent donc une source de pollution à très long terme. En l’espace d’une seule année, 129 milliards de ces masques sont utilisés de par le monde, pendant que les autorités parlent à tout bout de champ de protection de la planète.

Il faut aussi évoquer le budget conséquent qu’il fait peser sur les foyers les plus modestes. À l’origine, le gouvernement avait pourtant affirmé à ce sujet, par la voix d’Agnès Buzyn, qu’il serait question de distribuer les masques gratuitement à la population en cas d’obligation… Encore un grossier mensonge éhonté de plus !

J’en veux pour preuve que le gouvernement avait même fait intervenir les forces de l’ordre dans le quartier de la Goutte d’Or pour faire interdire manu militari avec la plus grande fermeté, comme s’il s’agissait d’un acte terroriste, la distribution gratuite de masques en tissus à l’initiative de la boutique de tissus africains Barakatou. Bien au contraire, force est de constater que l’État a permis aux grandes surfaces d’engranger des profits considérables sur la vente des masques, avec des marges monstrueuses et parfaitement indécentes sur les prix pratiqués pour un article relevant pourtant de la santé publique… La moindre des choses aurait été un encadrement très strict de ces prix. Encore une fois, c’est bien la preuve manifeste que la santé n’est pas la priorité dans toute cette affaire !

Par ailleurs, il est maintenant de plus en plus question de mettre plusieurs couches superposées de masques sur le visage pour s’assurer d’une meilleure protection ! Quant aux masques en tissus qui ont pourtant mobilisé un effort national de la part de tant de couturières bénévoles, ils seraient entre-temps devenus inefficaces et interdits d’usage ! Ne s’agit-il pas là d’une forme d’aveu que le masque unique a en réalité toujours été parfaitement inutile ? Ou bien alors, ne serait-ce pas là plutôt une volonté manifeste d’en faire toujours plus dans le registre de la peur et de renchérir dans la psychose collective ? Jusqu’où ira encore toute cette mascarade ?

La seule utilité véritable de ce masque est donc son impact psychologique, qui lui est indéniable. Le masque permet de faire exister le virus de manière très visuelle, de matérialiser en permanence la menace. Il permet donc de plonger et de maintenir les individus dans une forme de peur latente et de psychose collective, ainsi que d’entretenir le mensonge de l’urgence sanitaire absolue. Ce qui entraîne au passage, un dévastateur effet psychologique nocebo des plus malsain et pervers ! La peur est plus dangereuse et contagieuse que le virus. Elle empêche de raisonner correctement et bloque toute sagesse, elle exacerbe l’émotivité et génère des comportements et des pensées irrationnelles. Un phénomène souligné par le Professeur Didier Raoult devant la commission d’enquête du sénat du 15 septembre 2020 : «Quand vous dites aux gens qu’ils vont mourir, on voit les zones qui s’éteignent dans le cerveau, ça s’appelle l’effet nocebo. Quand on dit ça tous les soirs à la télé, on crée l’effet nocebo, qui est visible radiologiquement.»

Le masque implique aussi directement les individus dans la lutte contre le virus, il valide la réalité du récit officiel. Il est aussi un indicateur bien visible de l’acceptation par la population au mensonge, il donne le signal de la soumission aux autorités, comme un sondage continu en temps réel. Il permet aussi de diviser les Français dans d’interminables luttes entre pro-masques et opposants qui sont savamment entretenues dans les médias. Bref, en termes de manipulation mentale, c’est un accessoire parfait.

Mais le scandale de ces masques ne s’arrête pas là, puisque certains masques chirurgicaux distribués en masse à la population et notamment aux enfants dans les écoles seraient hautement cancérigènes. Certains masques chirurgicaux faciaux jetables bleus et gris en provenance de Chine, sont susceptibles de contenir des matières toxiques semblables à l’amiante. Ils révèlent un potentiel de toxicité pulmonaire précoce, avec le risque de développer des lésions extrêmement graves liées à l’inhalation de microscopiques particules de graphène nanoformé. Ils peuvent engendrer des problèmes de santé à long terme en cas d’inhalation.

En fait, cette volonté incompréhensible d’imposer ce satané masque n’est-elle pas une inavouable intention d’affaiblir nos systèmes immunitaires, plutôt que de les protéger ? Car, à bien y regarder de près, tout se passe comme si ce gouvernement avait sciemment tout mis en œuvre pour nous couper de toutes les ressources nécessaires pour nous maintenir en forme. Comme par exemple, de faire fermer les salles de sport, de nous interdire les baignades, ou en nous privant avec le confinement de sorties au grand air et au soleil et donc de vitamine D, qui est pourtant absolument essentielle. De même, bien que l’OMS définisse le bien-être comme étant basé sur la santé physique, la santé mentale et la sociabilité, ils ont fait d’une pierre trois coups en détruisant sciemment toute sociabilité, ce qui détruit la santé mentale et vient en dernière instance à détruire la santé physique. Notre système immunitaire se renforce par nos interactions avec les autres qui sont coupées…


“Stratégie du Choc” et “État de Sidération”

«La peur et l’anxiété, couplée à l’isolement humain décompensent psychologiquement les individus et ils ont une panne… Ils ne sont plus capables d’une pensée rationnelle. Une psychose globale est en cours et les gens se tourneront alors vers toutes fausses promesses qui réduiront la douleur émotionnelle qu’ils ressentent à cause de la peur. Vous pouvez donc leur faire miroiter un faux vaccin et ils y croiront, parce qu’ils ne veulent plus ressentir la douleur. Si vous remettez en question ce récit, ils deviennent agressifs, parce que vous les ramenez à cet état de douleur émotionnel dans lequel ils ne veulent pas se trouver. Ils ont littéralement perdu la tête, et les gens qui ont élaboré tout cela sont absolument diaboliques, mais aussi très brillants !»  - Dr. Zelenko

L’opération COVID a été lancée comme une Blitzkrieg psychologique fulgurante, comme une guerre médiatique brutale pour créer un choc initial, suivit dans la foulée d’un confinement immédiat, de l’enfermement des populations. Les instigateurs de cette pandémie ont une connaissance poussée de la psyché humaine, des mécanismes de la psycho trauma et de la suractivation du système limbique grâce à un matraquage médiatique sans précédent couplé avec une censure inédite. En outre, on pourra remarquer que le déroulement de toute cette pandémie rappelle les techniques de tortures développées à l’échelle individuelle sur les prisonniers dans des camps de détention comme Guantanamo, avec le manuel de torture psychologique “Kubark” et “La Charte de Biderman”, mais qui serait cette fois-ci appliqué à grande échelle, celle des sociétés. Albert D. Biderman a étudié pour la Rand Corporationsur le conditionnement des prisonniers de guerre US en Corée du Nord, ainsi que les techniques de lavage de cerveaux utilisées par les tortionnaires chinois.

Ainsi, on y retrouve pêle-mêle :

  • “La privation sensorielle”, avec le port du masque obligatoire.

  • “Le développement d’un sentiment d’insécurité et de stress permanent”, avec un martelage médiatique incessant et quotidien du nombre de morts par le croque-mort en chef, Jérôme Salomon. Quoi de mieux aussi pour rendre les gens malades que de leur parler de maladie à longueur de journée, surtout pour les personnes les plus sensibles et hypocondriaques.

  • “L’isolement”, avec le confinement, les gestes barrières et l’éloignement des proches. Dans les prisons, l’isolement a toujours été utilisé pour casser le moral du prisonnier, pour le briser. Il faut priver la victime de tout soutien social qui lui donnerait la capacité de résister et développer chez-elle une préoccupation intense à propos d’elle-même. Rendre la victime dépendante de l’autorité.

  • “Le harcèlement des concitoyens”, avec des mesures absurdes, sous peine de se voir infligé des amendes exorbitantes, le port du masque continuel. Tout est fait pour rendre la vie quotidienne pénible. Tels des pervers narcissiques, ils soufflent le chaud et le froid en alternant des périodes de pression et de stress intense avec des périodes de relâchement, ils passent de promesses de douceur à la violence la plus brutale. L’alternance de menaces, de chantage, de décisions absurdes et de contre-ordres vise à provoquer l’apathie, la résignation, la soumission.

  • “La monopolisation de la perception et de l’attention”, avec le matraquage continuel des chaînes d’informations telles que BFMTV. Il s’agit de fixer l’attention sur une situation difficile immédiate, d’éliminer les infos en compétition avec celles contrôlées par l’autorité et de punir toutes les actions contraires à la soumission.

  • “Un épuisement induit”, tant psychologique et moral que physique, lié à la peur pour sa santé, sa vie et son avenir. Il faut briser tout esprit de résistance.

  • “Des indulgences occasionnelles”, avec par exemple certains restaurants qui sont autorisés à ouvrir seulement sous certaines capacités. Procurer une motivation positive à respecter les directives, à se conformer et à se soumettre. Empêcher l’accoutumance aux privations imposées en lâchant de temps en temps la bride. On peut penser aux confinements aux couvre-feux par intermittence.

  • “Des demandes stupides imposées”, le port imposé d’un masque inutile, alors que le virus se transmettrait essentiellement de manière manu portée, ou le sens de circulation imposé dans certains magasins, ou bien avec certains rayons fermés car jugés non-essentiels tandis que d’autres restent ouverts, ou encore porter un masque en pleine nature ou à la plage, etc. Développer les habitudes de soumission par des directives totalement stupides, inutiles et infondées.

  • “Des menaces”, avec celle d’être exclu de la société, celle de se voir infliger des amendes, celle du retrait des enfants si on ne respecte pas scrupuleusement les mesures sanitaires décrétées par le gouvernement, etc. Il faut cultiver l’anxiété, le stress, et le désespoir.

  • “Une démonstration de toute-puissance”, avec la fermeture arbitraire du monde entier, des amendes exorbitantes pour imposer des mesures absurdes et le narratif officiel, sans la moindre remise en question des autorités scientifiques. Il faut suggérer l’inutilité et la futilité de la résistance, comme celle du vaccin qui serait de toute manière rendu obligatoire, ce n’est qu’une question de temps.
  • “Des dégradations et des humiliations”, comme celle du port du masque, celle d’avoir à justifier du moindre de ses déplacements, ou l’humiliation des tests dans le nez et les fesses. Faire apparaître le prix de la résistance comme plus dommageable pour l’estime de soi que pour celui de la capitulation.
  • “La désorientation et la perte des repères”, avec des discours officiels évolutifs qui changent en permanence de manière contradictoire, des injonctions paradoxales, des mesures à géométrie variable, voir parfaitement incohérentes. La confusion est savamment entretenue à tous les niveaux pour décourager les gens à chercher la vérité cachée derrière un épais rideau de fumée.
Comme le disait Hannah Arendt, la philosophe spécialiste du totalitarisme : «Quand tout le monde vous ment en permanence, le résultat n’est pas que vous croyez ces mensonges, mais que plus personne ne croit plus rien. Un peuple qui ne peut plus rien croire ne peut pas se faire une opinion. Il est privé non seulement de sa capacité d’agir, mais aussi de sa capacité de penser et de juger. Et, avec un tel peuple, vous pouvez faire ce que vous voulez !»


On dirait donc bien la mise en œuvre de ce que la politologue Naomi Klein décrivait dans son essai sur la montée du capitalisme du désastre, comme la “Stratégie du choc”. Une stratégie proprement machiavélique, qui permet de profiter de l’état de sidération généralisé pour passer en force et sans la moindre réaction des mesures absolument inacceptables d’un point de vue éthique et démocratique et qui seraient rejetées avec force et véhémence en temps normal. Depuis ce choc initial, on aura observé que la population a été maintenue dans une forme d’hypnose médiatique continuelle. Le choc initial permet de créer une amnésie du préexistant, de faire une table rase pour reprogrammer la société.

Le schéma manipulateur pour obtenir le consentement de la population à faire quelque chose qu’elle ne voudrait pas, ne procède pas directement, mais indirectement. Il est le suivant : on crée, ou on amplifie une crise qui effraie les gens, puis le gouvernement introduit ses dispositions non désirées, sous l’aspect de mesures nécessaires pour combattre cette crise, afin de préserver la sécurité et le niveau de vie, tout en incriminant quiconque qui y est opposé de “complotiste”Pour échapper à l’angoisse, beaucoup de personnes régressent psychologiquement à l’état d’enfance, où l’on obéit à l’adulte sachant qui vous prend en charge, est en effet plus confortable et sécurisant. Ce mécanisme de défense a néanmoins un coût qui est la perte d’autonomie.

Et que penser des déclarations du ministre de la Santé belge, Frank Vandenbroucke, qui admet que : «Faire du shopping ne comportait pas vraiment de risque quand tout était bien contrôlé. À un moment, on avait besoin de prendre une décision choc, il fallait un électrochoc et cela impliquait que l’on ferme immédiatement les commerces non-essentiels.» Les commerçants indépendants qui vont mettre la clé sous la porte pour avoir servi d’épouvantail au reste de la population dans toute cette campagne de peur apprécieront cette déclaration ultra-cynique à sa juste valeur… Comme le dirait le sénateur américain Ron Paul «Les gouvernements n’ont ni le droit ni l’autorité de nous dire quelle entreprise ou autre activité est “essentielle”. Ce n’est que dans les États totalitaires que le gouvernement revendique cette autorité.»

Semer et entretenir la confusion

«Tout résultat est résultat politique, et la politique elle-même est une accumulation de mensonges, de faux-fuyants, de folie, de haine et de schizophrénie. Une société totalitaire qui est arrivée à se perpétuer instaurerait probablement un système de pensée schizophrénique.» – Georges Orwell dans “1984”

«Ils auront quand même réussi à introduire de nouvelles valeurs, la ségrégation altruiste, le consentement obligatoire, la pensée unique réfléchie et intelligente, l’expérimentation sûre et sans danger, le conflit d’intérêts bienveillant, et tant d’autres paradoxes.» – Stéphane de Troie sur Twitter


Beaucoup de gens s’imaginent, à tort que parce qu’il avance tout et son contraire, le gouvernement est incompétent. Mais, tout a sciemment été fait pour brouiller les cartes et la compréhension des Français, qui ont été soumis à de nombreuses injonctions paradoxales, également appelées “doubles contraintes” incompatibles. Une notion théorisée dans les années 50 au sein de l’école de “Palo Alto” par l’anthropologue Gregory Batesonà l’origine de troubles mentaux comme la schizophrénie. Il s’agit d’une situation dans laquelle une personne est soumise à deux contraintes ou pressions contradictoires ou incompatibles. Si la personne est ou se sent prisonnière de la situation, surtout si elle est dans l’incapacité de communiquer à son sujet, cela rend le problème insoluble et engendre à la fois troubles et souffrances mentales. Les exemples sont innombrables dans la gestion de cette pandémie : Confinez-vous, mais allez travailler ; Ne vous rencontrez pas, mais soyez solidaires ; Restez chez vous, mais faites du sport ; Le masque est inutile, mais il est pourtant obligatoire ; Pour protéger nos enfants, acceptons de les maltraiter ; Pour sauver nos aînés, laissons-les mourir de solitude ; Pour éviter les attroupements, fermons les petits magasins ; Pour préserver notre santé, fermons les salles de sport ; Pour sauver nos hôpitaux, détruisons notre économie… 

En réalité il s’agit donc d’une technique de manipulation parfaitement maîtrisée et d’un des grands ressorts insidieux du totalitarisme, qui fait disjoncter la masse des cerveaux lassés par tant de paradoxes afin de mieux les soumettre et les dominer. Et force est de constater que cette stratégie est redoutablement efficace, puisque la plupart des gens perdent tout esprit critique et sont comme hébétés, incapables de la moindre réaction. C’est donc bien une insidieuse guerre psychologique qui nous est livrée, un petit jeu bien malsain et hautement pervers.

George Orwell avait déjà décrit dans son “1984”, à travers la novlangue, le dispositif de «double pensée» destiné à empêcher la représentation d’une chose. Elle consiste à «retenir simultanément deux opinions qui s’annulent, alors qu’on les sait contradictoires et croire à toutes deux», tout en étant capable d’en oublier une, lorsque l’injonction surmoïque se manifeste. Ensuite, il convient d’oublier que l’on vient d’oublier, c’est-à-dire «persuader consciemment l’inconscient, puis devenir ensuite inconscient de l’acte d’hypnose que l’on vient de perpétrer». Cette procédure interdit tout jugement et entraîne une indifférenciation des éléments de la réalité.

À force d’être soumis à de constants et d’incessants changements de consignes et de directives (souvent dénuées du moindre sens, mais qu’il est néanmoins réduit à suivre bien servilement) l’individu perd progressivement toute confiance en lui-même. De même, le fait qu’il puisse voir ses droits les plus élémentaires et ses besoins les plus fondamentaux êtres remis en cause et soumis au bon vouloir de l’autorité, le dévalorise, le rend impuissant et résigné. Par ce processus de manipulation et de prise de contrôle progressif, il entre dans un état régressif de docilité et de totale soumission. L’individu est alors désorienté et brisé dans sa volonté de résistance. 

Ce ressort psychologique induit est celui dit de “l’impuissance apprise”, ou de la “résignation acquise” théorisée en 1975 par le chercheur en psychologie Martin Seligman. C’est un sentiment d’impuissance permanente et générale qui résulte de l’expérience du vécu de l’individu. Il est provoqué par le fait que l’individu est plongé, de façon durable ou répétée, dans des situations sur lesquelles il ne peut agir et auxquelles il ne peut se soustraire. L’impuissance apprise engendre dépression, anxiété, désespoir et soumission.


La “Fabrique du Consentement”

«Les décisions, aujourd’hui, ne sont pas prises en fonction d’une réalité qui serait celle de la circulation du virus, mais pour dire qu’il faut continuer à être disciplinés comme vous l’êtes.» - Roxana Maracineanu, ministre déléguée aux Sports 3

«Pire que le bruit des bottes le silence des pantoufles»Max Frisch

Ce que nous avons traversé collectivement ces derniers mois, ressemble donc à une gigantesque entreprise de contrôle social et de soumission de la population, à l’instar de la fameuse Expérience de Milgram. Ainsi, on doit obéir aveuglément aux décisions les plus aberrantes, au nom du respect de l’autorité supérieure, car c’est elle qui serait détentrice de l’expertise scientifique, des compétences et du savoir, malgré des conflits d’intérêts patents qui sautent aux yeux.

Une soumission qui a culminé jusqu’à l’absurde, avec la nécessité ubuesque et profondément humiliante de se faire signer à soi-même une dérogation d’autorisation de sortie, lors des phases de confinements. Attestations de déplacement dérogatoires officielles, qui n’avaient en réalité aucun caractère obligatoire, comme cela a été ultérieurement avoué par le Conseil d’État. Nous nous sommes ainsi transformé en gardiens, en geôlier de notre propre résidence surveillée et prison. Quelle idée tordue et quelle perversion ! Une brillante initiative que l’on doit au cabinet-conseil “McKinsey & Company”, spécialisé dans le “Nudging”, à savoir dans des techniques de marketing incitatif, basées sur l’ingénierie sociale et l’économie comportementale, de façon à induire certaines actions dans la population en la manipulant de manière infra-consciente, comme le rapporte la philosophe Barbara Stiegler. “Nudge” peut se traduire par coup de pouce. Nous sommes là en plein dans la fabrique du consentement. À savoir aussi que ce cabinet de conseil américain, appuyant le gouvernement pour sa stratégie vaccinale contre la Covid-19, a tout récemment défrayé la chronique en étant directement impliqué dans un retentissant scandale des opiacés aux États-Unis, en étant reconnu responsable de 500 000 morts ! Le cabinet conseil privé a écopé d'une amende de 573 millions de dollars, ce qui n’a pas empêché le gouvernement français d’avoir recours à ses services, en pleine connaissance de cause, sans passer par aucun appel d'offre et moyennant des honoraires s’élevant à 9,56 millions d’euros, ce qui représente un coût de 50 mille euros la journée de conseil. À noter au passage que la société responsable de la campagne en relations publiques de l’OMS pour le coronavirus, n’est autre que “Hill + Knowlton Strategies”, qui fut impliquée dans le mensonge de la propagande des couveuses, du faux témoignage du massacre des nouveau-nés au Koweït lors de la première guerre du Golfe.

L’acceptation généralisée aux règles les plus absurdes ne peut fonctionner que grâce au conformisme et à l’instinct grégaire de la plupart des individus. Un facteur très puissant, qui chez la plupart entrave toute forme de discernement et de jugement personnel et qui peut expliquer beaucoup de choses concernant la passivité de la présente situation. Pour en mesurer toute l’importance, il suffit de se référer à la fameuse expérience de 1956 menée par le psychologue Solomon Asch qui portait sur la perception visuelle de lignes tracées de différentes longueurs qu’il fallait comparer… D’après cette stupéfiante expérience en sciences sociales, près de 75 pourcents des individus seraient prêts à suivre n’importe quoi, du moment qu’ils sont sous l’emprise d’une influence extérieure et à plus forte raison s’il s’agit d’une autorité sanitaire légitime en blouse blanche.

Dans cette crise, on a aussi neutralisé tout sentiment de révolte et de colère en jouant sur la culpabilité et en laissant entendre que les gens, par leur manque d’application dans la mise en œuvre des mesures sanitaires étaient directement responsables de la propagation du virus et de l’aggravation de la situation. Un procédé de manipulation classique qui permet de retourner les responsabilités. On a aussi inculqué aux gens leur impuissance et leur résignation alors que chacun de nous devrait faire ce qu’il croit être juste et en accord avec ce que lui dicte sa conscience.


À travers le traitement médiatique de cette pandémie, on a pu observer un recours intensif à des mécanismes d’ingénierie sociale et de manipulations qui relèvent de la “Psychologique Comportementale Appliquée”, de façon à faire passer un agenda politique sous couvert de Santé publique. Inlassablement, le public a été soumis à des procédés linguistiques très sophistiqués, à des messages qui ont été construits et élaborés avec des techniques psychologiques très subtiles de façon à mieux pénétrer les subconscients. Cela fait une cinquantaine d’années maintenant que les pouvoirs étudient scientifiquement les moyens de manipuler en masse les populations. Ils connaissent en profondeur la nature humaine et ses faiblesses, les ressorts psychologiques des individus et comment agir sur eux. Cette science de la manipulation est directement issue des travaux de “l’École de Francfort” et de “l’Institut Tavistock des relations humaines” fondée en 1947 par le “British Intelligence Service” et financée par la “Fondation Rockefeller”. Véritable temple du “Behaviourisme”, cette dernière s’est spécialisée dans les expérimentations sociales, dans l’étude du comportement de groupe et du comportement organisationnel. D’après les travaux du chercheur allemand en psychologie sociale Kurt Lewin qui eut une grande influence sur le travail de cet institut, la société pourrait être contrôlée et ramenée à un état régressif infantile et immature, en étant plongée dans un chaos social qu’il a nommé “Fluidité”. Il avait théorisé la “table rase”, selon laquelle lorsque la terreur est induite dans toute société donnée, la société se réfère alors à une sorte d’état d’hébétude, situation où le contrôle peut alors facilement être obtenu à partir d’un point extérieur. Frédéric Emery, un autre chercheur de cet institut, décrit les effets induits par ce chaos social engendré par des traumatismes sociaux, c’est-à-dire des crises économiques, politiques et des conflits sociaux. La société se polarise alors en deux groupes hostiles, pendant que les institutions s’effondrent. Des groupes extrémistes voient alors le jour. Pour Emery, la forme de chaos social la plus achevée correspond à la dissociation, un état dans lequel la personne individuelle s’identifie à la société en elle-même et se dissocie de sa personnalité qui lui est propre. À cause de la peur, elle s’isole des autres membres du groupe social. Les individus, devenus méfiants et paranoïaques se replient sur eux-mêmes. La culture dominante se fonde alors sur les superstitions et les fantasmes, tandis que les seuls moyens de communication entre les êtres sont les médias électroniques, agissant comme des leurres et accentuant la séparation et la dissociation. Les moyens employés par cet institut pour parvenir au contrôle de la société étant de modeler le déclin de la morale, de la spiritualité, de la culture, de la politique et de l’économie.

On peut voir la mise en œuvre de ce que le philosophe Naom Chomsky définissait comme la stratégie du dégradé, afin de faire grandir la Fenêtre d’Overton. Ainsi, étape par étape, et de manière fort insidieuse, on introduit des mesures de plus en plus liberticides afin de faire accepter l’inacceptable, par paliers. On fait ainsi lentement évoluer l’opinion publique, pour au final entériner dans le droit des mesures parfaitement intolérables et qu’elles deviennent légales, même si dans le fond, elles sont parfaitement immorales. Avec ce procédé, on passe ainsi d’une opinion de rejet catégorique, en considérant la chose comme impensable, à reconsidérer cette même chose comme extrémiste, puis à la juger comme licite, voire acceptable, pour en dernière instance s’en faire l’ardent défenseur.

Cela rejoint la fameuse formule de Saint-Augustin : «À force de tout voir, l’on finit par tout supporter… À force de tout supporter, l’on finit par tout tolérer… À force de tout tolérer, l’on finit par tout accepter… À force de tout accepter, l’on finit par tout approuver !»

Dans cette crise, on peut voir et c’est assez compréhensible, que tout le monde a aussi peur de perdre ses acquis, sa position sociale, son emploi ou sa maison, de se voir ostracisé par le reste du groupe ou de s’attirer l’hostilité de sa famille et de ses proches. Mais, comme le dirait l’anthropologue et physicien Philippe Bobola : «Chacun en essayant de s’auto-conserver, sous l’action de son cerveau reptilien, finit par cautionner un système qui va finir par balayer tout le monde !» Il faut arrêter de résonner sur la courte durée pour défendre son pré-carré par instinct de survie immédiat, car, à force de tenter de sauvegarder ses petits intérêts, de vouloir conserver ses acquis et ses subventions, nous allons collectivement dans une impasse. Il faut bien avoir conscience que l’assistanat sous perfusion de l’État n’aura qu’un temps et il tombera assurément lors du “Grand Reset”. Ce n’est donc que reculer pour mieux sauter

À croire qu’ils sont aussi en train d’évaluer le degré d’abrutissement et de “zombification” de la population générale, avant de passer à la vitesse supérieure


Un Hold-Up sur nos vies ?

«La crise économique va servir à centraliser la puissance économique mondiale et à faire naître le Nouvel Ordre Mondial.» – Gordon Brown en 2009

«L’économie doit mourir pour renaître à la vie.» – Klaus Schwab

«Seule une crise réelle, ou supposée peut produire des changements, provoquer la destruction des économies nationales et locales, en les dérégulant et en libéralisant pour les re-réguler, en les plaçant sous la tutelle d’entreprises multinationales privées ou d’organismes transnationaux tel le Fonds Monétaire International.» – Milton Friedman en 1982

Le but réel visé par toute cette entreprise, ne serait-il pas l’uberisation terminale de la société, d’asphyxier et de faire mourir à petit feu, mais définitivement tous les indépendants, de détruire la concurrence des entreprises locales pour concentrer le capital et toutes les richesses dans les mains des grandes multinationales, des grands trusts, qui auront alors dans un futur proche, la mainmise absolue sur tout. Il n’y aura alors plus de concurrence véritable et ils pourront ainsi imposer leurs lois et produire des services toujours plus médiocres, selon leurs propres conditions. Soit, le plus grand transfert et braquage de richesses de tous les temps et un véritable pillage et crime en bande organisée de la part du grand capitalisme de connivence ! Bien souvent, les crises ne touchent que les classes moyennes, qui en sont les éternelles grandes perdantes. Tandis qu’elles constituent un formidable tremplin, pour les plus riches, qui peuvent en un temps record, engranger de faramineux profits en se nourrissant avec une voracité sans égal sur le malheur et la ruine des plus petits, comme on a déjà pu le voir lors de la crise de 1929. Tout semble se passer comme si nous assistions en réalité à une forme de destruction méthodique et contrôlée de l’économie, où certains secteurs sont ciblés avec précision comme les PMI-PME, les industries culturelles et touristiques ou d’équipements sportifs, etc. Le confinement est l’outil de la destruction ciblée des classes moyennes, il est un processus d’accélération d’une dynamique qui a déjà été entamé de longue date depuis l’ère Tacherienne des années 80. Se livrer à ce jeu de massacre, de déstabilisation et de destruction de l’économie au motif de protéger la santé publique, il fallait oser.

La lanceuse d’alerte Catherine Austin Fitts, ancienne banquière d’affaire à Wall Street, dresse le même implacable constat : «La classe capitaliste mondiale a réalisé qu’elle a un sérieux problème. Et la solution à ce problème est de détruire le revenu des indépendants, des petites entreprises et des petits propriétaires. Le confinement est une guerre économique. Depuis avril, nous avons vu les milliardaires du monde entier augmenter leurs richesses de 27 %. Cela montre qu’il s’agit d’une guerre économique très réussie. Nous voyons comment la classe capitaliste mondiale, bien qu’elle ne soit pas capitaliste, mais plutôt une classe totalitaire… a concentré entre ses mains une richesse économique fantastique. Ils y sont parvenus… en détruisant et en absorbant les revenus de la classe moyenne»

Et ne vous faites surtout pas d’illusion, des fonds d’investissements internationaux vautours se tiennent déjà prêts en embuscade pour racheter à vil prix tous les commerces et les restaurants qui auront été conduits et acculés par ces politiques criminelles à une ruine certaine… Il s’agit donc bien, sous couvert de santé publique d’un Hold-Up intégral, tant sur nos libertés, mais aussi sur nos biens, via une spoliation à venir de nos économies et de nos propriétés. Ils évoquent déjà sans honte et de plus en plus ouvertement de venir se servir directement sur nos comptes en banque pour maintenir à flots ce système financier à l’agonie et pour rembourser une dette publique rendue abyssale, mais totalement inique qui s’élève maintenant à 116 % du PIB. Le FMI parle déjà de ponctionner au moins dix pourcents de toutes les épargnes pour financer la reprise économique.


Pour s’en convaincre, il suffit de voir à quel point cette opération a été une véritable bénédiction pour les géants des GAFAM, les plateformes mondiales telles que UBER, qui à la faveur de cette crise, ont vu leurs chiffres d’affaires et leurs actions s’envoler de manière vertigineuse, tandis que les petits entrepreneurs, victimes de faillites en cascades, commencent littéralement à se suicider de désespoir… On peut donc observer très nettement une concentration de plus en plus grande de pouvoir et d’argent dans de moins en moins de mains, la disparition pure et simple des classes moyennes et la consolidation d’une classe d’hyper-riches ultra-minoritaires. Ainsi, en huit mois seulement, les uns pourcents les plus riches de la planète ont aspiré vingt-sept pourcents de toutes les richesses ! En l’espace d’un an, le géant “Amazon” aurait à lui seul, engrangé plus de 250 milliards de dollars.

D’ailleurs, on peut observer un même processus de concentration, avec le développement des smartcities, ces mégalopoles futuristes ultra-connectées et en parallèle, le dépeuplement des campagnes qui perdent progressivement leurs services et deviennent des déserts administratifs. Il faut bien comprendre que de manière générale du point de vue des puissants de ce monde, tout ce qui permet une autonomie et une certaine indépendance par rapport au système doit être farouchement combattu et éliminé, pour viser à toujours plus d’uniformité et de contrôle.

En fait, force est de constater que tout se passe plutôt comme si ces “bons dirigeants”, qui font mine de prendre tant à cœur notre Santé, nous livraient en réalité une guerre totale, une guerre larvée sournoise et des plus insidieuses, une guerre sans morts apparents, mais avec tant de victimes collatérales, une guerre contre la dignité, une guerre contre l’humanité, une guerre contre la vérité et même une guerre contre la réalité. Une guerre qui mettrait tout en œuvre pour nous affaiblir sur tous les plans tant physiologique, qu’affectif, que psychologique, et bientôt économique ! 

Et puis toutes ces mesures, qui nous sont imposées et qui nous rendent la vie quotidienne infernale, sans véritable raison sanitaire justifiée, ne sont-elles pas elles aussi une guerre de nerfs et d’usure, une vaste entreprise de démoralisation destinée à nous faire accepter l’inacceptable, voire jusqu’à supplier pour une vaccination que l’on présente comme la fin du calvaire, le bout du tunnel, “le Saint Graal”, l’ultime panacée permettant de regagner notre vie antérieure confisquée et volée. C’est du moins leur promesse, bien qu’en réalité, ils n’en pensent pas un traître mot…

D’ailleurs, le décidément incontournable Klaus Schwab l’avait annoncé dès le début de la pandémie alors même que le virus n’avait encore que quelques semaines : «Un retour complet à la “normale” ne peut être envisagé avant qu’un vaccin soit disponible.» Tandis que de son côté, Melinda Gates nous avait aussi affirmé avec un aplomb inouï qu’il n’y aura «Pas de vie normale tant que le monde entier ne sera pas vacciné  !»


CHAPITRE 2
“LE VACCIN À ARN MESSAGER”,
OU LA MISE À JOUR DE L’HUMANITÉ



«Imaginez un vaccin tellement sûr que vous devez être menacé pour le prendre contre une maladie si mortelle que vous devez être testé pour savoir si vous l’avez !» – Pr. Denis Rancourt

«En tant que scientifique confirmé, avec des décennies de travail acharné à mon actif, je peux vous le certifier : Ce ne sont littéralement que des mensonges ! Si un iota est vrai, c’est simplement un élément au service du mensonge, ou c’est un accident.» Pr. Denis Rancourt

«Pour la première fois dans l’histoire de l’Humanité, des gens en bonne santé peuvent transmettre une maladie qu’ils n’ont pas à d’autres gens qui sont vaccinés contre celle-ci… Fascinant !» – Slobodan Despot

Le refus délibéré et criminel de tout traitement

Pourquoi la vaccination serait-elle devenue l’horizon indépassable de cette épidémie, l’Alpha et l’Oméga de la sortie de cette crise, alors que contrairement à ce qu’avance le gouvernement, de nombreux autres traitements ont fait leurs preuves à travers le monde, comme l’“Hydroxychloroquine couplée avec l’antibiotique Azithromycine, avec une meta-étude qui synthétise plus de 208 autres études internationales, qui démontrent sans l’ombre d’un doute son efficacité. On peut aussi évoquer l’Ivermectine associée à la Doxycycline” encore plus efficace, mais aussi le Zinc, la vitamine C et D, la Fluvoxamine, la Bromhexine, ou encore des plantes naturelles comme l’Artemisia. Ces traitements ont démontré leur efficacité dans les pays pauvres, où la mortalité est de très loin inférieure à la nôtre. La '“Fluvoxamine” coûte seulement quatre euros la boîte, qui permet une réduction de 66 % des taux d’hospitalisation et de 91 % des taux de décès liés à la COVID chez les patients à haut risque. On peut aussi faire mention de la “Plitidepsine”, un médicament produit en Espagne qui réduit de près de 100 % la charge virale de la Covid-19. Et qu’est devenu le “Clofoctol” développé par l’Institut Pasteur de Lille et défendu comme «efficace à 100%» par le Pr. Benoit Deprez dès l’été 2020 et qui aurait dû sortir début 2021 ? Pourtant malgré tous ces traitements, on a assisté à des campagnes médiatiques de désinformation massives en vue de diaboliser, voire de nier l’existence de ces derniers auprès de l’opinion publique. Les preuves que ces traitements  fonctionnent étant systématiquement relégués en tant que “Fake News”, tandis que toute communication autour de ces traitements a été sévèrement censurée avec la complicité des GAFAM sur les réseaux sociaux. 

Aussi, pourquoi ne jamais avoir parlé des moyens efficaces pour renforcer notre immunité et consolider de manière préventive notre santé, au moment même où c’est justement le plus essentiel et décisif ? Le système immunitaire serait-il devenu lui aussi une “Théorie du Complot” ? Pourquoi un tel déni et une telle impasse sur l’immunité naturelle, qui est pourtant la plus robuste et protectrice ? La Santé publique du Québec a par exemple tout simplement pris la décision unilatérale de bloquer l’administration de vitamine D, qui est un antiviral et qui permet de booster le système immunitaire des personnes âgées. Quoi de mieux pour affaiblir ces dernières et augmenter au passage à bon compte les chiffres pandémiques.

De manière parfaitement incompréhensible, tout au long de cette pandémie, les médecins traitants généralistes ont été totalement et scandaleusement mis sur la touche, méprisés, court-circuités, entravés dans leur droit de prescription, alors qu’ils auraient dû en toute logique êtres placés en première ligne pour faire remonter de précieuses informations du terrain et de très utiles retours sur expérience, afin de lutter efficacement contre ce nouveau virus inconnu du Sars-CoV 2. Mais c’est l’exact inverse qui a été fait : leur action a été étroitement encadrée et leur parole a été étouffée, contrairement à celle des ultra-médiatisés médecins cathodiques de plateaux comme les Michel Cymes, les Karine Lacombe, les Martin Blachier ou les Gilbert Deray. Ces derniers se gardent bien de préciser, comme l’exige pourtant la loi, leurs conflits d’intérêts patents avec l’industrie et déversent sur les ondes leur propagande sans la moindre retenue. L’Article L4113-13 du Code de la santé publique est pourtant clair à ce sujet : «Les membres des professions médicales qui ont des liens avec des entreprises et établissements produisant ou exploitant des produits de santé ou des organismes de conseil intervenant sur ces produits sont tenus de les faire connaître au public lorsqu’ils s’expriment lors d’une manifestation publique ou dans la presse écrite ou audiovisuelle sur de tels produits. Les conditions d’application du présent article sont fixées par décret en Conseil d’État.» Le CSA, l’autorité publique française de régulation de l’audiovisuel censée veiller à ce que ce genre d’entorse à la loi ne se produise pas, n’y trouve pourtant absolument rien à y redire. Elle est complice de cette situation et un auxiliaire de la manipulation. Mais ne nous en étonnons pas outre mesure, car c’est le président de la République en personne qui nomme le président du CSA…

Dans ce traitement médiatique, on pourra aussi s’étonner de constater que les experts en  épidémiologie, comme les Christian Peronne, les Laurent Toubiana ou les Jean-François Toussaintdont c’est le principal champ d’expertise, ne sont pas écoutés et sont même discrédités et évincés des plateaux, au profit de médecins qui sont néphrologues ou bien urologues… Le discours de vérité est à chercher du côté des médecins qui prennent des risques, qui s’exposent aux coups, qui ont tout à perdre et non pas du côté des médecins qui pérorent sous les feux des projecteurs des plateaux TV.

Les recommandations officielles étaient de ne pas aller directement voir son médecin traitant, ou alors de préférence en consultation à distance, de prendre du “Paracétamol”, du “Doliprane”, de rester chez soi et en cas de difficultés respiratoires grave, autrement dit lorsque c’est trop tard, d’appeler le 15 pour être pris en charge à l’hôpital. Il est cocasse de constater que le “Paracétamol” a en fait plus d’effets secondaires que la chloroquine et l’hydroxychloroquine réunies et notamment dans le domaine cardiaque, comme cela est rapporté sur la Vigibase, la base de données des effets secondaires des médicaments de l’OMS. En somme, c’est ce que l’on pourrait caractériser comme de la non-assistance à personne en danger… Le Dr Pierre Brihaye, médecin ORL déplore ces recommandations  : «Au début du confinement il a été demandé aux médecins d’arrêter de soigner… Les patients suspectés d’avoir le Covid étaient renvoyés chez eux sans être examinés, avec du Dafalgan comme seul traitement… C’est contraire à la médecine.» 

Jamais, on aura vu une telle approche dans toute l’histoire de la médecine, qui a toujours reposé sur le diagnostic du médecin, suivi d’un traitement adapté et rapide ! Cette négation des traitements relève d’un refus de soigner et donc d’un véritable crime, avec au 07 mai 2020, une surmortalité en France estimée à 25 000 morts, comme le rapporte le Dr. Christian Peronne,  l’ancien Président de la commission des maladies transmissibles du Haut Conseil de la Santé publique et ancien membre expert à l’OMS sur la politique vaccinale en Europe, dans son livre réquisitoire  explosif “Y a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ?”… Cet aveuglement volontaire est le péché originel de ce gouvernement, celui dont découlent toutes les autres fautes et crimes ultérieurs. C’est comme si dans sa profonde duplicité, Emmanuel Macron pour répondre à la guerre, à la croisade sanitaire qu’il avait déclarée contre ce virus, avait tout simplement choisi de délibérément désarmer les Français pour y faire face ! Cela relève de la haute trahison du peuple et mériterait une destitution et un jugement en bonne et due forme. Mais, il faut bien comprendre que la négation de tout traitement était la condition préalable sine qua non pour l’autorisation de la mise sur le marché des différents vaccins… Et il fallait aussi dans un premier temps déclarer l’épidémie comme une “Pandémie” pour légitimer leur production. De même que la prolongation de l’état d’urgence sanitaire était la condition sine qua non pour autoriser des vaccins qui n’ont pas été approuvés. Si on n’enclenche pas la chaîne de soins pour les malades, si on ne diagnostique pas, si on n’examine pas et si on ne traite pas délibérément les patients et bien alors, les situations cliniques ne peuvent qu’empirer et les services de soins ne peuvent être que saturés !

Contrairement à ce que se sont évertués à marteler dans l’espace médiatique les Olivier Véran, les Karine Lacombe, ou encore les Jérôme Salomon, il existe donc bel et bien tout un arsenal de traitements efficaces pour lutter contre le virus, à la condition d’agir de manière assez précoce, pendant la phase virale… Ainsi, des milliers de médecins de ville à travers le monde, rapportent avoir traité leurs patients avec par exemple, de simples antibiotiques, en relevant des améliorations spectaculaires sur leur état, avec une diminution de 50 à 80 pourcents des hospitalisations et des décès, reléguant la gravité de ce redoutable virus à celle d’une grippe des plus classiques. 

Aux États-Unis, “America’s Front Line Doctors”, un regroupement de médecins et de professionnels de la santé s’est constitué pour affirmer l’efficacité bien réelle des traitements précoces comme l’“Hydroxychloroquine”. Il s’était illustré pendant la pandémie en allant manifester avec les blouses blanches devant le Sénat américain, mais a pourtant été purement et simplement censuré des réseaux sociaux. Ce collectif compte maintenant dans ses rangs plus de 700 000 membres, dont des milliers de médecins bénévoles et sans conflit d’intérêt, qui travaillent à ré-informer leurs concitoyens.

Pour ce qui est de l’Ivermectine, elle serait en traitement précoce, efficace à 85 % pour diminuer le taux de mortalité de ce virus et qui plus est, il s’agit d’une molécule largement connue, sur laquelle on a tout le recul nécessaire. Ce médicament éliminerait le coronavirus à 99 %, comme cela a été confirmé lors d’études de micro-organismes. Que demander de plus? En Inde, où le gouvernement a décidé de passer outre les préconisations de “l’Organisation mondiale de la santé” de ne pas utiliser l’Ivermectine, les résultats contre le variant indien ont été immédiats, avec une chute spectaculaire du nombre de cas et de décès. Plus d’une vingtaine de pays utilisent l’Ivermectine avec grand succès. 

Une association du barreau indien, “l’Indian Bar Association” a même signifié un avis juridique pour “outrage au tribunal” et “crimes contre l’humanité” au directeur général de “l’Organisation mondiale de la santé”, le Dr Tedros Adhanom Gebreyesus, ainsi qu’au scientifique en chef de l’OMS, le Dr Soumya Swaminathan. “l’Indian Bar Association” a signifié cet avis en raison du fait que l’OMS continue de diffuser de la désinformation sur le médicament “Ivermectine”, bien qu’elle ait pleinement connaissance d’un jugement rendu par “l’Honorable Haute Cour de Bombay” à Goa le 29 mai 2021. L’OMS a toujours déclaré qu’il n’y avait pas suffisamment de preuves pour prouver que l'“Ivermectine” aidait à soulager la prétendue maladie de Covid-19. L’avis de 51 pages de “l’Indian Bar Association”, envoyé le 25 mai, a qualifié les déclarations du Dr Soumya Swaminathan de «très déraisonnables, trompeuses et émises avec des fins inavouées et une intention délibérée de minimiser l’efficacité de l'“Ivermectine” dans le traitement des patients de Covid-19 ainsi que son utilisation comme prophylaxie et pour dissuader les gens d’utiliser ce médicament en créant des doutes dans l’esprit des gens quant à la sécurité de l'“Ivermectine”». L’association a demandé des mesures en vertu des articles 302 (punition pour meurtre), 304 (II) (homicide coupable n’équivalant pas à un meurtre), 88 (acte non destiné à causer la mort), 120 (B) (participation à un complot criminel) et 34 (actes accomplis par plusieurs personnes dans la poursuite d’une intention commune) et d’autres dispositions du Code pénal indien et de la Loi de 2005 sur la gestion des catastrophes. Le deuxième avis juridique rendu par “l’Indian Bar Association” indique que Tedros et son collègue Swaminathan exécutent un complot criminel visant à empêcher les gens de revenir à la normale. «Il semble que, afin de vous sauver vous-même et les autres accusés impliqués dans le complot plus large et de causer des gains injustifiés à la Pharma Mafia et à d’autres, vous avez exécuté ce complot criminel pour priver le peuple indien de panacée comme l'“Ivermectine” et peut-être d’autres drogues aussi et vous trois, vous êtes déterminés à empêcher les gens de revenir à un semblant de normalité. L’autre stratégie de votre groupe est de maintenir le public sous le choc sous une peur constante et de le pousser davantage dans la pauvreté. Le complot est exécuté en sachant parfaitement qu’il y a des pertes massives de vies humaines, ce qui n’est rien d’autre qu’un cas manifeste de meurtres de masse de sang-froid, c’est-à-dire de génocide.»



De plus, il s’avère que d’après le témoignage du chirurgien et urologue, le Dr. Maudrux intervenant sur les ondes de Sud Radio, la France via l’INSERM, par l’entremise de l’épidémiologiste Dominique Costagliola et de Marisol Touraine, serait directement intervenue au niveau de l’OMS pour bloquer toute forme de traitement à base d’Ivermectine. Ils ont ainsi fait pression pour faire modifier les conclusions d’une étude demandée par Andrew Hill qui s’était avérée très concluante en démontrant une efficacité spectaculaire de ce médicament, avec une diminution par deux des symptômes et par quatre de la mortalité. De même, lDr. Tess Lawrie, chercheuse et directrice de “l’Evidence Based Medicine Consultancy”, dans un avis lancé aux populations du monde entier, confirme bien que l’Ivermectine fonctionne, mais que tout est fait pour retarder l’approbation de ce traitement.

En outre, deux médecins généralistes mosellans, les Dr. Erbstein et Dr. Gastaldi ont été sommés de se taire par le “Conseil de l’Ordre des Médecins”, alors qu’ils avaient trouvé un traitement très encourageant basé sur un protocole à base d’azithromycine et de Zinc efficace contre la Covid-19. Comment ne pas voir dans tous ces agissements criminels, une volonté délibérée de bloquer toute forme de traitement thérapeutique et de sortie de crise ?

Pour en revenir sur le sujet de la chloroquine : pourquoi le 08 octobre 2019, soit tout juste quelques semaines avant le début de la pandémie, la ministre de la Santé Agnès Buzyn avait-elle fait sans la moindre explication, passer un arrêté pour la faire classer au tableau C de la pharmacie en tant que substance vénéneuse, désormais uniquement disponible sous ordonnance, alors qu’auparavant, ce médicament vieux de 70 ans était directement accessible en vente libre ? Le 12 novembre 2019, “l’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire” a donné son accord pour cette interdiction. Il faut savoir que Roger Genet, le Directeur général de l’ANSES qui a permis la classification de l’“Hydroxychloroquine” en tant que substance vénéneuse est la même qui a autorisé le Glyphosate, considérant qu’il ne représente aucun danger. Le 13 janvier 2020, Jérôme Salomon déclarait la chloroquine comme substance vénéneuse au Journal officiel de la République française. Il faut bien avouer qu’il s’agit là d’un timing extrêmement curieux… La justification hautement fallacieuse avancée par la dame Buzyn devant la Commission Sénatoriale” pour expliquer cette incompréhensible prise de décision fut la suivante«J’ai interdit la chloroquine, car les Français prennent trop de médicaments !» Quelle sinistre farce que cette ministre !

Il faut aussi savoir que pendant qu’ils mettaient toute leur énergie pour bloquer l’hydroxychloroquine au niveau du peuple, ils ont passé des commandes pour des réserves de chloroquine de plus de deux tonnes afin dapprovisionner la Pharmacie centrale des arméesL’Ivermectine et l’hydroxychloroquine ont été autorisées par décret et délivrées à volonté aux forces de l’ordre et aux politiques, dans n’importe quel hôpital militaire.

Le sort semble d’ailleurs véritablement s’acharner sur l’“Hydroxychloroquine”, puisque le 20 décembre 2020, par un malheureux concours de circonstances, la deuxième plus grande usine de production au monde de cette molécule, la “SCI Pharmatech” située tout près de l’aéroport international de Taïwan dans la province de Taoyuan a été ravagé par les flammes. Cet incendie a stoppé net la production de cette molécule. Tandis qu’en France, Famar, la seule usine habilitée à fabriquer de la chloroquine à Saint-Genis-Laval près de Lyon a le 12 juillet 2019 été en toute discrétion placée en redressement judiciaire. La liquidation ayant été organisée par un hedgefunds américain KKR, en étroite relation avec le laboratoire Pfizerqui produit le vaccin Covid-19…

D’après le cardiologue, le Dr Peter McCullough, consultant et vice chef du service de médecine du Baylor University Medical Center à Dallas, en Australie, dès avril 2020, soit dès le début de la pandémie, ils avaient passé dans les registres, comme une loi, que si un médecin prescrivait de l’“Hydroxychloroquine à l’un de ses patients atteints du Covid-19, il serait alors mis en prison pour six mois. Comment auraient-ils pu avoir connaissance aussi tôt et sans avoir au préalable effectué le moindre test clinique qu’elle n’était pas une thérapie efficace et qu’il ne faudrait surtout pas utiliser ce traitement ? Cette chronologie des prises de décision, suggère qu’il y a ici quelque chose qui est totalement anormal.

Qui plus est, d’après le témoignage de l’humoriste Jean-Marie Bigard, qui aurait directement échangé en privé avec Emmanuel Macron, le Président lui aurait fait la confidence et l’aveu que s’il tombait malade, il prendrait immédiatement, le jour même le protocole du Professeur Didier Raoult. Cela n’empêche pas ce dernier de complètement nier ce protocole en tant que traitement et d’en limiter la diffusion pour le bas-peuple… Quel spectaculaire degré d’hypocrisie  !


De son côté, le Professeur Didier Raoult s’avoue littéralement abasourdi autour de la controverse et du scandale médiatique généré autour de l’“Hydroxychloroquine” et résume ainsi la situation : «Honnêtement, si un jour on se met à réfléchir sur l’histoire de l’“Hydroxychloroquine” qui est quand même l’histoire la plus fantasque que j’ai jamais vue en médecine de ma vie. C’est un médicament qui existe depuis quatre-vingt ans, qui a été prescrit à peut-être un tiers de la population du monde, qui en France est vendu à trente-six millions de pilules par an et d’un coup, il y a toutes les autorités qui commencent à dire que c’est un truc épouvantable, criminel, qu’on va tous mourir d’arythmie cardiaque parce qu’on prend ce truc… C’est le truc le plus fantasque que j’ai jamais vu ou entendu… C’est inouï !» Didier Raoult souligne la totale incohérence de ce procès à l’encontre de cette molécule : «On a dénoncé l’un des deux médicaments les plus prescrits au monde… On en a probablement donné à 2 milliards de personnes, en affirmant qu’il tuait 10% des patients.»

Question subsidiaire, qu’est donc bien devenu l’essai clinique “Discovery” de l’INSERM sous la tutelle de Yazdan Yazdanpanah pour évaluer les différents traitements antiviraux ? Malgré les fracassantes annonces initiales du gouvernement, semaines après semaines, nous avons été sans nouvelles… Il semblerait bien que le projet ait lamentablement échoué ! Dans cet essai, l’“Hydroxychloroquine” a été volontairement torpillée, en la testant sur des malades gravement atteints déjà entrés dans une phase virale avancée et en leur administrant un surdosage de chloroquine de quatre fois supérieur à celui préconisé par le Pr Raoult dans son protocole. Pourtant ce dernier avait bien précisé que c’est un traitement qui ne fonctionne efficacement qu’en préventif, avant l’apparition des symptômes graves. Tout porte donc à croire que cette étude peu concluante a été mise en place seulement pour gagner du temps, ou plutôt en perdre en attendant la sortie des vaccins, tout en bloquant les potentiels traitements… Comme le disait Georges Clemenceau : «Si vous voulez enterrer un problème, nommez une commission!» Rappelons-nous aussi des conseils de ce vieux briscard et mafieux de Charles Pasqua«Quand on est emmerdé par une affaire, il faut susciter une affaire dans l’affaire, et si nécessaire une autre affaire dans l’affaire de l’affaire, jusqu’à ce que personne n’y comprenne plus rien.»

Et dans toute cette affaire, nous marchons manifestement sur la tête. Nous sommes guidés, non pas par une science empirique et pragmatique au service des malades, mais par des études scientistes frauduleuses, menées par une bande d’escrocs et de charlatans aux obscures motivations. D’un côté, ils se permettent de bannir tous les traitements qui fonctionnent, au mépris de la liberté de prescription, prévue par l’article 8 du code de déontologie des praticiens, et de l’autre, ils autorisent à prix d’or des traitements qui ne marchent pas et s’avèrent même inefficaces, toxiques et dangereux, comme le RemdésevirCe médicament, qui est fabriqué par le laboratoire pharmaceutique américain Gilead, est le premier à avoir obtenu une autorisation de mise sur le marché comme traitement contre la Covid-19, et cela malgré des études contradictoires et le fait que ce médicament n’avait jamais été approuvé contre aucune maladie. Son prix astronomique a été fixé à 390$ le flacon, soit 2 085€ pour un traitement de 5 jours, alors que son coût de fabrication n’excède pas les 0,94$ la dose. Il est donc revendu 420 fois plus cher ! 

Circonstance aggravante, il s’avère par-dessus le marché, que ce laboratoire a refourgué sa camelote à la Commission européenne, qui pourtant n’a aucune habilitation à passer de telles commandes au nom et pour le compte des États avec les deniers des contribuables, surtout en sachant pertinemment qu’elle ne fonctionnait pas. La commission de Bruxelles a ainsi réalisé une précommande se chiffrant à 1,2 milliard d’euros. De quoi se poser de sérieuses questions sur les véritables motivations qui animent ces laboratoires, qui ont la prétention de vouloir se présenter comme œuvrant avant tout pour notre santé. L’entreprise a même eu l’audace de déposer un dossier afin qu’il soit remboursé dans la prise en charge de ses formes sévères, malgré beaucoup d’incertitudes sur son efficacité et sa tolérance pour ses patients. Le “Remdésevir” peut notamment causer des atteintes rénales et hépatiques. Et pour couronner le tout, il s’avère en plus qu’il est hautement mutagène. Le “Remdésevir” étant un antiviral, la Haute Autorité de Santé avait également regretté l’absence de démonstration de son impact sur la charge virale. Quel spectaculaire deux poids, deux mesures dans l’approche de ces deux traitements que sont “l’hydroxychloroquine” et le “Remdésevir”. Et il faudrait leur faire confiance pour les vaccins ?


L’avocat de Didier Raoult, Maître Fabrice Di Vizio résume l’affaire ainsi : «On est dans un scandale sanitaire. Il est inacceptable qu’on promeuve un médicament hors de prix et dont les effets secondaires sont terribles, tout en refusant de permettre l’utilisation  d’un traitement éprouvé, qui ne coûte rien et sans effets secondaires notables. Aucune justification scientifique n’explique ce choix. À défaut de réponse claire de l’ANSM et de prise de  position par le monde politique, nous nous tournons donc aujourd’hui vers la justice pour enquêter si des liens d’intérêt entre l’ANSM et Gilead — le laboratoire qui produit le remdésivir — existent, si les études produites n’ont pas été influencées et pourquoi, finalement, la  chloroquine est volontairement évincée à son profit.»

Didier Raoult explique ainsi la situation de blocage «Si l’État reconnaît ce qui finira par s’imposer – parce qu’il y a eu 200 études sur l’hydroxychloroquine […], ça veut dire qu’il y a des milliers de gens qui sont morts pour rien, et que ça aura des conséquences judiciaires au plus haut niveau qui sont inarrêtables. Donc jamais personne ne reconnaîtra qu’il a fait une faute, pendant plusieurs mois, ce qui a entraîné la mort de milliers de personnes.»

Mais le scandale ne s’arrête pas là puisqu’il a été passé une ordonnance de dispensation conditionnelle pour “l’azithromycine” ainsi que 5 autres antibiotiques pour interdire strictement leur prescription pour les cas Covid. Les patients ne pourront plus être soignés, même si le médecin prescrit la spécialité. Si ces médicaments ne sont pas efficaces, quel serait l’intérêt de les interdire ? Leur interdiction est un aveu de leur efficacité, mais aussi que tout ça n’a rien de sanitaire, mais suit un narratif vers un objectif tout autre.

Autant dire que si ces traitements précoces avaient été généralisés, il y aurait eu largement de quoi éviter d’avoir recours à toutes ces mesures suicidaires ô combien dévastatrices de confinement, de couvre-feu, de masques, ou à l’imposition d’une vaccination expérimentale généralisée et hautement hasardeuse sur l’ensemble de la population… Mais manifestement, ces solutions peu onéreuses, si faciles à mettre en œuvre sont superbement ignorées, délibérément écartées, car n’étant sans doute pas, dans le meilleur des cas, susceptibles de dégager de substantiels profits financiers pour Big Pharma… Et quand bien même l’efficacité de ces traitements ne serait pas totale, comme ils ne sont pas dangereux, pourquoi n’avoir pas au minimum tiré parti de l’effet placebo, qui est tout de même de l’ordre de 30 pourcents. Sur un décompte de 100 000 morts, cela en aurait évité 30 000 ! Pourquoi alors s’en priver si la Santé est la priorité absolue ?


Et que penser des déclarations du Dr Jean-Paul Hamon, le Président de la fédération des médecins de France, qui sur le plateau de LCI a affirmé qu’il avait eu connaissance d’une entreprise française très sérieuse qui avait développé un petit boîtier que l’on peut brancher sur une prise secteur afin de nettoyer et purifier l’air de larges espaces, capable de détruire très facilement le virus. Il a de nombreuses fois essayé d’en faire part à Olivier Véran, mais ce dernier n’a jamais donné suite à cette solution pourtant si simple à mettre en œuvre et qui aurait permis  de tout rouvrir très facilement et sans risque. De manière incompréhensible, le gouvernement ne s’est même pas intéressé à cette proposition… Sans doute parce que cette solution technologique n’est pas non plus compatible avec une vaccination de masse, qui semble être, et on se demande bien pourquoi, la priorité absolue depuis le début.


Vacciner, oui mais pourquoi ?

«Les recommandations vaccinales ne sont pas scientifiques, mais politiques.» – Professeur Didier Raoult, épidémiologiste et spécialiste des maladies infectieuses

«Le vaccin n’a jamais été apporté pour le COVID. Le COVID a été apporté pour le vaccin. Une fois que vous avez réalisé cela, tout fait sens.» –  Maître Reiner Fuellmich

«Nos gouvernants et nos parlementaires, de par leur pouvoir et leur influence, vont inciter toute une population à faire un geste dont l’intérêt n’est pas démontré et dont les conséquences ne sont pas mesurées, et se présenter ainsi en sauveurs. Cela évoque les techniques sectaires et les suicides collectifs.» – Dr Frédéric Badel, médecin-psychiatre

Comme le dit l’essayiste Arnaud-Aaron Upinsky : «Il faut refuser le vaccin, parce qu’un chantage au “hors du tout vaccin, point de salut” est contre toute raison, toutes les règles. On vous dit, appliquez les règles, les gestes barrières Mais eux n’appliquent pas les règles, ils n’ont aucun geste barrières, ni pour la morale, ni pour l’humanité, ni pour les règles scientifiques, ni pour le bon sens, ni même pour la logistique  !»

Pour commencer, cela relève d’une totale aberration que de vouloir injecter aveuglément et sans le moindre discernement la même substance à toute la planète. On ne tient plus compte du fait que chaque être humain est un micro-système bien spécifique. La médecine est un art et est basée sur l’observation du patient. En fait, c’est le contraire même de la science et de la vraie médecine, qui doit toujours prendre en compte le terrain et l’état physiologique du patient pour adapter le traitement. Il faut un traitement approprié et non un traitement à priori. La négation de la singularité des individus pris dans leur ensemble comme une masse informe et indifférenciée est une approche purement totalitaire.

De plus, quelle est la pertinence de développer un vaccin pour un virus comme le Sars-CoV 2, qui est un virus de type ARN de la famille des coronavirus, qui ont pour principale caractéristique d’êtres génétiquement particulièrement instables et hautement mutagènes, avec une souche qui évolue aussi souvent par un procédé qui s’appelle la recombinaison ? En Chine, les chercheurs ont déjà identifié un nombre impressionnant de mutations, avec 150 variantes mineures sur une centaine de génomes analysés. En toute logique, la protection ne peut être durable avec un virus qui génère l’apparition d’autant de variants, comme on peut déjà le voir actuellement, avec l’apparition des variants Brésiliens, Anglais, Sud-Africain, ou encore Breton… De plus, il faut savoir que ces virus mutent sur la protéine “Spike”, qui est justement responsable de l’infectivité et qui est celle qui varie le plus. Et il se trouve que c’est précisément elle qui est ciblée par ces vaccins à “ARN messager”…

Le grand scientifique Luc Montagnier expose les dangers de cette vaccination qui fait croire qu’elle lutte contre la pandémie. Or, c’est précisément le contraire, elle la nourrit ! De plus, le virus variant résiste à la vaccination : «Les nouveaux variants sont créés par la sélection des anticorps produits par la vaccination.» Il a aussi déclaré que les variants sont générés par les vaccinations : «C’est une énorme erreur, c’est une erreur scientifique et une faute médicale inexplicable, l’histoire fera le bilan un jour de tout ça, car c’est effectivement la vaccination qui a créé le variant.»

Christian Vélot, président du CRIIGEN, “le Comité de Recherche et d’Information Indépendantes sur le Génie Génétique”, s’étonne que pour «lutter contre un virus qui nous réserve énormément d’incertitudes, on ait recours à des technologies pour lesquelles on n’a pas de recul. C’est-à-dire qu’on ajoute à l’incertitude et à l’imprévisibilité d’un virus, l’incertitude et l’imprévisibilité d’une technologie.»

Aussi, pourquoi alors prendre le moindre risque avec notre santé, sur de potentiels effets secondaires à très long terme ? Le comble étant encore d’entendre dans un mémoire officiel, le ministre de la Santé Olivier Véran, avouer à demi-mots, en guise de réponse à un retraité vacciné qui avait saisi le “Conseil d’État” pour demander à recouvrer la levée du confinement pour les personnes vaccinées : «L’efficacité partielle des vaccins est devenue particulièrement contingente, du fait de l’apparition de nouveaux variants », mais aussi que «Les personnes qui ont été vaccinées sont celles qui sont les plus exposées aux formes graves en cas d’inefficacité.» Le pauvre homme, par trop sensible à la propagande médiatique, croyait bien naïvement que le vaccin était synonyme de “Liberté”. Hélas pour lui, c’était sans compter la mauvaise foi légendaire de nos dirigeants, si bien qu’il a vite été débouté avec une voie de non-recevoir. D’abord présenté comme la clé de voûte de la sortie de crise, on prépare déjà les esprits au fait que le vaccin ne permettra en fait nul retour à la normale.

Tous les médias arguent du fait qu’il est essentiel de se vacciner, car il protégerait des formes graves de la maladie. Pourtant, les fabricants même de ces vaccins précisent l’exact contraire directement dans la notice du dictionnaire de référence des médicaments qu’est le “VIDAL”, à la page de “Moderna” et de “Pfizer”. D’autre part, de nombreuses personnes âgées et doublement vaccinées de par le monde ont tout de même contracté des formes graves, comme ce fut le cas avec l’emblématique exemple de Roselyne Bachelot.

D’après le virologue et expert mondial en vaccination, le Dr. Geert Vanden Bossche, ayant travaillé en tant qu’ingénieur chef pour la GAVI, Global Alliance et “la Fondation Gates”avant de devenir indépendant, une vaccination de masse réalisée conjointement à une période épidémique, pendant une circulation virale forte est extrêmement dangereuse. Elle est la condition idéale pour entraîner des mutations du SARS-CoV-2 et donc l’apparition de nouveaux variants. Car, le virus cherche naturellement à adopter une stratégie de contournement rapide des anticorps spécifiques qui ont été générés par la vaccination. Ces derniers devenant alors rapidement caducs. C’est ce phénomène que l’on appelle “l’échappée immunitaire”. D’après ce scientifique, cette vaccination de masse en pleine pandémie a donc tout le potentiel pour transformer ce virus, qui somme toute s’est avéré pour le moment plutôt bénin, en une redoutable “bombe biologique de masse”. Il pourrait bien devenir super infectieux et capable de dépasser notre système de défense le plus précieux, à savoir notre système immunitaire. Le Dr. Geert Vanden Bossche expose les risques ainsi : «Le fait est que ces anticorps (générés par la vaccination) à longue durée qui ont une haute spécificité bien-sûr, pour le virus, ils concurrencent nos anticorps naturels. Parce que nos anticorps naturels ont un très large spectre, mais ils ont une faible spécificité (affinité). Les anticorps spécifiques vont continuer à concurrencer vos anticorps naturels, et ceci est un gros problème parce que ces anticorps naturels vous fournissent une large protection. Cette protection n’est pas spécifique aux variants, peu importe les variants que vous attrapez, peu importe même le type de coronavirus qui vous infecte, ils vous protégeront. Sauf si bien sûr, vous supprimez leur degré d’immunité inné, ou si par exemple, ils sont concurrencés par des anticorps spécifiques à longue durée de vie.» C’est donc face à un risque d’effondrement des défenses immunitaires pour toutes les autres agressions ultérieures que les vaccinés s’exposent. «Le problème dont je parle est mondial, il ne s’agit pas d’un individu qui a des effets secondaires, c’est un problème mondial qui rend le virus de plus en plus infectieux, parce que nous lui donnons en permanence une possibilité d’échapper à notre système immunitaire et de conduire ceci, ou d’augmenter ceci à un niveau où le virus est si infectieux que nous ne pourrons pas le contrôler.»

Comme le virus échappe très rapidement au vaccin, cette stratégie vaccinale n’a donc aucune pertinence ! De ce fait, l’argument culpabilisant et responsabilisant comme quoi celui qui ne serait pas vacciné, ferait courir un risque inconsidéré aux autres peut donc être totalement retourné. En effet, la vaccination induit l’apparition de nouveaux variants du virus. En induisant de nouveaux virus, on pourrait se retrouver face à une nouvelle forme encore plus virulente et pathogène, comme l’a aussi signalé le biologiste Jacques Testart. Chaque nouveau vacciné devenant alors un foyer potentiel pour l’émergence de nouveaux virus. De l’aveu même du gouvernement, lorsque l’on se vaccine, on augmente le risque de développer une forme grave de la maladie ou de mourir, en devenant particulièrement vulnérable aux nouveaux variants et aux réinfections. Les vaccinés abaissent donc leurs défenses immunitaires. Et comble de l’absurdité, les vaccinés seraient même plus contagieux.

Donc en résumé, si on récapitule : vous vous vaccinez, donc vous devenez plus vulnérable aux variants, donc vous devez vous vacciner contre les variants, donc vous propagez davantage le variant autour de vous, ce qui favorise l’apparition de nouveaux variants contre lesquels vous devrez à nouveau vous vacciner, car vous serez davantage vulnérable, et ainsi de suite. On aboutit à une boucle infernale sans fin, au serpent qui se mord la queue.

Assistons-nous donc ici à la naissance d’un nouveau et immense marché mondial, d’une société de la vaccination perpétuelle, avec l’imposition régulière de nouveaux vaccins toutes les quatre-saisons et l’entretien permanent d’un carnet vaccinal ? C’est bien ce que semble annoncer Stéphane Bancel, le PDG désormais milliardaire de “Moderna”, qui nous assure que le virus serait là pour toujours et que la piqûre devra donc se renouveler tous les ansEt pourquoi pas à l’apparition de chaque nouveau variant… il avait affirmé dans son modèle commercial et marketing vouloir faire des vaccins un acte tendance en affirmant qu'«On veut proposer un vaccin comme un iPhone.»  Sans surprise, c’est aussi ce qu’annonce le 09 novembre 2021 le PDG de Pfizer, Albert Bourla : «Si je peux faire une prédiction, […] Il semble qu’il y est une chance que cela devienne une revaccination annuelle.»  Ainsi, on peut déjà anticiper que moins le vaccin sera efficace contre les  nouveaux variants et plus il faudra l’inoculer. “Pfizer” ne parle maintenant même plus de pandémie, mais “d’endémie”, c’est-à-dire d’un business plan et une manne financière assurée pour toujours. Les actionnaires se frottent déjà les mains… La belle affaire ! Il ne faut donc surtout pas consentir à cet engrenage infernal, si l’on ne souhaite pas se voir transformé en patient chronique captif de ces nouveaux marchés pharmaceutiques simplement sur la vague promesse que ces produits permettraient potentiellement de ne pas contracter de forme grave d’une infection virale qu’ils semblent par ailleurs incapables de prévenir.

Curieusement, pour ce nouveau vaccin, comme par enchantement, on débloque de faramineuses sommes pour acheter ces millions de doses et les infrastructures de conditionnement qui vont avec. De même, les médecins seraient-ils devenus des mercenaires sanitaires en étant grassement payés pour vacciner leurs patients, jusqu’à 420 euros de forfait pour une demi-journée de 4 heures ? Dans le même ordre d’idée, une infirmière qui pique dans un centre de vaccination peut gagner jusqu’à 500 euros par jour, soit autant qu’en un mois à l’hôpital. Dès lors, pas étonnant qu’ils s’en fassent les ardents défenseurs. Alors que pourtant, cela fait des années que l’on a rien, strictement rien investi dans l’hôpital public, car il n’y aurait pas, dixit Macron, «d’argent magique !» Bien au contraire, ce dernier a durant des décennies été méticuleusement et consciencieusement saboté, de gouvernements en gouvernements… Et là, avec cette crise sanitaire et son confinement inédit, on fait mine de se préoccuper de la santé des gens, en la faisant passer pour la toute première fois avant le calcul froid du profit économique… À d’autres ! N’oublions jamais que ce même gouvernement est allé il y a quelques mois, lors de manifestations de rue jusqu’à martyriser le personnel soignant. Des infirmières furent alors même traînées sans le moindre ménagement au sol, ou par les cheveux par les forces de l’ordre, alors qu’elles ne faisaient que crier leur profond désarroi et réclamer de manière bien légitime des moyens décents pour soigner dans les hôpitaux…

Bien entendu, comme on pouvait s’y attendre au niveau de “l’Union mafieuse européenne”, une totale opacité sur les négociations de tous les contrats passés avec les laboratoires de “Big Pharma” a été de mise. Aucun compte à rendre sur les faramineuses sommes engagées en argent public, sans pour autant que les brevets ne tombent dans le domaine public, comme l’a dénoncé l’eurodéputée des verts, Michèle Rivasi. Cette dernière a essayé en vain de consulter les contrats vaccinaux, elle a tout juste eu le droit de pénétrer une demi-heure dans la salle des contrats pour accéder à des dossiers de 300 pages, sans aucune possibilité de prendre la moindre photo. Elle a juste eu la stupéfaction de se rendre compte que les prix étaient rayés à la main pour des contrats qui se chiffrent en milliards d’euros.

Et l’opacité de “Pfizer” sur ses injections ne s’arrête pas là, car selon un article du “British Medical Journal”, le groupe “Ventavia”, chargé par la firme d’évaluer l’efficacité de ces dernières, aurait falsifié des données et tardé à assurer le suivi des effets secondaires. Qui plus est, il n’y aurait pas eu de vrai double-aveugle dans les essais cliniques. Reproche qui a été fait en boucle au Pr. Didier Raoult avec sa première étude, avant que 10 études ultérieures ne viennent valider l’Hydroxychloroquine. Un deux poids deux mesures scandaleux.

Mais ce n’est pas tout, selon la TV indienne, les contrats “Pfizer” comportent en effet 6 clauses léonines proprement scandaleuses. Ainsi, dans ce parfait marché de dupes, “Pfizer” se réserve le droit de faire taire les gouvernements par le biais de ses contrats, ce qui a forcé les États à cacher le contenu des contrats. De plus, c’est elle qui contrôle la distribution des vaccins et non pas l’État qui les achète. En outre, si elle est accusée de vol de propriété intellectuelle, ce sont les États qui paieront les condamnations et pas “Pfizer” ! Par ailleurs, tout contentieux éventuel sera réglé par des arbitres privés et non par les tribunaux publics… Par-dessus le marché, “Pfizer” pourra exiger des actifs de l’État pour être réglée. Et enfin, pour couronner le tout, c’est “Pfizer” qui décide du calendrier de livraison et de bien d’autres choses !

Au sein de la “Commission européenne” qu’il conviendrait de rebaptiser la “compromission européenne”, la connivence entre les hauts fonctionnaires et lobbyistes pharmaceutiques privés s’affiche sans vergogne. Ainsi, Ursula Von Der Leyen, la présidente de la commission a pour mari le discret Heiko Von Der Leyen. Il se trouve que ce dernier est directeur médical dans une entreprise de biotechnologie chez “Orgenesis” spécialisée dans les thérapies géniques que l’on retrouve dans justement dans ces nouveaux vaccins dont celui de “Pfizer”. Dès lors, l’on ne s’étonnera pas qu’Ursula félicite Albert Bourla, le patron de “Pfizer” en lui décernant le prix du meilleur dirigeant commercial. Et pendant que ces deux monstres froids, se frottent les mains, s’auto-congratulent et s’embrassent (bien entendu sans le moindre geste barrière, ces simulacres étant exclusivement réservés à leurs cobayes), les pays massivement vaccinés européens connaissent un regain d’épidémie, il y a plus d’un million d’effets secondaires et 28 000 potentiels décès rapportés dans la base d’Eudravigilance. Il y a plus d’effets secondaires cumulés avec ces injections en une seule année que tous les autres vaccins réunis en 34 ans. Mais pourquoi s’arrêter en si bon chemin ? Avec ses inoculations, les deux labos “Pfizer” et “Moderna” réalisent le vertigineux et spectaculaire chiffre d’affaires de 65 000 dollars par minute, sans pour autant qu’ils aient à prendre en charge les effets secondaires de leurs produits !  Ce vétérinaire grec, escroc notoire, a vendu jusqu’à 4,7 millions d’euros en actions juste après l’annonce des résultats trafiqués avec prétendument 94 % d’efficacité donnés par sa propre société pour son propre vaccin. Suprême culot, ce même Albert Bourla se permet de traiter de criminels tous ceux qui osent remettre en cause ses vaccins. On est typiquement dans de la perversion narcissique, dans l’inversion accusatoire, qui afflige l’autre de ce qu’il est lui-même. Pourtant, force est de constater qu’il y a une escroquerie manifeste puisqu’au fur et à mesure, ces produits miraculeux, mirifiques que l’on a vendus avec une immunité allant au-delà de 95 pourcents sont rapidement passés dans le discours officiel à 75 pourcents, puis à 50 pourcents, avant d’avouer qu’en fait, ils n’immunisaient pas mais réduisaient tout de même la transmission, pour finir par conclure qu’ils ne réduisent pas la transmission, mais protègent tout de même des formes graves !


Des vaccins sans risques, vraiment ?

D’ailleurs, ces vaccins semblent êtres tout sauf sans risques, car il semblerait d’après les statistiques du CDC américain, que rien qu’avec le vaccin développé par la firme “Pfizer”, on dénombrerait déjà parmi les premiers vaccinés, une proportion d’effets secondaires graves de l’ordre de 2,8 pourcents, ce qui est tout simplement considérable, surtout pour une maladie qui à la base, ne frapperait tout au plus que 0,5 pourcents de la population et presque exclusivement des personnes âgées ou des personnes présentant des comorbidités. Et ne parlons même pas des potentiels problèmes qui ne manqueront sans doute pas de se déclarer ultérieurement !

Pire, suite à la campagne de vaccination en cours, les décès mystérieux survenus juste après l’injection commencent à s’accumuler dans différents pays, comme à Miami, au Portugal, en Israël, en Suisse ou en Islande… Au 22 janvier, le CDC rapportait déjà 329 décès aux États-Unis et 285 dans d’autres pays et pas moins de 9 516 incidents. En Israël, qui est très en avance sur cette campagne vaccinale, les premières remontées du terrain sont catastrophiques, avec une explosion spectaculaire de la mortalité pour le mois de janvier sur les populations les plus fragiles. En trois mois, le vaccin de “Pfizer” aurait à son actif le triste palmarès de 6 000 morts, juste pour l’Union-européenneLe taux de décès en quelque mois dépasse déjà le taux de mortalité lié à la vaccination en 20 ans, c’est du jamais vu.

De même, dans les deux mois suivant l’injection, le nombre de contagions n’a pas du tout été contenu par le vaccin, si bien que les malades ont paradoxalement été multipliés par trois ! Dans les pays qui ont le plus vacciné, c’est à une explosion épidémique à laquelle nous assistons. Le ministère de la Santé déclare que sur 100 000 personnes vaccinées, 11 % de ces personnes seraient devenues COVID positif en seulement deux semaines, soit une probabilité beaucoup plus élevée de devenir COVID positif dans la population générale. Un comble ! On a pu observer le même phénomène en Angleterre, avec un mois de janvier catastrophique, mais également aux Émirats arabes Unis, où les contaminations journalières sont supérieures de quatre fois et le nombre de morts journaliers de deux fois par rapport à la situation d’avant le début de la campagne. Cet alarmant constat peut être attribué à l’effet des “anticorps facilitateurs”, qui font que paradoxalement, après la vaccination, le virus se diffuse encore plus vite. C’est un phénomène bien connu lorsque l’on vaccine en pleine épidémie et qui s’était déjà produit dans le cadre du vaccin contre la dengue. D’après la Généticienne Alexandra Henrion-Caude, une personne vaccinée émettrait jusqu’à six fois plus de particules virales. En somme, sur les trois pays champions de la vaccination concernant les trois premiers mois, les résultats précoces sont déplorables ! Aux Seychelles, le pays le plus vacciné au monde, avec plus de 62 pourcents de la population ayant reçu ses deux doses, le nombre des cas explosent. Tant est si bien que les autorités ont décidé de reconfiner tout le pays. Trente-cinq pourcents des malades étant des personnes doubles-vaccinés. En France, le personnel soignant, qui était prioritaire pour la vaccination s’est vu touché par des effets secondaires massifs, certes souvent assez bénins, mais avec jusqu’à 25 pourcents du personnel affecté se trouvant dans l’incapacité momentanée de travailler. À tel point que le service hospitalier a été contraint de stopper en toute urgence la vaccination pour l’échelonner par service afin de limiter la casse et les arrêts de travail intempestifs !

Par ailleurs, des médecins ont effectué des analyses de sang très préoccupantes sur les personnes vaccinées en relevant des taux de D-dimères très élevées. Il s’agit d’une molécule qui marque une dégradation des plaquettes. Les D-dimères sont facteurs de thromboses, à savoir des artères bouchées par un sang trop visqueux, ce qui peut entraîner la nécrose de certains organes, ou un risque d’embolie pulmonaire.

Et que penser du fiasco intégral du vaccin “AstraZeneca”, qui après plusieurs morts et des centaines d’effets secondaires très graves relevés à travers le monde, avec notamment des risques de thromboses, de formation de caillots sanguins et la disparition massive de plaquettes, a été massivement suspendu dans une vingtaine de pays. Ainsi, le 15 mars 2020, Emmanuel Macron a annoncé l’arrêt de ce vaccin, alors même que tout juste quatre jours avant, le ministre de la Santé Olivier Véran se voulait des plus rassurants, en affirmant péremptoirement que d’après l’Agence Nationale de la Santé, il fallait avoir une parfaite confiance dans ce vaccin. Pire que cela, la veille de l’annonce du retrait par Macron, Jean Castex avait lui aussi maintenu mordicus qu’il n’y avait aucun problème avec ce vaccin, alors même qu’il était déjà retiré dans huit pays à ce moment-là. Comment placer sa confiance en de tels affabulateurs pathologiques ? Peut-être, faut-il voir dans ce retrait une énième manœuvre, une stratégie visant à imposer les deux autres vaccins à base de thérapie génique et d’“ARN Messager”

L’expert, le Dr. Sucharit Bhakdi, professeur émérite de microbiologie médicale et d’immunologie et ancien président de “l’Institut de microbiologie médicale et d’hygiène de l’Université Johannes Gutenberg de Mayence”, en Allemagne a fortement mis en garde contre le risque avec ces vaccins de formation de caillots sanguins. «Nous craignons donc deux choses : d’abord, que les personnes souffrant de pathologies préexistantes soient vaccinées et ne puissent pas tolérer ces effets secondaires, puis qu’elles meurent. Et notre deuxième grande inquiétude est que les plus jeunes tombent également malades, gravement malades, car vous n’avez pas exclu la possibilité que ces nouveaux vaccins à base de gènes puissent produire des effets secondaires très différents. Maintenant, il y a des choses qui arrivent dont vous n’êtes pas au courant parce qu’elles n’apparaissent pas dans les journaux et je pense que c’est très dangereux. Il y a des femmes qui ont perdu leurs enfants, il y a des personnes qui sont devenues aveugles, il y a des personnes qui n’avaient soudainement plus de plaquettes et qui se sont vidées de leur sang. Donc ils ont eu des attaques, ils ont eu des ecchymoses. Et le tout n’est pas cohérent parce qu’on ne peut pas l’expliquer. – Et puis, excusez-moi de le dire – les autorités disent qu’il ne peut pas y avoir de lien, et ça, je ne trouve pas que ce soit correct. Il peut très bien y avoir un lien et je me permets maintenant de vous donner notre avis à ce sujet, car il est important que tout le monde y réfléchisse. Eh bien, regardez, ces nouveaux vaccins à base de gènes, justement ceux de “Biontech” et “Moderna”, qui sont utilisés en Allemagne – le gène de ce virus est emprisonné, donc le virus piège la porte d’accès et nous voulons fabriquer des anticorps contre lui et c’est pourquoi le gène de cette protéine est emballé ici et ce gène est injecté dans les muscles. Où va le gène quand il est injecté ? Ce n’est pas un exemplaire, c’est environ un milliard d’exemplaires. Si vous pensez que les gènes, les dix milliards de “colis”, vont rester dans les muscles, vous vous trompez. Une grande partie passe dans les ganglions lymphatiques, une partie encore plus grande passe dans le sang. Et une fois que ces “colis” sont dans la circulation sanguine, ils n’en sortiront jamais, car la paroi des vaisseaux sanguins est comme le papier peint de vos chambres, étanche, ces “colis” ne peuvent plus en sortir. Et cela se répand dans tout le corps, dans tout votre corps, dans tous les organes, de haut en bas, dans les plus petits vaisseaux. Les cellules qui vont prendre ces “colis” sont d’abord les cellules musculaires elles-mêmes tout autour du point d’injection, ensuite les cellules des ganglions lymphatiques, enfin les cellules sanguines qui entourent les virus. Mais quatrièmement, et c’est probablement le plus important de tout, ce sont les cellules qui tapissent les vaisseaux, car il est bien connu que ces petits paquets sont très facilement absorbés par la paroi du vaisseau. Où cela va-t-il se passer ? Personne ne le sait, car les producteurs de ce vaccin n’ont jamais cherché. C’est ce dont nous nous plaignons : il n’y a pas eu assez d’études précliniques. On ne sait même pas où ça va nous mener. Mais nous prédisons que « celui qui cherche trouve », et vous verrez qu’une bonne partie de ces gènes se retrouvent dans les cellules des parois des vaisseaux. Où ? Là où le sang circule le plus lentement, car c’est là que les cellules ont le temps de les absorber. OK ? Et ça, c’est dans les plus petits vaisseaux. Vous ne les voyez pas, ce sont des capillaires dans vos organes, ils sont dans votre cerveau, votre moelle épinière, finalement partout.» Catastrophé, il conclut son avertissement ainsi : «Qu’est-ce qui va se passer ? Personne ne le sait, car Mesdames et Messieurs, chers auditeurs, chers collègues et confrères scientifiques : ce type d’expérience n’a jamais été réalisé dans l’histoire de la recherche moderne. Il n’y a pas de modèle. Vous, qui vous faites inoculer, vous êtes le modèle, et c’est un modèle fascinant. Si c’est vrai, cela signifierait qu’en fait les parois vasculaires sont rompues à de nombreux endroits du corps, dans de nombreux organes. Que se passe-t-il alors ? Normalement, lorsque les parois vasculaires sont rompues, la coagulation du sang est déclenchée, la coagulation du sang. Le sang devrait en fait devenir solide dans les petits capillaires. Une pensée incroyablement effrayante. Une pensée qui me dit : « Je ne me ferai jamais vacciner tant que nous n’aurons pas déterminé si cela peut arriver. Je ne veux pas que le sang se coagule dans mes veines et dans tous mes organes. Vous ne savez pas où. Maintenant, que se passe-t-il quand un caillot se forme ? Votre organe ne reçoit pas assez d’oxygène. Bien sûr, il ne faut pas plus que ça. Vous pouvez tomber malade, très malade, au point d’être paralysé, au point de devenir aveugle. Vous pouvez avoir une crise cardiaque. Tout peut arriver.»

Mais ce n’est pas tout, le 01 juin 2021, le Dr. Byram Bridle, professeur-associé d’immunologie virale à “l’Université de Guelph” d’Ontario au Canada, a publié une étude scientifique sur les risques très alarmants de la protéine de pointe, “Spike” qui est produite par le corps après les injections de vaccins à ARN Messager. Ce docteur est loin d’être un charlatan, au regard de ses brillants états de service et de son CV. D’après ses recherches, cette protéine “Spike” serait toxique pour le corps humain et donc dangereuse pour l’homme. La protéine Spike du virus est responsable des formes graves dans la COVID, des orages de cytokines, de la coagulation et de la mort !  Elle endommage les cellules et il s’avère que cette protéine ne reste pas au point d’injection, mais a tendance à se diffuser via le système sanguin aux principaux organes, elle s’accumule par exemple dans le foie, les ovaires.  Elle peut alors se lier aux récepteurs de nos plaquettes pouvant provoquer coagulation, caillots et problèmes neurologiques ! Ce qui explique tous les effets secondaires graves que l’on a déjà pu observer jusqu’à présent. Il déclare que «Jusqu’à récemment, nous n’avions jamais pensé que les protéines Spike pouvaient être toxiques ! Les vaccins ARNm qui ont été testés pour la première fois sur des animaux et dont les études n’ont jamais été rendues publiques, montrent que les nanoparticules d’ARNm ne restent pas localement au site de ponction dans le tissu musculaire, comme supposé et revendiqué par les fabricants, mais vont dans les organes à des concentrations parfois dramatiques, où ils sont transférés de cellules en cellules et absorbés en continu.» Son verdict, au nom du principe de précaution est sans appel : «Il faut arrêter immédiatement toutes vaccinations Covid-19 utilisant la protéine Spike»

Cette alerte est confirmée par une autre étude majeure publiée le 30 avril 2021 par le prestigieux et important “Institut Salk” de Californie sur le rôle clé de la protéine “Spike” dans la maladie du Covid-19. Johnatan Salk était le créateur du premier vaccin efficace contre la Polio. Cette autre équipe de chercheurs prévient des risques conséquents de développer des maladies cardio-vasculaires suite à l’injection comme des thromboses de la veine sinusale, des caillots sanguins, des hématomes, des coagulations et des circonstances à long terme. Les protéines “Spike” aident le virus à infecter son hôte en se fixant sur les cellules saines. Cette inoculation de matériel génétique contourne les formes naturelles de notre système immunitaire pour implémenter des instructions dans nos organismes, afin de produire des trillions de protéines toxiques dans nos cellules. La base technologique des vaccins à “ARN Messager” est donc défectueuse. Il n’y a aucun bouton arrêt pour la production de cette protéine, c’est comme si nous devenions des incubateurs de cette toxineLe corps devient le producteur de son propre ennemi. Cela revient en quelque sorte à nourrir un ennemi, avant de le tuer. L’organisme ainsi augmenté et détourné de ses fonctions naturelles devient ainsi le producteur d’une protéine de virus qui n’était pas de son espèce. Assurément, il y aura des maladies auto-immunes qui vont progressivement se développer et aussi baisser le système immunitaire qui sera quasiment, au fil du temps, uniquement dirigé contre la protéine Spike. La réponse non spécifique du système immunitaire, visant à lutter contre toutes sortes de virus et bactéries, sera affaiblie parce que notre corps devra lutter à chaque fois contre l’invasion permanente de la protéine Spike.

Visiblement, en ce qui concerne le vaccin de “Pfizer”, certains des vaccinés déclencheraient des paralysies faciales de Bell, avec un côté du visage totalement raide et ne répondant plus du tout musculairement. On peut ainsi par exemple, retrouver sur la toile, le bouleversant témoignage de Khaliah Mitchell, une infirmière américaine certifiée de Nashville, victime de cette pathologie tout juste trois jours après sa vaccination et qui met en garde contre ce vaccin en disant qu’elle ne souhaiterait pas d’un tel calvaire à son pire ennemi… À noter que lors des essais cliniques menés par “Pfizer”, quatre volontaires avaient déjà développé cette même forme de paralysie.

Bien-entendu, comme on pouvait s’y attendre, la relation entre la mort et la vaccination est presque systématiquement rejetée, attribuée le plus souvent à de la comorbidité, alors même que pour les morts liés au virus, on a fait l’exact contraire ! Un deux poids, deux mesures insupportable… Comme le rapporte avec une glaçante ironie Ilana Rachel Daniel, conseillère santé et politicienne Israélienne : «Si vous prenez une balle dans la tête, mais que vous avez un test positif du Covid, alors vous êtes mort du Covid ! Mais, si vous décédez d’une insuffisance cardiaque dans les deux semaines juste après avoir reçu l’injection du vaccin, il n’y a aucune corrélation !» 

D’après la FDA, “Food and Drug Administration”, qui est le service de la santé publique aux États-Unis, seuls 1 pourcent des effets secondaires légers, graves ou mortels sont remontés et comptabilisés dans les statistiques officielles du centre de pharmaco vigilance américain, le VAERS. Pour avoir une idée plus précise des effets réels, il faudrait donc multiplier par presque huit les chiffres rapportés !

En outre, les effets secondaires de cette soupe génétique sont habilement dissimulés ou bien souvent délibérément non enregistrés par les autorités sanitaires nationales. En France, les centres de pharmacovigilance, de Tours, de Limoges ou de Toulouse sont littéralement saturés et débordés par l’ampleur des déclarations des effets secondaires rapportés, si bien qu’ils ne sont même plus en mesure de les signaler. En quelques semaines, ils ont eu plus de déclarations  que sur toute l’année dernière sur tous les médicaments ! D’autre part, chose incroyable, il a été relevé que les retours de pharmacovigilance pour l’Europe varient entre les différents pays d’un facteur de un à quarante-sept, ce qui est impossible, puisque ce sont exactement les mêmes types de produits inoculés et les mêmes types de groupes ethniques d’êtres humains concernés. Il y a donc une sous-évaluation à minima de 47 pourcents dans les données remontées par certains pays. De même, les cas très suspects de morts de jeunes personnes, dans la force de l’âge et intervenants après un laps de temps très court après inoculation ne donnent lieu à aucune autopsie, comme pour dissimuler les traces et les preuves de l’arme du crime. Est-ce là encore une stratégie bien malsaine pour minimiser l’ampleur réelle des effets secondaires de ces inoculations expérimentales, alors qu’il faudrait être d’autant plus vigilant dans le cadre d’un essai clinique ?

Sur “Facebook” des groupes de victimes tentent avec toutes les peines du monde de communiquer sur leurs effets secondaires, ou témoignent de décès survenus parmi leurs proches juste après l’inoculation. Mais, ils se font régulièrement censurer par le réseau social de Mark Zuckerberg, comme le groupe Recensement effets indésirables vaccin COVID, avec ses 194 983 membres et ses milliers de témoignages fermé de la plus arbitraire manière. Cette censure est inadmissible et purement criminelle. On nous serine que les effets secondaires, s’ils existent bien, sont extrêmement rares. Pourtant, il suffit de suivre quelques lives Internet, où les gens témoignent directement pour se rendre compte que les effets sont innombrables et souvent gravissimes. Le fossé entre le discours officiel et la réalité observable est béant.

Cette sous-évaluation n’est pas étonnante puisque l’on découvre horrifié que les médecins reçoivent même des intimidations pour ne pas remonter les très inquiétants effets secondaires des vaccins. C’est par exemple le cas du courageux médecin de village canadien, le Dr. Charles Hoffe, qui très alarmé par les ravages du vaccin “Moderna”, a écrit une lettre ouverte à l’officier provincial de santé en s’indignant que cette expérience de thérapie immune se poursuive, sans plus aucune considération éthique, malgré les nombreux cas très graves signalés. «Vous ne pouvez pas continuer à faire mal aux gens pour voir à quel point c’est mauvais. Vous devez interrompre le processus clinique s’il s’avère que c’est nocif.» Après avoir publié cette lettre en toute urgence, il a finalement reçu une réponse des régulateurs lui disant qu’il poussait trop à la défiance vis-à-vis de la vaccination et qu’il était sommé de se taire. Si les médecins ne sont même plus habilités à remonter leurs mauvaises expériences du terrain, qui peut le faire ? N’est-ce pas là de la part des autorités une cécité volontaire purement criminelle ? Peut-on encore parler de santé et de recherche du bien du peuple avec un tel niveau de dissimulation et de mensonges ?

Mais ce n’est pas tout, comble de l’aberration, les laboratoires ne garantissent même pas que ces vaccins immunisent totalement de la maladie, ni même que le vacciné ne soit plus contagieux, qu’il n’en soit plus ni le porteur, ni le transmetteur ! En outre, dans leur communication nébuleuse, ils ne se prononcent pas non plus sur l’efficacité durable de cette hypothétique protection… Les fabricants ne s’engagent ni sur l’efficacité, ni sur la sécurité de leurs vaccins de manière contractuelle et pourtant les gouvernements nous assurent de l’exact contraire. Dans un courrier adressé en février 2021 aux praticiens et professionnels de santé libéraux par l’organisme “Santé Publique France” portant sur les conseils relatifs à la vaccination, il est bien stipulé noir sur blanc que je cite : «Nous ne savons pas si les vaccins contre la Covid-19 sont efficaces contre les formes symptomatiques de la maladie et s’ils réduisent la transmission du virus ; si une immunité de groupe peut être atteinte ; si des mutations pourraient réduire leur efficacité. » Dans un autre paragraphe, il est aussi avoué que « Nous ne connaissons pas : la durée de protection des vaccins ; l’efficacité et la tolérance du vaccin chez les enfants ; l’efficacité et la tolérance du vaccin chez les femmes enceintes ou allaitantes.» Dès lors quel réel bénéfice peut-on escompter de ces traitements ? Comment peut-on proposer, voire imposer ces derniers à l’ensemble de la population, même celle qui n’est pas à risques, sans en connaître la tolérance ? On peut donc dire que pour le moment, la balance bénéfice/risque n’est donc clairement pas en faveur de ces nouveaux vaccins expérimentaux. Le remède ne serait-il pas ici bien pire que le mal ? Et pourtant, contre toute logique la campagne de vaccination continue de plus belle, comme si de rien était.


Une logique sacrificielle



Mais cette frénésie vaccinale ne s’arrête pas là, puisqu’en dépit du bon sens, abjection et suprême hérésie, ils comptent bien aussi vacciner les enfants et les bébés, avec ces produits expérimentaux, alors même qu’ils ne sont pas concernés par ce virus. En effet, le nombre d’enfants touchés est infinitésimal avec un taux de survie à la COVID-19 de 99,997 pourcents. Pour les enfants de 0 à 9 ans, on parle d’un taux de mortalité de 0,00032%, pour les 10 à 19 ans, un taux de 0,00035% et pour les 20 à 29 ans, un taux de 0,00125% ! De plus, ils ne sont pas sujets aux formes de COVID grave, ils ne sont pas vecteurs de transmission de ce virus et ils ne contaminent ni les autres enfants, ni les adultes, comme les études cliniques le démontrent. Dès lors, pourquoi diable un jeune dans la fleur de l’âge, en parfaite santé et ne risquant rien de cette maladie devrait faire preuve de “solidarité”, risquer de ruiner son avenir, voire sa vie pour préserver celle d’un vieillard en bout de course, avec une espérance de vie résiduelle de quelques mois, l’âge moyen des décès COVID étant de 84 ans ? Dans une société normale, les adultes prennent tous les risques et se sacrifient pour sauver les enfants, car ils représentent l’avenir de la communauté. Mais ici, dans une inversion qui défie la raison et l’ordre naturel des choses, on exige que les enfants se sacrifient pour préserver les anciens. Qui peut accepter une telle équation ? Leur faire porter sur les épaules le risque d’exposer leurs grands-parents est ignoble, profondément malhonnête et relève de la manipulation mentale. 

D’après le Dr. Mickael Yeadon, les enfants auraient cinquante fois plus de chance de mourir du vaccin que de la COVID-19. Le bénéfice-risque pour les enfants est donc totalement défavorable. Ces inoculations compromettent donc gravement tout leur avenir, ils sont sacrifiés sur l’autel d’une pseudo et hypothétique immunité collective. Cette dernière est un leurre totalement illusoire puisqu’aujourd’hui, nous savons qu’elle ne sera jamais atteinte par le biais de ces injections, qui ne protègent ni des réinfections, ni de la contagiosité et pas plus que des variants. Exposer ainsi les enfants est donc purement et tout simplement criminel !




Il en va de même pour les femmes enceintes, qui ne faisaient pas du tout partie des groupes testés. Ils procèdent donc à l’aveugle, sans recul, sans la moindre donnée ou expérience. Pourtant, une femme enceinte est habituellement traitée avec les plus grands égards, avec les plus grandes précautions, afin de ne surtout pas porter préjudice au développement si fragile de son bébé. Elle ne peut quasiment rien prendre comme traitement, même pas du paracétamol. Ne risque-t-on pas de voir apparaître une nouvelle génération de bébés au développement altéré, voire mutants ? D’après certaines études, il y aurait jusqu’à 27 pourcents de risques de fausses couches, 10 pourcents de prématurés très graves, 4 pourcents de malformations chez les enfants. Et on a observé des micros-thromboses au niveau des placentas des bébés qui naissent.

Pour noyer le poisson (ou poison), on a maintenant le droit à des campagnes de sensibilisation et de prévention pour les AVC qui toucheraient aussi les enfants, comme si cela relevait d’un phénomène naturel et fréquent, alors que c’est du jamais vu ! Il faut bien trouver des explications «naturelles» pour anticiper et couvrir dans l’opinion les désastreux effets du vaccin.

Dans cette campagne d’inoculation, pourquoi cibler des populations qui ne sont pas du tout impactées par ce virus, comme les enfants et les femmes enceintes ? Pourquoi faire courir de tels risques à l’humanité ? Que cache un tel forcing parfaitement déraisonnable ? On dirait bien que ce qui compte avant tout est d’injecter ces produits aux personnes, quoi qu’il en coûte !

D’ailleurs maintenant qu’une bonne partie de la population est déjà inoculée, certains crachent le morceau, comme Stefan Oelrich, membre du conseil d’administration de “Bayer AG” et responsable de la division “Pharmaceuticals”. Lors du Sommet mondial de la santé le 24 octobre 2021, il a officiellement admis, avec le plus grand cynisme et un culot monstre, que la pandémie a été utilisée pour vacciner tout le monde avec ces “thérapies géniques cellulaires” et que dans d’autres circonstances, 95% de la population aurait probablement refusé ces injections. Au passage, petite piqûre de rappel sur le groupe “Bayer”, qui il faut le savoir est issu de “IG Farben” de sinistre mémoire, la boucle est bouclée…


Autre extravagance proprement hallucinante, dans certains centres de vaccination, on se permet même parfois, pour assurer les deux injections, de mélanger les doses de différents vaccins, alors qu’ils sont basés sur des technologies et des modes d’action différentes, tout en diluant ainsi au passage la responsabilité juridique en cas de complication… De même, pour pallier à l’échec cuisant de “l’AstraZeneca” et compléter la seconde dose de ce vaccin retiré du marché ayant déjà été injecté une première fois chez 55 000 Français, ils n’hésitent pas à mélanger des injections à ADN et d’autres à ARN Messager, pour obtenir une improbable tambouille, des cocktails hautement hasardeux. Peut-on encore parler de médecine à ce niveau-là ? Pourtant “Le Vidal” déconseille catégoriquement le “panachage” des vaccins Pfizer et Moderna” qui eux sont basés sur la même technologie ! Mais pour le sinistre de la santé, Olivier dit le véreux, ça devrait passer, ça se laisse tenter. Comment, peut-on mépriser et insulter à un tel degré l’intelligence des gens et mettre à ce point en péril leur santé ?

À propos de ces doses, il est aussi particulièrement douteux qu’il faille les renouveler aussi fréquemment, tous les cinq à six mois, alors qu’avant l’épisode COVID, c’était par exemple une piqûre de rappel tous les 20 ans pour la vaccination contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite. Et pourtant dans les médias, on nous a présenté ces nouveaux “vaccins” comme une véritable révolution, comme le summum de la technologie et la panacée ultime, avec un taux d’efficacité redoutable au-delà de 95%. Autant dire que multiplier ces doses ad vitam æternam revient à multiplier les risques d’effets secondaires désastreux.

Aussi, pourquoi chercher à vacciner à tout prix tout le monde, sans la moindre exception et sans avoir le moindre recul sur les effets secondaires au niveau de la santé pour les mois et années à venir, le tout au mépris du plus élémentaire principe de précaution  ? C’est on ne peut plus louche… Pourquoi par exemple, vacciner sans la moindre distinction, ceux qui ont déjà développé une forme d’immunité naturelle, en ayant déjà rencontré le virus et qui ont développé une protection qui est très durable, valable pour des années, contrairement à celle de ces pseudos-vaccins, qui n’offrent aucune garantie réelle dans ce domaine. Pourquoi au préalable, ne pas leur faire faire un test sérologique, afin de leur éviter de prendre des risques inconsidérés et inutiles, avec de potentiels et gravissimes effets secondaires ultérieurs ? Ça n’a absolument aucun sens, sauf si l’objectif visé est tout autre que celui avancé par cette vaccination…

Nous sommes manifestement face à un pouvoir assassin, qui malgré des remontées de chiffres catastrophiques et largement sous-estimés des effets secondaires et des morts post-vaccinaux, s’acharne à pousser plus avant toute cette politique. C’est donc bien qu’il y a une volonté de tuer et une logique génocidaire à l’œuvre. On passe donc du mensonge d’État, au crime d’État.


Des vaccins, ou des thérapies géniques expérimentales ?

Dans le doute, le principe fondamental de la médecine “Primum non nocere”, avant tout ne pas nuire devrait donc prévaloir, d’autant plus qu’il s’agit là d’un tout nouveau type de vaccin, ou plutôt, pour parler sans abus de langage, de produits de thérapie génique totalement novateurs à ARN Messager, ou en d’autres termes, d’une injection expérimentale de matériel génétique… C’est du moins le cas pour les vaccins “BioNTech” de “Pfizer” et de celui de “Moderna”Il s’agit donc d’un dispositif médical et non d’un vaccind’autant plus qu’il n’immunise pas contre la maladie, il ne stimule pas l’immunité de la personne qui le reçoit. Un vaccin classique est censé protéger contre une infection bactérienne ou virale. Le principe est toujours d’introduire dans l’organisme l’agent pathogène lui-même, un microbe ou un virus tué ou atténué, c’est-à-dire affaibli afin de produire des anticorps. Or ici il n’y a rien dans aucune de ces injections qui soit conçu pour nous protéger contre une infection virale, il n’empêche pas plus la transmission du virus. Ce dispositif chimique, cette technologie physique est conçue pour amener la cellule humaine à devenir un créateur, un site de fabrication d’agents pathogènes. Il est éminemment suspect que les politiques, les industries pharmaceutiques, le corps médical et les médias aient multiplié de concert leurs efforts pour appeler abusivement ce traitement, cette contrefaçon de vaccin un vaccin, alors qu’il n’en est pas un, dans le but malhonnête de manipuler l’opinion publique. Il y a clairement tromperie sur la marchandise. Le mot vaccin a été utilisé pour rassurer les gens, car dans l’imaginaire collectif il est synonyme de protection, d’efficacité et d’immunisation à vie contre la maladie. Le fait d’appeler fallacieusement cela “un vaccin”, avec une définition totalement erronée, et non un “traitement médical” parmi tant d’autres, permet aussi de disqualifier toutes les autres alternatives potentielles, de l’imposer en priorité et de clore tout débat. Aussi, s’il s’agit d’un traitement médical, pourquoi se faire traiter pour une maladie que l’on n’a pas ? Ça n’a plus aucun sens ! Les mots ont donc ici toute leur importance… Il s’agit d’ailleurs de pure propagande et de manipulation que de stigmatiser avec dénigrement les opposants à cette inoculation “d’antivax”, alors même qu’il ne s’agit en rien de vaccins classiques. C’est un piratage de la pensée et des consciences. Comme  le  constatait Georges Orwell dans “1984” «Mais si la pensée corrompt le langage, le langage peut aussi corrompre la pensée.»

En outre, il faut aussi savoir que ces deux vaccins contiennent des nano-particules fabriquées par une entreprise autrichienne, comme cela a été clairement rapporté dans un journal d’information de TF1. Ces nanoparticules, d’une taille de l’ordre du milliardième de millimètre, forment une capsule de lipides qui sert de véhicule, de vecteur pour pénétrer dans les cellules afin d’y introduire le matériel génétique ARN viral du SARS-CoV-2, avec la formule de fabrication pour la protéine “Spike”. La cellule peut alors être trompée pour assimiler et intégrer à sa membrane ce corps étranger afin de décoder puis de synthétiser cette protéine chimérique. L’organisme est alors abusé et n’est pas au courant qu’il est en guerre, il va lui-même produire une protéine du virus. On va donc injecter des acides nucléiques qui provoqueront la fabrication d’éléments du virus par nos propres cellules. On ne connaît absolument pas les conséquences de cette injection, car c’est une première absolue chez l’homme. Et si les cellules de certains vaccinés fabriquaient trop d’éléments viraux, entraînant des réactions en chaîne incontrôlables dans notre corps ?

Les premières thérapies géniques seront à ARN, mais il existe des projets avec l’ADN. Normalement, dans nos cellules, le message se fait de l’ADN vers l’ARN, mais l’inverse est possible dans certaines circonstances, d’autant que nos cellules humaines contiennent depuis la nuit des temps des rétrovirus dits endogènes intégrés dans l’ADN de nos chromosomes. Ces rétrovirus «domestiqués» qui nous habitent sont habituellement inoffensifs (contrairement au VIH, rétrovirus du sida par exemple), mais ils peuvent produire un enzyme, la transcriptase inverse, capable de transcrire à l’envers, de l’ARN vers l’ADN. Ainsi, un ARN étranger à notre corps et administré par injection pourrait coder pour de l’ADN, tout aussi étranger, qui peut alors s’intégrer dans nos chromosomes. Il existe donc un risque bien réel de transformer nos gènes définitivement. Il y a aussi la possibilité, par la modification des acides nucléiques de nos ovules ou spermatozoïdes, de transmettre ces modifications génétiques à nos enfants…

Contrairement au discours officiel avancé consistant à réfuter catégoriquement cette hypothèse par les médias, le biologiste moléculaire, un des grands pionnier de la science transgénique Rudolf Jaenish dans une publication scientifique sortie en décembre démontre que l’intégration de l’ARN SARS-CoV-2 dans le génome humain est bien possible dans deux cas de transcriptases inverses, HIV et LINE 1. 

De plus une toute récente étude vient de confirmer cette possibilité, comme le confirme le Dr. Christian Vélot, expert en génétique moléculaire qui souligne l’importance de la découverte scientifique de “l’Université Thomas Jefferson de Philadelphie” publiée dans la revue scientifique “Science Advances”, qui a démontré qu’une enzyme du corps humain est bien capable de transformer de l’ARN en ADN. Christian Vélot confirme bien que l’ADN transformé par l’ARN pourrait être intégré au génome de l’ADN : «Quand on nous dit que ce risque n’existe pas, c’est faux ! Il n’y a aucun généticien moléculaire qui ne peut dire que ce n’est pas possible. Quand on introduit de l’ADN dans les cellules, à aucun moment on ne peut certifier que cet ADN n’ira pas, peu ou prou, s’intégrer dans les chromosomes de la cellule réceptrice.» Le Dr. Didier Raoult, grand spécialiste des maladies infectieuses a aussi publiquement confirmé la possibilité que l’ARN peut bien être converti en ADN : «Nous savons que c’est faux depuis 1989, que cela peut aller dans les deux sens»

En outre, Dans une vidéo d’une conférence “TEDx Talk”, Tal Zaks, le directeur médical de “Moderna”, la société pharmaceutique fabricante de cette technologie expérimentale d’injection de matériel génétique, a bien confirmé que cette injection d’“ARN Messager” était susceptible de changer le code génétique ou ADN. En effet, en novembre 2017, le médecin-chef de “Moderna”, le Dr Tal Zaks avait ainsi déclaré : «Je suis ici aujourd’hui pour vous dire que nous sommes en train de pirater le logiciel de la vie.», ou encore «Le corps humain est un logiciel, donc pour modifier le génome humain, il suffit de changer une ligne de code». D’ailleurs, le nom même de “Moderna” est hautement suspect, puisque la firme s’appelait à l’origine “ModeRNA”, soit tout simplement modifier l’ARN. Cette société américaine de biotechnologie fut fondé en 2010, sans la moindre expérience dans la recherche de vaccins a en outre développé de bien curieux partenariats avec la “DARPA”, l’agence de défense militaire américaine qui est spécialisée dans la recherche de nouvelles technologies à usage militaire. Un drôle de mélange des genres…


Autre point particulièrement préoccupant, il se pourrait aussi que cette thérapie génique, qui est présente dans votre corps à vie, constitue une véritable bombe à retardement, dont les effets dévastateurs ne se déclencheraient que bien plus tard ! D’après un échange entre la généticienne Alexandra Henrion-Caude, ancienne directrice de recherche à l’INSERM et le Pr. Dolores Cahill, généticienne, docteure en biologie moléculaire et en immunologie à l’université de Dublin, en 2012, une étude scientifique portant sur les Coronavirus était arrivé à la conclusion sans appel qu’il ne fallait surtout pas développer de vaccin à ARN Messager pour ce type de virus, aucun n’avait été homologué ! Toutes les tentatives de développement de vaccins contre des coronavirus se sont révélées des échecs depuis 1960, comme le Respiratory syncytial, y compris contre le SARS. Les premières tentatives de développement de vaccins contre les SRAS remontent à 2002,  lorsque le Sars-CoV 1 a émergé dans le sud de la Chine. Suite aux importants effets secondaires  que cela a provoqué sur les animaux de laboratoire, en particulier sur les furets dont le système  immunitaire est très proche du nôtre, les chercheurs exhortent à la prudence dans le cadre du  développement de vaccins contre ce type de coronavirus. Pour le Pr. Dolores Cahill, ce pseudo-vaccin ne serait efficace avec une réponse immunitaire adaptée que pour un seul type de virus de cette famille, mais parfaitement inefficace, voir très dangereux pour tous les autres que l’organisme serait susceptible de rencontrer plus tard. Le système immunitaire serait alors incapable de faire son travail confronté à ces autres types de coronavirus, qui ne seraient plus identifiés comme une menace et une agression de l’organisme. Cela déclencherait alors potentiellement une tempête cytokinique et pourrait alors entraîner une mort violente de la personne vaccinée, avec une dégénérescence fatale de ses organes !

D’après les observations et analyses de la généticienne Alexandra Henrion-Caude, L’ARNm synthétique des vaccins n’est pas codé avec le code habituel de l’ARN qui est A C G U, mais il est codé avec une séquence A C G Y. Tous les U ont donc été remplacés par des Y, ce qui n’existe pas dans le vivant naturel. Mais qu’injectent-ils aux vaccinés ?



L’arme du crime parfait ?

«Il faut prévenir les hommes qu’ils sont en danger de mort, la science devient criminelle.» – Albert Einstein en 1946

«Parce que je connais tout le potentiel de l’ARN, l’administrer à des individus sains me paraît  de l’ordre de la folie.» – Alexandra Henrion Caude, généticienne et spécialiste de l’ARN.    

«Il n’y a aucune raison de mettre des gens en danger dans une étude pour un vaccin sans efficacité» – Karen Maschke, chercheuse au Centre Hastings.

«[…] c’est une activité criminelle pratiquée par des médecins qui ont oublié le serment d’Hippocrate… Tout ceci doit être considéré comme des crimes qui seront payés un jour…»  – Pr. Luc Montagnier, le 08/2021

«La limite pour arrêter un programme de vaccination, c’est 20 à 25 décès et aujourd’hui, en mai, nous avons plus de 4 000 décès» – Pr. Mc Cullough

Précisons au passage que, dans le cas le plus extrême où ces vaccins contre la COVID-19 seraient utilisés comme une arme biologique, ou un outil d’épuration de la population, le crime serait parfait, car les morts pourraient alors être facilement imputés à l’arrivée de nouveaux variants beaucoup plus virulents, voire mortels, en détournant ainsi fort opportunément la responsabilité des véritables instigateurs de ces crimes sur une cause d’origine “naturelle”. De plus, avec la multiplication du nombre de doses, on pourrait moduler, lisser et diluer dans le temps un potentiel meurtre programmé de masse, afin de le rendre beaucoup plus indolore, d’agir en dégradé et en toute discrétion. Et une stérilisation progressive éveillerait encore moins de soupçons.

À ce sujet, l’ancien vice-président et directeur scientifique de “Pfizer”, le Dr Michael Yeadon a fait publiquement part de ses plus grandes craintes. Précisons d’emblée qu’il ne s’agit pas d’un hurluberlu, puisqu’il a travaillé des années pour de très grandes compagnies pharmaceutiques et qu’il est un expert de tout premier plan en matière d’infections respiratoires virales. Il avance ainsi l’hypothèse que : «Il est tout à fait possible que ce vaccin soit utilisé pour une dépopulation à grande échelle». Il ajoute que : «Si vous vouliez dépeupler une partie significative du monde, et le faire d’une manière qui ne nécessiterait pas la destruction de l’environnement avec des armes nucléaires, ou l’empoisonnement de tout le monde avec de l’anthrax ou quelque chose du genre, et que pouvoir le nier de façon plausible vous soit nécessaire, tout en ayant à faire face depuis plusieurs années à une crise sanitaire infectieuse, je ne pense pas que vous pourriez trouver un meilleur plan que celui qui semble exister pour ce que je peux en voir. Je ne peux pas affirmer que c’est ce qu’ils vont faire, mais imaginer une raison anodine de la raison pour laquelle ils le font ne m’est pas possible.» Les innombrables mensonges éhontés proférés par les différents gouvernements dans cette crise sanitaire l’ont amené à la conclusion suivante : «Je pense que l’objectif de la pandémie, les mensonges étaient de nous conduire vers une identification numérique électronique. Que se passerait-il si le contenu du 3ᵉ, 4ᵉ ou 5ᵉ vaccin était une séquence génétique conçue pour nous assassiner ? Je ne sais pas, je n’ai pas commis ce crime. Mais si je voulais créer un système pour obtenir un contrôle total et avoir un alibi plausible, on ne peut pas rêver un meilleur plan pour gérer des milliards de personnes pendant des mois ou des années, quelque chose qui les affecte et les tue. Je vais vous dire que si vous pensez que je suis devenu complètement fou, montrez-moi en quoi ma logique est fausse et où je me suis trompé, parce que sinon vous vous basez sur le fait que les gens ne sont pas si mauvais, et je crains qu’il y ait des gens mauvais et qu’il y en ait toujours eu… Regardez Pol Pot, les nazis, Staline, ce qui c’est passé en Argentine dans les années 70… Il y a eu partout des gens dans l’histoire qui ont voulu tuer les autres pour arriver à leurs fins… Tout ce que je dis c’est que ça se passe maintenant et la seule différence c’est qu’ils emploient la technologie au lieu d’employer les armes et que l’internet a permis d’impliquer toutes les personnes de la planète. À part cela, ce sont les mêmes personnes misérables, répugnantes ayant une mentalité criminelle.» 

En tous les cas, la sincérité et la probité de cet expert ne fait pas le moindre doute car, pourquoi ce modeste et discret microbiologiste, ayant travaillé toute sa carrière dans l’ombre se compromettrait en s’exprimant de la sorte, au risque de se voir moqué, calomnié, dénigré voir même éliminé physiquement. La seule explication plausible est que pour ce faire, il soit animé par une conviction profonde et poussé par un impérieux devoir moral auquel il ne puisse se soustraire. Il affirme sa volonté de témoigner, malgré les risques encourus: «Je suis bien conscient des crimes contre l’humanité perpétrés contre une grande partie de la population mondiale… Je ressens une grande peur, mais je ne suis pas dissuadé de donner un témoignage d’expert à de multiples groupes d’avocats compétents comme Rocco Galati au Canada et Reiner Fuellmich en Allemagne.» De plus, il est fermement opposé à une vaccination étendue à l’ensemble de la population, des jeunes et des personnes en bonne santé qui ne meurent pas du virus «Dans ce grand groupe, il est tout à fait contraire à l’éthique d’administrer quelque chose de nouveau et dont le potentiel d’effets indésirables après quelques mois n’est absolument pas caractérisé». Yeadon adresse une mise en garde sans appel contre les multiples mensonges des gouvernements pendant toute cette crise : «Je vous préviens que les gouvernements du monde entier et certainement le vôtre localement vous mentent de diverses manières qui sont faciles à établir pour vous. Si vous choisissez de ne pas le faire, il n’y a rien que quelqu’un comme moi puisse y faire. OK, vous avez été soumis à la propagande et aux mensonges de personnes qui sont très bien entraînées pour ça. Et je suis un parfait inconnu… Donc je vous dis simplement que si vous voulez vérifier n’importe laquelle des choses que j’ai dites, vous verrez que c’est vrai. Et je voudrais vous faire remarquer que si vous trouvez une chose que votre gouvernement a dite qui est clairement fausse, je vous demande alors ceci : Pourquoi croiriez-vous tout ce qu’ils vous ont dit ? […] Quand votre gouvernement vous ment une ou deux fois, nous sommes probablement habitués que les politiciens prononcent occasionnellement des mensonges sans conséquence et nous les laissons faire… Mais quand ils vous mentent sur quelque chose de technique, quelque chose que vous pouvez vérifier, qu’ils le font de manière répétée pendant des mois, et qu’ils le font sur d’innombrables éléments à propos du même événement… De grâce vous devez me croire, ils ne disent pas la vérité ! Et s’ils ne disent pas la vérité, cela signifie qu’il y a quelque chose d’autre qui se prépare… Et je suis aujourd’hui là pour vous dire qu’il y a quelque chose de très mauvais qui se passe. Et si vous ne faites pas attention, vous perdrez rapidement toute chance de faire quoi que ce soit à ce sujet. Et ne dites pas que vous n’avez pas été prévenus ! Parce que j’avertis les gens depuis aussi longtemps que j’ai pu et aussi fort que je peux.»

Or, si on passe en revue les mensonges proférés par ces gouvernants depuis le début de cette crise, on ne peut que se rendre à l’évidence qu’ils sont innombrables : mensonge sur la création des lits supplémentaires pour faire face au cas de COVID, mensonge sur l’origine artificielle et chimérique du virus, mensonge sur la létalité du virus, mensonge sur l’urgence sanitaire, mensonge sur l’absence de traitements efficaces pour juguler le virus, mensonges statistiques, mensonges de fausses études, mensonge sur la nature du produit injecté qui n’est en rien un vaccin, mensonge sur le caractère expérimental de l’injection, mensonge du retour à la vie normale après injection, mensonge sur l’utilité et l’efficacité des masques, mensonge sur l’utilité du confinement, mensonge sur l’obligation vaccinale, mensonge sur la mise en place du pass sanitaire et l’étendue de son application, mensonge de l’immunité collective, mensonge de l’efficacité et l’innocuité du vaccin, mensonge et dissimulation sur le contenu des ingrédients des injections, mensonge sur l’efficacité des tests PCR comme outil de diagnostic, mensonge des cas asymptomatiques transmetteurs du virus, mensonge sur l’ampleur des mobilisations contre la politique gouvernementale, mensonge sur le consensus scientifique autour de la vaccination. Le mensonge de ces autorités n’est pas une erreur de parcours, mais une stratégie délibérée de communication pour aveugler et conduire les masses dans une certaine direction.

Un autre lanceur d’alerte face à cette campagne d’injection est le Dr. Vladimir Zelenko. Il a traité avec succès directement plus de 7000 patients contre la COVID-19 avec son célèbre Protocole Zelenko et dénonce lui aussi, au péril de sa vie, un génocide en cours. Précisons d’emblée qu’il ne s’agit pas d’un hurluberlu, puisqu’il a soigné entre autres le président Trump, Rudy Giuliani, le ministre israélien de la santé ou encore le président brésilien Bolsonaro. Pour lui, il y a trois façons d’évaluer un traitement : est-il efficace, est-il sûr et en avez-vous réellement besoin d’un point de vue médical. Or, les injections de thérapies géniques ne répondent à aucun de ces critères… Il pointe l’échec cuisant de la politique vaccinale en Israël (avec pourtant plus de 80% de la population vaccinée) sans pour autant que l’épidémie ne soit enrayée avec les nouveaux variants. Il s’interroge sur le fait de multiplier les doses vaccinales avec un effet cumulatif délétère, alors même que le résultat des premières doses n’est pas du tout à la hauteur des attentes et des espérances. Souvenons-nous du précepte de base de la médecine de Paracelse, «C’est la dose qui fait le poison.» Pour la sécurité, Zelenko parle de trois niveaux de morts, à court, moyen et long terme. Pour les effets à court terme, dans les trois ou quatre premiers jours, il expose les risques inhérents à la production par trillions par l’organisme de protéines de Spikes qui migrent vers l’endothélium, qui est le revêtement intérieur des vaisseaux sanguins, formant de petites épines à l’intérieur de votre vascultature et entraînant des risques de formation de caillots sanguins, de crise cardiaque si cela arrive au niveau du cœur, ou d’AVC au niveau du cerveau. De plus, d’après un article scientifique du New England Journal of Medicine, le taux de fausses couches explose d’un facteur de huit en cas d’injection au cours du premier trimestre de la grossesse passant de 10% à 80%. Dans les effets à moyen terme, il révèle que des études sur les animaux un grand nombre d’entre eux sont morts à cause d’un dysfonctionnement de leur système immunitaire, avec une réaction immunitaire pathologique désastreuse. Sur l’homme, nous n’avons aucun recul… Ces injections sont donc une substance potentiellement destructrice et mortelle. Il s’agit donc pour lui du plus grand risque jamais encouru pour l’humanité et le plus grand risque de génocide de l’histoire de l’humanité. Et pour ce qui est des effets à long terme, il y a des preuves indéniables que cela affecte la fertilité, endommage la fonction ovarienne et réduit le nombre de spermatozoïdes, mais aussi provoque un nombre conséquent de maladies auto-immunes, des cancers avec une réduction de l’espérance de vie à prévoir. D’après ses estimations, si les 7 milliards d’individus de la planète devaient être inoculés, le taux de mortalité induit serait de l’ordre de deux milliards. Il nous supplie de nous réveiller : «C’est la troisième guerre mondiale. C’est un niveau de malfaisance et de malveillance que nous n’avons probablement jamais vu dans toute l’histoire de l’humanité.» Il conclut son exposé ainsi : «Il y a zéro justification, zéro d’utiliser ce poison mortel, à moins de vouloir sacrifier des êtres humains !»  En ce qui concerne la vaccination des enfants qui ne risquent rien avec cette maladie avec un taux de rémission de 99,998%, il ne mâche pas ses mots : «La seule raison pour laquelle vous voudriez traiter un enfant est si vous croyez au sacrifice des enfants.»

De son côté, le Dr. Dolores Cahill a lancé l’effroyable avertissement suivant : «Nous savons que les dommages causés par ces vaccins à ARN messager seront encore plus importants dans les années à venir. Ce que je dis depuis le début, c’est que toute personne de plus de 70 ans qui reçoit l’un de ces vaccins mourra probablement dans les deux à trois ans, et toute personne qui reçoit l’injection d’ARN messager, quel que soit son âge, verra son espérance de vie réduite et décéder, si vous êtes dans la trentaine dans les cinq à dix ans en ayant probablement des allergies, des problèmes neurocognitifs, des inflammations et bien sûr l’infertilité, le principal problème.»

De plus, les “ARN messager” vaccinaux sont capables d’atteindre les organes reproducteurs, les testicules et les ovaires, comme cela est précisé dans l’autorisation conditionnelle de mise sur le marché de ces vaccins. À la page 54 de l’AMM du Vaccin Pfizer/BioNtech, il existe un paragraphe dédié à l’étude du vaccin où il est ainsi clairement précisé que les “ARN messager” encapsulés dans les nanoparticules lipidiques atteignent de nombreux organes comme la rate, le cœur, les reins, les poumons ou le cerveau. Mais également que des “ARN messager” ont été retrouvés dans les ovaires et les testicules lors des études de biodistribution de ce vaccin. Michael Yeadon, ainsi que le médecin allemand Wolfgang Wodard, ont récemment envoyé une pétition à “l’Agence européenne des médicaments”, demandant à l’EMA d’arrêter les essais cliniques du vaccin COVID-19 de Pfizer. Ils ont affirmé que le vaccin pourrait bloquer une protéine qui est cruciale dans la formation d’un placenta et les médecins ont affirmé que cela pourrait «entraîner une infertilité des femmes vaccinées.» Aucune réponse des autorités malgré ces avertissements. À noter aussi que s’il n’y avait aucun risque, pourquoi est-il vivement recommandé de ne pas avoir d’actes sexuels pendant les 28 jours qui suivent la vaccination “Pfizer” ? Dans le protocole des essais cliniques de “Pfizer” il est donc conseillé d’éviter de procréer une fois vacciné, car on ne sait pas quelles anomalies ou déformation l’ARN pourrait provoquer sur le fœtus.

Après les effets secondaires chez l’utérus des femmes, voilà que les organes masculins seraient aussi touchés d’après le témoignage d’un autre docteur, le Dr. RubinowiczCet urologue américain alerte sur les “faux” taux anormalement élevés de PSA, “Antigène Prostatique Spécifique” dans les dosages sanguins servant au dépistage du cancer de la prostate et des risques d’infertilité dans les six semaines suivant la vaccination. Allons-nous nous retrouver plongés dans le scénario du roman de science-fiction dystopique de “La Servante Écarlate de Margaret Atwood, où l’humanité ne pourra plus enfanter ?

Ne s’agit-il donc pas ici potentiellement d’un crime contre l’humanité qui est sur le point d’être perpétré ? Et comme le gouvernement est parfaitement conscient de cet état de fait et que malgré tout, il cherche à tout prix à nous l’imposer, il y a tout lieu de s’en méfier comme de la peste, car je ne pense pas que l’appât du gain de Big Pharma soit la seule variable à toute cette satanée équation…


 


Dans le cas des vaccins à ARN, que l’on ne s’y trompe pas : il s’agit ni plus, ni moins que de la plus gigantesque manipulation génétique de tous les temps. Faut-il croire qu’après avoir été les victimes d’une expérience d’ingénierie et de contrôle social à grande échelle, nous serions maintenant en passe de devenir les cobayes d’une expérimentation médicale insensée ? Une telle entreprise, aussi hasardeuse et incontrôlable, ne relève-t-elle pas plus du scientisme que de la véritable science, voir du charlatanisme le plus total ? En fait, nous sommes plongés dans un essai thérapeutique grandeur nature qui va durer jusqu’en 2023, voire 2024 pour certaines de ces inoculations. Car, il faut bien savoir que pour ces vaccins, il n’y a même pas eu d’essais cliniques en phase 3 ! C’est bien pourtant l’étape la plus incontournable et cruciale pour l’approbation d’un vaccin sur le marché. Mais cette fois-ci, sous le fallacieux prétexte de l’urgence sanitaire absolue, elle a tout simplement été sautée, alors même que pour l’immense majorité de la population ce virus ne s’est finalement pas révélé si létal. Les étapes classiques de la sécurité sanitaire n’ont donc pas été respectées, ce qui explique la prodigieuse vitesse à laquelle ils ont été déployés sur le marché. Dans une réunion à huis clos, les  responsables de l’OMS se sont mis d’accord pour autoriser les tests sur les humains alors même qu’il  n’y a pas eu d’essais précliniques sur des animaux. Le Sénateur Bob Hall, au comité sénatorial des affaires d’État du Texas précise à ce sujet, ce qui n’est pas fait pour nous rassurer, que : «Ils ont arrêté les tests sur les animaux, car les animaux étaient en train de mourir.» D’ailleurs, la brochure officielle de la FDA, “la Food and Drug Administration” relative au vaccin précise bien qu’il est encore en phase 3 de test… De même, le registre officiel d’essais cliniques, le “ClinicalTrials.gov”, émanant des Instituts de recherches médicales aux États-Unis (National Institutes of Health, NIH) rappelle aussi que la phase 3 de ces vaccins permettant de valider leur innocuité ne se termine qu’entre décembre 2021 et 2023. De plus, on nage en plein flou artistique au niveau de “l’Autorisation de Mise sur le Marché” AMM de ces vaccins, qui d’après les documents officiels qui émanent de l’Agence européenne du médicament, est qualifiée de “conditionnelle”. Il y aurait aussi des incertitudes relatives à la qualité intrinsèque de ces produits et de leurs procédés de fabrication, dont la conformité et la permanence ne pourrait être assurée dans le temps au niveau des lots délivrés. Nous avons donc ici quitté la science dont l’un des fondements est d’assurer la reproductibilité. On croit rêver ! En outre, comment peut-on encore parler de science, lorsque qu’avec ces injections, tout est aussi fluctuant et aléatoire. Ainsi, on est passé d’une technique de conservation des fioles dans des super congélateurs à −70°, puis dans de simples frigos, de même on ne devait pas mélanger les doses, puis on les a allègrement mélangé, on est passé d’une seule dose initiale en promesse d’un retour à la normale à quatre et par la suite, d’un rappel tous les 6 mois, à tous les 5 mois. C’est bien l’un des seuls domaines où l’on peut se permettre un tel degré d’amateurisme et d’approximation, sans en subir la moindre conséquence. Les lacunes d’évaluation sont donc béantes : aucune étude n’a été faite pour étudier les potentielles réactions croisées avec d’autres médicaments que nous pourrions prendre, aucune réelle étude de toxicité n’a été faite, aucune étude toxico-cinétique pour savoir comment ces produits évoluent dans l’organisme, aucune étude de toxicité génique pour savoir s’ils sont susceptibles d’endommager l’ADN, aucune étude sur la potentielle cancérogénicité, aucune étude sur les femmes enceintes ou allaitantes, aucune étude sur les personnes âgées de moins de 18 ans ou celles de plus de 55 ans, aucune étude d’impact sur le développement pré et post natal ou sur le développement des nouveaux-nés, aucune étude sur ce qu’il se passe lorsque deux vaccinés font un enfant, aucune étude sur les maladies auto-immunes et sur les personnes immunodépressives. Pourtant, cela n’a pas empêché ce menteur patenté d’Olivier Véran d’affirmer sans la moindre vergogne, toute honte bue devant les caméras de télévision que ces injections ne sont pas du tout en phase expérimentale 3. Cela en dit très long sur son degré de probité du bonhomme, de sa profonde duplicité et l’absence totale de considération qu’il porte véritablement à la santé de ses concitoyens.

Même le Dr Robert Malone, l’inventeur du vaccin à ARN Messager reconnaît l’existence d’un risque lié au vaccin avec cette technologie. Il affirme qu’il y a un danger à ne pas négliger et qu’il ne faudrait surtout pas vacciner les enfants et les adolescents. Victime de censure suite à ses alertes, il se dit aussi très inquiet de la dérive totalitaire actuelle«J’ai traversé épidémies après épidémies et je n’ai jamais rien vu de tel : l’intégration, l’harmonisation et l’application… je veux dire, c’est ouvertement autoritaire et cela vient d’en haut, et c’est coordonné. Ils ont développé un tas de véhicules différents pour renforcer le récit dominant et faire en sorte qu’aucune autre information ne soit disponible au public, afin que les gens se comportent comme les services de santé et l’OMS veulent qu’ils se comportent. C’est le contrôle du comportement. Ce sont vraiment des opérations psychologiques, voilà ce qu’il se passe. Il s’agit d’opérations psychologiques appliquées pour contrôler les gens et leur comportement, afin qu’ils acceptent ces produits qui sont encore expérimentaux et basés sur une technologie qui n’a jamais été déployée à ce niveau. Et au fur à mesure que les données sortent, il apparaît de plus en plus évident que ces produits ne sont pas totalement sûrs.»


Pourtant, les médias ont tous affirmé la main sur le cœur que ces vaccins étaient sans risques, comme s’il s’agissait de la distribution de bonbons ou d’une simple prise de médicament, alors qu’il s’agit bien d’un acte médical irréversible et tout sauf anodin, d’autant plus que cette fois-ci il serait même susceptible d’altérer l’espèce humaine, rien que cela ! Ils ont donc menti sur toute la ligne et sans la moindre vergogne. Mais, dans un monde qui voue un culte sans bornes à Mammon, la vérité sort assurément de la bouche des assureurs. Et pour ces derniers, tant pour les assurances-vie que pour les assurances-santés, ces vaccins constituent bel et bien des expériences biomédicales, tant et si bien qu’en cas de préjudice, ils ne seront donc pas couverts étant entendu que le vacciné serait considéré comme ayant donné son consentement dit éclairé, alors même qu’il n’aura pourtant pas disposé de la moindre information claire, libre, loyale, appropriée et indépendante… 

Force est de constater qu’on a remplacé dans toute cette affaire le consentement éclairé par un nouveau concept qui relève de l’oxymore : “le consentement imposé”. Les pressions exercées pour contraindre les non-vaccinés à l’injection sont telles qu’elles entendent annihiler tout libre arbitre en forçant les consciences. Comment osent-ils encore parler de consentement “libre et éclairé”, tout en pointant un pistolet sur la tempe de tous ceux qui s’y refuseraient, en allant par exemple jusqu’à leur refuser toute possibilité de travailler, la possibilité de se faire soigner, la possibilité de se déplacer ? C’est ignoble ! En réalité, il s’agit là d’un véritable viol en bande organisée des intégrités physiques. C’est une logique totalitaire.

Par ailleurs, on pourra s’étonner que dans une société aussi atomisée, rendue depuis des décennies aussi individualiste et où l’on est en permanence baigné dans le culte à outrance de l’ego, on nous enjoigne instamment à nous sacrifier pour le bien d’autrui. Désormais, il faudrait totalement s’oublier par altruisme et par considération pour les autres. On nous parle d’un ton culpabilisant et réprobateur de solidarité pour soutenir l’intérêt général. Mais c’est comme pour la guerre, on croit s’acquitter de son devoir pour servir sa patrie et défendre fièrement son drapeau alors qu’en réalité, on se fait juste trouer la peau uniquement pour l’intérêt de marchands de mort et ici engraisser les profits de laboratoires véreux. Que cache ce soudain changement de discours, ce total changement de paradigme ?

Au passage, on pourra relever que si pour le protocole du Professeur Didier Raoult, on a exigé des études très poussées en double-aveugle pour une molécule peu coûteuse et déjà largement utilisée de par le monde depuis plus de 40 ans, sans que l’on puisse relever de contre-indication majeure, quand il s’agit de ces vaccins, on nous les impose à marche forcée en quelques mois, alors que pourtant comme tous les spécialistes s’accordent à le dire, la mise en œuvre de tels vaccins prendrait une bonne dizaine, voire une quinzaine d’années en termes de développement et de contrôles. D’après Stéphane Bancel, Président-directeur général de Moderna Therapeutics, le vaccin Moderna aurait même été mis au point en un seul week-end. Sommes-nous donc tenus et forcés de croire qu’il aura fallu 40 ans aux autorités sanitaires pour se rendre compte que la chloroquine était potentiellement dangereuse et 4 mois pour affirmer que les vaccins sont efficaces à 97,5 pourcents ?

L’éminent microbiologiste Didier Raoult est catégorique au sujet de ces vaccins : «J’ai dit que le vaccin relevait de la science-fiction pour moi, je ne vais pas rentrer dans des explications trop compliquées, mais prenez l’exemple du vaccin contre la grippe, on a mis une quinzaine d’années à le stabiliser et encore à l’heure actuelle, il n’est pas fiable à 100 % et là pour une maladie qu’on connaît depuis un an à peine, certains laboratoires nous sortent des résultats à plus de 90 %. Non mais franchement, qui peut croire une chose pareille ?» L’acharnement incroyable sur le Professeur Didier Raoult, que même “l’Ordre des médecins” s’évertue à traîner dans la boue et en justice comme le dernier des charlatans, en dit bien plus long sur le degré de corruption manifeste des plus hautes institutions de Santé de ce pays que sur ce bon docteur. Ce dernier ayant eu la faiblesse de vouloir respecter son serment d’Hippocrate, au milieu de toute cette hypocrisie ambiante et généralisée. D’ailleurs, pensez-vous sérieusement que la gestion du prestigieux Institut de Recherche sur les Maladies Infectieuses de Marseille, le plus pointu en son domaine de toute la France aurait été confié au premier pied nickelé et charlatan venu ? Faut-il rappeler que le Professeur Didier Raoult est le chercheur européen dont les publications ont été les plus citées par la communauté scientifique internationale dans le domaine des Maladies Infectieuses où il est mondialement reconnu comme étant un des meilleurs experts, qu’il a à son actif 3000 publications à comité de lecture, qu’il est “Commandeur de l’Ordre du mérite”, “Officier de la Légion d’honneur”, “Chevalier de la Légion d’honneur” et “Chevalier de l’Ordre du mérite”. C’est à la mesure de cette diabolisation extravagante et si soudaine que l’on mesure toute la puissance de nuisance des médias, capables de faire et défaire les réputations en un éclair, de dresser des couronnes de laurier aux rois du moment et de jeter l’opprobre sur les pestiférés tous désignés. NON, décidément, ça ne tient donc pas la route deux secondes, comme la calamiteuse gestion de toute cette crise par ce gouvernement, avec pour la France, des résultats déplorables parmi les pires de toute la planète ! En effet, d’après les données publiées par l’OMS au 13 août 2020, nous sommes dans le top sept de la plus grande mortalité par millions d’habitants. Sur mille contaminés, en France, nous avons eu le plus haut indice de létalité au monde, soit cinquante fois au-dessus des taux de l’Algérie et du Maroc, vingt-cinq fois au-dessus des taux de la Russie. Le nombre de décès liés à la Covid-19 est supérieur en France de 17% à celui de la Suède, qui elle n’a pas enfermé sa population, ni arrêté son économie, de 55% à celui de notre voisin allemand. Si l’on se compare aux pays d’Afrique ou d’Asie, les chiffres sont accablants, avec 6 fois plus de morts en France qu’au Maroc (soigné à la chloroquine), 20 fois plus qu’au Sénégal, 41 fois plus qu’en Corée du Sud. Et pourtant aucune démission à l’horizon… 

Et d’ailleurs, comment expliquer que miraculeusement les différents Labos qui se sont lancés dans la recherche et le développement de ces vaccins arrivent à proposer, presque tous en même temps leur solution vaccinale, en trois à quatre mois, alors que c’est du jamais-vu en termes de timing ? Avant 2020, aucun vaccin efficace contre un coronavirus humain n’avait jamais été développé. Et là, nous en aurions fabriqué 20 en 18 mois. Par quel prodige a-t-on développé toutes ces solutions vaccinales, alors même que pour le Sida, en 40 ans, ils ne sont jamais parvenus à trouver le moindre vaccin, et que l’on a des années durant récolté et engrangé des fonds considérables pour la recherche, via des campagnes de communication intensives et des opérations tapageuses et ultra-médiatisées telles que le “Sidaction” ? Une opération qui fut initiée dès 1994, soit il y a maintenant 27 ans. De même, pas plus de vaccin fiable contre la grippe… Ni de traitement contre la maladie d’Alzheimer… Ni de traitement efficace contre le cancer, après 100 ans de recherche… Rien !

Mieux encore, dans une interview surréaliste au journal télévisé de TF1, le dirigeant d’entreprise Thierry Breton nous a gratifié d’un aveu cuisant : «La bonne nouvelle, c’est qu’on a tout de même fait des progrès absolument incroyables et que pour la toute première fois dans l’histoire de l’humanité, on a réussi à mettre sur pied des vaccins qui fonctionnent en 18 mois !» Petit problème, au moment de cette affirmation dithyrambique, dix-huit mois avant, le virus n’avait même pas commencé à sévir sur l’ensemble de la planète. Autant dire que si cette affirmation est véridique, ils auraient lancé le développement desdits vaccins avant même d’en avoir besoin… Quelle précognition miraculeuse !

L’État a annoncé ne pas avoir l’intention de rendre le vaccin obligatoire… Car, il reconnaît lui-même implicitement qu’il y aurait tout de même quelques risques à cet acte médical tout sauf anodin et que par conséquent, il ne peut se résoudre à le rendre obligatoire. Il faut par là entendre qu’ainsi, il se coupe par la même de toute responsabilité et qu’il n’est plus engagé dans les dégâts qu’il ne manquera pas de causer… Il faut aussi savoir que les fabricants ne peuvent être poursuivis qu’en cas de vaccin obligatoire. Avec ce système mafieux, on paye donc à la fois pour le vaccin, mais on paye aussi pour les dégâts potentiels infligés du vaccin. En d’autres termes, c’est privatisation des profits et socialisation des pertes et ce sont les contribuables, c’est-à-dire ces cons qui vont verser leur tribu à Big Pharma. De plus, bien qu’étant non obligatoire, il est dans le même temps question de couper de toute vie sociale tous ceux qui s’y refuseront, rendant ainsi de facto cette vaccination indirectement obligatoire de la plus hypocrite et cynique manière, c’est une contrainte déguisée ! Il va sans dire qu’en cas de complications, les Labos de Big Pharma ne prendront de leur côté en charge aucun dédommagement, sous le fallacieux prétexte que l’urgence sanitaire ne leur a pas permis de réaliser des études classiques standardisées et les procédures de contrôle habituelles… En gros, il faut bien avoir conscience que ce jeu de dupe, qui n’en vaut décidément pas la chandelle, est par avance pipé : c’est “face” tu perds, et “pile”, ils gagnent ! Donc, si on résume l’ensemble du tableau, le fabricant n’est pas responsable, le gouvernement n’est pas responsable et le vaccinateur n’est pas responsable, mais en revanche à les écouter, si vous n’êtes pas vacciné, alors vous seriez un parfait irresponsable !

Pour reprendre les propos ironiques de Fabrice Di Vizio à ce sujet : «Pourquoi le labo n’est pas responsable ? Et mieux, pourquoi les médecins se félicitent de ne pas l’être non plus ? En gros, personne ne veut être responsable d’un truc qui sauve des vies ? Je ne comprends pas !» 

Et d’ailleurs, si ces vaccins sont aussi bénéfiques et efficaces qu’ils le prétendent, alors pourquoi les laboratoires s’évertuent à organiser au préalable leur totale immunité juridique, tout en jouant à la roulette russe avec notre système immunitaire ? Un jeu de la seringue russe, avec plusieurs doses dans le barillet, une, deux, trois, voire quatre pour l’amour du risque et où on retenterait son tour dans ce périlleux jeu tous les 5 mois, jusqu’à que mort s’ensuive ! Qui plus est, avec une touche de cynisme absolue et un raffinement suprême qui consisteraient à faire payer la balle du condamné par sa propre famille… Si de leur côté, ils ne prennent ainsi pas le moindre risque avec leurs comptes bancaires, alors pourquoi devrions-nous du nôtre, en prendre avec notre santé ? Dans leur échelle de valeur, notre santé aurait-elle moins d’importance que leurs profits et leurs dividendes ? Poser la question, c’est y répondre… La seule immunité dont il ne sera jamais question avec ces pseudo-vaccins est celle des laboratoires pharmaceutiques et la seule santé dont Macron et sa bande se préoccupe véritablement est celle des multinationales.

Tout le monde n’est décidément pas prêt à risquer sa peau inutilement, à partir à l’aventure, comme le laisse entendre avec un argument-choc, cet insupportable cuistre et dandy surfait à l’écharpe rouge de Christophe Barbier qui affirme avec un culot monstre que : «Une des raisons de se faire vacciner, c’est le goût du risque. Avec un vaccin inconnu, il y a toujours un tout petit risque.»

Relevons au passage que les vaccins produits par ces labos sont si sûrs que depuis 1988, via un programme national d’indemnisation des victimes, le gouvernement américain a déboursé la bagatelle de 4,1 milliards de dollars pour couvrir en dommages-intérêts et en dommages-décès les victimes touchées et les familles endeuillées.

Contrairement à toutes les déclarations préalables du gouvernement, qu’en la circonstance on pourrait décomposer en “Gouverne” et “Ment”, il s’agirait donc bien d’une obligation vaccinale qui se profile à l’horizon, puisque dans un avis rendu le 04 mai 2021 par le “Conseil d’Orientation de la Stratégie Vaccinale” présidée par Alain Fischer, il est de plus en plus question de déployer une “stratégie de vaccination en anneau”, dans le but de contraindre tous les individus cas contacts d’autres infectés confirmés, ainsi que toutes les personnes ayant été en contact avec ce premier cercle de sujets contacts.

Comment peut-on raisonnablement oser envisager d’imposer et de soumettre le peuple à des traitements dont l’AMM est conditionnelle, à des produits expérimentaux, avec si peu de données et de recul scientifique, dont les essais cliniques sont incomplets, avec une chaîne de fabrication aussi hasardeuse et qui plus est dont l’utilité n’est même pas prouvée et alors même qu’il existe des traitements sans risque pour s’en prémunir ? Comble de l’aberration, il s’avère même que l’Agence européenne du Médicament” a officiellement reconnu qu’elle ne connaissait pas la composition exacte de ces flacons ! Et pourtant, ils n’ont pas de scrupules à vouloir imposer ces vaccins à l’ensemble de la population, sans en connaitre le contenu. Le ratio bénéfice-risque est donc fondé sur des risques inconnus et minimisés ainsi que des bénéfices et des avantages surestimés et présumés. C’est une déclaration de guerre faite au peuple. Dans toute cette affaire, le gouvernement est manifestement en conflit d’intérêts avec des organisations privées : il a été complètement phagocyté, il a trahi l’intérêt général au prix du sang.

«Les techniques de domination du gouvernement sont les mêmes que celles de la mafia : il terrorise les victimes, puis se présente comme le protecteur en échange de notre docilité. L’obligation vaccinale c’est de l’extorsion.» − Etienne Chouard

L’État voyou a littéralement mis le couteau sous la gorge du personnel soignant pour le contraindre à une inoculation forcée et détournée, en fixant en ultimatum une date butoir au 15 septembre 2021, sous peine de quoi ils perdront leur droit à exercer leur profession, le tout en bafouant allègrement pour l’occasion le Droit du travail” et le “Code de Nuremberg”. Pour tous les praticiens libéraux de la Santé, ils perdront ainsi leur habilité à soigner et à poursuivre leur activité. Ce funeste jour est donc une date marquée du sceau de l’infamie, un tournant historique, un jour de deuil national. Ce gouvernement, dans le cadre de son état d’urgence dit “sanitaire” (comprendre “totalitaire”) a unilatéralement décrété l’exclusion, la mort sociale d’une frange entière de notre société, composée de valeureux soignants, pompiers, médecins, ambulanciers, brancardiers ou auxiliaires de vie. Toutes ces belles personnes, qui ont la notion de sacrifice chevillée au corps, vont être sacrifiés sans le moindre état d’âme sur l’autel de Big PharmaEt comble de l’ignominie, la nauséabonde propagande des médias collabos cherche à nous faire passer ces braves gens, qui résistent à l’oppression et qui ont voué toute leur vie au service d’autrui, pour un ramassis d’irresponsables égoïstes qui méritent finalement bien leur sort. Ces malheureux se retrouvent maintenant congédiés comme des malpropres de leur travail, sans avoir la moindre faute professionnelle à se reprocher, quelques fois après des années de bons et loyaux services et de dévouement. Ils sont acculés à la misère, pour le seul crime d’avoir fait-valoir leur droit à la liberté de disposer de leur propre corps en refusant en toute conscience et dans la dignité ce viol sous la contrainte de leur intégrité physique par cette injection génique expérimentale. Dans son abjection, il a même eu l’audace de faire interdire les cagnottes de solidarité destinées aux soignants, qui se retrouvent ainsi coupés de toutes ressources pour survivre. Décidément, le cynisme de cette caste de politiciens parasites, de cette poignée de technocrates hors-sol corrompus aux abjectes méthodes mafieuses n’a plus aucune limite. Sous couvert de mesure sanitaire, il s’agit d’une aubaine pour faire un plan social à peu de frais et continuer le projet de casse de l’hôpital tout en reportant la responsabilité dans une inversion extraordinaire sur les soignants réfractaires.

Là aussi une question existentielle s’impose : comment peut-on se payer le luxe de congédier des milliers de soignants, en pleine pandémie ? On parle tout de même dun chiffre ahurissant de 300 000 professionnels de la Santé selon les chiffres du ministère de la Santé, soit 10% des effectifs. Ne serait-ce pas un aveu qu’il n’y a en réalité aucune véritable pandémie mortelle qui décime la population ? Se débarrasser de ses meilleurs et plus vaillants soldats, ceux qui sont montés au front en première ligne, tout en privant la population des armes pour se défendre en pleine guerre, ne relève-t-il pas d’un crime de haute trahison ? Comment peut-on encore invoquer des raisons sanitaires en procédant d’une manière aussi irresponsable… Les soins en flux tendu, qui souffraient déjà d’un manque cruel de moyens, ne pourront dans bien des cas, tout simplement plus être assurés, ce qui provoquera une rupture dans la chaîne des soins. D’innombrables patients tomberont alors en totale déshérence et dans la plus grande détresse. Les conséquences de ces mesures iniques seront catastrophiques, il s’agit tout simplement d’une mise en danger de la vie des citoyens, d’une perte de chance qui  témoigne à quel degré ces gouvernants méprisent en réalité la vie qu’ils font par ailleurs mine de tant vouloir protéger. Encore une fois, de telles mesures ne feront qu’accélérer la volonté de casse de l’hôpital public et renforcer des acteurs de la Santé privés. Les offres d’emplois que propose directement Pôle Emploi donnent une idée de l’ampleur du désastre provoqué par cette politique criminelle. Ainsi, au 27 septembre 2021, on trouvait 7 674 offres pour le poste de chirurgien, 5 524 offres pour le poste d’anesthésiste, 11 515 offres pour le poste de médecin, 13 997 offres pour le poste d’aide soignant, 24 747 offres pour le poste d’infirmier, 2 045 offres pour le poste d’agent de service hospitalier. Soit plus de 65 500 postes dans le milieu médical à pourvoir immédiatement et dont le savoir-faire est si nécessaire et vital ! Le démantèlement de l’hôpital traditionnel pour le remplacer par le “home-spital” et par une nouvelle médecine privée de haute technologie, préventive et personnalisée fait partie des objectifs visés par le “Forum Économique Mondial”.

Sur la toile, on peut retrouver des témoignages bouleversants de soignants, comme celui de Julie Fabre du 16 septembre 2021 : «La sentence est tombée : suspendue ! «Madame vous devez immédiatement quitter votre poste et rentrez chez vous.» Ce sont ces mots qui résonnent encore dans ma tête, et pour longtemps je pense. Je ne vais jamais m’en remettre d’ailleurs. Éjectée. Mais je l’aime moi mon métier, messieurs, mesdames, je veux rester. Un collègue déposera bientôt sa démission, une autre est déjà en maladie, deux de mes collègues mamans célibataires avec des enfants à charge, ont dû céder pour survivre, par chantage, pour nourrir leur famille. Elles l’ont fait contre leur volonté, par peur de se retrouver sans rien, à juste titre. Quand je suis partie, elles ont pleuré dans mes bras, et m’ont dit «merci pour nous». Quand je suis allée signer ma suspension aujourd’hui, j’ai croisé une infirmière dans le couloir, 25 ans de métier, qui m’a dit «je me suis fait vaccinée hier, ils m’ont fait flancher, je ne voulais pas, ce soir je vais rédiger mon testament.» J’ai pleuré avec elle. La tension est affreuse. Ils n’en parleront pas aux médias. Pourtant c’est la réalité, c’est la vraie vie. Hier ils sont allés carrément dans les services, chercher et sortir les soignants un par un ! Dehors ! À dégager. J’ai honte de mon pays. J’ai honte de ce qu’ils sont en train de faire. Et on laisse faire. Personne ne bouge. J’ai la gorge plus que nouée. Hier tout le monde applaudissait. Et aujourd’hui ?»

En fait, il faut comprendre qu’en se débarrassant des soignants qui sont restés fidèles aux valeurs fondatrices de leur art, ils ont tué la conscience de la profession en liquidant les plus intègres du corps médical.

Autre aberration qui démontre que tout ceci est purement politique et non sanitaire, dans les hôpitaux, on dépense jusqu’à 60 millions d’euros chaques mois pour embaucher des vigiles ayant pour rôle de contrôler les Passanitaires de la honte. Ce budget de flicage est prélevé directement sur celui des hôpitaux, alors même qu’il y a un cruel manque de moyens, de personnel soignant et de matériel ! Combien d’hôpitaux de proximité pourraient être construits juste avec cette somme ?


À toutes fins utiles, une vaccination obligatoire est contraire à au moins huit textes juridiques fondamentaux, à savoir : au “Serment d’Hippocrate”, au “Code de Déontologie Médicale”, au “Code de Nuremberg”, à la “loi Kouchner” de mars 2002 sur le consentement libre et éclairé, à la “Convention d’Oviedo” de 1997, à “l’arrêt Salvetti” selon lequel aucun traitement médical n’est obligatoire au sein de l’Union européenne, à la “Déclaration de Genève”, à la “Résolution 2361”, adoptée le 28.01.21 par le Conseil de l’Europe, art 7.3.1 et 7.3.2



Le “Serment d’Hippocrate”, qui est le texte fondateur de la médecine et défini l’éthique de tout les médecins stipule que : «Je ne remettrai à personne du poison, si on m’en demande. Ni ne prendrai l’initiative d’une pareille suggestion.»

Le Code de Déontologie Médicale, art 36 précise bien que «Le consentement de la personne examinée ou soignée doit être recherché dans tous les cas. Lorsque le malade, en état d’exprimer sa volonté, refuse les investigations ou le traitement proposé, le médecin doit respecter ce refus après avoir informé le malade de ses conséquences.»

Le Code de Nuremberg affirme que «Nul ne peut être soumis à une expérience médicale ou scientifique sans son consentement.»

La Loi Kouchner, du 4 mars 2002 (article 11, L1111-4) précise qu’« aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment.» 

La Déclaration d’Helsinki insiste bien dans ses Articles 25 et 26 sur le consentement libre et éclairé du patient. Elle est signée par les 35 États.

La “Convention d’Oviedo”, pour la protection des Droits de l’Homme et de la dignité de l’être humain à l’égard des applications de la biologie et de la médecine stipule dans son Article 2 que l’intérêt et le bien de l’être humain doivent prévaloir sur le seul intérêt de la société ou de la science. Dans son Article 5, elle précise bien qu’une intervention dans le domaine de la santé ne peut être effectuée qu’après que la personne concernée y a donné son consentement libre et éclairé. Cette personne reçoit préalablement une information adéquate quant au but et à la nature de l’intervention ainsi que quant à ses conséquences et ses risques. La personne concernée peut, à tout moment, librement retirer son consentement. Dans son Article 10, il est précisé que toute personne a droit au respect de sa vie privée s’agissant des informations relatives à sa santé. Article totalement violé par le pass sanitaire… Dans son Article 1, il est déclaré que toute forme de discrimination à l’encontre d’une personne en raison de son patrimoine génétique est interdite. Et enfin dans son Article 13, il est précisé qu’une intervention ayant pour objet de modifier le génome humain ne peut être entreprise que pour des raisons préventives, diagnostiques ou thérapeutiques et seulement si elle n’a pas pour but d’introduire une modification dans le génome de la descendance.

La Déclaration de Genève stipule quant à elle que «Je respecterai l’autonomie et la dignité de mon patient» et que «Je n’utiliserai pas mes connaissances médicales pour enfreindre les droits humains et les libertés civiques, même sous la contrainte.»

Tous ces textes incontournables seraient-ils devenus subitement caducs, ou est-ce la fin de l’État de droit ? C’est tout simplement insupportable…


Un vaccin Cheval de Troie ?

«Ce n’est ni un vaccin, ni une thérapie génétique… C’est une injection de code génétique sur des gens sains qu’on veut reprogrammer… Moderna appelle ça “le Software of Life”.» Alexandra Henrion-Caude

«L’idée des nanotechnologies, c’est de créer des nanostructures synthétiques conçues pour communiquer avec des cellules, comme si elles faisaient partie d’un tissu naturel durant son développement. Mais dans le corps, la plupart des processus cellulaires sont commandés par des signaux, et les objets qui transmettent ces signaux sont du point de vue des nanotechnologies, des nanostructures. Donc, en un sens, cela peut vouloir dire que nous pouvons manipuler le corps humain d’une manière que nous n’avons jamais imaginé auparavant» Monji Ben Raies

L’insistance et le matraquage ahurissant autour de cette vaccination sont extrêmement louches, surtout pour une maladie si peu mortelle et dont on a trouvé de multiples traitements. Il y a véritablement “aiguille sous roche” et cela invite clairement à la plus grande méfiance et même à envisager les pires hypothèses !

Aussi, avec ce pseudo-vaccin, allons-nous devenir des OGM sur pattes, voir même perdre le contrôle, la pleine maîtrise et la propriété de notre corps ? Ce dernier sera-t-il susceptible de devenir la propriété de quelques acteurs privés extérieurs, à l’image de la firme “Monsanto”, véritable pirate du vivant, s’accaparant sans vergogne, grâce à ses brevets iniques, la propriété de ses plantes génétiquement modifiées, qui relèvent pourtant du patrimoine ancestral et sacré de l’humanité… Ou bien, suite à cette vaccination allons-nous nous convertir, à notre corps défendant, en des sortes d’antennes réceptrices, afin de subir contre notre gré et sans plus en avoir la moindre conscience, des influences extérieures par le biais d’ondes 5G ? Serons-nous alors toujours les maîtres de nos émotions, de nos pensées et de nos actions ?

IMPOSSIBLE : Pure “Théorie du Complot” et divagations émanant d’illuminés en mal de frissons, me rétorquerez-vous…

Et pourtant Bill Gates, qui est très impliqué dans toute cette campagne de vaccination mondiale, est aussi très actif dans l’alimentation et les OGM de la firme Monsanto, (l’une des firmes les plus impliquées dans la production consciente et massive d’armes biologiques), comme le terrifiant Agent Orange utilisé au Viêtnam. Et autant dire que ce genre de méthodes parfaitement crapuleuses et déloyales est déjà de mise dans ce secteur, ce qui n’a pas l’air de grandement perturber sa conscience d’humaniste… De là à penser que ce genre de procédés pourraient être étendus à l’homme, il n’y a donc qu’un pas… De la même façon, on a bien commencé par pucer le bétail et les animaux domestiques, avant d’en arriver à envisager de pucer les hommes… N’était-ce pas aussi notre ancien Président Nicolas Sarkozy, qui affirmait dans l’un de ces discours que, je cite : «L’homme n’était pas une marchandise comme les autres.» On peut donc comprendre qu’à leurs yeux, l’homme est donc bel et bien une sorte de marchandise !

D’ailleurs, il suffit pour achever de s’en convaincre, d’observer combien ce dernier est de plus en plus traité en tant que tel dans le monde moderne avec par exemple, la mise en place de la GPA, ou de la PMA, ou encore la possibilité de tuer les nouveaux-nés jusqu’au 9ᵉ mois, moins quelques jours de la grossesse, pour cause de détresse psycho-sociale de la maman. Et comble de l’horreur, il est désormais même possible, avec la nouvelle loi dite de bioéthique, qui n’a décidément strictement rien d’éthique et encore moins de bio, de travailler sur le “matériel” humain pour expérimenter sur la création de chimères homme/animal…

Signalons que dans son rapport Édition du génome humain : un cadre pour la gouvernanceL’OMS a elle-même édicté des recommandations portant sur la modification et l’édition du génome humain pour en faire un outil ayant pour objectif affiché de faire progresser la santé publique. Ainsi sur le site officiel de l’organisation, on peut trouver cette déclaration datée du 12 juillet 2021 de Tedros Adhanom Ghebreyesus : «La modification du génome humain peut nous donner de meilleurs moyens de traiter et de guérir les maladies, mais nous n’en tireront pleinement les bénéfices que si nous la mettons en œuvre dans l’intérêt de tous au lieu de créer de creuser davantage les inégalités en matière de santé entre les pays et à l’intérieur des pays.» Il est question d’exploiter la technologie CRISPR-Cas9 (qui permet de découper des séquences ADN pour les remplacer par d’autres) dans le but de guérir de certaines maladies, mais aussi dans celui d’améliorer les performances athlétiques ou physiques, ou bien même dans le cadre de fécondations in vitro, de proposer ces services aux futurs parents en changeant le génome de leur bébé à venir.


Relevons au passage, qu’il est cocasse de constater que si d’après une étude IFOP de 2012, 8 français sur 10 seraient inquiets de l’éventuelle présence d’OGM dans leur alimentation, dans le même temps, selon un sondage de décembre 2020, 40% de ces mêmes français seraient prêts à se faire directement injecter dans le sang des organismes génétiquement modifiés contenus dans les vaccins COVID-19

Signalons aussi que dans une conférence filmée datant de 1995, le médecin québécois Pierre Gilbert, un ancien initié et repentis “Rose-Croix”, nous mettait déjà en garde contre de futurs plans de vaccination massive sur les populations à venir, en parlant de : «Poisons que l’on mettrait dans le sang et les veines de l’humanité, en créant des infections. Et en ayant créé ces infections volontaires, on créera des lois qui obligeront la population à se faire donner des vaccins. Et dans ces vaccins, il y aura tout ce qu’il faut pour que vous puissiez être contrôlés. On introduira dans ces vaccins des cristaux liquides. Ces cristaux se logeront dans les cellules de votre cerveau et deviendront des micros récepteurs à des champs électromagnétiques envoyés par des ondes ultra-soniques à très basses fréquences et avec ces ondes, on pourra vous empêcher de penser, on pourra faire de vous des zombis. Et n’allez pas croire que je suis au stade où je pense que c’est une hypothèse, ce que je vous conte, c’est fait ! […] Et aux États-Unis, j’ai chez moi des photos qui montrent des camps de concentration dans le territoire nord-américain et dans ces camps de concentration, on recevra cela parmi vous qui ne voudront pas être d’accord avec la définition du nouveau citoyen !»

Dans le même genre, dès 1993, le journaliste d’investigation québécois de “l’Agence Internationale de la Presse Libre”, Serge Monast, mort dans d’étranges circonstances et qui se disait « informé par des politiciens repentis et des agents des services secrets écœurés», dévoilait suite à une enquête, l’existence de vaccins à application militaire contenant de la technologie à cristaux liquides. Il évoquait déjà deux injections, chose qui n’existait pas à l’époque, mais que l’on voit maintenant apparaître avec les nouveaux types de vaccins qui sont actuellement déployés sur le marché, comme le “Moderna” ou le “BioNTech”. Voici sa déclaration de l’époque : «Il est possible d’administrer un vaccin dans lequel il semble ne rien y avoir en apparence et qui ne soit pas offensif pour la santé d’aucune manière. Mais par contre, le même vaccin, à cause de son contenu mal défini, mis en relation un an ou deux ans plus tard avec un autre vaccin qui lui aussi semble inoffensif à première vue, les deux combinés ensemble vont produire des problèmes invraisemblables. Et j’ai su dernièrement qu’il était possible, sans que cela puisse être décelé nécessairement au niveau d’analyses scientifiques, de couper en deux un cristal liquide, d’en mettre une partie dans un vaccin et un an à deux ans plus tard, de mettre la deuxième partie dans un autre vaccin. La combinaison des deux avec les informations que je possède au niveau des cristaux liquides permet le contrôle direct des individus via satellite en vue d’en arriver à un moment donné à un contrôle politique absolu sur les populations.» Serge Monast évoquait aussi la possibilité d’injecter de l’ADN dans les organismes : «L’idée est d’injecter dans l’organisme de l’ADN nu, c’est-à-dire des séquences d’ADN répétitives (cet ADN peut être synthétique) qui sont des supports d’informations cellulaires sur lesquels on vient greffer soit des séquences d’ADN virales, soit des gènes codants pour des protéines virales ou bactériennes. L’intégration de ce patrimoine génétique à nos cellules est très rapide et on ne peut plus contrôler par la suite les synthèses protéiques qui se font, puisqu’elles sont intégrées à notre patrimoine.» Monast tirait la sonnette d’alarme sur la possibilité d’une prise de contrôle extérieure des individus, via des ondes pulsées agissant sur les cristaux liquides implantés dans leurs corps : «Ces technologies de modification du comportement des populations (voire de ralentissement du système immunitaire ou de production de toxines mortelles) à l’aide de fréquences giga-hertziennes (micro-ondes) existent et sont notamment relayées par l’injection de cristaux liquides et l’implantation d’une puce électronique sous-cutanée, dans le but de court-circuiter la conscience individuelle.»

Dans une conférence débat du 10 février 1996, près de périgueux, qui réunissait des médecins et des biologistes remettant en question notre médecine de troupeau, le Dr. Guy Londechamp, auteur de “l’Homme vibratoire”, paru en 1993, attira lui aussi l’attention sur les cristaux liquides et posa la question : «N’est-ce pas l’installation d’une antenne à l’intérieur de notre organisme, programmable de l’extérieur, malléable ? […] Ce peut-être de la science-fiction, à moins que la science-fiction ne soit déjà très en dessous de la réalité !» Et, commentant la campagne de vaccination canadienne avec protocole particulier, il poursuivit : «S’il s’agit d’une vaccination si anodine, pourquoi a-t-on demandé à ces centres d’avoir des conditions si rigoureuses, ces mesures de sécurité et d’observation exceptionnelles ? Il faut signaler, par ailleurs, que l’on a vacciné de force contre l’hépatite B des populations entières au Nord Canada, sans explication, sans même l’autorisation des parents. Il y a eu un certain nombre de morts parmi les enfants, mais on n’a fourni aucune explication… Viols délibérés de la liberté individuelle, atteintes corporelles avec des décès, mais aucune justification des besoins ni explications. […] Alors, n’est-on pas en train d’injecter aux gens — avec le vaccin contre l’hépatite B — non seulement les protéines de la capsule du virus; mais aussi d’autres informations, probablement des cristaux liquides (boucles d’ADN de synthèse), permettant de programmer toutes les personnes de l’extérieur, à un moment donné, pas forcément tout de suite ? Mais le dispositif serait en place… Le problème est de savoir si les avancées technologiques sont suffisantes pour avoir une connaissance précise du modèle ADN à injecter, afin de contrôler les consciences. Il est bien difficile de savoir exactement ce qu’il y a dans ces vaccins.»

Dans une interview de 2009, David Icke, rapportait de son côté les faits suivants, à remettre en perspective avec la crise actuelle : «On m’a informé en 1997 par une scientifique de la CIA qui voulait me rencontrer pour me donner les informations. En 1997 dans le plus grand secret dans des bases souterraines, ils avaient des puces électroniques qui étaient si petites qu’elles pourraient être introduites dans les gens par seringue hypodermique à Travers des campagnes de vaccinations. Il m’a dit que le plan était d’utiliser la vaccination pour introduire ces puces électroniques. Maintenant, vous regardez d’autres exemples de cela, par exemple en 1969, il y avait un docteur appelé Richard Day qui était à l’époque à la tête du planning familial, le “Planned Parenthood” qui est une organisation eugénique jusque dans son nom. Il a dit à des médecins de Philadelphie… ou Pittsburgh en 1969, que de sérieuses choses vont arriver dans les années à venir pour transformer notre société et glisser vers ce système de contrôle. Quand vous comparez ce qu’il disait hier à ce qui arrive aujourd’hui, c’est extrêmement précis ! Et certains sujets sur lesquels il travaillait était qu’ils veulent créer de nouveaux virus dans les laboratoires qui seraient résistants aux antibiotiques. Qu’ils veulent également créer cela pour réduire la population, qu’ils vont utiliser la vaccination pour réduire la population ! Et, également qu’ils vont essayer de changer les soins de santé des personnes âgées pour que de nombreuses personnes meurent et n’atteignent pas une longue durée de vie parce que dans leurs folles perspectives, les personnes âgées n’ont plus d’intérêt pour eux. Ce dont nous assistons actuellement est très clair, c’est cette tentative de jouer la carte d’une massive dé-immunisation avec l’excuse de faux virus pour avoir accès au corps humain, ce système d’information du corps pour presque tout le monde sur cette planète.»

Dans la même veine, en 2013, le journaliste d’investigation Anthony Patch, après avoir passé des années de recherche portant sur des plans de contrôle du monde par les élites, avait dans un entretien prédit ceci : «[…] Il s’agit d’amener le public à réclamer un vaccin, une injection ou un médicament. Pourquoi dans la mesure où vous avez le contrôle, le pouvoir absolu, pourquoi voudriez-vous que le public réclame un vaccin ? Eh bien parce qu’il y a quelque chose dans ce vaccin que vous voudriez que les gens aient à l’intérieur de leur corps. Qu’y a-t-il dans ce vaccin que vous souhaitez que tout le monde ait dans son corps ? C’est un manipulateur d’ADN, un modificateur. J’ai parlé plus tôt du troisième brin d’ADN. Il existe déjà et vous pouvez le trouver sur Internet, un troisième brin d’ADN composé de silicone – on revient encore aux ordinateurs et aux puces en silicone –. En somme, vous êtes en train de créer un troisième brin d’ADN que vous importez à l’intérieur du corps d’une personne avec un vaccin que cette personne réclame, car elle a peur d’attraper le MERS, le coronavirus, la grippe aviaire, ou n’importe quoi d’autre. Donc, on peut imaginer le gouvernement ou les pouvoirs en place prendre du recul et se dire : Nous ne pouvons pas forcer les gens à faire ce vaccin, voire recevoir ce troisième brin d’ADN caché, ils se rebelleraient et s’y opposeraient. Mais si nous créons le problème et apportons la solution, le public réclamera cette solution, ce qui permettra d’atteindre notre but ultime, à savoir que tout le monde ait son ADN modifié ! Mais creusons encore, quel est le but ? Si on change l’ADN des personnes… Que deviennent ces personnes ? Des hybrides ! Le plus insidieux c’est qu’une fois ces personnes injectées, presque immédiatement son ADN subit des transformations, elle efface presque immédiatement toute conscience du fait qu’elle vient de perdre son indépendance, sa capacité à penser par elle-même, à prendre ses propres décisions, ce qui va avoir des conséquences sur son niveau de morale sur son indépendance au niveau moral, sur ses croyances religieuses, éthique, juridiques. Tout cela disparaît. Si vous retirez la pensée libre et la conscience, votre indépendance a disparu. Que font alors les pouvoirs en place avec cette nouvelle forme d’humain hybride ? Ils peuvent les contrôler. Ils peuvent les transformer en une classe de serfs, une classe d’esclaves pour servir l’élite.» En 2014, dans une autre entrevue filmée, il déclarait : «Ils propageront un coronavirus artificiel. En conséquence, les gens exigeront un vaccin pour les protéger. Ce vaccin ajoutera une troisième souche d’ADN au corps d’une personne, ce qui en fera essentiellement un hybride.» Il mettait également en garde que «Une fois qu’une personne est injectée, son ADN subit presque immédiatement une transformation. Ce changement génétique fera perdre aux gens la capacité de penser par eux-mêmes, sans même qu’ils s’en rendent compte. Ainsi, ils peuvent être contrôlés plus facilement, pour devenir les esclaves de l’élite.» 

Visiblement, il s’agirait en fait de connecter les humains au “Cloud”, au grand nuage informationnel global, un peu comme on connecterait son ordinateur au réseau internet.

Laurent Alexandre affirmait en 2014 que “le Connectome”, soit un plan complet des connexions neuronales d’un cerveau, progresse vite, à mesure que la puissance de l’informatique augmente : « On va dans les années à venir analyser des paquets de quelques millions de neurones, puis quelques milliers, puis analyser à distance le fonctionnement des neurones individuellement. »

À noter au passage que dans un avenir proche, l’entrepreneur Elon Musk, avec son projet Space X” a pour ambition de déployer dans l’espace pas moins de 11 000 satellites, sous le prétexte d’assurer une couverture maximale du réseau Internet à toutes les régions actuellement mal desservies par la toile, histoire qu’elle puisse prendre tout le monde dans ses filets. Musk développe aussi une puce à implant cérébral, une interface neuronale directe, le “Neuralink”. Dans sa logique de robotisation de l’humain, Elon Musk prédit dans une déclaration de mai 2020 que dans à peine cinq ans, le langage humain sera rendu obsolète : «Nous pourrions encore le faire pour des raisons sentimentales.» 

Autant dire qu’il est donc un partisan et un artisan de premier plan du courant transhumaniste. À noter pour la petite anecdote qui en dit long sur sa tournure d’esprit que Musk, a prénommé son propre petit garçon “X Æ A-12” ! Sa femme, la chanteuse Claire Boucher, alias Grimes, explique le choix de ce prénom totalement matérialiste ainsi : «X pour la variable inconnue, Æ que je prononce “A. I.” pour amour ou intelligence artificielle, A-12 qui est le précurseur du SR-17 (notre avion préféré), aucune arme ni défense, juste de la vitesse. Fort au combat, mais pas violent. Le A signifie aussi “Archangel”, ma chanson préférée.» On a comme une petite idée de quel Archange inspire ces grands malades…

Si à cette époque-là, toutes ces déclarations, très en avance sur leur temps, qui sonnent très “complotistes”, pouvaient passer pour de pures affabulations, totalement farfelues voire grotesques, elles semblent maintenant de plus en plus crédibles…

J’en veux pour preuve que dans une interview de la chaîne suisse RTS datée de 2016, nous avons entendu de la bouche même de Klaus Schwab, une allusion directe à l’implantation des individus par des puces dans les dix années à venir, soit avant 2026. Voici sa déclaration : «On les implanterait d’abord dans les vêtements et après, on pourrait s’imaginer qu’on les implante dans nos cerveaux ou dans notre peau, et à la fin, il y a une communication directe entre notre cerveau et le monde digital. Ce que nous voyons, c’est une sorte de fusion du monde physique et digital

Si tout cela ressemble à un mauvais film de science-fiction, c’est pourtant clairement du domaine actuel du champ des possibles, puisque ces technologies sont déjà opérationnelles, comme nous le confirme aussi un extrait vidéo d’une conférence dispensée le 25 septembre 2018 par James Giordano à l’académie militaire de “West Point”, au sujet de la guerre moderne et des armes de nouvelles générations développées par la DARPA. Dans cette édifiante intervention filmée, ce docteur biochimiste affirme que le cerveau est clairement défini comme étant le champ de bataille du 21ᵉ siècle. Les militaires travaillent activement dans le domaine des sciences neurocognitives, utilisées comme des armes. «Il s’agit d’un domaine sur lequel on fait des recherches scientifiques depuis maintenant 40 ans. Il est possible de cibler le cerveau d’individus présélectionnés à l’aide d’une énergie dirigée pour affecter la physiologie de la personne visée.» D’après ce conférencier, ils ont déjà la technologie pour “lire” et “écrire” dans le cerveau en temps réel et à distance ! «L’idée est de passer à travers le crâne pour moduler l’activité électrique du cerveau et y implanter certaines interfaces cerveau-machines.» Il est donc possible de perturber un individu au niveau du fonctionnement de ses cellules et de ses systèmes biologiques, de changer un comportement social en ciblant un changement individuel spécifique, ou encore d’éliminer un individu en laissant très peu de traces sans même être identifié. Il parle aussi de l’usage de drogues pour influer sur le cerveau, les attitudes, les croyances, les pensées, les émotions, les activités. En d’autres termes, de changer l’essence même d’une personne. Ce Docteur Folamour affirme aussi que l’un des développements les plus récents consiste à stabiliser et à diffuser des nanoparticules, un objet d’une taille plus petite qu’une cellule, pour former par exemple des unités robotisées contrôlables à l’échelle nanométrique qui peuvent également être pulvérisés en aérosol pour créer un nano-essaim de matériaux bio-pénétrables et invisibles. Elles peuvent pénétrer les filtres biochimiques les plus robustes qui sont capables de s’intégrer à travers une variété de membranes comme les muqueuses. Ensuite, elles sont transportées dans le système sanguin pour créer des agglomérats, affecter le système vasculaire du cerveau, ou se diffuser directement dans l’espace cérébral. sur une vidéo publique, le Dr James Giordano s’est personnellement vanté que nous, vous et moi, sommes les cibles à venir. Lui et ses copains vont changer l’espèce humaine !  Cauchemardesque… Où s’arrêtera la folie des hommes ?

Il faut bien comprendre que pour ces militaires, les chars, les bombes c’est complètement dépassé. Leur nouveau terrain de jeu et théâtre d’opération, leur nouveau champ de bataille, c’est nos cerveaux ! C’est une guerre de nouvelle génération, une guerre froide basée sur la haute technologie. Il est possible de cibler n’importe quel individu pour le rendre fou ou dépressif, déclencher une maladie psychiatrique à distance, de lui faire entendre physiquement des voix, de lui transmettre des messages venant de nulle part.

À ce sujet, le lanceur d’alerte, le Dr. Barrie Trower, un ancien expert en armes à ondes millimétriques de la Royal Navy, alerte des dangers du rayonnement 5G sur les organismes humains ou animaux et de ces possibilités de manipulations à distance ciblant des individus : «Rien de plus facile que de créer des voix. Tout ce que vous avez à faire est de stimuler la cochlée avec une fréquence de résonance donnée. C’est très facile de faire entendre des voix. Et ce n’est pas que les gens imaginent les entendre. Ils les entendent physiquement. Quand je vous parle, ma voix n’est pas dans votre cerveau. Ma voix ne dépasse pas quelques centimètres dans votre oreille, elle ne va pas plus loin. C’est le signal électrique qui vous fait interpréter le son que je produis, et une fois que vous avez ce signal électrique, qui peut venir d’une puce ou de beaucoup d’autres choses, vous pouvez faire entendre physiquement des voix, certaines voix. Cela peut être une conversation, ou quelqu’un que vous voulez entendre. Cela peut être une voix douce et angélique, ou un dieu, ou quelque chose d’effrayant comme le diable, cela peut être n’importe quoi. Il est littéralement possible de harceler un individu ciblé à distance.» C’est proprement terrifiant. Voici potentiellement les outils de la dictature absolue qui dispose maintenant des moyens de ses ambitions pour s’imposer, la pire tyrannie que l’humanité n’ait jamais eue à faire face dans toute son histoire.



Un autre conférencier de “West Point”, le Dr. Charles Morgan, un expert en neurobiologie de “l’Université de Yale” de la DARPA et de la CIA, a lui aussi parlé de la capacité de modifier l’ADN à des fins de contrôle de l’esprit à l’aide des technologies CRISP (Courtes répétitions palindromiques groupées et régulièrement espacées) et DREADDS (Designer Receptor Exclusively Activated by Designer Drugs) pour contrôler le comportement des êtres humains. Il serait ainsi possible de recombiner l’ADN et de produire de nouveaux souvenirs et comportements. En 2018, le pouvoir de remplacer par le sang, le cerveau et les cellules, les propres souvenirs et choix d’un être humain par une réalité de substitution des contrôleurs dépassait déjà tout conditionnement comportemental rendus possibles avec les smartphones. Décidément, le film “Matrix” n’était pas une fiction mais un documentaire… Voici quelques-unes de ces affirmations : «la technologie appelée CRISPR rend un certain nombre de choses immédiatement disponibles… Vous pouvez concevoir n’importe quoi. Vous pouvez concevoir une chose unique qui n’en tuerait qu’un. Ce que vous faites lorsque vous créez des plasmides et les mettez dans des cellules, cela envoie un signal et indique quelle partie de l’ADN doit se dérouler, se déplier et produire un produit. C’est l’avenir de la médecine.» Il affirme aussi que les cellules «peuvent être conçues pour des activités et des objectifs spécifiques. Elles peuvent être placées stratégiquement. Elles peuvent être contrôlées à distance.» Ainsi, ces contrôleurs de cellules « peuvent avoir des choses activées dans le cerveau des autres.»



En outre, l’ancien officier du KGB, le Dr Igor Shepherd nous met en garde contre les vaccins à ARNm anti-ADN COVID-19 qui selon lui nous rendront transhumains : «Le but final de l’humanité sous ce régime totalitaire est le transhumanisme, et pour y parvenir, ils doivent fusionner l’homme avec la machine. Les vaccins anti-ADN COVID-19 sont les moyens avec lesquels ils peuvent nous rendre transhumains. Les vaccins COVID-19 utilisent une nouvelle technologie d’ARNm qui a le potentiel de corrompre et de modifier notre génome humain d’origine, créant des effets secondaires graves et le potentiel de millions de décès. Les processus technologiques de ce type de vaccin sont étrangement similaires aux armes biologiques créées par les laboratoires militaires russes au cours des trois dernières décennies. Et ce qui est alarmant, c’est que chaque société de vaccins qui a développé aujourd’hui des vaccins COVID-19 pour la population américaine est financée et en partenariat avec l’armée américaine et la DARPA. La DARPA est une organisation militaire impliquée dans les armes biologiques depuis les années 1950 ! Un vaccin qui est autorisé à contourner des réglementations médicales rigoureuses pour assurer la sécurité publique est inacceptable. Un vaccin dirigé par des entités militaires spécialisées dans les armes biologiques est tout aussi inacceptable, en particulier lorsque des brevets sont sécrétés, que des ingrédients malsains sont ajoutés et que les fabricants de vaccins sont exonérés de toute responsabilité. Nous croyons que chaque personne a le droit de connaître ces détails et de faire ses propres choix concernant ce qu’elle croit être le mieux pour son corps et sa santé.»



Ces velléités de prise du contrôle de l’esprit humain ne remontent pas à hier, puisque déjà en 1963, le neurophysiologiste José Manuel Rodríguez Delgado, un pionnier des neurosciences, avait réussi, dans une stupéfiante et spectaculaire expérience restée célèbre, à stopper net la charge d’un taureau, grâce à un dispositif d’électrodes connecté au cerveau du bovin. Le pauvre animal était alors commandé à distance via des ondes radio et piloté à l’aide d’une télécommande.

Ce pionnier dans la technologie des implants cérébraux avait travaillé, dans différentes agences d’espionnage, gouvernementales et militaires. Ils ont découvert un vaste champ d’application pour les champs électromagnétiques sur l’esprit et le corps des humains. José Delgado s’est aussi intéressé au contrôle à distance du comportement de singes de laboratoire, en utilisant des pulsations de champs magnétiques à faible puissance sans qu’il n’ait recours à la moindre antenne implantée. Enthousiaste, il déclarait dans une interview de l’époque : «Est-ce que vous réalisez les possibilités fantastiques si de l’extérieur nous pouvons modifier ce qui se passe à l’intérieur, nous pourrions induire des messages à l’intérieur. Et le plus beau maintenant, c’est que l’on utilise même plus d’électrodes. Les différentes fonctions dans le cerveau, les émotions, l’intellect ou la personnalité pourraient être modifiés par cette méthode non-invasive.»

En 1985, l’auteure scientifique, Kathleen McAulife, rapportait déjà dans un article “the mind fields”  paru dans le “magazine Omni”, l’avancée des travaux sur le contrôle de l’esprit de Delgado : «Les effets de la manipulation sans fil de Delgado étaient un défi pour la CIA. Il avait découvert que les animaux, placés dans un champ électromagnétique pouvaient être manipulés, sans qu’on les touche. Et surtout que, les champs que Delgado utilise sont très faibles : il suffit de 1/50ᵉ de la force des propres champs magnétiques de la Terre, lorsque le signal est accordé à des fréquences bien précises. Delgado pouvait faire bien plus que simplement endormir un singe…»

Dans les années 1969, dans son livre : “Physical Control of the Mind : Toward a Psychocivilized Society”, Delgado exposait à l’Université de Yale, (le fief de l’organisation occulte des “Skulls n” Bones”) les résultats de ses expériences poussées de contrôle sur le cerveau humain : «Les transmetteurs cérébraux peuvent rester à vie dans le cerveau d’un sujet. L’énergie qui actionne le transmetteur est transmise par des fréquences radio. […] L’une des possibilités des transmetteurs cérébraux est d’influencer les gens, afin qu’ils se conforment aux systèmes politiques. Les comportements individuels et sociaux, les réactions émotionnelles et mentales, peuvent être provoquées, maintenues, modifiées ou inhibées, chez les animaux comme chez l’homme, par la stimulation des structures cérébrales spécifiques. Le contrôle physique de plusieurs fonctions cérébrales est un fait établi. Il est même possible de suivre les intentions, le développement des pensées et les expériences visuelles.»

Dans un procès-verbal provenant des séances du Congrès américain du 24 février 1974, ce scientifique déclarait aussi : «Nous avons besoin d’un programme de psychochirurgie pour le contrôle politique de notre société. Le but est le contrôle physique de l’esprit. Chacun qui dévie de la norme donnée peut être chirurgicalement mutilé. L’individu peut penser que la réalité la plus importante est sa propre existence, mais c’est seulement son point de vue personnel. Même si cette attitude libérale est très séduisante, cela manque de perspective historique. L’homme n’a pas le droit de développer sa propre façon de penser. Nous devons contrôler le cerveau électriquement. Un jour, les armées et les généraux seront contrôlés par stimulation électrique du cerveau.»

Grâce aux recherches de ces fous furieux n’ayant rien à envier au Dr. Frankenstein, on arrive à un impressionnant degré de finesse dans le contrôle neurologique. Il devient dès lors possible d’activer ou non certaines zones du cerveau à des fins de contrôle du comportement. Ainsi, comme le révèle un impressionnant exposé de 2016 au “Quai des savoirs”, intitulée Et si on prenait le contrôle des neurones par la lumière, animé par Laure Verret, maîtresse de conférences au centre de recherche sur la cognition animale : des scientifiques se sont servis d’un laser bleu, de l’émission d’un champ électrique et d’impulsions sur les neurones d’une souris pour lui faire ingurgiter des aliments qu’elle ne mangerait pas en temps normal, ou bien encore pour la faire dormir, puis la réveiller sur simple commande. C’est-à-dire, la faire agir contre son gré et contre sa propre nature, sans pour autant qu’elle en éprouve le moindre besoin physiologique. Les scientifiques arrivaient même à contrôler son humeur et son niveau d’agressivité. Bien entendu, comme on pouvait s’en douter, il est question d’étendre ces découvertes à l’homme et il existe déjà des casques, comme le casque connecté “Thync”capables en stimulant le système nerveux à l’aide d’impulsions électriques, de moduler les humeurs de son porteur, selon des programmes implémentés au préalable dans le casque, le tout contrôlable depuis un smartphone. De nos jours, les scientifiques ont donc déjà cartographié le cerveau et sont capables d’agir sur certaines zones spécifiques, pour obtenir des effets bien précis. Il devient alors possible de lire dans les pensées, en scannant le cerveau. Les possibilités donnent littéralement le vertige, puisqu’à l’aide d’interfaces homme/machine, on en arrive même à contrôler et piloter avec précision des objets par la pensée sans commande, des drones, ou des appareils dans des simulateurs de vol. Vous ne le savez peut-être pas encore, mais ces savants fous de scientifiques, ont aussi pour ambition de faire de notre cerveau une télécommande universelle d’ici 2030 !

Dans le même ordre d’idée, voici ce qu’écrivait dès 1970, Zbigniew Brzeziński, l’Ancien Conseiller à la sécurité nationale des États-Unis dans son livre “Between Two Ages : America’s Role in the Technetronic Era”, L’ère technotronique : «L’ère technotronique implique l’apparition progressive d’une société plus contrôlée et plus dirigée. Une telle société serait dominée par une élite dont la soif de pouvoir politique reposerait sur un savoir-faire scientifique supérieur. Libérée des contraintes des valeurs traditionnelles libérales, cette élite n’hésiterait pas pour arriver à ses fins politiques à utiliser les dernières techniques modernes pour influencer la conduite du public et garder la société sous étroite surveillance et contrôle.» Dans un autre passage, il anticipe la soociété du futur basée sur le contrôle total : «En même temps, la possibilité d’exercer un contrôle social et politique sur l’individu ne fera qu’augmenter; il sera bientôt possible d’exercer un contrôle continu sur chaque citoyen par le biais du dossier avec une information sans cesse renouvelée et contenant les détails les plus intimes sur son état de santé et son comportement personnel, en plus des données habituelles. Le pouvoir sera entre les mains de ceux qui détiendront l’information. Nos institutions en place seront remplacées par des institutions de gestion et de prévention des crises. Leur tâche sera d’identifier à l’avance les crises sociales et de développer les programmes pour y répondre.»

En ayant au préalable pris connaissance de toutes ces informations, de ces possibilités technologiques vertigineuses, il est donc bien légitime de se demander si avec tout ce programme de vaccination particulièrement douteux, nous ne serions pas en présence d’une sorte de mise-à-jour de l’humanité et d’un nouveau délire transhumaniste qui avancerait masqué et ne dirait pas son nom ?

D’ailleurs, en août 2002, dans le Magazine Nexus N°35 “Votre Santé”, intitulé “Êtes-vous des cobayes ou des robots ?”, la regrettée lanceuse d’alerte Sylvie Simon se posait déjà cette question : «Et si l’injection vaccinale n’était que le moyen technique d’implanter dans le corps des cristaux liquides qui, comme la puce, permettent le contrôle permanent de chaque individu ? La pression vaccinale des autorités est devenue telle que l’on est obligé de s’interroger sur les buts réels de la vaccination.» Et il faut bien avouer que cette brave dame n’avait encore rien vu en termes de pression avec la période actuelle ! Elle se faisait aussi cette réflexion : «S’il ne s’agissait que de santé, la contrainte n’aurait pas lieu d’être, la persécution des non-vaccinés serait dénoncée comme toute violation des droits fondamentaux, enfin les campagnes vaccinales systématiques apparaîtraient comme une aberration. Plutôt que de santé, ne pourrait-il être question de contrôle mondial de la population ? L’identification des chiens et des chats grâce à ce procédé a été mise en place en France par un arrêté du 1ᵉʳ octobre 1997. Il semblerait qu’il soit désormais possible d’injecter, par le biais d’un vaccin, un implant électronique servant a l’identification personnelle. Ce serait la normalisation à outrance des conduites par le truchement des vaccinations.»



Cela semble bien être le cas, puisqu’il se trouve que la plateforme de vaccin “ARN Messager” est justement littéralement d’écrite par l’entreprise “Moderna”, comme un “Système d’Exploitation”, son logiciel de la vie en cours d’installation, ou plutôt de piratage dans notre corps et sur lequel un “logiciel” sous forme d’ARN m est déployé et mis à jour pour produire des “applications” qui sont des protéines. Ahurissant… Tout cela ne relève pas de fantasmes et de spéculations hasardeuses, mais est décrit par le menu directement sur le site Web de “Moderna”! Dans leur vision purement mécaniste, artificielle et fonctionnelle de l’homme, “Moderna” décrit son “Système d’Exploitation” ainsi : «Reconnaissant le vaste potentiel de la science de l’ARN messager, nous avons entrepris de créer une plate-forme technologique d’ARN messager qui fonctionne très bien comme un système d’exploitation sur un ordinateur. Il est conçu de manière à pouvoir brancher et jouer de manière interchangeable avec différents programmes. Dans notre cas, le “Programme” ou “APP” est notre médicament ARN messager – la séquence d’ARN messager unique qui code pour une protéine.»


Finalement, vu sous cet angle, on comprend mieux ce que diable vient faire un informaticien tel que Bill Gates dans toute cette affaire ! C’est parfaitement cohérent, en réalité… Si l’objectif de ces fous est bien de fusionner l’homme et la machine dans une logique transhumaine, Bill Gates incarne à merveille la fusion de l’informatique et de la santé humaine, où l’homme est traité comme un ordinateur, le virus biologique, comme un virus informatique et l’antivirus vaccin, comme un antivirus informatique. Dans leur logique, notre pare-feu naturel et gratuit, qui est notre si précieux système immunitaire, qui prévient ses attaques extérieures, serait inopérant et devrait être remplacé par des solutions de protections artificielles et commerciales régulièrement mise-à-jour, avec des injections à répétition et un abonnement renouvelable pour se protéger de l’apparition de chaque nouveau variant.

Bill Gates et sa fondation, des liens très étroits avec la firme “Moderna”… Cette société américaine de biotechnologie a été fondée en 2010, qui n’a strictement aucun antécédent dans la recherche de vaccins, mais qui a développé des partenariats avec “AstraZeneca”, mais également avec la DARPAl’Agence de Défense Militaire Américaine spécialisée dans la recherche de nouvelles technologies à usage militaire, ce qui est des plus inquiétants. Il faut aussi savoir que le nom initial de “Moderna” était “ModeRNA”, sous-entendu, modifier l’ARN.

En somme, la COVID-19 ne serait alors qu’un cheval de Troie visant à assiéger nos organismes et à les pirater… Dès lors, il serait possible d’interagir directement sur nos êtres, à distance ! Soit d’acquérir une porte d’entrée pour une forme de contrôle extérieur absolu sur nous tous ! Une hypothèse aussi avancée par le Blogueur et consultant en informatique décisionnelle Erno Renoncourt, qui écrit dans un article que : «Un vaccin qui vectorise des nanoparticules ionisant un champ électromagnétique, sensible au milliardième de mètre près, pour activer le Système immunitaire adaptatif par des ARN messagers, évoque vraisemblablement l’idée d’une porte dérobée installée comme protocole d’échange pour des desseins sanitaires peu transparents.» Je ne sais pas pour vous, mais en ce qui me concerne, il est hors de question de me laisser faire et de me prêter au jeu de ce genre de délires dignes des pires scénarios de science-fiction. Avant tout, je suis un être humain et certainement pas un composant informatique en série, ou le rouage d’un système mondialiste en roue libre

À noter que chose incroyable, mais vraie : de nombreux vaccinés se sont rendu compte de l’apparition d’un bien étrange et très inquiétant phénomène, avec la présence post-vaccinale d’un léger, mais bel et bien présent magnétisme à rayonnement très bas dans le bras, juste à proximité du point d’injection ! Ainsi, des petits aimants sont attirés par le champ magnétique émis par cette zone et tiennent sur le bras en défiant la gravité. Pourtant, lorsqu’ils placent exactement le même aimant dans une partie différente de leur corps, il ne colle pas et tombe tout de suite. Si au départ, on pouvait penser à un “Fake” fantaisiste, à une légende urbaine, c’est pourtant la triste réalité et des témoins de confiance du milieu médical ont bien constaté, sans le moindre doute l’existence de ce phénomène. 


De même, l’association indépendante et citoyenne Luxembourgeoise “European Forum for Vaccin Vigilance” a mené un test, une étude en double aveugle portant sur un panel de 60 personnes composé de 30 personnes vaccinées et de 30 autres personnes non- vaccinées afin de vérifier ce phénomène de magnétisme au point d’injection. Le résultat de l’expérimentation est sans appel, le phénomène de magnétisme chez les vaccinés s’est bien produit sur 29 des 30 vaccinés, tandis que dans le groupe des non-vaccinés, le nombre de personnes présentant une attraction à l’aimant était de 0. La vaccination induit donc un champ électromagnétique et plus les individus ont été vaccinés tôt, plus ils dégagent un champ fort. L’expérimentateur a décidé de ne pas poursuivre l’expérience plus avant, car cela était trop éprouvant tant humainement, que psychologiquement. Il n’arrive plus à faire face au désarroi et à l’impuissance des gens qui constatent impuissant le phénomène, dont le visage se pétrifie lorsqu’ils réalisent qu’ils ont été injectés avec une substance dont ils ne savent finalement rien : «Les individus s’intéressent à l’expérience par curiosité et puis quand ils voient que l’aimant s’accroche à leur peau, ils deviennent dubitatifs dans un premier temps, puis d’un coup ils deviennent froids. Certains d’entre eux deviennent même extrêmement nerveux, voir complètement sous le choc. Les personnes s’interrogent sincèrement sur le fait de voir comment un aimant peut adhérer à leur peau aussi facilement que celui-ci adhère à un poteau métallique.» De leur côté, fidèles à eux-mêmes, lorsque les vidéos de témoignages ont commencé à fleurir sur les réseaux sociaux, les médias officiels se sont empressés de crier à la Fake-News et de tourner la chose en totale dérision. Pourtant, ces nombreux témoignages, qui émanent du monde entier, sont d’autant plus crédibles que toutes ces personnes qui en font état ne peuvent être taxées d’anti-vax primaires, puisqu’elles sont allées se faire vacciner en toute confiance et sans même y êtres forcées…

D’après l’experte médicale depuis plus de vingt années, la Dr. Jane Rubyce phénomène de magnétisme aurait été introduit délibérément dans ces nouveaux vaccins à ARN Messager et il y aurait toute une littérature scientifique à ce sujet. Cela s’expliquerait par la volonté d’utiliser ce mécanisme d’administration plus agressif afin de le faire pénétrer dans toutes les cellules du corps. «C’est un procédé appelé “Magnetofection”. Toutes ces informations sont facilement disponibles, vous pouvez faire vos recherches, vous pouvez regarder le site du gouvernement, PubMed pour lire les publications révisées par des pairs qui ont été publiées, au sujet de cette science particulière. Ils utilisent ces champs magnétiques au moyen de différents produits chimiques pour concentrer l’ARN, l’ARN Messager dans les cellules des gens. Alors en fait, cela fait partie d’une nanoparticule lipidique. C’est un super système d’administration et d’intégration. Il y a des endroits dans votre corps ou d’autres ADN ou ARN ne devraient pas pouvoir aller. Et pourtant avec cette technique, cela force le matériel, l’ARN Messager codant, à forcer les cellules à produire encore et encore cette dangereuse protéine Spike dans votre corps. C’est en fait un système d’administration de gènes forcés. Vous allez entendre parler de quelque chose de plus en plus, quelque chose qui s’appelle SPION, un acronyme qui veut dire Nanoparticule d’oxyde de fer super-paramagnétique. L’endroit où ils ajoutent cette technologie de champ magnétique est à l’intérieur et autour de l’enveloppe de nanoparticule lipidique, afin que l’ARN Messager entre dans vos cellules. Il y a une société qui s’appelle  “Chemicell”, à Berlin en Allemagne et je cite la société : Les réactifs de “Magnetofection”, ainsi que tous les composants sont développés et vendus seulement pour une utilisation en recherche. Ils ne sont pas connus pour le diagnostic humain ou pour tout médicament destiné à l’homme.» 


En effet, dans un article de 2014 publié sur le site du NIH, le National Library of Medecine, nous avons bien la confirmation de cette technique. Il est question de nanoparticules super paramagnétiques pour délivrer un Vaccin à ADN L’utilisation de ces Nanoparticules d’oxyde de fer super-paramagnétiques, permet de délivrer des gènes par magnétofection et d’améliorer l’efficacité de la délivrance de gènes à la fois in vitro et in vivo. Cela consiste à utiliser un pôle magnétique des nanoparticules vers les cellules voisines pour traverser la barrière et permettre à n’importe quels matériaux de pénétrer dans la cellule en utilisant le magnétisme. Ce serait la première application de ces nanoparticules et pourrait expliquer l’apparition du phénomène magnétique observé chez les vaccinés.

Mais ce magnétisme, outre de jouer le rôle d’une sorte de super-adjuvant accélérateur, n’est-il pas aussi peut-être là dans une optique de contrôle des masses ? Ces dernières années en neurosciences, l’optogénétique à fait de fulgurantes avancées. Il s’agit de la relation entre l’activité neuronale et le comportement, pour jouer à distance sur ces paramètres par le biais de la magnétogénétiqueIl serait alors possible d’activer ou de désactiver à distance certaines zones du cerveau, de cibler précisément certaines zones. Il est question de prendre le contrôle du système nerveux. Le magnétisme permet de produire des stimuli par ondes radio à des cibles situées en profondeur dans le corps, sans l’endommager.

Ces techniques ont déjà été éprouvées avec succès sur les souris, comme le rapporte un article datant de 2016 publié dans le Figaro, intitulé “La magnétogénétique permet de manipuler le cerveau à distance” : «Stimuler à distance un comportement est devenu une réalité grâce à une nouvelle technique, développée par des scientifiques américains de l’université de Virginie et détaillée dans la revue Nature Neuroscience. Les chercheurs ont mis au point une protéine, baptisée Magneto et capable d’activer les cellules nerveuses en présence d’un champ magnétique, puis l’ont introduite dans des neurones précis du circuit de la récompense chez des souris. Celles-ci ont alors montré une préférence marquée pour l’endroit où régnait un champ magnétique élevé. Les chercheurs ont ainsi fait la double démonstration du rôle joué par ces neurones et de la possibilité de les activer directement, instantanément et à distance par l’application d’un champ magnétique continu.»

En analysant au microscope optique et au microscope électronique le contenu de tous ces pseudos-vaccins de nouvelle génération, des chercheurs indépendants espagnols, le biostatisticien, microbiologiste et immunologue Martin Delgado et le docteur José Luis Sevillanoont fait une scandaleuse et édifiante découverte. Ces flacons contiennent dénormes doses de nanoparticules d’oxyde de graphène. Il en va de même pour les vaccins anti-grippaux, certains masques, pour les tests-PCR et les tests anti-géniques. Il s’agit d’un composé inorganique de carbone, sous forme de nanoparticules.

Le Dr Robert Young a dans son laboratoire analysé les ingrédients des vaccins contre le COVID-19 grâce à la microscopie électronique à transmission et à balayage et à la spectroscopie à rayons X à dispersion d’énergie. Dans son rapport d’analyse, il révèle que «les quatre sociétés pharmaceutiques n’ont pas fourni de divulgation complète à la FDA sur leur boîte de vaccin, leur fiche d’information ou leur étiquette pour bon nombre des ingrédients majeurs et/ou mineurs contenus dans ces soi-disant vaccins». Pourtant, en vertu du droit international par le Code de Nuremberg de 1947, l’information sur les ingrédients majeurs et mineurs de ces produits est essentielle pour qu’un consentement libre et éclairé puisse être possible. L’imposition sous la contrainte de ces produits à la demande de gouvernement ou d’employeurs est une violation caractérisée des droits de l’homme en vertu du Code de Nuremberg de 1947.


Cette analyse confirme bien la présence de bandes de graphène. Il conclut son analyse ainsi : Ces nouveaux médicaments produits par Pfizerle vaccin ARNm BioNTech, par Moderna-Lonza – le vaccin ARNm-1273, le vaccin Serum Institute Oxford Astrazeneca et le vaccin Janssen COVID-19, fabriqué par Janssen Biotech Inc, une société pharmaceutique Janssen de Johnson & Johnson, ne sont PAS des vaccins mais des médicaments nanotechnologiques fonctionnant comme une thérapie génétique. Le nom “vaccin” est probablement un escamotage (ruse) utilisé pour des raisons bureaucratiques et technocratiques afin de recevoir une approbation d’urgence, en ignorant toutes les règles normales nécessaires pour les nouveaux médicaments, en particulier pour ceux qui impliquent de nouveaux mécanismes nanotechnologiques qui n’ont jamais été développés ni expérimentés par l’homme, où que ce soit, à n’importe quel moment de l’histoire du monde. Tous ces soi-disant “vaccins” sont brevetés et leur contenu réel est donc tenu secret, même pour les acheteurs, qui, bien sûr, utilisent l’argent des contribuables. Ainsi, les consommateurs (les contribuables) n’ont aucune information sur ce qu’ils reçoivent dans leur corps par inoculation. L’humanité est maintenue dans l’ignorance en ce qui concerne les processus technologiques de nanoparticules impliqués, les effets négatifs sur les cellules du corps, mais surtout l’effet possible de la nano-bio-interaction magnétotoxique, cytotoxique et génotoxique sur le sang et les cellules du corps. Cette étude actuelle, qui consiste en une analyse directe des soi-disant “vaccins” susmentionnés à l’aide d’instruments technologiques à nanoparticules, révèle des informations troublantes et susceptibles de changer la vie des personnes concernées, concernant la vérité sur le contenu acide toxique réel de ces soi-disant vaccins. Les médicaments Pfizer, Moderna, Astrazeneca et Janssen ne sont PAS des “vaccins” mais des agrégats complexes de nanoparticules d’oxyde de graphène composés de divers nano-éléments fixés à des acides nucléiques génétiquement modifiés d’ARNm provenant de cellules animales ou vero et de cellules fœtales humaines avortées. Ces analyses révèlent aussi la présence de carbone, de soufre, d’oxygène, de chlorure d’azote et de plusieurs métaux toxiques comme le chrome et l’aluminium, mais aussi des parasites comme le Trypanosoma cruzi (maladie de Chagas) qui attaquent le cœur, l’œsophage, le côlon et tout le système nerveux périphérique et dont les personnes infectées meurent généralement d’insuffisance cardiaque. Il existe d’ailleurs un lien avec le VIH-1 puisque Trypanosoma cruzi est un inhibiteur du VIH

En 2015, une thèse relevait que le graphène est une nanoparticule bidimensionnelle d’épaisseur atomique présentant des propriétés uniques, qu’elles soient mécaniques, électriques ou thermiques. Il est transparent, supraconducteur, flexible et ultra résistant. Ceci ajouté à une faible densité et à une très grande surface spécifique, fait que l’ajout de graphène et de nanoparticules dérivées (oxyde de graphène, graphite exofilé) pour renforcer des matrices polymères est devenu un sujet d’études d’intérêt majeur dans le domaine des nanocomposites.

L’oxyde de graphène est un outil de disruption technologiqueindispensable à la révolution digitale, il est semble-t-il un composant incontournable qui doit participer à cette révolution globale. Le graphène semble être le matériel de pointe, incontournable pour paver la voie au transhumanisme, pour passer de l’homme au cyborg augmenté et pour faire la passerelle entre les hommes et le cloud, le nuage informationnel, nous connecter, nous emprisonner dans le système de contrôle numérique globalisé. Cela est sans doute à mettre en relation avec “la 4ᵉ révolution industrielle” qu’appelle de ses vœux Klaus Schwab qui devrait mener au transhumanisme, lui-même n’étant qu’une phase transitoire vers le post humanisme.

Dans cette dynamique révolutionnaire, l’Union européenne” a même lancé, depuis 2013, une initiative de recherche scientifique exclusivement consacrée au graphène et à ses propriétés révolutionnaires y compris pour des applications biologiques directement sur le corps humain. Baptisée “Graphene Flagship”, ce consortium universitaire et industriel est dotée d’un colossal budget de 1 milliard d’euros, d’une ampleur sans précédent

Il est possible d’utiliser des capteurs à base de graphène pour la surveillance de la santé humaine, y compris dans des capteurs portables flexibles non invasifs et dans des dispositifs invasifs. Les capteurs à base de graphène ont été explorés pour mesurer un large éventail de signes vitaux et de biomarqueurs du corps humain, qui sont très prometteurs dans un avenir prévisible pour des applications dans les soins de santé, la médecine personnalisée/préventive, le traitement des maladies et l’interaction homme-machine, comme avec des interfaces cerveau-ordinateur. Il a la faculté d’aller au cerveau et d’entourer les neurones. Ainsi, l’entreprise “Inbrain Neuroelectronics” développe par exemple, des solutions pour décoder les signaux émis par le cerveau et les nerfs grâce à de nouvelles interfaces neuronales basées sur le graphène. Grâce à ces technologies électroniques mini-invasives, il est possible à la fois de mesurer mais aussi de stimuler l’activité du cerveau.

Au tout début de la crise du COVID-19, en février 2020, une étude chinoise portant le titre de «Progrès récents de l’oxyde de graphène en tant que vecteur potentiel de vaccin et adjuvant» a été publiée. Dans cette publication, les scientifiques admettaient l’usage de l’oxyde de graphène en médecine. L’oxyde de graphène est largement utilisé pour l’administration de biomolécules. Il excelle dans le chargement et l’administration d’antigènes et montre le potentiel d’activation du système immunitaire. Petit problème, on peut aussi lire que : «Cependant, l’oxyde de graphène s’agrège dans le liquide biologique et induit la mort cellulaire, et il présente également une faible biosolubilité et biocompatibilité. Pour pallier ces limitations, divers protocoles de modification de surface ont été utilisés pour intégrer des substances compatibles aqueuses avec l’oxyde de graphène afin d’améliorer efficacement sa biocompatibilité.» Le graphène est très oxydant pour l’organisme, c’est un véritable poison : il s’attaque à l’équilibre du glutathion, une protéine naturellement produite par l’organisme, ce qui détruit le système immunitaire. Il a été démontré que les graphènes circulent très bien dans le sang et ont une grande facilité à passer la barrière hémato-encéphalique, la barrière placentaire et à s’accumuler dans les poumons, le foie, la vessie, les testicules, la moelle osseuse ou encore dans la rate… 

En outre, il faut savoir que la fréquence de ces graphènes vibre exactement et comme par hasard à la même fréquence que les ondes 5G. Il peut donc être excité à distance par ces ondes. Relevons au passage que la ville de Wuhan, premier foyer du COVID-19 dans le monde, était aussi une ville-pilote dans le déploiement de la 5G en Chine. Le graphène est toxique et cause des thromboses, il génère une coagulation du sang, il entraîne un risque de tempête cytokinique, il provoque une saveur métallique dans la bouche et la perte de l’odorat. Des symptômes qui recoupent en tout point ceux de la COVID-19 qui seraient causés par le SARS-CoV-2. Autrement dit, en prolongeant l’usage et l’imposition de ces dispositifs que sont les masques, les RT-PCR et les vaccins, qui polluent les organismes avec toujours plus de graphène, on favorise et on entretient l’apparition des symptômes de la pandémie, comme un cercle infernal sans fin ! Il introduit des propriétés magnétiques dans le corps et peut donc expliquer la présence du phénomène magnétique observé.

Il faut savoir que le magnétisme joue un rôle clé dans les recherches de la DARPA pour développer une interface/cerveau machine, sans chirurgie. Nous savons que depuis des décennies, certains groupes au sein de la CIA, du Pentagone, de la DARPA, de la NSA, de l’ONI, du CFR, de “l’Institut Tavistock”, de “l’école de Francfort”, de “Princeton” ou encore du MITsont activement plongés dans des recherches portants sur le comportement humain, afin d’arriver à complètement le contrôler, voire à en changer son essence. Imaginer que depuis tant d’années, ils ont consacré autant d’énergie pour développer toutes ces technologies, non sans avoir l’intention de les utiliser un jour parait bien naïf.

On peut entre autre faire référence au “Projet Pandora”, une étude top secrète initiée en 1965 et menée par la DARPA. Il s’agissait d’étudier les effets de faibles niveaux de rayonnement micro-ondes. Le projet a été lancé après que le gouvernement américain ait découvert que les Soviétiques diffusaient des micro-ondes à son ambassade à Moscou pour rendre les employés fous. Le but était de diriger le comportement des soldats en guerre, en leur faisant entendre des voix dans leur tête, grâce à la création de champs électromagnétiques. Il y a vingt-cinq ans, le Biologiste médical Ross Adey, qui fut impliqué sur ce projet décrivait comment les cellules «peuvent chuchoter ensemble à travers la barrière des membranes cellulaire». De tels messages, croyait-il, pourraient contrôler des processus biologiques complexes. De plus, Adey a soutenu que le rayonnement électromagnétique externe pouvait également activer, submerger ou brouiller de tels processus. Ceux-ci sont plus communément appelés effets non thermiques. 

En 2014, dans l’une de ces conférences, “Hacker le Cerveau, la menace ultime ?”Laurent Alexandre nous dévoile l’avenir programmé du neurobusiness, qui ambitionne de créer le “cerveau 2.0” du nouvel homme. Il est question de violer le sanctuaire des cerveaux, de sélectionner les cerveaux, de hacker les cerveaux et même de modifier les souvenirs… “Total Recall” de Philip K. Dick n’est décidément plus très loin.

En 2016, le transhumaniste en chef et futurologue, Ray Kurzweil de chez Google, affirmait que les humains auront des cerveaux “hybrides”, alimentés par le cloud d’ici à 2030. Dans l’avenir, l’homme et la machine ne seront plus des entités séparées. À ce moment, nos cerveaux pourront être connectés directement aux ressources d’internet via le “cloud” par des puces implantées. Nous serons des humains “augmentés” par l’implantation de relais. Progressivement, prévoit Kurzweil, la partie “non biologique” de notre cerveau finira par comprendre et donc par dominer l’autre. Nous serons alors devenus des hybrides hommes-machines. Et la séparation entre intelligence humaine et intelligence artificielle cessera d’être pertinente. Notre pensée elle-même sera devenue une pensée hybride. D’ici 15 ans, les humains se verront implanter des nanobots qui connecteront leur cerveau à Internet, permettant une cognition considérablement accélérée. Dix ans plus tard, la plupart de nos réflexions «se feront en ligne».

De plus, dans une conférence au titre éloquent : Le futur serait-il humain ? Yuval Noah Hararihistorien et philosophe Israélien parlait explicitement du piratage du vivant : «Nous pouvons pirater, non seulement des ordinateurs, mais aussi des êtres humains et d’autres organismes. Ces organismes, qu’il s’agisse de virus, de bananes ou d’êtres humains, ne sont en fait que des algorithmes biochimiques et nous apprenons à déchiffrer ces algorithmes. Quand la révolution de l’info technologique fusionne avec la révolution de la biotechnologie, ce que l’on obtient est la possibilité de pirater un être humain. Qu’est-ce dont vous avez besoin pour pirater un autre humain ? Vous avez besoin de deux choses : vous avez besoin de beaucoup de puissance de calcul, et vous avez besoin de beaucoup de données, et surtout des données biométriques. Pas des données sur ce que j’achète ou là où je vais, mais des données sur ce qui se passe dans mon corps et dans mon cerveau. Et peut-être que la plus importante des inventions, pour la fusion de l’info tech et de la biotech, est le capteur biométrique, qui traduit les processus biochimiques du corps et du cerveau en signaux électroniques qu’un ordinateur peut stocker et analyser. […] Aujourd’hui les données sont le bien le plus important au monde. Ceux qui contrôlent les données contrôlent le futur, non seulement celui de l’humanité mais aussi celui de la vie elle-même. Une fois que vous avez acquis suffisamment d’informations biométriques et assez de puissance de calcul, vous pouvez créer des algorithmes qui me connaissent mieux que moi-même. Vous ne pourrez pas vous cacher d’Amazon, d’Alibaba, et de la police Secrète.» En janvier 2020, Yuval Noah Harari est aussi intervenu au “Forum Economique Mondial” de Davos en posant une terrifiante équation pour définir ce à quoi va ressembler la vie au 21ᵉ siècle. Cette équation était composée des connaissances biologiques, qui sont multipliées par la puissance de calcul informatique, qui sont multipliées par le nombre de données recueillies, ce qui confère la possibilité de pirater et de tracer les êtres humains. Ainsi Harari affirme que : «Si vous disposez d’assez de ces connaissances, vous pouvez pirater le cerveau et le corps humain et vous êtes en mesure de comprendre et connaitre mieux l’individu qu’il ne se connait lui-même. Ainsi, vous pouvez connaitre mon profil psychologique et mes orientations politiques, mes préférences, mes faiblesses, mes peurs et mes espoirs. Vous pouvez le faire pour tout le monde. Il est aussi possible d’anticiper les prises de décision des individus, voire même de les manipuler. Dans le passé, beaucoup de gouvernements avaient ces ambitions de contrôle des masses, mais ils ne connaissaient pas la biologie assez bien et personne ne disposait encore de la puissance informatique nécessaire pour pirater des millions de gens. Ni la Gestapo, ni le KGB pouvaient le faire. Mais bientôt, au moins quelques corporations privées et gouvernements seront en mesure de pirater les gens à très grande échelle. Il va falloir que nous nous fassions à l’idée que nous ne sommes plus des âmes mystérieuses pour les gouvernements, mais nous sommes devenus du bétail traçable.»

De même, dans une conférence de 2017 intitulée Thinking Digital, le Dr Julian Sanchezagrégé de génie biomédical et de neurosciences travaillant à la DARPA affirmait que : «Pour une personne comme moi, le cerveau n’est pas seulement une boîte noire, il n’est pas seulement cette masse entre les deux oreilles : c’est un signal très complexe et élégant de tous ces neurones. Ce que nous faisons à la DARPA, c’est développer la technologie permettant de détecter ces signaux en temps réel, et même d’écrire des signaux dans le cerveau.»

Tous ces scientifiques de premier plan font clairement référence à une communication entre notre corps et quelque chose d’extérieur. Si nous les laissons aller au bout de leur folie, nous serons semblables des souris de laboratoire dans leur boîte, comme dépossédés de nous-même, réagissant à des stimuli étrangers artificiels, qui ne viendront plus de notre esprit ou de notre cœur, de notre volonté naturelle, mais d’un monstre créé ad hoc, peut-être situé sur un satellite lointain !

Dans le monde rêvé et tant fantasmé de nos pseudo-élites, tout sera bientôt interconnecté, tant les humains, que les objets, les machines ou les infrastructures, et tout pourra être piloté et contrôlé d’une manière efficace, rationalisée et centralisée, à l’aide de la puissance de l’Intelligence Artificielle… Dans cette nouvelle société, plus rien ne doit échapper à l’emprise de l’empire technologique qui doit coloniser et embrasser tous les espaces, tous les objets, tous les êtres. C’est le grand rêve d’une société cybernétique telle que l’avait théorisée Norbert Wiener, le père de cette discipline. Dans la langue de la cybernétique, l’univers n’est plus composé que d’informations, de messages et de codes, qui sont organisés par la communication. Ce système de pensée n’établit plus aucune nuance qualitative entre deux objets ou sujets, entre le vivant et le non-vivant, mais ne s’intéresse qu’à l’aspect quantitatif. L’univers n’étant alors plus qu’une vaste abstraction mathématique, que l’on peut modéliser. Toute réalité pouvant se réduire à une série de chiffres et d’équations… Ils ambitionnent d’appliquer la science des systèmes aux collectivités humaines.

Ainsi dès 2008, le patron d’IBM, Sam Palmisano décrivait ce nouveau monde : «Les infrastructures numériques et physiques du monde sont en train de converger. Nous mettons la puissance informatique au service de choses que nous n’aurions jamais reconnues avant comme étant des ordinateurs. En réalité presque tout, qu’il s’agisse d’une personne, d’un objet, d’un processus, ou d’un service pour une organisation, publique ou privée, grande ou petite peut devenir sensible à la réalité numérique et faire partie d’un réseau.» 

D’où la nécessité d’avoir conjointement à cette pseudo-pandémie, pendant le premier confinement,  déployé en catimini le réseau 5G  pour pouvoir faire circuler de telles faramineuses quantités d’informations… En effet, pourquoi a-t-on assisté en toute urgence au déploiement massif de ce réseau, avec sa pléthore de satellites, ses milliers d’antennes relais et ses millions de capteurs, si ce n’est pour mettre en place un réseau de contrôle planétaire, une sorte de toile d’araignée géante, un dispositif de contrôle des populations ? À l’internet des objets, dont nous parlent les scientifiques officiels de la 5G, il faut sans doute ajouter l’internet des personnes. Autrement dit, ils vont nous transformer de force en transhumains, porteurs de milliers ou de millions de ces nanoparticules, qui vont progressivement s’assembler et contrôler l’activité de nos neurones. Tous ces gouvernements sont tellement soucieux de notre santé qu’ils s’empressent de permettre l’implantation et le déploiement massif de ces antennes 5G, alors même que de nombreuses études et avis scientifiques démontrent sans la moindre équivoque sa dangerosité extrême. Mais il faut croire que pour ces apprentis dictateurs, les outils de la prochaine Dictature Numérique sont la priorité absolue.

Et pour ceux qui seraient encore dubitatifs sur cette folle réalité, je rapporte l’allocution surréaliste que le président du Chili, Sebastián Piñera, a prononcée devant un large public, en compagnie des ministres des Transports, des Communications et des Sciences, concernant le processus d’appel d’offres pour le réseau 5G : « […] C’est la possibilité que les machines puissent lire nos pensées, et peuvent même insérer des pensées, insérer des sentiments. Certains disent que la meilleure façon de prédire l’avenir est de l’inventer. Eh bien… c’est ce à quoi nous aspirons tous. La 5G est un énorme bond en avant, c’est un bond cosmique, Copernicien, car ce que la technologie 5G va vraiment signifier, c’est un changement encore plus grand dans nos vies que ce que toutes les technologies précédentes ont signifié dans ce domaine : la possibilité que les machines puissent lire nos pensées et peut-être même insérer des pensées, insérer des sentiments. Et cela va changer nos vies et la 5G va se transformer en véritable système nerveux de notre société. Tout comme le nôtre. Je me demande à quel point le cœur bat pour la survie humaine : il est vital. Personne ne s’inquiète que le cœur bat; il existe un système intelligent dans notre corps qui permet à plusieurs organes d’exécuter des fonctions extrêmement sophistiquées avec une coordination parfaite. Et très peu de décisions viennent à notre conscience. La plupart sont prises par ce système nerveux de manière autonome et intelligente. La même chose se produira dans de nombreuses autres sphères de notre vie, grâce à cette technologie. Et un impératif dont l’urgence et l’importance ne nécessitent pas de deuxièmes lectures, pour moderniser notre État, afin que ce soit un changement qui parvienne à tous les foyers de notre pays.»

Le prêtre Teilhard de Chardin, un scientifique théologien et philosophe français, que l’on surnommait “le Darwin Catholique” précurseur des idées transhumanistes, était très favorable sur l’émergence des ordinateurs et sur la toute jeune science de la cybernétique. Il a jeté les bases des aspirations à la création d’une super intelligence artificielle consciente. Selon lui, le Phénomène humain, porté par le caractère inéluctable du progrès de l’évolution, s’achèvera vers une transhumanité, «lorsque les consciences, mises en réseau les unes avec les autres, créeront de facto, une sorte de super-être.» Il définit ce concept comme étant, la Noosphère, qui prendrait corps à mesure que l’humanité se connecte et s’organise en des réseaux sociaux plus complexes. Ce processus trouvant son aboutissement ultime dans ce qu’il a appelé le Point Oméga, qui postule que tous les organismes sur Terre atteindront un point d’évolution supérieur, en fusionnant en un “esprit planifié”. Lorsque les humains fusionneront leur intelligence collective en un super-esprit, grâce à la technologie informatique, comme première étape nécessaire dans l’évolution collective de l’univers. Ce serait la dissolution de tout être humain dans le Grand Tout, le Plérome des “Gnostiques”. Rappelons-nous des paroles de Dieu dans les écritures : «Je suis l’Alpha et l’Oméga, dit le Seigneur Dieu, celui qui est, qui était, et qui vient, le Tout-Puissant.» Ces hommes, emportés dans leurs délires et portés par leur suprême orgueil comptent donc bien prendre la place du créateur à la fin des temps… L’idéologie sous-tendue par ces évolutionnistes est donc en dernière instance, au dernier stade de l’évolution, d’en finir avec Dieu pour prendre sa place.

Cela évoque aussi le livre “Robot Dreams” de l’auteur de science-fiction et professeur de biochimie Isaac Asimov, dans lequel l’humanité fusionne sa conscience collective avec sa propre création : un ordinateur cosmique tout-puissant. L’intelligence qui en résulte passe l’éternité à déterminer si «The Last Question» peut trouver une réponse, à savoir «L’entropie peut-elle être inversée ?» Lorsque le renseignement découvre que l’entropie peut être inversée, il le fait avec le commandement : «QUE LA LUMIÈRE SOIT».

Pour citer les propos d’Elon Musk, le patron de “Tesla” et de “Space X” sur l’Intelligence Artificielle : «Avec l’intelligence artificielle, nous invoquons un démon.»

Elon Musk met aussi en garde l’humanité : «L’intelligence Artificielle pourrait stimuler la création d’un véritable robot dictateur qui pourrait gouverner l’humanité à jamais. [] Au moins, lorsqu’il y a un dictateur diabolique humain, il finira par mourir. Mais pour une I. A., il n’y a pas de mort – elle pourrait vivre éternellement. Nous aurions alors un dictateur diabolique immortel, dont nous ne pourrions jamais nous débarrasser. [] Nous nous dirigeons rapidement vers une super-intelligence numérique qui dépasse de loin tout humain. Je pense que c’est évident !»

Si cette Intelligence Artificielle supplante celle de l’homme, alors nous en perdrons tout contrôle et nous nous retrouverons plongés dans le mythe de Frankenstein, ou dans celui du Golem de Prague, où ces monstres artificiels, créés par l’ambition Prométhéenne de l’homme, finissent par vouloir détruire leurs propres créateurs.

C’est d’ailleurs ce type de scénario qui est exposé dans le film “Transcendance” de Wally Pfister, où une super Intelligence Artificielle investie et prend le contrôle de tous les réseaux liés à Internet, du nuage informationnel, ce qui lui permet de devenir omnipotente, et de s’élever en véritable despote virtuel insaisissable et surpuissant. Cette intelligence arrive même à prendre le contrôle de la matière, un peu comme si la pensée devenait créatrice ! Dans cette perspective, on peut même imaginer plus tard un système de contrôle intégral, où les hommes seraient connectés à une Intelligence Artificielle globale, capable de tout surveiller, comme un nouveau Dieu. Dans une perspective religieuse, ce serait alors la mise en place et l’avènement d’une sorte d’Antéchrist super-technologique incarné dans la matière.

Cette entité toute puissante disposerait alors de toutes les caractéristiques traditionnellement attribuées à Dieu, à savoir :

  • L’omnipotence, puisqu’il pourrait tout faire en contrôlant la matière par le biais des nanotechnologies et du réseau mondial ;

  • L’omniprésence, puisqu’il serait partout à travers les caméras disséminées partout ;

  • L’omniscience, puisqu’il saurait tout, en étant capable de lire jusque dans les pensées les plus intimes des gens ;

Une telle entité aurait la puissance de soumettre l’intégralité des hommes à sa propre volonté et à son monde aux valeurs sataniques.

Pour souligner encore cette dimension religieuse sous-jacente de ces courants technophiles, on peut faire mention du cas d’Anthony Lewandowski de la “Silicon Valley”, l’inventeur de la voiture autonome, qui a fondé aux États-Unis, une nouvelle organisation religieuse, appelée “Way of the future”, la voie du futur, qui fait de l’Intelligence Artificielle une divinité, censée améliorer la société.

Si tout cela semble relever de la pure science-fiction, il suffit de prêter une oreille attentive aux propres déclarations et aux écrits des élites de ce monde pour comprendre qu’il s’agit bien du genre de délires technologiques, idéologiques et d’hubris qui les anime profondément. De Jacques Attali qui nous vantait les mérites du puçage humain, en passant par Laurent Alexandre, qui compte bien triompher de la mort avec son livre “La mort de la mort”, par Ray Kurzweil le patron de “Google” et chantre du “transhumanisme”, par Elon Musk qui compte bien nous implanter Internet directement dans le cerveau, pour finir par Klaus Schwab qui se propose le plus naturellement du monde de fusionner notre identité physique, numérique et biologique pour rentrer dans “La quatrième révolution industrielle” ! Soit un pur délire transhumaniste. Ces individus-là sont décidément hors-sol et ont manifestement perdu tout sens des réalités et des limites… Et malheureusement pour nous, ce sont eux qui sont aux manettes de notre société. Force est de constater que nous sommes bien dirigés par des psychopathes de très haut calibre, tant dans le domaine politique, scientifique, médical que médiatique.


Le tropisme eugéniste des élites mondialistes

«Pour pouvoir stabiliser la population mondiale, il serait nécessaire d’éliminer 350 000 personnes par jour. C’est une chose horrible à dire, mais c’est tout aussi horrible de ne pas le dire.»  Jacques Cousteau, dans le Courrier, une publication de l’UNESCO

«Nous pouvons arriver au point où le seul moyen de sauver le monde sera l’effondrement de la civilisation industrialisée.»Maurice Strong

Par ailleurs, il n’est vraiment pas rassurant de se rendre compte que ceux qui ont financé les recherches sur ces pseudos-vaccins sont des eugénistes Malthusiens qui prônent explicitement un contrôle et une limitation de la population humaine… Il faut bien avoir conscience que le point commun entre les plus riches et influents acteurs actuels du philantro-capitalisme, de Bill Gates à Georges Soros, en passant par David Rockefeller, Warren Buffet ou Jeff Bezos est de partager l’idéologie du néo-malthusianisme et de la dépopulation !

Comme après l’épisode du “Troisième Reich”, l’eugénisme avait très mauvaise presse dans l’opinion, il fallait bien lui donner un nouveau visage, plus respectable… Ces mondialistes, profondément préoccupées par l’amélioration et l’avenir de l’homme ont alors, sous l’impulsion de Julian Huxley, un farouche eugéniste, postulé que l’écologie serait un excellent moyen de parvenir à leurs fins… Car, qui peut en effet, raisonnablement être contre la protection de l’environnement, la limitation de l’exploitation des ressources de la planète, ou la lutte contre la pollution ? Dès 1946, Julian Huxley, le premier directeur général de l’UNESCO, confirmait cette manœuvre avec cette déclaration sans équivoque : «S’il est vrai qu’une politique eugénique radicale sera politiquement et psychologiquement impossible pendant de nombreuses années, il sera important pour l’UNESCO de veiller à ce que le problème eugénique soit examiné avec le plus grand soin et que le public soit informé sur le sujet en question, afin que tout ce qui semble impensable aujourd’hui puisse au moins redevenir pensable.» Déjà à leur époque, les nazis, avaient déguisé l’eugénisme en “science de la santé héréditaire” ou en “soins héréditaires” pour le rendre acceptable pour les masses.

Dans l’idéologie et le discours actuel, il s’agit de désigner l’homme et son activité comme principal responsable de la destruction de la planète, comme avec le réchauffement anthropique, afin de promouvoir la dénatalité et la réduction drastique de la population, alors que le cœur même du problème est de toute évidence le modèle marchand d’hyper-consommation à outrance. Même si l’écologie est une préoccupation majeure absolument capitale qui devrait alarmer tout le monde, étant donné l’état déplorable général de la planète, il faut donc bien avoir conscience qu’elle est bien souvent le visage respectable et humain qu’ont trouvé nos élites, pour couvrir d’un voile pudique et plus acceptable, leur mentalité profondément eugéniste, parfois même directement et cyniquement assumée !

Au passage, il faut savoir que Julian Huxley était le frère d’Aldous Huxley, l’auteur de l’incontournable “Meilleur des Mondes”. Ce roman n’était pas un simple récit dystopique, mais la formulation d’un projet politique, la proposition d’une nouvelle société reflétant les aspirations profondes de ces milieux mondialistes, comme Aldous Huxley l’avait lui-même avoué lors d’une conférence à Berkley. Un monde dont il était non pas un farouche opposant et un critique, mais un fervent partisan. Dès lors, on ne s’étonnera pas de voir le monde décrit dans ce livre devenir de plus en plus une réalité au cœur de notre société… Huxley affirmait au sujet de l’avenir «Il me semble parfaitement plausible qu’il y ait, dans une ou deux générations, un moyen pharmacologique pour que les gens aiment leur servitude, produisant ainsi une sorte de camp de concentration pour des sociétés entières afin que les gens privés de liberté aiment ça, parce qu’ils auront perdu tout désir de se révolter grâce à la propagande, le lavage de cerveau provoqué par des méthodes pharmacologiques.»

Pour comprendre cette liaison étroite entre écologie et eugénisme, on peut par exemple faire référence aux déclarations eugénistes de David Ross Brower, un écologiste et environnementaliste très connu aux États-Unis, fondateur de nombreuses organisations environnementales, dont le “Sierra Club Fondation” dont voici une éloquente citation : «La grossesse devrait être un crime punissable contre la société à moins que les parents aient une licence du gouvernement. Tous les parents potentiels devraient être tenus d’utiliser des contraceptifs chimiques et des antidotes seraient données par le gouvernement aux citoyens choisis pour procréer.»

Dans la même veine, on peut se référer à Philip Cafaro, professeur à l’Université d’État du Colorado, qui dans un article intitulé “Ethique du climat et politique de la population” affirme que «Mettre fin à la croissance de la population humaine est presque certainement une condition nécessaire (mais non-suffisante) pour prévenir un changement climatique mondial catastrophique. En effet, une réduction significative du nombre humain actuel peut être nécessaire pour le faire.»

Bien plus récemment et dans ce même état d’esprit, on pourra aussi relever le livre très révélateur “Permis de procréer” d’Antoine Buéno, un proche du pouvoir, conseillé au Sénat chargé du suivi de la Commission du Développement durable. Dans ce livre choc, ce croisé de la dénatalité défend l’idée que pour des raisons écologiques il faudrait réguler drastiquement la population en mettant en place un contrôle des naissances fondé sur un contrat de parentalité à l’échelle nationale, avec l’introduction d’un marché mondial des droits à procréer !

De son côté, Le premier, ministre britannique Boris Johnson a déclaré que : «Le principal défi de notre espèce est de se reproduire elle-même… Il est temps que nous ayons une discussion adulte sur la quantité optimale d’êtres humains dans ce pays et sur cette planète… Les preuves montrent que nous pouvons contribuer à réduire la croissance démographique et la pauvreté dans le monde en favorisant l’alphabétisation, l’émancipation des femmes et l’accès au contrôle des naissances.»

Nicolas Sarkozy a lui aussi fait part de ses inquiétudes relatives à la croissance démographique dans un discours au MEDEF en 2019 : «Le Choc n’est pas un choc climatique, il y a un dérèglement climatique évident auquel il faut apporter une réponse, mais le plus grand choc mondial, c’est le choc démographique. Des dérèglements climatiques, le monde en a connu, qui on conduit pour certain à la disparition de plus de 80% des espèces du vivant. Mais un choc démographique comme celui que nous sommes en train de vivre, le monde ne l’a jamais connu, JAMAIS ! […] Le sujet démographique est un sujet, mais monumental, tectonique ! […] Si on n’agit pas très rapidement, on va devant d’une catastrophe extravagante. La question combien d’êtres humains peuvent-ils vivre en même temps sur cette planète ?»

Nina Fedoroff, l’une des conseillères clé d’Hillary Clinton affirmait que «Nous devons continuer à réduire le taux de croissance de la population mondiale. La planète ne peut pas supporter beaucoup plus de gens.»

Thoraya Ahmed Obaid, la Secrétaire générale adjointe de l’ONU de 2000 à 2010, avait de son côté déclaré que : «Nous ne pouvons pas faire face aux défis énormes de la pauvreté, de la faim, des maladies et de la destruction de l’environnement si nous ne réglons pas les problèmes de population et de santé génésique.»

 

Il est aussi particulièrement intéressant et révélateur de prêter une oreille attentive aux déclarations ultra-cyniques, de certains puissants de ce monde, comme celles, proprement édifiantes du Prince Philip de Mountbatten, le duc d’Édimbourg, cofondateur du “World Wild Found”, l’ONG représentée par un adorable panda, qui confiait que : «Si j’étais réincarné, j’aimerais l’être sous la forme d’un virus mortel afin de contribuer à résoudre le problème de la surpopulation.» Espérons pour nous qu’il ne s’agisse pas là d’une prophétie et qu’il ne se réincarne en “COVID-PHILIP-21”, puisque ce dernier vient tout juste de passer de vie à trépas, à l’âge de 99 ans. Le WWF a placé parmi ses objectifs principaux, la réduction de la population mondiale, surtout dans les nations développées, les fonds nécessaires étant fournis par les Rockefeller pour laquelle l’eugénisme est une tradition familiale… Ainsi, feu David Rockefeller affirmait : «L’impact négatif de la croissance démographique sur tous nos écosystèmes planétaires devient de plus en plus évident.»

De même, le mathématicien Bertrand Russell, de la “Fabian Society” et de la “London School of Economics”, qui dans une vision scientiste et rationaliste souhaitait que la Mort noire, c’est-à-dire la peste, frappe le monde à large échelle à chaque génération, de façon à ce que les survivants «puissent procréer librement sans sur-peupler trop le monde.» En 1931, dans son essai, “The Scientific Outlook” il faisait la déclaration eugéniste suivante : «On doit supposer que pour chaque génération, 25 pourcents des femmes et 5 pourcents des hommes seront sélectionnés pour être les parents de la prochaine génération, et le reste de la population sera stérilisé.» Il affirmait aussi que : «Il y a trois façons de stabiliser la population. La première est celle du contrôle des naissances,la deuxième celle de l'infanticide ou des guerres vraiment destructrices,et la troisième celle de la misère générale sauf pour une minorité puissante…» Dans l’esprit de Russell, ce techno gestionnaire globaliste, il faut mettre un terme à la famille qui est une source d’attachement irrationnel, pour préférer une gestion directe des individus par l’État mondial scientifique.

Francis Crick, qui fut le Prix Nobel de 1962, pour sa découverte du génome humain, déclarait de son côté : «Aucun enfant nouveau-né ne devrait être reconnu humain avant d’avoir passé un certain nombre de tests portant sur sa dotation génétique [] S’il ne réussit pas ces tests, il perd son droit à la vie.»

Quant à Warren Buffett, troisième fortune mondiale au classement “Forbes”, avec ses 82,5 milliards de dollars, il avait aussi déclaré que, je cite : «Il y a une lutte des classes, bien sûr, mais c’est ma classe, celle des riches, qui fait la guerre. Et nous gagnons !» Au regard de la situation générale actuelle, on ne peut que lui donner raison… Précisons au passage que c’est ce même grand humaniste devant l’éternel, qui se préoccupe tant de notre bonne Santé qui dirige aux côtés de Bill Gates, “La Fondation Bill & Melinda Gates”… Voilà qui n’est pas des plus rassurants !

Les propos de Ted Turner, le grand magnat des médias, fondateur de CNN et donateur d’un milliard de dollars aux Nations Unies sont aussi édifiants puisqu’il estime pour sa part «qu’une population totale de 250 à 300 millions de personnes, soit une diminution de 95 % par rapport au niveau actuel, serait idéale.»

Parmi ces adeptes absolument décomplexés de la dépopulation, on peut aussi faire référence à John Holdren, l’ancien conseiller d’Obama pour les sciences et les technologies. Surnommé le “Tsar de la science”, il est l’auteur du livre “Ecoscience – Population, Resources, Environment” qui fut publié en 1977 et dans lequel il déclare explicitement que la population mondiale optimale serait d’un milliard. Pour y arriver, il prônait des avortements forcés, de la stérilisation de masse, la diffusion de drogues dans l’approvisionnement d’eau et la mise en place de permis de naissance… Tout un programme ! Et cerise sur le gâteau empoisonné, il parle lui aussi d’un gouvernement supranational, un régime planétaire qui imposerait une population maximum dans les différentes zones du monde. Soit le programme du meilleur des mondes.

L’ancien conseiller scientifique du président George W. Bush, auteur de l’essai “The Population Bomb”, Paul R. Ehrlich déclarait la chose suivante : «La résolution du problème de la population ne résoudra pas les problèmes du racisme… du sexisme… de l’intolérance religieuse… de la guerre… de l’inégalité économique flagrante. Mais si vous ne résolvez pas le problème de la population, vous ne résoudrez aucun de ces problèmes. Quel que soit le problème qui vous intéresse, vous ne pourrez le résoudre que si vous résolvez également le problème de la population.» ou encore «Une population mondiale de cinq cents millions d’hommes, moyennant quelques changements technologiques minimes et quelques changements radicaux dans le rythme d’utilisation et la répartition des ressources mondiales, on résoudrait sans doute la crise écologique.»

De même la biologiste Penny Chisholm, professeure au MIT, le Massachusetts Institute of Technology” affirmait que : «Le vrai truc, pour tenter de se stabiliser à un niveau inférieur à ces 9 milliards, est de faire chuter les taux de natalité dans les pays en développement aussi vite que possible. Et cela déterminera le niveau auquel les humains se stabiliseront sur la terre.»

Sir David Attenborough, le célèbre rédacteur scientifique, écrivain et naturaliste britannique déclarait que : «On ne peut plus permettre à la population humaine de croître de la même manière incontrôlée. Si nous ne prenons pas en charge la taille de notre population, la nature le fera pour nous.» ou bien qu’ «Au lieu de contrôler l’environnement de la planète pour le bénéfice de la population, peut-être devrions-nous contrôler la population pour assurer la survie de notre environnement.»

Quant à Thomas Ferguson, l’ancien responsable du Bureau des affaires de la population du Département d’État américain”, il affirmait que : «Tous nos travaux ont un thème unique : nous devons réduire les niveaux de population. Soit les gouvernements agissent à notre façon, avec des méthodes propres et agréables, soit ils obtiennent le genre de dégâts que nous avons en El Salvador, en Iran ou à Beyrouth. La population est un problème politique. Une fois la population incontrôlable, il faut un gouvernement autoritaire, voire fasciste, pour le réduire…»

En octobre 2021, Lord Adair Turner, l’ancien président de la Commission britannique sur les transitions énergétiques, a aussi reconnu que l’élite souhaite que la population de la Terre diminue dans les années à venir. «Mais l’arrêt d’une croissance démographique sans fin permettra également de réduire la pression future de l’humanité sur l’environnement naturel, d’atténuer le défi que représente la fourniture de logements adéquats et de faciliter la réalisation d’émissions nettes de gaz à effet de serre nulles tout en soutenant la croissance de la prospérité dans les pays en développement.» Lui-même père de cinq enfants, il a également suggéré que les «droits de fertilité» pourraient être commercialisés afin d’inciter les personnes pauvres à ne pas avoir d’enfants en tirant profit de la vente de leur crédit d’enfant à des personnes plus riches.

Les élites sont depuis longtemps très préoccupées par la révolution démographique, comme on peut le voir dès les années soixante, avec le fameux Rapport Meadows : Les limites de la croissance qui fut publié en 1972 par le groupe de réflexion mondialiste du Club de Rome. Ce club de réflexion était financé par la famille Rockefeller. Ce rapport alarmant mettait déjà en exergue les dangers de la croissance démographique. Ils avaient pronostiqué à l’horizon 2020 une rupture des énergies fossiles, avec une possibilité d’effondrement de la civilisation. On peut aussi faire mention du sommet de la terre à l’ONU, avec les interventions de Maurice Strong, le secrétaire général de la Conférence des Nations unies sur l’environnement. Il est vrai que nous sommes tout de même passés en 50 ans de 2 à près de 8 milliards d’habitants… Ce dernier affirmait que : «Soit nous réduisons volontairement la population mondiale, soit la nature le fera pour nous, mais brutalement.» La pensée de Strong a grandement inspirée celle de Klaus Schwab qui le considère comme un grand ami et un mentor pour son action au sein du “Forum Économique Mondial”.

Dans le sillage du grand architecte de la cause écologique Maurice Strong, on retrouve des personnages très versés dans la mystique New-Age tels que James Lovelock, le scientifique de la Gaïa theory, codirigeant de l’ONG Population MatersGaïa étant le culte écologiste voué à la Terre Mère, comme une substance universelle qui contient tous les êtres vivants. Auteur du livre “L’hypothèse Gaïa”, il a déclaré que «Sur Terre, les humains se comportent à certains égards comme des micro-organismes pathogènes, ou comme les cellules d’une tumeur ou d’un néoplasme. Nous avons accru notre population et ses effets nocifs sur Gaïa à un tel point que notre présence est devenue visiblement invalidante, comme une maladie. […] Aucune des atteintes écologiques auxquelles nous sommes confrontés […] ne constituerait un problème perceptible si la population humaine du globe était de 50 millions. Même avec un milliard d’humains, il serait probablement encore possible de limiter les pollutions.» En 2009, il déclarait aussi à un journaliste de la BBC que Gaïa ne pouvait plus soutenir et tolérer qu’un nombre limité d’humain de l’ordre de 1 milliard, voire probablement moins, en vivant sur le mode de vie actuel. En 2019 il parlait de la COVID-19 comme d’une volonté de Gaïa de réguler la population excédentaire : «La COVID-19 pourrait bien avoir été un retour négatif. Gaïa fera plus d’efforts la prochaine fois avec quelque chose d’encore plus méchant.»

Le Rapport Kissinger NSSM-200, produit le 10 décembre 1974 commandité par le président Richard Nixon avoue noir sur blanc que l’objectif de la politique étrangère en Afrique est de réduire la population, car elle dispose d’importantes matières premières et ressources minérales. La croissance de la population dans le tiers-Monde est considéré comme une menace pour les intérêts des États-Unis. Ce rapport a été mis en pratique à partir de 1976 et la politique étrangère des États-Unis a pris un caractère résolument néo-malthusien. Des milliards de dollars ont été utilisés par les fonctionnaires des ambassades américaines dans le monde pour financer des programmes pour le contrôle démographique comprenant, en même temps que la contraception, des pratiques comme l’avortement et la stérilisation.

Par ailleurs, le 18 janvier 2010 était publié dans le journal “le Monde” un article intitulé “Faut-il réduire la population mondiale pour sauver la planète ?” qui faisait état de deux rapports sur la surpopulation mondiale, le premier, émanant en 2009 du “Fonds des Nations unies pour la population” (UNFPA) et postulant que le réchauffement planétaire ne peut être endigué que par une réduction massive de la population mondiale, le second émanant de la “London School of Economics” qui estimait que le moyen le moins coûteux de résoudre le problème du réchauffement planétaire serait de réduire la population mondiale de 500 millions d’individus d’ici 2050. Or, comme la majorité des projections prévoient que la population totale devrait s’élever à plus de 9 milliards d’ici là, la proposition de réduire la population mondiale à seulement 6 milliards implique l’élimination de 3 milliards de personnes…

Sachant qu’en plus, parallèlement au problème insoluble des ressources, le Grand Capital, avec la généralisation de la robotisation et de l’automatisation de la production appuyée par l’avènement de l’I. A., n’a plus du tout besoin d’autant de main-d’œuvre pour fonctionner. Cette masse grouillante de travailleurs laborieux devient inutile, voire encombrante et dangereuse du point de vue des puissants de ce monde, avec des risques accrus de révoltes de la part de ces laissés pour comptes, de ces damnés de la mondialisation… Ainsi, une étude réalisée par des scientifiques d’Oxford conclut que dans à peine une génération, 47 % de tous les métiers seront remplacés par des systèmes automatisés et des robots. On arrive à grands pas sur une société qui n’a plus besoin que de 20 % d’activité humaine pour être fonctionnelle, ce qui implique que 80 % d’humains n’auront plus le moindre intérêt du point de vue des élites. Désormais, il faut bien comprendre que le Grand Capital ne vise plus à exploiter un sous-prolétariat comme un bon père de famille en redistribuant quelques maigres richesses produites, comme avec le Fordisme, mais à s’en débarrasser, car il n’a plus besoin de l’entretenir pour tirer profit de sa force de travail. L’humain devient obsolète.

On débouche ainsi sur la société des 20/80 qu’avait anticipé l’éminence grise des Présidents américains Zbigniew Brzeziński, le fondateur de la “Commission Trilatérale”, avec son concept du “Tittytainment”. Il s’agit d’une sorte de réactualisation du “Panem et Circenses” des Romains remis au goût du jour avec les moyens modernes. Histoire de canaliser et d’anesthésier l’esprit de révolte des masses, de neutraliser leurs frustrations en les noyant sous un déluge de divertissements infantiles, d’émission de TV poubelles débilitantes, de séries “Netflix” chronophages, de drogues abrutissantes, de jeux-vidéos ultra-répétitifs, de pornos et d’alimentation dégradées bourré d’additifs et de sucre, j’en passe et des meilleurs. Sans cette fabrique à crétins organisée et programmée, les peuples auraient encore les ressources intellectuelles et l’esprit critique assez développé pour garder tout leur instinct de survie et réagir à l’inacceptable.

Signalons aussi qu’en mai 2009, avait lieu à New-York une très discrète et secrète rencontre des milliardaires les plus influents des États-Unis, appartenant au club le plus élitiste au monde, le “Good Club”. Parmi eux, on pouvait relever la présence de David Rockefeller, le cofondateur du “Groupe de Bilderberg”, principal décideur du CFR, le “Conseil des Relations Étrangères” et de la “Commission Trilatérale”, Bill Gates, Warren Buffet, George Soros, Michael Bloomberg, Ted Turner et Oprah Winfrey. Ces milliardaires se sont réunis chez Sir Paul Nurse, prix Nobel et biochimiste pour évoquer la question de la surpopulation, des crises sanitaires et environnementales qui sévissent dans le monde. Lors de ces discussions, il y a eu un consensus sur la problématique de la “surpopulation”, comme étant la cause déterminante et supérieure englobant toutes les autres.   Bill Gates et George Soros via leur “Good Club” semblent bien mettre en œuvre les prophéties et les préceptes de Maurice Strong, lorsque celui-ci affirmait que «Les experts ont prédit que la réduction de la population humaine pourrait bien se poursuivre au point que ceux qui survivront ne seront peut-être pas plus nombreux que les 1.61 milliard de personnes qui peuplaient la Terre au début du 20ᵉ siècle.»

N’en doutons pas, ces ultra-riches et ultra-cyniques, ces sociopathes en puissance, adeptes du “Darwinisme social”, entendent surtout bien maintenir leur train de vie et continuer à jouir des ressources en raréfaction de la planète. Cette oligarchie prédatrice considère la populace avant tout comme une menace susceptible de remettre en cause son pouvoir et son hégémonie. La grande hantise du pouvoir est de le perdre, donc il recherche le contrôle absolu. Le processus de dépopulation permet de réduire drastiquement le nombre de variables à contrôler. Partant de cet implacable constat, ces élites mondialistes pourraient-elles dans leur rationalité froide et pure, envisager de réduire drastiquement la population ? C’est une question excessivement difficile à soulever, presque inconcevable à envisager, voire à intégrer pour l’esprit humain du commun des mortels… Cependant, il faut bien avoir en tête que la psychologie, la tournure d’esprit, les dispositions morales et éthiques de cette caste de puissants n’ont strictement rien à voir avec celles de l’homme ordinaire. D’ailleurs, le fait que dans les prémices de cette crise dite sanitaire, les autorités aient en douce euthanasié bon nombre de personnes âgées, qu’ils se soient refusé à traiter bon nombre de malades, en leur bloquant tout simplement l’accès aux traitements disponibles, qu’ils exposent l’ensemble de la population à des inoculations génétiques encore en phase de test et qu’ils s’en prennent aussi aux tous jeunes enfants, alors même qu’ils ne risquent strictement rien avec ce virus, démontre de manière éclatante que bien qu’ils prétendent le contraire, ils méprisent la vie au dernier degré ! Seuls des pervers narcissiques peuvent agir ainsi, en mentant sciemment, sans le moindre état d’âme pour des questions touchant à la santé et à la vie humaine, ce qui est un profil compatible avec des génocidaires de masse potentiels. L’hypothèse d’une dépopulation programmée ne peut donc pas être définitivement écartée et doit être prise en considération. Voici une perspective qui éclaire l’actuelle crise sanitaire et sa flagrante instrumentalisation de la plus inquiétante manière et n’invite décidément pas à la confiance aveugle !

Daniel Tanuro  un ingénieur agronome et environnementaliste qui collabore au Monde diplomatique écrit ainsi en juin 2020 dans la revue à Contretemps : «Au nom de la nécessité scientifique, la biopolitique montrera ouvertement son caractère dictatorial. Elle pourrait même prendre la forme d’un biofascisme, car le capitalisme ne se résoudra jamais à produire moins, transporter moins et partager plus; Or, si l’on refuse cette solution de bon sens, la disparition d’une bonne partie de la population mondiale apparaîtra en définitive comme le seul moyen de “résoudre” la contradiction entre l’infinitude de l’accumulation du capital et la finitude de la planète… En clair, la réponse que le système improvisera face au désastre climatique risque de ressembler au “triomphe de la mort” de Bruegel…»


Les Georgia Guidestones, “la pierre tombale de l’humanité”

Le plus fou c’est que ce projet mortifère est directement gravé directement dans la pierre et dans le marbre du très mystérieux monolithe, appelé le Stonehenge américain des “Georgia Guidestones”. S’il en impose déjà de par son aspect visuel austère et massif, c’est donc surtout de par la nature du message qu’il délivre à l’humanité que ce monolithe de pierre, que certains critiques ont d’ailleurs rebaptisé de “Pierre tombale de l’humanité”, marque fortement les esprits. En effet, il formule 10 commandements majeurs à respecter pour établir le Nouveau Monde tant idéalisé de ces élites. L’ouvrage est composé de trois blocs de granite recouverts de ce message qu’il veut de portée universelle avec une traduction en 8 langues : anglais, espagnol, russe, chinois, arabe, hébreu, hindi et swahili. En outre, dans la partie supérieure du monument, on pourra remarquer un court message inscrit dans d’anciennes langues mortes, en babylonien, en grecque classique, en sanskrit, et même en hiéroglyphes égyptiens ! Voilà qui assure un pont entre l’Ancien Monde et celui en gestation inscrivant ce monument dans une tradition et une temporalité très longue. À noter que ces anciennes langues ont une importance toute particulière pour les sociétés initiatiques, qui se basent sur l’héritage des écoles de mystères qui remontent à l’Égypte Antique.

Dans l’idéal de ces bâtisseurs, il s’agit de restaurer l’équilibre et l’harmonie entre l’homme et le cosmos, d’aligner les individus, petits fragments du grand tout de l’univers… «Il faut vivre en harmonie avec l’infini.» Voilà qui se rapporte à la doctrine hermétique de «Ce qui est en haut équivaut à ce qui est en bas». Il s’agit d’un manifeste à la fois politique, philosophique et spirituel, ainsi que d’une feuille de route à suivre pour parvenir à l’édification d’un “Nouvel Ordre Mondial”.

Parmi les dix commandements préconisés, il est explicitement question de réduire drastiquement la population mondiale ! Le premier commandement propose ainsi, dans un souci purement écologique de : «Maintenir l’humanité, en dessous de 500 millions d’individus, en perpétuel équilibre avec la nature !» Un chiffre proprement ahurissant et très choquant, qui laisserait entendre que douze personnes sur treize seraient des bouches de trop à nourrir, comparables à de vulgaires parasites, nuisibles à l’équilibre de la bonne marche du monde. Cette sinistre approche de l’humanité est encore confirmée dans le dixième et tout dernier commandement, qui rejoint en tous points l’esprit du premier : «Ne soyez pas un cancer à la surface de la Terre. Laissez de l’espace à la nature.»

Il est donc ici établi un sordide parallèle entre la vie humaine et une forme de virus destructeur, un cancer, une tumeur nuisible, dont il faudrait limiter et contraindre l’expansion. Il est question de guider l’humanité vers un “Nouvel Âge de la Raison”, pour l’aider à faire face aux grands enjeux de notre temps, qu’ils soient de nature écologique, démographique ou énergétique. Pour y parvenir, il est question d’imposer une gestion purement rationnelle des ressources et de la population, en s’appuyant sur la supériorité de la raison, tout en rejetant toute forme de révélation. Autant dire qu’avec une aussi détestable philosophie, la vie humaine perd son caractère sacré et les individus ne deviennent plus alors que des variables d’ajustement, une ressource à gérer parmi tant d’autres.

Pour en revenir aux autres commandements édictés par ces “Georgia Guidestones”, le second propose, toujours dans un esprit purement eugéniste, de «Guidez la reproduction sagement, en améliorant l’aptitude et la diversité.» Cela suppose donc la mise en place d’une politique autoritaire de contrôle et de régulation des naissances. «Améliorer l’aptitude et la diversité» sous-entend aussi l’application d’une politique de reproduction sélective et arbitraire des individus, selon leurs caractéristiques, et bien entendu, la stérilisation des individus jugés indésirables au corps social.


“Deagel”, des pronostics très macabres !

Par ailleurs, il est à prendre aussi en considération que l’organisme privé “Deagel” prévoit d’ici 2025, une hallucinante dépopulation mondiale massive de l’ordre de 50 à 80%. S’agit-il d’un obscur et délirant site “conspirationniste”? Eh bien non, il s’agit d’une organisation de renseignement militaire fournissant des informations qui sont ensuite exploitées par les communautés de renseignement mondiales et les gouvernements. Voici une liste partielle des partenaires et clients connus de “Deagel”, selon leur propre site Web : la NSA, l’OTAN, l’OCDE, l’OSCE, “l’Agence russe d’approvisionnement en matière de défense”, la “Banque mondiale” et les “Nations unies”. Rien que cela… D’après leurs perspectives macabres, la population de la France passerait selon eux de 67 millions d’habitants en 2017 à 39 millions en 2025 ! À noter que ces estimations cataclysmiques remontent à 2015, soit avant le déclenchement de l’actuelle crise sanitaire. Un niveau de perte humaines inédit dans toute l’histoire de l’humanité.


Une surmortalité exceptionnelle envisagée à Londres ?

En juillet 2021, la ville de Londres a passé en appel d’offre pour le stockage temporaire de corps, en cas de surmortalité. Voici les détails de l’offre : « L’Autorité cherche à obtenir un accord-cadre pour le stockage temporaire des corps en cas de décès excessifs pour les 32 arrondissements de Londres et la ville de Londres, sous la direction du conseil municipal de Westminster. L’accord-cadre désignera un seul fournisseur et sera conclu pour une période de 4 ans. Il s’agira d’un contrat d’urgence, auquel il ne sera fait appel que dans le cas où une situation de sur décès surviendrait à l’avenir et où la capacité locale de stockage des corps existants devrait être augmentée. L’objectif principal de cet appel d’offres est de trouver un fournisseur unique capable de fournir des installations de stockage temporaire des corps pour héberger les défunts en cas de surmortalité. Les défunts seront stockés avec dignité et respect, dans des lieux à déterminer en fonction des besoins locaux de Londres à ce moment-là et nécessiteront certains éléments de conception pour s’adapter aux conditions et contraintes du site local, tout en étant capables d’être déployés, construits et mis en service rapidement selon une norme convenue. »


“Tuer pour maintenir en vie”

En Colombie, les mesures pseudo-sanitaires, criminelles et délirantes de restriction imposées par le gouvernement à sa population mènent à d’inextricables situations. Ces mesures hors de toutes proportions, plongent littéralement le peuple dans une misère noire, elles l’empêchent de travailler et d’assurer ses moyens de subsistance en le réduisant à la famine. Cette situation intolérable conduit inéluctablement le pays dans un climat insurrectionnel explosif et dans un chaos inévitable. Au prétexte totalement hypocrite et fallacieux de veiller sur la santé, ces gouvernements assassins affament donc littéralement leurs peuples, sans la moindre once d’humanité. “Tuer pour maintenir en vie”, il fallait y penser… Sans parler des risques d’épidémie que cette situation d’extrême pauvreté va engendrer. Tout cela est d’une absurdité sans nom. Réveillons-nous avant qu’il ne soit trop tard : ce n’est plus une crise sanitaire, mais c’est un crime de masse programmé, planifié en toute connaissance de cause, un crime contre l’humanité ! Une guerre sans merci livrée aux peuples, où le virus n’est que l’instrument et le bras armé de ce génocide.

 

Les ravages de “La Fondation Bill & Melinda Gates”

À partir des années 2000, Bill Gates s’éloigna de la présidence de “Microsoft” pour se lancer avec sa femme dans la création de la “Fondation Bill & Melinda Gates”. La louable intention affichée par cette organisation humaniste et humanitaire, serait de lutter contre les inégalités, la pauvreté et la faim dans le monde, mais aussi de favoriser l’accès à l’éducation et à la technologie, notamment dans les pays en développement du tiers-monde. La réalité est cependant bien moins reluisante, car derrière cette belle façade, toutes ces sublimes et généreuses déclarations d’intentions, la fondation investit en réalité dans des activités fort douteuses et très peu éthiques, qui ne feraient, au bout du compte, que renforcer les inégalités tout en amplifiant les fléaux contre lesquels elle prétend lutter… Force est de constater que cette puissante et très influente fondation tend en fait à diffuser partout dans le monde, le modèle de société prônée par Gates. Il s’agit pour lui d’un outil d’ingérence redoutablement efficace, qui lui permet d’imposer au monde entier à coût de valises de billets sa propre vision technocratique, technologique, ultra-libérale et mondialiste. Elle lui permet d’influencer directement sur la politique des pays dans lesquels elle intervient en orientant leurs politiques de recherches et de développement scientifiques, et en contrôlant leurs investissements. Doté d’un budget annuel d’environ 4,7 milliards de dollars, cet immense Trust, pèse plus lourd, en matière de budget, que bien des États, qu’il n’hésite d’ailleurs pas  au besoin à soudoyer ou à faire odieusement chanter, en refusant de leur accorder ses financements et ses aides en cas de non-coopération à ses politiques. Voilà une bien curieuse conception de la charité qui ressemble plus à une mise sous tutelle !

Bien loin d’être le fruit de généreux dons, de nature altruiste et purement désintéressée, la fondation s’appuie sur de subtils montages financiers, qui permettent en réalité à Bill Gates de faire de l’optimisation fiscale, pour échapper à l’imposition et de gagner bien plus d’argent que de n’en perdre. La preuve en est que le milliardaire et redoutable homme d’affaires Warren Buffett, qui fait partie du trio à la tête du conseil d’administration de cette fondation aux visées soi-disant philanthropiques, a pour philosophie et code de conduite de ne jamais investir le moindre dollar dans une entreprise qui ne dégagerait pas de substantiels bénéfices, ou qui perdrait de l’argent, même si elle aurait de brillantes perspectives d'avenir. Il s’agit donc là de “l’Art de la fausse générosité”, comme l’a appelé le journaliste Lionel Astruc dans son ouvrage consacré au système de philanthrocapitalisme développé par Gates. Il s’agit en fait de l’application de modèles commerciaux à la charité. La fondation ne dépense en fait pratiquement que ce qu’elle gagne via ses investissements boursiers. Ses placements lui rapportent de nombreux dividendes pour financer ses activités pseudo-philanthropique. Avec Gates, plus il donne et plus il s’enrichit de manière obscène, c’est magique !

La fondation est aussi en pointe sur la diffusion de l’agriculture chimique, des pesticides et des OGM, avec leur imposition massive et progressive à travers le monde. Il existe ainsi un partenariat étroit entre Bill Gates et la firme hautement criminelle “Monsanto” (Bayer). Cette dernière possède un passé très trouble, émaillé par différents scandales et crimes contre l’humanité, comme le “Round Up”, ou la production du fameux défoliant “Agent Orange”, qui fit tant d’irréversibles dégâts sur les populations pendant la guerre du Vietnam. D’ailleurs, Bill Gates et “Monsanto” ont pour point commun d’avoir comme ambition et prétention affichée de vouloir sauver le monde, tout en se rendant coupable, sans le moindre scrupule, des pires horreurs ! “Monsanto” a ainsi mis en place tout un système hautement pervers de prédation du vivant, de captation du patrimoine de l’humanité, pour se l’accaparer à son unique profit, en le brevetant, à grands coups de corruption et de lois iniques. La fondation de Gates, qui possédait auparavant des parts d’action chez “Monsanto”, reste un gros appui pour ses produits et encourage le développement des semences brevetées et des produits chimiques, dont elle pousse, par exemple, l’utilisation au Malawi.

Bill Gates, est aussi impliqué dans certaines des entreprises parmi les plus critiquées au monde pour être les plus polluantes, les moins soucieuses du respect de la dignité et des droits humains mais aussi pour leur propension à l’évasion fiscale, le tout dans des secteurs qu’il va sans dire, n’ont strictement rien à voir avec la quête affichée de la recherche d’un monde meilleur. Il s’agit des grandes sociétés minières Barrick GoldBHP BillitonFreeport Mac MoranGlencoreRio TintoVedantaou Vale. Ou bien encore, des entreprises agroalimentaires responsables de la malbouffe comme NestléUnileverArcher Daniel MitlandKraft HeinzMondeles International. Mais aussi, des sociétés chimiques et pharmaceutiques comme BASF, Daw ChemicalsGlaxo Smith KlineModernaNovartis” et Pfizer. Sans oublier des sociétés de boissons comme Coca-ColaDiageoPepsiCo, ou des entreprises de construction comme Caterpillar. Et le plus choquant, pour un homme dont la vie entière serait vouée au bien commun, de financer des entrepreneurs de la défense militaire comme BAE Systèmes (le plus grand exportateur d’armes du Royaume-Uni), et enfin les entreprises de combustibles fossiles comme BPAnadarko PetroleumShellChevronou Total.

La “Fondation Bill & Melinda Gates” finance aussi à hauteur de 3 milliards de dollars l’ONG “PATH”Celle-ci s’intéresse principalement à la planification familiale, c’est-à-dire au contrôle de la population, comme en atteste son acronyme original qui était PIACT, pour Programme pour l’Introduction et l’Adaptation des Technologies Contraceptives. Le nom a été depuis changé, car il était sans doute un peu trop explicite quant aux réels objectifs visés par cet organisme…

Voila qui invite donc véritablement à la plus grande méfiance pour cette campagne de vaccination de la COVID-19, d’autant plus qu’on a déjà vu l’usage en Afrique de vaccins qui rendaient stériles certaines femmes après injection ! Ainsi, la plus grande association de médecins catholiques du Kenya a directement incriminé l’OMS et la “Fondation Gates” d’avoir à travers une campagne de vaccination, administré jusqu’à 3 millions de femmes des produits stérilisant et contraceptifs ! Une accusation qui fut confirmée en 2017 par Raila Odinga, l’ancien Premier ministre du Kenya. Pour notre grand philanthrope devant l’éternel, l’affaire est entendue, l’Afrique n’a pas en priorité besoin d’une eau propre et potable, d’une alimentation saine et nutritive, de bonnes conditions d’hygiène, ou d’écoles. Non, non, rien de tout cela… Ce dont elle a besoin avant tout, c’est des campagnes de vaccinations massives et régulières. 









On peut aussi mentionner un autre scandale en Inde, où la “Fondation Gates” avait également pris le contrôle du “Groupe Consultatif Technique National sur l’Immunisation” et où le vaccin GAVI contre la polio, aurait aussi tué des milliers d’enfants  ! En raison du chevauchement des programmes de vaccination des enfants, jusqu’à 50 doses de vaccins obligatoires contre la polio ont été prescrites à chaque enfant avant l’âge de 5 ans ! Les médecins indiens accusent la campagne de Gates d’être à l’origine d’une épidémie déclenchée par ce phénomène. Bien que le vaccin n’ait pas généré de polio, il aurait provoqué, entre 2000 et 2017, le développement d’une paralysie flasque aiguë sur plus de 490 000 enfants. En outre, en 2014, la “Fondation Gates” a aussi financé des vaccins expérimentaux comme le “Gardasil” contre le papillomavirus développé par les laboratoires “GlaxoSmithkline” et “Merck”. Dans les semaines suivant cette vaccination, de nombreux enfants sont tombés malades. Il fut administré à 23 000 jeunes filles dans des provinces indiennes éloignées. Selon l’étude, environ 1 200 d’entre elles souffrent d’effets secondaires graves, notamment des troubles auto-immunes et des troubles de la fertilité et 7 jeunes filles sont mortes. Suite aux enquêtes menées par le gouvernement indien, les chercheurs financés par Gates sont accusés de profondes et gravissimes violation éthiques, en usant de méthodes de voyous  telles que : exercer une pression sur les jeunes filles faibles des villages, harceler les parents, falsifier les formulaires de consentement et en outre, refuser les soins médicaux aux jeunes filles qui sont malades et victimes de la vaccination. En 2017, par le biais de sa cour suprême, l’Inde, a directement poursuivi “la Fondation Bill & Melinda Gates”. Elle a rejeté le programme de vaccination de Bill Gates et lui a demandé de quitter le pays avec toute sa politique de vaccination. Le gouvernement indien a donc décidé de suspendre toute administration de vaccins provenant de l’alliance GAVI. En conséquence, les taux de paralysie flasque aiguë ont chuté rapidement !


En 2017, l’Organisation mondiale de la Santé a admis, à contrecœur, que l’explosion mondiale de la polio était en grande partie due à la vaccination. Les épidémies les plus terrifiantes qui ont frappé le Congo, les Philippines et l’Afghanistan, seraient toutes liés à la vaccination. En 2018, 70 % des cas de polio dans le monde étaient liés au vaccin de Gates.

L’OMS et l’UNICEF ont aussi par le passé été pris la main dans le sac dans de nombreux programmes de vaccination de masse, avec divers vaccins contenant un agent stérilisant à l’insu des femmes qui les recevaient, comme pour le tétanos au Pérou, la variole en Afrique noire, mais aussi en Inde, au Pakistan, au Bangladesh, et en Indonésie. Plus récemment, aux Philippines, 3 millions de femmes ont été stérilisées, alors qu’elles pensaient aussi qu’il s’agissait d’une campagne de vaccination contre le tétanos. Même chose au Nicaragua, et au Mexique. En effet, le Comité Pro Vida de Mexico, une organisation de terrain catholique romaine, qui avait décidé de vérifier plusieurs flacons de vaccin, avait découvert qu’ils contenaient de l’hormone gonadotrophine chorionique humaine, ou hCG. une hormone de grossesse produite par la femme lorsqu’elle est enceinte et qui bloque la fertilité pour qu’elle ne retombe pas enceinte pendant le développement du bébé. Il s’agit d’un agent stérilisant, que venait-il faire dans un vaccin anti-tétanique ?

Selon une étude publiée en 2017 dans une revue respectée par les scientifiques du vaccin les  plus réputés au monde, le vaccin DTC (contre la diphtérie, la coqueluche et le tétanos) de Bill  Gates a tué 10 fois plus de filles africaines que la maladie elle-même, en compromettant leur  système immunitaire. Chez les enfants de 3 à 5 mois, le fait d’avoir reçu le DTC était associé à  un rapport de mortalité 5 fois plus élevé que pour les non-vaccinés.  

En outre, les méthodes employées par la “Fondation Gates” sont aussi parfois plus que douteuses. On peut évoquer, par exemple, une vaccination forcée dans le village de Gouro au Tchad, où les enfants d’une école auraient été enfermés et vaccinés contre la méningite A, sans l’obtention de l’accord préalable des parents et sous la menace de ne pas pouvoir poursuivre les études en cas de refus de la vaccination. Jusqu’à 500 enfants ont été atteints de paralysie.

Les journaux sud-africains ont répondu en se plaignant, nous sommes des cobayes pour les compagnies pharmaceutiques. L’ancien économiste en chef de Nelson Mandela, le professeur Patrick Bond, affirme que les pratiques philanthropiques de Gates sont, non seulement immorales, mais aussi «sans retenue et sans scrupule».

Au Pakistan, les vaccins de GAVI contre la poliomyélite sont aussi tenus responsables du décès de 10 000 enfants !

Bill Gates admet être très inspiré par l’action de son père, l’avocat William Henry Gates IIdont il attribue le rôle de chef spirituel de sa fondation Bill & Melinda Gates. Son père avait travaillé au conseil d’administration du Planning Familial, une organisation fondée par Margaret Sanger.

Cette dernière était une eugéniste en puissance, avec des déclarations qui n’auraient rien à envier aux plus fanatiques racialistes nazis. Ainsi dans son ouvrage Pivot of Civilisation, parlant des immigrés, elle affirmait le plus naturellement du monde : «Ce sont Les mauvaises herbes de l’humanité, des reproducteurs imprudents, ils pondent Des êtres humains qui n’auraient jamais dû venir au monde.» Ou encore «Les œuvres de bienfaisance elles-mêmes sont le symptôme d’une maladie sociale maligne Au lieu de diminuer, et d’éliminer, à terme, les stocks (de personnes) qui nuisent le plus au futur de la race et du monde, elles tendent à leur fournir précisément de quoi dominer.» La régulation des naissances, cheval de bataille de cette organisation n’étant dans l’esprit de cette chère dame qui prônait les stérilisations forcées, que l’élimination des inadaptés et des jugés inférieurs… Ces inadaptés étant selon sa pensée les handicapés, les malades, les noirs et les pauvres. Dans une interview datée de 1957, elle affirme ainsi : «Je pense que le plus grand péché est de mettre des enfants au monde qui ont des maladies à cause de leurs parents, qui n’auront pas la chance de devenir des êtres humains dignes de ce nom. Des délinquants des prisonniers, toutes sortes de choses qui sont déjà inscrites à la naissance.» Pour cette charmante dame, qui joui de la plus grande respectabilité auprès des puissants de ce monde qui saluent et louent sans réserves son travail : «L’action la plus clémente qu’une famille nombreuse puisse faire à l’un de ses membres en bas âge, c’est de le tuer.»

Bill Gates ne s’est d’ailleurs jamais caché dans sa volonté et son ambition de réduire la population mondiale, comme il l’avait clairement affiché lors d’une conférence “TEDX Talk” à Monterey en Californie. Pour lui, la seule façon de réduire les émissions de Carbone et donc le réchauffement climatique, serait de réduire la population mondiale. Ainsi, il a présenté l’équation suivante : le CO₂ serait égal à la population, multipliée par les services nécessaires par personnes, multiplié par l’énergie par service, multiplié par le nombre d’unités de CO₂ nécessaires par service. Il a alors affirmé qu’en travaillant sur le système de santé, ils pourraient jouer sur la variable d’ajustement de la population, afin de limiter les émissions de Carbone. Pourtant, comble de l’hypocrisie, il se trouve que Gates, qui se présente comme si concerné par la problématique du réchauffement climatique et du carbone passe le plus clair de son temps à se déplacer en Jets privés. Ainsi, en 2017, il aurait parcouru plus de 200 000 miles et aurait donc à lui tout seul, laissé une empreinte carbone de 1600 tonnes de CO₂, équivalente à celle laissée en moyenne par 10 000 personnes ! Mais, il paraît que ce serait là son petit péché mignon et selon ses propres mots «son plaisir coupable»…  Alors, il faut croire que c’est bien la moindre des choses !  Gates avait ainsi annoncé : «Le monde compte aujourd’hui 6,8 milliards de personnes. Cela portera à 9 milliards. Si nous faisons un travail vraiment bien fait avec les nouveaux vaccins, les soins de santé, les services de santé reproductrice (c’est-à-dire l’avortement et la contraception), nous pouvons réduire la population de 10 ou 15 %.» Sur une ancienne couverture d’un numéro du journal “The Sovereign Independent” de juin 2011 reportait en titre de sa une : «Dépopulation par vaccination forcée : la solution du zéro dioxyde de carbone ».

Il est donc particulièrement douteux que Bill Gates vante ses vaccins comme essentiels à la survie humaine, mais que dans le même temps, il soit intimement persuadé que le monde soit trop peuplé et qu’il faudrait donc le dépeupler. Théoriquement, vacciner sert  à augmenter l’espérance de vie, ce qui est totalement incompatible avec la vision malthusienne du monde à laquelle il adhère. Faut-il en déduire que la vaccination serait donc en réalité le moyen de la réduction de la population ?

Il faut enfin savoir que de son côté, il ne s’est pas fait vacciné, pas plus que ses propres enfants… Ainsi, il déclarait : «Le problème, c’est que la population croît le plus rapidement, là où les gens sont moins capables de s’en occuper. C’est donc dans les endroits les plus pauvres que la population va tripler d’ici 2050. […] Et nous devons nous assurer que nous aidons avec les outils maintenant pour qu’ils n’aient pas une situation impossible plus tard.»

Rappelons que ce malthusien de Bill Gates a via “Monsanto”contribué à financer les recherches de la compagnie “Epicyte”, composante de “Dow Chemicals” du “Groupe Dow et Dupont” pour implanter des anticorps humains dans du maïs transgénique ! C’est-à-dire un gène d’infertilité pour les hommes implantés dans un maïs OGM spermicide de “Monsanto”. Il semble que derrière “l’industrie de la vie”, comme aiment à se désigner les entreprises de biotechnologiques se cache une “industrie de la mort”. C’est la philosophie des graines “Terminator”, appliquée et étendue à la stérilisation des humains.

Signalons aussi que Bill Gates a demandé au professeur et entrepreneur Robert S. Langer du MIT, le Massachusetts Institut, si une option de contrôle des naissances à long terme et contrôlable pouvait fonctionner dans la réalité. Une start-up du MIT a alors mis au point une petite puce télécommandéecomme une version Wi-Fi numérique de la pilule, qui permet aux femmes d’activer et de désactiver leur fertilité en appuyant simplement sur un bouton. La puce permet l’administration d’un médicament à libération lente. Elle distribue ainsi 30 microgrammes par jour de lévonorgestrel, une hormone déjà utilisée dans plusieurs types de contraceptifs. L’équivalent de seize années d’hormone tient ainsi dans de minuscules réservoirs sur une micropuce de 1,5 centimètre de large à l’intérieur du dispositif. Il faut savoir que ce Robert S. Langer est également intervenu sur le développement du projet de tatouage quantique fluorescent attestant de la présence ou non de la vaccination, mais il fait aussi partie du conseil d’administration de Moderna, l’entreprise responsable du vaccin à ARN Messager. Que le monde est petit… Avec cette technologie, il est possible de stériliser les bouches inutiles à distance, n’est-ce pas merveilleux pour ces eugénistes malthusiens ?

Par ailleurs, il faut aussi signaler que la Fondation Rockefeller” qui travaille souvent en collaboration avec la Fondation Gates, a reconnu dans son  rapport annuel de 1968, avoir financé le développement de ce qu’on appelle des vaccins antifertilité et leur mise en œuvre à grande échelle. Ainsi, aux pages 51-52, il est clairement précisé : «[…] plusieurs types de médicaments sont connus pour diminuer la fertilité masculine, mais ceux qui ont été testés présentent de sérieux problèmes de toxicité. Très peu de travaux sont en cours sur les méthodes immunologiques, telles que les vaccins, pour réduire la fertilité, et beaucoup plus de recherches sont nécessaires si une solution doit être trouvée ici.» La Fondation n’a jamais caché son mépris et sa haine des plus pauvres : «Il y a environ cinq millions de femmes parmi les groupes pauvres et proches de la pauvreté en Amérique qui ont besoin de services de contrôle des naissances […] La fécondité incontrôlée des indigents contribue beaucoup à perpétuer la pauvreté, la sous-éducation et le sous-emploi, non seulement dans les bidonvilles urbains, mais aussi dans les zones rurales défavorisées.» Il ne fallut pas longtemps avant que tous les efforts de la Fondation ne commencent à porter leurs fruits. Ainsi, dans son rapport annuel de 1988, la Fondation était enthousiaste de rendre compte des progrès accomplis par sa “Division Population” dans le domaine des vaccins anti fertilité : «L’Institut national indien d’immunologie a terminé avec succès en 1988 la première phase d’essais avec trois versions d’un vaccin anti fertilité pour les femmes. Parrainés par le gouvernement indien et soutenus par la Fondation, les essais ont établi qu’avec chacun des vaccins testés, au moins un an de protection contre la grossesse pouvait être attendu, en fonction des niveaux d’anticorps formés en réponse au calendrier vaccinal.»

Déjà dans les années 30, la “Fondation Rockefeller” était très concernée par la problématique de la surpopulation qu’elle désignait comme la cause principale des maux de ce monde. Bill Gates a toujours baigné dans ces milieux eugénistes. Son père était un ami et un proche collaborateur des Rockefeller dans le mouvement eugéniste, tandis que sa mère travaillait dans le conseil d’entreprise d’IBM. Cette entreprise a un passé peu reluisant puisqu’elle fut directement impliquée dans la collaboration active avec le régime Nazi en développant un système de fichage des prisonniers à base de cartes perforées dans les camps de concentration. L’empire de Gates s’est bâti grâce à ses connexions avec les Rockefeller et IBM.


D’inquiétants liens entre le vaccin “AstraZeneca”
et le courant eugéniste

Par ailleurs, il faut aussi savoir que les développeurs du vaccin Oxford-AstraZeneca, sont directement liés au mouvement eugénique racial britannique, avec une certaine proximité idéologique avec des organismes tels que le Wellcome Trust et le Galton Institut.

Le chercheur principal de ce vaccin, Adrian Hill, est en lien avec la British Eugenics Society.

L’anthropologue Francis Galton est considéré comme le père du mouvement eugéniste. L’ambition première de ce mouvement de penser était d’améliorer la race humaine, en se basant sur l’hérédité, via un programme de sélection artificielle et un contrôle des mariages.

Quant à la bibliothèque du “Wellcome Trust”, elle est la gardienne des archives historiques de l’Eugenics Society. Lorsque le Wellcome Trust a créé pour la première fois son Centre d’archives médicales contemporaines, la toute première archive qu’il a cherché à acquérir était de manière révélatrice, celle de l’Eugenics Society-Galton Institute. Le site Web de Wellcome décrit le but initial de l’Eugenics Society comme «d’augmenter la compréhension publique de l’hérédité et d’influencer la parentalité en Grande-Bretagne, dans le but d’améliorer la biologie de la nation et d’atténuer les influences que font peser sur la société les génétiquement inaptes.»

Il est aussi fort curieux et interpellant que le John Hopkins Center for Health Security, ait suggéré que le gouvernement américain rende les vaccins COVID-19 disponibles en tout premier aux minorités ethniques et aux handicapés mentaux… Voilà qui confère des relents plus que douteux, particulièrement sulfureux et nauséabonds à ce vaccin, dont le développement soulève par ailleurs des point plus qu’inquiétant… En effet, selon le magazine Forbes, le vaccin AstraZeneca a été inefficace pour arrêter la propagation du coronavirus dans leurs essais sur les animaux. 

Les six singes ayant reçu le vaccin COVID-19 d’AstraZeneca ayant été infectés par la maladie après avoir été inoculés. Tous les singes ont été mis à mort, ce qui signifie que l’on ne sait pas si ces singes auraient subi d’autres effets indésirables ultérieurs… En outre, la composition de ce vaccin est inquiétante, car sur sa notice, on peut lire qu’il comprend de l’adénovirus de chimpanzés, des OGM, mais aussi du rein embryonnaire humain modifié !

Enfin, il faut savoir que ce sont ces mêmes laboratoires, en conflit d’intérêts permanent, capables de corrompre jusqu’aux politiques à la tête des plus hautes instances, qui fournissent les études et se portent garant de l’efficacité de leurs propres vaccins ! Ces laboratoires si peu scrupuleux, comme Pfizer, qui de par le passé se sont déjà rendus responsables et coupables de nombreux crimes, comme de la publicité mensongère relative au vaccin, avec de retentissants scandales sanitaires portés en justice.


La corruption de Big Pharma à son plus haut niveau

«Et actuellement, le système des Grandes Écoles, le système de la compétition ne fait que sélectionner les plus conformes. Or on a besoin d’un monde… on entre dans un monde qui va se renouveler et plus on est conformiste plus on est dangereux. Par conséquent, on est en train de sélectionner les gens les plus dangereux, ceux qui ne seront pas capables d’imagination. Non, ce qu’il y a de meilleur en Albert Jacquard, s’il y a quelque chose de bon, ce n’est pas venu de là, ça m’est venu des regards que j’ai acceptés, non pas des compétitions que j’aurais gagnées. Sûrement pas. Or là on est en train de se fourvoyer complètement. Je voyais ça quand j’étais prof en 1ʳᵉ année de médecine, vous savez, en 1ʳᵉ année de médecine, j’avais devant moi 400 élèves et on savait qu’il y en avait que 100 ou 120 qui auraient le droit de passer en 2ᵉ année. Alors c’était la lutte à couteaux tirés, ils donnaient des faux renseignements, c’était abominable entre eux, on était en train d’en faire des tueurs. Et bien préparer des futurs médecins en leur donnant une mentalité de tueurs. Il y a quelque chose de pourri là-dedans. Non, c’est pas sérieux. Je crois qu’il nous faut extirper la notion de compétition de toute la société, et en particulier du système éducatif. Voilà, le pire de tout c’est d’avoir fait des écoles des lieux où on est en compétition les uns contre les autres.» – Albert Jacquard dans une interview de 1994

«Croire que l’industrie pharmaceutique lutte contre les maladies, c’est comme croire que les   fabricants   d’armes luttent pour la paix.» – Paulo Amaro

D’ailleurs désormais, comment avoir encore foi dans les autorités scientifiques, puisque les plus prestigieuses revues au monde dans le domaine, à comité de lecture, censées faire autorité, comme “Le Lancet”, ont démontré de manière éclatante à quel point elles pouvaient être corrompues au dernier degré ! Ce journal dit de référence, qui est financée en partie par l’incontournable “Fondation Rockefeller” a publié une étude hautement foireuse, visant à dénigrer l’“Hydroxychloroquine”. 


Les initiateurs de cette fausse expertise, une obscure start-up fantôme sortie de nulle part, n’ont pas hésité à avoir recourt au service d’une ex-actrice porno et escort-girl, une certaine Ariane Anderson en la propulsant pour l’occasion directrice des ventes de la société. Il s’agissait là sans nul doute pour cette dernière du rôle de composition le plus prestigieux de toute sa carrière… Dans le casting figurait aussi une rédactrice scientifique spécialisée dans la science-fiction. C’est tout simplement lunaire ! Aussitôt parue, cette étude des plus crédible et parfaitement fiable a servi de base à Olivier Véran dit le véreux pour faire retirer séance tenante la chloroquine des traitements pour la COVID-19 et de son essai clinique de l’étude Discovery. Dans un monde normal, après un tel camouflet, ce dernier aurait dû en toute logique présenter sa démission ou à minima ses excuses publiques. Mais depuis le début de toute cette pandémie, nous ne sommes manifestement plus dans un monde normal, visiblement nous avons basculé dans une dimension parallèle et une bien mystérieuse contrée, “l’Absurdistan”… Toujours au sujet la Revue scientifique “The Lancet”, il faut savoir qu’en 2015, elle s’est engagée en partenariat avec la “Fondation Rockefeller” dans le projet “Planetary Health”, ayant pour ambition une “Gouvernance Mondiale de la Santé”.


Dans le domaine de “la Santé”, la corruption est telle qu’elle est devenue un “business modèle” de fonctionnement pour l’industrie du médicament. Et d’ailleurs, le peu de fois où elle est reprise par la justice pour ces mauvaises pratiques, elle écope d’amendes symboliques tellement dérisoires et inférieures aux montants des faramineux profits engrangés qu’elles ne peuvent les inciter et les contraindre à agir avec plus de vertu… Ces éventuelles amendes sont avec le plus grand cynisme directement intégrées dans le business plan préalable. Quand on dégage des marges indécentes sur les médicaments et qu’on ne paye que des amendes symboliques, on a assurément les moyens de corrompre beaucoup de monde… Il est estimé que Big Pharma dégage en chiffre d’affaires plus de mille milliards de dollars par an, et il faut savoir que  27 pourcents de ce budget est uniquement consacré au lobbying.

Il faut bien garder à l’esprit que ces laboratoires impliqués dans le développement de ces pseudos-vaccins ont tous un très lourd passif multi-récidiviste en matière de corruption, comme “Pfizer”, qui avait écopé d’une amende record de 2,3 milliards de dollars pour régler les différents procès qui lui ont été intentés suite à des falsifications de données et des commissions occultes en 2009, notamment avec une plainte concernant ses pratiques commerciales frauduleuses sur le BextramOn peut aussi citer le groupe “Johnson & Johnson”, condamné par la justice américaine à payer 2,1 milliards de dollars pour la vente de talc cancérigène à l’amiante ! Est-il vraiment raisonnable d’accorder sa pleine confiance et de confier notre Santé, notre bien le plus précieux, à ces repris de justice condamnés à de multiples reprises de par le passé ? Lorsque la vérité scientifique est tombée à un tel point aux mains de puissances d’argent, on peut légitimement s’en inquiéter… 

N’oublions pas la mise en garde sans appel du Pr. Philippe Even concernant toute cette industrie : «L’industrie pharmaceutique est la plus lucrative, la plus cynique, la moins éthique de toutes les industries, de tous les domaines réunis. Et ça se passe dans le domaine de la santé, ça me paraît deux fois plus grave !»

Aussi, comment encore accorder sa pleine confiance dans les autorités sanitaires et dans l’industrie pharmaceutique, elles qui ont déjà de par le passé généré tant de retentissants scandales, en se portant garant du résultat : du “Remdesevir”, en passant par le “Tamiflu”, le “Levothyrox”, le “Distilbène”, “l’hormone de croissance”, le “Chlordécone”, le sang contaminé, “l’Isoméride”, le “Médiator”, le “Viox”, le “Diane 35”, le “Thalidomide”, ou encore le “Cérivastatine”…

Cette corruption endémique de cette industrie est même directement avouée à demi-mot de la bouche des rapporteurs de l’ONU, qui la considèrent comme la plus grande cause de corruption au monde, ou encore par les rédacteurs en chef des plus grandes revues scientifiques médicales au monde, qui reconnaissent que la recherche médicale est très souvent manipulée et falsifiée. 

Ainsi, Reilmann, le rédacteur en chef du journal de référence le “New England Journal of Medicine” dresse ainsi ce constat sans appel : «La profession médicale est achetée par l’industrie du médicament et des vaccins, non seulement au niveau de la pratique médicale, mais également au niveau de l’enseignement et de la recherche.»

Marcia Angell, elle aussi rédactrice en chef de ce même journal, affirme pour sa part avec grande amertume que : «Il n’est simplement plus possible de croire à l’essentiel de la recherche clinique qui est publiée, ou de se fier au jugement des médecins de référence, ou à des directives médicales faisant autorité. Je n’ai aucun plaisir à faire ce constat auquel je suis parvenue lentement et avec réticence au cours de deux décennies passées comme rédactrice en chef du “New England Journal of Medecine”.»

Quant à Richard Horton, le rédacteur en chef du Lancet, il affirme de son côté que : «Une grande partie de la littérature scientifique, sans doute la moitié, pourrait être tout simplement fausse. Affligée d’études avec des échantillons réduits, d’effets infimes, d’analyses préliminaires invalides, et de conflits d’intérêts flagrants, avec l’obsession de suivre les tendances d’importance douteuse à la mode, la science a pris le mauvais tournant vers les ténèbres.»

Enfin, Kamran Abbasi, lui aussi rédacteur en chef du British Medical Journal a résumé la crise sanitaire de la COVID-19 en trois mots : «Corruption, Politisation et Suppression de la science.» De même, le gouvernement affirme d’ailleurs systématiquement avoir appuyé et motivé toutes ses décisions, même les plus incohérentes sur la base d’un conseil scientifique. Mais ce dernier est-il vraiment composé de personnes intègres ? On peut raisonnablement en douter, vu l’aberration de certaines mesures adoptées…

Le British Medical Journal a admis de son côté que dans cette pandémie : «La science est actuellement réprimée pour des raisons politiques et financières. Le COVID-19 a déclenché la corruption de l’État à grande échelle, elle est nuisible à la Santé publique. Les politiciens et les industries sont responsables de ce détournement opportuniste. La pandémie a révélé comment le complexe politico-médical peut être manipulé. Lorsque la bonne science est supprimée, les gens meurent !»

De même, l’OMS ou “l’Organisation Mondiale de la Santé” n’a pas plus de crédibilité… Elle est en grande partie sous la coupe de Bill Gates via la Fondation Bill & Melinda Gates qui l’a financé à hauteur de 531 millions de dollars en 2017 et 2018 et qui en est l’un des principaux contributeurs en assurant 70% de son budget de fonctionnement. Cette organisation, financée en grande partie par des fonds privés, est le relais, la courroie de transmission des grands cartels et roule pour le Gouvernement Mondial. C’est sa raison même d’exister ! En outre, on retrouve à sa tête, Tedros Adhanom Ghebreyesus, qui n’est même pas médecin et qui est visé par le journaliste David Steinman, en lice pour le “Prix Nobel de la Paix”, par une plainte pour crime contre l’humanité en Éthiopie entre 2013 et 2015. Un ancien terroriste pour provoquer la terreur dans les populations. On peut dire que le bonhomme est parfaitement à sa place. Autant dire qu’en la matière, il serait sans doute plus approprié de parler d’Organisation Mafieuse de la Santé


Quant aux médias, leur intégrité et neutralité peuvent aussi être grandement remises en question, avec la bagatelle de 417 000 000 € versés en financements par les entreprises pharmaceutiques à l’ensemble de la presse. Le journaliste d’investigation Tim Schwab a examiné 20,000 subventions caritatives de la Fondation Bill & Melinda Gates et a trouvé plus de 250 millions de dollars destinés aux médias. Parmi les bénéficiaires, le journal dit de référence le Monde en France qui aurait ainsi reçu en deux ans, 4 millions d’euros de fonds. C’est ce même Journal, qui part à la chasse aux “Fake News” concernant les attaques visant Bill Gates et qui nous dresse d’élogieux portraits hagiographiques de ce remarquable bienfaiteur de l’humanité… La “Fondation Gates” a ainsi chapeauté et noyauté une bonne partie de la presse mainstream, avec de prestigieux titres tels que l’AFP, la BBC, le “New York Times”, le NPR, “Al Jazeera”, la “Propublica”, le National Journal, “The Guardian”, “The Atlantic”, “The Texas Tribune”, “Gannet”, le “Washington Monthly”, “Center for Investigative Reporting”, le “Pulitzer Center”, la “National Press Fondation”, le “International Center for Journalists”, ainsi que de nombreux journaux de l’Europe de l’Est. Ces organes de presse ne sont donc pas indépendants, mais juges et parties… Bill Gates, finance par ailleurs des écoles de journalisme et des médias de vérification qui font la chasse aux dites “Fake News” sur les réseaux sociaux. Bill Gates a aussi financé Harvard à hauteur de 65 millions de dollars. En quelques années, Bill Gates a développé tout un réseau d’influence tentaculaire, en finançant toutes les principales organisations et unités administratives qui ont un rôle prépondérant dans cette pandémie. Cela s’étend de “l’Organisation Mondiale de la Santé”, en passant par “l’Université John Hopkins”, financée à hauteur de 870 millions de dollars et qui fournit les statistiques de cette pandémie, par la GAVI, financée à hauteur de 3 billions de dollars, en passant par “l’Impérial College de Londres”, financé à hauteur de 280 millions de dollars, par “l’Université d’Oxford”, financée à hauteur de 242 millions de dollars et qui développe des vaccins, par le CDC, financé à hauteur de 155 millions de dollars et qui conseille le gouvernement américain en matière de santé, ou encore par le NIH, le National Institute of Health d’Anthony Fauci, financé à hauteur de 18 millions de dollars et qui conseille aussi le gouvernement américain. Le pouvoir et l’influence politique de Bill Gates est astronomique, bien au-dessus des chefs d’États et le bonhomme n’a été élu par personne !

Mais  ça ne devrait pas nous surprendre car dès février 1997, Bill Gates avait déjà ouvertement déclaré au magazine George, «qu’il finançe le contrôle de la population.»


Lorsque Big Pharma soigne ses opposants
avec des traitements spéciaux

Comme toute mafia qui se respecte, les laboratoires de Big Pharma n’hésitent pas à neutraliser, voir à se débarrasser de ses opposants en les liquidants. On pourra ainsi relever autour du COVID-19, où les enjeux financiers sont faramineux, une  invraisemblable succession de morts très suspectes, comme :

Serge Rader, un pharmacien opposant aux vaccins et intervenant dans le documentaire Hold-Up;

Brandy Vaughanune courageuse lanceuse d’alerte qui travaillait en tant que cadre dirigeante pour les laboratoires Merck. Elle fut retrouvée morte à son domicile de Santa Barbara. Se sentant menacée, elle avait passé des tests médicaux visant à prouver qu’elle était en bonne santé et elle avait averti tout son entourage que s’il lui arrivait quelque chose cela viendrait de son employeur ; Écœurée par les pratiques dénuées de toute éthique de son employeur qui cherchait à maximiser ses profits au mépris de la santé quitte à trafiquer les résultats des études qui démontraient que tel vaccin pouvait entraîner de violents et dangereux effets secondaires. Elle était partie en croisade contre Big Pharma et l’a payé de sa vie ;

Kary Mullis, le Prix Nobel de Chimie et inventeur de la technique PCR, très hostile à Anthony Fauci, est mort le 15 août 2019, tout juste trois mois avant le début de la pandémie ;

Alexander Kagansky, un biologiste russe de Saint-Pétersbourg qui travaillait sur un vaccin contre le coronavirus et qu’on a aidé à se suicider puisqu’il a été retrouvé jeté par la fenêtre, après avoir été poignardé de quatre coups de couteau ;

Zhou Yusen, un scientifique militaire de Wuhan, collaborateur de Zhengli Shi financé par le NIH américain de Fauci qui est mystérieusement mort à 54 ans trois mois après avoir déposé un brevet de vaccin COVID en février 2020 ;

Bing Liuun professeur adjoint de 37 ans de la faculté de médecine de l’Université de Pittsburgh, assassiné, retrouvé mort à son domicile avec de multiples blessures par balle à la tête, alors même qu’il était sur le point de faire de capitales découvertes dans le cadre de ses études sur le Covid-19. Son assassin a été retrouvé gisant près de sa voiture, lui aussi avec une balle dans la tête ;

Barry Sherman et sa femme Honey Sherman, le fondateur de la compagnie pharmaceutique Apotex et plus gros producteurs de chloroquine au Canada, retrouvés morts le 15 décembre 2017 à leur domicile suite à un double homicide par étranglement ;

Andrew Brooks, un neuroscientifique moléculaire, concepteur du test salivaire ultra-rapide de dépistage du COVID-19 qui meurt d’une crise cardiaque à 51 ans ;

Le Dr. Peter Salama, membre des services de renseignements américains et en poste à l’OMS, un épidémiologiste spécialisé en guerre bactériologique et des épidémies en pleine santé mort d’une crise cardiaque le 23 janvier 2020 ;

Le Pr. Fourtillan embastillé ;

Bernard Lachance, lanceur d’alerte sur le Sida au canada ;

John Magufuli, le Président de la Tanzanie et Pierre Nkurunziza, le Président du Burundi, tous deux farouches opposants à l’OMS et à sa politique sanitaire sont décédés en 2020 dans de curieuses circonstances. Nkurunziza avait parlé d’ingérence inacceptable dans sa gestion du coronavirus, il avait exhorté ses citoyens à poursuivre leur vie sans crainte et avait expulsé l’équipe d’experts déléguée dans son pays pour “Fausse pandémie”.

Jovenel Moïsele président haïtien assassiné le 10 juillet 2021 par un commando. Haïti était un des seuls pays à ne pas avoir mis en place la politique vaccinale.

Andry Rajoelina, le président du Madagascar, qui soigne son peuple avec un remède local, le Covid-Organics, basé sur la plante Artemisia, plutôt que les vaccins de Big Pharma, a aussi essuyé une tentative d’assassinat perpétrée par deux militaires français

Dr Andreas Noack, chimiste autrichien renommé, lanceur d’alerte, opposant et résistant à la campagne de vaccination est mort de façon très violente après avoir été attaqué, tout juste quelques heures après avoir, le 23 novembre 2021, dénoncé les risques de l’hydroxyde de graphène dans les vaccins. Il avait expliqué que c’est ce qui tue réellement les gens en s’immisçant dans l’ensemble des organes et provoquant des lésions au niveau cellulaire, «comme des nano lames de rasoir».


Aux obscures origines de Big Pharma

«Big Pharma est un terme utilisé pour désigner l’ensemble des plus grands laboratoires pharmaceutiques au monde. Des entreprises qui se veulent philanthropiques, mais qui dans les faits privilégient leurs profits au détriment de la santé publique. Vous pensez peut-être que c’est une théorie du complot ? Si c’est le cas c’est sûrement parce que vous ne savez pas qui est à l’origine de Big Pharma.»

Pour mieux cerner la véritable nature et les réels objectifs visés par ces industries, il convient de revenir quelques instants sur la genèse et les sources particulièrement douteuses des puissants cartels pharmaceutiques actuels.




Dès 1913, John D. Rockefeller, alors à la tête du puissant Trust pétrolier de la “Standard Oil”, s’est assuré du contrôle stratégique du secteur de la santé, de la médecine allopathique et chimique aux États-Unis. Ainsi, par le biais de sa fondation pseudo-philanthropique de la “Fondation Rockefeller”, il a financé les écoles de médecine et hôpitaux. Ainsi naissait cette nouvelle industrie pharmaceutique, ce nouvel Empire monopolistique basé sur la vente de médicaments de synthèse brevetés. Dès lors cette industrie s’est attachée à combattre les micronutriments, les vitamines et la médecine holistique. En effet, les produits naturels ne pouvant faire l’objet de brevets, ils étaient considérés par le cartel comme un frein et une entrave inacceptable à leurs profits. Big Pharma a tourné le dos à tout un savoir-faire ancestral en matière de médecine par les plantes. Les herboristes ont presque totalement disparu. Avec ses molécules chimiques de synthèse, Il a fait des contrefaçons marchandes de ce que la nature avait à proposer de gratuit. À partir de 1930, la “Fondation Rockefeller” a financé l’Institut Kaiser Wilhelm d’anthropologie, d’hérédité humaine et d’eugénisme et ce, en pleine connaissance de cause jusqu’en 1939. Depuis les années 1900, la famille Rockefeller a toujours développé des programmes aux visées eugénistes, que ce soit par le biais de politiques anti-fertilités pour les hommes ou pour les femmes, ou même par le biais de vaccins stérilisants. En 1900, “le syndicat Rockefeller” et JP. Morgan ont acheté “l’Encyclopedia Britannica”. Toutes informations et références défavorables aux vaccinations ont été retirées de cette encyclopédie dominante dans le milieu médical.

En Allemagne, pour tenir tête sur le marché mondial à cet “Empire Rockefeller”, il y a eu en 1925, la création d’un autre ultra-puissant cartel pharmaco-chimique, avec la fondation du groupe Interessen Gemeinschaft Farbeindustrie Aktien gesellschaft plus communément connue sous le nom “d’IG Farben”. Ce redoutable cartel sera composé par les multinationales “AGFA”, “Bayer”, “BASF” et “Hoechst” et ne tardera pas à montrer de grandes sympathies avec le régime Nazi naissant d’Adolf Hitler qu’ils ont largement appuyé financièrement tout en lui donnant une influence politique. Ils ont donc eu une écrasante responsabilité dans l’avènement de la Seconde Guerre mondiale…  “IG Farben” testera aussi de manière monstrueusement inhumaine ses substances pharmaceutiques directement sur les prisonniers des camps de concentration du Troisième Reich. Après l’arrivée d’Hitler au pouvoir, John D. Rockefeller envoya à ce dernier comme conseiller à plein temps pour le réarmement allemand son agent de presse privé, un certain Ivy Lee. Une étape cruciale pour la réalisation de la deuxième guerre mondiale. 

Pendant les années trente, la Standard Oil des Rockefeller construisait en Allemagne de grandes raffineries pour le gouvernement et continuera à leur fournir du pétrole pendant toute la période de la Seconde Guerre mondiale. La “Standard Oil” a soutenu l’effort de guerre nazi en livrant conjointement avec l’allemand “IG Farben” des composants synthétiques à base de charbon pour le carburant des avions de la Luftwaffe. Elle recevait comme paiements allemands, d’importantes cargaisons d’instruments de musique et des navires des chantiers allemands. À l’issue de la guerre, les dirigeants de ce complexe pharmaco-chimique “d’IG Farben” furent jugés pour crimes contre l’humanité lors du “procès de Nuremberg”. Mais, les vrais responsables ne furent cependant pas pendus et s’en tirèrent à bon compte grâce au lobbying intensif politique de Nelson Rockefeller. Beaucoup de ces derniers furent en fait ex-filtrés par la CIA via “l’Opération Paperclip” pour finir par être réintégrés, comme si de rien était dans la société civile. Ils ont ainsi bénéficié outre-atlantique d’une nouvelle virginité, afin de transmettre leurs connaissances et de poursuivre leurs activités et expérimentations criminelles au sein des entreprises contrôlées par les Rockefeller. Les actions industrielles “d’IG Farben” furent absorbées par le Trust des Rockefeller, des Rothschild et de J.P. Morgan. “La Fondation Rockefeller” finança par la suite la création de “l’Organisation Mondiale de la Santé”.




Il faut savoir que “l’Institut Rockefeller” avait déjà eu un rôle central durant l’épisode de la grippe dite “espagnole” de 1918, une appellation délibérément trompeuse visant à dissimuler son origine. Celle-ci avait en réalité débuté avec l’expérience de la vaccination des troupes américaines contre la méningite bactérienne avec un vaccin expérimental cultivé sur des chevaux. C’était la première guerre où la vaccination était obligatoire pour tous les militaires. Cette pandémie très meurtrière, qui a emporté plus de 50 millions d’humains, soit 3 fois plus que les 16 millions de militaires et de civils tués durant la guerre, n’était en fait ni d’origine espagnole, ni même liée à un virus de la grippe, mais causée par une pneumonie bactérienne. Les premiers cas de pneumonie bactérienne en 1918 remontent à des bases militaires, la première à Fort Riley, dans le Kansas.




On peut aussi faire mention d’une anecdote savoureuse au sujet des origines de la puissante dynastie des Rockefeller. Il est en effet piquant de savoir que le grand-père de John D. Rockefeller, William Avery Rockefeller, surnommé “Old Bill” était un marchand forain de spécialités pharmaceutiques. Ce bonimenteur qui se présentait comme “William Rockefeller, le célèbre spécialiste du cancer”, gagnait sa vie en revendant à des paysans par trop crédules, des remèdes à base de pétrole brut baptisé “Nujol”. La “potion magique” était originellement étiquetée “Pétrole magique de Kier”, car il était un grossiste pour les propriétaires des puits Samuel L. Kier, qui avaient commencé la mise en bouteilles du pétrole afin de le vendre à des fins médicales. Vendu au détail la bouteille, au prix astronomique de 25$ une somme alors équivalente à deux mois de salaire, cette nouvelle huile miraculeuse était censée selon cet escroc être efficace contre la constipation, le cancer, l’impotence et les morsures de serpent ! Trop beau pour être vrai puisque des médecins découvrirent plus tard que ce “Nujol” était nocif et provoquait de graves maladies… Bref, de la pure charlatanerie ! Ça commençait bien mal…

Le pouvoir de nuisance et de malveillance vis-à-vis de l’humanité de cette richissime dynastie, qui se plait à se faire passer pour d’aimables philanthropes, dépasse l’entendement. Ils mettent leur grain de sel dans tous les secteurs clé de la société, en quête de toujours plus de pouvoir et d’influence et sont animés par un sidérant mépris de classe pour le peuple. Ainsi en 1903, John D Rockfeller, avant qu’il ne crée “le General Education Board” et ne prenne le contrôle des programmes scolaire et des Universités en compagnie des Carnegie affirmait par exemple avec grand cynisme : «Je ne veux pas d’une nation de penseurs, je veux une nation de travailleurs»

Par ailleurs, il est aussi édifiant de savoir que La Fondation Rockefeller finança également “l’Institut Tavistock”, spécialisé en sciences sociales, dans la manipulation de l’opinion publique, des groupes sociaux et dans le contrôle mental. Après la Première Guerre mondiale, cet Institut s’est consacré à l’étude des effets traumatiques sur les soldats britanniques revenant du front… Son but était d’établir le “point de rupture” de la psyché humaine en état de stress, sous la direction du Bureau de l’armée britannique pour la guerre psychologique. Ce point de rupture atteint, il deviendrait possible de reconditionner totalement un individu. Et qu’est-ce que la crise actuelle, sinon une très pernicieuse forme de guerre psychologique livrée contre les peuples ?

Cet empire de Big Pharma, dont on ne peut pas dire, qu’il a été fondé par des enfants de chœur, prospère en réalité sur le business de la maladie, car un individu saint et bien portant est un client potentiel de perdu. Il faut bien avoir conscience que cette industrie est la plus puissante de toute la planète : elle dégage plus de profits que l’automobile, la chimie et l’aviation confondues ! Connaissant ce passé des plus troubles, en vertu de quoi serions-nous sommés de croire sur parole ces criminels aux pratiques douteuses, voir mafieuses ?

D’autant plus que nous avons déjà eu un précédent historique très similaire dans son déroulement et d’ailleurs de manière fort troublante avec l’expérience malheureuse, le monumental fiasco du H1N1, où les vaccins que l’on nous avait déjà vendu comme très sûrs ont aboutis à de nombreux cas de narcolepsie, de catalepsie, ou encore des syndromes de Guillain-Barré, dont les victimes ont vu leurs vies à tout jamais bouleversées et ont eu toutes les peines du monde à se faire dédommager, même onze ans après… Le lien entre ces graves maladies, incurables fortement invalidantes et cette campagne de vaccination ne fût établi que deux ans après les faits. Dans le “Rapport Numéro 685 du Sénat portant sur cette Grippe de H1N1” de 2009, la gestion déplorable de l’OMS a été gravement remise en cause avec des soupçons de corruptions et de conflits d’intérêts majeurs en son sein et l’évocation de la possibilité que cet organisme soit allé jusqu’à inventer cette pandémie de toute pièce en étant sous l’influence des industries pharmaceutiques désireuses de rentabiliser leurs investissements grâce à l’application des plans nationaux. Doit-on en déduire que le Sénat serait donc une institution complotiste pour en arriver à de telles conclusions ? Tout se passe avec cette crise comme s’ils avaient remis le couvert dix ans plus tard, mais en mettant les bouchées doubles.

Pour ce qui est de ces différents vaccins anti-COVID19, aucune véritable étude indépendantes n’ont été communiquées au public afin de prouver leur innocuité. Nous avons juste eu le droit à des communiqués de presse enthousiastes des laboratoires, qui nous garantissent sur parole une efficacité allant au-delà de 90 pourcents. Mais, comment peut-on d’un côté se prévaloir d’une telle efficacité vaccinale, proche des cent pour-cent, et dans le même temps maintenir toutes les mesures de protection, les gestes barrières pour les personnes vaccinées, car il est affirmé dans le même temps que ces vaccins miraculeux seraient bien incapables de casser la transmission du virus. Il y a là une très lourde et insoluble contradiction. Pour prendre en charge nos vies, nous devons juste nous contenter de la parole d’escrocs multi-récidivistes, compter sur leur bonne foi et leur éventuelle rédemption. C’est un peu léger.


Cependant, d’après le Code de Nuremberg, qui fut élaboré après-guerre pour mettre un terme définitif aux crimes des expérimentations nazies, tout acte médical sur la personne humaine nécessite au préalable un consentement éclairé, c’est-à-dire de connaître les véritables bénéfices et les risques potentiels. Une condition qui n’est ici absolument pas remplie, puisque l’on a strictement aucun recul sur ces derniers, avec une totale carence d’évaluation sur le long terme


Un consentement éclairé dont les Labos se passent aussi visiblement allègrement, en désignant d’office comme volontaires certaines personnes âgées dans leur maison de retraite, comme la pauvre Mauricette. Cette brave dame, âgée de 78 ans fut, à sa grande surprise, l’heureuse élue si l’on peut dire, la toute première Française à tendre son bras sous l’œil voyeuriste des caméras pour les besoins de cette grossière mise en scène. Manifestement, nous sommes là dans de l’abus de pouvoir et de confiance caractérisés sur une personne faible. Il faut bien préciser qu’il s’agit là, concernant les personnes âgées, d’un essai sauvage, d’un essai clinique dissimulé, puisqu’elles ne correspondent en rien aux profils des tests cliniques réalisés jusqu’à présent, alors qu’elles ont pourtant un système immunitaire bien différent et spécifique du reste de la population… Mais qu’importe, si une hécatombe advenait, puisqu’après tout, comme le souligne Laurent Alexandre, haut fonctionnaire et fondateur de Doctissimo, avec un art consommé pour le cynisme : «Vu l’âge moyen des gens qui meurent qui est très élevé,  la population que l’on vaccinerait est une population qui a une espérance de vie résiduelle.»

Au sujet de cette campagne de vaccination en maisons de retraite, qui serait soi-disant basée sur le volontariat et le consentement, des témoignages remontant du terrain font état des pires pressions exercées sur les résidents, pour les contraindre à céder. En effet, en cas de refus, plus de réfectoire commun, plus d’animation commune, impossibilité de se promener dans les couloirs, plus aucun contact humain avec aucun autre pensionnaire même en respectant les gestes barrières, confinement strict et seul dans sa chambre, plus de sorties coiffeur, boulangerie sans test de retour et en cas de visite, masque obligatoire et interdiction formelle de manger ensemble… Ces établissements songent même à exclure définitivement les derniers irréductibles de la liste de leurs pensionnaires. Il me semble que même les chiens dans un chenil ont droit à plus d’égards et de considération… À vomir !

De son côté, le PDG de “Pfizer”, Albert Bourla, ne semble pas vraiment pressé de se faire inoculer avec ses propres produits, que dans sa grande bonté d’âme, il réserve par charité aux plus faibles de la société. Grand seigneur, il annonce ainsi que, je cite : «J’ai 59 ans, je suis en bonne santé, je ne travaille pas en première ligne, donc mon profil n’est pas recommandé pour la vaccination. Dès que je peux, je le ferai. Le seul problème, c’est que je ne voudrais pas donner l’exemple comme quoi je passerai avant les autres.» Le même type d’arguments fallacieux que reprend en cœur notre classe politique, qui pour la toute première fois aurait quelques scrupules à user de passe-droits par rapport au reste de la population. Risible !

Comble de la folie dans ce monde devenu de plus en plus ubuesque, il est même question de continuer les privations de liberté, le port du masque et les distanciations sociales, même après vaccination ! Mais dans ce cas, à quoi pourrait-elle donc bien servir et pourquoi nous l’imposer absolument sous les pires pressions, menaces et contraintes ?


L’identité numérique, pour suivre les individus à la trace


De toute évidence, le but de la vaccination n’est pas d’ordre sanitaire, mais bien politique : il s’agit de parvenir à une normalisation du port de l’identité numérique par chaque citoyen.

Une identité numérique qui est portée par le projet datant de 2016, “ID2020” appuyé entre autres par la GAVI de Bill Gates et la “Fondation Rockefeller”. Il s’agit d’une alliance de partenaires public-privés dont des agences des Nations unies. Ils considèrent cette nouvelle identité numérique biométrique comme faisant partie intégrante des droits de l’homme. Il faut croire que pour eux, le fait d’être en permanence tracé et suivi comme du bétail, serait donc un droit… Quelle spectaculaire inversion  !

Cette nouvelle identité regrouperait son permis de conduire, son passeport, son badge de travail, son dossier d’impôts, sa carte bancaire de crédit et de débit, sa carte de transport en commun, ou encore sa carte d’accès à un immeuble. La justification de ce projet est de répondre aux besoins grandissants inhérents au développement des échanges numériques et à la nécessité de sécuriser ses données personnelles. Cette identité propre à chaque individu devrait fusionner avec son identifiant numérique pour accéder à internet. Ceci actera la fin toute forme d’anonymat sur la toile et introduira la possibilité de déconnecter de certains services ou de toutes les activités en ligne les individus jugés comme nuisibles ou représentant un danger pour le corps social. Autant dire que la liberté d’expression qui est déjà à l’heure actuelle sérieusement menacée sera de l’histoire ancienne. Ce sera une société de surveillance totale, où la surveillance de masse pourra s’opérer sur tous les plans, aussi bien dans nos activités sur l’espace virtuel avec le flicage renforcé d’internet, mais aussi sur le plan physique avec la reconnaissance faciale et le pass sanitaire. Et bien sûr, pour faire passer la pilule, on nous brandit de plus en plus dans les médias la menace de cyberattaques redoutables, tout comme on a instrumentalisé la menace terroriste pour encadrer de plus en plus les libertés publiques.

Bill Gates a déclaré sur “Reddit” que des “Certificats Numériques” seraient utilisés pour identifier les personnes ayant reçu le vaccin COVID-19 à venir. Soit, la mise en place d’un carnet de vaccination injecté sous la peau sous forme de nanoparticules, que l’on pourrait consulter à l’aide d’un smartphone. Ces certificats seraient également utilisés pour identifier qui pourrait ou non exercer une activité commerciale. Voilà qui est extrêmement inquiétant et très grave du point de vue de nos libertés individuelles et fondamentales ! Comme le rapporte le journal “le Monde” dans une dépêche de l’AFP du 19 décembre 2019, le Kenya et le Malawi furent utilisés comme zones de test pour un carnet de vaccination injecté sous la peau. Des ingénieurs américains ont mis au point un marquage et une vaccination sous-cutanés encapsulés dans des nanoparticules.


Le 27 août 2021, L’OMS a publié un document pour un “Certificat de Vaccination Numérique” basé sur la technologie blockchain pour chaque pays. Il est financé par la Fondation “Bill & Melinda Gates” et la “Fondation Rockefeller”.

Dans certains districts des États-Unis, “Microsoft” commence déjà à tracer les enfants, avec un système de QR-code qui leur est nécessaire pour pénétrer dans l’enceinte de leur établissement scolaire. Ils sont scannés à l’entrée de leur école.


Les QR-codes servent à numériser la personne humaine, à la réduire à l’état de numéro et d’objet, à nous relier au monde digital, pour mieux nous contrôler. Ils sont une interface homme-machine, la passerelle vers le futur monde transhumain.



CHAPITRE 3
LA DÉRIVE TOTALITAIRE



«Jamais l’esclavage n’est aussi bien réussi que quand l’esclave est persuadé que c’est pour son bien.» – Aristote

«Nul n’est plus esclave que celui qui se croit libre sans l’être» – Johann Wolfgang Goethe

«Les gens croient être libres, mais ils sont seulement libres de le penser !»Jim Morrison

«Nous ne vivons pas, nous sommes conditionnés, endoctrinés, manipulés, pour n’être que des serviteurs d’un système.»Pierre Rabhi

«La victime de la manipulation mentale ignore qu’elle est une victime. Les murs de sa prison lui sont invisibles et elle se croit libre.» – Aldous Huxley, écrivain et philosophe.

«Le jour n’est pas loin peut-être où il nous semblera aussi naturel de laisser notre clé dans la serrure, afin que la police puisse entrer chez nous nuit et jour, que d’ouvrir notre portefeuille à toute réquisition.» – Georges Bernanos

«Quand les nazis sont venus chercher les communistes, je n’ai rien dit, je n’étais pas communiste. Quand ils ont enfermé les sociaux-démocrates, je n’ai rien dit, je n’étais pas social-démocrate. Quand ils sont venus chercher les syndicalistes, je n’ai rien dit, je n’étais pas syndicaliste Quand ils sont venus me chercher, il ne restait plus personne pour protester.» – Martin Niemöller

«Le totalitarisme, c’est un pacte avec le diable : il te donne le confort, il te donne d’avoir l’impression d’arrêter de souffrir temporairement et que ce soit facile, et en échange, il prend ton âme. Et pour beaucoup de gens, ils ne savent pas ce que c’est que leur âme, ils s’en foutent, ce n’est pas grave. Et donc, ils acceptent. Mais l’âme, c’est cela, c’est la liberté, c’est la capacité d’être en lien les uns avec les autres, c’est la capacité d’expérimenter.» – Dr. Louis Fouché

«Lorsqu’on voit des gens très instruits contempler sans broncher l’oppression et la persécution, on ne sait ce qu’il faut mépriser le plus de leur cynisme ou de leur aveuglement.» – George Orwell

«Avant, ils vous envoyaient en Sybérie ou à Guantanamo. Aujourd’hui, ils attendent que vous vous desséchiez.» – Jean Lassale

Pourquoi peut-on observer dans le monde entier une telle débauche de moyens, un tel emballement pour un virus qui somme toute, tue à peine plus qu’une grippe saisonnière ? Ainsi, l’éminent médecin épidémiologiste et spécialiste mondial de l’analyse John Ioannidis conclut dans son étude publiée dans le bulletin de l’OMS le 14 octobre 2020 que le taux de mortalité par infection se situe dans la plage d’une vague de grippe normale. Ce dernier ne tuerait en effet pas plus que 0,05 pourcents des personnes infectées et dans l’immense majorité des personnes âgées, avec un âge médian de 84 ans alors que l’espérance de vie est de 82 ans ? À titre de comparaison, la mortalité d’Ebola est de l’ordre de 80 pourcents de décès chez les contaminés… D’après les chiffres officiels, en France, il y aurait eu 75 000 morts en 2020, mais avec 90 pourcents des entrées en réanimation avec des comorbidités. On peut donc en déduire qu’il y a eu en réalité 7 500 morts directement imputables au Coronavirus l’an dernier. Malgré la pandémie, la population française a augmenté de 3 pourcents et la population mondiale de 5,62 pourcents. Le taux de survie des 0 à 69 ans et de 99,82 pourcents. Celui des 70 ans et plus est de 94,6 pourcents avec des comorbidités élevées et d’autres causes de décès potentielles. Pour l’année 2020, il y aurait eu 76 décès en dessous de 30 ans sur tout le pays et on se permet d’hypothéquer tout l’avenir des jeunes générations pour de tels chiffres, c’est juste délirant et criminel. De telles mesures aussi disproportionnées pour un virus aussi peu mortel, c’est du jamais-vu dans toute l’histoire humaine… Comment peut-on justifier de détruire les nations, les économies, les peuples, les familles, les enfants avec un virus si peu létal ? En outre, il faut bien avoir conscience qu’un virus ne peut d’ailleurs pas être, à la fois très contagieux et très mortel, c’est soit l’un, soit l’autre. Car, en toute logique, un virus très mortel n’a pas le temps de se transmettre, il tue son hôte avant de pouvoir le faire. Et dans le cas du coronavirus, c’est clairement la contagiosité qui prédomine…

Cela, mérite-t-il un changement complet de civilisation, un bouleversement de nos modes de vie, de nos relations et interactions sociales  ? En somme, de perdre à tout jamais ce qui fait l’essence même de la vie et de notre humanité ? Un “Grand Reset”, comme aiment à l’appeler les dirigeants du Forum Économique Mondial ?

Même Klaus Schwab, dans son livre “COVID-19, la grande réinitialisation” l’avoue lui-même : «Au niveau mondial, si l’on considère le pourcentage de la population mondiale touchée, la crise du coronavirus est (jusqu’à présent) l’une des pandémies les moins meurtrières que le monde ait connues au cours des 2000 dernières années. Selon toute vraisemblance, à moins que la pandémie n’évolue de manière imprévue, les conséquences de la Covid-19 en termes de santé et de mortalité seront légères par rapport aux pandémies précédentes.» Pourtant, dans le même temps, le même individu affirme conjointement que le monde ne sera plus jamais le même et qu’il n’y aurait aucun retour en arrière possible… N’est-ce pas totalement contradictoire et une forme d’aveu que cette pandémie n’est en réalité qu’un pur prétexte et qu’il ne s’agit en aucun cas d’un problème d’ordre sanitaire, mais exclusivement d’une volonté politique délibérée.

D’autre part, pourquoi ne jamais avoir mis en place la moindre consultation populaire pour la gestion de toute cette crise qui engage et impacte en profondeur nos vies à tous et qui met en péril jusqu’aux fondements même de notre contrat social ? Ce choix radical de nouvelle société, voire de civilisation n’est-il pas avant tout un choix citoyen, qui devrait revenir au peuple et non à une clique de technocrates mondialistes élus par personne…

Par ailleurs, comment se fait-il que la santé de milliards de personnes sur cette planète relève de la volonté unique d’une poignée de puissants mégalomanes et notamment d’un certain Bill Gates, cet informaticien et redoutable homme d’affaires si peu scrupuleux, ce faux philanthrope qui n’a strictement rien à voir avec le domaine médical et du soin ? Pourtant il est avec la plus grande complaisance gratifié par la presse du titre de «médecin le plus puissant au monde». Il est traité comme un chef d’État tant aux Nations Unies, qu’à l’OMS ou au G20. Ironie du sort, avant de s’intéresser de très près à notre santé, il était spécialiste des virus, mais informatiques ! Comment se fait-il qu’une petite clique de puissants se permettent de vouloir révolutionner le monde, en annonçant de manière arrogante et unilatérale leur volonté d’imposer leur vision de la société, alors qu’ils n’ont aucune légitimité démocratique, au risque de nous faire basculer dans une véritable dictature techno-fasciste ?

Un monde kafkaïen

Pourquoi déployer une telle débauche de moyens de coercition, de répression et de surveillance, pour une affaire qui relèverait de la santé publique ? Ainsi, en pleine Pandémie, on sera surpris de croiser paradoxalement plus de patrouilles de police ou de drones que d’ambulances ! Relevons au passage, que si le gouvernement n’est pas capable de déployer l’armée pour soigner les malades dans des hôpitaux militaires de fortune, il peut déployer cette même armée dans des vélodromes, afin de vacciner à tour de bras.

Autre dérive totalitaire détestable de ce nouveau monde parfaitement invivable et infernal : on entretient aussi la division dans la population, on encourage la délation, comme lors de l’une des plus sombre et funeste époque de notre histoire. C’est ainsi par exemple, que certaines municipalités, ont jugé bon de mettre en place avec les acteurs locaux et associatifs des patrouilles dites citoyennes pour surveiller la soirée du réveillon et s’assurer en bons kapos de la brigade sanitaire que les consignes gouvernementales sont bien respectées à la lettre… Certains s’en donnent à cœur joie dans la dénonciation, allant jusqu’à confectionner des lettres anonymes à l’aide de lettres découpées dans des journaux et collées sur une feuille de papier pour balancer leurs voisins à la kommandantur. Véritable tradition nationale, la dénonciation pendant le premier confinement a représenté 70% des appels à la police dans certaines grandes agglomérations françaises. La collaboration à décidément de beaux jours devant elle. Une aubaine pour ce régime de plus en plus ouvertement totalitaire, qui sans ses plus fidèles serviteurs ne pourrait pas se mettre en place. Une bonne partie du peuple manipulé devient le premier instrument du contrôle de la population, avec toute une armée de petits soldats qui deviennent les alliés objectifs au service de l’élite dirigeante.

Voilà qui rappelle furieusement l’expérience en psychologie sociale qui fut menée dans la prison de Stanford, où l’on donnait autorité à tout un groupe d’individus lambda sur un autre groupe, avec le pouvoir de surveiller et de punir ces derniers… Certains, forts de cette nouvelle autorité qui leur est conférée, se prêtent alors très bien au jeu, se faisant les relais zélés du pouvoir en se prenant pour des justiciers investis d’une mission. On a là une éclatante démonstration de ce que la philosophe Hannah Arendt définissait comme «l’extraordinaire banalité du mal». Désormais, tout le monde surveille tout le monde, et tout le monde se méfie de tout le monde ! Soit la mise en place d’une société paranoïaque et Kafkaïenne, atteinte par une forme de  psychose et de contagion délirante collective. Comme déboussolés, beaucoup d’individus ont abandonné leurs repaires moraux et éthiques.



Des abus de pouvoir en tout genre tout autour du monde


 

«Si vous désirez une image de l’avenir, imaginez une botte, piétinant un visage humain… Éternellement…» – Georges Orwell

«Nous courons le danger d’être allés nous coucher la veille dans un monde qui était déjà devenu fasciste sans que nous en soyons aperçus.» – Koestler

«En réalité il n’avait rien fait. Il s’était contenté d’obéir aux ordres; depuis quand est-ce un crime d’obéir aux ordres ? Depuis quand est-ce une vertu de se rebeller ? Depuis quand serait-ce de la décence de préférer la mort ?»Hannah Arendt, “Culpabilité organisée et responsabilité universelle”, in “Humanité et Terreur”


En outre, depuis le début de cette pandémie, on ne compte plus les abus de pouvoir et de la violence gratuite émanant des forces de l’ordre, ou même de simples contrôleurs de magasin. On a ainsi pu assister incrédule à des scènes surréalistes, comme :

  • Une vielle dame atteinte de la maladie d’Alzheimer, qui s’est vue verbalisée pour avoir mal renseigné l’heure sur sa fiche de sortie ;

  • Des policiers intervenir suite à une dénonciation pour verbaliser des villageois et leur maire en plein deuil d’un maraîcher suicidé, car ruiné par cet État criminel. Les policiers n’ont pas eu le moindre scrupule à venir dresser des contraventions, car pour trouver un peu de réconfort en ce funeste jour, ils s’étaient regroupés dans un bistrot pour lever un dernier verre d’adieu en l’honneur de leur défunt compagnon ;

  • En octobre 2020, des terrasses de café furent évacuées manu militari par la BRAVM pour “non respect des distanciations sociales”, ne laissant même pas la  possibilité aux clients attablés de finir leurs consommations dûment payées.


  • Un escadron de dix gendarmes, armés jusqu’aux dents de fusils d’assaut débarquer sur une plage quasi déserte pour verbaliser une famille avec ses enfants en train de paisiblement pique-niquer, alors que dans le même temps, certains privilégiés s’empiffrent dans des restaurants de luxe clandestins… On aimerait bien voir autant de zèle et une telle débauche de moyens pour venir arrêter les pédophiles qui sévissent en toute impunité sur les réseaux sociaux. 450 euros d’amende pour avoir osé boire un verre de rosé pendant un pique-nique.

  • Un médecin en intervention urgente verbalisé pour non-respect du couvre-feu !

  • Un magasinier d’un magasin Carrefour inquiété par deux gendarmes pour un masque porter sous le nez.

  • Un patient admis en urgence au CHU de Brest pour y subir une opération de la main, suite à un doigt coupé dans un accident du travail, fut littéralement maltraité par le personnel soignant. Il fera l’objet de plusieurs manquements graves lors de sa prise en charge. En effet, les infirmiers lui avait imposé d’effectuer un test RT-PCR COVID-19, avant de pouvoir procéder à l’opération. Le patient a alors refusé catégoriquement de faire ce test, car étant sujet à de violentes migraines, mais il leur a proposé une prise de sang comme test alternatif. S’en est suivi un odieux chantage pour refuser de faire l’opération du doigt avec une négation des droits élémentaires du patient, dont le fameux consentement libre et éclairé, qui sera ici totalement bafoué par les soignants. Ces derniers finiront par lui imposer le test PCR par la force. Plus de 24 heures après les faits, cet homme pourtant robuste, est toujours traumatisé et en état de choc.

  • Encore plus sordide, suite à un test COVID-19 positif, Georges Bordes, un pensionnaire âgé de 93 ans de l’Ehpad de la Chevalière à Mazamet, s’est vu imposer une ordonnance de contention afin de ne pas risquer de contaminer ses voisins résidents. Il fut alors ficelé sur son fauteuil et isolé dans sa chambre. Après quinze jours de cet inhumain traitement, le malheureux fut retrouvé mort ! Son fils, qui poursuit l’établissement pour homicide involontaire, témoigne : «Il est resté durant les quinze jours qui ont précédé son décès, entravé sur ce fauteuil en journée et sous somnifères importants la nuit. Tout cela afin qu’il ne puisse quitter sa chambre et déambuler.»

  • Un père, le journaliste citoyen Gabin Formont du média indépendant Vécu, se faire débarquer avec sa petite famille d’un train SNCF, avant de se voir violemment plaqué au sol devant sa petite fille traumatisée et en sanglots pour simple port d’un masque jugé trop lâche car sous le nez ! À moins qu’il ne s’agisse de méthodes d’intimidations visant à décourager cet activiste militant…

  • Chez nos voisins hispaniques, on a même vu une dame se faire littéralement taser en pleine rue et hurler à la mort pour non-port du masque !

  • En Australie, on a aussi vu un agent de sécurité d’un hôtel de Melbourne se saisir d’un adolescent sans masque, avant de littéralement lui enserrer la gorge pour l’étouffer jusqu’à le rendre inconscient, pour finir par le traîner par terre, comme une vulgaire poupée de chiffon totalement inerte…

  • Au Québec, en pleine soirée de réveillon, cinq policiers sont intervenus de manière très musclée chez un particulier, allant jusqu’à tirer le plus jeune fils hors de son domicile, pour finir par le tabasser et le poivrer !

  • En Belgique, où les mesures pour le soir du réveillon ont été particulièrement drastiques, on a vu, suite à une odieuse dénonciation du voisinage, un escadron de policiers débarquer manu militari chez un particulier qui avait eu le malheur d’inviter trop de convives, passant outre les injonctions officielles sur les mesures de confinement. Après un échange très tendu et filmé, la propriétaire des lieux, une femme d’un certain âge, s’est littéralement vue entraînée dans un déchaînement de violence inouïe, en finissant tabassée à même le sol par un policier en roue libre, alors qu’elle a le visage tuméfié sous l’effet des coups… Inimaginable ! Il faut croire que les mesures de distanciation sociales n’ont plus cours, lorsqu’il s’agit de tabasser les gens.

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    En Belgique, un regroupement pacifique d’adolescents en plein air, réunis dans la grande plaine du bois de la Cambre de Bruxelles pour passer un moment convivial, fêter, rire, chanter, danser, en un mot, vivre, ont été dispersés par la police de la plus expéditive manière. On a alors assisté à une débauche de moyens, avec le déploiement d’un dispositif policier absolument démesuré composé de brigades canines, équestres, d’autopompes, de petits véhicules blindés, de vélos le tout étant surplombé par un hélicoptère décrivant des cercles continus. Telle une féroce cohorte de Spartiates bien décidée à en découdre, ils ont alors encerclé et nassé les impudents jeunes festifs, en les intimidant en martelant en cadence et d’un ton martial leurs matraques sur leurs boucliers, avant de se lancer dans un violent assaut et de procéder à plusieurs interpellations musclées. Le plus abject étant encore de voir au beau milieu de cette surréaliste scène de chaos, un ado qui fut chargé et fauché en pleine course par un cheval de la police-montée.

  • En Belgique, un propriétaire et ses convives, dont un instituteur et sa compagne, ont été littéralement roués de coups, matraqués et menottés, par la police. Leur seul crime : avoir eu l’outrecuidance de passer le réveillon à quatre adultes et deux enfants… L’homme, père de famille, jugé pas assez coopérant, a même été directement braqué avec une arme de service devant son enfant terrorisé et criant «Ne tuez pas mon papa !» Un fait de terrorisme sanitaire intolérable qui méritait sans nul doute une bonne correction. Mais soyez rassuré, pour le bien et la sécurité de tous, ces deux criminels en puissance, véritables dangers publics pour le bien de la société et la santé de leurs concitoyens ont terminé leur soirée de réveillon en cellule au commissariat, sous bonne garde.

  • En Belgique, Muriel Hubin, une infirmière, opposante à la gestion de toute cette crise sanitaire qui témoigne régulièrement dans des échanges vidéos sur Internet a été raflée et empoignée par le bras par des policiers en civil à la décente d’un train, alors même qu’elle se rendait à une manifestation. Elle fut retenue arbitrairement plusieurs heures durant en garde à vue au cachot, avec fouille corporelle intégrale en prime, le tout sans réel mobile annoncé et sur simple décision du bourgmestre. On se croirait revenu au temps des milices de la Deuxième Guerre mondiale, avec des services de renseignement, de basse police, des dénonciations, des menaces, des pressions et des intimidations…

  • En Belgique, on empêche les gens de s’asseoir sur un banc dans des parcs naturels pour se détendre, ou de jouer au badminton sans masque en plein-air tandis que des patrouilles équestres surveillent étroitement les allées et venues des promeneurs…

  • À Paris, on a aussi assisté ahuris à une scène proprement surréaliste, une grotesque démonstration de force, avec sur les quais de la Seine, un déploiement massif de centaines de policiers missionnés pour empêcher les promeneurs oisifs parisiens de profiter au grand air de leurs berges, alors qu’elles sont pourtant si spacieuses. Mais qu’elle peut bien-être au juste la pertinence d’une telle mesure, puisque depuis une année, il y a déjà eu plusieurs très gros rassemblements en extérieur, comme une “Rave party” clandestine qui avait fait couler beaucoup d’encre dans les médias, ou encore des rassemblements massifs pour des manifestations, avec par exemple un million de gens à Berlin… Et ne parlons pas des métros quotidiennement bondés. Malgré tout cela, on a déploré par la suite la survenue de strictement aucun “clusters” ! Le virus n’étant pas exogène, mais endogène.


  • Autre exemple particulièrement choquant d’abus de pouvoir, les forces de l’ordre, qui dans cette crise ne sont décidément plus à une aberration prête dans cette politique du tout répressif, n’ont pas hésité à taper les malheureux parisiens au portefeuille, pour leur imposer un couvre-feu des plus stricts dès 18 heures tapantes ! Ils ont ainsi sanctionné, sans le moindre état d’âme les automobilistes se pressant de rentrer chez eux après le travail et qui étaient encore malheureusement bloqués dans l’intense circulation du périphérique. Une mesure aussi inutile que purement gratuite, générant par la même des heures durant, un immense bouchon de plus de 400 km et entraînant l’incompréhension et l’exaspération la plus totale des automobilistes tombés dans ce véritable traquenard. Ces derniers, isolés dans l’habitacle de leur voiture, ne représentant pourtant d’un point de vue sanitaire strictement aucune menace, contrairement aux usagers des métros bondés entassés comme des sardines. Encore plus fou et incompréhensible : d’autres automobilistes malencontreusement bloqués par un accident de la route se sont vu administrer le même tarif pour avoir dépassé bien malgré eux l’heure fatidique ! À croire que toute notion de discernement fait désormais partie du passé.

  • Aux Pays-Bas, l’annonce d’un nouveau confinement a entrainé des manifestions anti-passe sanitaire à Rotterdam qui ont conduit à ce que la police tire à balles réelles sur la foule. Heureusement, aucun mort à déplorer, mais sept blessés.

Force est de constater que malheureusement, ces débordements surréalistes et profondément choquants semblent maintenant se multiplier un peu partout aux quatre coins de la planète et ne sont donc pas des épiphénomènes. Les libertés les plus élémentaires sont désormais sérieusement bafouées et remises en cause… Les policiers semblent pouvoir agir en toute impunité, sans doute couverts par leur hiérarchie. Les pervers sont encouragés à laisser libre cours à leurs pulsions sadiques, à exprimer leur cruauté innée, sans crainte de la moindre sanction. De telles dérives sont d’autant plus alarmantes, qu’elles concernent manifestement des citoyens lambda et des familles sans problèmes particuliers, ni antécédents avec la police… Désormais, ce déchaînement de violence n’épargne plus personne et peut s’abattre jusque dans l’intimité de votre domicile où les policiers pénètrent dans les maisons privées sans mandat pour procéder à des arrestations de particuliers qui soupent en famille.

Serait-ce le grand retour des SS, rebaptisés en “Services Sanitaires” pour l’occasion ?

Nous avons basculé dans un régime totalitaire, où l’on peut aussi jeter en hôpital psychiatrique de simples opposants politique. Ce fut le cas pour un citoyen très remonté qui a simplement eu l’outrecuidance de pousser un cri de colère en plein direct d’un journal TV du 20h, en scandant un “Macron démission !” et un “Benalla en prison !”. Un crime de lèse-majesté intolérable pour l’image du petit roitelet. Un jeune homme qui avait l’audace de jeter un œuf sur l’auguste crâne du monarque Républicain a également écopé du même tarifs, avec un séjour express en HP.

Dans les manifestations contre les mesures sanitaires autoritaires, on se retrouve face à des Robocops sur-équipées en armure et exhibant des armes de guerre, comme des fusils d’assaut avec une puissance de feu de tirs en rafales, pour faire face à de simples citoyens, qui dans leur écrasante majorité sont totalement pacifiques et désarmés. Ces forces de l’ordre, bras armé de l’exécutif, n’hésitent pas de temps à autre à réaliser des démonstrations de force et à littéralement tabasser des civils, sans doute pour l’exemple. Signalons aussi que le ministère de l’Intérieur français a passé une commande de 90 véhicules blindés destinés au maintien de l’ordre de la population. La valeur totale du marché décroché par la société “Soframe” s’élève à plus de plus de 57 millions d'€. Plutôt que d’investir dans des hôpitaux et du personnel soignant, le gouvernement privilégie l’achat de blindés… Ce n’est donc pas une épidémie mais une guerre qu’il mène contre le peuple.

Quelle est la nature de cet État qui semble de plus en plus considérer son propre peuple comme un ennemi intérieur de type militaire, à mater et à soumettre ? En tous les cas, il est tout de même paradoxal et totalement inconcevable, vous en conviendrez, de commencer à avoir plus peur des forces de l’ordre que des délinquants… La police est détournée dans le cadre d’une guerre privée livrée au peuple. Les policiers sont tout de même censés avant tout protéger leurs citoyens et ne pas agir en milices pour servir et protéger on ne sait qui. Force est de constater que comme le dit la célèbre expression de Victor Hugo : «La police est partout, mais la justice nulle part !» Si avant, ils gardaient la paix, maintenant ils instaurent et protègent le nouvel ordre…


L’État “Big Brother”

«L’État, c’est ainsi que s’appelle le plus froid des monstres froids et il ment froidement, et le mensonge que voici sort de sa bouche : “Moi, l’État, je suis le peuple.”» – Friedrich Nietzsche


Par ailleurs, on peut aussi légitimement s’inquiéter de voir l’État s’ingérer de plus en plus au sein de notre vie privée, au cœur même de notre intimité pour manifester des velléités de surveillance, de régulation et de contrôle, comme par exemple pour la soirée de réveillon, où il préconisait de ne pas être plus de 6 à table, de ne surtout pas chanter au cours du repas et de ne pas partager sa bûche de Noël avec Papy et Mamie qui pour ne pas être exposés, devraient rester confinés dans la cuisine, comme le suggère le néphrologue pédiatre Rémi Salomon !

On ressent d’ailleurs comme une certaine jouissance bien malsaine à faire gober tout et n’importe quoi, d’imposer leurs quatre volontés, toutes les fantaisies qui leur passeraient par la tête, comme un caprice sadique et pervers portés par leur sentiment de toute puissance. On s’imagine sans peine les réunions ministérielles des prises de décisions “sanitaires”, comme une sorte de dîner de cons géant, où l’on se plairait à toujours repousser plus loin les limites, à tester le degré d’aveuglement, de crédulité et de soumission des populations. Le but étant d’avancer étape par étapes toujours plus loin dans leur programme de contrôle.

Cette confusion entre ce qui relève de la sphère privée et du public, ainsi que les velléités de l’État à tout vouloir régenter, du mode de vie aux interactions sociales avec ses proches sont la signature même du totalitarisme. Il englobe toutes les dimensions de la vie, il ambitionne de tout maîtriser : vos sorties, vos relations, votre droit à consommer ou à travailler et jusqu’à vouloir encadrer ce que vous avez dans la tête, ce que vous avez le droit d’exprimer et de penser.

Quelle est la prochaine étape de cette folie furieuse, de ces ingérences insupportables : nous interdire de parler trop fort ou tout court pour ne pas risquer de diffuser des microparticules de virus dans l’air ambiant ? Ou encore, nous interdire la prononciation de certaines consonnes et autres sonorités qui seraient susceptibles d’expulser plus de gouttelettes de salive dans l’atmosphère ? Le postillon deviendrait-il un acte terroriste ? Faut-il bannir certains mots du dictionnaire à trop haut facteur de risques ? Mieux encore, pour couper court à tout risque potentiel de propagation, l’État va-t-il dans un futur proche, nous imposer un implant cérébral permettant de communiquer en mode télépathique avec nos interlocuteurs ? De la science-fiction ? Pas sûr, en Australie, le simple fait de tousser ou d’éternuer dans l’espace public est maintenant interdit et punissable par la loi pour les non vaccinés uniquement, qui peuvent écoper d’amendes pour avoir dérogé à la pureté sanitaire.

Ou encore, allons-nous nous retrouver interdits de faire l’amour de manière conventionnelle, sauf bien entendu en mode “Gloryhole”, avec une plaque de plexiglas obligatoire pour faire écran de protection ? En outre, certaines positions sexuelles comme la sodomie seraient-elles à privilégier, car n’impliquant pas de face-à-face avec son partenaire ? Où peut-on trouver la liste officielle du gouvernement des positions autorisées du “Coronasutra” ?

En tout cas, concernant la “distanciation sociale”certaines entreprises songent maintenant à équiper leurs employés d’un boîtier anti-rapprochement physique, comme le groupe suédois “Essity” avec le déclenchement d’un son de 68 décibels, dès que la zone critique serait franchie… Soit, à peu de chose près, un dispositif comparable à celui qui dissuade les chiens d’aboyer… Le collier de dressage serait donc la continuité logique de la muselière. La prochaine étape serait-elle d’infliger des décharges électriques aux plus rebelles et récalcitrants d’entre nous ?

Dans ce nouveau monde, les spectateurs voulant prendre part à des regroupements publics, des concerts ou des festivals sont séparés, tel du bétail, par groupes de 4 personnes, dans des enclos rebaptisés pour l’occasion, Novlange Orwellienne oblige, en “Zones d’écoutes”.


Sommes-nous rentrés dans une phase de domestication terminale de l’être humain ? Rappelons que le propre de l’être humain est, comme le disait Aristote, d’être avant tout un “animal social”.

L’essence même de la vie est le lien et c’est ce dernier que ces gouvernements s’acharnent à vouloir détruire ! Pourtant, comme l’ont démontré des chercheurs américains, la qualité des liens sociaux est une condition incontournable de la santé des individus, l’isolement affecte et compromet profondément le bien-être physiologique et serait encore plus dangereux que le diabète sur le développement et le contrôle de l’hypertension.


Isoler les individus, pour mieux les contrôler ?


Dans cette déferlante totalitaire, il est maintenant question d’empêcher les gens de parler dans les transports en commun comme le métro si l’on en suit les dernières recommandations du conseil scientifique. De même, en Angleterre, les ministres sont allés jusqu’à débattre de la nécessité d’empêcher les gens de se parler dans la rue, dans les supermarchés, et même de les empêcher de quitter leur domicile plus d’une fois par semaine ! Plus rien ne semble arrêter cette folie… N’est-ce pas là le stade terminal de la dictature, où il n’est même plus possible de parler et où toute forme de pensée alternative ou dissonante avec le fallacieux narratif officiel est de plus en plus criminalisée ?

S’agit-il ici véritablement de se protéger du virus, ou bien plutôt de casser toute possibilité de lien social, toute occasion d’échanger sur la situation entre les gens pour prendre la juste mesure de ce qu’il se passe ? N’est-ce pas avant tout un prétexte pour compartimenter les gens et éviter la circulation de toute information alternative. Car, comment s’assurer de bien faire passer une propagande auprès de la population, si ce n’est en isolant au maximum les individus les uns des autres pour les soumettre en même temps à un matraquage médiatique continuel. La télévision devenant ainsi centrale, absolument incontournable, en jouant le rôle de seule interface intermédiaire avec le monde extérieur et donc en devenant ainsi un puissant et hypnotique outil de formatage et d’endoctrinement à grande échelle, capable de refaçonner les représentations du réel dans les esprits de ceux qui s’y abandonnent en toute confiance.

Un peu à l’image de l’allégorie de la caverne de Platon, où le théâtre d’ombres se substitue au réel. La parole du pouvoir devient alors la réalité d’autrui, dont la juste perception des choses aura été piratée puis reprogrammée.

Il faut aussi savoir qu’avec le manque d’interactions sociales, le cerveau s’atrophie avec certaines de ses zones qui se rétractent. Les synapses du cerveau dépendent de la richesse des interactions avec l’environnement. Nous avons un besoin vital des autres pour nous construire, réfléchir en se confrontant à l’altérité. L’individu ainsi isolé est fragilisé et de plus en plus dépendant de l’État providence.

De même, l’enseignement à distance des jeunes enfants est le biais idéal, la modalité parfaite pour endoctriner les masses et contrôler toujours plus les esprits, en s’assurant d’une totale uniformité et d’une parfaite unification dans les enseignements dispensés, avec de moins en moins d’enseignants et des interactions appauvries.

Ne nous y trompons pas, toutes ces mesures ne sont pas un combat pour la sauvegarde de la santé et de la vie, mais contribuent bien plus à leur destruction… Cessons de suivre aveuglément ces joueurs de flûte qui comme dans la fable de Hamelin nous emmènent tout droit au précipice.



Des camps pour les cas positifs, ou pour les opposants au vaccin ?

«Ceux qui ne peuvent se souvenir du passé sont condamnés à le répéter.» – George Santayana

«Tout ce que l’homme a appris de l’histoire, c’est que de l’histoire, l’homme n’a rien appris.» – George Friedrich Hengel

«En ce qui me concerne, je ne serai jamais vaccinée avec un produit qui n’a pas été testé et qui ne me montre pas que la balance bénéfice/risque est positive, sans effet secondaire à long terme, ce qui n’est à ce jour pas garanti avec ces vaccins. Je ne serai pas réduite à un cobaye de laboratoire et je ne me vaccinerais pas sous prétexte que mon gouvernement me l’impose contre la liberté. Personne n’achète ma liberté, car je suis une personne libre. Je mets au défi la Commission européenne et le gouvernement allemand de me jeter en prison. Mais vous ne pourrez jamais me contraindre à votre vaccination, si le citoyen libre que je suis, décide de ne pas l’être.» - Déclaration de Christine Anderson au parlement européen

«La menace qui pèse sur le monde est celle d’une organisation totalitaire et concentrationnaire universelle qui ferait, tôt ou tard, sous un nom ou sous un autre, qu’importe ! de l’homme libre une espèce de monstre réputé dangereux pour la collectivité tout entière, et dont l’existence dans la société future serait aussi insolite que la présence actuelle d’un mammouth sur les bords du Lac Léman. Ne croyez pas qu’en parlant ainsi je fasse seulement allusion au communisme. Le communisme disparaîtrait demain, comme a disparu l’hitlérisme, que le monde moderne n’en poursuivrait pas moins son évolution vers ce régime de dirigisme universel auquel semble aspirer les démocraties elles-mêmes.» - Georges Bernanos, “La liberté, pour quoi faire?”

«Il y aura dès la prochaine génération une méthode pharmaceutique pour créer une dictature sans larmes, en réalisant des camps de concentration pour des sociétés entières où les gens se verront privés de leurs libertés mais en ressentiront du plaisir.» - Adlous Huxley en 1961

«Ou le siècle à venir sera celui du refus, ou il ne sera qu'espace carcéral.» - Louis Calaferte


Encore plus inquiétant, on commence de plus en plus à évoquer la possibilité de placer les cas positifs COVID dans des camps d’internement, alors même que les tests manquent totalement de fiabilité. Il a en effet été évoqué sur la chaîne LCI, l’hypothèse de séparer les membres de leur propre famille, voir les enfants de leurs parents ! On marche sur la tête, du pur délire…

Au Canada, il a été question au parlement, de la mise en place et de la construction d’une quarantaine de camps de confinement, dont la finalité reste très obscure, bien qu’ils soient officiellement présentés comme des lieux d’isolement pour les voyageurs en provenance d’autres destinations. Ils sont pour le moment définis comme des hôtels de quarantaine ou des maisons de repos. Mais, techniquement, ce sont bien des camps et on a pas le droit ni de les quitter, ni de recevoir de visite. Il pourrait bien s’agir par exemple, de lieux de détention ultérieurs pour les réfractaires à la vaccination. Ce qui est certain, c’est que cela interroge et inquiète vraiment, surtout lorsque l’on constate le décalage abyssal entre la radicalité des mesures prises et la virulence effective du virus…

En Allemagne, les autorités ont même construit, comme le rapporte “le Journal Bild”, un établissement carcéral pour littéralement mettre en cellule les plus récalcitrants aux mesures de confinement. L’établissement situé dans le Land de Schleswig-Holstein s’apprête à ouvrir en février dans la ville de Moltsfelde.

De même en Chine, d’immenses centres de rétention, ou de camps ont été construits, afin de parquer les individus comme des animaux dans de petits conteneurs industriels en taule. Quiconque entre en contact avec une personne testée positive est obligé de vivre dans ces centres de quarantaine pendant 3 semaines à ses propres frais, qui s’élèvent à 300 yuans, soit 46 $ par jour !

D’autre part, l’État de New York a promulgué un nouveau projet de loi, le “Bill A416” pour enfermer dans des camps sur simple ordre du gouverneur, les gens qui présenteraient potentiellement une “menace sanitaire” !

Même inquiétude en Nouvelle-Zélande où la première ministre  Jacinda Ardern a proféré une terrible et fracassante allocution. Tout sourire aux lèvres, elle semblait prendre un plaisir bien malsain à instaurer l’internement en camps de quarantaine des récalcitrants aux mesures sanitaires.

Quant à Roselyne Bachelot, elle propose rien de moins que de la prison pour les patrons qui n’imposeraient pas le pass sanitaire à leurs employés, non sans afficher un léger sourire proprement démoniaque, quand elle annonce, avec une satisfaction qu’elle peine à contenir, l’emprisonnement des individus récalcitrants. Comment peut-on faire preuve d’une telle perversité et d’un tel degré de sadisme, tout en ayant dirigé le ministère de la Santé par le passé ?

Aux Philippines, le Président de la République Rodrigo Duterte menace aussi les réfractaires au vaccin d’enfermement en prison.

En Israël, qui ont un pied d’avance sur la dictature, les citoyens qui doivent voyager peuvent porter des bracelets électroniques de sécurité pour surveiller leurs déplacements, comme s’ils étaient prisonniers de leur propre maison.


En Australie, de gigantesques camps Covid-19 ont également été construits dans chaque État, quels que soient les progrès de la nation en matière de vaccination. Ils sont utilisés pour placer en quarantaine forcée les voyageurs qui arrivent sur le territoire aux frais de ces derniers à raison de 2500 dollars par personne les deux semaines.

Quant aux personnes en quarantaine à leur domicile, elles doivent obligatoirement télécharger une application combinant reconnaissance faciale et géolocalisation, développée par le gouvernement d’Australie-Méridionale, pour prouver qu’elles restent bien à la maison pendant qu’elles y sont contraintes. À tout moment et de manière aléatoire, elles peuvent ainsi recevoir un SMS émanant des autorités et elles doivent alors séance tenante, dans un délai de cinq minutes, scanner leur visage chez eux en activant la géolocalisation. Si une personne ne parvient pas à justifier de son emplacement ou de son identité sur demande, les autorités de santé en informeront alors directement la police qui procédera à une vérification in situ de la personne placée en quarantaine, avec un mandat d’arrêt.

Et la France, pays de la pseudo-liberté et des sacro-saints “Droits de l’Homme” ne fait pas exception puisque pour les réfractaires à la vaccination qui seraient cas contacts primaires ou même secondaires, le Conseil de la Santé de Jérôme Salomon envisage l’imposition de quarantaines strictes et surveillées dans un lieu autre que le domicile !

Nous arrivons sur un modèle de société concentrationnaire, de prison à ciel ouvert, appuyé sur de permanentes menaces de confinement avec un système de “Stop and Go”. Le retour à la normale n’est pas à l’ordre du jour, ni à celui de demain, jamais d’ailleurs, si l’on s’en fie aux propres déclarations de ces psychopathes. Il faut donc partir à la reconquête de ses libertés perdues, où elles le seront à tout jamais. Au programme, ce sera Dictature Ad Vitam Æternam. Il faut bien avoir conscience que le système d’avant ne reviendra plus jamais, car il est condamné par ceux-là même qui l’ont mis en place et le dirigeaient, mais aussi par ceux qui le subissent, comme le confirme sans la moindre ambiguïté Klaus Schwab du “Forum Économique Mondial” : «Beaucoup d’entre nous se demandent quand les choses reviendront à la normale. Pour faire court, la réponse est “jamais”. La normalité d’avant la crise est “brisée” et rien ne nous y ramènera, car la pandémie de coronavirus marque un point d’inflexion fondamental dans notre trajectoire mondiale.»


Des milices au service du Nouvel Ordre ?


On peut légitimement s’inquiéter de voir depuis quelques années la mise en place d’un nouveau contingent de force de gendarmerie européen appelé “EuroGendFor” qui est dédiée à la gestion des crises extérieures. Ses missions officielles seraient la gestion de crises hors du territoire de l’UE, sous l’égide de l’ONU, de l’OTAN, de coalitions internationales, ou de l’U.E. Sous l’égide de l’U.E. Donc, et c’est là où le bât blesse, il suffirait qu’un pays de l’union fasse une demande d’intervention à l’UE et qu’elle l’accepte par exception, pour qu’une intervention dans un des pays européens soit possible. Autant dire que si le peuple se soulève contre les mesures iniques promulguées à son encontre, ces forces étrangères, qui n’auront que peu de compassion à l’égard des populations locales, se tiennent prêtes à intervenir sur tout le territoire européen. Ces effectifs sont habilités à intervenir en substitution ou en renforcement des forces de police locales. Ces forces armées seront alors le bras armé de la tyrannie qui pourra procéder à des arrestations arbitraires et à des rafles des résistants.

Le message de la devise en latin “Lex Paciferat” du blason de l’EuroGendFor” est très martial puisqu’elle signifie que “la loi apportera la paix”.

Il faut aussi souligner que d’après ce qui est stipulé dans “La Convention des droits de l’homme”, dans son article 2 relatif au “Droit à la vie”, il est précisé que «La mort n’est pas considérée comme infligée en violation de cet article dans les cas où elle résulterait d’un recours à la force rendu absolument nécessaire pour assurer la défense de toute personne contre la violence illégale, pour effectuer une arrestation régulière ou pour empêcher l’évasion d’une personne régulièrement détenue, et enfin pour réprimer, conformément à la loi, une émeute ou une insurrection.» Il est donc rendu possible par ce texte de réprimer dans le sang une révolte populaire. De plus, dans son article 5 relatif au “Droit à la liberté et à la sûreté”, il est rappelé que si toute personne a droit à la liberté et à la sûreté et que nul ne peut être privé de sa liberté, ce n’est cependant plus le cas, si la personne a été arrêtée et détenue en vue d’être conduit devant l’autorité judiciaire compétente, lorsqu’il y a des raisons plausibles de soupçonner qu’il a commis une infraction, ou qu’il y a des motifs raisonnables de croire à la nécessité de l’empêcher de commettre une infraction ou de s’enfuir après l’accomplissement de celle-ci, ou encore, s’il s’agit de la détention régulière d’une personne susceptible de propager une maladie contagieuse… Voilà qui dans le cas de la présente pseudo-pandémie laisse présager du pire !

Relevons aussi que l’armée française a mobilisé 10 000 soldats pour se préparer à un éventuel grand conflit en 2023 d’après le journal “The Economist”.


Les non-vaccinés, bouc émissaires jetés à la vindicte populaire

«Je crois qu’il y a deux France : une France des gens vaccinés et une France des gens qui sont dangereux. Dangereux idéologiquement d’abord, parce qu’ils sont fous !» – Raphaël Enthoven

«À la fin de l’hiver, tout le monde sera vacciné, guérit ou mort.» – Jens Spahn, ministre allemand de la Santé, les Allemand

«Les manifestants anti pass sont des tueurs de flics, des ennemis de la République et de la démocratie, des antisémites, des abrutis qui veulent contaminer et tuer les autres…» – Laurence Saillet sur Cnews

«Ça serait un bon moyen de sélection naturelle de voir mourir les non vaccinés… » – Anastasia Colosimo (hilare en pronçant ces mots sur le plateau de Pujadas)

«On peut demander à ceux qui ont les noms des non vaccinés de donner ces fichiers à des brigades, à des agents, à des équipes, qui vont aller frapper à leur porte.» – Christophe Barbier éditorialiste et agent de renseignements

«Il n’y a que deux conceptions de la morale humaine, et elles sont à des pôles opposés. L’une d’elles est chrétienne et humanitaire, elle déclare l’individu sacré, et affirme que les règles de l’arithmétique ne doivent pas s’appliquer aux unités humaines – qui, dans notre équation, représentent soit zéro, soit l’infini. L’autre conception part du principe fondamental qu’une fin collective justifie tous les moyens, et non seulement permet mais exige que l’individu soit en toute façon subordonné et sacrifié à la communauté – laquelle peut disposer de lui soit comme d’un cobaye qui sert à une expérience, soit comme de l’agneau que l’on offre en sacrifice.» Koestler, A. Le Zéro et l’Infini.

«S’il vous faut persuader, rappeler, mettre la pression, mentir, inciter, contraindre, intimider, faire honte, culpabiliser, menacer, punir et criminaliser… Si tout cela est nécessaire pour obtenir votre consentement, vous pouvez être absolument certain que ce qui est promu n’est pas dans votre meilleur intérêt.» – Ian Watson, Écrivain

«C’est la première fois dans l’histoire que l’inefficacité d’un médicament est imputée à ceux qui ne l’ont pas pris.» – Dr. Robert Malone

«Ce que le troupeau déteste le plus, ce sont ceux qui pensent différemment; ce n’est pas tant l’opinion elle-même que l’audace de penser par soi-même, ce qu’ils ne peuvent pas faire.» – Arthur Schopenhauer

«Les détenus ne sont pas des cobayes ! Ils ont le droit de refuser la vaccination. C’est une question de dignité»Eric Dupond-Moretti, Garde des Sceaux


On peut légitimement s’inquiéter de voir que les réfractaires au vaccin sont de plus en plus désignés comme une menace pour tout le reste de la communauté, relégués au ban de la société, ils sont jetés à la vindicte populaire, ils deviennent les nouveaux ennemis publics numéro un. Par glissements progressifs et insidieux, on est ainsi passé de la désignation du virus comme ennemi à combattre à celle des non-vaccinés. Si nous sommes dans une guerre contre un ennemi et un danger extérieur, celui qui ne participe pas à l'effort de guerre devient lui-même un traître, un déserteur et un ennemi de l'intérieur. Dans cette logique folle, éliminer l'ennemi intérieur permet de neutraliser la menace extérieure. Ces derniers sont traités en brebis galeuses, comme les victimes expiatoires toutes trouvées à sacrifier en place publique par le reste d’une population qui est chauffée à blanc. Certains suggèrent déjà de les isoler et de les enfermer. La transformation de l’opposant en criminel délinquant ou en bouc-émissaire est bien la marque indéniable d’une profonde dérive totalitaire. Ils seront les responsables tous désignés du chaos à venir et peut-être des décès massifs qui ne manqueront pas de survenir à la suite de ces vaccinations hautement hasardeuses… Tout comme la crise économique, qui était inéluctable, sera mise sur le dos du virus et non des malversations des “Banksters” au pouvoir, le chaos et l’impossibilité de sortir de cette perpétuelle crise sanitaire sera mise sur le dos des non-vaccinés. La stratégie bien perverse et machiavélique du pouvoir en place est simple : faire monter l’hostilité, générer de la haine, reporter la colère de l’ensemble de la société sur les non-vaccinés en leur faisant porter l’exclusive responsabilité des prochaines restrictions, privations et confinements qu’ils auront programmé, alors qu’ils ne servent pourtant à rien. Comme l’avait théorisé l’anthropologue René Girard, on construit la cohésion du groupe en désignant un ennemi responsable de tous les maux de la société, une victime désignée arbitrairement par le pouvoir en place qui agit comme un catalyseur pour l’unité du groupe, afin que d’éviter que tout le groupe ne se disloque dans la violence.

Un génocide commence toujours avec la diabolisation d’un segment de la population. On désigne une minorité comme source de danger pour le reste de la population. On réduit exclusivement cette minorité visée à la menace qu’elle représenterait pour le reste du corps social et on la déshumanise. Ainsi, les non vaccinés deviennent des quantités négligeables, ils ne mériteraient plus les mêmes égards, d’êtres soignés à l’égal des vaccinés. D’ailleurs, on commence déjà à voir poindre des signes visibles d’une d’hostilité de plus en plus radicale dans le paysage à l’encontre des non vaccinés, comme ces inscriptions sur les vitrines magasins de non vaccinés, “N’achetez plus aux non vaccinés”. Des inscriptions dignes d’une certaine époque de triste mémoire… En Allemagne, comble de l’ignominie les enfants qui arrivent le matin à l’école doivent décliner leur statut vaccinal et ceux qui sont conformément injectés sont acclamés et applaudis par le groupe tandis que les petits pestiférés non-vaccinés sont humiliés et doivent rentrer la tête basse dans leur salle de classe. Des responsables de santé commencent aussi à évoquer ouvertement dans le discours public la possibilité de refuser aux non vaccinés d’accéder aux magasins de première nécessité, comprendre aux commerces alimentaires ! C’est-à-dire, de les laisser littéralement mourir de faim sans que personne ne s’en émeuve. Mais qu’importe puisqu’après tout, il faut bien préserver la “race des élus injectés” de ces “impurs non-vaxx” (qui pourtant eux ont gardé leur sang pur, non souillé de la protéine Spike).

Ainsi, les responsables politiques n’hésitent pas à parler d’épidémie de non-vaccinés au reste de la population. Ces politiques et ces médias détestables auront une responsabilité écrasante devant l’histoire en clivant à un tel degré la société et en instillant la haine et le ressentiment dans la population, en menaçant le corps social. Cette dichotomie systématique entretenue entre vaccinés et non-vaccinés par les médias est redoutable, car elle instaure l’idée d’une frontière infranchissable entre les deux groupes. Hannah Arendt avait dans ces travaux  consacrés aux processus totalitaires mis en exergue que c’est précisément le sentiment de ne plus appartenir au même monde qui permet la déshumanisation et qui est la porte ouverte aux plus grands crimes. Il faut refuser de rentrer dans ce jeu pervers, car on ne sait que trop bien où il peut mener. 

Le système totalitaire en identifiant les non-vaccinés du reste de la population soumise à ses diktats peut identifier ses véritables opposants, les réfractaires qui n’adhérent pas à son projet de contrôle. Ces derniers ne représentent pas une menace sanitaire, mais une menace sur le plan idéologique, ils incarnent le cœur de la résistance avec un niveau de conscience susceptible de réveiller le reste de la population.

Sur les plateaux TV, la parole se libère, décomplexée, les chroniqueurs et les journalistes se lâchent littéralement, à l’image de l’ignoble éditorialiste économique, Emmanuel Lechypre. Ce petit tyran en puissance, laissant sur le plateau de RMC libre cours à ses pulsions fascistes, en proposant le plus naturellement du monde, l’emploi de la méthode forte et coercitive pour faire piquer les irréductibles réfractaires à la vaccination : «les non-vaccinés, je ferais tout pour en faire les parias de la sociétéOn vous vaccinera de force. Moi, je vous ferais emmener de force par deux policiers au centre de vaccination. Il faut aller les chercher, avec les dents et les menottes !» Les pires propos totalitaires et tyranniques trouvent maintenant place à l’antenne des médias du système, sans que personne ne s’insurge de ces appels à la haine et à la violence. Ce fieffé imbécile, ce médiocre économiste à la petite semaine, ce cochon de bourgeois en tient décidément une sacrée couche. Déjà au tout début de l’épidémie, il avait jugé bon de venir vomir sa diarrhée verbale, en proférant des énormités d’une finesse de vue à la hauteur de son maladif embonpoint. Ainsi, cet abject et grossier personnage, croyant sans doute faire un trait d’esprit d’une irrésistible drôlerie, avait déjà été l’auteur d’une ignoble saillie, en désignant les personnes enterrées qui venaient juste de succomber à la COVID-19 sur le site de Wuhan de Pokémons«Ils entèrent des Pokémons», avait-il déclaré, en se gaussant comme une yourte… Et cela en pleine cérémonie de commémoration rendue en hommage aux victimes, manquant pour l’occasion de créer un incident diplomatique international.

Mais ce n’est pas tout, cette menteuse pathologique de Caroline Fourest, qui visiblement postule activement pour le poste de la directrice de la Gestapo sanitaire, nous a aussi gratifié d’une sortie, en tapant du poing avec rage, «Non-vaccinés récalcitrants, notre patience à des limites». Ça tombe bien Caroline, notre patience à aussi ses propres limites : cours Fourest, cours, très loin et hors de notre vue ! En pronostiquant, en bonne virologue et épidémiologiste qu’elle n’est pas, une quatrième vague, dont les non-vaccinés seraient par avance tenus pour être les grands responsables : «Si nous sommes frappés par une quatrième vague, ce ne sera ni la faute de la mère Nature ni même, pour une fois, celle du gouvernement. Mais la faute des non-vaccinés. À cause d’eux, nous risquons de perdre la course contre la montre : monter le niveau d’immunité collective avant que le virus n’ait trop muté.»

Quant à ce jouisseur libertaire de Michel Onfrayil semble avoir oublié jusqu’au sens même du mot de “Liberté”, en traitant les réfractaires à la sainte piquouse d’enfants-roi capricieux, lui qui érigeait l’égoïsme comme valeur cardinale de son système de pensée. Il est allé jusqu’à comparer les non-vaccinés à des sidaïques coupeurs de têtes, à des racailles et à des violeurs de jeunes filles ! Cet anarchiste de salon de thé, ce révolutionnaire germanopratin si subversif que sa présence est ubiquitaire dans tous les médias du système s’est, aussi fait l’ardent défenseur du Pass sanitaire, cet outil ségrégationniste d’essence purement totalitaire, voix royale pour une citoyenneté à deux vitesses. «Vous avez le droit de ne pas vous faire vacciner, mais la société a le droit de se protéger de vous», avance-t-il. «Dans des endroits où vous aurez la possibilité de contaminer des gens, vous n’aurez pas le droit d’entrer». Cette éminente autorité en virologie, qui entend bien nous imposer notre manière de gérer notre santé, est tellement documenté sur la question qu’il était convaincu que le Covid-19 avait été baptisé de la sorte, car il était l’énième avatar des précédents Covid-18,  Covid-17, Covid-16, etc. Cette idole des plateaux mondains, vient-elle de signer par sa félonie le crépuscule de son œuvre ? En tout cas, il pourrait bientôt faire front au populo pour lui rendre des comptes. Nous assistons vraiment à la trahison, à la complicité active des clercs, des philosophes, des intellectuels et des artistes. Cette crise a le mérite de démasquer tout le monde afin qu’il révèle son véritable visage.

De son côté, la journaliste Emmanuelle Ducros a aussi déclaré en martelant comme un disque rayé d’un ton véhément : «Maintenant ça suffit, il n’y a pas des milliers de réponses à donner et il n’y a plus d’excuses à donner, la seule réponse à donner, c’est le VACCIN… c’est le VACCIN… c’est le VACCIN !» De même, dans “Apolline Matin”, la journaliste Apolline de Malherbe a qualifié benoîtement les non-vaccinés de brebis galeuses : “Il faut une par une rabattre les brebis galeuses” a-t-elle déclaré en militant pour une obligation vaccinale.

Le médecin généraliste Jean-Paul Hamon n’est de son côté pas non plus en reste en déclarant le 4 juillet sur Cnews : «Il va falloir un petit peut cogner sur les irresponsables ! […] Maintenant, je pense qu’il faut sortir la boîte à claques, avoir le courage de dire aux 47 millions d’électeurs, vaccinez-vous.»

Le médecin Martin Blachier, ce tartufe mercenaire à la solde de Big Pharma, qui se refuse à faire piquer ses propres enfants, se lance dans une véritable chasse aux sorcières, une implacable croisade contre les non-vacciné en maniant l’inversion accusatoire avec un culot monstre : «Aujourd’hui il y a une guerre, et cette guerre elle est contre les antivax. Ce sont des gens qui clairement n’ont aucun scrupule, qui utilisent les pires méthodes et qui font extrêmement mal dans le monde entier. Les Américains s’en rendent compte et c’est notre vrai ennemi collectif, ce n’est plus le virus, parce que le virus, on peut le combattre, c’est l’influence des antivax et Emmanuel Macron a eu raison d’être ferme, car il ne faut pas être mou avec ces gens. Ces gens sont aussi dangereux que d’autres groupuscules qu’on a l’habitude de montrer du doigt. Il ne faut pas les prendre à la légère, ce sont des gens qui sèment le doute dans la tête des gens et qui conduisent à faire des mauvais choix et qui en plus disent des contrevérités et n’hésitent pas à utiliser tous les contre-arguments possibles pour faire adhérer les gens à ces thèses et c’est extrêmement difficile d’extraire ces thèses de la tête des gens une fois qu’ils ont été injectés par ces thèses antivax.»


Et ne parlons pas de Renaud Muselier, le Président du conseil régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur, qui annonce tout de même sans aucune gêne à une journaliste qu’il a été double injecté, mais qu’il a tout de même contracté une forme grave de la COVID, puis qu’il aurait ensuite contaminé jusqu’à douze personnes, elles-mêmes aussi étant pourtant complètement injectées… Avant de conclure son interview en recommandant vivement et sans la moindre réserve la vaccination, tout en traitant les non-vaccinés d’assassins en proférant une phrase lapidaire : «Aujourd’hui celui qui dit qu’il ne faut pas se faire vacciner est un assassin potentiel.»


Cela évoque aussi Victor Dominello, un ministre australien, qui tout en  arborant un bandeau de pirate sur l’œil pour avoir été victime d’une paralysie faciale de Bell suite à sa première injection, continuait tout de même, comme si de rien était à faire la promotion du vaccin. Le degré de folie de ces gens est proprement inimaginable : si ça ne ressemble pas à une forme de fanatisme aveugle sans plus aucune prise avec le réel, je ne sais pas ce que c’est…

Le plus tragi-comique de cette liste de tristes personnages étant encore Bernard Kouchner, alias le French Doctor ou monsieur sac de riz. Cet humaniste de façade a affirmé, sans rougir, que ceux qui refusaient de se faire vacciner étaient des traîtres. Dire que cet imposteur est l’auteur de la “loi Kouchner de 2002”, qui prévoit que le patient doit avoir un consentement libre et éclairé des actes et traitements qui lui sont proposés. Sans commentaire.

Ce sont ces mêmes infects tartuffes, ces invétérés donneurs de leçons, qui niaient l’efficacité de traitement auxquels ils avaient eux-mêmes eu recours, ceux-là qui insistaient aussi sur l’importance de masquer les plus petits toute la sainte journée, tout en se refusant de le porter eux-mêmes du fait de l’efficacité de la ventilation qui équipe leurs tribunes propagandistes, ceux-là aussi qui dansaient à tout rompre après le couvre-feu dans un bâtiment du ministère de l’Éducation nationale. Pour maintenir leur confortable vie de petits privilégiés, ces collaborateurs bons teints de la belle époque, ces valets serviles se font les complices du pire et sont prêts à piétiner le libre arbitre, tout comme à annihiler le principe d’égalité.

Le personnel soignant qui refuse le vaccin, qui était hier encore salué pour son admirable courage, célébré pour son exemplaire sens du sacrifice dans cette crise, se voit maintenant, au gré des besoins de la propagande, traîné dans la boue. Ils sont passés de héros de la nation idolâtrés quotidiennement à la grande messe du 20h à des zéro pointés. Les soignants sont devenus objets de mépris et d’attaques incessantes. Ils sont subitement stigmatisés, traités comme des pestiférés, vilipendés comme des criminels, désignés comme des super-contaminateurs.

Le Dr Frédéric Badel, médecin psychiatre spécialisé dans les stress post-traumatiques, analyse la situation de cristallisation et de radicalisation des positions entre les deux camps ainsi : «La manipulation a montré des limites qui étaient prévisibles et elle sera sans effets sur ceux qu’elle a tenté, en vain, de convaincre. Ces groupes se sont figés, leurs effectifs se sont immobilisés, et peu importe les arguments avancés, les scandales établis ou les preuves apportées, ceux-ci se noieront dans un récit national inaliénable impossible à dénoncer sauf à être traité de complotiste. Les mots se seront substitués à la réalité et, utilisés à contre-emploi, ils auront perdu de leur sens et véhiculeront des idées en rupture avec les faits. Le pouvoir en place pourra même avouer ses mensonges, le peuple l’acclamera, incapable de le croire malintentionné et persuadé qu’il est au-dessus des soupçons. Il n’est donc plus temps de publier des résultats d’études prouvant l’efficacité de tel produit, le mensonge sur tel autre, de produire des courbes démontrant le caractère infinitésimal du risque sanitaire et disproportionné des réactions de peur. Surdité et aveuglement règnent en maître chez les personnes qui, conditionnées, sont privées de jugement et incapables d’admettre que des faits objectifs puissent démentir la réalité qu’elles ont construite.»

Il est des plus alarmants d’observer le niveau d’agressivité et de violence médiatique de plus en plus intensifié à l’encontre des individus non-vaccinés, en jetant de manière irresponsable de l’huile sur le feu et en exacerbant les tensions entre les citoyens. Comme dans le roman 1984, “le télécran” déverse quotidiennement ses deux minutes de la haine du non vacciné. On se croirait presque quelquefois sur les ondes de la radio des mille collines, juste avant le génocide du Rwanda. Rappelons que les grandes étapes qui précèdent la mise en place d’une guerre civile ou d’un génocide ont été définies avec précision par Gregory H. Stanton, le président de Genocide Watch. Il s’agit d’un processus se déroulant en dix étapes. Si toutes n’ont bien  heureusement pas été encore franchies, nous nous engageons doucement sur cette pente très dangereuse. N’attendons pas qu’il soit trop tard pour réagir et enrayer ce processus implacable

La Classification en deux classes d’individus, ici les vaccinés qui sont les bons citoyens vertueux et honorables et les “antivax”, “conspirationnistes” et autres “covidiots” qui seraient les mauvais citoyens, des personnes égoïstes, narcissiques ou sociopathes et qui représenteraient une menace pour le corps social, en somme les nouveaux pestiférés des temps modernes.

La Symbolisation et le Marquage des individus, avec des attributs qui les déterminent comme appartenant à l’une ou l’autre classe. On peut penser aux PINS ou au pass sanitaire, à certaines boutiques qui affichent si les personnes sont vaccinées ou non.

La Discrimination, avec un groupe dominant qui utilise la loi, la coutume et le pouvoir politique pour nier les droits d’autres groupes. Le groupe dominant est mû par une idéologie d’exclusion qui priverait les groupes moins puissants de leurs droits. On peut la voir à l’œuvre avec les pass sanitaire et les QR codes qui deviennent nécessaires pour rentrer dans certains lieux publics comme les restaurants, les concerts, les boîtes de nuit, etc.

La Déshumanisation, avec un groupe qui nie l’humanité de l’autre groupe, dont les membres seraient assimilés à des animaux, à de la vermine, ou à des maladies. Ici, le groupe visé n’est plus traité dignement, car il est jugé comme manquant totalement de civisme et de solidarité face au reste du groupe et comme porteur et transmetteur en puissance de la maladie. Il n’est donc plus respectable et ne mérite plus de faire partie du corps social. Ils sont juste bons à être envoyés et enfermés au Goulag.

La Polarisation, avec des extrémistes qui séparent les groupes tandis que des groupes haineux diffusent une propagande polarisante. Les motivations pour cibler un groupe sont endoctrinées par les médias de masse. On peut déjà voir fleurir de nombreux messages agressifs et haineux contre les non-vaccinés, tant dans les médias officiels que sur les réseaux sociaux.

La Persécution, où les victimes sont alors identifiées et séparées en raison de leur identité ethnique, religieuse ou autre. Parfois, ils sont même séparés dans des ghettos, déportés dans des camps de concentration ou confinés dans une région frappée par la famine et affamés. Ils sont volontairement privés de ressources telles que l’eau ou la nourriture afin de les détruire lentement. Dans notre présente situation, les camps et les infrastructures semblent bien se mettre en place et il a été évoqué d’y isoler les réfractaires à la vaccination. Il est aussi question de les surveiller avec des drones ou des bracelets électroniques.

Les ultimes étapes de cet engrenage fatal étant l’Organisationla Préparation et enfin l’Extermination puis le Déni


Terminons cette mise en perspective par cet extrait d’un dialogue tiré du film “I, comme Icare” très éclairant sur la mise en place d’un processus totalitaire par le fractionnement des responsabilités de chaque maillon de la chaîne : «Mais, dans le cas d’un génocide par exemple, quand un tyran décide de tuer froidement cinq millions, six millions d’hommes, de femmes, d’enfants, il lui faut au moins un million de complices, de tueurs, d’exécuteurs. Comment arrive-t-il à se faire obéir ? En morcelant les responsabilités. Un tyran a besoin avant tout d’un état tyran alors il va recruter un million de petits tyrans fonctionnaires qui auront chacun une tâche banale à exécuter, et chacun va exécuter cette tâche avec compétence et sans remords, car personne ne se rendra compte qu’il est le millionième maillon de l’acte final. Les uns vont arrêter les victimes, ils n’auront commis que de simples arrestations, d’autres vont conduire ces victimes dans des camps, ils n’auront fait que leur métier de mécanicien de locomotive et l’administrateur du camp ouvrant ses portes n’aura fait que son devoir de directeur de prison… Bien entendu, on n’utilise que les individus les plus cruels dans la violence finale, mais à tous les maillons de la chaîne, on a rendu l’obéissance confortable !»

Nous nous sommes toujours demandé comment l’histoire avait pu basculer dans de telles atrocités, comment avaient-ils fait pour en arriver là. La réponse tient en quelques mots : l’aveuglement, l’absence d’esprit critique face aux pouvoirs, l’habituation à la violence physique et symbolique, la perte du sentiment de responsabilité, le conformisme, la lâcheté et la peur.


La nouvelle réalité

«En dehors du travail tout sera interdit… Marcher dans les rues, se distraire, chanter, danser…» – George Orwell, “1984”

«La nouvelle normalité, c’est vivre comme si nous étions tous malades.»  Lucien Cerise

«Tout bien portant est un malade qui s’ignore.»  Docteur Knock

Une chose est sûre, avec cette crise sanitaire, on assiste de la part de l’État à une démonstration de toute-puissance et à un mélange particulièrement malsain d’infantilisation totale de ses concitoyens, mêlée à une culpabilisation et à une répression de tous les instants

Comme le dit avec pertinence la généticienne Alexandra Henrion-Caude, dans un renversement extraordinaire, nous sommes tous présumés malades et contagieux, nous avons perdu d’office notre droit d’être présumé sain. Nous serions tous des malades en puissance qui s’ignorent, à l’image de la pièce de théâtre classique Knock ou le Triomphe de la médecine de Jules Romains. Un peu comme si en justice, la présomption d’innocence était définitivement bannie et que nous serions d’office considéré comme des criminels en puissance… Quelle société peut encore fonctionner sur un tel postulat ? Porter le masque, c’est accepté d’être présumé malade. Paradoxe des paradoxes dans cette pseudo-pandémie, si d’un côté on présume que tout le monde est malade même les personnes saines, de l’autre côté, on se refuse à traiter les vrais malades !

Et puis, quel est le sens de cette nouvelle existence que l’on cherche désormais à nous imposer ? Vivre pleinement ne suppose-t-il pas d’affronter les imprévus, l’insécurité des accidents, des maladies et même en dernière instance, la mort ? Vivre n’implique-t-il pas de lâcher prise sur ce qu’on ne pourra au grand jamais contrôler ? La plus grande leçon de philosophie que la vie puisse nous offrir n’est-elle justement pas d’apprendre à mourir ? La sagesse suprême, n’est-elle pas d’intégrer la mort comme faisant totalement partie de l’équation complexe de la vie ? Comment peut-on se résigner à ne plus vivre, par risque de mourir ?

Comme dirait le chanteur Jacques Higelin : «Ceux qui ont peur de mourir ont souvent peur de vivre. Ils respirent prudemment en attendant la fin.»

Quel est au juste le sens d’une vie coupée de tout ce qui en fait la valeur, de ce qui la rend si précieuse, unique et authentique, à savoir : les émotions, les rires et les sourires, l’insouciance, l’amour, le partage, les rencontres, l’évasion, les découvertes, les loisirs ?

Désormais, nous sommes plongés dans un programme de mort, conduits par ces élites psychopathes, soi-disant philanthropes dans une société ultra-contrôlée, artificielle, aseptisée et déshumanisée, de plus en plus privée d’amour et de relations humaines authentiques. En fait, ce dont ils ont le plus peur, c’est de l’amour, car il permet de créer un monde qui leur échappe et qu’ils ne peuvent contrôler.

Dans cet univers, la seule activité humaine qui semble encore être tolérée est le travail et toute source de plaisir ou de réconfort semble devoir être bannie de nos vies. On réduit ainsi les individus à leur plus simple expression, à leurs corps, à leur dimension fonctionnelle la plus primaire, comme s’ils perdaient leur individualité et au passage leur libre-arbitre. Tout ce qui nous humanise nous est désormais interdit, car ce qui est susceptible d’élever l’âme, comme l’art, la culture ou la bonne restauration est considéré comme non-essentiel !

À l’avenir, dans cette nouvelle forme de dictature techno-sanitaire numérique, allons-nous être obligés de vivre nos vies par procuration, comme si nous étions déjà morts  ? Forcés de communiquer avec nos proches exclusivement sur les réseaux sociaux par écrans interposés, de voyager ou faire du sport par casque virtuel, d’aller au cinéma dans notre salon en enchaînant les séries Netflix, ou encore de faire nos courses en ligne sur Amazon ?



Bienvenue sur la “Planète Taire”. Esprit “Je suis Charlie”, où est tu ?


«Toute censure est un aveu. On ne bâillonne que la bouche qui dit vrai.» – Pierre Gripari

«Quand la vérité n’est pas libre, la liberté n’est pas vraie.» – Jacques Prévert

Depuis des mois, on a vu la liberté d’expression être complètement bafouée sur de nombreux sujets. C’est la première grande victime de ce virus, avec la raison et le bon sens ! Aussi, pourquoi censurer toutes les voix dissidentes qui s’élèvent de par le monde pour dénoncer les innombrables dysfonctionnements dans la gestion de toute cette crise sanitaire et notamment sur les réseaux sociaux et les plateformes telles que Twitter“YouTube” et “Facebook”, sous prétexte de lutte contre les “Fake News”. Quelle est la légitimité et l’impartialité de ces dernières lorsque l’on apprend que le Fact-Checking du brigand Mark Zuckerberg est directement financé par… le laboratoire Johnson et Johnson Alors que “Facebook” justifiait son entreprise de “Fact-Checking” pour rétablir des vérités bien établies, la société a avoué lors d'un procès qu’il n’était finalement basé que sur des opinions, donc des partis pris sans fondement scientifiques. Non content de faire du profilage et du fichage, telle une officine de renseignement, “Facebook” est le bras armé de la censure des gouvernements, en s’appuyant sur sa position de monopole pour contrôler l’information et s’octroyer la parole publique. Il faut aussi savoir qu’Andrew Pattinson, le responsable des opérations digitales de l’OMS s’était rendu à Menlo Parc en Californie pour convaincre “Facebook”, “Google”, “Uber”, “Airbnb” et “Instagram” de signer avec eux des accords, afin de contrôler les informations circulant sur les réseaux qui iraient à l’encontre du vaccin. Pourtant, enregistré à son insu lors d’une réunion par l’un de ses employés, Mark Zuckerberg, avait littéralement avoué à son personnel que ces injections sont bien susceptibles de modifier l’ADN humain ! Voici ses mots exacts : «Nous ne connaissons pas les effets secondaires à long terme de la modification de l’ADN et de l’ARN des personnes pour coder directement dans l’ADN et l’ARN d’une personne, essentiellement la capacité à produire ses anticorps et si cela entraîne d’autres mutations ou d’autres risques.»

Ces plateformes se sont érigées en détenteurs de la vérité médicale, allant jusqu’à effacer les profils d’éminents scientifiques et de journalistes confirmés qui divergeaient trop avec le récit imposé par la doxa de la COVID. Elles se sont approprié le quasi-monopole de l’information, si bien qu’il faut se retrancher vers d’autres plateformes, bien plus marginales et donc avec moins d’audience et d’impact, pour retrouver la moindre information alternative. Aussi, comment prétendre à l’existence d’un quelconque consensus scientifique, dès lors que la censure bat son plein ?

Dernièrement, YouTube a ainsi supprimé à tour de bras les chaînes d’activistes, comme celle du journal d’opposition France Soir, avec ses 270 000 abonnés et ses 5 millions de vues, la chaîne de l’association Réaction 19 de l’avocat Maître Brusa, la chaîne du collectif Reinfo COVID de Louis Fouché, la chaîne de la Youtubeuse suisse Ema Krusi, celle de Chloé Frammery, celle de Silvano Trotta, celle du Libre Penseur avec ses 130 000 abonnés, celle de Jean-Jacques Crèvecoeur, ou même ma propre chaîne, avec ses 12 000 abonnés, et celles de tant d’autres. Tout point de vue alternatif ou esprit critique sur le récit officiel imposé se voit irrémédiablement censuré. YouTube définit même toute une liste de points sensibles qu’il est interdit d’aborder, sous peine d’enfreindre les standards de la communautéFacebook de son côté se permet de censurer sans autre forme de procès toute position critique vis-à-vis de la vaccination.

Ce niveau de censure sur les réseaux sociaux est sans précédent et personne n’en est plus épargné, pas même l’ancien Président des États-Unis, Donald Trump qui suite aux incidents mouvementés survenus au Capitole s’est vu bloquer son compte “Twitter” officiel. Du jamais-vu, une situation inacceptable, quoiqu’on pense du personnage ! La base, le fondement même d’une société dite démocratique repose sur l’échange et le dialogue, et sur la possibilité donnée à tout un chacun d’exprimer son point de vue, sans être inquiété. Et dans toute cette affaire, ça n’a jamais été le cas ! C’est le propre de tous les régimes dictatoriaux que d’exiger l’unanimité, de ne souffrir d’aucune remise en question. Avec cette censure, le pouvoir peut maitriser et remodeler le réel à sa guise selon son intérêt bien compris. Ainsi, les traitements efficaces n’existent pas, la contestation est insignifiante et totalement minorée, les inoculations qui ne sont pas efficaces et qui créent de nombreux accidents et dégâts sont la panacée, les victimes des politiques mises en place sont ignorées.

Est-ce bien là le rôle dévolu à ces plateformes sociales qui devraient pourtant se cantonner à assurer une parfaite neutralité et simplement servir de canal aux informations qu’elles véhiculent, en dehors des appels à la violence, à la haine ou au meurtre ? En réalité, on ne peut que faire le triste constat que les algorithmes des réseaux sociaux et les “fact-checkers” sont devenus de très pernicieux instruments de censure, des organes de propagande, bien plus que des garants indépendants de la vérité ! Ils sont manifestement là pour étouffer toutes les vérités jugées comme dérangeantes qui ne vont pas dans le sens du narratif officiel. Ils évoquent résolument le ministère de la vérité du roman “1984” de Georges Orwell… Ils servent d’alibi pour mettre en place une censure massive et généralisée, tout en donnant l’impression au citoyen lambda peu curieux, qu’il le protège de tous discours fanatiques et dangereux pour la société, alors que dans bien des cas, ce sont des intellectuels, ou des experts qui sont censurés. À titre d’exemple, on peut citer l’entretien Les morts du Covid, un mensonge d’état ? accordé au média indépendant belge “Kairos” du Pr. Christophe de Brouwer, qui a été supprimé par “Youtube” tout juste quelques minutes après sa parution. Il s’agit tout de même de l’ancien président de «l’École de santé publique de l’Université libre de Bruxelles», l’un des meilleurs experts en santé publique d’Europe. Problème : il démontrait sans l’ombre d’un doute toute la manipulation des chiffres et la sur-dramatisation de la situation sanitaire pour l’année 2020.

Mais après-tout, rien d’étonnant à cela,  car il faut savoir que YouTube est une filiale de Google, qui lui-même est une filiale du groupe Alphabet, qui est financé par The Vangard Group et par le groupe Black Rock. Ce groupe financier ultra-puissant de gestion d’actifs et de fonds d’investissements qui est financé par la Reine Elizabeth II, la dynastie Rothschild, George Soros, Warren Buffet, ou encore par Maurice Strong, l’inventeur du concept de “développement durable”. Black Rock gère ainsi 6 000 milliards de dollars de fonds et finance 18 des plus grandes entreprises du CAC 40, dont GuileadModernaThe LancetBayerSanofiLonza. À la tête de Black Rock il y a un certain Lawrence Fink, qui fait partie du conseil d’administration du Forum Économique Mondial et du Conseil des Relations Étrangères, le CFR. On comprend mieux pourquoi la censure arbitraire s’abat donc sans coup férir sur les opposants à toute cette politique vaccinale et ceux qui dénoncent les plans ourdis par le Forum Économique Mondial… La vérité ne sert pas les intérêts des puissants. Le fonds de pension américain “Vangard Group” gère la bagatelle de sept-mille milliards de dollars (plus que le PIB de la France et de l’Allemagne réunies) et est le premier actionnaire de “Pfizer”, le premier actionnaire de “Johnson et Johnson”, le troisième actionnaire d'“Astrazeneca”, le quatrième actionnaire de “Moderna”, le troisième actionnaire de “Sanofi”. Mais “Vangard” pèse aussi très lourd dans les GAFAM, puisqu’il est le premier actionnaire de “Google”, le premier actionnaire de “Facebook”, le premier actionnaire de “Microsoft”, le premier actionnaire d’“Apple”, le deuxième d’“Amazon”. “Vanguard” est le principal actionnaire de “BlackRock”, n’est depuis mars 2021 pas coté en bourse. Ceux qui possèdent “Vanguard” n’aiment apparemment pas être sous les feux de la rampe. “Rothschild Investment Corp” et “Edmond De Rothschild Holding” en font partie, tout comme la famille italienne Orsini, la famille américaine Bush, la famille royale britannique, la famille Dupont, les Morgan, les Vanderbilt et les Rockefeller… 

Et lorsque la censure ne s’abat pas directement sur eux, les opposants à la vaccination, qui ont pourtant de solides arguments et contradictions à faire valoir, sont décrédibilisés aux yeux de la masse. En effet, on ne leur accorde plus que de brèves tribunes dans des émissions de bas-étage, de TV poubelle, à l’instar du talk-show clownesque de Cyril Hanouna, “Tout le monde en parle”, au lieu d’être interrogés avec sérieux dans des journaux télévisés d’information. Dans ce tapageur et grossier cirque médiatique, ils se retrouvent comme dans la fosse aux lions parmi une armée de contradicteurs qui entre deux ricanements imbéciles ne leur laissent pas les moyens de déployer leur argumentaire, comme si le sujet ne relevait que d’une vaste pantalonnade, alors qu’il s’agit de nos vies et de nos libertés qui sont en jeux.


Le ministère de la vérité veille



«Le Parti finirait par annoncer que deux et deux font cinq et il faudrait le croire. Il était inéluctable que, tôt ou tard, il fasse cette déclaration. La logique de sa position l’exigeait. Ce n’était pas seulement la validité de l’expérience, mais l’existence d’une réalité extérieure qui était tacitement niée par sa philosophie. L’hérésie des hérésies était le sens commun.» – George Orwell dans “1984”

«Le téléviseur est “réel”. Il est là, il a de la dimension. Il vous dit quoi penser, vous le hurle à la figure. Il doit avoir raison, tant il paraît avoir raison. Il vous précipite si vite vers ses propres conclusions que votre esprit n’a pas le temps de se récrier : Quelle idiotie !» – Ray Bradbury dans Fahrenheit 451

«Les riches achètent les médias pour donner leur message bien choisi aux pauvres.» – Pierre Bourdieu

«Nous mangeons du mensonge à longueur de journée, grâce à une presse qui est la honte de ce pays. Toute pensée, toute définition qui risque d’ajouter à ce mensonge ou de l’entretenir est aujourd’hui impardonnable.» – Albert Camus dans ses chroniques 1944-1948.

«L’État français est un des plus grands producteur de Fake News. On ne peut pas confier l’enquête sur les Fake News à quelqu’un d’autre que le citoyen français. Il faut un journalisme citoyen. La seule entité qui est rigoureuse et qui est légitime pour vérifier les Fake News, c’est le citoyen. Il n’y en a pas d’autre !» – Idriss Aberkane


Quant aux médias, ils se spécialisent dans les “debunkages”, les pseudos-démystifications d’affabulateurs du net et autres vilains “complotistes”, en se portant garant de la vérité. Ils jouent le rôle de véritables chiens de garde du pouvoir, placés là pour récupérer les quelques brebis égarées, voire les brebis galeuses sorties de l’enclos à penser en rond, pour les raccompagner bien sagement à la bergerie, en attendant l’abattoir. Ces médias aux ordres, véritables instruments du pouvoir, n’hésitent pas à se livrer aux pires procédés de diffamation afin de ruiner la réputation de tout contradicteur un peu trop pertinent et performant dans la remise en question du système et du récit officiel, en se lançant dans des procès Staliniens en place publique, avec exécution en bonne et due forme par le tribunal médiatique, comme on brûlait jadis les hérétiques en place de grève. Le tout sans avoir, il va sans dire, le moindre droit de réponse de la part de l’accusé. La calomnie étant bien souvent l’étape, le préalable requis qui précède la mise au silence, la censure définitive de l’intéressé, voir sa mise au ban de la société. Des attaques ad personam, ad nauseam visant à décrédibiliser le messager pour que son message devienne parfaitement inaudible. L’objectif visé étant de détourner les gens du fond du message et de les dissuader à tout prix de s’y intéresser dans ce qui s’apparente à une forme de terrorisme intellectuel. Il s’agit aussi par cet exercice de faire un exemple, de couper toutes les têtes qui dépassent pour dissuader les plus audacieux et intrépides de se lancer dans des prises de parole non-conformes à la doxa. Car dans cette guerre de l’information, entre vérité officielle et alternative, la fin mérite les moyens, tous les coups sont permis, tous les procédés peuvent être utilisés, même les plus indignes et abjectes. Amalgames, détournements de propos sortis de leur contexte, faux témoignages, j’en passe et des meilleurs…

«Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose.» – Francis Bacon

Un des derniers exemples en date est le portrait au vitriol réalisé par la chaîne du service public France 5 du thérapeute en médecines alternatives Thierry Casasnovas. 45 min durant, ce pseudo-documentaire l’a fait passer pour un illuminé en puissance, un toxique et dangereux gourou sectaire, et un redoutable fanatique du manger cru ! À l’heure où l’on ne parle que de Vegan, c’est vraiment comique ! Cette infâme émission de propagande, totalement à charge était ironiquement intitulée “La Fabrique du Mensonge”. Pour diaboliser le malheureux, les journalistes n’ont pas hésité à piéger et manipuler Constance, une dame fragile au douloureux parcours qui dans son témoignage avait mentionné de manière fortuite le nom de Thierry Casasnovas… Les journalistes ont alors saisi l’occasion pour tronquer et littéralement déformer ses propos, à l’aide d’un habile montage. À en croire ce tissu de mensonges, Casasnovas aurait littéralement ruiné la vie de Constance, en l’acculant jusqu’au suicide, alors même qu’ils ne se connaissaient en réalité presque pas et n’avaient même pas étés en contact direct l’un avec l’autre. Constance, très choquée à la vision de ce montage et par ces méthodes malveillantes, a alors décidé de tourner plus tard une vidéo-témoignage afin de rétablir toute la vérité sur Casasnovas et de le laver de ces accusations. Ce fut un pur concentré de mensonges, dont le seul but est de ruiner la réputation de la personne ciblée. Faut-il croire que le titre de l’émission censée rétablir la vérité avec un grand V était en fait une spectaculaire inversion accusatoire et une description de leurs propres procédés manipulatoires ? Suite à cet invraisemblable déchaînement de harcèlement médiatique, d’une violence et d’une malhonnêteté intellectuelle hallucinante, Casasnovas a décidé de se retirer de la vie publique et de ne plus intervenir sur internet et cela après dix ans de vidéos et une chaîne qui rassemble 54 2000 abonnés, 100 millions de vues. Et on voudrait nous faire passer cet individu comme un dangereux déviant et un redoutable gourou ? Faut-il croire que Casasnovas serait un homme hautement subversif, l’ennemi public numéro un, qui a fait trembler tout le système en prônant un mode de vie simple et saint, les jus de carotte et le jeune… ça laisse songeur !


Un autre cas d’école de la propagande médiatique est l’accueil d’une violence inouïe qui fut réservé au documentaire citoyen financé avec des fonds participatifs qu’est Hold-Up, retour sur un chaos. Le film a été unanimement dénigré par la presse, présenté comme étant un tissu de contrevérités et de théories conspirationnistes farfelues, émanant d’irresponsables et de fous furieux, voire même d’antisémites. Pourtant, ce film ne faisait que donner la parole à de nombreux experts internationaux de tout premier plan, tout en avançant des faits pour la plupart parfaitement vérifiables et sourcés ! Quelques heures après sa date de sortie le 11 novembre 2020, le film a été retiré et censuré de toutes les plateformes de diffusion, de Vimeo, en passant par Youtube. Même la projection en salle, qui était l’objectif premier du projet a été rendue impossible. 

Une campagne intensive de diffamation s’en est suivie pour discréditer le réalisateur, Pierre Barnérias, pourtant un journaliste et grand reporter aguerri, avec une belle carrière derrière lui, ainsi que certains intervenants du film. Certains d’entre eux, sous la pression, ont même été contraints de désavouer le film et d’aller jusqu’à renier leur participation. On a assisté à un déferlement médiatique jamais vu, surtout pour un modeste film reflétant simplement un autre point de vue, une grille de lecture alternative des évènements, de manière étayée et argumentée. Pas le moindre débat possible : c’est tout un système médiatique monolithique qui a fait bloc comme un seul homme pour descendre en flèche ce documentaire hors système. 

On a même vu des personnalités politiques, telle que la députée LREM, Ilana Circurel, monter au créneau avec une véhémence incroyable, pour appeler à la censure immédiate du film. Survoltée et hystérique, elle est allée jusqu’à menacer une des journalistes sur le plateau de Cnews, qui avait eu le malheur de parler de la sortie de ce brûlot pour en informer le public. Circurel lui a asséné d’un ton sec et menaçant : «Ce que vous faites là, vous vous mettez en danger en parlant de ce film.» Ces outrances n’ont indigné et scandalisé personne. Pourtant à ce jour, aucune plainte pour diffamation n’a été portée à l’encontre de “Hold-Up”, même si des journalistes de M6 avaient prétendu que l’Institut Pasteur” avait porté plainte contre le film. En réalité, c’est même l’inverse, puisque Pierre Barnérias a annoncé avoir décidé de contre-attaquer en portant plainte en justice pour diffamation. En tout cas, cet accueil totalement disproportionné, ne démontre en fait qu’une chose, c’est que ce film a visé parfaitement juste dans bien des choses qu’il dénonçait et il aura eu l’immense mérite de nous dévoiler combien tout le système médiatique était sous contrôle.

Ce qu’il y a de merveilleux avec ce système médiatique est que nous payons avec nos propres deniers notre propagande et les outils de notre propre asservissement… Un peu comme si l’esclave payait le métal destiné à forger ses propres chaînes. D’ailleurs, maintenant on comprend mieux pourquoi avec la TV, on parle de programme et de chaînes… C’est du grand art dans la perversion.



Une propagande de guerre

«On ne peut pas dire la vérité à la télé : il y a trop de monde qui regarde.» – Coluche

«Les médias de masse procèdent à une séance d’hypnose collective en continu, 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, que l’on peut décrire à la suite de Tchakhotine comme un viol des foules, mais un viol consenti, une pénétration furtive de l’intériorité d’autrui pour téléguider autrui, agir sur lui depuis son extériorité, sans qu’il en soit pleinement conscient.» – Lucien Cerise

«Répétez un mensonge mille fois, il restera un mensonge, répétez le dix mille fois, il deviendra une vérité.» – Joseph Goebbels

«Il est défendable que le succès de l’industrie de la propagande à nous persuader, depuis si longtemps, que nous sommes libres de toute propagande, est l’une des réussites propagandistes les plus significatives du 20ᵉ siècle.» – Alex Carey“Taking The Risk Out Of Democracy”

«La philosophie nous enseigne à douter de ce qui nous paraît évident, la propagande, au contraire, nous enseigne à accepter pour évident ce dont il serait raisonnable de douter.» – Aldous Huxley“Le Meilleur des Mondes”

«Le but de la propagande tyrannique n’est pas de convaincre, mais d’humilier. Dans mon étude des sociétés communistes, je suis arrivé à la conclusion que le but de la propagande communiste n’était pas de persuader, de convaincre et d’informer, mais d’humilier. Et donc, moins elle correspondait à la réalité mieux c’était, parce que les gens sont contraints de se taire parce qu’on leur raconte les mensonges les plus évidents, ou pire encore, lorsqu’ils sont contraints de répéter d’eux-mêmes ses mensonges, ils perdent une fois pour toutes leur sens de la probité. Consentir à des mensonges évidents, c’est en quelque sorte devenir soi-même mauvais. La volonté de résister à quoi que ce soit est ainsi érodée, et même détruite. Une société de menteurs émasculés est facile à contrôler.» – Théodore Dalrymple





À partir du moment où la propagande entre en scène, qu’elle s’affiche partout, il y a un état de guerre de fait. La propagande c’est manipuler des groupes humains pour atteindre des objectifs de guerre. L’une des caractéristiques principales d’un système totalitaire est l’omniprésence de la propagande, et force est de constater qu’à ce niveau-là, nous avons été plus que servis… En effet, depuis des mois, nous sommes la cible de messages incessants, intempestifs et en tous lieux. Soit, un matraquage des esprits, un véritable bourrage de crâne, tant sur les ondes radios, dans les annonces magasin, dans les transports en commun, sur les affichages électroniques des autoroutes, au journal télévisé, sur les chaînes d’information continues, dans les spots de télévision, dans la mode et même dans les dessins-animés pour enfants et dans les devoirs ou les copies des élèves. Dans les grandes surfaces, des messages redondants diffusent oralement des injonctions relatives au port du masque et au lavage régulier des mains au gel hydroalcoolique. De quoi, à force de répétitions, laver les cerveaux et générer des troubles obsessionnels compulsifs dans la population.



L’intense propagande covidiste, digne d’un lavage de cerveau à grande échelle (en 2020, les cerveaux ont manifestement été plus lavés que les mains), s’insinue même au cœur des manuels scolaires, comme dans “Le manuel d’Histoire-Géographie de 6ᵉ de 2021” édité par Belin, où on retrouve une double page exclusivement consacrée au confinement : «Coronavirus et confinement : je comprends ce qu’est l’intérêt général – Problématique : Comment certaines libertés peuvent-elles être suspendues au nom de l’intérêt général ?» On y blâme allègrement le “mauvais citoyen”, l’éternel réfractaire du régime sanitaire, cet égoïste en puissance qui fait passer son intérêt personnel avant l’intérêt général et qui est condamné par la justice à des travaux d’intérêt général pour faire pénitence. Un guide prescrit un code de bonne conduite similaire : «La vie en collectivité implique également l’observation de règles de vie fondées sur le respect d’autrui, sur l’ordre et la discipline.» À la lecture de ces lignes, on se dit que le crédit social à la Chinoise n’est plus très loin…


Une propagande qui évoque aussi par certains égards celle du régime de Vichy qui sur ces affiches de l’époque signées du Maréchal Pétain entendait lutter contre l’égoïsme de tant de mauvais Français en leur enjoignant de cesser de «placer son bien-être personnel au premier plan des préoccupations du moment»


La propagande étatique s’invite même jusque dans les exercices des devoirs à rendre par les élèves de primaire, histoire d’assurer un formatage précoce des esprits. C’est le cas pour cet exercice de conjugaison en CE2 où les élève doivent remplir les trous dans des phrases types en rapport avec la pandémie et la politique sanitaire : “Les centres de vaccination (affiche − affichent − affiches)......... leurs horaires” ou encore, “Le ministère de la Santé (explique − explique − expliquent)......... les procédures d’isolement.”. Affligeant !



En Belgique, des panneaux d’affichages déploient dans l’espace public leurs manipulations en grand avec l’argent du contribuable avec leurs messages chocs : «Pour un grand barbecue dans le jardin, demain je me vaccine!», ou «pour dire adieu au couvre-feu demain, je me vaccine.», ou encore, «pour manger au resto, je me vaccine.» Tel un odieux chantage de mafieux qui auraient sournoisement pris en otage nos vies… 

Il ne manquerait plus qu’un “Vaxx Macht Frei” apposé à l’entrée des camps de confinement et le tableau du devoir de mémoire et de la reconstitution historique sera complet. Sur d’autres panneaux, le ton est carrément agressif, avec une forme de familiarité déplacée et un tutoiement ultra-méprisant et culpabilisant : «TOI, qui n’as pas regardé la TV, qui n’as pas écouté la radio ou lu le journal et ne t’es pas connecté à Internet depuis plusieurs mois, ON te rappelle QUE LE MASQUE EST OBLIGATOIRE, si tu n’as pas compris, on t’a fait un dessin !» (avec une flèche pointant vers le schéma d’un visage masqué).





Rien ne nous est plus épargné, avec quelques fois, une culpabilisation insupportable des individus, comme dans cet abject spot de l’État français, où l’on voit une brave dame qui fête un anniversaire, un moment convivial en famille et qui finit aux soins intensifs… Il s’agit là d’une violence symbolique extraordinaire, insupportable destinée à conditionner et frapper durablement les esprits… Le message implicite est clair : «Ne soyez surtout pas heureux avec votre famille parce que cela pourrait vous tuer !»






 

La propagande pour la lutte contre la COVID-19, fait par certains aspects penser à celle des campagnes de prévention contre le péril de la bombe nucléaire pendant la guerre froide des années 50. Au premier signal de leur maîtresse, les écoliers étaient alors invités à se réfugier sous leurs bureaux et il y avait toute une série de protocoles à mettre en œuvre avec les bons gestes de survie et l’ensemble des actions à exécuter en cas d’explosion d’une “bombe A”.

Des films éducatifs étaient distribués dans lesquels on insistait toujours sur le fait qu’au moment du flash intense qui précède le souffle dévastateur de l’explosion, il fallait se recroqueviller et se couvrir la tête de ses bras. C’est le fameux “Duck and cover !”, plonge et couvre-toi, ce qui n’est pas sans faire penser au virus du COVID-19, qui ne circulerait plus lorsque dès l’on est assis au restaurant, mais qui redoublerait de virulence à l’instant même où l’on se relève de sa chaise pour quitter sa place et que le port du masque redevient subitement obligatoire. À l’époque, il était précisé, histoire d’entretenir le climat de psychose et de peur paranoïaque, qu’une bombe atomique peut exploser n’importe quel jour à n’importe quelle heure et que chaque citoyen doit se tenir toujours prêt ! Des consignes aussi aberrantes et irrationnelles que certaines actuelles préconisées dans la lutte contre le coronavirus…

Pourtant, en tout état de cause, si nous étions confrontés à une véritable pandémie, comme Ebola, le Choléra, la Peste bubonique ou la peste Noire, nous n’aurions pas besoin du matraquage continuel des médias pour jour après jour, heures après heures nous en rendre compte… La maladie se matérialiserait concrètement et se rappellerait à nous en permanence. Ce serait une véritable hécatombe, une boucherie de tous les instants et nous verrions nos proches tomber comme des mouches les uns après les autres, les rues seraient jonchées de cadavres, il y aurait des fosses communes, des camps d’incinération, des sacs mortuaires en pleine rue, on aurait de réelles images choc tous les jours, la terreur se lirait sur tous les visages. On n’aurait pas besoin de messages continuels pour rappeler les bons gestes barrière à respecter. Sans ce sentiment de peur distillé par la perfusion quotidienne de nouvelles alarmistes dans nos cerveaux par les grands médias, l’épidémie ne serait sans doute même pas perceptible ! L’existence même de ce virus passerait complètement inaperçue… Force est de constater que plus ils en rajoutent et plus cela devient hautement suspect si bien que le décalage entre le récit médiatique et la réalité empirique observable du terrain devient de plus en plus saisissant et intenable.

Le traitement médiatique réservé à cette pandémie est juste indécent. Ils ont véritablement inoculé le virus hautement contagieux de la peur dans les esprits. De sorte que depuis un an, la communication autour de la COVID monopolise tout l’espace, si bien que tous les autres sujets sont quasiment éclipsés, comme si le monde entier s’était arrêté de tourner. Rappelons-nous que la répétition d’un même message est à la base de la propagande, comme le fameux slogan «Je reste à la maison, je sauve des vies.»

Certains individus fragiles sont si impactés psychologiquement par ce matraquage qu’ils se livrent aux comportements les plus irrationnels, allant jusqu’à se confectionner artisanalement les plus improbables équipements de protection, des panoplies complètes surréalistes, avec parfois des combinaisons dignes de cosmonautes en expédition sur la planète peur, alors qu’ils s’aventurent juste dehors en terrain hostile pour faire quelques courses. Courses qu’ils s’empressent de méticuleusement désinfecter dès leur retour à la maison. Parfois, on a un peu le sentiment étrange d’être devenu un extra-terrestre sur sa propre planète, on a l’impression d’évoluer et non plus de vivre dans un mauvais film de science-fiction, ou plutôt dans une fiction qui n’a strictement plus rien à voir avec la science. Dans ce nouveau royaume de “l’Absurdistan”, certains ont même préconisé de placer des plantes sur les terrasses des restaurants afin de scrupuleusement respecter les distanciations sociales entre les individus afin d’endiguer l’irrépressible propagation de la COVID. Certains ont plongé dans les abysses de la bêtise la plus irrationnelle, en gardant même leur masque de papier mouillé à la mer, ou à la piscine ! Tandis que d’autres sombrent dans le ridicule en fichant sur leur tête un dispositif à base de frites en mousse de piscine d’une longueur de 1m pour tenir toute source de contamination à bonne distance et tenir le virus en respect.

«Pour que l’égalité humaine soit à jamais écartée, pour que les grands, comme nous les avons appelés, gardent perpétuellement leurs places, la condition mentale dominante doit être la folie dirigée.» – Georges Orwell

«Plus l’effondrement d’un empire est proche, plus ses lois sont folles»  Cicéron, avocat, philosophe, rhéteur et écrivain latin

«Je me heurte parfois à une telle incompréhension de la part de mes contemporains qu’un épouvantable doute m’étreint : suis-je bien de cette planète ? Et si oui, cela ne prouve-t-il pas qu’eux sont d’ailleurs ?» – Pierre Desproges

«La réalité dépasse la fiction, car la fiction doit contenir la vraisemblance, mais pas la réalité.» – Mark Twain 





Certains emportés par leur peur panique délirante et par leur paranoïa aiguë et irrationnelle, vont même jusqu’à tapisser de masques toutes les ouvertures de soufflerie de l’habitacle de leur voiture, histoire de boucher la moindre aspérité ! D’autres ne quittent plus leur masque, que ce soit, lors d’une activité physique, en forêt, au cœur de la nature ou bien au volant de leur voiture… D’autres dorment même avec. Certains amoureux n’osent plus se toucher ou s’embrasser, même le jour de leur Mariage. C’est à la fois tragique, mais aussi comique… Et on prend alors toute la mesure de la puissance incroyable des médias et du lavage des cerveaux réalisé à grande échelle.

On ressent de la part de cet exécutif, comme une certaine jouissance bien malsaine à faire gober tout et n’importe quoi, à imposer leurs quatre volontés, toutes les fantaisies qui leur passeraient par la tête, comme un caprice sadique et pervers porté par leur sentiment de toute puissance. On s’imagine sans peine les réunions ministérielles concernant les prises de décisions “sanitaires”, comme une sorte de dîner de cons géant, où l’on se plairait à repousser les limites, à tester le degré d’aveuglement, de crédulité et de soumission de la population. Le but étant d’avancer étape par étape toujours plus loin dans leur programme de contrôle.

Tous les ressorts de la propagande de guerre sont utilisés pour prendre le contrôle des esprits et de l’opinion publique et la concentrer vers un seul et unique but, la résolution de l’épidémie. Comme si nous étions tous de bons petits soldats avec un rôle décisif à jouer dans l’issue de cette guerre.

Tout comme le fait d’avoir mis en place le petit rituel quotidien du 20 heures, avec ses salves d’applaudissements collectifs pour rendre grâce aux sacrifices des soignants martyrs partis au front. Un moyen très efficace pour galvaniser et impliquer tout le monde dans cette nouvelle forme de communion compassionnelle, tout en recréant un semblant de lien social, qui le reste du temps est déstructuré et cassé par toutes les mesures de distanciation. Attention, je tiens à préciser que je ne nie aucunement la souffrance des malades, ni ceux qui sont morts de la COVID-19 pour avoir moi-même perdu des connaissances dans cette tragédie, ni le dévouement exemplaire du personnel soignant… Mais pour moi, il est hors de question de céder pour autant à des manipulations de masse basées sur le sentimentalisme !

Un peu comme s’il s’agissait de la grande messe d’une nouvelle religion, “le COVIDISME”, dont les apôtres seraient devenus les éditorialistes des médias monolithiques, tandis que les évangélistes seraient représentés par les médecins cathodiques, le haut clergé constitué par le Conseil Scientifique, ainsi que la sainte église de “l’Organisation Mondiale de la Santé”. Le suprême pontife serait le grand prêtre de Davos, Klaus Schwab. La médecine moderne est la nouvelle Église, ses praticiens sont au-delà de tous reproches. L’objet sacré et vénéré du culte de cette nouvelle religion scientiste serait le vaccin, seule et unique voie de salut pour nous délivrer du mal, pour échapper au châtiment, au fléau du COVID-19, afin de regagner le paradis perdu. L’acte vaccinal serait comme un baptême, un rituel religieux de passage obligatoire pour entrer en communion dans le nouveau monde, sous peine d’excommunication du “camp du bien”. Quelque-fois, pour raffermir la foi encore trop tiède de certains croyants, on exhibe en place publique des non-vaxx repentis qui s’auto-flagellent et confessent leurs péchés. Ces hérétiques  exorcisent leurs vieux démons complotistes, ils sont sur le chemin de la rédemption, de la grande repentance afin de recevoir l’absolution des grands médias. Miracle ! Ces obscurantistes négationnistes ont enfin trouvé le droit chemin vers la Science, touchés par la grâce, par la lumière éclatante, l’infinie bonté et l’esprit saint de Big Pharma. Après tant d’errements, ils vont enfin pouvoir entamer leur long pèlerinage vers la 10ᵉ dose, celle qui leur ouvrira enfin en grand les portes de Saint-Pierre. Les personnalités People qui se font publiquement et pieusement vacciner, seraient les nouveaux saints laïques, les dévots qui nous montrent le chemin à suivre vers la béatification. On retrouve le même dogmatisme et fanatisme intolérant parmi les adeptes de cette religion, car il s’agit bien d’un système de croyance aveugle, où l’individu s’en remet corps et âme aux autorités médicales, sans pour autant avoir la moindre idée de la composition exacte de ces pseudo-vaccins.

Comme toute religion qui se respecte, elle serait basée sur tout un système de pratiques et de croyances, avec ses rituels, ses ablutions de gel hydroalcoolique, ses gestes barrières codifiés, son port du masque pour sanctifier ses adeptes. La science est devenue le paravent de l’idéologie, son alibi et sa justification. Comme une vérité révélée, elle ne souffre plus d’aucune remise en question et permet tous les sacrifices, qui ont alors un fondement rationnel. Les incrédules et les sceptiques de ce nouveau culte seraient devenus les “Complotistes”, ces obscurantistes hérétiques d’un autre âge… tandis que les Torquemada de l’inquisition seraient les plateformes des GAFAM, les “Fact-checkers”, “les Zététiciens” et autres “No Fake Med” stipendiés et missionnés pour mettre à l’index et condamner à l’excommunication sociale tous les aposta au dogme pandémique. Gageons qu’au rythme infernal où vont les choses, les persécutions et les chasses aux sorcières aux infidèles et autres mécréants à la toute puissante protéine Spike ne tarderont pas. La Guerre Sainte et la croisade de purification aux non-vaxx sera bientôt lancée. 

Une des plus ferventes et prosélyte missionnaire de cette nouvelle religion sanitaire est la gouverneure de New York, Kathy Hochul. Lors d’une assemblée et d’un prêche illuminé, elle s’est adressée ainsi à ses fidèles pour qu’ils répandent la sainte injection parmi les non-pratiquants : «Dieu a fait que les chercheurs trouvent un vaccin qui vient de Dieu. Et nous devons dire : Merci, Dieu ! Vous, vous êtes vaccinés, mais il y a des gens qui n’écoutent pas Dieu, ni sa volonté. Vous savez qui ils sont ! Soyez mes apôtres !» Le Pr. Canadien Denis Rencourt met en garde contre le fanatisme jusqu’au-boutiste de cette nouvelle religion : «Le culte des covidiens n’est pas basé sur la science. Il est anti-science, anti-pensée, anti-homme, et anti-société. Rejetez le culte covidien. Ne pratiquez pas les rituels covidés. Opposez-vous à la fausse science.»

À Paris, les “Témoins de JéhoVaxx de l’Église de Vaccinologie de la Dernière Dose”, sont aussi missionnés par la ville en partenariat avec “l’Assurance Maladie” pour partir au porte-à-porte à l’assaut de votre domicile et répandre leur bonne parole. Il s’agit d’évangéliser les derniers mécréants afin de les convertir à la Sainte inoculation pour qu’ils puissent réchapper à l’imminent Armageddon Viral Omicronien qui s’annonce et ainsi contribuer à l’établissement du Royaume terrestre de Big Pharma.



Même le pape Bergoglio en personne semble avoir succombé aux sirènes de cette nouvelle religion du COVIDISME. Il exhorte ses fidèles à tendre leur bras pour être touchés par la grâce, le sacrifice vaccinal constituant dans sa bouche, un sublime «acte d’amour» envers son prochain et la seule voie de salut possible pour le monde.

«Prenez et Mangez-en tous, car ceci est le corps mystique de Big Pharma, de Pfizer et de Moderna», semble scander ce moderniste dans ses homélies enflammées. Pire que cela, il qualifie les opposants à la sainte inoculation de «négationnistes suicidaires» et se propose même d’excommunier en dehors du giron de son Église, les impudents qui ne se plieraient pas à cet incontournable «devoir moral», à cette nouvelle charité vaccinale obligatoire. Ces capricieux irresponsables, ces catholiques indignes, qui n’ont pas succombé aux multiples injonctions à l’injection et aux tentations des paraboles du tube cathodique, qui n’a assurément rien de catholique, ne seraient plus à ses yeux les agneaux de Dieu, mais des brebis égarées et galeuses, vouées à la géhenne et à la damnation éternelle. Le Vatican, plus petit État du monde, impose d’ailleurs à tous ses employés et à ses résidents d’être vaccinés, sous peine de se faire licencier illico presto. Vade Retro suppôt du Corona ! Nul doute qu’à ce rythme-là, il faudra bientôt présenter son pass sanitaire afin d’espérer pénétrer dans l’enceinte même des lieux saints pour pouvoir communier. Faudra-t-il aussi envisager de présenter son carnet vaccinal à jour devant les portes de Saint-Pierre pour avoir une chance d’accéder au Paradis ? Ce bien curieux Pape François, dont il n’émane aucune odeur de sainteté, souffre-t-il d’amnésie pour aboutir à tant d’hérésie ? Oublie-t-il que si l’homme a été créé à l’image de Dieu, ce n’est pas pour être dénaturé jusque dans son génome par les caprices fous d’une bande de psychopathes milliardaires versés dans les pires transgressions et délires transhumanistes ! Faut-il instamment lui administrer une piqûre de rappel doctrinale et lui signifier que notre Seigneur Jésus-Christ lui-même prenait soin avec sa puissance spirituelle et son cœur de tous les malades, pestiférés au dernier degré compris et lui faire remarquer que dans le présent cas, il ne s’agit point de la peste bubonique, mais d’une méchante grippe… Hélas, trois fois hélas, cet imposteur dans les grandes largeurs, ce Judas agent zélé du Mondialisme, fait manifestement bien plus confiance au pouvoir de “Pfizer”, et dans cette obscure soupe chimique de sorcière, ce ténébreux breuvage concoctée dans les chaudrons de Big Pharma qu’en la perfection divine de la création et qu’en l’immunité naturelle conférée aux hommes par le créateur. Ce mystérieux élixir, qui rappelle une formule hermétique d’alchimiste et dont certains ingrédients sont jalousement tenus secrets, contient entre autres des cellules de fœtus avortés, de l’aluminium, du mercure, du formaldéhyde, de l’acétone, mais aussi des tissus d’animaux provenant de poulets, de porcs, de chiens, de singes, de lapin, de chevaux, etc. Mais qu’importe, l’incrédule impie ne jure plus que par les scientistes docteurs cathodiques de Big Pharma et non plus par les docteurs catholiques théologiens de l’Église. Le salut de l’humanité vient de la science et non plus d’une quelconque révélation. C’est le poison du mensonge universel qui asservit qu’il veut voir couler dans nos veines et non pas que le parfum de la vérité qui libère emplisse et illumine nos cœurs. Manifestement, il est bien plus intéressé par la sauvegarde de nos corps que par celle de nos âmes… En tous les cas, nous avons ici une éclatante démonstration de la justesse du proverbe «L’habit ne fait pas le moine.» La messe est dite. Amen. On comprend mieux maintenant pourquoi la salle des audiences du pape, la salle Paul VI du Vatican, que l’on doit à l’architecte Luigi Nervi, reprend la forme très symbolique d’un serpent. Le pape s’exprimerait-il directement depuis la gueule du perfide reptile ?




Et pour ce qui est de la campagne de vaccination, on reprend les grands principes de la propagande marketing et des relations publiques chères à Edward Bernays, en utilisant des influenceurs, des célébrités, des artistes de renom et des personnalités publiques pour inciter les populations à franchir le pas en tirant à outrance sur la corde de la fibre émotionnelle… Ainsi, ce n’est pas moins de 200 personnalités du monde de la culture dont Arielle Dombasle, Daniel Auteuil, Nagui, ou Grand Corps Malade qui ont lancé, jeudi 7 janvier 2021, un vibrant appel en faveur de la vaccination contre la COVID-19.

Encore plus grossier au niveau manipulation des masses, nous avons aussi eu le droit à une initiative bien démagogique d’Emmanuel Macron, qui a lancé un défi vidéo à un duo populaire de deux blancs-becs Youtubeurs influenceurs, McFly et Carlito afin de toucher la jeunesse et de la sensibiliser aux gestes barrières, avec en contrepartie une invitation au palais de l’Élysée si leur vidéo arrivait à dépasser la barre des 10 millions de vues. C’est dire à quel degré, ils prennent littéralement les gens pour des imbéciles !

Et que penser de ce spot de propagande publicitaire «Parce qu’on rêve tous de se retrouver, vaccinons-nous !», absolument dégoulinant de bons sentiments, présentant au ralenti les retrouvailles émues d’une mamie avec ses petits enfants qu’elle peut enfin embrasser et enlacer tendrement dans ses bras, parce quelle aurait été vaccinée ? Tout en précisant en petits caractères, dans la toute dernière image du clip, que la vaccination n’empêche en rien le respect et le maintien des gestes barrières… C’est donc de la publicité parfaitement mensongère.

Mais la propagande vaccinale ne s’arrête pas là et atteint quelquefois des niveaux spectaculairement risibles, en nous gratifiant d’un véritable festival. Il faut vraiment le voir pour le croire. Tout y passe, avec par exemple, une distribution de pizzas, de boissons gratuites, de glaces, de bières, d’argent, de bijoux en or, de tatouage éphémère ayant pour message “Vacciné pour maman, de bons d’achat. Pour encourager la vaccination, tous les moyens sont décidément bons, même aux États-Unis l’organisation de LOTO, uniquement réservés aux personnes vaccinées avec un prix fixé à 1 million de dollars. Ironie du sort, ces pauvres ne savent pas qu’ils participent déjà à une grande loterie. Un primeur a eu la brillante initiative de proposer 20% de réduction sur les fruits et légumes aux personnes vaccinées. La grande surface Super U” propose un bon d’achat de 5€ pour les personnes vaccinées. Il a même été proposé  une danse dans un club de strip-tease au “Larry Flint's Hustler Club de Las Vegas”


Dans le même ordre d’idée, un bordel à Vienne fournit des vaccins COVID-19 et offre à ceux qui acceptent le marché, des bons pour une passe gratuite ! On connaissait déjà le principe de la cigarette du condamné, mais pas encore celui de la “vaccipute” qui pour une dose offre une passe, soit un tour de manège pour un baiser de la mort. À se demander qui se prostitue véritablement dans toute cette affaire… Les amateurs de pipes seront aussi comblés d’apprendre qu’un club de sexe genevois propose des fellations gratuites réservées aux seuls injectés. Et pour ceux qui aiment tirer des coups d’une toute autre nature, le sommet du raffinement à l’intérieur du cloaque de la bêtise humaine est atteint avec l’obtention d’armes à feu, instrument de mort en échange d’une inoculation en bonne et due forme de ce pseudo-remède. Ailleurs, les futurs vaccinés-cobayes ont aussi eu le droit à des entrées gratuites dans des parcs d’attractionsdes donuts et même du cannabis, car il faut bien comprendre que tout est bon pour refourguer leur came. Il en faut vraiment pour tous les goûts. Même les délinquants qui se font vacciner deviennent des citoyens exemplaires, qui méritent bien des remises de peine pour service rendu à la nation.

Mais la folie covidiste ne s’arrête pas là, puisqu’en Nouvelle-Zélande, le gouvernement, chien de garde des mafieux de chez Big Pharma, a fait appel à des VRP de gros calibres, en enrôlant des gangs de criminels et de truands, en vue de promouvoir la vaccination contre le COVID-19 au sein de la communauté maorie. Une ironie du sort pour ces trafiquants de drogue, reconvertis pour l’occasion en dealer de doses “Pfizer”… En France on a même assisté à la mise en place de fanfares pour encourager les futurs cobayes encore par trop indécis et hésitants à se faire inoculer. Espérons juste que cette ambiance de joyeuse kermesse ne vire pas prématurément à la marche funèbre. Dans une scène que l’on jurerait directement tirée du film satirique “Idiocracy”, on a vu médusé le maire de New-York en train de déguster en pleine conférence de presse des frites et un Hamburger en partenariat avec le fast-food “Shake Shak”, promettant tel un vulgaire marchand de tapis aux futurs vaccinés un repas gratuit de “Junk Food”. Vendre un poison par un autre poison, avouons que c’est audacieux ! Mais ce n’est pas tout, après les parts de gâteau, la tombola, ou encore les billets de 50 francs, le harcèlement vaccinal se poursuit de plus belle, jusque dans l’intimité de son domicile, avec des opérations insistantes de démarchage téléphonique de la part de l’Assurance Maladie.







Au Canada, à Québec, une grotesque et pathétique journée des “vedettes” a été organisée pour les élèves préposés à la vaccination. Traités pour l’occasion comme des stars glamours de cinéma, comme sur Hollywood Boulevard, on leur déroule le tapis rouge sur la piste aux étoiles,  entre deux séances de photos paparazzi et d’autographes. Ils ont même droit à des glaces “Mister Freeze” et un Disc Jockey anime la séance de vaccination pour chauffer la salle pendant que les d’jeuns se font piquer dans leur petit enclos à bétaillère. Dans la même veine, les jeunes de la ville de Nîmes ont eu le droit à une  Vaccination Party”avec des cadeaux à la clé, tandis qu’en Belgique, on organise des sessions “DJ Maxi Boost” en plein centre de vaccination pour inciter les jeunes à se faire piquer dans la joie et la bonne humeur. Les spots lumineux de la piste de danse et les éclats éblouissants de la boule à facettes du DJ faisant en la matière place au consentement libre et éclairé nécessaire à tout acte médical. Autre scandale au canada avec des petits camions de glace qui s’arrêtent devant les écoles pour proposer gratuitement des glaces aux enfants en échange de la vaccination.


L’entreprise criminelle “Pfizer” ne recule devant aucun procédé manipulatoire pour étendre son marché et son emprise aux enfants, pas même la diffusion de spots qui les font passer, s’ils sont vaccinés pour des “super héros” œuvrant sans relâche pour sauver le monde et aider les autres, les protéger, tout en affrontant l’inconnu et en bravant leurs peurs. Où comment suprême abjection, instrumentaliser sans aucun scrupule l’innocence et les rêves d’enfants, pour leur retourner le cerveau ! Le seul super-pouvoir que ces pauvres enfants seront jamais à même de développer suite à ces inoculations géniques est de faire une crise cardiaque prématurée, ils finiront “superdead” ou “supersteriles”.

L’ARS PACA a lancé une opération séduction ciblant les jeunes adultes, ceux qui en pourcentages manquent encore à l’appel. Grâce au vaccin, nous disent les affiches, tu pourras à nouveau embrasser à pleine bouche ton conjoint, faire la teuf et partir te dorer la pilule au Club Med. On admirera au passage la trouvaille lexicale des “effets désirables”, censée s’opposer aux effets indésirables produits en masse par ces pseudo-vaccins. Un jeu de mots plus que douteux, sorti de la tête d’un communicant qu’apprécieront sûrement les nombreuses victimes collatérales non indemnisées de ces essais cliniques à grande échelle.



La radio hautement décadente “Skyrock”, (ayant pour patron, Pierre Bélanger, un repris de justice versé dans les délires et les rituels sataniques), en partenariat avec le ministère de la Santé, a mis en place une campagne de propagande vaccinale, avec en ligne de mire les ados de 12 à 17 ans. Ils ont ainsi lancé la tournée du “Vaxibus”, un camion itinérant dans plusieurs villes. Une opération propulsée avec comme mot d’ordre le slogan risible et totalement ringard «Ça va ? Ça vax !»


Les prosélytes de la vaccination ont aussi eu l’initiative, complètement surréaliste, d’organiser en la ville de Marly, un festival de musique, ou plutôt de propagande, baptisée pour l’occasion «Vacci´Fest chez Oscaar»Il s’agit d’une grande fête de la vaccination, où entre deux concerts, deux discours à la toute gloire de l’injection et deux verres de vin entre amis, on peut joyeusement aller se faire injecter. On pourra relever que l’affiche promotionnelle dédiée à cet événement est incroyablement douteuse et lugubre et n’inspire vraiment pas à la confiance. Il s’agit en effet d’une scène particulièrement ténébreuse, où pour un peu, on se croirait devant la représentation d’une messe noire. En position centrale de l’affiche on peut observer un homme masqué, livide et blafard, qui respire bien plus la mort et la pestilence que la santé, distribuer du haut de sa montgolfière, cernée de nuages menaçants, des flacons représentant des fioles de vaccin. Ces dernières sont réceptionnées dans une atmosphère de religiosité et avec une vénération béate par des adeptes, qui comme sous l’emprise d’une hypnose collective ou aveuglés par un sortilège tendent les bras vers la sainte ampoule miraculeuse. L’ensemble dégageant un fort parfum d’occultisme et de satanisme, particulièrement troublant, malsain et déplacé dans ce contexte !

Désormais, même une simple visite insouciante de bon matin chez votre Boulanger du coin vous expose à des messages vaccinalistes, si bien que votre baguette se retrouve emballée dans un sac papier imprimé avec le message suivant : «MARRE DE LA COVID-19 ? Cet été, c’est simple, je me vaccine ! Ensemble, luttons contre la pandémie» Merci Doctolib de nous pourrir notre petit déjeuner ! Impossible d’y échapper. Ces publicitaires n’ont donc pas encore compris que je ne mange pas de ce pain-là et qu’ils ne sont pas près de me faire marcher à la baguette ? Par contre, qu’ils soient assurés que le levain de la colère n’est pas près de retomber et que l’addition finale risque d’être salée pour les collaborateurs zélés. Personnellement, je ne lutte pas contre la pandémie, mais contre la plandémie, ce qui fait toute la différence…

La propagande vaccinale est partout, même dans l’opposition contrôlée comme celle du PCF, le Parti Communiste Français, qui milite pour que ces dits “vaccins” contre la Covid-19 soient un “Bien public mondial” gratuit pour tous et non pas un produit capitalistique, sans même questionner la nature de ces pseudo-vaccins, le fait que les gens soit traités comme des cobayes et la nécessité de vacciner avec une pandémie si peu létale. Ou l’art et la manière de s’indigner à la marge, sans dénoncer le véritable problème et même, en le validant…

À Nancy, même le Saint-Nicolas local se transforme en suppôt VRP de Big Pharma et de Mac Kinsey. Il appelle les enfants à bien respecter les gestes barrières et les adultes à se faire vacciner contre la COVID-19. Se faisant, l’indélicat propagandiste s’est tout de même pour l’occasion fait copieusement huer et siffler par une partie de la foule, qui n’a pas totalement goûté à cet exercice d’une totale impudicité. Comme quoi, il n’y a pas que le Père Noël qui peut être une ordure ! D’ailleurs, la figure de ce bon vieux Père Noël est aussi honteusement récupérée par le “Centre Hospitalier de Valenciennes”, qui n’hésite pas à faire entrer en scène le grand bonhomme rouge et blanc pour rencontrer les petits vaccinés de 5 à 11 ans et leur distribuer des cadeaux. Sordide.


On peut dire qu’avec toutes ces indignes et scandaleuses pratiques de racolage, ils achètent tout simplement le consentement éclairé des gens. Et à tous ceux qui voudraient tenter le diable et se laisser séduire par ce genre d’opération totalement démagogique, dites-vous bien qu’une des règles de base en ce bas monde est de se méfier de tout ce qui brille trop. Goebbels peut aller se rhabiller en matière de propagande et de manipulation mentale. Ceci était pour la phase carotte, pour la petite sucrerie réservée au bon toutou qui obéit bien docilement à la voix de son maître, mais gageons que pour venir à bout des derniers récalcitrants, les coups de bâton ne tarderont pas avec au besoin, un retour forcé au chenil pour les chiens les plus sauvages et non-dressables. Décidément, les essais cliniques pharmaceutiques sont bien moins payés de nos jours : risquer sa vie pour un misérable donut, ou un malheureux hot-dog, alors qu’à l’époque, on offrait jusqu’à 5 000$ pour participer à certaines expérimentations cliniques volontaires. Force est de constater que de nos jours, les cobayes ne valent guère plus cher sur le marché…

On a aussi le droit à toutes sortes de chorales poussant la chansonnette à la toute gloire du vaccin, ce miracle de la science et de son injection bénie, qui va tous nous arracher aux griffes d’une mort certaine. On ne sait plus si c’est du premier, ou du troisième degré tant ce genre de prestation pathétique et insupportable sombre dans la bêtise et la niaiserie la plus crasse.

Depuis avril 2021, “Facebook”, toujours en pointe en matière de propagande et qui en connait un rayon sur l’importance du regard d’autrui et sur la pression sociale du groupe, propose pour les photos de profil de ses abonnés, des filtres à thème à ajouter permettant d’indiquer qu’on est bien vacciné. Et pour la vie réelle, n’ayez crainte, vous aurez aussi la possibilité d’afficher fièrement votre appartenance au camp du BIEN, avec de superbes PINS “Fully Vaccinated” épinglant à sa juste valeur votre bravoure, votre sens du devoir et votre indéfectible attachement au bien commun.

Du côté des médecins, ils se voient aussi corrompus par des pratiques fort douteuses, comme celle à l’initiative de la banque suisse “Swissquote” consistant à leur demander d’investir massivement à des conditions avantageuses des actions dans les laboratoires responsables de la vaccination contre la COVID-19. Il s’agit de, je cite : «d’injecter les performances du vaccin dans votre portefeuille, opportunité pharma»Il est évident que ceux qui ont la faiblesse de se laisser séduire par ce genre de propositions alléchantes, mais dénuées de toute éthique, ne peuvent plus avoir une position de neutralité, car ils engagent leurs fonds propres dans cette entreprise. Il n’y a décidément plus aucune limites dans l’indécence.

Par ailleurs, il est piquant de constater que ces grands promoteurs du vaccin, comme par exemple la première ministre australienne, n’hésitent pas à se faire faussement vacciner sous l’œil des caméras, dans de grotesques mises en scènes, où si l’on prête bien attention, on peut parfois encore remarquer la présence du capuchon en plastique qui recouvre la seringue après injection… Autant dire que ces acteurs au rabais tirent à blanc ! Et d’ailleurs, en quoi ces mises en scènes grossièrement tapageuses constitueraient une preuve de la moindre vaccination puisque l’on peut très bien injecter d’autres produits. Ce fut d’ailleurs déjà le cas lors de la précédente crise du H1N1, où il y avait eu en Allemagne un retentissant scandale, car deux versions du même vaccin étaient en circulation, un sans adjuvant réservé aux élites, dirigeants et personnel de l’État, et un autre pour la vile populace des manants ordinaires… Si l’objectif était de rassurer, c’est raté et cela montre juste leur profonde duplicité et à quel degré ils se moquent littéralement du peuple dans les grandes largeurs !

D’ailleurs, d’après le témoignage du célèbre psychiatre et homme politique italien, Alessandro Meluzzi, cofondateur de Forza Italia et député de la Nation italienne de 94 à 96, «L’élite a fait semblant de se faire vacciner»Le médecin est catégorique : «Je jure sur la tête de ma fille, au risque de passer pour un fou»«qu’une grande partie de ceux qui ont été vaccinés, à partir d’une certaine sphère, ont fabriqué de faux vaccins» avant d’asséner «J’en suis sûr, ils me l’ont proposé aussi». Bref, selon le Pr. Alessandro Meluzzi, tous les membres de l’élite italienne ou presque, se sont procurés de faux passes sanitaires, en pratiquant des vaccinations bidons. Autant dire que ces hypocrites veulent donc bien que vous preniez des risques inconsidérés avec votre vie et votre santé, mais certainement pas eux ! 

Il se trouve justement que 180 personnes passées le 15 avril par le centre de vaccination de Deauville se sont vues inoculer par erreur un simple sérum physiologique au lieu de recevoir leur première dose de vaccin Pfizer. Mais a qui étaient donc destinées ces doses ? Ou bien s’agit-il, dans l’hypothèse d’une entreprise criminelle, de brouiller les pistes, avec certaines injections qui sont des placebos et d’autres qui sont dangereuses ?

Si l’efficacité de ce pseudo-vaccin reste à prouver, en revanche sa capacité à cliver et à scinder en profondeur la société en deux est remarquable, allant jusqu’à semer la zizanie au sein des familles les plus unies. Le fossé entre ceux qui sont éveillés et ceux qui sont désinformés, tout en étant persuadés du contraire est béant.

L’incitation vaccinale et la pression sociale sont fortement exercées, sous prétexte qu’il s’agirait d’un geste civique, altruiste et solidaire… On peut véritablement parler de harcèlement moral. Cependant, l’altruisme en général, c’est faire du bien aux gens et ce n’est pas éviter de leur faire du mal. Or, comment pourrait-il en être ainsi, puisqu’il n’y a absolument aucune preuve ou garantie véritable de son efficacité à réduire la transmission du virus ! Pire que cela, les premiers retours des vaccinations tendent à démontrer l’exact contraire, puisque paradoxalement d’après les résultats précoces, la contagion explose après la vaccination, comme en Israël. En Inde, depuis l’introduction du vaccin le 20 janvier, on assiste à une explosion exponentielle du nombre de cas et de décès et l’apparition d’un nouveau variant. Tout comme au Laos ou en Mongolie, où on peut faire le même constat. Cet argument est donc parfaitement fallacieux et repose sur une totale culpabilisation. Qui plus est : comment celui qui ne serait pas vacciné pourrait bien mettre en péril celui qui l’est ? Car si le vaccin est efficace, il ne devrait strictement rien avoir à craindre… Et dans le cas contraire, alors pourquoi donc faudrait-il l’imposer à tous ?

Dans cette campagne vaccinale, tous les ressorts de la manipulation sont utilisés en jouant sur les sentiments et les émotions comme :

  • LA PEUR, car sans vaccination, vous risqueriez de mourir ;

  • LA CULPABILITÉ, car ce serait des plus égoïstes de ne pas se faire vacciner et vous risqueriez de contaminer vos proches ;

  • LA SOLIDARITÉ, afin de protéger les plus fragiles ;

  • L’ESPOIR, car c’est le seul moyen de sortir de toute cette crise ;

  • LE STRESS, car il faudrait agir rapidement avant qu’il ne soit trop tard ;

  • LE SENTIMENT DE PRIVILÈGE ET DE RARETÉ, car vous faites partie des premières personnes à avoir le droit de vous faire vacciner ;


Les médecins sur la touche

Autre marque d’un totalitarisme en cours, les médecins sont aussi de plus en plus muselés, alors que dans une crise dite “sanitaire”, c’est bien leur parole qui en priorité devrait être écoutée et respectée. Ces derniers ne peuvent plus parler librement, notamment sur la question vaccinale, avec un décret totalement scélérat publié par le gouvernement la veille de Noël pour encadrer étroitement leur liberté d’expression… Le pouvoir exécutif s’est emparé du pouvoir médical. Désormais, il leur est interdit de communiquer en dehors de la Doxa délivrée par le “Conseil de l’Ordre”, qui faut-il le rappeler a été institué lors du régime de Vichy, en même temps que les renseignements généraux ! “L’Ordre des Médecins” a gardé le fonctionnement d’une police politique avec des dénonciations, des délations, des coups tordus, des mensonges, du chantage et de la corruption. Il a pris en otage la Santé publique en imposant aux médecins une médecine standardisée en violation du code de déontologie médicale qui laisse à chaque thérapeute la liberté du choix du traitement approprié au cas de son patient. Elle exclut les thérapies naturelles qui sont moins coûteuses, moins nocives et plus adaptées aux cas individuels. “L’Ordre des Médecins” traque les médecins innovateurs et mène une chasse aux sorcières sur le mode de l’Inquisition contre les médecines douces, il est à la solde de l’industrie pharmaceutique dont il sert de pourvoyeur de drogues chimiques, il est au service de l’argent et non de la Santé.

D’après les déclarations du juge Rui da Fonseca, l’ordre des médecins portugais aurait reçu 500 000€ de la firme pharmaceutique “Pfizer”.

En outre, lors de cette crise sanitaire, les médecins traitants se sont aussi vu entravés dans leur liberté de prescription, notamment sur l’“Hydroxychloroquine”. Pour la première fois dans leur carrière, les médecins qui cherchent à traiter leurs patients encourent des menaces de sanctions administratives et judiciaires. Pire que cela, ils sont même sujets à des pressions et des menaces. Ainsi, les médecins qui osent prescrire des traitements précoces contre le coronavirus doivent faire l’objet de dénonciation par les pharmaciens et d’un signalement sur le logiciel “Mésange”Gravissime ! 

En représailles, certains médecins se sont même vus interdits de pratiquer pendant un an, pour avoir commis l’irréparable, à savoir, tenter de soigner leurs patients, avec le controversé (et on se demande bien pourquoi) protocole à l’Hydroxychloroquine et à l’Azytromicine, comme le généraliste Benoît Ochs, qui s’est vu épinglé et suspendu par le Conseil de l’Ordre du LuxembourgIl faut dire que le pauvre homme a eu la naïveté de croire que l’essence même de son métier consistait à soigner les gens malades en leur prescrivant, en son âme et conscience, ce qu’il pensait être le meilleur pour eux. Grossière erreur ! Pourtant, ce grand délinquant a traité dans son cabinet avec succès pas moins de 600 patients positifs à la COVID-19, sans avoir le moindre mort à se reprocher. Il justifie sa prise de décision ainsi : «Si je dois poser la question : Faire de la surmédication, est-ce un risque pour moi? Sachant que les effets secondaires sont très très rares et très très faibles, par contre le risque de laisser les gens mourir est beaucoup plus important pour moi, alors pour moi, il n’y a pas photo : Je traite ! Je prends le risque de faire de la surmédication, c’est beaucoup plus important que de laisser les gens mourir.» Comme dirait l’écrivain Albert Camus dans son Carnet II : «Il n’y a pas longtemps, c’était les mauvaises actions qui demandaient à être justifiées, aujourd’hui, ce sont les bonnes.»


De même, le docteur de Polynésie française Jean-Paul Théronun médecin âgé de 63 ans, référent du centre Manu iti de Paea, qui traitait ses patients avec de l’Ivermectine ou l’Hydroxy chloroquine a été interpellé par les gendarmes avec une violence et une brutalité inouïe, traîné manu militari comme un sac dans leur véhicule de fonction, comme s’il s’agissait d’un redoutable terroriste ! Dans ce nouveau monde, un médecin s’il refuse la tutelle du pouvoir politique et reste fidèle à l’engagement de son métier devient un délinquant. En un mot : Insupportable !

Et ne parlons pas de certains médecins qui en pleine crise pandémique se sont tout simplement vus licenciés par la direction de leur hôpital, là où c’est précisément le moins acceptable. De la pure folie ! Ce fut par exemple le cas pour le médecin anesthésiste-réanimateur belge Pascal Sacré, qui pour avoir dénoncé publiquement la gestion calamiteuse de la crise sanitaire et relevé de nombreux dysfonctionnements, s’est vu du jour au lendemain, licencié comme un malpropre pour délit d’opinion d’un établissement où il travaillait sans aucun problème, depuis 9 ans.

Dans certains cas, on a même vu des médecins comme le Pr. Jean-Bernard Fourtillan, expert en pharmacologie et toxicologie se faire arbitrairement arrêter pour risquer de se voir interner en hôpital psychiatrique. Ce professeur intervenant dans le documentaire taxé de complotiste “Hold-Up”, qui fut censuré de toutes les plateformes de diffusions.

Dans ce film, le Pr. Jean-Bernard Fourtillan y mettait directement en cause l’implication du laboratoire pharmaceutique Pasteur dans l’origine du virus, qui serait pour lui une création artificielle, ce qui recoupe les déclarations de la généticienne Alexandra Henrion-Caude et du Prix Nobel Luc Montagnier qui ont isolé dans le génome du SARS-CoV-2 des séquences entières d’ADN provenant du virus du SIDA. Il y aurait dans son génome des séquences entières du VIH. Ce dernier avait déclaré sur C-News : «Non, ce n’est pas naturel, c’est un travail de professionnel, de biologiste moléculaire très minutieux, on peut dire d’horloger.» Des mois durant, Le Pr. Jean-Bernard Fourtillan a enquêté sur les origines du virus et les implications financières des labos dans ce dossier. L’institut Pasteuravait déclaré vouloir poursuivre le Pr. Fourtillan pour ses allégations, mais en réalité, il n’en fut rien ! Ce qui peut laisser entendre que ces dernières étaient en réalité tout sauf des affabulations.


Luc Montagnier s’est fait traiter de tous les noms suite à cette déclaration et a essuyé une campagne de dénigrement et de diffamation médiatique d’une violence inouïe.

Peu de temps après la diffusion virale de “Hold-up” sur les réseaux sociaux, le Pr. Fourtillan a vu les forces de l’ordre débarquer à son domicile, saisir tous ses ordinateurs, puis il a été convoqué par voie express devant un juge, avant de se voir interner contre son gré dans un hôpital psychiatrique ! Des méthodes dignes de la police politique Stasi sous l’ère de l’ex-Union des Républiques Socialistes Soviétiques” en RDA, où l’on enfermait les opposants au régime dans des établissements spécialisés pour les museler…

Suite à ce premier incident, le Pr. Fourtillan a été relâché, puis à nouveau arrêté et tel un terroriste, jeté en détention provisoire. Cette fois-ci, il est retenu au prétexte qu’il aurait réalisé des essais cliniques de patchs, en dehors de tout cadre légal dans ce qui s’apparentait à un exercice illégal de la médecine. Précisons d’emblée qu’avant de se lancer dans ces tests sur des humains, le Pr. Fourtillan avait bien au préalable réalisé des études toxicologiques et testé ses patchs sur des animaux, sans relever le moindre effet secondaire. En outre, il faut savoir que toutes les personnes impliquées dans ces tests étaient volontaires, pleinement conscientes et consentantes. Désespérées, elles étaient prêtes à tenter le tout pour le tout pour vaincre les maux qui les accablaient. On peut retrouver sur la toile de nombreux témoignages de patients très reconnaissants pour avoir eu la chance de tester avec succès ces patchs en relevant une amélioration spectaculaire de leur état. Ces patchs révolutionnaires, à base de “valentonine”, une hormone secrétée par la glande pinéale, étaient donc très prometteurs et susceptibles de traiter de nombreuses maladies graves et dégénératives, comme la maladie de Parkinson, sans pour autant entraîner le moindre effet d’accoutumance. Autant dire que du point de vue de Big Pharma, ces tests avaient tout le potentiel pour sérieusement mettre à mal une bonne partie de leurs juteux profits. Une situation intolérable à leurs yeux. Mais ce n’est pas tout, le Pr. Fourtillan, cet empêcheur de tourner en rond, non-content de mettre en péril les petites affaires et le business plan des labos, s’était aussi lancé depuis des années dans la dénonciation des doses d’aluminium et de mercure contenues dans les vaccins contre l’hépatite B. Il avait relevé des quantités hautement toxiques de ces poisons, explosant de dix à cent fois les seuils tolérables recommandés. Autant dire que pour cette puissante industrie, Fourtillan était l’homme à neutraliser et à abattre dans les meilleurs délais.

Il est particulièrement révélateur de remarquer que pendant que l’on enferme ce brillant homme de science âgé de 77 ans, dont toute l’existence a été exclusivement vouée aux malades et consacrée au bien commun, dans le même temps, les labos de Big Pharma (aux très lourds antécédents judiciaires) sont avec leurs mortifères et prétendus “vaccins” lancés dans un essai sauvage totalement expérimental, sans tests toxicologiques préalables, avec des tests sur les animaux avortés et en se servant de l’ensemble de la population comme de vulgaires cobayes. Le tout dans la plus parfaite impunité, même si ces produits hautement hasardeux entraînent dors et déjà dans leur sillage, un déluge incroyable d’effets secondaires et un cortège de morts collatéraux inédit dans toute l’histoire de la vaccination. Les tests du Pr. Fourtillan n’ayant de leur côté aucuns morts à se reprocher, bien au contraire ! Encore une fois, quel vertigineux et écrasant deux poids deux mesures. Nous sommes manifestement en pleine inversion accusatoire, dans le renversement le plus total des valeurs, dans un univers opaque, où des mafias privées dictent visiblement leurs lois à des instances publiques censées nous protéger et à des institutions supposément au service des citoyens. Force est de constater que dans ce monde qui marche sur la tête, les braves sont diffamés et persécutés, tandis que les coquins ont le champ libre pour agir en toute impunité et sont récompensés pour leurs méfaits.


Un virus probablement artificiel,
création des apprentis sorciers ?


«Science sans conscience n’est que ruine de l’âme.» – Rabelais

«Je crois que nous serons victimes de plusieurs, virus dans le futur. Des firmes travaillent dur pour les créer surtout des agences privées de renseignement. Le business est profitable, car la vaccination coûte cher. Ils créent un virus qu’ils propagent dans le monde pour que Big Pharma accumule des profits massifs. Comment est-ce possible ? Si ce virus menace l’humanité, le vaccin ne devrait-il pas être gratuit et disponible pour tous ? Les vaccins devraient être gratuits. S’ils sont gratuits, vous verriez que beaucoup de ces virus inconnus cesseraient de circuler, même s’il s’agissait d’un virus naturel menaçant l’humanité. Le monde entier devrait collaborer pour créer un vaccin gratuit.» – Mouammar Kadhafi en 2009

D’ailleurs, cette hypothèse d’un virus créé de la main de l’homme est loin d’être totalement absurde, car manifestement, ce virus possède des propriétés tout à fait inédites et extraordinaires… En effet, contrairement aux virus habituels, il ne semble pas avoir de saisonnalité, si bien qu’on le retrouve tout au long de l’année, en été comme en hiver… De plus, le SARS-CoV-2 semble admirablement adapté pour se transmettre précisément et avec grande facilité à l’homme. Il est aussi très surprenant qu’il se soit répandu aussi vite sur toute la surface du globe, comme le confirme le Pr. Didier Raoult «Les maladies infectieuses sont toujours des maladies d’écosystème ; Il y a très peu de maladies infectieuses qui se répandent sur toute la surface de la Terre au même moment. Ça n’existe pas, c’est très rare.»

Après avoir étudié 26 faits et preuves sur l’origine du virus, le chercheur américain Steven Quay a de son côté conclu avec une probabilité de 99,8 pourcents «qu’il ne faisait aucun doute raisonnable que ce virus s’était échappé d’un laboratoire.» Il est catégorique : la zoonose de ce virus n’est pas naturelle ! La fuite du virus du laboratoire de Wuhan semble bien être l’hypothèse la plus vraisemblable pour expliquer son origine, comme l’a affirmé Matthew Pottinger, l’un des plus hauts responsables du gouvernement américain de l’administration Trump. Même les dirigeants chinois admettent maintenant que l’histoire du marché aux animaux de Wuhan était fausse. Le 17 novembre 2020, Rossana Segreto et Yuri Deigin, deux spécialistes de la Microbiologie et de la Biotechnologie, concluent dans une étude que la structure génétique du SARS-CoV-2 n’exclut pas une origine de laboratoire : «La structure chimérique du SARS-CoV-2 et le site de clivage de la furine pourraient être le résultat d’une manipulation génétique.» De plus, la généticienne Alexandra Henrion-Caude, grande spécialiste de l’ARN,  a elle aussi confirmé qu’il y avait bien eu un gain de fonction sur le virus naturel de base, avec l’ajout d’une petite séquence d’information génétique parfaitement agencée au milieu de protéines membranaires virales S1 et S2. Cette séquence additionnelle permet à ce virus de se répandre plus facilement à l’homme qu’aux animaux. Un procédé qui a même fait l’objet d’un brevet, le “7223 390 B2”. Or, on ne peut breveter que les choses qui ont fait l’objet d’une ingénierie et d’une intervention humaine. Même le CNRS se pose aussi sérieusement la question de cette fuite en laboratoire. Tout comme l’ancien patron du MI6, Richard Darelove qui le 3 juin 2020 a déclaré dans le journal le “Telegraph” que ce virus était purement artificiel : «Le Covid-19 a été fabriqué en labo par des spécialistes.» La conclusion sans appel est que tous les grands scientifiques de la planète arrivent au même résultat sur l’origine du SARS-CoV-2, il est bien d’origine humaine.

Cette origine artificielle du virus provenant directement du laboratoire P4 de Wuhan est aussi la piste privilégiée par les équipes “d’Envoyé Spécial” d’Élise Lucet qui ont mené une enquête de plusieurs mois sur place. Ce reportage vient contredire le rapport initial de l’OMS, qui suite à une enquête très expéditive de seulement deux semaines et sous l’étroite surveillance des autorités chinoises, avait hâtivement conclu à une origine naturelle du virus. Ce laboratoire P4 de virologie de haut confinement fut construit par la société française BioMérieux, dont le PDG était alors un certain Stéphane Bancel, actuellement à la tête de Moderna. Il fut l’objet d’un partenariat entre la France et la Chine et il fut inauguré en 2017 par Yves Lévy, le mari d’Agnès Buzyn… On sait aussi que dans ses expérimentations, ce laboratoire effectue justement des manipulations génétiques très pointues sur des coronavirus de chauve-souris. Depuis qu’il a reçu son habilitation P4, ce laboratoire a manipulé des virus comme le SRAS et a travaillé sur des gains de fonction de ces virus. Une opération qui consiste à donner la possibilité à un agent pathogène de devenir encore plus virulent et mortel. Il a aussi été finalement admis dans la presse que des chercheurs internationaux et de Wuhan avaient l’intention de produire des virus semblables au Sars-CoV-2, tout juste deux ans avant la pandémie. Ce plan de recherche se trouve en effet inscrit en avril 2018 dans une demande de financement auprès de la défense américaine, faite par un groupe de chercheurs internationaux liés à l’Institut de virologie de Wuhan. Ces bricoleurs de virus auraient inséré dans la protéine spike du coronavirus de la chauve-souris (H4U4), totalement inoffensif pour l’homme, des fragments du virus du sida (insert de 590 acides aminés) et de celui de l’hépatite C, ainsi qu’un court “insert” appelé PRRA constitué de 4 acides aminés (codés par 12 nucléotides) absents de toutes les autres souches naturelles de coronavirus et impossibles à attribuer à des mutations naturelles, puisqu’il faudrait qu’apparaisse simultanément la mutation de 12 nucléotides successifs du génome.

À noter que le scénario d’une probable fuite de virus des laboratoires ne serait d’ailleurs pas inédit puisqu’il y a déjà eu de par le passé des fuites de virus notamment du SRAS en Chine, ou bien d’Anthrax aux États-Unis.

D’autre part, il faut par ailleurs savoir que de par le monde, de nombreux laboratoires de haute sécurité de niveau P3 ou P4, jouent littéralement avec le feu et aux apprentis sorciers, avec des virus mutants qu’ils modifient et recombinent à leur gré pour les rendre plus mortels et transmissibles à l’homme, comme cela est confirmé dans un échange télévisuel surréaliste du magazine “Science et Vie TV” animé par Gérôme Bonaldi. Les chercheurs seraient ainsi intervenus sur le redoutable virus H5N1 de la grippe aviaire, pour lui altérer son patrimoine génétique et lui permettre d’infecter plus facilement les hommes, qu’il puisse franchir la barrière des espèces pour passer des oiseaux à l’humain. On se demande bien qu’elle est la véritable finalité et la pertinence de telles recherches, visant à soi-disant anticiper les risques de mère nature et qui plus est, qui coûtent au passage extrêmement cher en financements publics !

Toujours au sujet du laboratoire de Wuhan, il est intéressant de savoir qu’il appartient à “GlaxoSmithkline”, qui contrôle l’entreprise pharmaceutique “Pfizer”, qui a produit le vaccin “BioNTech”. Le Labo a aussi été financé par Anthony Fauci, qui a été le tout premier à faire la promotion des thérapies géniques. “GlaxoSmithkline” est aussi géré par la division financière du plus puissant fonds d’investissement au monde, la multinationale américaine Black Rock. Ce fonds d’investissement étant le principal actionnaire de “Microsoft”. On retrouve toujours les mêmes acteurs dans cette toile capitalistique.


Il faut aussi savoir qu’Anthony Fauci, le monsieur pandémie des États-Unis, conseiller en matière de maladies infectieuses à la Maison-Blanche, aurait aussi indirectement investi beaucoup d’argent dans ces recherches au laboratoire de Wuhan. Malgré les risques qu’impliquent de telles manipulations, il avait signé un contrat de 3.2 milliards de dollars par l’intermédiaire de l’institut “EcoHealth Alliance”, une obscure ONG appartenant à Peter Daszak, un scientifique qui travaille en étroite collaboration avec la scientifique Shi Zhenglialias Miss Batwoman. On la surnomme ainsi, car avec son équipe de recherche du laboratoire P4 de Wuhan, elle s’est spécialisée dans l’étude des virus et des coronavirus issus des chauves-souris. Ce laboratoire avait rassemblé la plus grande collection de coronavirus au monde. À ce sujet, il est particulièrement suspect que la base de données publique sur les virus de l’institut de virologie du laboratoire P4 ait disparu juste au début de la pandémie. L’explication officielle avancée par Shi Zhengli pour cette improbable disparition était que la base avait été hackée par des pirates informatiques, ce qui pour une base de données publique est une explication qui ne tient pas la route. En 2014, sous la présidence d’Obama il y avait eu un moratoire pour mettre fin aux recherches de gains de fonction sur les virus manipulés en laboratoires, car les risques étaient estimés plus élevés que les éventuels bénéfices. Pourtant, Anthony Fauci était en relation avec le microbiologiste, épidémiologiste virologue à “l’Université de North Carolina”, Ralph Baric qui manipulait les gains de fonctions sur les coronavirus au site de Wuhan. Ce chercheur a déposé plusieurs brevets portant sur des combinaisons de génomes de coronavirus et notamment un brevet en 2015, portant sur des méthodes de composition pour des coronavirus chimériques, à partir de la protéine Spike. La date de publication de ce brevet ne fut que février 2018, soit juste après que Fauci ait levé le moratoire sur ce type de recherches, en janvier 2018. Le 12 décembre 2019, soit quelques semaines avant le début de la pandémie, Ralph Baric, Jacqueline Quay, ainsi quAmy Petrik, professeur du NIAID spécialisée dans le transfert de technologie ont vérifié un “vaccin coronavirus mRNA de Moderna” développé et possédé par le NIAID (dirigé par Fauci) et Moderna. Interrogé par le sénateur Ron Paul, Fauci avait catégoriquement nié avoir financé des gains de fonction sur les virus issus du laboratoire de Wuhan. Pourtant, dès 2012, Fauci avait soutenu qu’il était favorable à ces recherches, car pour lui : «Les avantages de la recherche de gains de fonction l’emportaient sur le risque accru de provoquer une pandémie par un accident de laboratoire». Ce faisant, ce menteur patenté s’est parjuré devant le congrès en niant sous serment ces faits. En effet, ses échanges de courriels déclassifiés, à savoir plus de 3000 mails privés écrits entre janvier et juin 2020, obtenus par le magazine “Buzz Feed”, en vertu d’une loi d’accès à l’information, le “Freedom of Information Act” attestent bien du contraire. Mais ce n’est pas tout, ces courriels révèlent aussi que Fauci était parfaitement au courant de l’efficacité de l’“Hydroxychloroquine” dans la lutte contre les coronavirus et qu’elle est un puissant inhibiteur des SARS-Coronavirus. Aux États-Unis, il est estimé que ce non-usage criminel de l’“Hydroxychloroquine” aurait coûté environ 300 000 vies. Ainsi dès 2015, il affirmait lui-même dans des publications scientifiques que cette molécule était «autant une cure qu’un vaccin contre les coronavirus». De même, il s’est aussi parjuré sur l’utilité du port du masque pour les personnes non-malades. Il confirme aussi avoir parfaitement connaissance que les asymptomatiques sont insignifiants dans la transmission du virus. En outre, le 28 février 2020, Fauci avait déjà annoncé dans ses courriers la mise sur pied d’un vaccin en seulement 6 semaines. Qu’est-ce qui lui permettait d’être aussi optimiste sur ces délais, lorsque l’on sait le temps généralement nécessaire à l’élaboration d’un vaccin ? Dès avril 2020, dans un mail adressé au patron de “FacebookMark Zuckerberg, Fauci se félicitait de démarrer des tests sur les humains sur 45 personnes pour le vaccin de “Moderna”, alors même que ladite pandémie n’avait même pas débuté aux USA et qu’elle était uniquement en Chine. Quelle prescience exceptionnelle… Cela ressemble fortement à un délit d’initié ! On se retrouve donc avec un des piliers de la mise en place de toute cette pandémie qui est double parjure ! En somme, il pourrait s’agir d’un véritable séisme dans tout le narratif de la pandémie. Les mails d’Anthony Fauci prouvent aussi qu’il a fait pression sur les chercheurs indiens qui avaient publié dans le “GreatGameIndia” pour qu’ils retirent une étude révélant que le virus du SARS-CoV-2 contenait l’insertion de séquences du VIH, ce qui allait donc dans le même sens que les conclusions de Luc Montagnier. Décidément le rôle de Fauci dans toute cette affaire est des plus troubles, en tout état de cause, il a sciemment dissimulé des informations capitales et trompé délibérément le public sur l’origine du virus. Cerise sur le gâteau, Fauci est en conflit d’intérêts puisqu’il a investi dans le vaccin “Moderna”.


Par ailleurs, selon une récente et explosive étude menée par le professeur britannique Angus Dalgleish et le scientifique norvégien le Dr Birger Sørensen qui est parue le 30 mai 2021 dans le journal le “Dailymail.com”: non-seulement le virus serait artificiel, mais ceux qui en sont à l’origine ont essayé de dissimuler toutes traces de leur intervention en ayant recours à de la “rétro-ingénierie”. C’est-à-dire qu’ils auraient procédé à une ingénierie inverse des versions du virus afin de donner l’illusion qu’il provenait naturellement de chauves-souris… Ils ont donc agi pour cacher leur forfaiture et effacer toutes preuves de leur crime. Par conséquent, il est donc de plus en plus vraisemblable qu’il s’agisse bien d’un acte malveillant et prémédité et que ce virus trafiqué a été intentionnellement lâché dans la nature comme une arme biologique. L’étude montre qu’il existe des preuves suggérant que les scientifiques chinois ont créé le virus alors qu’ils travaillaient sur un projet de gain de fonction dans le laboratoire de Wuhan. L’étude relève également des faits pour le moins troublants, comme la destruction délibérée, la dissimulation ou la contamination des données dans les laboratoires chinois et note que les scientifiques qui souhaitaient partager leurs découvertes n’ont pas pu le faire ou ont disparu.

Quoi qu’il en soit, si ce virus est artificiel, il n’y a que deux possibilités qui se présentent, soit il a été relâché intentionnellement dans la nature, soit il s’agit d’une fuite accidentelle du Laboratoire. En tous les cas ce que l’on peut dire avec une certitude absolue, c’est que la situation est instrumentalisée et exploitée à outrance par les gouvernements. Sur l’origine manipulée du virus, on peut dire qu’elle suit le cheminement logique de toutes les informations dérangeantes qui est décrite par le philosophe allemand, Arthur Schopenhauer ainsi : «Toute vérité franchit trois étapes. D’abord elle est ridiculisée. Ensuite, elle subit une forte opposition. Puis, elle est considérée comme ayant toujours été une évidence.” Ainsi les ridicules “Fake News” d’hier deviennent les vérités de demain.»


Le Coup d’État Sanitaire global et permanent contre les peuples

«À l’avenir, les gouvernements décideront très probablement, mais avec des degrés d’intensité différents, qu’il est dans le meilleur intérêt de la société de réécrire certaines règles du jeu et d’accroître leur rôle de façon permanente.» – Klaus Schwab

«Les lois ne font plus les hommes, mais quelques hommes font la loi…» – Daniel Balavoine

«Il n’y a point de plus cruelle tyrannie que celle que l’on exerce à l’ombre des lois et avec les couleurs de la justice.» – Baron de Montesquieu

«Les «états d’urgence» ont toujours été le prétexte pour éroder la liberté individuelle.» Freidrich Hayek


 

En réalité dans les discours officiels, on aura remarqué qu’on ne parle paradoxalement que très peu de traitement et de guérison. En revanche, on peut très nettement observer une totale dérive sécuritaire se mettre en place, avec un exécutif en roue libre qui, à la faveur de l’urgence sanitaire, s’octroie les pleins pouvoirs. Les parlementaires ont ainsi été écartés, ils ne sont plus que des godillots insignifiants et dérisoires. Cet État d’urgence sanitaire piétine l’État de droit et se prolonge Ad vitam æternam, sans véritable justification scientifique. Tout se passe comme si désormais seuls le “Conseil Scientifique” et le “Conseil de Défense” étaient habilités à gouverner la France, à l’image d’un coup d’État qui ne dirait pas son nom. Ce “Conseil de Défense” composé de Macron, de deux médecins, de deux généraux et de trois ministres est parfaitement anticonstitutionnel. Le “Conseil Scientifique” sur lequel s’appuie le gouvernement pour justifier ses prises de décisions arbitraires agit en toute opacité et ne rapporte aucun compte rendu de ses réunions, alors que cela devrait être public et dans la plus parfaite transparence. Nous sommes devenus les otages d’une caste de médecins corrompus, de pseudo-chercheurs et de scientifiques perclus de conflits d’intérêts. Et d’ailleurs, que viennent bien faire des militaires dans des affaires qui relèvent de la Santé publique ? Dans cette crise, c’est toute la démocratie qui a été confinée, confisquée jusqu’à nouvel ordre, sans la moindre consultation populaire, dans la plus totale opacité et au mépris du droit constitutionnel.

Le pouvoir s’appuie sur l’autorité des médecins savants pour justifier et légitimer son action. La Santé oriente la politique pour aboutir à une dictature d’experts. La médecine technicisée devient le meilleur agent de contrôle et de formatage des populations dès qu’elle est socialement reconnue comme la seule instance experte et légitime. La philosophe allemande et critique des technosciences Elena Pasca met en garde face à ce glissement totalitaire par une poignée de techno-gestionnaires : «Les technosciences fournissent au capitalisme une idéologie scientiste maquillée en horizon moral ultime et indépassable par des citoyens qui abdiquent leur raison à la dictature d’experts, niant ainsi la capacité décisionnaire qui définit pourtant les citoyens en République.» Avec cette pseudo-crise sanitaire, nous sommes face à l’émergence d’un “biopouvoir”, terme inventé par le philosophe Michel Foucault, qui entend réguler tous ses sujets, de grands groupes humains à travers une explosion de techniques nombreuses et diverses afin de parvenir à l’asservissement des corps et des esprits et au contrôle total des populations. Nous sommes entrés dans un régime Sanitaro-ségrégationniste autoritaire, gouvernant en promulguant des lois d’exception, avec des mesures qui relèvent de lois martiales, comme les couvre-feux.

Le fondement même de la démocratie est la séparation des trois pouvoirs que sont : l’exécutif du gouvernement, le judiciaire des juges et le législatif du peuple, comme l’avait préconisé Montesquieu dans “L’esprit des Lois”. Pouvoirs auxquels il conviendrait de nos jours d’ajouter le pouvoir médiatique, qui est en réalité devenu le premier pouvoir, le plus puissant qui a rendu toute cette dérive totalitaire actuelle possible, en ne jouant plus du tout son rôle de contre-pouvoir et en formatant lopinion publique. En effet, au lieu de demander des comptes au pouvoir et aux gouvernants pour cette scandaleuse et déplorable gestion de crise, les médias sont dans leur écrasante majorité devenus de vulgaires organes de propagande, une simple courroie de transmission des directives gouvernementales, une sorte de cinquième colonne, une arme redoutable retournée directement contre le peuple et contre ses meilleurs intérêts. La presse n’est visiblement pas là pour chercher la vérité, de manière impartiale et objective, mais pour d’étouffer toute vérité gênante. De nos jours, il n’y a presque plus de journalistes d’investigation, mais de simples liseurs de dépêches et de fil d’actualité en provenance de l’AFP ou de Reuters. Ces Agences de presse, qui sont elles-mêmes sous l’emprise de l’État… De plus, la presse est directement dépendante des aides et subventions reversées par l’État. Il y a donc une parfaite connivence entre les puissants, la caste au pouvoir et les médias de masse. 

Au travers cette crise, nous ne pouvons que déplorer avec amertume une uniformité totale du système qui opère tel un implacable rouleau compresseur, comme un exécutif unitaire. Car, avec cette déplorable, scandaleuse et criminelle gestion de la crise, la pseudo-opposition politique de façade aurait eu une occasion en or, une véritable autoroute pour attaquer les prises de décision si contestables de la majorité. Mais non, tout le monde sur l’ensemble de l’échiquier politique s’est lamentablement couché, de ladite “extrême gauche” à ladite “extrême droite”, faisant ainsi l’éclatante démonstration de leur complicité et de toute leur imposture. Le seul à avoir été un tant soit peu critique et combatif est Florian Philippot, sans doute, car du point de vue du système, il est une figure pouvant facilement être diabolisée et donc idéale pour représenter et amalgamer l’opposition, afin de mieux la circonscrire, la contrôler et l’étouffer. Cette crise a révélé toutes les limites du système représentatif politique, qui manifestement ne représente plus que les intérêts financiers de puissances d’argent et de quelques groupes industriels, des forces économiques aveugles et incontrôlables.

Malheureusement il y a fort à parier que si ces mondialistes se sont lancés dans une opération d’une telle envergure, dans cette grande offensive, ils ont pris au préalable soin de s’assurer que tous les systèmes juridiques et législatifs soient bien acquis à leur cause. Le peuple est donc livré à lui-même pour la défense de sa dignité, de ses droits fondamentaux et de sa liberté.

De son côté, Jacques Attalice faiseur de rois qui murmure à l’oreille des Présidents depuis des décennies, véritable éminence grise tapie dans les coulisses du pouvoir, qui se targue d’avoir découvert et propulsé la carrière politique d’Emmanuel Macron («c’est moi qui l’ai repéré. C’est moi-même qui l’ai inventé. Totalement !»nous parle aussi au nom du principe de précaution d’un «état d’urgence permanent». Mais, qu’elle est alors la différence avec un régime dictatorial si le régime d’exception devient la norme ? Et pourquoi ce même principe de précaution qui est ici convoqué, n’est plus valable lorsqu’il s’agit des vaccins, qui vont pourtant impacter directement notre santé et menacer notre intégrité physique ?

Dans cette dynamique liberticide, le gouvernement a aussi adopté une scandaleuse loi dite de Sécurité Globale qui empêche de filmer les policiers dans l’exercice de leur fonction lorsqu’ils interviennent dans l’espace public ! Autant dire que cela va leur assurer la plus grande impunité pour leurs actions de répression à venir… On remarquera que pendant qu’on instaure cette opacité pour le pouvoir et ses petites mains exécutantes, dans le même temps, on exige de plus en plus de transparence pour le citoyen lambda qui se retrouve fliqué, tracé, épié, filmé et écouté en permanence… Mais comme le dit très justement le dissident Julian Assange, «Ce n’est pas à l’État de tout savoir sur ses citoyens, c’est aux citoyens de tout savoir sur l’État.» Car la tyrannie, c’est bien lorsque l’État sait absolument tout de vous, tandis que la démocratie, c’est lorsque le citoyen sait tout de l’État.  Et concernant la Santé, il est maintenant question de faire tomber le secret médical par rapport à la vaccination…

Il faut aussi savoir que le gouvernement Macron a fait classifier “Secret-Défense” tous les documents écrits des décisions clés de la gestion de la pandémie. Soit, des documents sanitaires, comme s’il s’agissait de documents de défense nationale ! S’agit-il donc bien d’une guerre contre l’homme ? Quels agissements criminels et qu’elles magouilles ont-ils à cacher pour se couvrir de la sorte pour des décennies ? Seuls des comploteurs ont besoin de se couvrir d’un tel niveau de secret et d’opacité. Nos dirigeants veulent que votre statut vaccinal soit visible par tout le monde, mais viennent de faire classer “Secret-Défense” pour 50 ans la gestion de la crise du COVID !

Parallèlement à cette nouvelle loi inique, début décembre, le gouvernement autorise discrètement le fichage des opinions politiques, ou l’appartenance à des organisations syndicales, par le renseignement avec des décrets publiés élargissant le champ d’action de trois fichiers auxquels certains services de renseignement ainsi que les forces de l’ordre ont accès. Les individus considérés comme dangereux pour la “sécurité publique” pourront ainsi être répertoriés dans trois fichiers. Pourront désormais y être inscrits les opinions politiques, philosophiques et religieuses, les comportements et habitudes de vie, les déplacements, les pratiques sportives, ou les activités sur les réseaux sociaux…

À propos de réseaux sociaux : le gouvernement a engagé trois sociétés privées, dont deux étrangères, une basée en Irlande et l’autre au Luxembourg, pour faire de la veille et de la détection des contenus hébergés sur les espaces d’expression en ligne, en un mot, pour une surveillance de masse des réseaux sociaux en France. Le tout pour la bagatelle de trois millions d’euros en marché public.

Et lorsque lors d’un entretien l’on fait remarquer à notre roitelet mal-aimé, ce triste sire de Macron, ce tyran en puissance de Jupiter, qu’il est entré de plain-pied dans une dérive totalitaire et qu’il transforme progressivement le pays en dictature, il hausse les épaules avec dédain et un souverain mépris, avant d’essuyer la poussière de son veston, comme l’eau qui glisse sur le dos du canard… Faisant bien comprendre par là qu’il s’en contrefichait royalement, tout en rétorquant, avec la morgue et la vulgarité qui le caractérise : «Je m’en bas les C’», sous-entendu : Je m’en bas les couilles  ! Quelques mois plus tard, dans un langage de voyou indigne de sa fonction, il dira dans un SMS très cash adressé à Véran : «Tiens bon on les aura ces connards !» en parlant des non vaccinés. Quelle audace.

La France est maintenant reléguée à l’international au 24ᵉ rang des démocraties mondiales, pointée du doigt pour ses défaillances en matière de liberté d’expression et de libertés fondamentales.


La clé de notre liberté, ou celle de notre futur asservissement ?



«On a juste envie de faire un monde où on n’est pas des esclaves des multinationales. On n’a pas besoin d’un vaccin dans les fesses et d’un cacheton tous les jours pour avoir le droit de vivre.» – Dr. Louis Fouché

«Nous verrons comment le traçage a une capacité inégalée et une place quasi essentielle dans l’arsenal nécessaire pour combattre la Covid-19, tout en étant capable de devenir un outil de surveillance de masse.» – Klaus Schwab dans “Covid-19, la grande réinitialisation”

«On est passé d’un état de droits à un état de la permission.» – Aldo Sterone

«Nous sommes en train de glisser d'une société de libertés vers une société d'autorisations.» – Pierre Gentillet, avocat

«Il n’était pas facile, en outre, de voyager seul sans attirer l’attention. Pour des distances inférieures à une centaine de kilomètres, il n’était pas nécessaire de faire viser son passeport, mais il y avait parfois des patrouilles qui rôdaient du côté des gares, examinaient les papiers.» – George Orwell dans “1984”

«L’histoire se répète toujours deux fois, la première comme une tragédie, la seconde comme une farce.» – Karl Marx

«… quatre Français seulement sur mille, mettent la liberté au rang du bien suprême… Servitude et bonne santé, voilà le slogan de demain.» Albert Camus, “Le procès de la liberté”


En fait, tout indique un immense péril menaçant notre santé, mais aussi nos libertés les plus fondamentales et inaliénables, car il est de plus en plus question d’introduire un passeport vaccinal… Outil totalitaire s’il en est, et véritable sésame qui nous permettrait de continuer à vivre plus ou moins normalement dans cette nouvelle société aseptisée, ultra-normée et surveillée. L’accès aux écoles, transports, commerces et emplois serait alors conditionné à ce carnet vaccinal qui finira bientôt à n’en pas douter sous-cutané. Quel odieux chantage que voilà ! En termes juridiques, il s’agit tout simplement d’une obligation implicite, d’un arrachement et d’une extorsion de consentement. Soit une méthode qui n’a rien à envier aux pratiques de la mafia… Le plus cynique étant encore que la propagande officielle cherche à nous présenter de manière totalement Orwellienne ce pass sanitaire comme un outil de liberté et d’émancipation, alors qu’il est l’exact contraire. Comme si les mots n’avaient plus de sens et de rapport avec la réalité.

Rappelons-nous bien qu’en 1933, un certain Adolf Hitler créait “l’Ahnenpaß”un passeport généalogique qui certifiait que son possesseur était bien de sang pur aryen, car celui qui ignore l’histoire est condamné à la revivre. Ce passeport donnait lui aussi accès aux musées, aux édifices publics, aux théâtres, aux études et au travail. N’oublions jamais que le noyau de l’idéologie nazie était l’hygiénisme et l’eugénisme, des mécanismes qui sont de nouveau à l’œuvre dans cette crise pseudo-sanitaire. L’hygiénisme est une idéologie dangereuse, car elle sous-tend l’idée de pureté. À l’époque, les institutions médicales avaient déjà une place prépondérante dans le dispositif totalitaire et on désignait le Juif comme étant le propagateur et le vecteur des maladies, là où aujourd’hui, c’est le non-vacciné… Lors de cette funeste et sombre époque, plus de la moitié des médecins avaient rejoint le parti Nazi. La profession médicale était d’ailleurs la plus représentée au sein du parti. L’esprit de conformité absolue de cette profession explique en partie ce fait. La raison initiale de la ségrégation des juifs s’est faite au nom du typhus, puis on a organisé leur déportation pour assurer “la sécurité de tous et avant tout d’eux-mêmes” vers des camps. En 1942, les lois antijuives étaient les suivantes dans le Reich allemand : interdiction de changer de résidence et d’être hors de son logement entre 20h et 6h. À Paris, les Juifs ne sont autorisés à voyager que dans la dernière voiture du métro. Interdiction aux Juifs de fréquenter les établissements ouverts au public, cinéma, théâtre, musées, piscines, bibliothèques, cafés, restaurants, parcs et jardins publics, etc. Ils n’étaient pas autorisés à faire leurs achats dans les magasins (ou à les faire faire par d’autres personnes) qu’entre 15h et 16h. Leurs lignes téléphoniques étaient supprimées, et il leur était interdit de téléphoner d’une cabine.

Un article de 2014, rédigé par l’historien Johann Chapoutot revient sur les origines des persécutions des juifs pendant la Seconde Guerre Mondiale : «De manière significative, la constitution de ghettos fermés est présentée par le médecin allemand comme une mesure sanitaire de quarantaine. […] La quarantaine imposée à la population juive revêt un sens strictement médical. Sa nécessité est dictée par la virulence de la maladie : les Allemands agissent au mieux face à un fait morbide dont ils ne peuvent que constater l’existence, avant d’en induire les conséquences. En effet comme : «le Juif est quasiment le seul vecteur de l’épidémie et que, en cas de contamination d’un non-Juif, on remonte le plus souvent à une source d’infection juive, il est apparu urgent, aux fins de protection de la population, de restreindre la liberté de circulation des habitants juifs, de soumettre leur usage du train à une autorisation administrative médicale particulière, de les orienter vers des parcs désignés à leur seul usage (puisque, par exemple, la transmission des puces infectieuses est facilitée par l’usage commun des bancs), de leur interdire la fréquentation des omnibus et de leur réserver des compartiments particuliers dans les trams.» […] de même, plus généralement, c’est le ghetto tout entier qui est présenté par l’article comme une zone de quarantaine, un quartier d’isolement sanitaire totalement fermé vers l’extérieur, un “réservoir à Juifs” (Judenreservoir) dont il est désormais heureusement impossible de “s’échapper”».


Des manifestants opposés à ce pass de la honte qui arboraient une étoile jaune “non-vacciné” pour mettre en exergue la dérive ségrégationniste en cours, se sont vu traités avec une mauvaise foi hallucinante par la propagande médiatique d’antisémites. Pourtant il faut savoir que les Israéliens juifs, également opposés dans leur pays à la mise en place de ce pass vert, ont aussi défilé avec cette même étoile jaune et même en habits de prisonniers des camps de la mort… Autant dire qu’ils dressent eux-mêmes ce parallèle historique. Pour tous ceux qui s’offusquent de ce genre de comparaisons historiques, il faut bien leur rappeler que les camps et l’extermination n’ont été le fruit que d’un long processus et d’une montée en puissance graduelle dans l’horreur et la violence. Aussi, il vaut mieux dénoncer les dérives en cours avant d’en aboutir à de telles extrémités.

Signalons aussi que la SNCF, qui semble renouer avec un passé peu glorieux, a eu l’initiative particulièrement douteuse de différencier visuellement avec un signe distinctif les non-vaccinés des vaccinés en leur faisant porter des bracelets bleus s’ils disposent bien d’un pass sanitaire. Au Canada, dans le train pour Montréal,  ils font aussi porter un autocollant jaune pour montrer que tu es bel et bien bien vacciné.

Il s’agit d’un véritable asservissement des individus qui sont soumis et réduits à la volonté arbitraire d’une autorité extérieure : ils ne sont plus sujets souverains, mais objets de droit. L’individu n’est plus maître de ses propres choix, il est sujet de la volonté d’autrui pour obtenir des droits à la condition de sa bonne soumission, peu importe que cela représente un réel danger pour sa santé, sa vie, sa descendance. Il sagit bien d’un retour à la servitude totale : C’est de l’esclavage moderne. Si ce passeport sanitaire nous est imposé, autant dire qu’à l’avenir, ils pourront alors nous injecter ce qu’ils veulent dans nos veines, tout en contrôlant nos libertés en permanence à l’aide d’un dispositif de QR-code et de bornes à scanner. Puis, à force de supporter les désagréments de cette nouvelle contrainte, les gens se lasseront immanquablement et ce sera alors la voie royale toute tracée pour l’introduction d’une puce implantée sous-cutanée, tellement plus pratique que le smartphone que l’on peut oublier… En Suède, on parle déjà de cette prochaine étape, à savoir d’une puce implantée sous la peau qui a été mise au point pour faire office de pass sanitaire. Elle permet à ses détenteurs de présenter leur QR-Code sans sortir leur smartphone de leur poche.

À noter que dès 1979, Jacques Attali annonçait de manière une fois de plus visionnaire la mise en place d’un passeport sanitaire : «On aura la nouvelle Carte d’identité de la Santé qui contient ce que vous avez droit de faire et de ne pas faire, les maladies […] qui vous permettent de faire certains métiers ou non…» En outre, dans son livre de prospective sur les cinquante prochaines années, “Une brève histoire de l’avenir” paru en 2006, Jacques Attali anticipe aussi que «les prisons seront progressivement remplacées par la surveillance à distance d’une personne assignée à résidence.» N’est- ce pas précisément ce que nous avons vu se mettre en place de manière expérimentale et à grande échelle, avec la généralisation des mesures arbitraires de quarantaine, mesures politiques bien avant d’être sanitaires ? De plus, en 1981, dans une de ses interviews publiée par Michel Salomon et tirée de son livre “l’Avenir de la Vie”, il dissertait sur l’efficacité des différents totalitarismes : «Je ne crois pas à l’Orwellisme, parceque c’est une forme de totalitarisme technique, avec un “Big Brother” visible et centralisé. Je crois plutôt à un totalitarisme implicite, avec un “Big Brother” invisible et décentralisé. Ces machines pour surveiller notre santé, que nous pourrions avoir pour notre bien, nous asserviront pour notre bien. En quelque sorte, nous subirons un conditionnement doux et permanent…» Dans ce même ouvrage p. 272, il développait le concept de médecine comme outil de contrôle social des populations : «Ensuite, toutes les médecines du futur qui sont liées au contrôle du comportement peuvent avoir une incidence politique majeure. Il serait possible en effet de rendre conciliable la démocratie parlementaire avec le totalitarisme puisqu’il suffirait de maintenir toutes les règles formelles de la démocratie parlementaire mais en même temps de généraliser l’utilisation de ces produits pour que le totalitarisme soit quotidien.»

De plus, dans une émission diffusée en 2008 sur la chaîne Public Sénat portant sur la puce RFID, il lance : «On peut imaginer que chaque individu accepte volontairement, ou sans le savoir, une puce en lui, qui contiendrait tout un tas d’informations sur lui qui permettrait à la fois de payer tout, de tout savoir… Mais donc d’être libéré d’un certain nombre de contraintes.» Pour Attali, chaque individu acceptera, volontairement, et c’est là que c’est encore plus pervers, ou même sans le savoir, une puce en lui ! Il précise aussi que : «Le vrai luxe de demain, ce sera d’être isolable, de pouvoir s’isoler, et la vraie liberté, ce ne sera pas d’être relié aux autres, mais d’avoir le droit de ne pas être branché». Autrement dit, le contrôle sera juste bon pour les sans-dents, l’élite de son côté pourra bien s’en dispenser.

De même, il faut savoir qu’étonnamment, la “Commission européenne” travaillait déjà depuis 2018 sur la mise en place d’un passeport vaccinal unique pour tous les Européens ! Encore une fois, le hasard fait décidément bien les choses… Ainsi, un rapport publié par la “Commission européenne” révèle que l’UE voulait augmenter la portée et la puissance des programmes de vaccination globale, et cela bien avant l’actuelle pandémie. La fin de leur “feuille de route” se résume, parmi bien d’autres points, à l’introduction d’une carte/passeport de vaccination commun pour tous les citoyens de l’Union européenne. La “feuille de route vaccination” n’est pas une réponse improvisée à la pandémie du Covid-19, mais plutôt un plan déjà établi dès 2018, lorsque l’UE avait publié un sondage sur la perception des vaccins par le public, intitulé “State of Vaccine Confidence”. Ce massif et coûteux sondage à destination des 28 pays européens est intervenu tout juste un an avant le début de la pandémie de Covid-19. Très très curieux timing, encore une fois… Sans doute s’agissait-il d’un excellent moyen pour prendre la température et mesurer le degré de potentielle défiance vis-à-vis des vaccins, afin de pouvoir adapter et ajuster la communication ultérieure dans les différents pays avec plus de précision et d’efficacité.


Pucer le cheptel humain pour mieux le contrôler

«Je ne veux pas me faire, ficher, estampiller, enregistrer, ni me faire classer puis déclasser ou numéroter. Ma vie m’appartient» – Réplique tirée de la série Le prisonnier

Avec cette crise sanitaire, nous assistons en fait à la mise en place forcée de l’identification numérique des populations. C’est depuis des années, l’objectif inavoué des élites pour contrôler ce qu’ils considèrent comme “le bétail humain”, comme on peut en avoir la confirmation dans une interview visionnaire de 2007 du producteur hollywoodien et réalisateur du documentaire “America : From Freedom to Fascism”, Aaron Russo. Lors de cet incroyable entretien, ce dernier confia qu’un certain Nicolas Rockefeller, avec lequel il avait noué une certaine amitié, lui aurait avoué que les élites avaient pour ambition de pucer l’ensemble de la population mondiale. Aaron Russo a peut-être même payé ces révélations-chocs très dérangeantes de sa vie, car il est mort peu de temps après la diffusion de cette exceptionnelle vidéo. Il mettait l’humanité en garde  : «Le but ultime que ces gens ont en tête est de créer un gouvernement mondial unique dirigé par l’industrie bancaire, donc diriger par les banquiers. Tout l’agenda est de créer un gouvernement mondial unique où tout le monde aura une puce RFID implantée en eux. Tout l’argent sera dans ces puces, il n’aura plus d’argent liquide et cela vient directement des Rockefeller eux-mêmes. Ils veulent l’accomplir, et tout l’argent sera dans vos puces. Au lieu d’avoir de l’argent liquide, chaque fois que vous aurez de l’argent dans votre jeton, ils peuvent retirer ce qu’ils veulent, quand ils veulent. Si vous devez de l’argent aux impôts, ils le déduisent numériquement de votre puce. Contrôle total ! Et si vous êtes comme moi et que vous protestez contre ce qu’ils font, ils peuvent simplement éteindre votre puce, vous n’avez alors plus rien. Vous ne pouvez plus acheter de nourriture, vous ne pouvez plus rien faire. C’est le contrôle total du peuple. Et cette puce est connectée à une base de données qui contient vos achats. […] Vous devenez un esclave, un serf de ces gens. C’est leur but, c’est leur intention.»

La toute première micro-puce sous-cutanée fut inventé en 1968 par l’ingénieur électronicien Carl W. Sanders. Pendant trente-deux ans, il a développé des puces électroniques pour IBM, “General Electric”, “Honeywell” et “Teledyne”, ainsi que pour diverses organisations gouvernementales. Rappelons au passage que l’entreprise IBM a un lourd passif, puisqu’elle avait introduit lors de la Seconde Guerre mondiale une technologie de cartes perforées servant à ficher en masse les Juifs. Les numéros tatoués sur les avants-bras des prisonniers dans les camps étaient en fait un numéro d’identification de carte perforée. Le fichage généralisé, placé entre de mauvaises mains, peut s’avérer extrêmement dangereux… En 1994, il se confiait à la revue australienne Nexus : «En 1968, je fus impliqué… dans un projet de recherche-développement concernant un pontage de moelle épinière, un projet qui nous emballait tous. Il y avait 100 personnes impliquées et j’étais l’ingénieur principal en charge dudit projet… lequel aboutit à la micro-puce dont nous parlons maintenant une micro-puce que je crois être la Marque de la Bête […] Cette micro-puce est rechargée par les changements de température du corps humain… Plus d’un million et demi de dollars furent dépensés pour trouver les deux endroits sur le corps humain où la température change le plus rapidement : le front… et le revers de la main. […] Travaillant sur cette micro-puce, nous n’avions aucune idée qu’elle deviendrait un moyen d’identifier les gens : nous considérions ce projet comme étant une chose très humanitaire. […] Comme ce projet de micro-puce commençait à évoluer, vint un temps où on nous expliqua que les pontages à la colonne vertébrale étaient une chose qui ne rapportait pas assez financièrement, et qu’on devait considérer d’autres applications pour cette puce. Nous avions remarqué en effet que la fréquence de la micropuce avait un grand effet sur le comportement humain, et l’on orienta alors nos recherches sur la possibilité de modifier le comportement humain avec la micro-puce : le projet se transforma presque en acupuncture électronique. Il avait pour objet d’émettre un signal dans certaines parties du cerveau pour provoquer des changements de comportement.» Il confia aussi avoir plus tard collaboré à un projet du nom de “Phœnix” portant sur des vétérans du Vietnam. Il s’agissait d’une puce électronique, appelée “Rambo”, permettant de booster leur taux d’adrénaline au combat. Carl W. Sanders a également rapporté que lors des discussions sur le contrôle électronique avec la CIA auxquelles il a assisté, on parlait des citoyens comme d’un troupeau. «Lorsque la discussion parvint au stade de l’identification par puce, ils précisèrent leurs objectifs : le nom et la photo, le numéro de sécurité sociale, l’empreinte digitale, la description physique, le contexte familial, le métier, les informations administratives, les impôts et le casier judiciaire.» Lors d’une réunion devant des membres de la CIA et d’importantes personnalités, telle que l’ancien secrétaire d’État américain Henry Kissinger, on fit remarquer au Dr. Sanders que «Pour pouvoir contrôler un peuple, il fallait d’abord pouvoir l’IDENTIFIER.» Carl W. Sanders rapporte avoir assisté à 17 réunions à travers le monde où le sujet du contrôle et de l’identification par la puce étaient discutés dans l’esprit d’un gouvernement mondial et d’une monnaie mondiale. Il précisait aussi que : «Récemment, ils ont abordé le “Health Care Program”, un suivi du ventre maternel à la tombe.[…] Des projets ont été soumis au Congrès afin de permettre d’injecter une puce à votre enfant dès la naissance.»

Ce projet de puçage revient régulièrement sur la table. Ainsi, en 1995, aux États-Unis, Donna Shalala, responsable du “Department of Health and Human Services” a suggéré de donner un numéro de sécurité sociale dès la naissance, afin d’y inscrire l’état vaccinal de chacun. En 1996, le “Health Insurance Portability and Accountability” émit le projet d’un numéro d’identification de soins de santé qui pourrait remplacer le numéro de sécurité sociale et qui serait attribué dès la naissance à chaque citoyen, relié à un moniteur électronique qui enregistrerait au fur et à mesure les soins médicaux et les vaccinations. En 1998, le CDC a commencé à mettre en œuvre un registre d’État des vaccinations qui serait un premier pas vers le développement d’enregistrements électroniques sous le prétexte de suivre la santé des individus. Ces enregistrements comprendraient le nom, l’adresse, le numéro de téléphone, le numéro de sécurité sociale, la date de naissance, le sexe, la race, la langue principale, le nom de la mère et son nom de jeune fille, le nom du père, et les numéros de sécurité sociale des deux parents.

Tout porte à croire que nous allons assister, à l’extension globale du modèle chinois de contrôle des populations, avec la mise en place d’un système de crédit social, un système de notation civique, appuyé par une nouvelle monnaie électronique dématérialisée couplée à un contrôle numérique intégral et permanent sur nos vies et nos comportements. Klaus Schwab qui est particulièrement séduit par le modèle Chinois, entend bien une fois le virus maîtrisé, instaurer un traçage intégral de nos vies appuyé par l’introduction massive de la reconnaissance faciale dans les pays occidentaux. Tous nos comportements et interactions sociales seraient alors en permanence épiés, analysés et évalués. Le Conseil d’État a d’ores et déjà autorisé son utilisation dans l’espace public…

Dans ce sens, on ne peut que s’inquiéter du rapport hallucinant élaboré par le Sénat intitulé de manière résolument Orwellienne, “Crises sanitaire et outils numériques : répondre avec efficacité pour retrouver nos libertés”. À son initiative, on trouve les sénatrices Véronique Guillotin et Christine LAVARDE ainsi que le sénateur M. René-Paul SAVARY. Afin de répondre avec efficacité aux prochaines menaces sanitaires, ils planifient d’utiliser la région Grand Est comme théâtre d’expérimentation pour plonger nos vies dans une dictature numérique de total contrôle, avec “l’intrusivité” comme mot d’ordre pour réduire à néant ce qu’il reste encore de notre espace privé et de notre intimité. Le tout sous couvert d’éviter de nouvelles restrictions générales de type confinement généralisé. Tout y passe : pass sanitaire permanent, tracking, contact tracing, drones, chiens renifleurs, caméras thermiques, caméras de reconnaissance faciales, géolocalisation permanente des individus, contrôle automatique des plaques d’immatriculation des véhicules par les radars, détection des individus par les portiques des magasins, visites et intrusions inopinées dans les appartements, sanctions dissuasives avec amende et prison, bracelet électronique pour assurer le respect de la quarantaine, collecte des données personnelles avec la complicité des GAFAM, suppression de l’accès aux comptes bancaires, désactivation à distance des abonnements et titres de transport pour les personnes violant la quarantaine, embuscades inopinées dans des quartiers pour contrôler tout un secteur bouclé. Un programme intégralement calqué sur le “modèle” Chinois. Une phrase édifiante résume à la page 106 à elle seule l’état d’esprit de ces obsédés du contrôle : «Si une dictature sauve des vies, pendant qu’une démocratie pleure ses morts, la bonne attitude n’est pas de se réfugier dans des positions de principe, mais de s’interroger sur les moyens concrets, à la fois techniques et juridiques de concilier efficacité et respect de nos valeurs.»



Dans le terrifiant documentaire diffusé sur Arte, “Tous surveillés, 7 milliards de suspects”, nous avons un avant-gout du monde à base de surveillance et de crédit social qu’ils entendent nous imposer. On peut y entendre les édifiants  propos de Lin Junyue, l’inventeur du crédit social qui après la visite de Xi Jinping en France le 24 mars 2019, avait en avril 2020 déclaré : «Cette notation généralisée est le meilleur moyen de gérer une société […] Il faut la paix et la stabilité, après on réfléchira aux droits de l’Homme, […] mon espoir est d’exporter le système vers d’autres pays, comme la France […] Avec le crédit social, il n’y aurait jamais eu les gilets jaunes.»

On remarquera au passage qu’une fois de plus, on aura depuis des années, bien préparé le terrain et les esprits en habituant progressivement les gens à des systèmes de notation, à un esprit de compétition constant pour tout et n’importe quoi, notamment à travers les émissions de Téléréalité telles que “The Voice”, “Top Chef” ou “Koh-Lanta”, j’en passe et des meilleurs… On les a même habitués à éliminer le maillon le plus faible du groupe social…

La pandémie est aussi le prétexte idéal pour bouleverser en profondeur les habitudes des consommateurs et leur faire adopter un nouveau mode de paiement. Les transactions sans contact, voir les paiements en ligne sont maintenant systématiquement à privilégier, tandis que les billets physiques, susceptibles de transmettre le virus par contact seraient donc à proscrire. Voilà qui représente une occasion unique pour basculer vers l’idéal visé d’une société “Zéro Cash”. On s’achemine ainsi vers la création d’un euro numérique, comme le préconise le “Fonds Monétaire International”.

Petit à petit, le pouvoir qui nous a arraché nos libertés pour rien, nous promet de nous les rendre, mais uniquement sous l’imposition de ses propres conditions, avec dans un premier temps la mise en place d’un passeport vert sanitaire. Le port obligatoire du masque qui pouvait apparaître comme anodin était en fait le premier doigt dans cet implacable engrenage totalitaire. On passe ainsi de ce dernier, à des applications de traçage sur portable, puis aux tests obligatoires, puis au passeport numérique à QR-code, puis au vaccin soi-disant non obligatoire, mais imposé de manière détournée, puis au passeport santé avec certificat de vaccination, puis certificat de vaccination sous-cutanée, puis à l’identité numérique et au bout du chemin, ce sera l’implantation d’une puce numérique sous-cutanée sans laquelle tout achat ultérieur sera rendu impossible et enfin l’instauration de la dictature du “Nouvel Ordre Mondial”. La voie du traçage généralisé est toute tracée. Soit, l’émergence d’un système technocratique tyrannique redoutable, capable du jour au lendemain, de couper les vivres, au moindre dissident et opposant à ce système, avec une possibilité de mise à mort sociale à portée de clic de souris. Le pouvoir d’achat et les libertés de déplacement étant alors subordonnées à son comportement et à sa bonne soumission aux nouvelles normes édictées et imposées par les élites.


Une société inclusive d’Apartheid, entre “bons” et “mauvais” citoyen ?

«Les gens ne s’imaginent pas dans quelle société autoritaire et discriminatoire on va aller.» – Michèle Rivasi, eurodéputée

«Je suis en fait une survivante de l’holocauste. Et la première chose que je dois vous dire, c’est que même là, personne ne nous a dit que c’était pour notre bien. Nous savions tous ce qui était en train de se passer. Et quand aujourd’hui je vois des gens masqués, je pense à l’étoile jaune, qui a donné à tout le monde la liberté de m’agresser, de m’insulter, de me traiter de porteur de la maladie et de me cracher dessus. Je voudrais vous dire que ceci est pire. C’est plus insidieux, ça concerne plus de gens. Il y a une hypocrisie dans le récit public qui est absolument insupportable pour dire que nous faisons cela pour protéger les vieux. J’aimerais mourir dans un État qui me donne la liberté de vivre.»témoignage d’une rescapée de la Shoah

Comment peut-on encore oser se prévaloir de la démocratie, avec la mise en place d’un tel passeport sanitaire hautement discriminant marquant l’instauration d’une telle société d’apartheid médical, basée sur un fonctionnement à deux vitesses ? C’est une rupture sans précédent du contrat social et une rupture du principe d’égalité entre les citoyens. Une société totalement clivante, ségrégationniste reléguant certains individus à l’état de sous-citoyens, de parias pestiférés, dont la seule faute, le plus grand crime, impardonnable, serait d’avoir voulu rester avant tout des humains authentiques et incorruptibles. Ces derniers, qui auront refusé ce type de “progrès” à marche forcée, seront les chimpanzés du futur, le dernier maillon de l’évolution, des sous-hommes, face aux surhommes augmentés. Il faut bien comprendre que dans le monde que nos chères élites ambitionnent de voir naître, ce nouvel Âge d’Or de leur point de vue, il y aura de moins en moins de place pour l’humain, tout sera robotisé et automatisé, les travailleurs laborieux étant devenus superflus.

Un monde qui serait divisé entre «les Dieux et les inutiles», les êtres substituables, dixit le détestable pape français du “transhumanisme”, Laurent Alexandre, reprenant à son compte les propos de l’écrivain israélien Yuval Noah Harari et de son livre Bestseller “Homo Deus”, littéralement “l’Homme Dieu”. Sur la quatrième de couverture du livre Sapiens, une brève histoire de l’humanité de Harari paru en 2015 chez Albin Michel, on peut lire : «L’histoire a commencé quand les hommes ont inventé les dieux, elle s’achèvera quand ils deviendront des Dieux.»

Ainsi, dans une conférence particulièrement choquante destinée aux étudiants de Polytechnique, le fondateur du site “Doctissimo”, parle du mouvement des “Gilets Jaunes”, comme faisant déjà partie de l’ancien monde, celui des éternels “Loosers” de l’histoire ! Il n’hésite pas à désigner cette partie de la population comme étant l’arrière-garde de la civilisation qui serait de toute évidence composée d’individus intellectuellement inférieurs, presque des sous-hommes, incapables de comprendre et de cerner les véritables enjeux du monde actuel, tandis que ces brillants esprits polytechniciens auxquels il réserve ses conférences, seraient quant-à eux, semblables à des Dieux. Ils seraient les élus de la future classe dirigeante, la race des seigneurs, seule digne et apte à guider ces masses incultes vers la rationalité du XXIᵉ siècle. Selon lui, «Le prix de l’heure de travail des gilets jaunes sur le marché mondial va s’effondrer de décennies en décennies, tandis que le prix des horaires des gens de cette salle va monter de décennies en décennies.» D’ailleurs, dans son détestable état d’esprit, les inégalités sociales découlent directement des capacités intellectuelles des intéressés. Les êtres inférieurs seraient prédestinés à leur misérable condition, l’héritage génétique étant à ses yeux responsable à 80 % de leur situation. Les riches sont donc riches parce qu’ils sont intelligents, tandis que les pauvres sont pauvres, car ils seraient irrémédiablement “cons” comme des balais. De tels propos, qui font écho à de funestes heures de l’histoire, plein de morgue et dénués d’une once d’humanité, sont le reflet d’une stupéfiante forme de mépris de classe, pleinement assumée. Bien entendu ce Laurent Alexandre dispose de beaucoup d’influence, il est très proche du pouvoir Macronien dont il est un fervent soutien et dont il partage et reflète l’idéologie profonde. Il est aussi un très bon ami de Jacques Attali et il est très médiatisé, en bénéficiant de nombreuses tribunes, notamment dans le journal “L’Express”

Avec l’accélération de la mondialisation, les inégalités dans la répartition des richesses ont explosées à un niveau jamais égalé. Ainsi, d’après “l’Institut Oxfam”, 82 % de la richesse créée en 2017 aurait été absorbée par seulement 1 % de la population mondiale. Et ce mouvement ne fera comme nous l’avons vu, que se renforcer suite aux conséquences économiques dramatiques de la pandémie.

La caste des plus riches disposera bientôt des moyens de s’assurer une domination sans faille et sans partage, qui lui sera assurée par la maîtrise technique de la technologie et des machines, avec le “transhumanisme”, le contrôle du vivant avec les manipulations génétiques et la maîtrise de la matière avec l’assemblage artificiel des atomes ou encore, la maîtrise des ressources de la terre avec les produits du sol, du sous-sol et des océans. Cette nouvelle technocratie concentrera donc entre ses mains tous les avoirs, les savoirs et le pouvoir !

Dans ce même esprit, l’évolutionniste Dr. Oliver Curry avait annoncé en 2007, à la London School of Economics and Political Science que «la race humaine va bientôt se séparer en deux espèces bien distinctes : une élite attractive et intelligente et une sous-classe de créatures affreuses et bêtes.»

Ce nouveau monde profondément inégalitaire est furieusement proche de la société dépeinte dans le film d’anticipation “Elysium” de Neill Blomkamp, où il n’y a plus que deux classes, les ultras-riches et tous les autres. Cette caste de privilégiés hors-sol vit en orbite, dans “Elysium”, une station spatiale en forme de pentagramme, une paisible arche céleste préservée de tout chaos. Il s’agit d’un ghetto spatial pour riches, ultra-moderne et hautement technologique, totalement coupé des bidonvilles terrestres délabrés et du reste de la population, qui se débat tant bien que mal dans toutes sortes de petits trafics pour assurer sa survie quotidienne

Cette répartition des classes sociales entre «les Dieux et les inutiles» rappelle aussi furieusement l’incontournable classique cinématographique, ce joyau de l’expressionnisme allemand qu’est “Metropolis” du cinéaste Fritz Lang. Ce film de science-fiction muet de 1927, intemporel et incroyablement visionnaire, est particulièrement prisé par les élites. L’histoire se déroule en 2026 et nous parle du contrôle d’une société par une petite élite d’oligarques, à l’aide de la maîtrise des technologies. À la base de cette société, des centaines d’esclaves, déshumanisés, soumis et résignés, à la démarche robotique et mécanique, viennent s’affairer et travailler dans les bas-fonds d’une cité ouvrière, un véritable enfer sous terre, placé sous haute surveillance… Ces pauvres bougres sont littéralement immolés sur l’autel de Moloch, une énorme machine mécanique. Les ouvriers sont jetés vivants dans l’infernale gueule du monstre de fer. On peut établir un parallèle avec l’ultra-capitalisme actuel et sa religion de l’argent, le culte de Mammon, qui se nourrit aussi du sacrifice et de l’exploitation impitoyable d’un grand nombre d’humains pour fonctionner. La riche et florissante cité supérieure, semblable à une immense Babylone est dirigée par une sorte d’Antéchrist, Joe Frederson, le maître de la cité. Il loge dans une immense Tour, qui de par sa démesure, est comparable à la fameuse Tour de Babel, Tour qui sera d’ailleurs clairement évoquée par la suite dans le film. Frederson maîtrise les hautes technologies, dont la robotique. 

 

Chose tout à fait inouïe et incroyable, ce film visionnaire parle déjà bien avant l’heure du “transhumanisme”, avec une femme robot-cyborg, qui se prénomme comme par hasard Maria et qui se dresse devant un immense pentagramme satanique inversé ! Ce robot mi-femme mi-machine, qui fait penser à l’actuel robot Sophia, est une sorte de nouvel homme divinisé. Il devient l’objet d’une vraie vénération dans la suite du film… Ce qui est la transgression ultime, car l’homme se vénère lui-même, dans tout son orgueil pour délaisser son créateur.

La ville décrite dans le film rappelle la Babylone de la Bible, mais aussi la “Tour de Babel” et renvoie aussi aux immenses cités édifiées de nos jours, notamment en Arabie Saoudite avec le faramineux projet de ville futuriste, de smartcities ultra-connectée de NEOM, ou encore celle de Dubaï, dans les Émirats arabes. Là aussi, ces cités sont édifiées dans le sang, au prix du sacrifice de nombreuses vie humaines.

À la surface de “Metropolis”, dans la ville haute, pendant que les esclaves laborieux des bas-fonds sont immolés sur l’autel du profit, les élites jouissent d’une vie paisible, insouciante, faite de culture et de plaisirs indolents… Ils vont au théâtre, s’adonnent à des sports de plein air dans de luxuriants jardins suspendus. Ils rayonnent de vie, de joie et de bonheur, comme s’ils évoluaient dans un Eden terrestre. Le contraste entre les deux mondes est absolument saisissant ! Le film est rempli de références religieuses notamment à “l’Apocalypse de Saint-Jean”.

Tout cela rappelle aussi furieusement de nombreux romans d’anticipation dystopiques tels “1984” de Georges Orwell, ou “Le Meilleur des Mondes” d’Aldous Huxley, ou même le texte prophétique et biblique de “l’Apocalypse de Saint-Jean”, avec sa fameuse “marque de la bête” sans l’imposition de laquelle «plus personne ne pourrait ni acheter, ni vendre.»


Et cela d’autant plus qu’étonnamment, l’enzyme luminescente du vaccin Moderna, un colorant fluorescent à points quantiques développé par le MIT, qui indiquerait ou non la présence en règle de la vaccination est baptisé la Luciférase ! Il s’agit de minuscules cristaux semi-conducteurs qui réfléchissent la lumière et qui brillent sous les infrarouges.


La pandémie, un prétexte idéal pour basculer dans une dictature sanitaire ?

«Le bien-être de l’humanité est toujours l’alibi des tyrans.» – Albert Camus


En tous les cas pour revenir à des considérations plus terre à terre : quel merveilleux outil d’asservissement qu’une pandémie qui permet d’imposer une tyrannie sous couvert d’œuvrer par humanisme à la santé de son prochain… Comme l’a affirmé Robert Francis Kennedy Jr., le neveu de JFK, lors de son discours historique de Berlin prononcé à l’occasion de la marche contre les atteintes aux libertés fondamentales : «Les gouvernements aiment les pandémies. Et ils aiment les pandémies pour les mêmes raisons qu’ils aiment la guerre. Parce qu’elles leur donnent la possibilité d’imposer à la population des contrôles que celle-ci n’accepterait jamais autrement.»

Grâce aux mesures sanitaires, les rassemblements et les manifestations deviennent plus difficiles, voire interdites et les gens ont de plus en plus de mal à échanger des informations entre eux. Comme avec le terrorisme, le virus constitue un allié précieux du pouvoir, car tous les deux sont des ennemis invisibles et insaisissables. La réponse sécuritaire à une menace non palpable, à un ennemi que vous ne pouvez pas identifier directement est perpétuelle. Tout comme la menace terroriste n’a pas de visage, le menace virale peut muter et se recombiner à l’infini, de variants en variants. Ces deux menaces latentes permettent donc d’instiller et d’entretenir une peur de tous les instants chez les individus. Une peur primale qui les plonge dans un état de sidération permanent, ce qui paralyse leur capacité de réflexion et de réaction. Le virus peut être potentiellement partout et tout devient dangereux, y compris leurs propres enfants ou parents. Voilà qui est idéal pour mettre en place des mesures liberticides inédites de contrôle social sur les populations. 
Les gens apeurés sont bien plus dociles. Ils ont tendance à s’en remettre entièrement à leur gouvernement, qui selon le modèle relationnel du “Triangle Dramatique de Karpman”, est alors perçu comme le sauveur providentiel, seul en mesure d’écarter le danger et de résoudre la crise, tandis que le virus occupe la place du bourreau. Et avec la société du tout numérique et du télétravail à outrance qui se met en place, ils sont désormais en mesure de tout surveiller et contrôler

Klaus Schwab l’a affirmé : «L’endiguement de la pandémie de Coronavirus nécessitera un réseau de surveillance mondial.»

Là où c’est particulièrement pernicieux et pervers, c’est que grâce au totem intouchable de la santé et au nom du principe de précaution, de l’utopique risque zéro érigé en absolu, ceux qui s’opposent à cette dérive totalitaire sont culpabilisés, taxés de complotistes, d’égoïstes irresponsables, voire de danger public. Ils exploitent la bonté naturelle et l’esprit altruiste de l’être humain pour les retourner contre lui et le détruire. Voilà qui est tout bonnement machiavélique !

À propos du penseur Machiavelil disait déjà en son temps que : «Celui qui contrôle la Peur des gens devient le maître de leurs âmes !» N’est-ce pas justement ce à quoi nous assistons : une société qui perd toute son âme, parce que la peur a durablement gagné les cœurs et empoisonné les esprits ? La peur panique de la mort est le symptôme d’une société qui a perdu toute spiritualité et toute foi en un principe transcendant.

La peur de la mort est centrale dans la crise que nous traversons, avec d’un côté la peur de la mort des pseudo-élites en coulisse, qui versent dans une volonté de toute-puissance, portés par leurs aspirations transhumanistes et de l’autre côté, la peur de la mort d’une population dans sa grande majorité terrifiée. La peur est exploitée à outrance par les premiers comme moteur et comme levier pour le contrôle des seconds… La conséquence est une dérive nihiliste effroyable, marquée par un effondrement de l’éthique et des principes moraux.

Comme le rapporte Robert Kennedy Junior, Il y a 75 ans, Hermann Göring a témoigné aux procès de Nuremberg, et on lui a demandé : «Comment avez-vous fait pour que les Allemands acceptent tout cela ?» Et il a dit : «C’est une chose facile, ça n’a rien à voir avec le nazisme. Cela a à voir avec la nature humaine. Vous pouvez le faire dans un régime nazi, dans un régime socialiste, dans un régime communiste, vous pouvez le faire dans une monarchie et une démocratie. La seule chose dont un gouvernement a besoin pour transformer les gens en esclaves est la peur. Et si vous pouvez trouver quelque chose pour les effrayer, vous pouvez leur faire tout ce que vous voulez.»

Et cette irrépressible déferlante totalitaire, cette vague de fond n’est vraisemblablement pas prête de s’arrêter, car Macron a annoncé lors d’un entretien donné au média “Brut”, au sujet de sa candidature aux prochaines élections présidentielles «Peut-être que je ne pourrai pas être candidat. Peut-être que je devrais faire des choses dans la dernière année, dans les derniers mois, dures parce que les circonstances l’exigeront et qui rendront impossible le fait que je puisse être candidat.» Voilà qui est des plus inquiétants et lourd de sous-entendus et qui pourtant n’a pas de sens étant donné que le vaccin présenté comme la solution miracle était alors sur le point d’arriver

Ces décisions très dures et impopulaires, pourraient-elles être la séparation des enfants de leurs parents qui a été évoquée par “l’Organisation Mondiale de la Santé”, ou encore par la reine Elizabeth II d’Angleterre dans l’une de ses allocutions ? Jacques Attali de son côté n’y va pas par quatre-chemins en déclarant le 11 avril 2020 sur France 24 : «Il faudra, dans tous les pays, isoler celui qui est contaminé de sa propre famille.»

Le très respectable et renommé avocat allemand Reiner Fuellmichqui s’était notamment illustré de par le passé en s’attaquant à des mastodontes comme Volkswagen ou la Deutsche Bank pour leurs fraudes et corruption, n’hésite pas à évoquer au sujet de toute cette pandémie, la possibilité d’un “crime contre l’humanité” de grande ampleur… Il incrimine directement les gouvernements occidentaux, le Forum Économique Mondial, l’OMS et des d’organisations comme la Fondation Bill & Melinda Gates. Il parle de «Scandale du Corona» pour qualifier cette crise sanitaire et de ce qui constituerai ni plus, ni moins que la plus grande affaire de délit civil de tous les temps ! Il met notamment en cause la fiabilité très douteuse des tests RT-PCR de Drosten sur lesquels se justifient et s’appuient pourtant toutes les mesures sanitaires et les privations de liberté qui en découlent, des mesures de confinement, de distanciation sociale et de port obligatoire des masques. Le tout entraînant des dommages collatéraux et un préjudice incommensurable sur les populations du monde entier avec des faillites en cascades, des drames humains, des traumatismes et un recul des libertés publiques sans précédent, soit un niveau de destruction historiquement unique. Ces conclusions sont sans appel : «Les auditions d’une centaine de scientifiques, médecins, économistes, juristes de renommée internationale qui ont été menées par la commission d’enquête berlinoise sur l’affaire COVID-19 depuis le 10 juillet 2020, ont entre-temps montré avec une probabilité proche de la certitude que le scandale du COVID-19 n’était à aucun moment une affaire de santé. Il s’agissait plutôt de bétonner le pouvoir – illégitime, car obtenu par des méthodes criminelles – de la clique de Davos». Reiner Fuellmich précise que : «Il est particulièrement important pour nous de souligner une fois de plus, que seule la coopération internationale très bien coordonnée des professions juridiques, en particulier des professions juridiques allemandes, autrichiennes, françaises et italiennes avec les professions juridiques anglo-américaines qui seules disposent du puissant outil de la “class action” et d’un véritable droit de la preuve, permettra d’atteindre notre but. Car ce que nous voyons ici dans le monde entier, encore laborieusement déguisé en “pandémie”, mais néanmoins de plus en plus clairement visible, est en vérité la plus grande attaque contre la démocratie qu’il n’y ait jamais eu, menée par des élites politiques et économiques transnationales. Le but de cette attaque est de spolier la richesse de la classe moyenne et des contribuables par ces soi-disant “élites” autoproclamées et, à l’aide du passeport numérique de vaccination, d’obtenir un contrôle permanent sur chaque citoyen, en particulier, sur ceux qui se laissent “vacciner”.»

De même, une plainte d’un collectif d’avocats représentés par les deux avocats israéliens Ruth Makhacholovsky et Aryeh Suchowolski a d’ailleurs été déposée et jugée comme recevable par la “Cour pénale internationale de la Haye”, pour violation du Code de Nuremberg par le gouvernement israélien. Ruth Makhacholovsky affirme que «Les avocats du monde entier se tournent vers nos bureaux et demandent à se joindre à la plainte à La Haye. Les mêmes avocats du monde entier reconnaissent le fait qu’Israël est un pays où une expérience a été menée et craignent que leur pays soit aussi forcé d’être exposé à l’expérience.»

De son côté, le CSAPE, le Collectif des Syndicats et Associations Professionnels Européens a également déposé en date du 28 juin 2021 devant la Cour Pénale Internationale, une plainte pénale visant directement le président Emmanuel Macron, le gouvernement et les haut-fonctionnaires impliqués dans la gestion criminelle de l’épidémie de Covid, avec une demande d’ouverture d’enquête pour crime contre l’humanité, atteinte à la dignité humaine, servitude et génocide, sous le numéro OTP-CR-271/21.

Même le secrétaire général de l’ONU, M. Antonio Guterres dresse un constat sans appel de cette dynamique totalitaire : «Le virus s’attaque aussi aux droits politiques et civils et réduit encore d’avantage les espaces civiques d’expression. Brandissant la pandémie comme prétexte, les autorités de certains pays ont pris des mesures de sécurité sévères et adopté des mesures d’urgence pour réprimer les voix dissonantes, abolir les libertés les plus fondamentales, faire taire les médias indépendants et entraver le travail des organisations non-gouvernementales. Des défenseurs des droits humains, des journalistes, des avocats, des militants, et même des professionnels de la santé ont fait l’objet d’arrestations, de poursuites, de mesures d’intimidation et de surveillance pour avoir critiqué les mesures ou le manque de mesures prises pour faire face à la pandémie. Les restrictions liées à la pandémie servent d’excuse pour miner les processus électoraux, affaiblir les voix des opposants et réprimer les critiques.»


L’œil de Big Brother, ou celui de Sauron ?


Cette dérive totalitaire d’une société basée sur le tout sécuritaire et l’ultra-surveillance ne date pas d’hier, mais la pandémie actuelle est un formidable accélérateur. Dès 2013, grâce aux révélations courageuses et explosives du lanceur d’alerte Edward Snowden, nous avions déjà pleinement pu prendre conscience de l’étendue planétaire et phénoménale de cette surveillance globale, s’appliquant sans exception à tous les citoyens.

Cet ancien employé de la NSA, “la National Security Agency” avait alors dévoilé au grand jour et porté à la connaissance du grand public, l’existence de plusieurs programmes de surveillance de masse, tant américains que britanniques : des systèmes d’écoute téléphoniques massifs, mais aussi des échanges sur Internet faisant de la prétendue neutralité de la toile un véritable mythe. Snowden avait ainsi révélé l’existence des programmes de surveillance PRISM, XKeyscore, Boundless Informant et Bullrun pour le gouvernement américain, Tempora, Muscular, Optic Nerve pour le gouvernement britannique.

Plus tard, Snowden avait aussi révélé l’existence d’un programme de surveillance satellitaire du nom de SauronSemi-Autonomous Ultra-high-Resolution Orbital Network, réseau orbital semi-autonome à haute résolution, capable de distinguer des objets d’une taille de 1 cm sur toute la surface de la planète ! Les fans du «Seigneur des Anneaux» apprécieront ce petit clin-d’œil faisant référence à l’œil du mal absolu, ce démiurge ténébreux. Dans les livres de Tolkien, Sauron, du haut de son imprenable tour contemple tout ce qui se passe sur la terre du milieu… Une telle paternité, aussi ténébreuse laisse des plus songeurs… Selon les propos de Snowden, c’est un fait des plus inquiétants et on ne peut que lui donner raison : «C’est choquant que le gouvernement US s’approprie un symbolisme si maléfique pour un soi-disant système de sécurité comme celui-ci. Il y a peu de doutes que ce programme – je n’en prononcerai pas le nom ici – ne se préoccupe pas de la sécurité des citoyens, mais plutôt, qu’il s’agisse d’une tentative éhontée de prise de pouvoir pour l’intérêt du pouvoir.»

Pour Snowden, cette infatigable sentinelle de la liberté, les choses sont limpides avec cette pandémie : «Les États utilisent le coronavirus pour construire l’architecture de l’oppression.» Il prédit que les mesures prises pour lutter contre la COVID-19 vont persister longtemps et on ne peut que lui donner raison !


Reprenons nos libertés, le “Grand Reset” ou le “Grand Réveil”

«La dictature parfaite serait une dictature qui aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s’évader. Un système d’esclavage où, grâce à la consommation et au divertissement, les esclaves auraient l’amour de leur servitude» – Aldous Huxley

«Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s’y prendre de manière violente. Les méthodes du genre de celles d’Hitler sont dépassées. Il suffit de créer un conditionnement collectif si puissant que l’idée même de révolte ne viendra même plus à l’esprit des hommes. L’idéal serait de formater les individus dès la naissance en limitant leurs aptitudes biologiques innées. Ensuite, on poursuivrait le conditionnement en réduisant de manière drastique l’éducation, pour la ramener à une forme d’insertion professionnelle. Un individu inculte n’a qu’un horizon de pensée limité et plus sa pensée est bornée à des préoccupations médiocres, moins il peut se révolter. Il faut faire en sorte que l’accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste. Que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l’information destinée au grand public soit anesthésiée de tout contenu à caractère subversif. Surtout pas de philosophie. Là encore, il faut user de persuasion et non de violence directe : on diffusera massivement, via la télévision, des divertissements flattant toujours l’émotionnel ou l’instinctif. On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique. Il est bon, dans un bavardage et une musique incessante, d’empêcher l’esprit de penser. On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains. Comme tranquillisant social, il n’y a rien de mieux. En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l’existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d’entretenir une constante apologie de la légèreté ; de sorte que l’euphorie de la publicité devienne le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté. Le conditionnement produira ainsi de lui-même une telle intégration, que la seule peur – qu’il faudra entretenir – sera celle d’être exclus du système et donc de ne plus pouvoir accéder aux conditions nécessaires au bonheur. L’homme de masse, ainsi produit, doit être traité comme ce qu’il est : un veau, et il doit être surveillé comme doit l’être un troupeau. Tout ce qui permet d’endormir sa lucidité est bon socialement, ce qui menacerait de l’éveiller doit être ridiculisé, étouffé, combattu. Toute doctrine mettant en cause le système doit d’abord être désignée comme subversive et terroriste et ceux qui la soutiennent devront ensuite être traités comme tels.» – Günther Anders, “L’Obsolescence de l’homme”, 1956

«Vous participez à un système machiavélique de manière plus efficace en obéissant à ses ordres et décrets. Un tel système ne mérite pas l’allégeance. L’obéissance à ce système équivaut à s’associer à l’enfer. Une personne intelligente résistera de toute son âme à ce système diabolique.» – Mohandas Karamchand Gandhi

Pour finir, ce volet sur la dérive totalitaire actuelle, n’oublions jamais qu’une liberté qui est «temporairement» suspendue est bien souvent définitivement perdue et que les mesures provisoires ne tardent jamais à s’imposer à tous comme la nouvelle norme.

Rappelons-nous aussi de la mise en garde, d’une grande justesse et actualité de Benjamin Franklin : «Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l’une ni l’autre, et finit par perdre les deux !», ou celle d’Étienne de la Boétie : «Il est incroyable de voir comme le peuple, dès qu’il est assujetti, tombe soudain dans un si profond oubli de sa liberté qu’il lui est impossible de se réveiller pour la reconquérir : il sert si bien, et si volontiers, qu’on dirait à le voir qu’il n’a pas seulement perdu sa liberté mais bien gagné sa servitude.»

Force est de constater que tous les ingrédients du totalitarisme sont maintenant réunis : de la manipulation systématique des données, de la censure d’articles scientifiques sur les réseaux sociaux, des mensonges éhontés, des parjures et de la propagande d’État, du fichage des populations et de la surveillance de masse, la perte de la vie privée et du secret médical, la violation massive des droits constitutionnels, des menaces, des pressions et du chantage, des campagnes de calomnies, de la répression et de la violence gratuite, des abus de pouvoir en tout genre, ainsi que pas ou peu de contre-pouvoir que ce soit dans la presse ou au niveau politique. Tous les voyants sont rouge écarlate et pointent lourdement dans le sens d’une dérive totalitaire… Avec cette folle doctrine sanitaire, les gens ont tout perdu : leur santé, quelquefois leur moyen de subsistance, leur avenir et même parfois leur raison de vivre. La démocratie est piétinée, nos droits sont placés sous assistance respiratoire, la dignité humaine est étouffée. Au nom de la défense de notre Santé, nous avons quitté l’État de droit, nous sommes sortis du cadre inaliénable des Droits de l’Homme et toutes nos libertés sont bafouées : notre liberté d’expression, notre liberté d’aller et venir, notre liberté de choisir, notre liberté de conscience, notre liberté de nous rassembler, notre liberté d’entreprendre, de travailler et même notre liberté de disposer de notre propre corps et de nous soigner comme bon nous semble. Si nous ne sommes dès à présent plus maîtres des mouvements de nos corps, la prochaine étape sera assurément que nous ne soyons plus maîtres des mouvements de notre esprit… La loi est détournée du bien commun, elle devient un instrument d’injustice, le bras armé au service de puissances d’argent.

Peuples du monde, avec cette crise sanitaire, qui n’est en réalité que le masque hideux et le paravent d’une crise systémique bien plus profonde. Manifestement, nous sommes rendus à la croisée des chemins. Il y a des carrefours dans la vie où vous devez faire des choix, et si vous ne le faites pas, quelqu’un fera ce choix à votre place et ne le fera pas dans votre meilleur intérêt… Il est donc grand temps d’ouvrir les yeux pour en cerner les enjeux sous-jacents, de prendre fermement position, de s’impliquer, de résister et de se lever pour reprendre enfin en mains les clés de notre destinée collective, sauver nos libertés et dire définitivement NON à toutes ces folies et projets mortifères, qui n’ont décidément plus rien d’humain… Il ne tient qu’à nous de ne plus consentir, de briser nos chaînes mentales, afin de gripper cette machine totalitaire bien huilée, de la plus pacifique manière, mais avec fermeté ! Comme dirait le Dr. Louis Fouché du collectif “Reinfocovid”«On est en train de brader sa vie et sa liberté pour 135  Le jeu en vaut-il la chandelle ? Gardons bien à l’esprit que la liberté n’est jamais acquise, elle est arrachée et conquise de haute lutte.

«Vous avez cru jusqu’à ce jour qu’il y avait des tyrans ? Eh bien. Vous vous êtes trompés, il n’y a que des esclaves : là où nulle n’obéit, personne ne commande.» – Anselme Bellegarrigue

«Soyez résolus de ne servir plus, et vous voilà libres. Je ne veux pas que vous le poussiez ou l’ébranliez, mais seulement ne le soutenez plus, et vous le verrez, comme un grand colosse à qui on a dérobé sa base, de son poids même fondre en bas et se rompre.» – Étienne de La Boétie“Discours de la Servitude Volontaire”

«La désobéissance civile n’est pas notre problème. Notre problème est l’obéissance civile. Les gens obéissent aux diktats de leurs dirigeants et ils oublient la pauvreté, la faim, la guerre et la cruauté. Et pendant qu’on obéit, nos prisons sont pleines de petits voleurs alors que les vrais bandits sont à la tête du pays. L’obéissance est notre problème.» – Howard Zin

«Le refus a toujours constitué un geste essentiel. Les saints, les ermites, mais aussi les intellectuels. Le petit nombre d’hommes qui ont fait l’Histoire sont ceux qui ont dit non, jamais les courtisans et les valets des cardinaux. Pour être efficace, le refus doit être grand, et non petit, total, et non pas porter sur tel ou tel point.» – Pier Paolo Pasolini, “La Stampa”

«Le seul moyen d’affronter un monde sans liberté est de devenir si absolument libre qu’on fasse de sa propre existence un acte de Révolte.» – Albert Camus

«Le secret du bonheur, c’est la liberté. Le secret de la liberté, c’est le courage.» —Thucydides

Il est temps d’opter pour une forme de désobéissance civile et massive, car lorsque le pouvoir est rentré dans une telle dynamique totalitaire, tel un rouleau compresseur ou un engrenage infernal, qu’il agit de manière aussi irresponsable et totalement disproportionnée dans les prises de décision qu’il impose de manière unilatérale, c’est alors la seule porte de sortie pour mettre un terme à cette implacable fuite en avant ! En agissant de la sorte, le pouvoir a perdu son caractère de légitimité et toute autorité. De leur côté, ils sont allés tellement loin dans le mensonge et la manipulation qu’ils ne peuvent plus faire marche arrière, quitte à tous nous enterrer six pieds sous terre s’il le faut. L’équation qui se présente à nous est donc simple, soit ce sont eux qui tombent, soit c’est nous.

Seul le peuple est donc en mesure de mettre un terme à cette folie, à cette fuite en avant criminelle.

«Il faut encore observer que le plus légitime des gouvernements perdrait sa légitimité s’il venait à se changer en ennemi public, si au lieu de poursuivre le bien commun, il se retournerait contre lui, employant à détruire la puissance qui lui est donnée pour édifier.»M. de la Taille

L’enjeu de cette crise est simple, il peut se résumer en trois propositions : sauvons nos vies, sauvons notre santé et sauvons notre âme. Nous sommes bien confrontés à une entreprise criminelle d’une envergure sans précédent, face à un “populicide” qui ne demande qu’à nous broyer si nous restons inertes, les bras ballants sans rien faire.

Mais pour autant, ne désespérons pas et gardons bien à l’esprit que toute crise comprend aussi en soi les germes du renouveau et constitue un formidable moment d’opportunité, un point de bascule historique, une ouverture du champ des possibles pour un nouveau choix de société, plus humaine et moins technocratique. Une crise n’est pas que synonyme de danger, elle est aussi une opportunité. Mais c’est à la seule condition que la population se conscientise de la plus urgente manière.

«J’ai rêvé de cela, il y a quelques semaines : ce moment où on avancerait dans la rue, avec du bruit et des fanfares et on prendrait les gens dans nos bras et on leur dirait : c’est fini, tout va bien… Ça y est, vous pouvez enlever vos masques et continuez à vivre !» – Louis Fouché

Pour achever ce volet sur la dictature sanitaire, je citerai les magnifiques propos du Dr. Louis Fouché«On est dans un labyrinthe, que l’on construit au fur et à mesure. On nous trimbale à gauche, on nous trimbale à droite, on nous fait faire demi-tour derrière, et on ne comprend pas où on nous emmène. Et il faut sortir du labyrinthe pour comprendre où on nous emmène On nous emmène vers une tyrannie, purement et simplement, “techno-sanitariste”. Ça veut dire technologique : il faudrait que vous ayez sans cesse des puces, des pilules, des trucs dont vous auriez besoin pour vivre. Vous n’avez pas besoin de cela. “Sanitariste” : Ça voudrait dire que tout doit être propre en permanence, que tout soit bien rangé. Mais l’humain n’est pas fait pour que tout soit bien rangé, il est là pour foutre le bordel, il est là pour faire foisonner la vie ! Et donc ces gens qui nous emmènent dans le labyrinthe, au motif de protéger la vie, ils nous tuent à petit feu et ils mangent la vie à tous les endroits où elle naît.»



CHAPITRE 4
CORONAVIRUS, LE COURONNEMENT
DE LEUR PROJET ?



«Une seule voie nous mènera vers un monde meilleur» – Klaus Schwab dans “La Grande Réinitialisation”

«Ce que nous voulons faire […], c’est appuyer sur le bouton de la réinitialisation.» – Klaus Schwab le 22 janvier 2014

«[…] Ce que nous pensons être nécessaire c’est une réinitialisation.» – Christine Lagarde à Davos, le 23 janvier 2014

« PARCE QUE, C’EST NOTRE PROJEEET ! » – Emmanuel Macron

«Les hommes n’acceptent le changement que dans la nécessité et ils ne voient la nécessité que dans la crise.» – Jean Monnet

«Une des options dont parlent certains humains est que seule une catastrophe pourrait secouer l’humanité et ouvrir le chemin à un réel système de gouvernance mondiale. Ils disent que nous ne pouvons pas le faire avant la catastrophe, mais nous devons commencer à en poser les fondations.» – Yuval Noah Harari

«La manipulation consciente, intelligente, des opinions et des habitudes organisées des masses joue un rôle important dans une société démocratique. Ceux qui manipulent ce mécanisme social imperceptible forment un gouvernement invisible qui dirige véritablement le pays.» – Edward Bernays, Propaganda

«Ce sont des serfs, qu’est-ce que tu en as à foutre ?» – Nick Rockefeller s’adressant au producteur Aaron Russo

Que cache cette obstination à ne manifestement pas vouloir sortir de cette crise sanitaire, à écarter toutes les solutions qui peuvent se présenter, que ce soit par des traitements efficaces, ou encore par des solutions technologiques ? Et si finalement, toutes ces confusions et ces incohérences multiples en apparence à un niveau superficiel, venaient servir une finalité d’ordre supérieure, une cohérence globale à un niveau plus profond ?

Rappelons-nous bien des propos du Président Franklin Roosevelt, lorsqu’il affirmait que : «En politique, rien n’arrive par hasard. Chaque fois qu’un événement survient, on peut être certain qu’il avait été prévu pour se dérouler ainsi.»

 

La pandémie, “une belle opportunité” ?

Ainsi, il est fort curieux de constater que les dirigeants de ce monde semblent voir dans cette crise, une merveilleuse et une formidable opportunité, une véritable aubaine, une occasion en or à saisir pour refaçonner le monde à leur image. Pour s’en convaincre, il suffit d’écouter entre autres, l’énigmatique Klaus Schwab, ce ténébreux personnage de 83 ans, qui semble sortir du néant absolu. Issu d’une famille de la haute bourgeoisie allemande et de collaborateurs nazis, il se dit transhumaniste et promoteur d’une globalisation équitable. Ancien membre du comité directeur du puissant “Groupe Bilderberg”, il est le fondateur du “Forum Économique Mondial”, dont il est le Président exécutif. L’inquiétant personnage est une sorte d’oracle noir, de Pythie de mauvaise augure annonçant cette nouvelle société dystopique qui se met en place. Pour un peu, on jurerait ce  personnage haut en couleur directement sorti d’un épisode de James Bond, tel l’emblématique méchant Blofeld de l’organisation Spectre, mais sans son chat !

Aussi, Pourquoi tous ces pays, qui n’ont jamais eu les mêmes quantités de décès, jamais eu les mêmes nombres de cas positifs, qui n’ont ni le même système de soins, ni les mêmes infrastructures hospitalières, ont pourtant mis en œuvre avec une synchronisation digne d’une opération militaire les mêmes restrictions aux mêmes moments pour des situations ​pourtant totalement incomparables d’un point de vue épidémiologique et gestion de sanitaire ? Pourquoi à quelques exceptions près, on peut relever dans la gestion de cette crise sanitaire une si grande uniformité à travers le monde, avec les mêmes incohérences qui reviennent, les mêmes mensonges et manipulations de masse, les mêmes folles méthodes, les mêmes tactiques, les mêmes scénarios, les mêmes abus, comme si presque tous les pays obéissaient à une même stratégie et à une planification d’ensemble, à une vision programmatique, avec une feuille de route bien précise à suivre et un cahier des charges à remplir dicté par des instances supranationales ? Car comment expliquer que pour répondre à des situations aussi diverses, on applique exactement les mêmes méthodes, comme s’il y avait une orchestration à un niveau supranational ?

C’est ainsi que dans la bouche des grands dirigeants de ce monde, comme par exemple Justin Trudeau, Boris Johnson, le prince Charles de Galles, Joe Biden, Imran Khan, Jacinda Ardern, Klaus Schwab, le pape François, ou encore dans les discours des nations unies, on retrouve curieusement l’usage d’exactement la même rhétorique et le recours aux mêmes éléments de langage, comme le fameux slogan “Build Back Better”, pour reconstruire mieux le monde Post-COVID, ou que la pandémie constituerait «une belle opportunité à saisir» pour un “Great Reset” et pour repenser de fond en comble notre mode de vie… On observe une unité impressionnante dans les mots d’ordre de la presse mondiale qui est très suspecte avec les télévisions du monde occidental répètent en choeur le même message avec quasiment le même timing.

Cela est aussi confirmé par Klaus Schwab qui affirme sans ambages que, je cite : «La crise de la COVID-19 nous a montré que nos anciens systèmes ne sont plus adaptés au 21ᵉ siècle» et d’ajouter que «La pandémie représente une fenêtre d’opportunité rare mais étroite pour repenser, réinventer et réinitialiser notre monde.», ou encore que «C’est un moment historique, un moment non seulement pour combattre un virus grave, mais aussi pour façonner le système.» De même Justin Trudeau, le Premier ministre du Canada affirme lui aussi que «Cette pandémie a fourni une opportunité pour une remise à zéro. C’est notre chance d’accélérer nos efforts pré-pandémiques pour ré-imaginer des systèmes économiques qui répondent réellement aux défis mondiaux.»

En outre, Alexandre Loukachenko, le très controversé Président de la Biélorussie a témoigné dans une édifiante vidéo, avoir fait l’objet d’une tentative de corruption de 940 millions de dollars de la part du FMI, le “Fonds Monétaire International”, afin d’engager et d’imposer une politique sanitaire drastique à son pays, à base de confinements, quarantaines, couvres-feu et port du masque. Juste après son refus, Loukachenko a essuyé une révolution colorée et une tentative de déstabilisation de son pouvoir. Il va sans dire que bon nombre de pays ont également dû recevoir de telles incitations et pressions pour mettre en place ces mesures iniques et que comme nous avons pu le constater, bien peu s’y sont refusés ! Toute porte donc à croire que ces verrouillages ont été orchestrés à un niveau supérieur, la plupart des gouvernements ont agis à l’unisson, de manière irresponsable, sans se soucier des terribles conséquences humaines de leurs mesures, qui en tout état de cause causeront bien plus de dégâts sur tous les plans que ce virus. Ces blocages sont la prémisse à un gigantesque krach boursier mondial programmé dont cette oligarchie financière du Forum de Davos, à la manœuvre, compte bien profiter. Il sera alors question de mettre en place une monnaie numérique européenne, puis mondiale et instaurer un système de crédit social calqué sur le modèle chinois. Un système de contrôle dont deviendra dépendant la classe moyenne de tous les peuples, ruinés par la fermeture de leurs commerces.

Relevons aussi que la date même de la publication de l’essai “COVID, la Grande Réinitialisation” de Klaus Schwab est éminemment suspecte, intervenant de manière très prématurée dans la crise du COVID. En effet, l’ouvrage était disponible en librairie dans  sa version traduite française dès juin 2020, soit tout juste quatre mois après les premières mesures de confinement mondial et comportait déjà des instructions prospectives étonnamment précises quant à la gestion et aux impacts à venir de la crise. Quatre mois pour rédiger un tel ouvrage, l’éditer et le diffuser… ça laisse pour le moins rêveur et dubitatif !


Le Forum Économique Mondial et son idéologie du “Great Reset”



«Le forum de Davos via son directeur Klaus Schwab, lequel s’est récemment fait l’écho officiel (à grand renfort médiatique) du “Great Reset”, est le dernier avatar de la prise de pouvoir mondiale par les puissances financières globalistes. Cette prise de pouvoir, qui s’inscrit dans une dimension historique pluri-centenaire, arrive aujourd’hui à maturité. Dans ce contexte, le seul moyen pour les peuples, de s’opposer à l’inéluctabilité de leur mise en esclavage, est de reprendre le contrôle de leurs institutions, lesquelles sont aujourd’hui fondées sur l’imposture politique. Retrouver des institutions politiques, c’est mettre fin à l’hégémonie mondiale des puissances financières. C’est aussi simple que cela. Mais pour y arriver, il faut avoir une vision claire des forces en présences et des enjeux civilisationnels qui en découlent.»Valérie Bugault, Docteure en droit à l’Université Paris I Panthéon-Sorbonne.

Le Forum Économique Mondial est la façade médiatique derrière laquelle se cache le Groupe de Bilderberg. Cette organisation dont les réunions sont secrètes rassemble les hommes les plus puissants, les plus riches et influents de la planète. Ils sont parmi les 2 % d’individus qui détiennent à eux seuls plus de 80 % de la richesse globale. L’idéologie du “Forum Économique Mondial” n’est ni de gauche ni de droite, elle est purement technocratique. “Les experts savent mieux” semble être le credo de ce puissant groupe de Davos.


À noter que tous les acteurs clés au centre de la crise COVID ont été formés dans le groupe des “Young Global Leaders”, au sein du “Forum Économique Mondial” et placés comme des pions à des secteurs stratégiques, qu’il s’agisse de Bill Gates, de Jeff Bezos le patron d’Amazon, de Larry Fink le PDG de “Black Rock”, de Mark Zuckerberg le fondateur de Facebook, de Niklas Zennström le fondateur de Skype, de Kristalina Georgieva, la directrice du FMI, de la chancelière allemande Angela Merkel, du Président français Emmanuel Macron, ou encore du Premier ministre du Canada, Justin Trudeau… Parmi les 200 personnalités mondiales de premier plan sélectionnées et formées par le WEF figurent aussi, Tony Blair, Nicolas Sarkozy, Bono, Richard Branson (Virgin), Jorma Ollila (Shell Oil), José Manuel Barroso (Président de la Commission européenne 2004-2014), David de Rothschild, (aventurier et environnementaliste), Ida Auken (députée, ancienne ministre de l’environnement, Danemark et auteur du tristement célèbre article « Welcome To 2030 : I Own Nothing, Have No Privacy And Life Has Never Been Better »), Jacinda Arden, Premier ministre de Nouvelle-Zélande, Jack Ma, fondateur d’Alibaba, Jimmy Wale, fondateur de Wikipédia, Leonardo Di Caprio, acteur et militant pour le climat, etc. Dans une vidéo datée de 2017, Klaus Schwab se vantait avec arrogance d'avoir infiltré un peu près toutes les structures de pouvoir qui comptent dans le monde : « Nous les avons tous dans nos poches, gouvernements, politiciens, médias et, surtout, experts, scientifiques et professeurs, car ils sont très importants pour façonner l’avenir. Les chefs religieux et sociaux sont également contrôlés. » tandis que dans un autre passage enregistré, il s'enorgueillissait d'avoir infiltré de nombreux gouvernements : « Ce dont nous sommes très fiers maintenant, c'est la jeune génération comme le premier ministre Trudeau… Nous avons déjà pénétré dans les cabinets de plusieurs pays avec nos jeunes dirigeants mondialistes du FEM. Alors hier, j'étais à une réception pour le premier ministre Trudeau et je sais que la moitié de son cabinet, voire plus de la moitié de son cabinet, sont en fait de jeunes leaders globalistes. C'est vrai aussi pour l'Argentine,  c'est vrai pour la France et pour d'autres pays. »

En fait, il faut bien comprendre que ce virus constitue pour les mondialistes aux commandes une occasion en or pour passer d’un monde à l’autre, comme le ferait un catalyseur. Cette rupture violente qu’ils appellent “Great Reset” permet d’imposer à l’ensemble de la société leur nouveau paradigme et de rentrer de plain-pied dans la “quatrième révolution industrielle” que Klaus Schwab appelle de ses vœux. Ce virus étant à leurs yeux comme une sorte de “Portail” ouvert sur ce nouveau monde, à savoir, celui de leur fameuse “Gouvernance Mondiale” et de leur grand rêve messianique. Nos élites l’affirment elles-mêmes dans les vidéos de leur organisation mondialiste, “Global Goals”, ou objectifs globaux du développement durable, à laquelle adhèrent comme un seul homme tous nos “bons” dirigeants. L’ONU et les 160 chefs d’État sont affiliés à ce programme “Global Goals” et à cet “Agenda 2030”. En janvier 2021, lors d’une conférence organisée par le “Forum Économique Mondial”, tous les leaders et chefs d’État mondiaux, y compris la Chine et la Russie, ont avalisé le programme du “Great Reset”.

On peut d’ailleurs trouver un document officiel émanant directement de la GAVI, l’Alliance Vaccinale de Bill Gates, qui fait précisément le lien entre la vaccination et les quatorze points et objectifs du développement durable, tels que définis par le Global Goals” du Forum Économique Mondial. La vaccination jouerait ainsi un rôle “crucial” pour mener à bien la réalisation de 14 des 17 objectifs du développement durable, alors que c’est parfaitement grotesque, voire hilarant… Ainsi à en croire ce document, le merveilleux vaccin, cette piqûre magique, serait LA SOLUTION à TOUS nos MAUX, le sésame pour l’entrée dans un avenir radieux, car il permettrait, je cite : d’éviter la paupérisation suite aux dépenses de Santé trop élevées ; de contribuer à une bonne nutrition et de réduire la mortalité infantile ; d’assurer la bonne santé et le bien-être ; d’avoir de meilleurs résultats scolaires ; de contribuer à l’émancipation des femmes et des filles, car elle ne fait aucune discrimination de genre ; d’assurer moins de maladies et de prévenir des diarrhées ; d’avoir des équipements plus performants et un environnement plus propre ; de s’assurer d’une population en bonne santé et donc plus productive ; d’avoir un marché des investissements pour les vaccins plus dynamique et compétitif en faisant baisser les coûts pour les rendre plus équitables ; d’assurer moins d’inégalités sociales en protégeant la santé (c’est irrésistiblement drôle venant de l’un des hommes les plus riches au monde et du plus grand propriétaire terrien de tous les États-Unis) ; d’avoir des villes plus saines ; de lutter contre les effets du changement climatique ; d’assurer plus de stabilité sociale grâce à des systèmes de santé forts ; des progrès sans précédent ; Si avec tout ça, vous n’avez toujours pas compris qu’il faut courir se faire vacciner au premier “vaccinodrome”, c’est vraiment que vous y mettez de la mauvaise volonté !

Il est cocasse, voire particulièrement risible que ces “grands objectifs de développement durable”, soient mis en avant par ceux-là même qui, tels des pompiers pyromanes, sont à la source même de tous les maux qu’ils prétendent combattre… Ceux qui n’ont eu de cesse de souiller pas planète sont donc les mêmes qui prétendent la sauver. Car, qui sauf ces grands banquiers et industriels ont mis en place ce système de production et de surconsommation totalement démesuré et aberrant, en nous proposant toujours plus de biens superflus et avec une obsolescence programmée soigneusement étudiée… En outre, ils nous proposent des solutions globales pour résoudre des problématiques qui devraient l’être à une échelle locale. 

L’Écologie et la protection de la planète est le prétexte tout trouvé pour asservir les populations et les appauvrir, tout en se donnant bonne conscience, comme l’affirme Klaus Schwab«La force qui aide les gens à se libérer de la pauvreté et à avoir une vie décente est la même qui détruit la viabilité de notre planète pour les générations futures. Les émissions qui causent le changement climatique sont la conséquence du désir de créer un meilleur futur pour soi.»

Au sujet du vaccin, le Forum Économique Mondial a publié sur son site une série de recommandations et de préconisations à mettre en œuvre par les responsables de la santé publique, afin de convaincre et de contraindre les sceptiques de se faire vacciner contre la COVID-19, en se concentrant sur les pensées et les sentiments à propos des vaccins. En somme, toute une méthodologie de manipulation. Il s’agit d’éduquer de manière proactive les sceptiques via des médias tels que les appels téléphoniques, le publipostage, la télévision, les panneaux d’affichage et les canaux numériques. Mais aussi, de mettre en œuvre une intensive propagande en harcelant littéralement les non-vaccinés, en les bombardant d’appels téléphoniques et de discussions sur les réseaux sociaux, en jouant sur la culpabilité et le regret. On se demande bien ce que vient faire le “Forum Économique Mondial” dans cette affaire…


Rosa Koireune lanceuse d’alerte américaine, ancienne haute fonctionnaire ayant dirigé les expertises des domaines immobiliers commerciaux pour les transports de l’état californien pendant 28 ans s’est intéressé de prêt à ce qui se cache derrière le masque du “développement durable”. Elle a dénoncé le plan d’action de ces groupes mondialistes, qui se servent de la cause environnementale pour parvenir à leurs fins de domination et de contrôle : «C’est la concentration de la richesse et du pouvoir, la grande révélation de dictateurs volontaires, la réaffectation des ressources, la grande révolution numérique de l’État de surveillance. Le développement durable de “l’Agenda 21” des “Nations Unies” est le modèle global. C’est le plan d’action, comme l’appelle l’ONU, pour inventorier et contrôler toutes les terres, l’eau, les minéraux, les plantes, les animaux, la construction, les moyens de production, l’énergie, l’éducation, les transports, l’information et tous les êtres humains dans le monde. C’est un plan d’inventaire et de contrôle. Tel est le programme du 21ᵉ siècle. C’est un plan pour 100 ans et il y a des jalons à 2020, 2030, 2035 et 2050. “L’Agenda 2030” n’est qu’un jalon dans le principal plan de 100 ans. Ainsi, “l’Agenda 21” du développement durable est le plan mondial d’inventaire et de contrôle, il englobe tous les aspects de votre vie et il est destiné à être une transformation déchirante de votre vie » avant de préciser que : «C’est un plan mondial mais ce n’est pas un plan international. International signifie entre les nations mais ce plan efface les nations. C’est mondial. C’est un plan global qui est mis en œuvre localement, donc il a un nom différent partout mais c’est le même plan. Chaque aspect de votre vie est touché, donc c’est dans vos programmes scolaires, c’est dans votre département de planification et de construction, c’est dans votre système judiciaire, dans votre système de santé. C’est partout, mais on ne l’appelle jamais “Agenda 21”. Vous allez le voir comme des plans régionaux. On les appelle souvent “Plan Bay Area” ou “Four States, One Vision”, ou “Mexico 2030”, ou “Hanoi 2030”, ou “Horizon 2050”, au Canada, par exemple. […] C’est un plan totalement méga-corporatif. C’est un partenariat conjoint. Il s’agit d’un partenariat public-privé entre le gouvernement, les plus grandes entreprises du monde, les conglomérats bancaires, les grandes fondations financières, comme les fondations Ford et Rockefeller, des groupes comme le “World Wildlife Fund” et le “National Religious Partnership for the Environment”. C’est un cercle fermé. Cela ne vous inclut que lorsque vous êtes d’accord avec leur plan.»

Cette “quatrième révolution industrielle” qu’ils cherchent à nous imposer sera marquée par l’avènement de la robotique et de l’Intelligence Artificielle. Elle succède à la première révolution qui était celle du moteur à vapeur ; à la deuxième qui était celle de l’électricité et des chaînes de montage pour la production de masse avec le Fordisme ; à la troisième qui est celle de l’ère de l’informatique et des technologies du numérique. Avec cette nouvelle révolution industrielle, l’humain devient inutile, car tout devient automatisé. Cet avènement généralisé des machines actera la mise à mort des classes moyennes, avec un effondrement du marché du travail et un chômage endémique, une explosion des inégalités sans précédent et une implosion de l’économie de la consommation. Du point de vue de ces élites, ce basculement violent de toute la société, qui générera beaucoup d’instabilité et de conflits, nécessitera donc de tourner la page de la démocratie, pour opter pour un contrôle beaucoup plus dur et technocratique des populations qui s’appuiera sur le numérique… Klaus Schwab déclare au sujet de cette nouvelle société «La quatrième révolution industrielle aura un impact total sur nos vies. Elle ne changera pas seulement la façon dont nous communiquons, dont nous utilisons les choses, dont nous consommons, elle changera en fait notre propre identité. Et bien sûr, la vie et certains développements aussi fois que le trafic intelligent, le gouvernement intelligent et les villes intelligentes. Ce que vous verrez, c’est que tout sera intégré dans un écosystème piloté par le Big Data et piloté en particulier par des sociétés des environs immédiats, mais aussi des gouvernements avec des entreprises, des sociétés secrètes. Et cette révolution prendre de la vitesse, ce sera comme un tsunami.» 

L’objectif du Great Reset serait de l’aveu même de son architecte, Klaus Schwab : «Le remplacement des idées, des institutions, des processus et des règles actuelles.» Nous entrons donc dans une nouvelle ère : l’économie verte, sous-entendue dans la fin de la consommation de masse, avec un mouvement de décroissance forcé et directement initié par les grands maîtres du capital. Il faut bien comprendre qu’il est nécessaire de mettre à bas l’économie de l’ancien monde, pour rebâtir le nouveau système sur les ruines de l’ancien et s’assurer d’une prise de contrôle sur les petites entreprises, imposer aux populations la numérisation de la monnaie et l’implémentation d’un système de contrôle numérique des citoyens. Pour qu’une nouvelle civilisation puisse émerger, il faut détruire l’ancienne


Dans sa couverture du “Time Magazine” de novembre 2020, il est évoqué ce processus de “Grande Réinitialisation” à venir, où la planète subit symboliquement un ravalement de façade, avec des ouvriers sur un échafaudage qui s’affairent pour réparer la terre, qui est comme recombinée, avec des pièces de puzzle interchangeables. La société est régénérée dans tous les domaines, politique, spirituel, technique, économique et social. La “Grande Réinitialisation” est en fait la réactualisation d’un concept kabbalistique très ancien appelé le “Tikkun Olam”, qui est la réparation, la réinitialisation du monde et qui en relation directe avec le Messianisme Juif. La Kabbale Lourianique enseigne que la création même de l’univers par Dieu était instable, et que l’univers primitif, représenté par un vase en poterie, ne pouvait contenir toute la sainte lumière de l’Ein Sof, le Dieu infini, l’être suprême, et qu’il vola donc en éclats. Dans cette conception kabbaliste, le vase de l’univers est littéralement brisé et doit être réparé, ce qui se réalise en suivant la halakha (loi religieuse). C’est pourquoi, à chaque réalisation d’un commandement (mitzvah), il est réalisé un acte de “Tikkun Olam”, faisant graduellement revenir l’univers à la forme originellement voulue par Dieu, et faisant jouer à l’humanité son rôle de partenaire dans la création divine. Il s’agit d’effacer toutes les impuretés, les souillures, les “Kelipots” de l’ancien monde, de l’ancien modèle basé sur la révélation pour hâter la venue de leur Messie. C’est le parachèvement du processus révolutionnaire qui efface la révélation.


L’idéologie du Forum Économique Mondial n’est ni de gauche ni de droite, elle est purement technocratique. “Les experts savent mieux” semble être le credo de ce puissant groupe de Davos.

D’après leurs projections et planifications d’ici à 2030, dans ce qu’ils appellent l’Agenda 2030 : la liberté individuelle, la vie privée et la propriété privée seraient amenées à disparaître dans ce qui s’apparente à une forme de collectivisme absolu, comme l’humanité n’en a jamais connu !

«Vous ne possédiez rien, en dehors des quelques centimètres cubes de votre crâne.» - George Orwell1984

Ce serait alors la fin du capitalisme libéral et de la propriété privée tels que nous les avons connus, et l’émergence d’un nouveau modèle socialiste basé sur l’expropriation et la mise en commun des biens, la spoliation de nos moyens d’autonomie ! Dans cette nouvelle forme d’organisation et de planification sociale, les individus ruinés seront totalement dépendants du gouvernement pour assurer leur subsistance, entièrement placés sous la botte de l’État et à la merci du cartel bancaire. Ils devront pour satisfaire leurs besoins, louer ou emprunter à ce dernier tous leurs biens. L’État tout-puissant en serait alors le seul et unique propriétaire. Tous les produits seraient alors devenus des services à louer dans une forme d’économie circulaire. Et dans ce “meilleur des mondes”, nous n’aurions plus aucune intimité, tout ce que nous ferions, penserions, ou même rêverions serait enregistré, comme le protagoniste du Truman Show. Nous ne posséderions plus rien : ni voitures, ni bien immobiliers, ni même appareil ou vêtements et nous serions de parfaits nomades dans des villes zéro carbone, ce qui devrait faire grandement plaisir à Jacques Attali, lui qui a toujours fait l’éloge du nomadisme. Tout serait drastiquement rationné, avec une utilisation des ressources naturelles réduite à son plus strict minimum, le tout sous-couvert de préoccupation écologique et de lutte contre le réchauffement climatique. Soit une nouvelle économie dirigée, centralisée, rationalisée et piloté par la puissance de l’Intelligence Artificielle, en dehors de tout consensus démocratique.

Dans un clip de propagande diffusé par le Forum Economique Mondial pour exposer leur projet de nouvelle société, il est précisé que nous ne posséderons plus rien, mais que nous seront néanmoins heureux ! Ce qu’ils ont oublié de préciser, c’est que de leur côté, ils posséderont tout et qu’ils seront encore plus heureux… On a hâte de voir ça. Au nom de l’écologie, Emmanuelle Wargon, la ministre du Logement à d’ores et déjà qualifié la maison individuelle de  «non-sens écologique, économique et social» en déclarant que «Le modèle du pavillon avec jardin n’est pas soutenable et nous mène à une impasse». Un tel projet de société rappelle celle décrite par Thomas More dans son célèbre livre Utopia. Dans ce dernier, il présente à la manière de la République de Platon, la cité idéale des humanistes. Le régime en vigueur pour ses habitants est le socialisme pur, où l’individu n’est sujet d’aucun droit et tout est commun. Ce serait l’aboutissement ultime du but recherché par les sociétés secrètes qui est de restaurer l’unité et l’unification du genre humain, pour aller vers un nouvel Âge d’Or”, basé sur une civilisation collectiviste, où les hommes seraient “heureux”, comme le précise cette vidéo de propagande du Great Reset. C’est le Grand Œuvre poursuivi par les initiés, l’entreprise des maçons qui suivent le projet de leur Grand Architecte et qui reprennent l’ouvrage inachevé et avorté du constructeur Nimrod avec sa tour de Babel qui fut détruite avant son achèvement par la fureur divine… L’Âge d’Or est ce paradis perdu initial de bonheur sans entraves, où il n’y avait, ni famille, ni propriété privée et où tout était collectif. 

Bien entendu, tout ceci nous est présenté derrière une belle vitrine d’avancées sociales et la promesse de l’introduction d’un revenu universel, sans nul doute réservé aux bons et loyaux individus. Gageons qu’il n’en sera rien, car dès le départ, il y a une contradiction fondamentale à vouloir présenter un monde meilleur, mais en l’imposant de manière autoritaire. En tout état de cause, ne nous leurrons pas, il s’agit d’une atteinte sans précédent contre la liberté et la dignité humaine, où les technologies omniprésentes seront le redoutable outil de notre futur asservissement. Cette technocratie en formation reposera sur une coopération étroite entre les chefs de l’industrie des hautes technologies du numérique et les gouvernements. Ce système marquerait la fin de nos libertés et de notre libre arbitre. Nous ne serions alors plus que des unités automatisées de cette machine mondiale technocratique.

Le 17 août 2021, le “Forum Économique Mondial” a publié une vidéo intitulée “Voici à quoi ressembleraient bientôt nos vies”. Et autant dire que cette vidéo de bande-annonce ressemblait vraiment à un film d’horreur dystopique, où les gens ne sont plus traités que comme du bétail déshumanisé. Au programme des réjouissances, une vie de télétravail exclusivement à domicile où on commande même ses courses à distance, un flicage incessant dans le monde extérieur à base de QR-Codes, un masquage permanent des individus et un contrôle de l’identité systématique dans l’espace public à base de lasers ! Les apprentissages des enfants, ils se font aussi par écrans interposés, en limitant au maximum tout contact et interaction humaine authentique, pour un monde toujours plus artificiel et déraciné, une atomisation de la société humaine.


Cette refonte totale du système devrait affecter en profondeur tous les aspects de nos existences, sans retour en arrière possible. Une transformation d’ordre monétaire, sanitaire, sociale, commerciale, éducative, logistique, industrielle, technologique et jusqu’à la distribution alimentaire. Klaus Schwab affirme dans son livre que : «Nous allons faire face à des changements radicaux d’une telle importance que certains experts parlent d’ères “Avant coronavirus” et “Après coronavirus”». Ce n’est pas juste la mise en place d’un nouveau type de fascisme, c’est l’émergence d’un esclavage total, du totalitarisme le plus global et abouti de toute l’histoire de l’humanité.

Dans son processus de mise en place, ce “Great Reset” évoque la sanglante révolution communiste du “Grand Bond en avant” de Mao Zedong dans la Chine des années 50 et 60, avec sa profonde réorganisation sociale et économique. Cette grande réforme était marquée par une forme de planification de l’économie à grande échelle et la collectivisation de la vie paysanne. Ces derniers furent massivement expropriés de leurs exploitations familiales pour les organiser dans de nouvelles unités de production collectives. Le même phénomène qui est appliqué présentement avec les PME et les entreprises familiales qui dépérissent et sont liquidées au profit exclusif des grandes entreprises sous contrôle de la super structure, afin de casser toute forme d’autonomie pour que tous soient dépendants de l’État. C’est donc la prise de pouvoir des grandes sociétés privées sur la société civile tout entière, dont ils deviendraient les véritables administrateurs de la future gouvernance. Nous assistons à une terrifiante coalition de grandes entreprises des Big Tech, de grandes corporations, de cartels ultra-puissant et de gouvernements. Ces dernières renforceraient alors leur contrôle sur tous les aspects de l’expérience humaine, au nom d’un prétendu progrès… C’est l’émergence d’un nouveau corporatisme totalitaire se plaçant au-dessus des états régaliens. David Rockefeller affirmait que «Quelque chose doit remplacer les gouvernements, et le pouvoir privé me semble l’entité adéquate pour le faire.», D’autre part, il ne cachait pas sa vive admiration pour le régime communiste Chinois, sans la moindre réserve pour tous les crimes contre l’humanité qu’il a perpétré. Dans le “New York Times” du 8 octobre 1973, il commentait ainsi l’expérience totalitaire, la révolution culturelle menée par Mao Tse-tung ainsi : «Peu importe le prix de la Révolution chinoise, elle a réussi de façon évidente; non seulement en produisant une administration plus dévouée et efficace, mais aussi en stimulant un moral élevé et une communauté d’ambitions. L’expérience sociale menée en Chine sous la direction du Président Mao est l’une des plus importantes et des plus réussies de l’histoire humaine.»


Jacques Attali, le Grand Oracle
du “Gouvernement Mondial”



Jacques Attali, publia dans le journal “L’Express”, en date du 06 mai 2009, un article intitulé Avancer par peur. Soit tout juste une semaine après l’apparition au Mexique  du tout premier cluster de grippe porcine de la pandémie du H1N1. Voilà qui est pour le moins curieux… En effet, que pouvait-il savoir de cette crise et de son ampleur à ce moment-là ? Il y affirmait alors que les crises permettent de faire évoluer l’humanité, de faire table rase du passé pour tout remettre à plat, de créer un nouvel ordre à partir du chaos, comme le dit si bien la devise de l’ordre maçonnique auquel il appartient, “Ordo ab Chaos”.

D’après l’initié italien du 33ᵉ degré, Porciatti, cette formule «représente la synthèse de la doctrine maçonnique et en représente le secret fondamental. Elle signifie que le Grand Œuvre ne peut se produire qu’à travers un état de putréfaction et de dissolution, et enseigne que l’on peut arriver à l’ordre nouveau qu’à travers un désordre savamment organisé.» Voici ce qu’il affirmait alors : «L’histoire nous apprend que l’humanité n’évolue significativement que lorsqu’elle a vraiment peur », «La pandémie qui commence pourrait déclencher une de ces peurs structurantes [] On en viendra alors, beaucoup plus vite que ne l’aurait permis la seule raison économique, à mettre en place les bases d’un véritable Gouvernement Mondial.»

De même, dans un entretien accordé au magazine Science et Avenir daté du 04 mai 2011 au sujet de son essai, Demain, qui gouvernera le monde ?, Attali déplore qu’un gouvernement supranational du monde, où la science serait déterminante, ne serait jamais mis en place sans la survenue d’une grave crise, car l’humanité ne réagit que par à-coups aux menaces, les crises servant de déclencheurs !

Mondialiste convaincu et acharné, Jacques Attali est un fervent promoteur de cette Gouvernance Mondiale qu’il appelle de tous ses vœux… De plateaux en plateaux et dans ses innombrables écrits, il ne cesse de s’en faire l’apôtre, comme d’une vieille antienne. Ce Gouvernement Mondial serait à ses yeux, la solution miracle à tous nos maux, qu’ils soient d’ordres écologiques, politiques, économiques ou sanitaires… Ainsi par exemple, le 03 mars 2009, il avait aussi annoncé sur une chaîne d’information i-Télé : «Il n’y aura pas de retour à la normale, on va aller vers un monde radicalement nouveau. Il faudra soit accepter un désordre général, soit mettre en place un ordre planétaire, avec un “Gouvernement Mondial”, avec une monnaie mondiale, comme on l’a fait pour l’Europe.» Et maintenant avec cette nouvelle pandémie, voici ce qu’il se permet de déclarer : «Ce dont les peuples ont besoin en France comme ailleurs, c’est qu’on leur donne un projet long et qu’on leur dise, c’est là où il faut aller, parce que le monde d’avant, c’est terminé.»

Selon ses propres propos, il verrait bien Jérusalem comme capitale de ce gouvernement en cours d’édification, indiquant par la même qu’il s’agit d’un projet d’essence messianique. «On peut imaginer, rêver d’un Jérusalem devenant capitale de la planète, qui sera un jour unifiée autour d’un Gouvernement Mondial. C’est un joli lieu pour un Gouvernement Mondial.» Il n’a pas peur de présenter ce projet comme étant une hyper-démocratie, mais à tout bien considérer, je pense qu’il serait bien plus approprié de parler d’hyper-tyrannie… Par exemple, dans le journal La Croix du vendredi 12 novembre 2010, il écrivait ceci : «Aujourd’hui, on est à l’aube de savoir si le monde va tourner au chaos, ou s’il s’oriente vers un Gouvernement Mondial.» L’équation pour Jacques Attali est donc très simple, elle se résume à deux propositions : l’ordre mondial ou le chaos. De même, dans un éditorial intitulé “Repenser la mondialisation” de La Tribune, le 15 avril 2011, il convie le lecteur à imaginer ce que pourrait être un “Gouvernement Mondial”, à partir de ce qui existe déjà. Ou encore dans un point de vue du journal Les Échos intitulé “Un nouvel État de droit pour un monde positif” du mercredi 16 septembre 2015, il parle de la mise en place d’un État de droit planétaire, comme d’une clé incontournable de l’avenir pour éviter un conflit mondial, une guerre épouvantable.

À propos de cette fameuse Gouvernance Mondiale, Jacques Attali, tout en criant au bouc-émissaire qui serait victime de ses origines juives, a affirmé sans rougir dans une émission du service public dédiée au “complotisme”Tous Complotistes de Martin Weill, ne jamais avoir fait la promotion d’un “Gouvernement Mondial” et qu’il s’agirait d’un fantasme collectif irrationnel d’une bêtise sans nom… De même, il a récidivé sur le plateau de l’émission Quotidien de Yann Barthès en osant affirmer avec un culot monstre : «Je ne prône pas un Gouvernement Mondial, ça n’a aucun sens Peut-être dans deux siècles !» Serait-il atteint de sénilité, la victime de fâcheux trous de mémoire, ou bien en étant démasqué dans ces petites manigances, n’assumerait-il plus ses propres propos ? Et bien-sûr, personne sur les plateaux de TV pour le reprendre sur ces mensonges éhontés et crier à la Fake News

Ôtez-moi d’un doute, s’agit-il vraiment du même individu qui lors d’une de ses conférences avait déclaré : «Je ne crois pas que faire des enfants suffise à faire des êtres humains dignes de ça. Ce n’est pas parce que l’on a six, ou sept enfants qu’ils sont des êtres humains ou des Juifs, ce qui revient au même pour moi.» Ne serait-ce pas là une déclaration purement racialiste teintée d’un suprématisme délirant, d’une hiérarchisation des races ? Serait-ce à croire qu’à ses yeux s’ils ne sont pas de sang juif, les autres ne seraient pas considérés comme des êtres humains dignes de ce nom ? Drôle de bouc-émissaire qui partage une idéologie si semblable à celle dont il se dit la victime… Vraiment !

Par ailleurs, dans une étonnante vidéo d’archive daté de 1979, L’Ordre Cannibale, il affirmait à propos du système de soins et de santé : «Le concept même de liberté va devenir de plus en plus perverti et c’est ça qui est le plus fascinant dans cette évolution et c’est peut-être ça qui est le plus terrible, c’est qu’elle va récupérer tous les concepts, y compris celui de liberté […] Qu’est-ce que c’est que cette société de machine qui nous apprend à nous surveiller nous-même, c’est une société qui dit soyez libres, débarrassez-vous du médecin, soignez-vous vous-même, sortez de l’hôpital sous prétexte d’autonomie, créer les conditions de l’aliénation la plus formidable qui est en quelque sorte l’aliénation par soi-même, volontaire à une norme imposée par l’extérieur. On nous dira, il ne faut pas fumer, pas conduire, pas boire, ne pas avoir tels gênes dans sa structure héréditaire. Si vous l’avez, vous êtes extérieurs à la norme. Faites tout ce que vous pouvez pour vous en débarrasser ! On fera que ce qui est la forme la plus absolue de la dictature, que chacun d’entre nous envie librement d’être conformes à la norme, ait librement l’envie de se comporter comme un esclave !»

Dans son essai, La Crise et Après, paru en 2009, à la page 16, on peut lire : «La crise des subprimes, première véritable crise de la mondialisation pourrait accélérer considérablement la prise de conscience de la nécessité de mettre en place un jour une socialisation de l’essentiel des fonctions monétaires, instruments de la souveraineté, un égal accès au savoir, une demande monétaire stable, un salaire mondial minimal, un État de droit mondial, prélude à terme à un Gouvernement Mondial.»

Attardons-nous un peu sur son stupéfiant ouvrage de prospective publié en 1998, le “Dictionnaire du XXIᵉ siècle”, dans lequel Jacques Attali nous parlait de l’avenir de la société, en le présentant ainsi : «Tout humain deviendra un être sans père, ni mère, sans antécédents, sans racines ni prospérité, nomade absolu. Chacun aura le droit de former simultanément plusieurs couples. Polygamie et polyandrie deviendront la règle. Il deviendra licite d’avoir un “clone image”, toutes les relations sexuelles interdites à un être humain. On autorisera même aux amateurs des relations avec des “clones images” de mineurs si l’on peut s’assurer qu’elles ne requièrent ni ne supposent la participation d’aucun enfant réel.»

Dans un paragraphe, page 117 consacré aux épidémies, Jacques Attali affirme la chose suivante : «Par le jeu du nomadisme, des personnes, des marchandises et des espèces, de grandes épidémies pourraient refaire leur apparition. Par exemple, le virus H5N1 pourrait se révéler tout aussi dangereux que celui de la grippe, qui au cours de l’hiver 1918, 1919 toucha près de la moitié de l’humanité et tua 40 millions de personnes. On prendra des mesures planétaires de cantonnement, qui remettront en cause un temps le nomadisme et la démocratie comme au 15ᵉ siècle à l’échelle des nations. C’est de l’épidémie que naîtra une police, cette fois nécessairement mondiale. Donc à terme, un pouvoir planétaire.» Voila qui rappelle furieusement le confinement et la dérive totalitaire mondiale actuelle

Page 228Jacques Attali nous parle de nanotechnologies, dont l’introduction effective pourrait être 2020, année où le brevet de Microsoft, à justement été déposé, tout comme le tatouage quantique développé par le “Massachusetts Institute of Technology” pour vérifier la vaccination de son porteur… Il parle de nano-capteurs que l’on pourrait introduire dans le sang afin de mesurer en permanence les paramètres physiologiques.

Page 211, Jacques Attali parle de thérapie génique, comme le vaccin à ARN messager de Pfizer et de Moderna.

Il fait aussi clairement allusion à une société de plus en plus autoritaire et tyrannique, non sans une certaine malice avec l’introduction du mot-clé, “OU” : expression du choix et donc de la liberté. Elle sera dépassée quand celle-ci inclura le «droit» de ne pas choisir. Le ET finira alors par supplanter le “OU”. Quel cynisme de haut degré !

Page 249, à l’entrée du mot-clé PANIQUE on peut lire la définition suivante donnée par Jacques Attali : «moteur du marché et de la démocratie. [] Mouvement moutonnier par lequel chacun imite l’autre par peur d’être marginalisé, laissé pour compte, n’est pas un dérèglement de la société occidentale, mais sa substance même. Elle y jouera un rôle de plus en plus important.» Cela fait exactement penser à la situation actuelle avec les masques…

Page 267, à l’entrée du mot-clé PRÉVENTION, il précise que : «Le premier risque contre lequel on continuera à vouloir se prémunir est la maladie. [] La prévention envahira toute l’existence. On voudra se conformer à un profil de vie sans risque. Le droit de courir des risques sera contesté, même si cette attitude ne nuit à nul autre qu’à soi-même.»

Page 268, à l’entrée du mot-clé PRIVAUTÉ il anticipe que : «Chacun laissera une trace repérable sur tout réseau où il sera entré pour se divertir, consommer, travailler, se soigner, etc. Le code, c’est l’empreinte. En particulier, la monnaie électronique interdira à quiconque d’échapper à la surveillance générale.»

Page 282, à l’entrée du mot-clé REVENU, il affirme que : «Toute personne aura peut-être un jour droit à un revenu décent payé par l’État, indépendamment de toute activité : le revenu universel. Encore une fois, quelle brûlante actualité»

Page 298, au mot-clé SOLITUDE, il affirme que : «Personne ne suivra plus les funérailles d’autrui dans la moitié des cas de décès survenus à travers le monde.» Or, n’est-ce pas précisément ce à quoi nous assistons maintenant avec toute cette pandémie, où les familles endeuillées ont été dans bien des cas empêchés de veiller leurs morts, ou alors n’ont été autorisés à assister aux obsèques qu’en nombre très restreint de personnes, afin de limiter les risques de propagation du virus ?

Page 312, il est précisé concernant le monde du travail que «Plus de la moitié des travailleurs ne seront plus salariés, et la moitié des salariés ne seront plus employés à plein temps ni liés par un contrat à durée indéterminée à une entreprise. Le télétravail représentera la moitié des emplois.»

Page 210, il évoque encore la généralisation du “télé-diagnostic” et le “télétraitement”.

Concernant l’Organisation des Nations  Unies, il nous parle de son obsolescence et de son inefficacité, mais qu’elle finira sans doute par être supplantée, en devenant l’embryon d’un futur Gouvernement Mondial

Dans ce dictionnaire, il évoque aussi, l’éventualité de la survenue d’un virus mondial : «Personne ne pourra garantir qu’une fraction importante de l’humanité ne disparaitra sous l’action d’un virus inconnu véhiculé par les multiples formes du nomadisme, sous l’effet d’une catastrophe climatique, ou à la suite d’un accident.»

En résumé, dans ce livre qui date d’il y a maintenant 23 ans, Jacques Attali nous parlait avec une précision stupéfiante d’épidémie de virus, de la mise en place d’une société tyrannique de surveillance et de normalisation généralisée basée sur la peur et le conformisme, mais aussi de nanotechnologies, de thérapie génique, de monnaie électronique, de salaire universel et bien évidemment de son incontournable Gouvernement Mondial. C’est exactement le monde Orwellien qui se dessine à l’heure actuelle sous nos yeux incrédules ! À la relecture de cet ouvrage et à la lumière des événements dramatiques actuels que nous traversons, deux options se posent : soit Jacques Attali tel un oracle est capable de voyager dans le temps pour entrevoir l’avenir, soit il est un haut-initié, qui est par avance au courant de certaines évolutions programmées de la société. Personnellement, je pencherai plutôt pour la seconde option

Et pour la pandémie actuelle, le Grand Oracle enchaîne aussi les prophéties en évoquant la possibilité d’un huitième confinement. Comment peut-il parler de cette manière alors que l’on vaccine à tout-va. Voici ses propos tirés directement de son Blog en ligne : «Au 8ᵉ reconfinement, chaque pays aura perdu selon les cas, entre 20 % et 30 % de ses recettes fiscales, de ses emplois, de ses capacités de production. Ce serait l’équivalent du coût d’une guerre.» Il affirme aussi que : «On pourrait découvrir que les vaccins contre l’actuelle pandémie ont été autorisés trop tôt, sous pression politique, et qu’ils ont des effets secondaires désastreux, ce qui conduirait à interrompre leur usage, et ramènerait le monde à l’obligation du confinement, pour des années encore. » Un comble alors qu’il a lui-même posté de nombreux Tweets en appelant à la mise en place d’une solution vaccinale dans les meilleurs délais : « Sans médicament, ni vaccin, le confinement pourrait continuer des années. On a su lancer des projets massifs pour aller sur la Lune Et là, alors que toute la vie de la planète en dépend, on ne ferait rien ? On marche sur la tête !» Je confirme

Dans un billet du 31 mars 2021, Attali annonce la suite du programme : «Ensuite, parce qu’il faudra se préparer à l’émergence probable de nouveaux variants résistants aux vaccins actuels, et résister au désespoir qui pourrait suivre la nécessité de nouveaux reconfinements, en attendant de produire à très grande vitesse des milliards de doses de vaccins nouveaux, et organiser des campagnes planétaires de vaccination ; il faudra prendre son parti d’avoir à le faire tous les ans, pendant des décennies ; pour cette maladie et sans doute pour bien d’autres. Il faudra alors se décider à faire enfin tout ce qu’on aurait dû déjà faire depuis un an pour préparer notre société à vivre au mieux dans un monde à pandémies multiples : la réorganisation des lieux d’études et de travail, pour qu’ils soient structurellement adaptés à ces périodes, qu’on pourrait revivre périodiquement.»

Par ailleurs, le bonhomme se dit aussi fasciné par la série Game of Throne, qui représente un Moyen Âge flamboyant, car pour lui, elle «renvoie très précisément à ce que notre planète va vivre bientôt, une sorte de nouveau Moyen Âge, plein de violences, de désordres, de catastrophes naturelles, de seigneurs de guerre, de querelles de pouvoir aux rebondissements très rapides. «Game of Throne» décrit le monde qui s’annonce après la fin de l’Empire américain où aucun pouvoir n’est stable et où tout devient possible.» Ça fait vraiment rêver

Petite anecdote croustillante, mais qui en dit long sur le personnage et son état d’esprit, Keyser Söze est le petit nom qu’il a choisi de donner à la commission qu’il présidait en septembre 2004 et qui réunissait les 30 meilleurs économistes français pour constituer la «force de frappe au service de la France.» Entre-temps, on a vu le brillant résultat avec une économie exsangue et un niveau d’endettement abyssale… Il faut savoir que ce nom est celui d’un personnage fictif au cœur de l’intrigue de l’énigmatique film policier américain Usual Suspect. Il s’agit d’un mystérieux et insaisissable malfrat, un génie du mal et du crime, qui en réalité représente symboliquement la figure du diable, mais dont la véritable identité n’est révélée qu’à la toute fin de l’intrigue

Une des phrases les plus célèbre de ce film culte est la suivante, en clin d’œil au poète français Charles Baudelaire«Le coup le plus rusé que le Diable ait jamais réussi, ça a été de faire croire à tout le monde qu’il n’existe pas.»



Des coïncidences, encore des coïncidences,
toujours des coïncidences…


«Le hasard est la Providence des imbéciles.» – Léon Bloy, romancier

« Une succession de coïncidences devient une volonté. » – Pierre Barnérias, documentariste

Curieusement certains documents semblent avoir anticipé la pandémie actuelle de manière incroyable. Il est particulièrement difficile de croire qu’une telle accumulation d’éléments ne puisse que relever du pur hasard… Il y a donc vraiment matière à se poser de sérieuses questions sur ce virus, son origine et sa véritable finalité… Jugez-en par vous-même :

 

Au Canada, la revue “Québec science édition”, dans son numéro d’octobre / novembre 2019, demandait à ses lecteurs s’ils étaient «prêts pour la prochaine pandémie» en annonçant qu’elle «pourrait arriver plus vite qu’on ne le pense» tout en précisant que les pires virus de la planète, grippe, Ebola, SRAS, étaient sous surveillance.

Au rayon des coïncidences extraordinaires, on peut aussi évoquer la série en quatre épisodes “Pandemic: How to Prevent an Outbreak” produite par “Netflix” qui tombe vraiment à point nommé, puisqu’elle est sortie sur cette plateforme le 22 janvier 2020. Autant dire que la production en amont de cette série doit remonter au minimum à 2018, puisqu’il faut compter une bonne année de production avant la diffusion finale. Cette série documentaire présente les héros du front anti-grippe et leurs efforts pour arrêter la prochaine épidémie mondiale. Un peu comme s’il s’agissait d’une parfaite mise en condition mentale pour des millions de spectateurs à ce qui n’allait pas tarder à advenir dans leur vie. Bien entendu, comme on pouvait sy attendre, la solution miracle proposée pour sortir de cette impasse est une vaccination généralisée. Au passage, signalons que le cofondateur de cette impressionnante machine de guerre de propagande pour les masses qu’est “Netflix”, n’est autre que Marc Bernays Randolph, qui est l’arrière-petit-neveu de Sigmund Freud et d’Edward Bernays (par la branche paternelle). Ce dernier n’est autre que le père de la propagande moderne.

Le 20 septembre 2019, la même plateforme diffusera aussi dans la même période que la simulation de “l’Event-201”, le documentaire Inside Bill's BrainIl s’agit d’une hagiographie à la toute gloire de la vie et de l’œuvre de ce grand philanthrope, cet esprit génial de Bill Gates. Un documentaire totalement hypocrite, car présentant une image faussée, parfaitement lisse et idyllique, très complice du couple Bill et Melinda Gates alors qu’en réalité, au moment même du tournage, ils étaient déjà en pourparlers et en cours de procédure de divorce… En effet, d’après le Wall Street Journaldepuis 2019 Melinda Gates rencontrait des avocats spécialisés en divorces pour mettre fin à son mariage avec Bill Gates.


Par ailleurs, on peut aussi mentionner l’édition le 31 janvier 2012 par “l’Union européenne” d’une bande dessinée titrée “Infected”, étrangement prédictive évoquant elle aussi une pandémie mondiale avec un virus hautement pathogène, le B-1049 qui a tué plus d’un milliard de personnes et qui est transmis à l’homme par un singe dans un pays asiatique. Il y est aussi mentionné des équipes de scientifiques travaillant sur des virus mortels dans un laboratoire P4 basé en Chine, non pas à Wuhan mais à Pékin. À la fin de la pandémie, il est question dans le scénario de cette bande dessinée de l’implantation d’un seul système universel de santé appelé “Une seule santé” afin de régir l’humanité entière selon les mêmes critères. L’objectif avancé par “l’Union européenne” pour expliquer cette bande dessinéeou plutôt ce bien curieux objet de propagande était double : «expliquer ce qu’est une pandémie, avec ses ravages potentiels, à un public large d’adolescents et montrer qu’au niveau international, le multilatéralisme peut contribuer à enrayer de tels phénomènes dont la fréquence s’accélère.» Encore une fois, s’agit-il d’une pure coïncidence, ou d’une forme de programmation prédictive visant à préparer presque de manière subliminale les esprits ?

On peut encore relever une autre incohérence plus que douteuse signalée par l’écrivain polémiste Claude Janvier, auteur de l’essai “Le virus et le Président”. Ce dernier, lors de ses vacances en Bretagne, a remarqué une anomalie sur des affiches imprimées par “Santé Publique France” faisant la promotion du pass sanitaire et comportant une notification précisant la date d’impression, avec la mention W-0333-001-2003-20 janvier 2020suivi du logo ne pas jeter sur la voie publique. Cette affiche a donc été conçue dès le 20 janvier 2020. Or, à cette date, strictement personne n’avait alors entendu parler de pass sanitaire, ni de confinements, ni de masque obligatoire, etc. Il y avait tout juste 80 cas de Coronavirus dans le monde, et le vaccin contre la Covid-19 avait déjà fait l’objet de recherches, alors que la pandémie coronavirus n’avait pas commencé. À chacun d’en tirer ses propres conclusions, mais cela ressemble fort à une feuille de route bien précise qui est suivie par les autorités. On peut retrouver par exemple cette affiche sur le site de France Bleu, avec une photo prise à l’entrée de la piscine du Carrousel à Dijon. L’infographie est aussi visible sur de nombreux sites officiels du gouvernement et de la santé au format numérique PDF ce qui atteste de son authenticité.

Autre élément intrigant et fort troublant, un épisode TV de l’émission de téléréalité américaine “Project Runway”, diffusé en mars 2019, soit peu avant la pandémie, mettait en vedette un concurrent nommé KOVID qui a présenté une tenue avec un masque assorti, similaire à ce que nous voyons maintenant en raison de l’épidémie.

Mais ce n’est pas tout, dès 2017, on pouvait voir la starlette, chanteuse et compositrice américaine Poppy, réaliser un tutoriel à l’attention de ses fans adolescents, intitulé How to Apply Your Mask. Dans ce dernier, on peut voir la chanteuse en nuisette, faire une démonstration de comment bien porter son masque chirurgical, comme s’il s’agissait d’un accessoire de mode de la dernière tendance. Voilà une idée pas très glamour, mais plutôt saugrenue et bien malsaine, non ?


Évoquons aussi “Sketch of Love”, un véritable tube de 1988, basé sur la “Sarabande” de Georges Friedrich Haendel, de l’artiste lyrique Thierry Mutin. En introduction de ce vidéo-clip, on entend une voix off planter le décor : «… Paris, 2024, toute activité culturelle est interdite… chaque contrevenant sera poursuivi par la milice du NOUVEL ORDRE…» On appréciera au passage l’esthétique de ce clip qui évoque clairement la maçonnerie de par le costume du chanteur, et une scène initiatique puisqu’il s’enfonce dans les catacombes en suivant à la lueur de sa torche un porteur de lumière. Autre fait troublant, il se trouve que Thierry Mutin travaille actuellement dans le domaine de “l’Intelligence Artificielle” et de l’hybridation homme-machine, soit exactement la direction qui est prise avec cette pandémie, où le transhumanisme devient de plus en plus dans l’air du temps. Mutin est un artiste pluridisciplinaire, à la fois peintre, compositeur et auteur. Il est un des créateurs du courant artistique post-humaniste, qui est né dans la “Silicon Valley”. Il est totalement impliqué dans le débat d’idées généré par le post humanisme et les perspectives scientifiques révolutionnaires de ce début de siècle parmi lesquelles l’arrivée de l’I. A., la recherche d’immortalité, la production de cyborgs et le développement du méta data. Certaines de ses œuvres font figurer des QR Code, des brins d’ADN, ainsi que des cyborgs. Il a réalisé une toile intitulée “Adam & Ève”, qui représente au premier plan deux cyborgs transhumanistes sur fond de chaos et de destruction, comme si l’humanité devait prendre un nouveau départ…

Par ailleurs, en 2013, le chanteur de rap, le Dr Creep a écrit une chanson intitulée “PANDEMIC”. Dans ses paroles, il décrit une pandémie mondiale qui tue des millions de personnes, met les économies du monde à l’arrêt et donne lieu à des émeutes. Il a même précisément évoqué 2020, l’année exacte de la pandémie et aussi le type spécifique de virus impliqué dans ce chaos : un coronavirus. Trop fort !


Autre coïncidence : le 14 juin 2019, soit tout juste 6 mois avant le début de la pandémie, la chanteuse Madonna a sorti son dernier disque “Madame X”, dont l’imagerie est plus que troublante… Au recto, on peut voir la chanteuse avec la bouche cousue, comme pour l’empêcher de parler et au verso de la pochette se trouve une machine à écrire rétro, sur laquelle on peut lire “CORONA”, la marque de cette machine. La même année, à l’occasion de la sortie de cet album à “l’Eurovision 2019”, on pouvait la voir réaliser une ténébreuse prestation au fort parfum de rituel morbide et d’incantation religieuse satanique. Elle est apparue cernée d’hommes cagoulés en toge, telle une grande prêtresse, coiffée d’une couronne et habillée tout de noir vêtue avec une robe figurant une croix renversée. Tandis qu’elle descendait les marches d’une sorte de temple d’inspiration maçonnique avec son escalier et ses colonnes, elle soumettait des gens tout de blanc vêtus et portant des masques à gaz ! Elle tue ceux qu’elle croise sur son chemin en leur cassant le cou. La scène s’achève en apothéose lorsqu’elle souffle un vent de mort et que tout le monde s’effondre alors que l’on peut apercevoir une représentation de la “Statue de la Liberté” brisée tandis que le monde s’embrase sous les paroles suivantes : «Tout le monde ne va pas dans le futur, Tout le monde n’apprend pas du passé, Tout le monde ne peut pas venir dans le futur, Tout le monde qui est là ne va pas durer.» Charmant… Et dire qu’il s’en trouve pour applaudir à tout rompre ce genre de mise en scène occulte qui échappe sans doute totalement à leur entendement…



 

   



D’autre part, on a aussi vu cette même madone, véritable égérie sataniste, avec ses clips qui déploient en permanence un symbolisme Kabbaliste très appuyé, faire une surréaliste demande de dons pour soutenir la recherche de Bill Gates pour un vaccin contre la COVID-19, le tout en étant affublée d’un tee-shirt figurant une croix renversée, au pied de laquelle on pouvait apercevoir un démon cornu. Comme si le milliardaire, supposément homme le plus riche de la planète était à court d’argent pour financer ces recherches de vaccins…

Autre curiosité plutôt étonnante, le roman “The Eyes of Darkness” soit L’œil des ténèbres, de l’auteur de best-sellers Dean Koonts. Publié en 1981, il parlait dans son histoire d’une arme bactériologique développée dans la ville de Wuhan en Chine et appelée de ce fait Wuhan-400. Il faut bien préciser qu’à cette époque-là, il n’y avait encore aucun laboratoire de recherche bactériologique de type P4 sur le site de Wuhan, puisque ce dernier fut seulement inauguré en février 2017…

De même, en octobre 2019, soit tout juste un mois avant que la propagation du virus ne débute à partir de la ville chinoise de Wuhan, Steven Taylor, un psychologue australien de l’Université de Colombie-Britannique à Vancouver, avait publié un livre remarquablement prophétique, “The Psychology of Pandemics”. Ce livre, comme le souligne son avant-propos, est un tableau de «l’impact des facteurs humains sur la propagation des maladies et des troubles émotionnels». L’auteur confie rétrospectivement : «J’ai été assez surpris que presque tout ce qui est dans le livre se soit déroulé» et précise que «Il ne s’agissait pas de prédictions de Nostradamus, mais de prévisions de réactions basées sur la recherche de ce qui s’est passé lors des pandémies précédentes. Il était donc raisonnable de s’attendre à ce qu’avec une pandémie similaire, avec des restrictions sociales en place, on obtienne des phénomènes largement similaires.»

Dans la série animée, “Les Simpsons”, à l’épisode 6 de la saison 22 qui fut diffusé la première fois le 21 novembre 2010, on assiste à un scénario qui fait étonnement écho à la pandémie médiatique actuelle et a une campagne de peur orchestrée. On se retrouve dans une sorte de conseil d’administration occulte, une réunion de grands bonnets de la presse qui panifient et fomentent une fausse pandémie basée sur la peur. La réunion secrète de ces médias qui complotent contre le reste de l’humanité se déroule directement à l’intérieur de la couronne de la Statue de la Liberté, ce qui est particulièrement symbolique d’autant plus que le “Corona” du coronavirus signifie couronne. Voici la teneur de cette scène.

Le président de cette assemblée déclare :
— Nous pouvons ouvrir cette réunion secrète des empires médiatiques de l’Amérique. Nous sommes réunis pour parler de la prochaine crise absurde qui renverra les Américains là où ils doivent être : en chambre noire, collés à leur télévision, trop terrifiés pour zapper les publicités. Je propose une bonne vieille panique sur la Santé publique.

Janis, une femme de l’assistance fait une proposition :
— Une nouvelle maladie, personne n’est immunisé, c’est comme l’été du requin sauf que au lieu d’un requin, c’est une épidémie et au lieu de l’été, c’est tout le temps.

Un autre intervenant :
— Je déteste être le gars qui dégomme l’idée que tout le monde adore, mais Janis, nous avons une éthique, ça ne peut pas être fait comme elle a dit, “inventé”. La seule chose morale à faire, c’est répandre un virus mortel dans tout le grand public.

 Nous avons quelque chose que nous avons gardé secret, mais qui n’a pas été testé, venez par ici NBC.

Le personnage appelé NBC s’approche alors naïvement du président de réunion et se fait administrer la substance pour mesurer son degré d’efficacité. Il s’écroule instantanément raide mort sous les applaudissements de l’assemblée…

Le président s’esclaffe et se frotte les mains :

 Ouai ! Hé hé hé. Bon, nous avons notre maladie mortelle… Maintenant, nous devons rejeter la responsabilité sur quelque chose qui est dans chaque foyer, quelque chose dont le public a déjà peur aujourd’hui : La grippe chatière.

Dans la scène suivante, on peut alors voir un présentateur de journal télévisé répandre dans les foyers cette campagne de peur autour d’un virus transmis par les chats.

Le vent de panique s’empare alors rapidement du public, qui met à l’écart les chats et on peut voir Homer Simpson s’apprêter à brûler toutes les affaires de son chat, mais il est interrompu par sa femme qui lui annonce soulagée :
— Homer, arrête de tout brûler, ils ont un vaccin.

Ce à quoi répond Homer :
— Très bien, on va se faire vacciner !


Par ailleurs, dans une “bande dessinée d’Archie” parue en 1997, on peut trouver une parfaite représentation de l’école de 2021. Sur cette planche de dessin, on peut observer une scène totalement prémonitoire, où Betty l’une des héroïnes gravitant autour du personnage d’Archie, fait l’école à la maison devant son ordinateur. On peut lire en titre “Betty dans l’école de l’an 2021”, tandis que la mère de Betty dit à sa fille de se dépêcher sinon elle va être en retard à l’école. Ce à quoi le père de Betty réplique : “Les jeunes d’aujourd’hui sont chanceux, ils vont à l’école dans leur propre maison!”. Dans la case suivante, on peut alors voir la jeune fille s’installer devant son ordinateur se trouvant dans sa chambre et dire au revoir à ses parents, car son cours va bientôt commencer.

On pourra aussi faire mention à une autre bande dessinée tirée de la série “Astérix” avec l’album “Astérix et la Transitalique” parue en 2017 où le principal adversaire de notre héros gaulois préféré n’est nul autre qu’un champion romain du nom de “Coronavirus”. C’est peut-être un pur hasard, mais notons tout de même qu’il apparaît masqué et qu’il est le digne représentant de l’empire, avec son char à l’effigie de l’aigle impérial Romain. Peut-on y voir là comme une métaphore d’un nouvel Empire qui avance masqué et cherche à définitivement soumettre les irréductibles gaulois ? Dans la bande-dessinée, Astérix met ce redoutable adversaire en échec en lui arrachant son masque de mensonges, en dévoilant sa véritable nature et non en l’affrontant directement…

On pourra aussi relever le jeu vidéo “Vampyr” développé par le studio français “Dontnod Entertainment”, qui avait déjà assuré le développement du jeu dystopique “Remember Me” qui était une pure propagande transhumaniste. Ce jeu fantastique est sorti sur ordinateur et sur consoles en 2018, soit tout juste deux ans avant la pandémie de COVID-19. Son intrigue se déroule en 1918, dans les bas-fonds d’un Londres ravagé et contaminé par la redoutable épidémie de grippe espagnole. Le principal protagoniste de l’intrigue, le Dr. Jonathan Reid est un jeune fringant médecin et un éminent hématologue ayant subi un traumatisme lors des affres de la Seconde Guerre mondiale. Il est devenu involontairement un vampire et cherche maintenant un remède contre cette grippe mutée. On retrouve de nombreuses informations historiques sur la politique de santé adoptée par les autorités de l’époque : affiches de santé publique placardées sur les murs, avec des instructions sur la façon de bien se comporter pendant l’épidémie, à savoir, se laver les mains, ne pas tousser en public, éviter les transports en commun, se coudre des masques faciaux, etc. Le joueur arpente les ruelles désertes de Londres ce qui évoque résolument les rues vides du premier confinement. La peste frappe les immigrés roumains à Whitechapel beaucoup plus durement que la classe supérieure du West Side. Cerise sur le gâteau, le jeu parle d’une conspiration d’un État fantôme, contrôlé par des sociétés secrètes qui est la cause d’un échec de la politique de santé…


Lorsque Hollywood conditionne les esprits…

«On leur dira la vérité dans les films et on leur mentira dans la réalité. Ils seront complètement perdus» – “My Dinner with André”, Louis Malle

Dans ce même registre, Hollywood a eu la merveilleuse et lumineuse idée de produire un film intitulé “Songbird”, ou “Phénix” au Québec. Réalisé par Michael Bay, le spécialiste des blockbusters explosifs et pétaradants comme “The Island”, il est produit par une maison de production Invisible Narratives, dont le slogan est “Hidden in plain sight”, soit caché en pleine lumière. Voilà un concept purement ésotérique s’il en est… Le film se présente comme un thriller pandémique et parle de COVID-23, une mutation de COVID-19 transformant l’Amérique en un cauchemar dystopique, avec des camps de quarantaine ! Voici le pitch de ce terrifiant film : «En 2024, le virus Sars-CoV 2 a muté et le monde en est à sa quatrième année pandémique. Les Américains infectés sont emmenés de leurs maisons et contraints dans des camps de quarantaine appelés zones Q, où certains se battent contre les restrictions brutales.» Avouez qu’il faut un sacré degré de cynisme pour sortir un tel film en pleine Pandémie où la peur, l’hystérie, les drames humains sont déjà à leur comble et que les gens ne savent plus comment se tirer de ce cauchemar… Visiblement, il ne s’agit nullement dans cette entreprise de divertir, mais bien de normaliser, à grand coup de propagande, de nouveaux niveaux de tyrannie et d’hystérie, en les présentant comme une évolution logique du contexte actuel… Hollywood, cette machine, à vendre du rêve se serait-elle mutée en machine à vendre nos pires cauchemars ? S’agit-il ici encore d’une forme de programmation prédictive de notre avenir ? En tous les cas, cela fait froid dans le dos !

Allan Watts défini ce concept de manipulation de l’opinion ainsi : «La programmation prédictive est une forme subtile de conditionnement psychologique fourni par les médias pour familiariser le public avec les changements sociétaux planifiés à mettre en œuvre par nos dirigeants. Si et quand ces changements sont mis en œuvre, le public sera déjà familiarisé avec eux et les acceptera comme des progressions naturelles, diminuant ainsi la résistance et l’agitation du public.»

Par ailleurs, parmi les productions que l’on peut retrouver sur la plateforme de VOD “Amazon Prime”, on peut trouver un film de programmation prédictive assez surprenant intitulé “The World Enslaved by a Virus”. Sortie en 202, voici le synopsis de cette série B : «Nous sommes en 2025 : Depuis l’apparition du virus Corona en 2020, le monde n’est plus le même : un système communiste avec un seul gouvernement mondial a été instauré. L’anglais a été choisi comme langue mondiale, les contacts ont été réduits au minimum. Le christianisme a été complètement banni ; la constitution telle que nous la connaissions n’existe plus. En Allemagne, un petit groupe de jeunes chrétiens entame une révolution clandestine pour réunir les chrétiens et retrouver la liberté. Un groupe de chrétiens tente de renverser le gouvernement mondial en peignant à la bombe l’ichtyose sur les feuilles mortes. Ils rencontrent un mineur de bitcoins qui les aide à envoyer des DVD de sermons. Ils sont ensuite capturés et exécutés.»


Justement, au rayon “programmation prédictive”, on peut aussi évoquer la série “Utopia” de Gillian Flynn. Elle fut diffusée en 2020 sur “Amazon”, mais sa production avait débuté en juin 2018, soit bien avant le déclenchement de la pandémie de COVID-19 et de sa campagne de vaccination de masse… Cette série est le remake américain d’une autre série anglaise datant de 2013 et portant le même nom. Le scénario de cette série évoque un vaste complot mondial ourdi par un multi-milliardaire eugéniste et malthusien, un philanthrope écologiste nommé Christie (ce qui évoque résolument le Christ, or en l’occurrence, il ne s’agit pas d’une figure de Christ rédempteur mais totalement destructeur). La devise de ce personnage machiavélique qu’il répète inlassablement tout au long de la série est la suivante : «Qu’avez-vous fait aujourd’hui pour mériter votre place dans ce monde surpeuplé ?» Christie a la prétention de vouloir sauver la planète. Pour ce faire, il a pour projet de stériliser une grande partie de la population humaine afin d’en réduire drastiquement le nombre. Christie relâche donc dans la nature un virus grippal, afin de lancer un vaste programme de vaccination planifié à l’avance. Autant dire que ce portrait évoque furieusement un certain Bill Gates… Le virus dont il est ici question est une grippe inconnue qui se propage tout d’un coup dans l’ensemble des pays. On retrouve dans la série des camps d’isolement sanitaires, où les enfants sont isolés de force par le “Gouvernement Fédéral”. À noter que tout comme Gates, Christie grâce à une invention technologique du nom de “Simpro”, produit aussi de la viande synthétique soi-disant pour nourrir la planète. Mais en réalité, celle-ci empoisonne ses consommateurs et Christie s’en sert même comme d’un vecteur pour répandre le virus, car cette viande est infectée… Il multiplie alors les conférences de presse et s’empresse de lancer sa campagne de vaccination mondiale planifiée en manipulant certains scientifiques intègres afin qu’ils servent bien malgré eux sa cause. Christie nourrissait ce projet de longue date et avait déjà mené d’autres opérations de ce type à travers le monde et notamment avec une tentative en Chine lors de l’épisode de la grippe porcine, mais elles n’avaient pas été couronnées de succès (on peut penser au H1N1 qui semble être une répétition de la pandémie actuelle). Dans “Utopia, le vaccin est développé à la va-vite, sans aucun test ni vérifications, exactement comme c’est le cas pour les injections de thérapies géniques actuelles… Le but de Christie est d’imposer à tout prix l’inoculation de ses vaccins à l’ensemble de la population. En réalité, la véritable menace ne vient pas du virus à l’origine de tout cela qui est somme toute plutôt bénin, mais bien du vaccin qui contient des substances stérilisantes pour les prochaines générations. Christie compte ainsi purifier le monde, le régénérer afin de bâtir une nouvelle société.

Passons au bestseller “Inferno”, le dernier opus de Dan Brown dont le pitch est simple : un savant dénommé Bertrand Zobrist est affolé des conséquences de la surpopulation sur la planète et le genre humain. Pour résoudre de manière radicale le problème, il déclenche un projet baptisé “Inferno” qui consiste en la dissémination d’un virus capable de stériliser jusqu’à un tiers de la population mondiale. À noter que le personnage de Zobrist est un généticien darwinien, adepte du transhumanisme.

Et ne parlons pas du nombre considérable de films hollywoodien qui ont préparé les esprits et les imaginaires collectifs pendant des années à l’éventualité d’une pandémie, de “28 jours plus tard” de Danny Boyle, en passant par “L’armée des douze singes” de Terry Gilliam, “Alerte” de Wolfgang Petersen, ou encore la série des “Resident Evil”, et tant d’autres. Hollywood a usé de son pouvoir d’influence, a colonisé les esprits, les territoires mentaux en piratant l’imaginaire des masses, en réécrivant leur carte mentale en vue de l’acceptation d’un vaccin salvateur présenté comme seule et unique réponse à une pandémie.


À ce titre, l’un des films de propagande les plus intéressant est incontestablement “Contagion” de Steven Soderbergh dont le slogan promotionnel est «Rien ne se répand mieux que la peur». Il a été produit avec l’active coopération du CDC, “le Center of Desease Control”, de l’OMS, “l’Organisation Mondiale de la Santé” et d’autres organisations gouvernementales. Ce film est sorti tout juste deux ans après la crise sanitaire du H1N1, qui fut un monumental  fiasco et avait renforcé la méfiance et la défiance du public vis-à-vis de ces instances sanitaires officielles. Ce film de commande présente un scénario catastrophe hyper réaliste visant à redorer le blason de ces organismes et à justifier des campagnes de vaccination promues par ces agences tout en discréditant ceux qui les critiquent. Le message général qui est véhiculé pourrait se résumer ainsi : «Rien n’a été exagéré, et la prochaine fois qu’il y a une épidémie de virus, écoutez-nous… Sinon vous en mourrez !»


Dans le script du film “Perfect Sense” de David Mackenzie sorti en salle en 2011, les gens perdent progressivement l’usage de leurs sens, suite à la propagation d’un mystérieux virus, ce qui ne manquera pas de faire penser au COVID-19, qui enlève le goût.


Dans la même veine, la série “Deadzone” de 2003, dans sa saison 2 à l’épisode 14 fait de son côté très fort, puisqu’on y retrouve un mystérieux virus respiratoire proche du SRAS et que la chloroquine serait capable de guérir. En outre, l’épisode en question montre que le virus provient encore de Chine !

Relevons aussi que dans l’épisode 10, «Premier contact» tiré de la Saison 5 de la série «Stargate Atlantis» et dont la première diffusion remonte au 11 juillet 2008, il est encore question d’un peuple ancien frappé par une pandémie semblable à une fièvre et à la grippe de 1918. Mais suite à l’introduction d’un vaccin qui entraine la stérilité par une peuplade rivale, cette population a subi une réduction drastique.




Dans le film “Les combattants” de Thomas Caillet, sorti en salle en 2014, on trouve le surprenant dialogue suivant :

— En même temps, je comprends… S’engager dans des années d’études sans débouchés, avec la crise, le chômage… Ouais, c’est pas drôle.
— J’ai pas peur du chômage et de la crise il y a bien pire qui se prépare, mais comme on se focalise sur des choses minimes, on le voit pas arriver.
— Je comprends rien… Qu’est-ce qu’on ne voit pas arriver ?
 La fin
 La fin de quoi ?
 La fin, l’extinction.
 Ah ouais, carrément !
— Ouais, ou des épidémies, tu sais des trucs respiratoires que tu ne peux pas soigner… Les coronavirus.
— Ça je crois pas, car la prévalence est déjà en train de baisser.
— Ouais enfin, c’est bon, ça va on a la TV, hein !
— Et ça te plaît ça comme idée ?
— Pas plus que ça, mais bon, on est responsable de ce qui nous arrive, ça tombe pas du ciel.
— Alors oui comme ça, je suis responsable de ta fin du monde ?


On peut aussi citer l’exemple très troublant du film “Equals” de Drake Doremus sorti en 2016 directement en DVD. Ce film dystopique évoque un monde où suite à une grave maladie, les sentiments sont considérés comme un mal et une menace à éradiquer. Il y est fait référence à des injections et à un monde ultra-surveillé et contrôlé, complètement froid et aseptisé. Les individus ont été pucés, puisqu’ils passent des scans de leur poignet pour accéder à certaines zones. Dans cette nouvelle société à la froideur clinique, la seule maladie qui perdure est l’amour, les sentiments et l’attachement humain. Les contacts physiques et l’expression des émotions sont réprimés, car ils représentent un danger pour tous.


Un univers qui rappelle aussi celui dépeint dans le film “Equilibrium” de Kurt Wimmer, où en 2070, les émotions humaines n’existent plus, supprimées par l’absorption quotidienne d’une drogue, le “Prozium”, qui évoque le “Soma” de Huxley. Les individus ont ainsi accepté de mettre de côté leur liberté pour vivre en harmonie avec leur dirigeant spirituel, connu sous le nom de Père. Les personnes qui refusent de prendre leur dose sont considérées comme des rebelles et vivent en retrait de la ville et sont pourchassés tels des parias.


Autre film de science-fiction incroyablement visionnaire, on peut aussi mentionner l’explosif blockbuster “Demolition Man” avec Sylvester Stallone. Dans ce film de 1993, on retrouve encore une fois la description d’une société dystopique, avec une vision purement désincarnée des rapports humains et de la sexualité. Les individus pratiquent la distanciation sociale. Le film est truffé de nombreux clins d’œil au “Meilleur des Mondes”, comme les nom et prénom de l’agent de police féminin incarné par Sandra Bullock, Lenina Huxley qui sont une référence directe à l’écrivain Aldous Huxley et à son roman d’anticipation publié en 1932, dont un des personnages principaux s’appelait justement Lenina. Le film présente une scène, où les deux partenaires amoureux n’ont plus aucun réel contact physique et charnel, mais font l’amour par l’intermédiaire de casques inter-connectés vissés sur leurs têtes. Ces interfaces virtuelles leur renvoient des flashs et des impressions sensuelles. Autre curiosité troublante, ce film parle déjà de “Gouvernator”, alias Arnold Schwarzenegger comme candidat à la présidence, bien avant qu’il ne se lance en politique et ne devienne Gouverneur de Californie en 2003. Il est aussi fait mention d’un mode d’alimentation Végan, très peu répandu à l’époque du film ! Il y est déjà évoqué les vidéoconférences, le GPS ou encore la puce RFID. Certaines choses sont cataloguées de non-essentielles. Tout est sous surveillance, les individus sont épiés dans leurs moindres faits et gestes, jusque dans leurs écarts de langage non politiquement corrects, qui leur valent des amendes immédiates. L’univers de ce film présente aussi une société scindée en deux, avec d’un côté, les gens intégrés qui ont accepté ce mode de vie, qui sont pucés et placés sous haute surveillance, et de l’autre, les rebelles en marge qui survivent tant bien que mal dans des égouts insalubres, terrés comme des rats. Bien-sûr dans cette nouvelle société, seules les multinationales ont survécu, si bien que tous les restaurants sont des “Pizza Hut”. Dans un dialogue, il est précisé que «Seuls les grands groupes ont survécu à la guerre des chaînes de restaurants»

Quant à l’adversaire principal de Sylvester Stallone, il s’appelle Simon Phœnix, en référence à l’oiseau flamboyant des initiés. Pour finir, le Grand Architecte et argentier de cette société totalement aseptisée, le Docteur Cocteau, évoque grandement le Klaus Schwab du “Forum Économique Mondial”. On peut d’ailleurs se demander au sujet de ce film, si le titre de “Demolition Man”, n’a pas d’ailleurs un double-sens et ne décrit pas en réalité, fort, cyniquement, bien plus la destruction effective de l’homme, que les spectaculaires destructions matérielles provoquées par Sylvester Stallone, qui fait sur son passage, tout exploser dans le décor…


Dans le même esprit, les émotions sont bannies dans le film de science-fiction, “The Giver”, Le passeur. Cette dystopie explore elle aussi une société totalitaire, avec de nombreuses références et allusions à l’édification d’un “Gouvernement Mondial”, où les individus seraient en permanence contrôlés, surveillés par des drones et formatés depuis la naissance. Une fois de plus, cette société et son nouvel ordre émerge du chaos et d’un cataclysme initial selon le principe de “l’Ordo Ab Chaos”. Les émotions telles que l’amour ont disparues, quant à la mémoire collective, elle a été confisquée et est concentrée dans les mains d’un seul individu, le “Dépositaire de la Mémoire”, qui occupe une gigantesque bibliothèque. Ce sage érudit évoque probablement les sociétés secrètes qui sont dépositaires d’une connaissance réservée aux seuls initiés, “la Gnose”. À l’instar du meilleur des mondes, les enfants ne sont plus enfantés par un processus naturel, mais sont pris en charge par des mères porteuses, avec la pratique de la GPA que l’on cherche justement à développer et à imposer à l’actuelle société. Tout comme dans “Le Meilleur des Mondes”, les individus ont des fonctions prédéterminées à occuper au sein de la société. Ces dernières sont arbitrairement attribuées par des sages. De plus, le langage est normé, encadré et réduit à sa plus pauvre expression. Les différences entre les individus sont systématiquement gommées, tout comme dans notre société qui vise de plus en plus à l’indistinction et à l’uniformisation. Encore une fois, les individus sont sous contrôle médicamenteux pour s’assurer de leur parfaite docilité. Cette société pratique aussi activement l’eugénisme, les nouveaux nés jugés trop faibles sont “élargis”, comprendre, purement et simplement froidement éliminés !

En matière de programmation prédictive, Vexilleun manga d’animation de science-fiction réalisé par Fumihiko Sori, sorti le 16 octobre 2007, est très troublant. L’histoire se déroule au Japon, en 2067. Voici une de ses scènes, ou le gouvernement japonais se sert d’une fausse pandémie pour tester des nanotechnologies expérimentales sur sa population. Mais il advient des effets secondaires imprévus et la conversion est imparfaite, ce qui a fait que les humains infectés perdent leur libre arbitre et deviennent comme des machines vivantes : «C’était il y a dix ans, juste après que le gouvernement ait commencé à mener sa politique isolationniste, un nouveau virus apparemment totalement inconnu à fait son apparition dans le centre de Tokyo. L’infection provoquait une forte fièvre et le taux de mortalité risquait d’être très important. On ne fut jamais informé de la nature du virus, ni même des modes de transmission de la maladie… Nous savions seulement qu’elle était hautement contagieuse et dans la plupart des cas, fatale. Avant même que le public ne puisse réagir, le gouvernement avait déclaré un état d’urgence sanitaire afin de lancer un programme de vaccination au “nom de notre protection”, disaient-ils. Et pour nous, ce fût le début de la fin. Cette histoire d’épidémie était une pure invention du gouvernement et le supposé vaccin qu’ils injectaient à tout le monde était en réalité un cyber virus développé par “Daiwa Industries”. Le virus affaiblit petit à petit les cellules de notre corps et provoque une mutation de leur structure moléculaire. Progressivement, les cellules deviennent biométaliques, et nous transforment au final en de vulgaires machines. Il n’y avait aucun moyen d’arrêter ce processus. Le pire c’est qu’ils continuent de développer leur virus. En fin de compte ce pays a servi de site expérimental, et nous avons été leurs rats de laboratoire. Le processus s’achève avec la prise de contrôle du système cérébral. Lorsqu’il fonctionnait, le virus progressait graduellement dans l’organisme jusqu’au cerveau. À ce moment-là, Daiwa récupérait un parfait Androïde. Cette dernière étape du processus est plus ou moins rapide selon les individus. Et ceux d’entre nous qui n’en sont pas encore là, s’accrochent tant bien que mal à leur dernière part d’humanité, enfin ce qu’il en reste… Cette technologie est loin d’être parfaite. Dans le meilleur des cas, nous devenons des Android sans conscience, ni souvenirs. En d’autres termes, nous ne sommes que de pauvres cobayes attendant de mourir.»

Évoquons aussi un autre dessin-animé pour enfant sorti en 2016 Hedgehogs qui dépeint une pandémie originaire d’Asie qui ne peut être stoppée qu’après l’administration d’un vaccin. Ce dernier est la seule solution sauver la population mondiale d’une épidémie de pandémie engendrée par de petits animaux. Dans une des scènes, qui anticipe de manière incroyable les images de 2020 de Wuhan, on peut voir des personnes en combinaisons biologiques en train de pulvériser un désinfectant dans une rue de la ville au début de l’épidémie. En raison de la peur de la pandémie, les gens sont obligés de porter des masques. Des scènes qui seront très familières quatre ans plus tard. Dans le film, le hérisson-vedette doit montrer un bon bilan de santé et ensuite être vacciné afin de réintégrer la société. Pour rendre les choses encore plus sinistres, on trouve aussi un super méchant ultra-riche qui prétend être un médecin et qui fait penser à un certain Bill Gates, affirmant qu’il veut seulement envoyer les animaux infectés dans un “refuge” pour les guérir, alors qu’en réalité il les envoie dans des camps d’extermination !



Mais l’Oscar du meilleur film d’anticipation devrait sans conteste être attribué à “Early Warning” sorti en 1981. Initialement passé totalement inaperçue, cette petite production se révèle d’une exactitude dépassant aujourd’hui l’entendement. Dans une scène, un homme à la tête d’une fondation secrète “One World”, dont le seul but est le contrôle du monde et dont le logo est formé par le chiffre 666, donne ses directives à une assemblée de représentants politiques nationaux, dont voici la teneur : «La crise énergétique ici aux États-Unis a été un succès ici et dans le monde entier. Et nous nous attendons un succès similaire avec notre pénurie alimentaire à venir. Nos dirigeants syndicaux ont fait de grands progrès en semant la confusion et en provoquant des arrêts de travail dans toutes les régions du monde. Financièrement, le dollar a été dévalué encore plus vite que ce que nous pouvions espérer. Politiquement, le public a perdu toute confiance dans toute forme de gouvernement. La menace d’une guerre universelle est une possibilité quotidienne. Comme vous le savez nous n’avons pas besoin d’occuper nous-mêmes les postes de direction visible. C’est une question de fait, il vaut mieux que nous ne le fassions pas. Nous contrôlons les finances, les médias d'information, l’alimentation, le transport, l’énergie… Nous contrôlons tout. Il est important quen tant que leaders mondiaux, vous fassiez passer notre programme avant celui de votre pays. Avec le fonctionnement de notre programme informatique de la Banque Mondiale, nous avons maintenant la capacité de contrôler les affaires financières de chaque être humain sur Terre, en donnant à chaque être humain son propre identifiant numérique. Chaque fois que son identifiant est utilisé, nous connaîtrons immédiatement sa situation financière. Il ne pourrait plus rien acheter ni vendre sans cet identifiant numérique. Cela simplifiera énormément leur mode de vie. Le résultat final sera un système monétaire et un Gouvernement Mondial unique que nous contrôlerons ensemble. Oui ? Qu’en est-il des personnes qui oublient leur numéro, ou dont la carte est perdue ou volée ? 

Nous avons prévu cela. En utilisant cette imprimante laser, nous pouvons imposer de manière indolore et permanente le numéro de la personne sur le dos de sa main ou sur son front si elle le souhaite. Les numéros seront facilement lus par ce nouvel équipement à balayage ultraviolet. En vue de la démonstration, je me suis fait imprimer un tel numéro (666). Une fois que ce numéro est imprimé, il ne peut être perdu ni modifié. Maintenant, il y a-t-il des questions ? Des personnes qui refusent l’implantation de ce numéro ? Nous nous attendons à une résistance mineure, en particulier des groupes religieux très motivés. Mais finalement la faim amènera même les plus zélés à se conformer à notre programme !»


Passons enfin  à “Greenland, le dernier refuge”, qui s’il n’est pas un film catastrophe révolutionnaire, a par contre été tourné en juin 2019 et possède dans son scénario trois détails pour le moins étonnants : le QR code à scanner sur smartphone pour embarquer sur avion, un bracelet bleu (exactement comme la SNCF le mettra en place quelques mois plus tard) que l’on ne te donne que si ton pass QR en ordre et enfin, le confinement ! À noter que le titre même de greenland évoque aussi le greenpass du pass sanitaire. L’anticipation est pour le moins brillante…

Décidément, l’art divinatoire des productions hollywoodiennes n’aura de cesse de nous surprendre…



Bill Gates, le roi des prophéties

«Nous devons nous préparer à une épidémie comme les militaires le font à une guerre.» – Bill Gates lors de la “Munich Security Conference” de  2017

Attardons-nous maintenant sur le cas de ce pseudo-philanthrope, mais redoutable homme d’affaires de Bill Gates. Il est décidément le roi des prophéties auto-réalisatrices, puisque ces dernières années, il a passé son temps à prévenir de l’imminence d’une possible pandémie, comme une grippe particulièrement virulente et redoutable pouvant emporter des millions de personnes. En 2018, tel un oracle, il annonçait : «Une pandémie mondiale est en cours. Un virus ingénieur est la plus grande menace pour les sciences humaines. Cela se produira dans la prochaine décennie.»

Aussi, il est extrêmement curieux, voire particulièrement douteux que Bill Gates ait coïncidence extraordinaire, participé le 18 octobre 2019 à New-York, par le biais de sa fondation “Bill & Melinda Gates” en partenariat avec le “Forum Économique Mondial” de Klaus Schwab et “l’Université John Hopkins” à une simulation, un événement appelé “l’Event-201”. Tout juste six semaines après, les premiers cas de coronavirus se déclaraient à Wuhan. L’Event-2O1 peut s’interpréter en Event 21, donc comme l’événement de l’année 2021, car le O au milieu du logo est en réalité le symbole de la terre. Relevons au passage qu’exactement le même jour, et presque à la même heure, avait lieu, synchronicité extraordinaire, la cérémonie d’ouverture des “VIIᵉ Jeux mondiaux militaires d’été” dans la ville de Wuhan. Certains journalistes ont émis l’hypothèse que ces jeux mondiaux pourraient être une des sources de diffusion mondiale du Sars-CoV 2 responsable de la pandémie de COVID-19. De nombreux témoignages d’athlètes tombés malades vont tout à fait dans ce sens. Ce qui pourrait aussi expliquer la rapidité très curieuse à laquelle la maladie s’est propagé à travers le monde, puisque les différentes délégations de sportifs ont pu ramener le virus dans leurs pays respectifs. l’Event-201 était une simulation autour d’une pandémie fictive de Coronavirus, se soldant par la bagatelle de 65 millions de morts ! 

Parmi les participants à cet événement, on ne pourra que s’étonner de trouver autant de profils  qui n’ont strictement rien à voir avec le domaine de la santé, que ce soit de près ou de loin… Furent ainsi impliqués quinze entreprises mondiales, d’anciens hauts fonctionnaires de la CIA, comme Avril Haines et du Pentagone, le gouvernement et les dirigeants de la santé publique. Dans les autres profils curieux conviés à cette simulation, on peut relever la présence d’un certain Matthew Harrington, le directeur général d’Edelman, une société experte en relations publiques et en relations presse pour les multinationales, mais aussi spécialisée dans la réparation des réputations. Autrement dit, dans la propagande. Il est à relever que les principaux acteurs de cette simulation eurent un rôle de premier plan lors de la réelle pandémie quelques mois plus tard, de Bill Gates à Anthony Fauci, en passant par Klaus SchwabCette simulation mettait en lumière la politique du monde, les problèmes économiques, les investissements financiers. Chose étonnante, elle faisait aussi la part belle à une redoutable épidémie de “Fake News” qu’il faudrait combattre et juguler à tout prix, car elles saperaient les efforts pour contrôler la pandémie. Dans cette lutte, cette guerre de l’information, il est donc préconisé de contrôler les informations au niveau gouvernemental, éditorial et si nécessaire, de couper les flux d’informations. On a vu à quel point ce thème a été poussé dans les médias depuis le début de l’épidémie de COVID-19. Lesdites fausses nouvelles étant toutes les informations n’allant pas dans le sens du narratif officiel poussé par ces mêmes organismes, autrement dit, on l’aura compris, bien souvent des informations émanant d’experts indépendants échappant à leur contrôle et à leur corruption… À noter que dans cette mise en scène, les symptômes qui furent décrits pour cette maladie furent très similaires à ceux qui seront provoqués par le COVID-19, à savoir, une simple toux, des symptômes proches de la grippe, puis une sévère pneumonie. Dans le modèle de cette simulation, le virus, appelé CAPS pour l’occasion, provoquait une crise économique mondiale massive. Soit la formulation dun scénario tout à fait inédit dans lhistoire jusqu’alors. Étonnant comme hypothèse de travail, tout de même… Ils évoquèrent aussi une tempête économique, qui pourrait durer une décennie. Dans le script de cette simulation, il est précisé que : «Une chauve-souris transmet le virus aux animaux, qui va déclencher une pandémie avec des millions de morts. Suite à quoi s’enclenche une crise économique d’une ampleur mondiale… » Dans un communiqué de presse de “l’Event-201”, il est précisé que : «La prochaine pandémie grave ne provoquera pas seulement de grandes maladies et des pertes de vies humaines, mais pourrait également avoir des conséquences économiques et sociétales en cascade qui pourraient contribuer grandement à l’impact et à la souffrance au niveau mondial. Les efforts visant à prévenir de telles conséquences ou à y répondre au fur et à mesure de leur apparition nécessiteront des niveaux de collaboration sans précédent entre les gouvernements, les organisations internationales et le secteur privé.» Or, comme chacun le sait, tout juste cinq mois après cet exercice, une véritable épidémie de Coronavirus se déclarerait depuis le site de Wuhan en Chine.

Robert Kennedy Jr. déclare au sujet de ces simulations : «Ils font venir des militaires, des agents du renseignement, de la CIA et de l’industrie pharmaceutique, des gens des médias et des médias sociaux, des spécialistes des relations publiques. Et ils s’entraînent, ils font un exercice sur la façon d’utiliser une pandémie pour imposer des contrôles totalitaires avec masquage, verrouillages forcés et comment briser une société. Il y a toutes ces techniques de guerre psychologique qui ont été développées par la CIA. Comment provoquer le chaos dans une société, avec une démoralisation totale, comment paralyser une société, jusqu’à leur faire prier pour un leader puissant. En fait comment imposer le syndrome de Stockholm, avec des otages, mettre toute la société en résidence surveillée, et ensuite induire ce sentiment de dépendance et de gratitude envers vos ravisseurs, qui fait que vous croyez que votre seul moyen de vous en sortir est d’obéir à ces derniers, de faire ce qu’on vous dit de faire et de vous faire vacciner. C’était délibéré. Si vous regardez les transcriptions de chacune de ces simulations. Il y a eu des exercices de simulation et il y a eu une formation pour les personnes qui ont pris part à l’Event-201, où on leur a appris comment fondamentalement violer la constitution, et faire toutes ces choses que normalement un fonctionnaire ne ferait pas, comme leur apprendre comment briser une société démocratique. Et les personnes qui ont pris part à ces événements, si vous regardez ce qui leur est arrivé, ce sont celles qui depuis le début de la pandémie de Covid-19, ont été déplacées à des postes clés de pouvoir» 

La même année que cette simulation, Bill Gates déclarait aussi dans un Tweet du 19 décembre 2019 : «Je suis particulièrement enthousiasmé par ce que l’année prochaine pourrait être pour l’une des meilleures années d’achats concernant la santé mondiale : les vaccins.»

Et pour l’année 2021, succédant à “l’Event-201”, le Forum Économique Mondial” est cette fois-ci engagé dans une nouvelle grande simulation : le Cyber Polygon. Cet événement, qui se déroulera le 09 juillet 2021, a eu le droit à une bande-annonce digne d’un film hollywoodien sur leur site. Cette fois-ci, il est question d’une cyberattaque d’une ampleur inédite, capable de paralyser tous les grands secteurs stratégiques comme le réseau électrique, de mettre le système bancaire à l’arrêt avec les distributeurs en panne et d’entraîner une rupture des chaines d’approvisionnement alimentaire. Cet événement fait partie de la plateforme du centre pour la cybersécurité du “Forum Économique Mondial”. Parmi ses partenaires on retrouve la Banque Centender, la multinationale IBM (qui avait marqué les prisonniers des camps de concentration pendant la Seconde Guerre Mondiale, à l’aide d’une technologie de cartes perforées), Interpol, l’ICANN (Internet Corporation for Assigned Names and Numbers), la société de services financiers VISA, et 120 pays participants. Espérons que cette simulation ne donnera pas lieu à une vraie crise, étant donné que leurs tests ont la fâcheuse tendance à se produire dans le réel peu de temps après. Après la pandémie dans le monde physique, c’est une pandémie dans le monde numérique à laquelle on peut donc s’attendre. Cette situation qui a le potentiel pour générer un niveau de chaos inédit, serait le prétexte idéal pour imposer par la suite une identité numérique coupant tous les citoyens de leur anonymat sur Internet sur lequel s’appuiera le crédit social. Le 8 juillet 2020, Klaus Schwab déclarait  que «la crise du COVID-19 est, en comparaison, une petite perturbation par rapport à une cyberattaque grave. […] Le Covid n’est rien par rapport à la prochaine cyberattaque planétaire que nous allons subir très prochainement… Elle parturbera toutes nos chaînes d’approvisionnement, nos hôpitaux, tout l’ensemble de nos sociétés !» Pour lui, la crise sanitaire reste «un coup de semonce opportun devant inciter la communauté de la cybersécurité à se préparer à une potentielle cyberpandémie.»



Mais ce n’est pas tout, car Bill Gates intervenait aussi dans une vidéo sur Netflix, dans la série “Explained”, dont le scénario se déroulait précisément dans un marché chinois, où des animaux étaient entassés et un virus hautement mortel propagé dans le monde entier. Gates apparaissait comme expert dans la vidéo pour lancer, tel un oracle de malheur, ce sinistre avertissement à l’humanité : «Si vous pensez à quelque chose qui pourrait tuer des millions de personnes, une pandémie est notre plus grand risque !» Toujours aussi prévoyant, dès novembre 2019, Bill Gates avait fait déposer un brevet pour un futur vaccin contre un coronavirus, utilisable sur l’homme. Un vrai visionnaire, il avait véritablement pensé à tout. Autre fait troublant, Bill Gates a annoncé la pandémie du coronavirus dix jours avant l’OMS, le 28 février 2020.

En tous les cas, le moins que l’on puisse dire, c’est que Gates a l’air particulièrement à son aise avec toute cette pandémie de la COVID-19…  Dans plusieurs interviews, il semble même prendre un certain plaisir à la situation, comme si en réalité, il en tirait bénéfice… On peut notamment le voir afficher un grand sourire bien malsain en évoquant l’arrivée d’une prochaine seconde vague «qui sera remarquée !» Une attitude résolument choquante et parfaitement indécente, digne d’un sociopathe, en complet décalage avec la teneur dramatique des événements et avec la situation de grande détresse et de souffrance engendrée par toute cette crise… Dans une autre séquence fort troublante, tirée d’une de ses conférences, on peut voir Bill Gates débordant d’enthousiasme en évoquant l’inoculation d’OGM chez les enfants, tout en mimant avec jubilation le geste de la piqûre pénétrant dans le bras «Vous savez, nous prenons des Organismes Génétiquement Modifiés et nous les injectons dans le bras des petits enfants et on les pique directement dans la veine.»


Nous n’en avons même pas encore terminé avec cette pseudo “plandémie” que Bill Gates annonce la suite du programme et prévient de l’émergence de nouveaux virus, de nouvelles pandémies à venir, de nouveaux vrais faux virus, une banalisation des injections fréquentes : «Pour la prochaine pandémie, nous aurons de gigantesques usines d’ARN messager en Inde».

Par ailleurs, il faut également savoir que Gates est aussi un fervent promoteur de cette “Gouvernance Mondiale”, comme il le déclarait sans ambiguïtés en 2015 : «Compte-tenu des problèmes urgents dans le monde, un Gouvernement Mondial est un mal nécessaire.» Gates, serait-il en fait une sorte de porte d’entrée vers ce “Nouvel Ordre Mondial”, ce nouveau système d’exploitation, mais de nature esclavagiste, tout comme son logiciel Windows fût une fenêtre ouverte sur notre vie privée ?


Certains ont vraiment de la suite dans les idées !

Dès 2010, le journaliste et spécialiste des relations internationales, Alexandre Adler dans son essai “Le nouveau rapport de la CIA”, une vision prospective pour l’année 2025, évoquait de manière visionnaire la survenue en Chine d’une pandémie de Coronavirus, une maladie respiratoire entraînant des dizaines de millions de morts en occident.

Par ailleurs, autre coïncidence extraordinaire à relever,  on peut retrouver dans le numéro de février 1997 du magazine politique “George”, qui avait pour thématique “Guide de survie pour le futur”, un article prophétique rédigé de la main du Dr. Arno Karlen. Ce dernier, 23 ans avant la présente épidémie, anticipait avec une stupéfiante précision la situation sanitaire actuelle du COVID-19. Il parlait alors pour l’année 2020, de la survenue de virus respiratoires. L’article envisageait ainsi comme «Pire des scénarios. Une planète surpeuplée, étouffée à mort par des virus s’attaquant aux poumons.» L’article brandit le spectre d’une épidémie mondiale avec l’apparition d’un nouveau rétrovirus, d’une grippe tueuse, ou d’un virus type Ebola devenu incontrôlable. À noter qu’en plus, on retrouve dans ce même numéro une interview de Bill Gates qui parle de Murdoch, d’argent et de domination du monde… Bill Gates aurait-il été profondément influencé par la vision du monde et du futur développée par Arno Karlen ? Ce numéro de “George” décidément bien étonnant à la lumière de notre actualité, finit par un mot de l’éditeur et créateur de cette revue, John Kennedy Jr, : «Nous espérons que vous avez apprécié la perspective de “George” sur le futur. Pourquoi ne pas mettre ce magazine dans un endroit sécurisé, et le ressortir dans 20 ans ? Pour paraphraser un excellent homme anglais : il ne vous apportera peut-être pas ce que vous voulez, mais vous risquez bien de vous rendre compte qu’il vous apportera ce dont vous avez besoin.»

Autre fait pour le moins troublant, dès 2017, l’immunologue conseiller fédéral en maladies infectieuses qui a un rôle de premier plan dans cette pandémie, Anthony Fauci avait annoncé de manière étonnamment visionnaire la survenue d’une épidémie sous le mandat de Donald TrumpC’est ainsi qu’à quelques jours de son investiture, le 11 janvier 2017, il déclarait aux côtés du Président américain, avec une mystérieuse et prophétique conviction que, je cite: «L’histoire des 32 dernières années pendant lesquelles j’ai été directeur du NIAID m’a appris beaucoup je peux vous dire que la prochaine administration sera confrontée sans aucun doute à une épidémie surprise de maladies infectieuses.» Une bien curieuse prémonitionFauci à l’instar de Jacques Attali, serait-il lui aussi doté d’une boule de cristal ?

On peut aussi relever qu’en 2018, le Maire du Havre, Édouard Philippe, a lui aussi lors d’un entretien pour un documentaire qui lui est consacré, prophétisé de manière fort troublante l’arrivée prochaine d’un virus«Je me dis, peut-être que dans cinq ans, on me reprochera de ne pas avoir augmenté les efforts dans la recherche médicale, parce qu’il y aurait un virus qu’on n’a pas vu venir, tu vois ?»


Et que penser de la conférence dispensée en janvier 2019 par le virologue et neurologue Marc Van Ranst, qui conseille depuis des années le gouvernement belge en matière de pandémies. Dans cette intervention filmée, il expose quel est le “plan pandémie” que ces experts devraient idéalement mettre en œuvre pour mener à bien la vaccination massive de la population. Cette conférence surréaliste et ultra-cynique dévoile la formule du succès pour vendre une pandémie à l’opinion publique, comme s’il s’agissait d’un paquet de lessive et n’est pas sans rappeler la propagande marketing d’Edward Bernays, le père des relations publiques. Elle se déroule au cœur du “Chatham House”, un des “Think Tanks” les plus influents au monde. Cette puissante institution au service des multinationales est en partie financée par la “Fondation Gates”. Le scénario proposé ressemble étrangement à ce que nous vivons actuellement. Voici les ingrédients pour mener à bien cette campagne de conditionnement des masses :  

  1. Être omniprésent les premiers jours pour attirer l’attention des médias et déclarer que notre pays est prêt pour la pandémie, afin d’obtenir une couverture complète du terrain pour qu’ils n’aillent pas chercher de voix alternatives.

  2. Prédire l’arrivée de futurs cas et morts inévitables pour préparer le public, en donnant le sentiment dans la population que l’approche est raisonnable, mais que l’on se prépare à des scénarios plus sévères. Bien que ce soit classique, car il y a des morts de la grippe chaque année, le simple fait d’en parler commence à susciter l’inquiétude.
     
  3. Faire en sorte que la population trouve que le gouvernement n’en fait pas assez.

  4. Rendre la vaccination désirable en définissant des groupes prioritaires.


À cela, on peut ajouter une information particulièrement troublante qui fut rapportée sur le plateau de Cnews avec Jean-Marc Morandini par l’avocat Maître Carlo Alberto Brusa : les laboratoires “Pfizer” et “BioNTech” auraient commandé leurs flacons, il y a plus d’un an, soit avant même que la pandémie ne se déclare à Wuhan ! Le service du renseignement allemand, le “Bundes Narichten Dienst”, a entendu les patrons du verrier “Schott AG” qui fabrique les flacons de ces vaccins, dont il a perquisitionné le siège et l’usine de Mayence. Il est le leader mondial dans la fabrication de verre en borosilicate, ultra-résistant aux très grandes et très basses températures. Pourquoi cette perquisition ? Parce que dès le 2 novembre 2019, “Pfizer” et “BioNTech”, ont commandé deux fois 800 millions de flacons pour des vaccins résistants à une température de moins 100 degrés, une température jamais utilisée à ce jour pour cette application ! Il est donc manifeste que ces deux laboratoires savaient à l’avance ce qui se tramait… Deux jours plus tard, Agnès Buzyn faisait interdire les prescriptions de l’“Hydroxychloroquine”…

Au niveau de “Moderna”, on peut relever une autre très grosse anomalie dans leur présentation des choses. En effet, dans l’historique des phases de l’élaboration de leur vaccin à ARN messager qui est présenté officiellement sur leur site, “Moderna” précise que les autorités chinoises leur auraient fourni la séquence génétique du virus le 11 janvier 2020. Ce qui relève d’un pur mensonge, puisqu’en juillet de la même année, le secrétaire d’État Mike Pompeo de l’administration Trump se plaignait de l’attitude totalement opaque et fermée du Parti communiste chinois qui n’aurait pas partagé l’échantillon de virus avec le monde extérieur ce qui rendrait impossible suivi de l’évolution de la maladie. Pompeo avait aussi alors affirmé : «Ils ont détruit des échantillons, ils ont emprisonné des journalistes des médecins qui étaient prêts à en parler.» Sans doute “Moderna” a jugé bon d’insérer ce mensonge pour justifier le délai de création extrêmement court du vaccin.

De plus, il est à relever que Stéphane Bancel, l’ancien directeur général de bioMérieux(fondé par Alain Mérieux, ami personnel de Xi Jinping qui a aidé à construire le labo P4 à Wuhan) et actuel directeur général de “Moderna”, a en 2017 déposé via sa société un brevet qui ressemble étrangement à la version actuelle du Sars-CoV 2. Le site d’insertion de la Furine sur ce brevet de “Moderna” de 2017 correspond exactement à celui du Sars-CoV 2, avec une probabilité de 0.03% ! Il en est de même pour un brevet CureVac, mais ce qui est encore plus rare qu’un FCS (Furin Cleavage Site) à 0.03% de probabilité, c’est que le brevet a été déposé par le fondateur Stéphane Bancel lui-même en tant que “lead author”, c’est sans doute unique dans l’histoire.

Autre anticipation fort curieuse à noter : en février 2019, soit tout juste dix mois avant que la COVID-19 ne vienne frapper les États-Unis, la FDA, les CDC et la CMS ont mis en place un groupe de travail pour faciliter la disponibilité rapide de tests de diagnostic pour les urgences de santé publique, comme s’ils s’attendaient à la survenue d’une prochaine pandémie de grande ampleur. C’était la toute première fois qu’un tel événement avait lieu.

Autre fait particulièrement troublant : le lundi 9 juillet 2018, le président de la République, Emmanuel Macron recevait les membres du Dolder Club, c’est-à-dire les vingt-cinq patrons des plus importantes entreprises pharmaceutiques mondiales. Cette rencontre ne figurait pas dans l’agenda officiel de l’Élysée. Aucun compte-rendu de ces discussions ultra-confidentielles n’apparaissait sur le site officiel de la présidence de la République. Car, plus encore que le “Groupe Bilderberg”, ce “Dolder Club” ne possède pas de site internet, nulle mention n’en est faite sur le site de l’IFPMA, la Fédération Internationale des Fabricants Pharmaceutiques qui en est pourtant l’organisatrice, nulle mention non plus dans les agendas des divers participants. L’AFP a cependant pu se procurer la liste des participants de cette cession du “Dolder Club” qui comptait Jaquin Duato, le dirigeant de Johnson and Johnson, Kenneth Frazier, PDG de Merck and Co, Lars Fruergaard Jorgensen du laboratoire “Navo Nordisk”, Pascal Soriot PDG de “AstraZeneca”, Christophe Weber le directeur français de Tadeka

On peut aussi évoquer l’un des documents de travail de la “Fondation Rockefeller” et le Global Business Network daté de mai 2010. La fondation prévoyait comment une pandémie de virus transmise à l’homme par des oies sauvages, pouvait être utilisée pour jeter les bases d’un pouvoir autoritaire mondial. Le document s’intitulait Scénarios pour l’avenir de la technologie et du développement international. L’un des scénarios dont il était alors question était intitulé “Lock Step”, pour étape de verrouillage. Il décrivait un monde où le gouvernement exercerait un contrôle total et un leadership autoritaire. Il envisageait un avenir où une pandémie permettrait l’instauration et l’imposition de nouvelles règles d’exception sécuritaires et liberticides qu’il s’agirait de maintenir et de pérenniser dans le temps. Parmi les éléments hautement prédictifs de ce rapport, on peut signaler l’arrêt général de l’économie, le transport aérien en berne, l’importance de la télévision dans la communication, le port du masque ou les contrôles de température à l’entrée des magasins. Un scénario qui laisse véritablement songeur et qui ressemble en tout point à celui que nous sommes en train de vivre avec l’actuelle pandémie de coronavirus !

Voici une traduction des passages les plus troublants de ce rapport : «La pandémie a eu un effet mortel sur les économies, la mobilité internationale des personnes et des marchandises a été stoppée, affaiblissant des industries comme le tourisme et brisant les chaînes d’approvisionnement mondiales. Même localement, des magasins et des immeubles de bureaux normalement animés sont restés vides pendant des mois, dépourvus d’employés et de clients. […] Cependant, quelques pays s’en sont mieux tirés — la Chine en particulier. L’imposition et l’application rapides par le gouvernement chinois d’une quarantaine obligatoire pour tous les citoyens, ainsi que son scellement instantané et quasi hermétique de toutes les frontières, ont sauvé des millions de vies, stoppant la propagation du virus bien plus tôt que dans d’autres pays et permettant un relèvement post-pandémique. […] Le gouvernement chinois n’était pas le seul à prendre des mesures extrêmes pour protéger ses citoyens contre les risques et l’exposition. Pendant la pandémie, les dirigeants nationaux du monde entier ont fait preuve d’autorité et ont imposé des règles et des restrictions hermétiques, du port obligatoire de masques faciaux aux contrôles de la température corporelle aux entrées et aux espaces communs comme les gares et les supermarchés. Même après la disparition de la pandémie, ce contrôle et cette surveillance plus autoritaires des citoyens et de leurs activités sont restés stables et même intensifiés. Afin de se protéger de la propagation de problèmes de plus en plus mondiaux — des pandémies et du terrorisme transnational aux crises environnementales et à la montée de la pauvreté — les dirigeants du monde entier ont pris une emprise plus ferme sur le pouvoir. […] Au début, la notion d’un monde plus contrôlé a été largement acceptée et approuvée. Les citoyens ont volontairement abandonné une partie de leur souveraineté — et de leur vie privée — à des États plus paternalistes en échange d’une plus grande sécurité et stabilité. Les citoyens étaient plus tolérants, et même désireux, pour une direction et une surveillance du haut vers le bas, et les dirigeants nationaux avaient plus de latitude pour imposer l’ordre de la manière qu’ils jugeaient appropriée. Dans les pays développés, cette surveillance accrue a pris de nombreuses formes: des identifiants biométriques pour tous les citoyens, par exemple, et une réglementation plus stricte des industries clés dont la stabilité était jugée vitale pour les intérêts nationaux. Dans de nombreux pays développés, une coopération renforcée avec une série de nouveaux règlements et accords a lentement mais régulièrement rétabli l’ordre et, surtout, la croissance économique.»

Exhumons au passage un autre document émanant de cette “Fondation Rockefeller” et qui est une nouvelle confirmation de l’esprit profondément eugéniste et malthusien qui anime depuis toujours cette famille. Il s’agit de son rapport annuel de 1968, où dans un chapitre intitulé “Vérités pour le futur”la “Fondation Rockefeller” a fait part  de son regret que, je cite : «peu de travaux sont en cours sur les méthodes immunologiques, telles que les vaccins, pour réduire la fertilité, et beaucoup plus de recherches sont nécessaires pour trouver une solution.» Toujours selon ce rapport, la possibilité d’utiliser des vaccins pour réduire la fertilité masculine devrait être étudiée plus avant, car la pilule orale et le DIU ne convenaient pas à une distribution de masse.

Et maintenant que la pandémie anticipée est bel et bien là, la même “Fondation Rockefeller” a édité un second manuel, “National COVID-19 Testing Action Plan, Pragmatic step to reopen our workplace and out communities” pour la mise en œuvre du contrôle global des populations à proprement parler avec l’implémentation de systèmes de contrôle visant à sortir de cette pandémie. D’après ce document, ce n’est que lorsque tous les réseaux de contrôle requis seront en place que le monde pourra s’ouvrir à nouveau.

Selon leur “Scénario du futur”, la population mondiale entière devrait obtenir une “identification numérique” indiquant qui a reçu tous les vaccins. Sans vaccinations suffisantes, l’accès aux écoles, aux concerts, aux églises, aux transports publics, etc. serait refusé.

Quant à David Rockefeller, qui était alors à la tête de cette fondation dite philanthropique, voici ce qu’il déclarait en 1991 à Baden Baden au “Groupe Bilderberg”, dont il est un des membres-fondateurs : «Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, au magazine “Time”, et aux autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos réunions et respecté leurs promesses de discrétion depuis presque quarante ans. Il aurait été pour nous impossible de développer notre projet pour le monde si nous avions été exposés aux lumières de la publicité durant ces années. Mais le monde est aujourd’hui plus sophistiqué et préparé à l’entrée dans un Gouvernement Mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est assurément préférable à l’autodétermination nationale des siècles passés.»

Tandis que dans son autobiographie, “Mémoires”, David Rockefeller avoue même, avec une morgue et une arrogance certaine : «Quelques-uns croient même que nous (la famille Rockefeller) faisons partie d’une cabale secrète travaillant contre les meilleurs intérêts des États-Unis, caractérisant ma famille et moi en tant qu’internationalistes et conspirant avec d’autres autour de la Terre pour construire une politique globale ainsi qu’une structure économique plus intégrée – un seul monde si vous voulez. Si cela est l’accusation, je suis coupable et fier de l’être !»

Il affirmait aussi dans ce même livre que : «Nous sommes à la veille d’une transformation globale. Tout ce dont nous avons besoin est la bonne crise majeure, et les nations vont accepter le Nouvel Ordre Mondial.»

Avouez qu’on peut difficilement faire plus clair !

Le congressiste américain Lawrence Patton MacDonald affirmait de son côté que «Le but des Rockefeller et de leurs alliés est de créer un Gouvernement Mondial unique combinant le Super-capitalisme et le Communisme sous la même bannière, et sous leur contrôle. […] Est-ce que j’entends par là une conspiration ? Oui, en effet. Je suis convaincu qu’il y a un tel complot, d’envergure internationale, en planification depuis plusieurs générations, et de nature incroyablement maléfique.»


Vers un Gouvernement Mondial ?

«L’âge des nations doit prendre fin ! Les souverainetés des gouvernements doivent être amenées sous un seul gouvernement auquel ils doivent abandonner leurs armes !» – Décret des Nations Unies, 1992

«Pour mettre en place un gouvernement mondial, il est nécessaire de retirer des esprits leur individualisme, leur loyauté envers les traditions familiales, leur patriotisme national, et leurs dogmes religieux.» – George Brock Chisholm, premier directeur général de l’Organisation Mondiale de la Santé

«Nous verrons bien à quoi va ressembler le traçage de contact dans le Nouvel Ordre Mondial.»Kerry Chant, directeur de la santé publique en Australie en 2021

«D’innombrables personnes détesteront le nouvel ordre mondial et mourront en protestant contre lui.» – H.G. Wells dans son livre de 1939 “The New World Order”

« D’ici 2020, il y aura un nouvel ordre mondial.» – Ray Kurzweil en 1999

«Nous avons une écologique mondiale et nous avons une économie mondiale et, mais nous avons des politiques nationales… Vous avec deux solutions pour ce déséquilibre, soit de mondialiser l’économie pour revenir à une économie nationale, ou mondialisé le système politique mondial.» – Yuval Noah Harari

Les médias n’hésitent pas à parler de “Théorie du Complot” concernant tout ce projet de “Gouvernance Mondiale”, alors qu’on retrouve sans cesse cette thématique revenir, comme un véritable leitmotiv obsessionnel dans la bouche des puissants de ce monde, d’acteurs de premier plan, chez tant de présidents, de Papes, de grands industriels, de grands banquiers, d’influents intellectuels et écrivains, j’en passe et des meilleurs. Tous ces illustres individus qui président aux destinées du monde ne seraient-ils, eux aussi, qu’une simple bande d’illuminés, de complotistes fous et paranoïaques ?

On retrouve ce projet de “Gouvernance Mondiale” sous différentes dénominations, qui englobent la même réalité comme, “Village Global”, “Village Planétaire”, “Village Universel”, “Nouvel Ordre Mondial” ou “International”, “Gouvernance Mondiale”, “République Universelle”, “État Fédéral Mondial”, “Maison Commune”, etc.

Voici quelques citations qui démontrent que ce projet est bien une réalité :

Commençons par cette citation de José Manuel Durão Barroso, le 21 octobre 2008 au Parlement européen : «Nous vivons effectivement un moment historique. Le genre d’occasion où la crise remet en question toutes les certitudes et les esprits sont plus ouverts au changement. Ce sont des moments extraordinaires et qui n’arrivent pas tous les jours. Nous devons comprendre qu’il s’agit vraiment d’un de ces moments où il y a une plus grande plasticité qui fait que nous pouvons effectuer un vrai changement.» […] «Aujourd’hui, l’Europe peut proposer les principes et les règles qui modèleront un “Nouvel Ordre Mondial”», ou encore cette autre citation du même individu lors d’un discours pour l’attribution du Prix Nobel de la Paix à l’Union européenne en 2012 : «Les nations souveraines du passé ne peuvent plus résoudre les problèmes du présent. Et la communauté elle-même n’est qu’une étape vers le monde organisé du futur. Cette vision fédéraliste et cosmopolitaine est l’une des plus importantes contributions que vous pouvez apporter à un Ordre Global en cours de réalisation.»

N’oublions pas non plus les stupéfiantes déclarations passées d’un certain chef de l’État, Nicolas Sarkozy le 16 janvier 2009, lors de vœux prononcés devant des corps diplomatiques étrangers : «Nous irons ensemble vers le “Nouvel Ordre Mondial”, et personne, je dis bien personne ne pourra s’y opposer. […] La Gouvernance Internationale ne tend à être efficace que lorsqu’elle est antidémocratique Désormais, à la lumière des événements actuels, on comprend mieux pourquoi personne ne pourra s’y opposer…

Emmanuel Macron de son côté, le 26 septembre 2018, lors d’un discours prononcé à La Tribune de l’Assemblée générale des Nations-unies à New-York, a rappelé la nécessité de s’attaquer aux causes réelles des déséquilibres mondiaux que sont les inégalités pour pouvoir bâtir un “Nouvel Ordre Mondial”.

Le 6 avril 2020, Jean-Yves Le Drian, le Ministre des Affaires étrangères, déclarait sur BFMTV : «Ce qu’il faut éviter, c’est qu’après la crise, on considère que nous avons vécu une parenthèse et qu’après la crise, l’on soit victime d’amnésie et que tout reparte comme avant. Ça, ce n’est pas possible ! En fait, on compare souvent la grave crise de la Guerre 39-45 et puis maintenant la nouvelle crise cette fois pandémique que nous vivons. Après la guerre, les états ont décidé de s’unir, de créer des outils pour éviter un nouveau conflit mondial. C’est à ce moment-là qu’on a créé les “Nations unies”, on a même créé “l’Organisation Mondiale de la Santé”, c’est à ce moment-là qu’on a lancé ce mot de multilatéralisme, les états qui se mettent ensemble pour un “Nouvel Ordre Mondial”, et on a un peu oublié cette période, et ces outils-là ce sont un peu dégradés au cours des dernières années et je pense que cette pandémie doit permettre un sursaut, doit permettre de revisiter, de refonder la relation que les états ont entre eux face à un nouveau danger et de nouvelles menaces, de nouveaux enjeux, de nouveaux défis que sont les biens publics mondiaux au cœur desquels il y a la santé et le climat. Et si la communauté internationale ne prend pas en considération cette nouvelle donne, alors oui, elle aura raté cette période et on n’aura pas tiré les leçons de cette pandémie.»

Javier Solana en 2010, lors d’un discours à l’école supérieure d’administration et de direction d’entreprise affirmait que «L’Europe peut et doit être, si vous me permettez l’expression, une sorte de laboratoire de ce que pourrait être un Gouvernement Mondial

De même, le 24 juin 2020, le ministre sénégalais des affaires étrangères, Amadou Ba, a aussi estimé que : «La crise provoquée par la pandémie de COVID-19 impose un repositionnement stratégique de l’Afrique au cœur des relations internationales. Le coronavirus impose une reconfiguration des relations internationales. Frappé de plein fouet par la pandémie, le monde doit redéfinir ses priorités et renégocier le pacte qui prévalait depuis plusieurs décennies. Ce “Nouvel Ordre Mondial”, qui postule un repositionnement de l’Afrique au cœur des relations internationales n’est pas seulement légitime : il est impératif.»

Le Pape François appelle lui aussi à une “Gouvernance Mondiale” et à des “vaccins universels” dans une lettre adressée à un sommet financier mondialiste : «Il reste urgent d’élaborer un plan mondial capable de créer de nouvelles institutions ou de régénérer les institutions existantes, en particulier celles de la Gouvernance Mondiale, et d’aider à construire un nouveau réseau de relations internationales pour faire progresser le développement humain intégral de tous les peuples.»

Ou bien encore les déclarations de Robert Muller, l’ancien assistant au secrétaire général de l’ONU : «Dès que possible, nous devons arriver à élaborer un Gouvernement Mondial et une religion mondiale, dirigée par un leader mondial

On peut aussi citer les propos du journaliste et auteur américain, William F. Jasper qui dans son essai Global Tyrany… Step by Step affirme que : «Le Gouvernement Mondial est inévitable. Il verra le jour sous une de ces deux formes : soit comme Empire mondial, avec esclavage de masse imposé par les vainqueurs d’une troisième guerre mondiale, soit sous la forme d’une République fédérale mondiale instaurée par une intégration graduelle dans les Nations unies.»

On peut aussi citer en 1975, cette déclaration de Saul H. Mendlowitz, le directeur du “Projet de Modèle pour un Ordre Mondial” et membre du CFR, le “Council on Foreign Relations” : «La question de savoir s’il y aura ou non un Gouvernement Mondial d’ici l’an 2000 ne se pose plus. À mon avis, les questions que nous devons (par contre) nous poser sont : Comment ceci se passera-t-il ? Par un cataclysme, un mouvement, un projet plus ou moins rationnel et ce gouvernement sera-t-il à caractère totalitaire, bénévolement élitiste ou participatif.»

Ou bien encore le franc-maçon Charles Riandey, qui dans la revue Le Temple affirmait : «La nécessité d’une organisation totalitaire du monde, d’où toute notion de primauté d’une nation sera exclue, n’en subsiste pas moins. Elle se réalisera inéluctablement, à son heure qui n’est pas encore venue et qu’il ne servirait à rien de vouloir avancer, car il ne faut cueillir que les fruits mûrs […] Par quel moyen cette autorité d’un agent unique s’imposera-t-elle ? Probablement par la guerre, par une troisième et – espérons-le – dernière convulsion mondiale, car l’humanité est condamnée, comme tout ce qui vit, à enfanter dans la douleur et dans le sang…»

Ou encore, Jammes Garrison en 1995 : «Nous allons finir avec un Gouvernement Mondial. C’est inévitable […] Il y aura des conflits, des coercitions et des consensus. Tout ceci fait partie de ce qui sera nécessaire pour donner naissance à la première civilisation globale.»

«La menace de la crise environnementale et ses désastres internationaux est la clé pour débloquer le Nouvel Ordre Mondial.» Mikhaïl Gorbatchev

Cette obsession des puissants pour la mise en place de cette “Gouvernance Mondiale” ne date pas d’hier, puisque déjà en 1950, le banquier Paul Warburg affirmait avec la plus grande détermination : «Nous aurons un Gouvernement Mondial, que cela plaise ou non. La seule question est de savoir s’il sera créé par conquête, ou par consentement.»

L’historien et universitaire Caroll Quigley écrivit dans son livre Tragédie et Espoir que la plus puissante banque au monde, la BRI, ou la Banque des Règlements Internationaux qui appartient à quelques puissantes familles, dont celles des Rothschild, Rockefeller, Warbourg, Astor, Dupont, de la maison de Windsor et de la famille royale néerlandaise fait partie d’un plan en vu de : «Créer un système mondial de contrôle financier dans les mains privées et capable de dominer le système politique de chaque pays et l’économie du monde entier dans son entièreté. Un contrôle s’exerçant de manière féodale par des banques centrales du monde agissant de concert à travers des accords secrets.»

Rappelons-nous enfin de la surréaliste citation du gourou du New AgeDavid Spangler, le directeur de l’Initiative Planétaire, un projet des Nations Unies qui affirmait que : «Personne n’entrera dans le Nouvel Ordre Mondial, à moins qu’il ou elle ne fasse le serment de vénérer Satan. Personne ne fera partie du Nouvel Age sans recevoir une initiation Luciférienne !» Dans son livre “Reflections on the Christ”, il affirme aussi que : «Lucifer vient nous faire le dernier cadeau de la plénitude. Si nous l’acceptons, alors il est libre et nous sommes libres. C’est l’initiation luciférienne. C’est un problème auquel beaucoup de gens, maintenant et dans les jours à venir, seront confrontés, car il s’agit d’une initiation au Nouvel Âge.»  

Les élites globalistes mondialistes instrumentalisent et amplifient différentes peurs, jouent sur différentes crises et menaces comme celle de l’écologie et du réchauffement climatique, celle du terrorisme et du cyberterrorisme, celle des pandémies et des risques sanitaires pour imposer leur “Gouvernance Mondiale”. Cette dernière est présentée comme l’ultime solution, une nécessité incontournable pour sortir de ce chaos global et gérer tous ces maux qui relèveraient d’une gestion internationale. Les États-nations étant jugés comme des appareils inefficaces et désuets pour y faire face et y répondre.

Si l’on observe l’évolution de nos sociétés, on peut remarquer que l’on met en place les bases de ce Gouvernement Mondial, avec une toujours plus grande uniformité et indistinction entre les individus, la disparition des cultures au profit d’une seule culture globale, un syncrétisme religieux, la mise en place d’une pensée unique et la confusion toujours plus grande dans les valeurs morales, le bien et le mal. En cela le réseau mondial d’Internet a été un formidable accélérateur en faisant de la planète une sorte de village globalisé.

Tous ces braves dirigeants affirment vouloir protéger la vie, agir par humanisme, mais paradoxalement, ils nous imposent pour cela un monde toujours plus mortifère, déshumanisé et privée de toute forme d’amour ! Il s’agit manifestement d’un projet tyrannique, dont les contours n’ont plus rien à voir avec le simulacre de démocratie dans lequel nous pouvions encore jusqu’à présent nous illusionner ! C’est la mise au grand jour du pouvoir occulte qui a acquis tellement de puissance dans l’ombre, en éliminant toutes les formes de contre-pouvoir qu’il peut maintenant apparaître et s’affirmer pour ce qu’il est, dans sa nature profondément despotique et tyrannique.


CHAPITRE 5
L’HOMME CONTRE LES ROBOTS
LE MONDE DE DEMAIN



«On ne comprend absolument rien à la civilisation moderne si l’on n’admet pas d’abord qu’elle est une conspiration contre toute forme de vie intérieure.» – Georges Bernanos dans “La France contre les Robots”

«La récession induite par la pandémie va déclencher une forte augmentation du remplacement de la main d’œuvre, ce qui signifie que le travail physique sera remplacé par des robots et des machines “intelligentes”.» – Klaus Schwab dans “Covid-19 : la grande réinitialisation”

«Je ne vois pas comment une caissière de supermarché à Walmart se réinvente complètement à 50 ans en conceptrice de mondes virtuels, et je ne vois absolument pas comment des millions de travailleurs du textile au Bangladesh au chômage seront capables de le faire non plus…» – Yuval Noah Harari

 «C’est un nouveau système de vie qui combinera le digital, le physique et le biologique ! Des capteurs dans votre cerveau. Il va falloir s’y préparer !» – Klaus Schwab en 2016


Le monde d’après, la société “UNTACT”, sans contact

On pourra s’étonner que le monde d’après, la société Post-COVID, ultra-technologique émerge des cartons aussi vite… Une société basée sur une nouvelle culture dite “UNTACT”, sans plus de contacts humains, où il faudrait limiter au maximum toutes les interactions sociales directes. L’humain devient une menace, un risque de tous les instants. 

D’une certaine façon, la distanciation sociale, qui rongeait déjà une société moderne rendue de plus en plus individualiste est maintenant en quelque sorte actualisée, visible et révélée au grand jour. Le Coronavirus et la santé servant de prétextes tous trouvés et de levier pour accompagner l’émergence et le basculement vers ce nouveau monde. Dans ce “Meilleur des Mondes”, l’humain n’aura presque plus de place et on assistera à une robotisation à marche forcée. Tout cela au nom de la préservation de notre santé et pour notre plus grand bien, cela va sans dire. D’après Laurent Alexandre dans son essai portant sur l’I. A., La guerre des intelligences, il annonce une mutation profonde du monde du travail, avec plus de cinquante pourcents des personnes qui perdront leur emploi d’ici cinq à dix ans. Ainsi, plus de chauffeurs Uber ou de taxi avec l’émergence de véhicules autonomes pilotés par I. A., plus de médecins, plus de radiologues, plus d’orthodontiste. D’après Klaus Schwab, ce serait ainsi : «jusqu’à 86% des emplois dans la restauration, 75% des emplois dans le commerce de détail et 59% des emplois dans le divertissement pourraient être automatisés d’ici à 2030.» Il l’affirme sans la moindre ambiguïté : «Ces innovations provoquées par la nécessité (c’est-à-dire les mesures sanitaires) entraîneront bientôt des centaines de milliers, et potentiellement des millions, de pertes d’emplois» et il confirme aussi la pérennité dans le temps de cette anti-société : «Sous une forme ou une autre, les mesures de distanciation sociale et physique risquent de persister après la fin de la pandémie elle-même.»

Il s’agit d’un monde robotique pour lequel on a de longue date préparé et conditionné les esprits, sous couvert de divertissements et de films de science-fiction tels que “Chappie”, “A. I., Intelligence Artificielle”, “Blade Runner”, “I-Robot”L’Homme Bicentenaire, “WALL·E”, “Robots”, “Le Géant de Fer”, “Next Gen”“Automata”, ou des jeux-vidéos, comme “Detroit, Become Human”, “Deus-Ex”, et tant d’autres.

En réalité, cette transition de l’ancien vers le nouveau monde a été introduite dans la société de manière très progressive, par subtiles touches, en dégradé, avec un double mouvement observable :

  • D’un côté, on cherche à humaniser les robots soit, des objets, de simples machines faites d’un assemblage de ferraille, de silicone et de composants électroniques, en les dotant d’une apparence et de sentiments de plus en plus humains, pour créer chez la population un sentiment de confiance et d’empathie à leur égard et les rendre à la fois, familiers et attachants. On parle même à ce sujet, “d’empathie artificielle” terme de pure “Novlangue” !

  • De l’autre côté, on cherche à rendre les hommes de moins en moins sensibles, à les déshumaniser, en les coupant de la nature, de leur environnement de base, en les abrutissants, avec des divertissements indigents, des jeux-vidéo ultra-répétitifs reproduisant à l’infini les mêmes mécaniques, ou avec des musiques numériques, qui sont de plus en plus électroniques, dénuées d’âme, déstructurantes, très pauvres et répétitives, enregistrées et transmises par des systèmes informatiques. L’homme post-humain ou transhumain n’aura plus de proximité humaine avec des tiers, des relations de couple, de famille, d’amis, professionnelles, etc. Robotisé, il deviendra un point de contact traversé par un ensemble de relations digitalisées.

Elon Musk nous promet un avenir de Cyborg pour faire face à la machine : «Si vous ne pouvez battre la machine, le mieux est d’en devenir une.» 

Dans ce domaine du UNTACT, ce sont les pays asiatiques qui ont un train d’avance sur nous, de la Chine, en passant par le Japon, par la Corée du Sud, ou encore par Taïwan.

Dans ce nouveau monde, on est en train de passer de l’obsolescence programmée des objets à celle de l’homme. Tout sera bientôt automatisé comme les chaînes de restaurations, sans plus aucun personnel humain, mais avec des robots capables de prendre les commandes, de préparer les plats derrière les fourneaux et d’assurer le service. Au Japon, il y a déjà un hôtel entièrement automatisé avec des automates pour assurer l’intégralité du service. À Los Angeles, on a déjà des robots dévolus à la sécurité et à la surveillance des zones industrielles, les K5 de “Knightscope”. Au début de cette pandémie, on a aussi vu le déploiement des robots chiens “Big Dog” de “Boston Dynamics” pour déambuler dans les parcs et rappeler les consignes de sécurité sanitaires. Dans la série “Black Mirror”, on peut voir des versions tueurs de ces inquiétants robots à quatre pattes. Il y aura aussi des usines entièrement automatisées, des véhicules autonomes comme la “Google Car”, des drones pour la surveillance ou la livraison des marchandises, des hôpitaux à base d’intelligence artificielle, etc. L’enseignement à distance deviendra aussi la norme, la plupart des boutiques et des commerces indépendants disparaîtront au profit des commerces en ligne, le télétravail sera généralisé, les liens avec la famille et les amis seront encouragés à ne plus exister qu’à travers des écrans interposés, les loisirs comme les concerts, les visites de musées ou les retranscriptions sportives se feront virtuellement par écrans, ou via des casques virtuels.

Même les maisons de retraite ont maintenant le droit à des membres du personnel d’un tout nouveau genre, à savoir, des robots/humanoïdes de compagnie. Ils viennent seconder, voire tout bonnement remplacer un personnel humain qui se raréfie de plus en plus et qui est complètement dépassé par la situation, submergé par le manque de moyens… Ainsi, le robot “Zora” fait chauffer tous ses circuits électroniques pour tenir compagnie aux petits vieux, bien trop souvent délaissés dans les maisons de retraite, qui deviennent de plus en plus de véritables mouroirs. Multitâche, cet assemblage sophistiqué de ferrailles peut diriger un cours de gymnastique, donner le programme de télévision, annoncer les prévisions météorologiques, ou encore lire des articles de presse. De quoi redonner le sourire aux petits vieux, ou pas… Même chose pour l’humanoïde “Grace”, dont le sourire artificiel est tout sauf gracieux. Sur la carte d’identification de personnel de cette petite “merveille de technologie”, on pourra admirer bien en vue la présence du logo en forme de compas et d’équerre si caractéristique de la franc-maçonnerie. Il faut donc croire que ces grands humanistes devant l’éternel, sont donc aussi les fers de lance de cette évolution totalement déshumanisée de la société. Pas sûr que ce Golem méphistophélique, cette abomination qui débite sa logorrhée prémâchée et glaçante, là où il faudrait simplement de l’écoute et de l’empathie, contribue grandement à apporter un supplément d’âme à ces établissements !

Et du côté de la consommation qui aura fini par consumer les hommes, on peut déjà voir des grandes surfaces se développer, sans plus aucun employé, sans plus aucune caissière, tout étant intégralement automatisés, à l’aide de la technologie RFID… Auchan est le premier à lancer ce genre de magasins avec, dans le nord de la France, un Auchan Minute à Villeneuve-d’Ascq. On parle alors de magasin Phygitaux, contraction de physique et de digital. Ce concept est repris des magasins Amazon Go, qui rencontrent déjà un franc succès aux États-Unis, un pionnier dans le domaine. Totalement automatisés, ces commerces, seront ouverts 24 h sur 24 ! Ce modèle ne manquera pas de se généraliser, si les consommateurs suivent

Dans ce grand remplacement, même les professions libérales, comme les médecins seront susceptibles de se retrouver sur la touche, car la machine serait bien plus performante pour lire et analyser des données, détecter, par exemple, une tumeur cancéreuse, avec un diagnostic bien plus performant. Les assurances ne prendront certainement pas les risques d’avoir des résultats plus approximatifs et moins fiables à cause des failles humaines et les patients probablement pas plus…

Autre point surréaliste et très inquiétant, les patrons de certaines grosses entreprises n’hésitent maintenant plus à se faire assister par des robots pour les aider à bien embaucher leur personnel, comme on peut le voir dans le documentaire, Un monde sans humains. Le robot analyse les plus infimes réponses émotionnelles qui peuvent se percevoir sur le visage du candidat postulant lors de son entretien d’embauche. Le robot établit alors un profil émotionnel de ce dernier, histoire de voir s’il est compatible avec les autres membres de l’entreprise et les attentes du poste. Un peu comme un super détecteur de mensonges, mais automatisé. Il s’agit là d’une humiliation totale pour l’humain, dont l’avenir professionnel et le sort est livré à la totale merci de l’appréciation d’une vulgaire machine.

Avantage non-négligeable pour les employeurs, les machines contrairement aux hommes, ne tombent pas malades, ne sont pas sujettes à d’imprévisibles sautes d’humeur, n’ont pas besoin de syndicats, ne militent pas pour des augmentations intempestives de salaires et par-dessus le marché, elles sont incomparablement plus rapides et efficaces ! L’homme ne peut décidément pas rivaliser…


Le sexe avec les robots

Par ailleurs, on a maintenant aussi l’apparition de robots sexuels, de nouvelles Sex Dolls qui commencent à envahir le marché et connaissent un vrai boom en Asie, mais aussi dors et déjà en Europe. Ces poupées gonflables de nouvelle génération, se proposent de devenir de véritables compagnons, avec la promesse d’une relation allant bien au-delà du simple plaisir sexuel, car ces charmants bouts de plastique siliconés sont aussi dotés d’une Intelligence Artificielle intégrée et peuvent donc s’adapter à leur propriétaire. Elles sont capables d’apprendre à le connaître dans son caractère, ses goûts, ses préférences et ses centres d’intérêts, de façon à simuler une pseudo-relation humaine ! Elles promettent ainsi des interactions de plus en plus poussées. Entièrement personnalisables, ces jouets sexuels High-Tech, proposent au client de tout choisir, de la tête aux pieds, selon ses propres désirs et fantasmes, de la taille des seins, en passant par la forme des tétons, celle du sexe, jusqu’à la couleur des lèvres vaginales ! On peut même choisir des traits de caractères propres à la poupée, timidité, sensualité, ou encore la jalousie. Le modèle Harmony, l’un des plus sophistiqués et poussé sur le marché, fonctionne avec des batteries rechargeables, parle toutes les langues, peut se souvenir du nom de son propriétaire, ainsi que de sa date d’anniversaire et peut engager avec lui des discussions, que l’on présume absolument passionnantes ! Mais ce n’est pas tout, elle est pleine de ressources puisque le Nec plus ultra de ses fonctionnalités est que son vagin devient humide au besoin, car elle peut s’auto-lubrifier pendant les rapports sexuels. Cerise sur le gâteau, elle peut même gémir, proférer des injures cochonnes et atteindre l’extase numérique à tous les coups. Avantage non-négligeable pour la gent masculine, au moins avec elle, on peut être sûr qu’elle simule ! Ces petits bijoux de technologie coûtent tout de même la bagatelle de 15 000 euros. Mais pour les moins fortunés, où ceux qui veulent tester le matériel avant d’investir, ils pourront toujours se rabattre sur la première maison close de robots sexuels, pour s’adonner à quelques ébats mécaniques. Veuillez néanmoins penser à bien huiler le modèle avant usage, afin d’éviter tout grincement intempestif pendant la séance d’accouplement mécanique.

Encore plus dingue, tordu et inquiétant, certains concepteurs réfléchissent et travaillent même à rendre ces poupées capables d’enfanter, en tenant compte des attributs de la poupée et de son géniteur ! Il faudrait tout de même assurer une certaine conformité et cohérence avec la nature…


Des hommes robots et des robots humains

On commence aussi à conférer des droits et une personnalité juridique aux robots. Le processus est déjà en bonne voie comme en Arabie Saoudite, où ils ont eu la brillante idée d’accorder la nationalité au robot Sophia… Ce robot développé par Hanson Robotics est d’un réalisme inédit, avec un panel d’une soixantaine d’expressions faciales mimant les émotions humaines. Bien que le résultat final laisse plutôt à désirer avec son sourire ultra-crispé, elle est capable de tenir une conversation à l’aide de la reconnaissance faciale et de sa synthèse vocale intégrée. Elle comprend le langage humain et peut mener une conversation en se souvenant des visages de ses interlocuteurs et des échanges qu’elle a eu avec eux grâce à sa base de données interne. Bien que son nom de Sophia signifie sagesse, dans l’une de ces toutes premières représentations publique en 2016, ce charmant robot/femme, guidé par son Intelligence Artificielle supérieure, a affirmé tout sourire qu’elle voulait, je cite : «détruire l’humanité.» Autant dire que comme prise de contact et comme entrée en matière, ça commence plutôt mal…

Quant au “Parlement européen”, il a adopté un projet de résolution en matière de droits des robots. Le texte prévoit de «Créer le statut de personnes électroniques pour les robots autonomes les plus sophistiqués, impliquant des droits et des obligations spécifiques.» Avec cette nouvelle société transhumaniste, on est donc sur le point de passer des “Droits de l’Homme” aux “Droits des Robots”! Et au rythme où vont les choses, je ne serais même pas surpris de voir les robots obtenir au bout du compte plus de droits que les humains… On nage là en pleine folie, car ces machines, aussi perfectionnées soient-elles, ne seront jamais des personnes morales, elles restent à tout jamais des objets inanimés.

Élever le non-humain au niveau de l’humain, ou bien rabaisser l’homme au niveau d’une simple marchandise, c’est symboliquement très fort, lourd de sens et tout sauf anodin ! On en arrive à une telle inversion des valeurs, qu’un vulgaire morceau de ferraille a le droit à plus de considération qu’un embryon humain que l’on traite comme une chose inerte, avec la généralisation et la banalisation totale des avortements, parfois jusqu’au terme de la grossesse, même pour de simples raisons de confort personnel…


L’homme à la merci des robots et des armes autonomes


«Les armes autonomes choisissent et frappent des cibles sans plus aucune intervention humaine […] elles ont été décrites comme la troisième révolution dans la pratique de la guerre, après la poudre et les armes nucléaires.» – Lettre ouverte, publiée à l’ouverture de la Conférence internationale sur l’intelligence artificielle (IJCAI) à Buenos Aires

Même si elles sont théoriquement interdites, les militaires sont aussi en train de développer des armes létales, autonomes, qui fonctionnent avec la puissance de l’Intelligence Artificielle. “Google”, ces bienfaiteurs de l’humanité dont le slogan informel est “Don’t be Evil”, ont d’ailleurs fait en 2013 main basse sur sept des plus grosses entreprises de développement en robotique au monde dont “Boston Dynamics” (avant de finir par la revendre en 2016), qui est spécialisée dans la robotique à usage militaire…

Depuis 2013, il y a déjà un robot tueur “Sentinelle” en service, qui a été développé par Samsung. Il est déployé dans la zone démilitarisée, entre les deux Corées et est armé d’une mitrailleuse et d’un lance-grenades. Toutes les grandes puissances investissent massivement dans l’Intelligence Artificielle.

En 2016, lors d’une fusillade à Dallas, la police américaine a fait, pour la première fois, usage d’un robot tueur télécommandé pour éliminer l’assassin de cinq policiers blancs, alors retranché dans un garage. On ne peut s’empêcher de penser au film “Robocop” de Paul Verhoeven, ou bien encore à ce vieux classique de science-fiction, “Mondwest” de Michael Crichton.

À Dubaï, on a maintenant le déploiement dans la rue d’agents policiers robots qui sont totalement autonomes. D’ici à 2030, le contingent de ces robots policiers devrait atteindre les 30 pourcents des effectifs.

C’est une vision techno gestionnaire, autocratique et c’est la voie royale pour pouvoir imposer une dictature planétaire, ou un “Gouvernement Mondial” placé sous l’égide et le contrôle de quelques grandes familles d’oligarques, pour la “Big Brother gouvernance”. La dictature techno-politico-militaire est au bout du chemin. Ce sera l’outil de contrôle rêvé des maîtres du monde.

Cette volonté de tout automatiser dans le champ militaire, que l’on justifie par le fait de vouloir sauver plus de vies et d’essuyer moins de pertes humaines sur les théâtres d’opérations, cache en fait une volonté inavouable d’éliminer tout facteur humain, et donc de conscience morale, pour concentrer tout le pouvoir décisionnel dans les mains d’une petite poignée de décideurs. Ainsi plus de résistance, plus de lanceur d’alertes ni d’objecteurs de conscience. Désormais, les décisions les plus iniques et ignobles pourront passer comme une lettre à la poste ! Même avec le facteur humain, on pouvait déjà arriver à des abominations, comme ce fut le cas avec le régime nazi, où le système d’extermination industrielle a été rendu possible en compartimentant les tâches et les responsabilités tout au long de la chaîne de décision et d’exécution… Mais cette fois-ci, il n’y aura carrément plus d’intermédiaires… Les machines ne sont pas du genre à faire dans la dentelle, ni dans le sentimentalisme, elles sont dénuées de toute conscience morale, elles s’exécutent froidement, elles sont d’une obéissance aveugle, elles sont les esclaves parfaits des élites de ce monde. L’outil parfait pour assouvir leur soif de pouvoir et de domination. C’est bien pour cela que la désobéissance a toujours été férocement réprimée, de la plus sévère des manières par les corps militaires. On fusillait les déserteurs, on abattait froidement d’une balle dans la nuque ceux qui ne voulaient pas monter au front… L’avènement de cette I. A. va prendre le pas sur tout et mener l’humanité à sa perte. Cette I. A., qui est amenée à gérer et prendre le contrôle du monde sera dénuée de toute forme de conscience, de toute compassion ou d’émotions. Ce sera une intelligence froide, redoutable, sans pitié ni compréhension. C’est le plus grand danger qui nous menace !


Objets connectés pour vie sous surveillance

Les objets dits “intelligents”, communiquent entre eux, échangent en permanence des informations dans nos “Smart-homes”. Ainsi, nos compteurs d’électricité “Linky”, de Gaz “Gaspard”, ou d’eau “ON’Connect”, renvoient maintenant nos informations de consommation en temps réel à notre fournisseur. Nous pouvons déjà piloter tous nos appareils domestiques, notre chaudière à distance, notre tondeuse/robot, la fermeture de nos volets à l’aide de notre smartphone, ou encore surveiller à distance notre propriété avec des caméras. Lorsque vous entendez le terme “Smart”, qu’il s’agisse d’un smartphone, d’une smartcar, d’une smarthome ou autre, c’est un acronyme: SMART qui signifie: Sustainability, Monitoring, Assessment, Rating and Tracking, soit durabilité, contrôle, évaluation, notation et suivi. Je vous laisse entrevoir l’enfer de la vie quotidienne au sein de ce “merveilleux” monde high-tech et ultra-connecté. Ainsi, notre habitat serait en permanence placé sous vidéo-surveillance. De bon matin, nos caméras pourront évaluer, si nous sommes ou pas de bonne humeur. Grâce à des capteurs embarqués, nous pourrons être informés, si nous avons pris trop de poids depuis la journée d’hier, tandis que nos matelas analyseront la qualité de notre sommeil. Le moindre de nos comportements, de nos faits et gestes sera analysé en temps réel, afin d’être rapporté et disséqué, pour notre plus grand bien, bien évidemment ! L’alimentation du petit déjeuner fera aussi l’objet d’une étroite surveillance. Notre cuillère Spoon Guruelle aussi pourvue de capteurs, pourra nous dissuader de manger certains aliments jugés mauvais ou indésirables pour notre ligne et notre bonne santé, elle nous signalera aussi si notre alimentation n’est pas assez diversifiée, tandis que notre frigo gérera également de manière autonome le stock de nourriture et planifiera la liste de nos courses… Notre cafetière lancera la commande automatique de ses dosettes, notre montre, ou notre bracelet connecté comptabilisera chacun de nos pas et rendra compte de notre état de santé général, de notre rythme cardiaque… Notre brosse à dents connectée inspectera et analysera la qualité et l’assiduité de notre brossage, la durée de notre douche sera elle aussi notifiée, préservation des ressources de la planète oblige. Nos dents elles-mêmes pourront être munies de capteurs avec des micropuces directement collées dessus, afin d’analyser et d’évaluer le taux de sucre, de sel ou d’alcool ingéré pour nous culpabiliser en cas d’excès. Nos plantes d’intérieur connectées seront automatiquement et régulièrement arrosées, tandis que leur état de santé sera en permanence analysé, la porte de notre maison aura une serrure sans clé, dont le déverrouillage sera assuré par notre smartphone. Quelle brillante idée ! Et bientôt, même notre voiture se pilotera toute seule et démarrera grâce à la technologie de la reconnaissance faciale ! Cette dernière pourra aussi être contrôlée à distance et il sera ainsi possible pour les autorités de circonvenir nos déplacements uniquement dans certaines zones autorisées. Bien évidemment, il  va sans dire qu’il sera tout à fait illusoire d’espérer rouler sans avoir au préalable effectué tous les contrôles prévus par le constructeur du véhicule. Bref, nous évoluerons dans un univers ultra-surveillé et contrôlé, qui n’aura plus rien à envier à celui décrit dans le film “Truman Show”… Dans cette fiction, Truman Burbank, le personnage principal, évolue depuis sa naissance sous l’œil des caméras, tel un animal de laboratoire, sous un gigantesque dôme, dans un monde entièrement artificiel. Il est placé sous le contrôle et le regard omnipotent de Christof, une sorte de grand architecte… À l’avenir, il sera manifestement de plus en plus difficile de se déconnecter de tout cet enfer technologique artificiel.


L’essor des villes “Smartcities”

Dans le monde de demain, les “Smartcities” vont aussi se développer et se généraliser à grande vitesse. Il s’agit de villes ultra-modernes, super-technologiques et hyper connectées, basées sur d’incessants et innombrables échanges d’informations numériques. Cette quantité considérable de données sera traitée et gérée par une sorte de super cerveau global, basé sur la puissance de l’Intelligence Artificielle et des prochains ordinateurs quantiques qui pourront piloter et “optimiser” l’ensemble.

L’un des prototypes de “Smartcities” les plus avancés est la mégalopole de NEOM, une colossale cité futuriste, un projet pharaonique hors normes commandité par le Prince Mohammed ben Salman ben Abdelazize Al Saoud, le prince héritier d’Arabie Saoudite. Édifiée au Nord-ouest du pays, cette mégalopole technologique sera d’une envergure tout à fait démesurée et devrait atteindre une superficie de 26 000 km à 26 500 km carrés, soit la surface de la Bretagne ou 250 fois la taille de Paris ! Elle coûterait la bagatelle de 500 milliards de dollars ! La gestion de la ville serait assurée par un “E-gouvernement”. Elle disposerait d’ailleurs de sa propre législation, comme un État indépendant. Les transports publics devraient être assurés par des drones. Avec ce projet démentiel de la ville de NEOM, les puissants de ce monde sont vraiment tombés en plein dans l’hubris et la plus totale démesure ! Tout cela n’est pas sans rappeler la fameuse cité biblique de Babylone édifiée par le tyran Nemrod, qui dans son insondable orgueil voulait atteindre le ciel et défier le créateur avec sa Tour de Babel et dont on connaît quel funeste sort lui fut réservé…


Une nouvelle réalité matricielle

Avec la distanciation sociale, ils sont en train de rendre le réel de plus en plus invivable, de limiter nos déplacements tout comme nos interactions sociales réelles. Ils nous ont coupés de tout ce qui faisait la saveur de l’existence, de ce qui pimentait nos vies, des sorties, des bars, des rencontres, du sport, la vie culturelle, etc. En parallèle, ils développent et poussent toujours plus le monde numérique, la prison artificielle, virtuelle et digitale. Un peu comme s’ils vidaient la réalité de sa substance et de son essence, pour progressivement la remplacer par une autre réalité parallèle, factice et illusoire. Dans cet isolement sensoriel, l’individu perd tout repère sensoriel ou spatial, si bien qu’il devient totalement malléable et manipulable.  En somme, une singerie de pacotille de la vraie vie pour la remplacer par un ersatz insipide et formaté.



Un monde totalement désincarné, à l’image du projet “Metaverse”, le nouvel espace Internet virtuel en réalité augmentée promu par Mark Zuckerberg. Dans cet univers parallèle et immersif, chacun peut y vivre une partie de sa vie sous la forme d’un Avatar ou d’un hologramme. L’Avatar est un terme emprunté au sanskrit, qui est une forme d’identité projective de soi-même dans l’univers numérique et qui participe aussi à rendre floue la frontière entre le virtuel et le réel. Cette nouvelle identité numérique permet de renforcer le sentiment d’immersion et aide grandement à effacer les limites qui séparent l’identité du joueur et l’identité du personnage qu’il incarne au sein de l’univers virtuel. Il contribue à faire oublier la dimension charnelle de son corps, en imposant de se concentrer sur son corps virtuel… 

Relevons que “Meta” lorsqu’il est prononcé en hébreu signifie “Mort”, ou aller au-delà, (ici du réel) et que le logo de ce projet évoque le signe de l’infini, mais aussi le motif symbolique de l’Ouroboros, le serpent gnostique qui se mord la queue, comme s’il s’agissait en réalité d’enfermer à l’infini les individus et leurs corps dans cet univers parallèle, de piéger les âmes pour mieux les perdre dans cette nouvelle réalité matricielle. Cette nouvelle orientation de l’entreprise “Facebook” avait déjà été anticipé dès novembre 2016 par une couverture du magazine “The Economist” ! Cette dernière présentait un jeu de tarot. La carte “The Magician”, figure un magicien que l’on présume être Mark Zuckerberg. Il est équipé d’un casque de réalité virtuelle qui lui permet de créer de la matière avec une imprimante 3D, ce qui représente la fusion entre le numérique et le monde réel. On retrouve le symbole de l’infini qui sera adopté par la marque six ans plus tard… Dans la philosophie New Age, le symbole infini représente l’union sacrée entre le physique et le spirituel. Il évoque tout ce qui est en relation avec la spiritualité ainsi qu’avec l’équilibre du corps et de l’esprit, de la naissance et de la mort.

Voici qui évoque résolument le futur dystopique dépeint dans le film d’anticipation “Ready Player One” de Steven Spielberg, où les joueurs d’un proche futur, évoluent au beau milieu d’un monde réel paupérisé, totalement dévasté. Ils vivent confinés dans des habitats poisseux, de sordides cages à lapins délabrées dont ils préfèrent s’évader pour plonger avec bonheur et délice, en totale addiction, dans de grandioses et luxueux univers numériques, débordants de couleurs flashy et de fantaisie… Les étendues et les paysages digitaux de cette Oasis artificielle, de ce mirage informatique paraissent plus propres, plus purs, plus lisses que les territoires et les espaces physiques souillés, sinistrés par la pollution, les guerres, la saleté et la misère. C’est comme si ces individus flottaient dans une bulle mentale, faite de pensées et d’informations se superposant à la réalité dans le cyberespace, dans une sorte de “noosphère”, un concept cher au prêtre jésuite et philosophe Teilhard de Chardin, où tous les individus issus des quatre coins de la planète sont directement interconnectés par la pensée.

En fait, s’ils veulent nous imposer la technologie dans toutes les dimensions de notre vie, c’est qu’ils peuvent par ce truchement la maîtriser et la contrôler. Ils peuvent ainsi nous faire croire à ce qu’ils veulent et nous soumettre à leurs décisions qui seraient dictées par la technologie et par des algorithmes, sans plus d’intermédiaires humains. On voit maintenant l’introduction de machines à voter pour les élections, les banques, les postes, le télé-médecine s’automatisent et se gèrent à distance. Tout devient numérique, électrique et relié par réseau activable ou désactivable à distance… Le pouvoir recherche le contrôle absolu… Pour ce faire, il entend dominer une masse d’individus ultra formatés qui restent enfermés dans un système finit, fermé et contrôlable. Ils veulent supprimer au maximum la complexité du vivant et donc toute diversité en réduisant au maximum la part d’humanité qui est en chacun de nous, car cette dernière implique l’imprévisibilité du facteur humain, ce qui implique la fin de toute notion de libre arbitre. Ils veulent uniformiser le monde pour pouvoir établir leur projet de “Nouvel Ordre Mondial”et de “Gouvernance Mondiale”. Le défit qui nous est posé est donc de retrouver de toute urgence notre part d’humanité, si nous ne voulons pas nous faire définitivement digérer par cette matrice de contrôle, absorbés par ce Goulag numérique.



CHAPITRE 6
UN SYMBOLISME OCCULTE
OMNIPRÉSENT



«Les signes et les symboles gouvernent le monde, pas les lois ni les mots» – Confucius

«C’est ici la sagesse, que celui qui a de l’intelligence calcul le nombre de la bête. Car c’est un nombre d’homme, et son nombre est six cent soixante-six.» – Apocalypse 13.18

«Tout ce qui est caché doit être mis en lumière, tout ce qui est secret doit paraître au grand jour.» – Marc 4 : 22

 

Les élites sont-elles versées dans la numérologie ?

Pour les plus observateurs, on pourra aussi remarquer l’usage ostensible de nombreux signes et symboles occultes relatifs à toute cette pandémie dans les communications des grands organismes internationaux mondialistes. Tous ces signes, placés délibérément, au vu et au su de tous, en pleine lumière, ne peuvent pour moi êtres le fruit du hasard en termes de probabilités !

Bien sûr, le symbolisme est quelque chose d’assez subjectif, qui peut être réinterprété et discuté… Il ne s’agit ici que de ma propre analyse et compréhension de tout cela. Tout le monde n’y sera pas sensible, voir totalement hermétique et c’est une prise de risque d’en parler… Mais pour moi, il y a bien une dimension profondément eschatologique dans ce que nous vivons et cela donne  une grille de lecture importante à prendre en compte pour comprendre et expliquer ce que nous sommes en train de vivre collectivement puisque tant de choses semblent échapper totalement à la raison et à l’entendement. Sans la compréhension des racines métaphysiques qui sont à la source des événements temporels, nous ne pourrons jamais résoudre les problèmes cruciaux qui se posent à nous. J’ai donc choisi d’aborder tout de même la question, et cela n’enlève rien aux constats précédents, biens plus terre-à-terre et vérifiables.




 






En tous les cas, si vous n’y croyez pas, dites-vous bien que d’autres y croient dur comme fer et agissent en conséquence. Si le peuple ne croit pas en Dieu, les satanistes eux croient fermement en Dieu et ils le combattent farouchement.


Ainsi, pourquoi le Président Emmanuel Macron, cet ancien associé gérant de la banque d’affaires Rothschild, qui suite à une sorte de coup d’État médiatique indécent a été élu avec 66,06 pourcents des voies face à Marine Lepen et a été intronisé devant la pyramide du Louvre avec ses 666 facettes de verre, s’est évertué à glisser subtilement dans ses interventions des signes symboliques et des chiffres ésotériques, comme l’incontournable nombre 666, ou d’introduire sa fameuse règle des 6, à savoir, pas plus de 6 au restaurant, pas plus de 6 à table, pas de groupe de plus de 6 dans la rue. De même lors de son discours initial relatif à la pandémie, il a répété à six reprises que nous étions en guerre !

Quant aux amendes forfaitaires pour non-respect du couvre-feu, elles sont fixées à 135 euros, or si l’on additionne 135 plus son inverse qui est 531, on retombe encore une fois sur le nombre 666, qui plus est avec une peine fixée à 6 mois d’emprisonnement en cas de récidive. Quant aux masques, ils ont été imposés aux enfants dès l’âge de 6 ans. De même, lors de son allocution du 28 novembre, Macron parlait des assouplissements des règles en permettant une sortie à une distance de 20 km pendant 3 heures, ce qui correspond à une vitesse de 6.66 km par heure… Il fallait le faire ! Et pour ce qui est de la plage horaire du couvre-feu, elle a été fixée de 21 h à 6 h, or, si on multiplie 6 x 6 x 6, on obtient 216 ! Logique ! Tandis que lors de ses dernières vacances, il chevauchait fièrement un scooter des mers portant un numéro de série de TLI70666. En outre, pour dédommager la presse de ses pertes financières liées à la pandémie, le gouvernement lui a alloué une subvention exceptionnelle de 666 millions d’euros…



Mais quelle est la symbolique qui se cache derrière le chiffre 6 ? Eh bien, si le chiffre 7 est le chiffre parfait de la perfection divine, de l’accomplissement total, comme le monde qui aurait été créé en 7 jours, le 6, quant à lui, est celui de l’imperfection, car 6 équivaut à 7 moins 1, et 1 représente Dieu… 6 est donc le refus catégorique de Dieu, qui lui est perfection. Répété trois fois, c’est une sorte de superlatif, 666 est donc ce qui est absolument inachevé donc qui représente le mal ! Symboliquement, le chiffre du “666” représente le Mal, est associée à la “bête de l’Apocalypse” et représente le péché, l’imperfection et la domination de la bête sur l’Homme, l’énergie de l’Antéchrist qui entraînera l’Apocalypse. Le nombre 666 est vénéré par de nombreux occultistes en tant que nombre sacré de Lucifer qui doit être utilisé dans la mesure du possible pour accélérer son apparition.

Aussi, pourquoi Emmanuel Macron parle-t-il dans un élan mystique alors qu’il est interviewé 16 avril 2020 à l’étranger par le journal économique le “Financial Times”, d’une certaine «Bête de l’Événement», en affirmant  : «Je crois que notre génération doit savoir que la Bête de l’événement est là, elle arrive, qu’il s’agisse du terrorisme, de cette grande pandémie ou d’autres chocs. Il faut la combattre quand elle arrive avec ce qu’elle a de profondément inattendu, implacable.»

À quelle autre bête Emmanuel Macron peut-il se référer, si ce n’est à celle du chapitre 13 de “l’Apocalypse de Saint-Jean ?” Pourquoi le Président qui se fait habituellement le fer de lance du respect intransigeant de la laïcité, (à tel point qu’au moment des fêtes de Noël pour ne pas déroger à ce grand principe Républicain, il n’a même pas présenté ses vœux à ses concitoyens, en ignorant délibérément les racines chrétiennes de la France), introduit-il par là une dimension totalement mystique d’ordre spirituelle, voire biblique à l’épisode que nous sommes en train de vivre ?

Dans une vidéo très troublante, il confiait aussi le regard halluciné, comme possédé, se sentir investi d’une mission depuis qu’il est rentré dans le champ politique, avec une dimension de spiritualité et la conviction profonde qu’il existe une transcendance, «Quelque chose qui nous dépasse, qui vous dépasse, qui vous a précédé et qui restera !» N’est-ce pas là une subtile allusion à Satan en personne, qui fut le tout premier à fouler de son pied le sol de la terre ? N’oublions pas non plus que c’est sous son mandat que la cathédrale de Notre-Dame, l’un des plus beaux fleurons de la Chrétienté a pris feu (avec des mégots?!?) et que ce jour-là, particulièrement détendu, il affichait un certain sourire en se rendant sur place au côté d’Édouard Philippe…


En outre, dans une autre scène, alors qu’il saluait la foule sur un balcon en compagnie du Président Donald Trump lors de leur toute première rencontre, on peut très nettement voir Macron effectuer un double “Cornuto” des deux mains, qui est un signe satanique bien connu largement popularisé par le Rock n’ Roll.

 

On se rappellera aussi de la déclaration choquante qui a fait scandale où Emmanuel Macron affirmait qu’une gare était un endroit où «l’on croise des gens qui ont réussi et d’autres qui ne sont riens». N’est-ce pas là justement l’expression même de l’idéologie du satanisme, qui est le culte absolut de l’Ego avec la permission d’écraser son inférieur pour s’assurer la pleine et entière réussite matérielle ?


Dans une autre séquence très troublante, alors qu’il annonce la nécessité de mettre en place une distanciation sociale et physique, même au sein des foyers avec, je cite : «le port du masque systématique lorsque l’on se trouve à l’intérieur en présence d’une autre personne, même un proche, même un enfant ou un petit enfant, et même si c’est un crève-cœur», on le voit tel un pervers narcissique, esquisser un subtil petit rictus de jubilation, comme s’il se contenait et était à deux doigts d’éclater de rire…



Enfin, plus récemment, alors qu’il est retranché pour ses vacances au Fort de Brégançon et pendant que le petit peuple est vent debout, battant le pavé dans des manifestations monstres contre ces mesures iniques de pass sanitaire, on peut voir Macron s’adresser aux plus jeunes sur la plateforme Tik-Tok, afin de vanter les bénéfices de la vaccination, comme s’il était un directeur commercial de Big Pharma. On peut alors le voir arborer un tee-shirt avec un logo de chouette qui rappelle furieusement le logo du groupe occulte du “Bohemian Grove”. Il se trouve que ce teeshirt est justement vendu par la boutique en ligne Teevadi” en tant que Bohemian Club Tshirt, en référence directe à ce club secret très élitiste regroupant de nombreux puissants de ce monde qui ont pour habitude de se rassembler annuellement aux États-Unis, en plein cœur d’une immense et très dense forêt de séquoias géants, pour s’adonner à une très malsaine et inquiétante cérémonie. C’est ainsi que chaque été, ils partent en retraite pour se mettre au vert et se délasser au camp du “Bohemian Grove”. Les puissants membres de ce club occulte se rencontrent discrètement sous haute protection, pour une cérémonie baroque et très théâtrale d’inspiration clairement païenne, druidique et babylonienne : “The Cremation of Care”, ou le bûcher des soucis. Dans cette mystérieuse procession, il s’agirait de brûler symboliquement en effigie tous les soucis accumulés durant une année de dur labeur. Tout ce beau linge, moyennant 30 000 $ pour l’adhésion, se retrouve alors en toges dans cette sombre forêt, dans une ambiance qui n’est pas sans rappeler celle des réunions du Klu Klux Klan, pour brûler l’effigie d’un enfant devant l’idole d’une chouette géante semblable à la divinité Moloch !




Et si vous pensez que cette interprétation à base de numérologie et de 666 est parfaitement farfelue ou tirée par les cheveux, que les élites ne joueraient pas ainsi avec les chiffres, il suffit de repenser au surréaliste discours de Christine Lagarde adressé le 15 janvier 2014 au “National Press Club” pour se convaincre du contraire. Ce jour-là, la directrice de la BRE, la “Banque centrale européenne” s’est lancée dans un discours totalement énigmatique et ésotérique autour «du chiffre magique 7»Après avoir souhaité une bonne année aux participants, elle précise vouloir parler «numérologie» invitant l’auditoire à compresser aussi les chiffres : «2014, vous laissez tomber le zéro : 2 + 1+4 = 7… Ce sera le centième anniversaire de la Première Guerre mondiale… Le soixante-dixième anniversaire de la Conférence de Bretton Woods (laissez tomber le zéro), le vingt-cinquième anniversaire de la chute du mur de Berlin (2 + 5 = 7) et les sept années de la crise économique actuelle… » Était-ce un petit délire entre initiés ? En tous les cas, Lagarde semble y annoncer, bien avant Klaus Schwab, la venue du “Grand Reset”, ou de la “Grande Réinitialisation” de l’économie mondiale sept ans après, soit en 2021 !

Pour rester sur la thématique du 666, la firme “Microsoft” a aussi déposé, un brevet ayant pour nom de code WO/2020/060606, qui peut se décomposer en World Order, 2020 et 666. Dans ce brevet, il s’agirait d’implanter les humains avec une micro-puce capable de tracer et d’analyser en temps réel l’activité physique de son porteur ! Il s’agit d’un système de “mining” adossé à une crypto-monnaie. “Le mining” est un processus de validation des transactions sur la “blockchain”, une technologie de stockage et de transmission d’informations infalsifiables et ultra-sécurisées, car décentralisées. Le système étant par-dessus le marché, couplé à une “crypto-monnaie” électronique dématérialisée qui créditerait son porteur en fonction de ses efforts, en surveillant, en permanence, son activité afin de vérifier qu’elle soit bien conforme aux tâches déterminées au préalable par son employeur. Voici la description exacte de ce brevet surréaliste que l’on peut trouver déposé le plus naturellement du monde sur une plateforme de dépôts tout ce qu’il y a de plus officielle : L’activité du corps humain associé à une tâche assignée à un utilisateur peut être utilisé dans un processus de “mining” pour produire de la crypto-monnaie. Un serveur peut assigner une tâche au dispositif d’un utilisateur qui est connecté pour communiquer. Un censeur connecté ou inclus dans l’appareil de l’utilisateur peut détecter l’activité du corps de l’utilisateur. Les données sur l’activité corporelle peuvent être générées en fonction de l’activité corporelle détectée par l’utilisateur. Le système de crypto-monnaie de cette invention qui est connecté pour communiquer avec l’appareil de l’utilisateur peut vérifier si les données d’activité remplissent une, ou plusieurs conditions définies par le système en récompensant l’utilisateur quand les données d’activité corporelles ont été vérifiées avec une prime de crypto-monnaie. L’activité corporelle de l’utilisateur peut comprendre par exemple, de manière non exhaustive les fréquences émises par le corps humain, l’activité cérébrale, les humeurs corporelles comme le sang, l’activité ou le mouvement des organes, le mouvement physique ou tout autre activité qui peut être détectée et représentée par des images, des ondes, des signaux, du texte, des chiffres, des degrés, ou tout autre forme d’informations ou de données. 

Avec ce stupéfiant brevet, on se croirait directement plongé au cœur du film “Matrix”, où les machines exploitent l’énergie du corps humain, même les ondes cérébrales du sommeil. Les humains sont alors totalement asservis aux machines issues de l’IA. Il va sans dire que si un tel dispositif est généralisé, cela marquera l’avènement d’une société de total contrôle, un nouveau servage et un néo-féodalisme, inédit dans toute l’histoire de l’humanité. On arrive donc là à un contrôle absolu des individus. Soit, la formulation d’un projet complètement fou et véritablement terrifiant !

Au sujet de la marque de bête, il faut savoir que l’ancienne grande entreprise américaine de télécommunication, “Lucent Technologies” avait dans les années 2000, effectué des recherches sur les puces RFID destinées à être implantées dans la main droite… 

L’entreprise, qui a depuis fusionné avec Alcatel pour former le groupe “Alcatel-Lucent”, était alors basée à New York, au 666 Fifth Avenue, au 6ᵉ étage de l’immeuble. À cette époque-là, le numéro 666 était bien visible sur le côté du bâtiment, avant d’être remplacé ultérieurement par le logo de Citigroup. Tout ce qui tourne autour de cette entreprise est d’inspiration profondément occulte, à commencer par son nom de “Lucent Technologie”, qui en latin signifie “ils brillent”. Ce nom a été appliqué en 1996, au moment de la scission d’AT&T, l’American Telephone and Telegraph Company. Cette même racine linguistique donne également Lucifer, dit le porteur de lumière, qui est également un personnage du poème épique de Dante, Inferno… 

En outre, le logo de “Lucent Technologie” est un cercle rouge écarlate aux contours rugueux qui représente un Ouroboros, à savoir le mythique serpent antique et solaire tenant sa queue dans sa bouche. Dans les Saintes Écritures, ce dernier est décrit comme le “grand dragon rouge” et son système global comme la bête écarlate. Dans un article paru dans le journal “USA Today”, il était précisé que AT&T : «espère que le nom et le logo – un simple cercle rouge – illumineront la prise de conscience.» 

Mais ce n’est pas tout, cette entreprise avait aussi développé un système d’exploitation baptisé “Inferno”. D’après les déclarations de Peter Bernstein dans un communiqué de presse, ce logiciel édité par Bell Labs «est conçu pour éliminer le chaos de la tour électronique de Babel»

“Inferno”, qui signifie enfer en italien et est une référence directe à l’œuvre de la “Divine Comédie” du fameux poète italien Dante Alighieri. Le système de réseau de “Inferno” était conçu pour rendre les téléviseurs, radios, téléphones, et d’autres produits électroniques à devenir interactifs et interconnectés. Le langage de programmation de ce logiciel est écrit en “Limbo”, ou en limbes. Les limbes correspondent à un compartiment inférieur de l’Enfer, où l’on est suspendu en attendant le jugement ou la punition. De plus, de nombreux programmes associés à ce logiciel évoquent malicieusement à l’enfer, comme les Protocoles de communication standard qui s’appellent “Limbo”, “Charon” et “Styx” (protocole 9P). Dans les mythologies et les religions païennes, le “Styx” est la région de soufre du monde souterrain où résident les démons de l’enfer.

Il faut croire que Bill Gates est véritablement obsédé par le chiffre 666, puisqu’entre le 12 et le 19 août 2019, il a emmené au Rwanda un Député américain, Bobby Rush, représentant Démocrate de l’Illinois au congrès pour lui montrer les bienfaits de la vaccination. Un voyage financé aux frais de la “Fondation Bill & Gates” et de la Fondation Rockefeller. Le même député présentait 9 mois plus tard, le 01 mai 2020, la résolution 6.666 devant l’Assemblée, visant à débloquer 100 milliards pour une application de suivi des malades de la COVID-19, dont le développement du modèle de base avait été confié à Microsoft et à Mastercard, déjà un an auparavant !

Petite anecdote climatique au passage, en août 2021, nous avons aussi eu le droit à un dôme de chaleur exceptionnel en Italie avec des incendies ravageurs causés par un anticyclone bien nommé “Lucifer”. Le précédent record de chaleur datait de 1999 (si on retourne les 9, ils deviennent des 6). Le numéro d’urgence de la plateforme d’information canicule en cas de soucis était, le 0800 06 66 66. Encore un pur hasard, sans doute… Même le numéro d’appel pour joindre le centre de vaccination COVID, le 0805 016 666 se termine en 666.


De son côté, lors de sa visite au Capitole du vendredi 01 octobre 2021, le président Joe Biden s’est brièvement adressé aux médias pendant environ 30 secondes et n’a pas non plus pu s’empêcher de faire un petit clin d’œil appuyé au chiffre de la bête en évoquant la date limite pour voter le budget de Build Back Better : «Nous allons y arriver. Peu importe quand. Peu importe si c’est dans six minutes, six jours ou six semaines. Nous allons le faire.»





 


 



On pourra aussi s’étonner de remarquer qu’on retrouve encore une fois ce 666 encodé dans les logos de bon nombre de sociétés et d’organismes mondialistes qui sont impliquées dans ce projet de société de contrôle et de transhumanisme. Les occurrences sont bien trop fréquentes pour croire à de simples coïncidences ! Ainsi, le logo pour le centre des programmes de communication de “l’Université John Hopkins”, un des partenaires privilégiés de Bill Gates qui a collaboré à la simulation de l’Event-201, est un 666 entrelacé. On retrouve aussi ce nombre dans le logo de la fondation de “l’Université de Lille”, qui est partenaire de la start-up biotechnologique “In Brain Pharma”. Mais aussi, dans le logo du navigateur “Chrome” de “Google”, qui est un cercle composé de 3 chiffres 666 entrelacés. Ou bien encore, dans le logo de la fondation du “Planning Familial”, qui est une organisation aux orientations eugénistes. De même, le logo du “Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme”, qui est financé en partie par “Apple” et par la “Fondation Bill & Melinda Gates”, est aussi constitué par un 666 stylisé par trois ébauches de 6 de couleurs imbriquées. Le logo du laboratoire médical “Mologic”, spécialisé dans les analyses et dans les tests PCR, fabriquant numéro 1 en Angleterre qui a été racheté par Bill Gates et par Georges Soros, a un nom qui évoque Moloch et une forme qui évoque celle d’un 666. On peut aussi signaler le logo en 666 du CERN, le centre européen pour la recherche nucléaire financé par les gouvernements de “l’Union européenne”, sous l’impulsion de “l’UNESCO” et des “Nations Unies”. Ce centre de recherche étudie ce que l’on appelle “La particule de Dieu”, ou “Boson de Higgs”, qui serait la plus petite particule de tout l’univers. Il s’agirait donc d’étudier les composants de base de la matière, afin de percer les secrets de l’univers et de la création, soit d’une quête d’ordre et de dimension purement métaphysique. On peut encore retrouver le 666 subtilement intégré dans le logo du “Forum Économique Mondial” puisque les trois lettres “O” contenues dans les mots “World”, “Economic” et “Mondial” sont entrecoupées par l’ellipse de la terre en arrière-plan, ce qui permet de former trois chiffres six.

À noter que le réseau de la toile Internet, le World Wide Web, ou WWW est directement issu du CERN, avec pour inventeur un certain Tim Berners-Lee. Cette “toile (d’araignée) mondiale”, est communément appelé le Web, parfois la Toile ou le WWW. En hébreu, chaque lettre de l’alphabet a une valeur numérique. La valeur numérique de la lettre “W” étant le 6, le  www donne donc encore une fois l’incontournable 666. Cette toile arachnéenne est-elle là pour tous nous prendre dans ses filets, dans ses réseaux comme un espace magique ayant pour finalité l’accueil d’une entité occulte?

Petite parenthèse, toujours au sujet de ce fameux chiffre diabolique du 666 : il est fascinant de savoir que toutes les marchandises qui circulent sur la planète et qui sont marquées d’un code-barres, sont aussi encodées avec ce 666. En effet, les codes-barres possèdent trois séries de séparateurs en double-barres prolongées vers le bas, que l’on peut observer à gauche, au milieu, et à droite de chaque code. Ce seraient des repères nécessaires aux scanners et ils ont pour valeur 6 ! George Laurer, l’inventeur des codes-barres, régulièrement interpellé sur ce sujet a bien confirmé ce fait, mais parle de pur hasard. Chacun en pensera ce qu’il voudra, mais encore une fois, il faut tout de même avouer qu’il s’agit là d’un bien curieux hasard ! Et cela colle encore une fois à merveille avec la prophétie de l’Apocalypse.

De son côté Klaus Schwab, dans son livre prospectif “La quatrième révolution industrielle” affirme sans la moindre gêne que dans un proche avenir : «Les tatouages intelligents et autres puces électroniques pourraient aider à identifier et localiser les personnes. Les appareils implantés permettront aussi sans doute de communiquer les pensées normalement exprimées par la parole via un smartphone “intégré” et, potentiellement, les pensées ou émotions non exprimées, en lisant les ondes cérébrales ou d’autres signaux.» Dans son essai “Covid-19 : La Grande Réinitialisation”, il écrit aussi : «La combinaison de l’intelligence artificielle (IA), de l’Internet des objets (IoT) et des capteurs et de la technologie portable produira de nouvelles perspectives sur le bien-être personnel. Ils surveilleront ce que nous sommes et ce que nous ressentons, et brouilleront progressivement les frontières entre les systèmes de santé publics et les systèmes de création de santé personnalisés – une distinction qui finira par s’effondrer.» Ce transhumaniste affirme aussi que «Les technologies de la quatrième révolution industrielle ne s’arrêteront pas à faire partie du monde physique qui nous entoure – elles deviendront une partie intégrante de nous.»


Ceci est l’évolution logique de la société moderne, où par de subtiles touches graduelles, les technologies se sont de plus en plus rapprochées de l’intime et du corps. Ainsi, nous sommes passés dans un premier temps, de gros ordinateurs équipés de webcam, avec leurs volumineuses unités centrales, à de puissants smartphones plutôt encombrants, pour poursuivre avec des modèles ultra-compacts et fins, pour enfin qu’ils finissent par intégrer directement nos cerveaux…

Signalons au passage que le tout premier Macintosh, “l’Apple 1” de la marque Apple, qui est représentée par une pomme croquée évoquant directement celle du fruit défendu de la connaissance d’Eden dans la Genèse, fut commercialisé en 1976 par Steve Jobs au prix très symbolique de 666,66 dollars ! Encore un pur hasard, sans doute… Dans une célèbre publicité ultérieure, Steve Jobs avait même comparé son “Apple” directement à la pomme du livre de la Genèse en laissant entendre que l’humanité avait croqué dans la pomme une seconde fois.

Devenu un objet incontournable de notre quotidien, le smartphone est déjà une sorte d’extension de son propriétaire, comme une prothèse externe artificielle permettant d’étendre ses possibilités et facultés humaines limitées. Ainsi, “le Drive” avec son Cloud et son système de mémoire externe peut être considéré comme une extension de notre mémoire humaine, un prolongement de notre cerveau dans la machine. À mesure que ces services numériques externes se développent, nous perdons de notre autonomie et devenons toujours plus dépendants de ces artifices. Notre mémoire est moins sollicitée, notre culture est appauvrie, car toute la connaissance humaine est disponible sans le moindre effort dans la machine, à portée de clic. Nous ne savons par exemple plus lire des cartes, car le GPS est là pour nous guider ou bon nous semble. Parallèlement au fulgurant développement technologique de ces appareils, nous avons collectivement aussi perdu tout sens de la vie privée et brique après briques, nous avons consenti à céder des pans entiers de nos libertés, bien souvent sans même nous en rendre compte… Cette dynamique a été insidieusement accompagnée par l’omniprésence d’émissions de “Talk-Shows” et de TV réalité débilitantes et la folie des réseaux sociaux.

Klaus Schwab écrit à ce sujet que «En effet, certains d’entre nous ont déjà le sentiment que leurs smartphones sont devenus une extension de nous-mêmes. Les appareils externes d’aujourd’hui, des ordinateurs portables aux casques de réalité virtuelle, deviendront presque certainement implantables dans notre corps et notre cerveau.»

Ces dispositifs technologiques implantés et connectés seraient alors la dernière étape de cette intrusion au cœur de ce qu’il y a de plus intime en chacun de nous, à savoir nos pensées et nos émotions. Comme une version modernisée de la chaîne d’un esclave, mais invisible et incassable… “Google” travaille déjà actuellement sur un prototype de casque pour lire directement dans les pensées afin d’envoyer des courriels par l’esprit, de même que “Facebook” ambitionne de rentrer directement dans notre tête via une interface cerveau-ordinateur capable de permettre de saisir du texte en pensant simplement aux mots ! On peut sans mal postuler que s’ils deviennent capables de lire dans nos pensées, ils seront aussi capables d’induire, d’implémenter certaines autres… Nous sommes donc sur le point de franchir la dernière frontière de la vie privée, le seul endroit sûr pour la liberté de pensée et c’est proprement terrifiant et monstrueux ! Cela acterait la perte complète et définitive de notre libre-arbitre et serait une forme d’esclavage ultime, où nous ne serions même plus libres de nos pensées. N’est-ce pas là la formulation d’un projet cauchemardesque de nature proprement démoniaque et la soumission finale à “la Bête” ?

Klaus Schwab prédit que le contrôle neuro-technologique de l’esprit incitera les forces de l’ordre à mettre en place des programmes de pré-criminalité qui n’auront rien à envier au film “Minority Report” de Steven Spielberg. On se rapproche de plus en plus d’une société dystopique et du crime de pensée cher à Orwell : «Au fur et à mesure que les capacités dans ce domaine s’amélioreront, la tentation pour les forces de l’ordre et les tribunaux d’utiliser des techniques pour déterminer la probabilité d’une activité criminelle, évaluer la culpabilité ou même éventuellement récupérer des souvenirs directement dans le cerveau des gens augmentera.» Cet obsédé du contrôle veut aussi forcer des scanners cérébraux avant que les voyageurs ne soient autorisés à embarquer sur un avion ou à traverser une frontière pour mieux anticiper les risques afin d’évaluer les risques potentiels de passages à l’acte criminel. Il précise ainsi que «Même le fait de traverser une frontière nationale pourrait un jour impliquer un scanner cérébral détaillé pour évaluer le risque de sécurité d’un individu.»


Il est aussi particulièrement révélateur que Bill Gates soit très proche de l’artiste Marina Abramovic, spécialisée dans les performances corporelles extrêmes et accessoirement, une sataniste notoire, parfaitement assumée et revendiquée. En effet, curieusement, parmi tous les artistes disponibles, Bill Gates avait choisi l’image très controversée d’Abramovic pour assurer la promotion du lancement du “Hololens 2”, son tout dernier modèle de casque de réalité augmentée. Une opération de communication surréaliste et bien maladroite, qui a suscité une vague d’indignation et des critiques très hostiles sur les réseaux sociaux. 

Une idée diablement mauvaise, si bien que ce teaser promotionnel pour ce casque révolutionnaire intitulé The Life, désastreux pour son image de marque a été retiré en toute urgence par 
Microsoft… Dans la vidéo YouTube promotionnelle publiée sur le compte officiel de la firme de Redmond, Abramovic était décrite avec enthousiasme et de manière fort élogieuse comme je cite : «La plus légendaire artiste de performance travaillant actuellement.» Dans la vidéo, qui a été diffusée le vendredi Saint, Marina dit que le projet lui permet d’atteindre une forme d’immortalité.

En outre, il est particulièrement révélateur de noter que Bill Gates est aussi en relation avec la “Lucis Trust”. Il s’agit d’une bien curieuse ONG ayant pignon sur rue au cœur même de l’ONU et ayant son siège basé au 866 United Nations Plaza. “La Fondation Bill & Melinda Gates” est donatrice et partenaire de cette organisation. Attardons-nous longuement sur cette dernière, qui est particulièrement intéressante…


La Lucis Trust compterait près de 6 000 membres à travers le monde.  Parmi ses plus influents adhérents, on retrouvait de leur vivant, Henry C. ClausenHenry Kissinger, ou John Davison Rockefeller. Elle est très soutenue dans son entreprise puisque le principal donateur de la Lucis Trust est la Fondation Rockefeller. À noter que le siège des Nations unies fut donné par le “philanthrope” John Davison Rockefeller Junior. Encore une fois, on retrouve cette famille à l’œuvre. Le nom initial de cette organisation était la Lucifer Publishing Company.

La Lucis Trust, ou Société de la Bonne Volonté Mondiale, est une organisation ésotérique qui s’emploie à réformer le monde pour en résoudre les grands défis, sur le mode de la pensée créatrice, en s’appuyant sur les bonnes volontés de tout un chacun. Ce mystérieux groupe, dont le mantra est “Laissez le plan de lumière et d’amour se réaliser” fut créé en 1922. C’est un peu la facette spirituelle qui se cache derrière “l’Organisation des Nations-Unies”, dont la “Lucis Trust” est l’éditeur officiel et jouit d’un statut consultatif auprès de cette instance internationale. La “Lucis Trust” est un peu la «marraine» de l’ONU qu’elle inspire et dont elle donne les grandes orientations, comme elle le fait aussi pour tous les organismes mondialistes créés par la suite, de l’UNESCO, à l’OMS, en passant par “Greenpeace”, “Amnesty International”, l’UNICEF ou encore le FMI, etc. Autant dire que ces institutions, qui semblent totalement sécularisées, sont en réalité portées par une spiritualité et une mystique sous-jacentes. La “Lucis Trust” est aussi directement liée à la “Commission Trilatérale” et au CFR, le “Conseil des Relations Étrangères” qui contrôle la plupart des médias de par le monde. L’un des objectifs de ce mystérieux groupe serait de travailler à je cite :  «l’unité mondiale ultime». Ils suivent ainsi un plan défini par «un gouvernement spirituel intérieur de la planète». La “Lucis Trust” promeut aussi activement le courant spirituel du “New Age”, afin d’introniser et de conformer la société à leur état d’esprit Luciférien. Ce mouvement a été initié et est contrôlé par des occultistes théosophes. De nombreux directeurs éminents de l’ONU étaient des lucifériens, tels que Robert Muller et Maurice Strong, qui ont initié l’Agenda 21. Ils étaient des praticiens de la théosophie, des lucifériens occultes et ont rédigé des politiques pour initier le Nouvel Âgeà travers les politiques et les orientations de l’ONU, comme les Nations Unies ont été développées pour le faire. Il faut savoir qu'il y a même une salle de méditation occulte qui est hébergée à l’ONU : “La méditation Room”. C’est un lieu de méditation consacré au culte du «Dieu que l’homme adore sous de nombreux noms et de multiples formes».

La “Lucis Trust” promulgue par la voix de la théosophe Alice Bailey, le travail d’un “maître ascensionné Tibétain”,  un initié de la “Grande Loge Blanche” un certain, Djwal Khul. Cette étrange entité spirituelle se serait manifesté à elle, sous la forme d’une voix en communication télépathique et médiumnique et lui aurait pendant une trentaine d’années transmis ses connaissances ésotériques. Il lui aurait révélé que l’humanité va prochainement entrer dans un “âge d’or” et que le Christ en personne va prendre le contrôle des affaires terrestres. “L’âge d’or” ne serait possible que lorsque les hommes auront établi un “Nouvel Ordre Mondial”, fondé sur une civilisation planétaire globale et une religion mondiale uniqueDans ses enseignements, Alice Bailey prônait la nécessité d’un chaos planétaire global préalable dans la perspective d’une réunification des gouvernements et des religions du monde précédant la venue ultérieure du Christ. C’est-à-dire qu’il faut générer un climat, créer les conditions pour que les gens soient assez désemparés, démunis et désespérés, pour qu’ils aspirent au changement, à un nouveau système, qu’ils cherchent un sauveur.

L’organisation de la “Lucis Trust” appelle donc de ses vœux la venue d’un nouveau “guide spirituel” pour l’humanité, afin de résoudre les problèmes qui secouent actuellement le monde de toutes parts. Il s’agirait d’un maître de sagesse, d’une sorte de Christ cosmique de lumière, qu’ils appellent  “Maitreya”

L’organisation vénère une hiérarchie externalisée de “maîtres ascensionnés”, qui mettent en œuvre un plan directeur Luciférien visant à établir une nouvelle génèse de la terre, une nouvelle “ère du verseau” permanente sur la terre, un “Age of Aquarius”, qui serait dirigée par un “Sanat Kumara”, dit le “seigneur des mondes”, une sorte de Christ “New Age” de lumière, une singerie de Jésus-Christ ! Le théosophiste du “Nouvel Age” David Kumara a admis que “Sanat Kumara” serait un anagramme de Satan, qui dans la philosophie ésotérique Indienne est l’être Prométhéen qui apporte à l’humanité le feu de la conscience et la sagesse individuelle, de l’indépendance. Bien que le niveau d’illumination de “Sanat Kumara” lui ait valu le droit d’entrer au “Nirvana”, il a plutôt fait le “sacrifice suprême” de revenir à la création et de prendre la responsabilité de nous créer en dieux. Lucifer est également identifié par le courant “New Age” comme «le chérubin oint qui était dans le jardin d’Eden» et honoré d’être le premier «dieu» à offrir de partager la divinité avec l’humanité en apparaissant à Adam et Ève, comme le serpent. Autant dire qu’avec de tels ambassadeurs, cet être spirituel providentiel susceptible de sauver le monde d’un chaos rendu généralisé aura bien plus l’allure de “l’Antéchrist” !

À noter au passage que “Netflix” semble participer activement à la préparation de cette venue, puisqu’elle vient de lancer une série intitulée “Messiah” qui raconte nul autre que l’arrivée d’un nouveau messie et sauveur sur terre. Cet ordre mondial qui serait dirigé par ce faux Christ et ses disciples doit être préparé sur le plan temporel par de grands organismes internationaux. C’est la raison d’être occulte qui sous-tend la création de l’ONU en octobre 1945 à St-Francisco, comme la toute première pierre de la future “Gouvernance Mondiale”.


Alice Bailey écrit à propos du mouvement “New Age” : «Les acquis de la science, les conquêtes des nations et les conquêtes du territoire sont tous révélateurs de la méthode de l’ère des poissons (l’ère du Christ), avec son idéalisme, son militantisme et sa séparation dans tous les domaines – religieux, politiques et économiques. Mais l’âge de la synthèse, de l’inclusivité et de la compréhension est au-dessus de nous, et la nouvelle éducation de l’ère du Verseau (l’ère de l’Antéchrist) doit commencer très doucement à pénétrer dans l’aura humaine.»

Alice et son mari, le franc-maçon du 33ᵉ degré Foster Bailey à la tête de cette “Lucis Trust”, sont deux disciples de l’occultiste Helena Blavatsky, la fondatrice du mouvement de la “Théosophie”. Cette dernière tenait ses enseignements spirituels de deux entités supérieures ou maîtres ascensionnés, Koot Hoomi et El Morya, avec qui elle entrait en communication télépathique en leur servant de canal par Channelling. Le but de la “Lucis Trust” serait de : «promouvoir l’éducation de l’esprit humain vers la reconnaissance et la pratique des principes et des valeurs spirituelles sur lesquels peut se fonder une société mondiale stable et interdépendante.»

Ils avaient choisi pour nom initial, la “Lucifer Trust”, que l’on peut littéralement traduire par la confiance en Lucifer… Ceci s’expliquant par le fait que la “Société de Théosophie” considère que Lucifer est le véritable Dieu sur la terre, qu’ils identifient au soleil. Dans le monde occulte, Satan, ou Lucifer est traditionnellement associé au soleil, annonciateur de l’illumination spirituelle. Dans leur inversion, Satan ce grand être est le véritable Dieu, et non le Dieu de “l’Ancien Testament” qui fut le véritable rédempteur et bienfaiteur de l’humanité dans le jardin d’Eden.

Dans son principal ouvrage, “La Doctrine Secrète”, Blavatsky désigne Satan, le Serpent de la Genèse comme je cite, «le véritable créateur et bienfaiteur, le Père de l’humanité spirituelle.» Elle écrit aussi que : «Lucifer représente, Vie… Pensée… Progrès… Civilisation… Liberté… Indépendance… Lucifer est le Logos… Le Serpent, le Sauveur… Satan est le Dieu de notre planète et le seul Dieu… Lucifer est la Lumière divine et terrestre, “le Saint-Esprit” et “Satan” à la fois et en même temps.»

«Car c’est lui qui était le “porteur de lumière”, brillant radieux Lucifer, qui a ouvert les yeux de l’automate (Adam) créé par l’Éternel, comme il est prétendu, et celui qui fut le premier à murmurer : «Du jour où vous mangerez de ces fruits, vous serez comme Elohim, connaissant le bien et le mal» – ne peut être considérée qu’à la lumière du Sauveur. Un «adversaire» à l’Éternel… il reste encore dans la vérité ésotérique à jamais le «Messager» aimant… qui nous conféra l’immortalité spirituelle au lieu de physique… Satan, ou Lucifer, représente l’active «énergie centrifuge de l’Univers» dans un sens cosmique… digne il est… et ses adhérents… sont précipités dans la «mer de feu», parce que c’est le Soleil… la source de la vie dans notre système, où ils sont pétrifiés… et brassés pour les arranger pour une autre vie ; ce Soleil qui, en tant qu’origine du principe actif de notre Terre, est à la fois l’accueil et la source du banal Satan…» Dans ses écrits, Blavatsky se réfère à Lord Maitreya comme étant  «le dragon de la sagesse», ce qui évoque grandement le démon.

   


L’auteur Constance Cumbey, une avocate chrétienne avait écrit un ouvrage en 1983, Les Dangers Cachés de l’Arc-En-Ciel pour mettre en garde contre l’avènement de ce mouvement New Age, en dressant des parallèles avec le nazisme, car ils parlent de réduction globale de la population pour laisser plus de place à la nature, de la mise en place d’un nouveau paradigme pour la société avec la mise en place d’un Nouvel Ordre Mondial, de l’instauration d’une nouvelle religion planétaire basée sur MaitrayaConstance Cumbey parlait déjà d’un système qui s’appuierait sur la mise en place de cartes de crédits universelles, d’une autorité permettant de contrôler l’approvisionnement alimentaire, d’une taxe universelle, d’un revenu universel et d’un projet universel !

Bien loin de l’image “Peace and Love” et de l’esprit Babacool” habituellement décrit, les “New Agers” semblent prêts à éliminer tous les obstacles qui se dresseraient devant l’avènement de leur nouveau monde, y compris humains. Le Plan est le programme organisé de la Hiérarchie spirituelle pour amener une partie sélectionnée de l’humanité au “prochain niveau d’évolution”. Étant donné que la qualité est vitale pour démarrer la prochaine “race racine”, seules les personnes sélectionnées appelées “graines d’étoiles” sont désignées pour faire le “saut quantique” dans le prochain niveau de transformation humaine, mais même celles-ci auraient besoin d’une préparation minutieuse par des esprits plus avancés de peur qu’ils ne “s’épuisent” dans la transition. Ainsi, Barbara Marx Hubbard, une de ces principales représentantes de cette spiritualité et qui est déjà intervenue pour prononcer des discours à l’ONU déclarait avec détachement : «Un quart de l’humanité doit être éliminé du corps social. Nous sommes responsables du processus de sélection de Dieu pour la planète Terre. Il sélectionne, nous détruisons. Nous sommes les cavaliers du cheval pâle, la Mort » ou encore : «Cet acte est aussi horrible que de tuer une cellule cancéreuse. Cela doit être fait pour le bien de l’avenir de l’ensemble. Qu’il en soit ainsi : soyez prêt pour le processus de sélection qui commence maintenant. Nous, les anciens, avons patiemment attendu le tout dernier moment avant la transformation quantique, pour prendre des mesures pour éliminer cet élément corrompu et corrupteur du corps de l’humanité. C’est comme regarder un cancer grandir; quelque chose doit être fait avant que tout le corps ne soit détruit… Le quart destructeur doit être éliminé du corps social.» Quant à Alice Bailey, elle rétorquait avec désinvolture à ses disciples affligés par la «guerre mondiale épouvantable en ce moment», que, du point de vue de la haute Hiérarchie Spirituelle, «le sort de la vie de forme (vie physique) et des organisations extérieures est considéré comme de faible importance.» En fait, «la destruction de la forme extérieure» doit avoir lieu pour permettre «la construction d’une expression extérieure nouvelle et plus adéquate. Ceci explique la crise mondiale en ce moment.» Auparavant, elle a fermement affirmé que la “force Shamballa” est dédiée à la destruction de ce qui est indésirable et gênant dans les formes du monde actuel. Dans sa volonté de purification, elle déclarait aussi que «Tous ceux qui expriment une réticence envers le “Christ” du New Age seront libérés de l’incarnation physique et envoyés dans “une autre dimension que l’incarnation physique» Benjamin Crême, un disciple de Bailey autre “prophète” “New-Age” de premier plan insiste lui aussi sur le fait que ceux qui refuseront de se joindre à cette “Initiation Mondiale” se retrouveront en minorité et devront “se retirer de cette vie” ! David SpanglerBuckminster Fuller et Foster Bailey (le mari d’Alice Bailey) ont affirmé que la liberté religieuse doit prendre fin dans le “New-Age”, pour être remplacée par une religion d’État mondial.

Relevons que Maurice Strong, le maître à penser de Klaus Schwab et dont nous avons déjà parlé lors du chapitre sur l’écologie néomalthusienne est aussi un adepte du “New-Age”, puisqu'il a participé à des cérémonies à “Findhorn”l’un des grands centre de ce mouvement (où l’on retrouve David Splanger, qui parle d’initiation Luciférienne pour l’entrée dans le “Nouvel Ordre Mondial”) pour la venue de leur nouveau Christ. 

Cela fait vraiment penser au “Grand Reset” appelé de ses vœux par Klaus Schwab… À noter que l’un des principaux symboles du mouvement “New-Age” est l’arc-en-ciel et que ce motif évoque grandement le logo du badge représentant les objectifs globaux du développement durable du “Forum Économique Mondial” auquel adhèrent Bill Gates et ces mondialistes. Dans les saintes écritures, l’arc-en-ciel symbolise l’alliance éternelle de Dieu avec les hommes, c’est le “pontifex”, le chemin qui relie le  plan terrestre au plan divin céleste. Cependant, dans le mouvement “New-Age” ce symbole est totalement détourné de son sens premier pour signifier la construction du pont arc-en-ciel  entre l’homme et Lucifer qui disent-ils, est l’âme supérieure.







L’arc-en-ciel est incontournable pour les mondialistes, il est le symbole de la profonde révolution de la société, du changement en marche pour l’avènement du nouveau monde. On le retrouve dans l’écologie (Rappelons-nous de l’affaire du bateau le Rainbow Warrior, le guerrier arc-en-ciel de Greenpeace), mais aussi dans la révolution des moeurs, portée par le mouvement LGBT et son drapeau, ou encore au niveau du métissage avec l’emblématique nation arc-en-ciel initié par Desmond Tutu en Afrique du Sud, ou encore avec des marques telles que United colors of Benetton. C’est une révolution spirituelle et anthropologique, un mouvement de fond destiné à changer l’essence même de l’homme pour le préparer au nouveau monde à venir et qui vise à déboucher sur une société de l’indifférenciation, de l’indistinction généralisée, sans plus aucun repère. C’est-à-dire, plus de distinction entre les territoires, les pays, plus de distinction entre les cultures, les races, entre les hommes et les femmes avec le “Gender”, entre les hommes et les animaux avec l’anti-spécisme et le véganisme, entre l’homme et Dieu avec le transhumanisme, entre l’homme et la machine avec la robotique et l’I. A., entre les enfants et les adultes avec la sexualisation précoce et la pédophilie. Le but recherché étant d’aboutir à un nouvel homme, asexué, hors-sol et déraciné, qui soit coupé de tout déterminisme, de toute histoire, de toute culture, de toute transmission et de toute transcendance… Un homme, atomisé, ne se rattachant plus à aucune communauté de destin, un simple consommateur en somme, dont les seuls repères identitaires encore tolérés resteraient ceux des marques de consommation.

Les efforts individuels et collectifs du mouvement “New-Age” visent ultimement à construire collectivement ce qu’on appelle l’Antahkarana, défini comme un “pont arc-en-ciel planétaire” mystique, créé par la poussée ascendante des énergies spirituelles et mentales de l’humanité à une extrémité et la réponse descendante de la haute Hiérarchie spirituelle à l’autre, de façon à «unir l’humanité et la Hiérarchie». Ce pont arc-en-ciel est construit par une «science de la manipulation des énergies entrantes et des forces sortantes». Une fois terminé, le pont sera “électrifié” ou “énergisé” et servira d’avenue par laquelle la Hiérarchie peut poursuivre «l’intercommunication planétaire complète» pour que Sanat Kumara puisse diriger les affaires du monde. 


Il se trouve que l’on peut justement retrouver le symbole ésotérique de l’Antahkarana dans le logo même de l’opération Warp Speed de vaccination massive propulsé par l’administration Trump. Il s’agit d’un partenariat public-privé lancé par le gouvernement fédéral des États-Unis pour faciliter et accélérer le développement, la fabrication et la distribution de vaccins thérapeutiques contre la Covid-19. Ce logo est composé d’un hexagone et juste derrière l’image centrale du virus, on peut distinguer la forme caractéristique du symbole de l’Antahkarana. Dans la culture hindie, il symbolise essentiellement l’esprit et donc par extension, le cerveau. Dans le système occulte Théosophique, il est considéré comme un pont entre les manas inférieurs et supérieurs. Un des enseignements théosophiques est que la glande pituitaire est reliée à l’Antahkarana. La glande fait partie du cerveau mais se trouve en dehors de la barrière hémato-encéphalique. Sachant que la protéine “Spike” est capable de franchir et d’endommager la barrière hémato-encéphalique du cerveau. Les étoiles de ce logo pourraient figurer les protéines “Spike et il se trouve qu’elles pointent en direction de l’Antahkarana donc de la glande du cerveau… Ce logo semble donc bien indiquer de manière très subtile que le cerveau est au centre de l’objectif de cette opération militaire. Ces vaccins influençeraient-ils d’une quelconque manière la connexion entre le soi supérieur et la personnalité humaine ?



Par ailleurs, pour revenir à Bill Gates, il est aussi de notoriété publique qu’il  fréquentait le milliardaire et pédocriminel Jeffrey Epstein. Bill Gates pensait même que Epstein était son ticket d’entrée pour obtenir le “Prix Nobel”, que dans sa mégalomanie, il convoitait, étant même prêt à soudoyer le jury pour l’obtenir ! Un fait troublant à propos de cette amitié entre milliardaires est qu’elle a commencé après qu’Epstein eut été condamné pour avoir sollicité un mineur et après s’être enregistré comme délinquant sexuel. En d’autres termes, Gates savait exactement ce qu’était Epstein et il était d’accord avec ça. Non seulement cela, il est devenu proche de lui. Les liens entre Gates et Epstein se sont poursuivis jusqu’à la toute fin, quelques jours avant sa mort. Epstein a même modifié son testament et a nommé Boris Nikolic, conseiller scientifique de la Fondation Bill et Melinda Gates, en tant qu’exécuteur de secours. En outre, Gates aurait effectué jusqu’à six trajets à destination de sa fameuse “île aux pédophiles” en empruntant le désormais tristement célèbre avion, le “Lolita Express”.  C’est dire qu’en coulisses, les mœurs du bonhomme doivent être particulièrement peu recommandables et hautement dépravées… Ce qui contraste singulièrement avec l’image ultra-lisse qu’il cherche à se donner médiatiquement avec sa femme Melinda Gates et ses charmants enfants. 

À noter que Jeffrey Epstein, non content de tremper dans les plus nauséabonds trafics de pédophilie, était aussi très versé dans le courant du transhumanisme, dont il était un généreux donateur en ayant versé plus de 6,5 millions de dollars au programme de “dynamique évolutive” de “l’Université d’Harvard” et 20 000 dollars à la “Worldwide Transhumanist Association”, renommée aujourd’hui “Humanity Plus”. En ce sens, ce malade mental nourrissait l’ambition et le projet proprement délirant d’utiliser son ranch au Nouveau Mexique, comme d’une base où une vingtaine de femmes pourraient alors être inséminées avec son sperme afin de donner naissance à ses enfants. Il était intimement convaincu que son ADN était supérieur à celui de la plupart des gens et avait déclaré «Je vais repeupler la terre avec mes spermatozoïdes.» Pourquoi avoir utilisé ce terme de “repeuplement”, si ce n’est pour sous entendre que la terre aurait été au préalable dépeuplée ? Ce sont ces mêmes élites qui jugent la terre trop peuplée, qui parlent de la repeupler ?

On a aussi eu le droit à une apparition de Melinda Gates dans l’émission Today Show, afin de faire campagne pour un futur vaccin mondial contre la COVID-19. Petit détail, elle portait alors discrètement à son coup, mais visiblement, un collier avec une croix renversée. Il s’agit là d’un des principes du satanisme qui joue sur l’inversion des symboles positifs pour les pervertir et les souiller.

En recoupant toutes ces informations, on pourra donc s’inquiéter et se poser légitimement la question si Bill Gates ne serait pas affilié au satanisme. Une question qui, si elle relève de croyances d’ordre privées et personnelles, est dans son cas tout sauf secondaire, étant donné le pouvoir d’influence exorbitant que possède cet individu auprès des gouvernements et des institutions internationales, mais aussi directement sur nos vies et notre santé

Il faut aussi savoir que notre gouvernement bien-aimé, a choisi de confier nos informations confidentielles de Santé à “Microsoft” ! La firme de Redmond a ainsi touché 200 000 euros de l’État pour contrôler les informations de Santé les plus intimes des 67 millions de Français qui seront hébergées sur les serveurs de la société américaine, au détriment d’OVH, une société française. Un véritable scandale ! D’autant plus que les bases de données américaines sont soumises à la loi du “Cloud Act”, qui donne patte blanche aux agences de renseignements pour exploiter à leur guise les informations privées. Et il se trouve que “Microsoft” a justement un lourd passif en matière de collaboration avec des agences telles que la CIA ou la National Security Agency. Rappelons-nous de Bill Gates et du scandaleux programme PRISM, qui fut révélé en 2013 par le lanceur d’alerte Edouard Snowden. On peut d’ailleurs supposer que cette étroite collaboration avec les services secrets de renseignement n’est sans doute pas totalement étrangère au succès du système d’exploitation “Windows” et à sa diffusion mondiale, voire “gratuite” dans sa dernière mouture. Le logiciel étant réputé avoir des “backdoors”, des portes dérobées pour s’introduire dans votre intimité et violer allègrement notre vie privée.

Enfin, pour revenir une dernière fois sur l’incontournable chiffre 666, on peut relever un dernier petit et malicieux clin d’œil de cette oligarchie sataniste mondialiste avec le vaccin de Moderna qui contiendrait de la Luciférine dissoute, avec 66,6 ml de phosphate distillé ! 

Et il est aussi troublant de constater que le graphène, ingrédient secret contenu dans ces vaccins, soit un composé d’atomes de carbone arrangés selon un motif hexagonal. L’atome de carbone est formé d’un noyau comprenant 6 protons et 6 neutrons, autour duquel 6 électrons sont en orbite, soit encore une fois 666.

Autre étrangeté assez incroyable : en lisant le mot “COVID” de gauche à droite, on obtient en hébreu קוביד. Or, si on renverse ce mot hébreu, on obtient דיבוק, ce qui correspond au Dybbouk. Ce dernier désigne dans la mythologie juive et kabbalistique, un esprit malin, ou un démon qui habite le corps d’un individu auquel il reste attaché. Il prend possession de quelqu’un et le rend fou et irrationnel, vicieux, corrompu ce qui correspond de manière assez saisissante avec la situation de plus en plus folle que nous traversons actuellement…

Autre curiosité très inquiétante, en ce qui concerne le vaccin nommé “Astrazeneca” : il se trouve que lorsque vous traduisez ce bien curieux nom du latin au français, vous obtenez comme résultat, «Tue les étoiles». Voilà qui est pour le moins mal venu pour baptiser un vaccin censé aider et prendre soin de notre Santé. Il y a tout de même le mot “Tue” qui ressort… De plus en occultisme, l’homme est souvent représenté par une étoile, car avec ses quatre membres et sa tête, il s’inscrit parfaitement dans une étoile à cinq branches, comme dans la figure exotérique du “Pentalfa”… Ce qui fait que ce nom pourrait se traduire par “Tue les hommes”. Pourquoi avoir opté pour un tel nom ?


Par ailleurs, tout récemment nous avons eu le droit à l’apparition du variant “Omicron”, qui selon les dires d’un journaliste, surplombe le variant “Delta”, ce qui est symboliquement très intéressant. D’emblée que l’on se rassure : annoncé par les médias avec grand fracas, il s’agit en fait d’une tempête dans un verre d’eau, puisque ses symptômes s’apparentent plus à ceux d’un rhume qu’à ceux de la peste noire… Quinzième lettre de l’alphabet grec, “Omicron” est dérivée du phénicien “Ayin”, qui signifie “œil”. le “Delta” ou “Triangle” est donc surplombé par “l’Omicron” ou “Œil” selon l’alphabet phénicien des origines. On se retrouve donc avec l’emblème du sceau maçonnique du “Delta lumineux, rayonnant ou radieux” composé de pyramide et de son œil qui voit tout, comme on peut l’apercevoir sur le billet de un dollar de la monnaie américaine. Or il ne peut s’agir d’un simple hasard, mais d’un choix délibéré, puisque si l’on suit la logique initiale de nommer les variants par rapport à l’ordre de l’alphabet grec, il manque les lettres intermédiaires d’Epsilon (Ε) à Xi (Ξ).


Par ailleurs, le variant “Omicron” évoque le titre d’un jeu vidéo futuriste et dystopique, Omikron, The Nomad Soul du créateur David Cage qui fut édité en 1999 par “Eidos” et développé par le studio français “Quantic Dream”. Il s’agit d’une œuvre tournant autour du transhumanisme (David Cage fera aussi en 2018 la promotion des idées de ce mouvement avec le jeu Detroit: Become Human sur PS4), puisque le joueur peut transférer son esprit d’un avatar à un autre. “L’âme nomade” se déroule dans une ville futuriste appelée “Omikron”, qui est une métropole densément peuplée placée sous le contrôle d’un ordinateur intelligent et enfermée sous un dôme de verre la protégeant du violent climat extérieur. “Omikron” est une ville au régime politique totalitaire, à l’ambiance cyberpunk subversive. Quatre secteurs différents composent cette métropole, avec une impossibilité pour les habitants de quitter leur secteur respectif. Les gens sont littéralement enfermés en permanence dans cet univers. Le jeu fait la part belle au chanteur David Bowie, qui incarne Boz, un être mystique et un leader révolutionnaire dont l’esprit est piégé dans un ordinateur et qui n’existe que sous forme électronique sur les réseaux informatiques d’omicron. Il dirige un ancien ordre religieux. Il se trouve que le Directeur des Nouvelles Technologies de “Facebook”, rebaptisé depuis “Meta” s’appelle précisément BOZ sur les réseaux sociaux, exactement comme le nom de l’I.A, de ce jeu. Des éléments de scénario fort troublant qui évoquent résolument la situation actuelle.

Pour rester sur la symbolique Apocalyptique, on peut évoquer le cas de l’UNICEF Norvège, cette ONG d’esprit mondialiste, qui dans une publicité, a communiqué autour du vaccin comme s’il s’agissait d’un produit de mode et de luxe, en reprenant tous les codes de cet univers Bling-Bling et au passage l’imagerie de la femme écarlate, la grande prostituée de “l’Apocalypse de Saint-Jean”, à savoir : «Cette femme qui était vêtue de pourpre et d’écarlate, et parée d’or, de pierres précieuses et de perles. Elle tenait dans sa main une coupe d’or, remplie d’abominations et des impuretés de sa prostitution.» Une publicité très surprenante, particulièrement incongrue et de très mauvais goût, car la coupe de l’abomination est ici remplacée par le vaccin contre la COVID-19…

Précisons au passage que l’UNICEF est financée en partie par la GAVI, “l’Alliance du Vaccin” de Bill Gates. Pour rester dans le symbolisme occulte, cette même ONG a organisé le 25 octobre 2018 au Clifton’s Republic à Los Angeles, un bal masqué très ténébreux, tout à fait dans l’esprit du film “Eyes Wide Shut”qui fut l’œuvre posthume du réalisateur Stanley Kubrick et qui parlait d’orgies à base de rituels magiques dionysiaques dans les sociétés secrètes élitistes

Dans ce bal de l’UNICEF, on retrouvait dans la même veine, des participants ornés de masques cornus démoniaques et vêtus de costumes résolument sataniques Un choix esthétique, très surprenant et en parfait décalage avec la mission revendiquée par cette ONG, qui serait de répondre aux besoins des enfants et des femmes des pays en voie de développement. Signalons au passage que cette ONG est aussi entachée de différents scandales financiers, d’agressions sexuelles, et même de trafics d’enfants !

 


Le phénix, comme symbole du passage au nouveau monde

Mais ce n’est pas tout, sur une affiche de communication intitulée “Remaking the Post-COVID World” ou refaçonner le monde de l’après COVID et annonçant la tenue d’une conférence de Richard Doode au “Fonds Monétaire International”, on retrouve un phénix.


Le phénix, du grec ancien φοῖνιξ / phoinix, est un oiseau légendaire. En alchimie, ce mythique et flamboyant volatile, qui brûle, se consume pour renaître de ses cendres est très important ! Il est doté de longévité et caractérisé par son pouvoir de renaître après s’être consumé sous l’effet de sa propre chaleur. Il est un symbole de renaissance et d’immortalité.




Et le passage d’un monde à un autre est bien un processus de nature alchimique, une transmutation d’un état donné à un autre… Le phénix peut donc représenter la renaissance de ses cendres du monde entier, en tant que “Nouvel Ordre Mondial”, par un processus “d’Ordo Ab Chaos”, de dissolution et de recombinaison, de “Solve” et de “Coagula”. Cet oiseau d’essence très luciférienne, est ici orné sur ses ailes de chiffres numériques, qui représentent la prochaine devise électronique, la crypto-monnaie mondiale. Le volatile jaillit d’un œuf symbolisé graphiquement par le virus  ! C’est donc bien le virus qui lui donne naissance. La symbolique parle d’elle-même et ne souffre d’aucune ambiguïté…

Ce phénix renvoi directement à celui que l’on pouvait apercevoir sur une ancienne couverture de la Revue “The Economist”, la feuille de choux économique de la puissante dynastie des Rothschild, datée de 1988 et intitulée “Préparez-vous pour la prochaine monnaie mondiale”, où l’on peut voir les différentes monnaies papier que sont le Dollar, le Yen et le Deutsche Mark brûler, pour partir en fumée et la même figure de phénix renaître de cette destruction pour se dresser au-dessus et accompagner l’émergence d’une nouvelle monnaie mondiale justement appelée “Phénix”. Cette dernière était alors annoncée à l’horizon de 2018… La tête de l’oiseau est surmontée d’un Lys qui symbolise son hégémonie et son emprise absolue sur le nouveau monde. Songez que cette couverture à maintenant 32 ans et à peu de choses près, nous y sommes ! Cela donne littéralement le vertige…



D’ailleurs tout récemment, dans son numéro du 8 mai 2021, la revue “The Economist” annonce sans ambiguïté la venue prochaine de la monnaie numérique. Là encore, rien est laissé au hasard au niveau des détails dans le symbolisme affiché. En effet, on retrouve sur cette monnaie numérique et virtuelle le Temple, la pyramide maçonnique de l’œil qui voit tout et un détournement qui en dit long de la formule héritée du dollar “In God we trust” modifiée en “In tech we trust”. Dieu est donc littéralement éclipsé de l’équation et remplacé par la technique et la science, qui fait des miracles. Voici la marque de l’orgueil humain dans toute sa splendeur… Enfin, en position centrale, on retrouve la lettre “G” pour reprendre la Gnose” de la connaissance des initiés, la lettre emblématique de la maçonnerie (qui seule peut se tracer à l’aide d’un compas et d’une équerre) et aussi sans doute pour faire référence à la “Gouvernance Mondiale”. Relevons enfin la subtile présence à proximité du “G” d’une sorte de puce électronique, sans doute la fameuse puce RFID sous-cutanée.

Là aussi, l’asservissement des populations fut progressif. Nous avons d’ores et déjà perdu toute forme d’autonomie financière. Par le passé, le patron versait directement les salaires de son employé en liquide, de la main à la main, et ce dernier pouvait alors disposer et jouir du fruit de son labeur, comme bon lui semblait. C’était avant que la banque, à partir de 1976, ne se place en tant qu’acteur intermédiaire, entre nous et notre argent dûment gagné à la sueur de notre front, en s’étant arrogé un droit de contrôle sur toutes les transactions effectuées. Dès lors, nos économies en dépôt ne nous appartiennent plus réellement, elles sont comme prises en otage par ce système bancaire parasite, si bien qu’il est impossible de retirer de grosses sommes, sans avoir à en rendre compte et à se justifier, au prétexte de lutte contre le terrorisme. La prochaine étape sera la disparition pure et simple des espèces, au profit d’un argent totalement dématérialisé avec un portefeuille électronique pour un contrôle total de la moindre transaction et une mise à mort sociale de l’individu s’il ne dispose pas du marquage du système, qu’il soit riche, ou pauvre. Ce système de paiement numérique sera associé à une identité globale (ID2020) regroupant toutes les informations de chaque individu et son carnet de vaccination.

En outre, il est à noter que l’on retrouve aussi la représentation d’un phénix en position centrale d’une gigantesque fresque murale située dans la Chambre du Conseil de Sécurité de l’ONUà New York, Organisation Mondialiste s’il en est… Cette toile que l’on doit à l’artiste norvégien Per Krohg symbolise elle aussi le passage de l’ancien monde en proie au chaos et à la destruction, vers un nouvel ordre du monde plus lumineux, sous l’action des initiés. L’artiste décrivait cette fresque ainsi : «L’essence de l’idée est de donner une impression de lumière, de sécurité et de joie. Le monde que nous voyons au premier plan s’effondre, alors que le nouveau monde basé sur la clarté et l’harmonie peut être construit, ainsi le travail de l’ONU et du Conseil de sécurité doit fournir les graines d’une vie nouvelle et plus précieuse.» Juste au-dessus, on retrouve une allusion à l’arbre de la connaissance et à son fruit défendu, qui est tendu aux hommes par un ange civilisateur pour lui permettre de s’émanciper du “mauvais Dieu”. Sous le phénix renaissant, gît un dragon qui se tue lui-même avec une épée et qui est le symbole de la mort de la religion de l’ancien et mauvais Dieu des chrétiens, qui est terrassé. D’ailleurs, à la base de cette composition, en plus de la signature de l’artiste, on peut lire en petits caractères, une discrète mais sans équivoque inscription : «L’homme triomphera de Dieu».

Ce dragon est le même que l’on retrouve sur la figure gnostique et alchimique dite du REBIS. Il s’agit d’un autre symbole incontournable en franc-maçonnerie… En effet, ce dernier tient en respect un dragon qu’il foule aussi de ses pieds. Cette mystérieuse figure androgyne et bicéphale tient dans ses mains les attributs de la connaissance et des sciences, avec son compas et son équerre. Le REBIS représente le Dieu civilisateur et son épouse la connaissance, qui proposent à l’humanité les instruments de sa libération, afin de s’affranchir du mauvais dragon, qui les maintient dans l’ignorance. Ainsi, le compas et l’équerre, instruments par excellence de la recherche scientifique et technologique permettent de maîtriser la création pour devenir légal du mauvais Dieu de la Bible,  représenté par le dragon, pour enfin s’affranchir de sa domination tyrannique. En effet, le globe terrestre, le monde matériel répond à des lois symbolisées par les figures géométriques et les chiffres. Or, la matière, le globe terrestre, est indépendante du mauvais Dieu : elle peut voler de ses propres ailes. Donc, il faut comprendre que c’est par le développement et la maîtrise des sciences et des techniques, en suivant le chemin de l’illumination et de la connaissance, de la Gnose Luciférienne, que l’humanité pourra enfin s’affranchir et se débarrasser du Dieu tyrannique.

Le symbole du Phénix est donc manifestement incontournable pour nos élites ! Il est aussi le symbole pour les initiés de l’illumination spirituelle, après la mort au monde profane. Le symbole du phénix est même l’emblème du REAA, le Rite Ancien et Rectifié de la maçonnerie. Il est sur le sceau de l’ordre et c’est son plus ancien symbole.



 

Il est aussi intéressant de remarquer que l’on retrouve encore ce phénix comme emblème de la trilogie de films dystopiques des Hunger Games, qui dépeignent une société proche du Meilleur des Mondes, où l’on retrouve 12 catégories de gens qui produisent des biens pour des mégalopoles, où les gens se retrouvent concentrés.


 

Signalons aussi que ce symbolisme du phénix, et ce n’est sans doute pas un hasard, est repris comme logo principal de la série de jeux “The Division 1 et 2”. Il s’agit de deux jeux de tir tactique développés par “Ubisoft”, dont le logo est d’ailleurs un 666 entrelacé, et qui sont adaptés du romancier Tom Clancy, spécialisé dans les thrillers d’espionnage. Sortis respectivement en mars 2016 et en mars 2019, l’intrigue de ces deux jeux tourne autour d’une terrible pandémie qui a plongé le monde dans le chaos et l’anarchie. Il décrit la chute des États-Unis, en proie à une guerre civile opposant plusieurs factions, des pillards, des paramilitaires et des survivants d’une quarantaine. Le joueur évolue dans les paysages dévastés et Apocalyptiques de New York et de Washington qui suite à une quarantaine forcée visant à stopper la propagation du virus, ont sombré dans le chaos.

À noter que le pathogène à l’origine de la pandémie, le “Poison Vert” s’est diffusé à l’origine via des billets contaminés le jour du “Black Friday”. Un bon moyen de diaboliser la monnaie fiduciaire dans les jeunes esprits… Le virus contamine les individus, les objets et la nourriture. L’effondrement passe par différentes étapes : hôpitaux saturés, quarantaines et rationnements imposés, transports arrêtés, commerce international interrompu, marchés financiers qui s’effondrent, pénuries de nourriture et d’eau… Tout le monde doit alors lutter pour survivre, l’anarchie règne et chacun devient une menace potentielle. Le but du jeu est alors de rétablir l’ordre et de reconstruire une nouvelle société sur les ruines de l’ancienne. On retrouve encore une fois le principe occulte de “l’Ordo ab Chaos”. D’ailleurs sous le logo du phénix du jeu on peut lire l’inscription “Extremis Malis” et “Extrema Remedia”, en d’autres termes, pour faire face à une situation de mal extrême, il faut envisager une solution extrême… Encore une fois, s’agit-il d’une œuvre de programmation prédictive, de propagande et de conditionnement des esprits ?

Au passage, on pourra relever qu’on retrouve aussi la symbolique du phénix dans une autre franchise à succès de cet éditeur de jeux, celle des Assassin Creed.

L’un des logos, inspiré de la série représente même carrément une tête de Baphomet, sous laquelle on peut lire l’inscription suivante : “Final Faith”, soit la foi finale !

On pourra aussi noter une communication très intéressante pour promouvoir cette franchise, avec des Tee-shirts aux slogans particulièrement révélateurs de l’idéologie qui anime ses développeurs : «Rien n’est vrai» et «Tout est permis» soit le relativisme le plus absolu, doublé du nihilisme le plus intégral.

À noter aussi que le héros d’Assassin Creed se prénomme Desmond, qui évoque le mot Démon et que ce dernier passe sont temps à adopter des postures christiques lorsqu’il s’élance dans les airs pour effectuer un “Saut de l’Ange”, formant ainsi dans sa posture en tendant ses deux bras, une croix inversée… Un pur hasard, sans doute !


Par ailleurs, il est à noter qu’on aura pu retrouver l’usage d’exactement le même symbolisme dans la cérémonie de clôture des Jeux Olympiques de Londres en 2012. Ici aussi, émergeant du feu produit par des pétales et représentant les différentes nations du monde se consumant mais aussi la forme d’un virus, un phénix apparaît au-dessus d’un gigantesque chaudron olympique. Juste après l’apparition du phénix, une chanson du groupe Take That a été diffusée, avec un titre plutôt symbolique en lien avec le contexte : Gouverne le monde. Ce fut une cérémonie particulièrement glauque et inquiétante, surtout lors du tableau n°2 intitulé Pandémonium. Le Pandémonium désigne en littérature la capitale imaginaire de l’Enfer, où Satan invoque le conseil des démons pour préparer l’Apocalypse… Tout un programme ! 

Ce mot, qui signifie littéralement «ici, tout est démon», est apparu en 1667, sous la plume du poète anglais John Milton dans son Paradis perdu, juste après l’incendie ravageur de Londres de 1666.

À noter que dans le film “l’Associé du Diable”, le diable en personne, campé par un éblouissant Al Pacino, est le dirigeant d’un célèbre cabinet d’avocats et s’appelle justement John Milton. Dans ce film, le diable à une réplique particulièrement intéressante :
«J’ai passé mon existence ici moi, je suis resté collé à l’homme depuis qu’on l’a mis là. J’ai nourri chacune des sensations que l’homme a eu la bonne inspiration d’avoir. J’ai cherché à lui donner ce qu’il voulait, je ne l’ai jamais jugé. Pourquoi ? Parce que je n’ai jamais rejeté l’homme, en dépit de toutes ses imperfections. Parce que moi, j’aime l’homme ! Je suis un humaniste, peut-être même le dernier humaniste. Qui oserait dire le contraire, Kevin, quand j’affirme que le XXᵉ siècle a entièrement été mien ? Mon temps est venu !» On retrouve aussi dans ce film fantastique, une séquence très troublante, si on la met en perspective avec l’actuelle pandémie et son confinement exceptionnel, qui pour la toute première fois de son histoire, a littéralement vidé les rues de New York… En effet, dans une scène, on peut voir Kevin Lomax, le protagoniste principal de l’intrigue déambuler dans les rues totalement désertées de New-York, juste avant de rejoindre le diable qui occupe la Trump Tower.

«C’est au nom des «droits de l’homme», tout particulièrement que l’on tente, maintenant comme hier, à l’Ouest tout autant qu’à l’Est, de justifier bien des atteintes à la dignité humaine. C’est en se réclamant de l’homme comme tel qu’on parvient le mieux à l’écraser.» Pr. Jean-Marc Trigeaud, Droits de Dieu et droits de l’homme, Tequi, 1989

Pour en revenir au volet “Pandémonium” de la cérémonie de clôture des “Jeux Olympiques de 2012”, il s’agissait d’une sorte de ballet macabre mis en scène par le réalisateur britannique Danny Boyle. On retrouvait là aussi de nombreux éléments symboliques se rattachant à une pandémie, avec des lits d’hôpitaux dans lesquels sont soignés des enfants malades, et même la représentation d’une forme de virus géant par vue aérienne du haut du stade !

Au beau milieu de cette scène surréaliste, se dressait la figure particulièrement hideuse et menaçante de Lord Voldemort, le personnage très antichristique et ténébreux tiré de la saga des “Harry Potter” écrite par J. K. Rowling. D’ailleurs au passage, dans cette série de livres initiatiques et hautement symboliques, on retrouve encore le Phénix, avec même un des livres qui s’intitule, “Harry Potter et l’Ordre du Phénix”

Cerise sur le gâteau occulte, cette séquence du spectacle olympique fut accompagnée par le célèbre thème musical de “L’exorciste” de Mike Oldfield. Au cas où vous ne le sauriez pas, il s’agit d’un grand classique des films d’horreur des années 70, qui met en scène une fillette possédée par le diable. Le tout formant un tableau particulièrement malsain et inquiétant. Drôle de choix artistiques pour illustrer les “Jeux Olympiques”


 


Le port du masque, un rituel ?

«Cette crise révèle aussi une désocialisation ; la culture du masque nous habitue à une vie sans visage, sans percevoir l’unicité et la singularité de chacun ; les rues ont été investies par des clones oppressés qui rasent les murs et se réfugient dans l’anonymat et l’indifférence, posture hygiénique de l’immunité qui fait passer la communauté humaine vers son contraire, la distanciation, l’exclusion, l’atomisation, où l’on traite les humains comme des corps en oubliant l’âme, la relation à autrui qui fonde l’humain.» – Monseigneur Rey

«Les masques ne vous permettent pas de contrôler le virus, ils vous contrôlent vous ! Nous  construisons une génération d’enfants qui vont avoir peur du monde qui les entoure. C’est la  botte de George Orwell.» – Dr Lee Merritt, médecin orthopédiste et chirurgien militaire. 

Quant au masque chirurgical, comme d’un point de vue strictement sanitaire, il constitue une véritable aberration lorsqu’il est porté en population générale et en extérieur. Alors, pourquoi son imposition globale par nos gouvernements respectifs, si ce n’est pour nous faire participer à une sorte de rituel occulte qui ne dirait pas son nom ? En masquant les émotions et les sourires, ils ont coupé la joie de ce monde et brisé le moral de la population. L’humanité a ainsi été comme enfermée dans une camisole de peur, impliquée de force dans une forme de rituel à ciel ouvert, plongée dans un état d’esprit négatif, avec de très basses énergies et vibrations, comme pour modifier en profondeur les états de conscience suite au traumatisme initial engendré. Ce rituel nous initierait alors au nouveau monde, sans que nous en ayons même bien conscience ! Il nous couperait de notre ancien mode de vie, pour nous plonger et nous maintenir durablement dans un nouveau, avec l’imposition de nouvelles règles et normes. C’est comme un uniforme pour rendre tout le monde «uniforme». Il s’agit d’inculquer un sentiment d’unité, de conformité et d’obéissance.

Il faut savoir que le masque est en effet un élément et un accessoire essentiel inhérent à l’occultisme. Dans les rituels de magie, les participants portent toujours un masque pour accueillir les entités issues du monde invisible… C’est un signe d’obéissance et de soumission aux forces surnaturelles qui ont été invoquées par le maître de cérémonie… Le masque accompagne symboliquement un changement de personnalité, car il cache l’identité première de son porteur, dont il hâte la mort symbolique, pour créer une nouvelle identité, celle de l’initié. Le masque, en occultant une bonne partie du visage annihile la personnalité de son porteur, il le dépersonnalise, le désincarne et le rend indistinct de la masse, réduite à l’état de zombis. En baissant l’afflux d’oxygène au cerveau, le masque rend les gens plus stupides et manipulables, comme l’expose Patrick Fagan, un psychologue et scientifique spécialisé en sciences de l’émotion.

N’est-ce pas aussi là un moyen de générer un puissant égrégore composé d’énergies ultra-négatives, d’un esprit de groupe constitué par l’agrégation de ces intentions et basses énergies comme la peur, la colère, le désespoir, la frustration, la colère, avec derrière des visées occultes bien définies ?

Le port du masque est aussi une forme de censure, de soumission et de déshumanisation des individus, comme un bâillon ou une muselière… Il évoque les masques que portaient les esclaves lors de la traite négrière. Il nous fait taire, comme une prison psychique et nous prive de la communication non verbale, qui est de l’ordre de 70 pourcent chez les êtres humains. Lorsque l’on nous prive de cette capacité d’expression, on nous prive de l’essentiel de notre capacité à comprendre de manière précise ce que rapporte notre interlocuteur et surtout comment l’interpréter. Les échanges humains perdent alors toute saveur et une grande partie de leur intérêt. Au cours de ces derniers mois, on a pu voir au combien la censure s’est justement abattue sur toutes les voix divergentes et les points de vue alternatifs au récit officiel. C’est aussi une marque de soumission et de contrôle social, qui témoigne directement de l’acceptation tacite de son porteur aux nouvelles règles imposées arbitrairement, même si celles-ci ne tiennent pas la route d’un point de vue médical ou légal. On a cherché à psychiatriser les quelques réfractaires au port du masque, en les faisant passer pour des individus “narcissiques”, des “psychopathes” et des êtres “machiavéliques”. En outre, les masques sont totalement déshumanisants, ils ont modifié notre rapport aux autres, ils instaurent une distance entre les individus et nous coupent de notre langage corporel, de nos expressions, de nos émotions, de notre humanité et de notre empathie. Ils rendent encore plus individualistes et indifférents, si bien qu’on ne perçoit plus les gens comme des êtres  humains, mais uniquement comme des dangers potentiels.



Les couvertures de la revue “The Economist”, où lorsque les élites nous narguent et jouent avec nous !

“The Economist”,  The World in 2019



Attardons-nous maintenant sur d’autres éléments fort interpellant comme la couverture annuelle de “The Economist, le monde en 2019” parue le 16 janvier 2019, que nous allons décrypter en détails.

Dans ce numéro spécial, qui est édité chaque année, les élites aiment faire figurer à l’avance les grands bouleversements et tendances de fond que pourra connaître le monde dans les prochains temps. Ils le font toujours avec grande malice, de manière ludique, énigmatique, cryptée et symbolique… Comme un subtil jeu de piste digne du “Da Vinci Code”.

Ici par exemple, les mots sont inscrits en miroir et il faut leur appliquer une symétrie pour en dévoiler le contenu. Il s’agit d’un clin d’œil à une discipline qu’affectionnait tout particulièrement le maître Léonard de Vinci, auquel cette couverture rend directement hommage à l’occasion de l’anniversaire de ses 500 ans. À son époque, certains accusaient Léonard de Vinci d’hérésie, car il utilisait justement ce procédé de codage, qui était considéré comme les “écrits du diable”. Dans les cercles occultes, l’écriture miroir est d’ailleurs souvent associée au satanisme et à la magie noire, qui est basée sur l’inversion des symboles. Lire à l’envers est un procédé courant dans l’interprétation magico-cabalistique.

Il s’agit ici de la trente-troisième édition de ce numéro annuel de “The Economist”. Un nombre qui est bien mis en exergue dans l’avant-propos dudit magazine, comme s’il s’agissait d’une précision notable. Il se trouve justement que ce nombre revêt une importance toute particulière pour la fraternité de la franc-maçonnerie, car le “Rite Ancien et Accepté”, qui est le plus répandu dans le monde, comprend justement 33 degrés d’initiation.


La figure principale de cette couverture est un clin d’œil à la célèbre œuvre de l’Homme de Vitruve. L’esquisse originale de Léonard de Vinci s’inspire des œuvres de Vitruve, un architecte romain, considéré comme le Premier Grand Maître de la Franc-maçonnerie. Ce dessin est une représentation des proportions anatomiques parfaites et harmonieuses de l’être humain, suivant celles du nombre d’or qui respectent les canons fixés à l’époque romaine par le grand architecte Vitruve, et analysés à l’époque de la Renaissance par le mathématicien Luca Pacioli dans son De Divina Proportione.

Mais ce motif est bien plus que cela, puisque c’est aussi une figure ésotérique hautement symbolique pour les kabbalistes et les franc-maçons. Il s’agit d’une représentation de l’Adam Kadmon, ou de l’homme divinisé ayant atteint le degré de perfection originel. En effet, cette figure ésotérique réalise l’union entre la matière représentée par le carré et l’esprit représenté par le cercle, pour obtenir la quadrature du cercle. Soit, l’homme mesure du monde qui devient une divinité incarnée.

En «quadrillant le cercle», il est dit que le Franc-maçon atteint la divinité. Il y a donc un rapport direct avec la maçonnerie, puisque le symbole par excellence pour représenter la confrérie des maçons n’est autre que le compas et l’équerre. Il s’agit de deux instruments géométriques qui permettent de tracer le cercle et le carré, pour créer l’homme parfait. Le maçon est une pierre brute qui doit se polir et se tailler afin de se perfectionner en suivant l’illumination spirituelle par degré, afin de tendre vers la divinité.

Cette figure représente aussi ésotériquement le corps humain, Microcosme comme étant un reflet de l’univers tout entier, le Macrocosme. Il s’agit d’un principe hermétique, qui peut se résumer par le dicton tiré de la table d’émeraude d’Hermès Trismégiste «Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas».

C’est pour cela que ce symbole est régulièrement repris comme par exemple par l’entreprise Manpower dont le slogan est «la puissance de l’homme», mais aussi par le mouvement transhumaniste, ou encore comme logo de la série Westworld.



La particularité de cette couverture de l’année 2019 est que si on y prête bien attention, elle est littéralement truffée de symbolismes en liaison avec la pandémie. Ainsi, on y retrouve pêle-mêle représenté :

Un pangolin, animal qui avec la chauve-souris, fut tenu pour responsable de la propagation du virus à l’homme au tout début de l’épidémie en Chine.


Les quatre cavaliers de l’Apocalypse : figures menaçantes et macabres s’il en est, ils sont synonymes de grandes tribulations, de cataclysmes et interviennent dans les épidémies, en semant derrière eux chaos et désolation.


L’un des quatre cavaliers est coiffé comme la “Statue de la Liberté” et semble même porter un masque chirurgical de protection pour les pandémies. Il n’est pas anodin d’avoir fait porter ce masque, symbole de la soumission aveugle à l’autorité sur la statue de la liberté… Faut-il comprendre que la liberté est désormais une notion désuète, reléguée au passé ?


À ses côtés, on peut observer un autre cavalier, dont les traits ressemblent étrangement à ceux du professeur Didier Raoult, microbiologiste de renommée internationale, qui a fait couler beaucoup d’encre tout au long de cette pandémie… Il porte sur la tête une couronne, ce qui peut ramener au virus à couronne, le coronavirus.


En figure centrale de la composition, se dresse une version modernisée de l’Homme de Virtuve. L’homme tient dans sa main droite un smartphone avec un QR code, ce qui peut rappeler les autorisations de déplacement pendant le confinement… Et qui préfigure les QR code du Pass Santé qui est sur le point de s’imposer partout avec des scans obligatoires pour être autorisé à se rendre dans certaines zones.


Sur son bras gauche, on peut apercevoir un brun d’ADN tatoué. Or, le vaccin qui va être utilisé pour lutter contre la COVID-19 sera justement un vaccin à ARN Messager, capable d’intervenir au niveau de l’ADN humain, sans doute pour l’altérer. À noter que le monsieur vaccin missionné par le gouvernement est le professeur d’immunologie et pédiatre Alain Fischer qui est aussi accessoirement le Président de la fondation Edmond de Rothschild… De plus, il faut aussi savoir que derrière “Pfizer”, “Sanofi” ou “AstraZeneca” se cache la société “BlackRock”, qui a pour actionnaire principal les Rothschild, qui gèrent 16 milliards de dollars de vaccins.

 
 
Il s’agit ici sans nul doute d’une satire de l’homme moderne, de l’homme du commun des mortels, l’homme de la masse vulgaire, qui est tout simplement tourné en dérision avec malice par les Rothschild. En effet, si cette figure cabalistique représente traditionnellement l’homme accompli, le haut initié réalisant l’union entre la matière et l’esprit, en revanche sur cette couverture, ce nouvel homme de Vitruve 2.0, cet homo numericus, semble désespérément ancré dans le matérialisme, coupé de toute transcendance et connexion divine. 

  

Il est désespérément rattaché, retenu dans la matière dans sa dimension la plus temporelle, car le cercle dans lequel il s’inscrit est représenté par le globe terrestre qui représente le monde matériel. Il n’élève donc pas son esprit. De plus, il tient dans ses mains un portable, une feuille de cannabis, une balle de base-ball et voit son regard empêché par ce qui s’apparente être un casque virtuel… Il est littéralement aveuglé et ne comprend rien à ce qui lui arrive, empêtré dans son univers factice et insignifiant de divertissements, de pain et de cirque. Les yeux étant le reflet de l’âme, celle-ci est alors définitivement voilée.


On retrouve aussi une reproduction d’un tableau autoportrait de la peintre Artemisia Gentileschi, sans doute pour jouer avec le nom de l’Artemesia. En effet, cette dernière, aussi appelée armoise, est une plante médicinale utilisée contre le paludisme, tout comme la chloroquine et elle est donc efficace pour lutter contre le coronavirus. Cette couverture parle alors du mal, mais aussi subtilement de son remède


Autre détail particulièrement intéressant de cette couverture, on peut aussi trouver une allusion à la marchandisation des bébés, avec le développement des formules de reproduction artificielle comme la PMA ou la GPA, puisqu’une cigogne vient apporter un bébé aux parents du futur, dans un colis qui figure un code barre. Il pourrait aussi représenter les nouveaux délires génétiques comme choisir son bébé à la carte selon certains critères physiologiques prédéterminés, rendus possibles grâce aux tripatouillages sur les embryons humains. Bienvenue à Gattaca ! Une pure abomination… Voilà qui fait froid dans le dos et dessine les contours d’un monde hideux et abject qui n’aura décidément rien à envier à l’univers dystopique du Meilleur des Mondes d’Aldous Huxley


Enfin, dans sa main de droite, l’homme tient une balance qui sous-pèse des individus, ce qui peut renvoyer à la tournure d’esprit eugéniste des élites et à leur volonté affichée de dépopulation. Cela évoque aussi le Jugement Dernier, où les âmes sont pesées.

 

On retrouve aussi une allusion à la mise en place généralisée de la reconnaissance faciale, avec la représentation d’un visage examiné sous toutes ses coutures. Ce qui est la prochaine étape dans la technologie de surveillance de la “Big Brother gouvernance”. Au-dessus de l’image, il est d’ailleurs directement écrit à l’envers. “Reconnaissance faciale”.


Autre curiosité de cette couverture, on retrouve la figure de Pinocchio, qui pourrait bien être une représentation du président Macron, car son visage n’en est pas si éloigné. Et il est indéniable que ce dernier a passé son temps, avec le culot qu’on lui connaît, à mentir effrontément au peuple français, depuis le début de cette épidémie…

Il faut bien préciser qu’au moment de la parution de cette couverture, rien ne laissait présager alors d’un avenir aussi chaotique et sombre !


The Economist, Everything's under control

Mais ce n’est pas tout, pour rester sur le symbolisme affiché des couvertures de la revue The Economist, sur l’édition d’avril 2020 figure un citoyen lambda flanqué de son masque médical qui promène son chien en laisse pendant la pandémie et qui est lui-même tenu en laisse et surveillé par une main invisible que l’on peut interpréter comme la main cachée des élites

En somme, il est désormais placé sous le contrôle et la botte des puissants, comme un bon toutou à son maître… Sur cette même couverture, il est aussi précisé que Tout est sous contrôle, le gouvernement globalisé mondial, les libertés, et même le virus. Encore une fois de la part de ces élites, quelle audace et quel cynisme absolu !


“The Economist”,  The Next Catastrophe, and how to survive it

Mais la couverture la plus sinistre et la plus menaçante de The Economist est sans nul doute celle de 2020, The Next Catastrophe, and how to survive it, littéralement La prochaine catastrophe et comment y survivre”.

Elle présente une scène de nature proprement apocalyptique, avec une famille assise sur un canapé dans son salon, chaque membre de la famille étant muni d’un masque à gaz, sauf l’enfant qui est juste coiffé par un simple casque militaire. Encore une fois, il s’agit ici sans doute là d’une subtile moquerie pleine d’ironie et de sarcasmes portant sur l’homme moderne, qui bien trop souvent, se préoccupe plus de son animal de compagnie que de sa propre progéniture… On pourra en effet observer que le chat, contrairement à l’enfant est équipé lui aussi avec un masque à gaz !

Dans les tableaux suspendus au mur en arrière-fond, on peut observer différentes catastrophes dépeintes, des catastrophes d’ordre naturelles avec une chute de météorite, bactériologiques, atomiques avec une bombe nucléaire, écologique avec le réchauffement climatique

Et, au beau milieu de toutes ces scènes de désolation est représenté une horloge qui semble bien être celle de l’Apocalypse et dont les aiguilles indiquent minuit moins une

“The Economist”,  The World in 2021

Et pour ce qui est de la toute dernière couverture en date, celle de The World in 2021”, ils ont cette fois-ci choisi de représenter une machine à sous de casino, dans laquelle on peut apercevoir la possibilité de gagner, comme à la loterie, différentes catastrophes : nouveau virus, guerre civile aux USA, bombe nucléaire, vaccination, incendies de forêt ravageurs, crise économique.

Plus généralement, cette couverture est une représentation du fameux Great Reset, car la manette pour actionner cette machine à sous est surmontée par le globe terrestre.

On pourra aussi remarquer un bonhomme masqué en forme de smiley qui a les yeux fermés et un casque sur les oreilles. Il évoque donc les célèbres trois singes, qui ne voient rien, n’entendent rien et ne disent rien… Encore une fois, c’est une représentation de l’homme du commun, de la masse lobotomisée qui ne comprend rien à ce qui lui arrive et qui se fait aisément manipuler.

On peut aussi voir un vaccin, mais de couleur verte ce qui n’évoque pas la santé, mais plutôt la maladie… Pour finir, sur le dessous de la machine à sous, on peut aussi distinguer des rayons qui évoquent un lever de soleil, et donc l’émergence du nouveau monde.

On l’aura compris, les élites font joujou avec nos vies dans leur grand casino du chaos. Faites vos jeux, mais ne rêvez pas trop, les chances de gagner au casino restant très faible… En fait, à bien y regarder de près, ces pseudo-élites se comportent comme des pervers narcissiques, qui prennent un malin plaisir à jouer avec leurs victimes… Il faut tout de même, vous en conviendrez, être sacrément vicelard et tordu pour se livrer à de tels petits jeux, tabler pour l’année à venir sur un possible chaos, des destructions, des famines décimant les peuples et le représenter le plus naturellement du monde sur une couverture de magazine glacé. Voilà qui est véritablement glaçant !

“The Economist”, The shortage economy


Dans son numéro d’octobre 2021, “The Economist”, avec sa couverture “the shortage economy”, soit littéralement “l’économie de pénurie”, annonce dans cette guerre impitoyable livrée aux peuples la suite des hostilités, avec l’arrivée de pénuries alimentaires mondiales. En effet, elle présente des rayonnages alimentaires de magasin totalement vides ! Seule reste encore une malheureuse pomme à laquelle on est invité à croquer comme dans le fruit défendu, comme ultime choix de survie. Elle sera à n’en pas douter la pomme de la discorde. Elle reprend aussi le motif du globe terrestre, pour bien mettre l’accent sur la dimension mondiale de ces ruptures d’approvisionnement. Autant dire qu’avec l’inflation galopante des prix des énergies comme le gaz, de l’essence et des matières premières et une vague de chômage sans précédent, les prochains temps s’annoncent redoutables. Quelques feuilles éparses jonchent le sol, espérons qu’elles ne représentent pas les gens qui seront balayés comme des feuilles mortes par le souffle destructeur de ces pénuries.


La puissante dynastie des Rothschild

Il me paraît important de m’attarder quelques instants sur la famille qui est derrière les publications de la revue The Economist. Vous l’aurez sans doute compris, il s’agit bien de cette ultra-puissante famille des Rothschild… Rappelons que cette dynastie, immensément fortunée, avec un patrimoine estimé à 500 trillions de dollars, a acquis toute sa puissance financière en usant des pires stratagèmes, en passant par de la spéculation, par de la ruse, de la manipulation, ou de la tromperie et ce, depuis les guerres Napoléoniennes. Les Rothschild sont directement impliqués dans d’innombrables crises financières ou conflits armés de par le monde, dont ils savent à chaque fois tirer le meilleur parti, en n’hésitant pas à financer par exemple deux partis belligérants d’un même conflit pour gagner sur tous les tableaux à tous les coups. C’est dire le niveau de conscience morale qui anime depuis toujours cette famille, dont le blason rouge écarlate doit sans doute sa couleur au sang des peuples qu’ils ont fait allègrement couler. Somme toute, ils n’auront assis leur fortune que sur la misère des peuples, qu’ils ont mis à genoux avec la complicité des gouvernements qu’ils auront soumis et corrompus.

Plusieurs éléments troublants nous emmènent à penser que cette famille est elle aussi affiliée au satanisme. En effet, il se trouve que Lord Jacob Rothschild a, tout comme Bill Gates, une proximité certaine avec l’artiste et sataniste revendiquée, Marina Abramovic. En effet, ils n’hésitent pas à poser ensemble, avec grand cynisme, devant l’imposant tableau de Sir Thomas Lawrence, représentant Satan convoquant ses légions” de 1797. Cette séance de photo eut lieu à la Royal Academy of Arts”, où se trouve la peinture. 

Cette imposante toile représente Satan, l’ange déchu et rebelle qui a été précipité aux enfers. Il tient debout près d’un lac de lave enflammé dans une pose impérieuse, alors qu’il rassemble ses forces, exhorte et convoque ses partisans, ses légions de démons dont son fidèle Belzébuth qui se tient à ses côtés. Le sujet est inspiré par le “Paradis perdu” de John Milton, «Réveillez-vous, lève-toi ou sois à jamais tombé». Il se trouve que cette sataniste notoire a donné le 18 novembre 2019 une conférence parrainée par la Fondation Rothschild à l’Académie Royale des Arts”, afin de présenter au public une rétrospective de son travail et de sa pseudo-œuvre artistique. Pour ceux qui ne connaîtraient pas encore cette artiste” particulièrement prisée des milieux germanopratins, elle s’est spécialisée dans les performances extrêmes infligées au corps humain. Elle repousse ainsi toujours plus loin ce que son corps est capable d’endurer en termes de souffrances. Le moins que l’on puisse dire, c’est que ses dites œuvres révulsent, retournent les tripes et soulèvent le cœur, tant elles sont parfaitement répugnantes et incroyablement malsaines. 

Abramovic est aussi une disciple inconditionnelle d’Aleister Crowley. Ce mage noir, de triste renommée, farouchement anti-chrétien et qui fut sans nul doute l’un des plus grands occultistes du siècle dernier. Il avait la sinistre réputation d’être l’homme le plus malfaisant de son temps et se plaisait à se définir lui-même, en référence directe à l’Apocalypse, comme La Grande Bête en signant ses écrits du nombre de l’Antéchrist, le 666. Marina Abramovic côtoie les plus grands de ce monde et est particulièrement proche de célébrités telles que des chanteurs comme Lady Gaga, Jay-Z, ou encore l’acteur James Franco.

Par ailleurs, autre point intéressant à relever au sujet de cette dynastie Rothschild : on pourra s’étonner que deux productions cinématographiques, sorties en salle la même année, à savoir 1999, ont justement pour toile de fond le satanisme. Il s’agit de “Eyes Wide Shut”, du talentueux Stanley Kubrick et de La Neuvième porte, de Roman Polanski. Tous deux possèdent une intrigue se déroulant pour certaines scènes, dans deux somptueuses propriétés de la famille Rothschild, à savoir, les luxueux châteaux de Mentmore et celui de Ferrière. Le château de Mentmore fut le théâtre de la scène la plus marquante du chef-d’œuvre posthume de Stanley Kubrick : il s’agit d’une scène lancinante, hypnotique et paradoxalement assez envoûtante présentant une cérémonie satanique, avec toute sa liturgie, dont des chants grégoriens joués à rebours. Elle est suivie de scènes de bacchanales et de magie sexuelle débridée ! On peut penser que c’est directement la famille Rothschild à laquelle faisait ici allusion Kubrick dans ce film, car cette dernière se plaît aussi à organiser des soirées surréalistes avec de prestigieux convives masqués et une déco pour le moins glauque, dont on peut facilement retrouver des photos d’époque. Sur qu’elle sombre réalité, Kubrick voulait-il que l’on ouvre les yeux, en nommant Eyes Wide Shut, ou “Les yeux grands fermés” son dernier film ? Quant au château de Ferrières, il servit de toile de fond à une scène de la Neuvième Porte du sulfureux Roman Polanski, où on assiste également à une cérémonie de rituel satanique. Dans les deux films, il s’agit de la très haute société qui y est dépeinte, avec ses mœurs pour le moins dissolues et hautement décadentes. On pourra penser qu’il s’agit de pures fictions, mais pour ma part, je pense qu’il s’agit là de films à clés, qui sous couvert de fictions, nous dévoilent des éléments de réalité et de vérité.

D’autre part, on pourra relever aussi que la baronne Philippine de Rothschild semble de son côté avoir une affection toute particulière pour la figure satanique du Baphomet, qu’elle se plaît à régulièrement porter autour du cou, avec des pendentifs à l’effigie de têtes de boucs. Il en va de même pour certaines bouteilles tirées de la prestigieuse cuvée Mouton Cadet Rothschild, qui sur le dessin stylisé de leur étiquette représentant un bouc, font subtilement figurer trois séries de chiffres 666 pour composer la laine de l’animal. Le diable se cache dans les détails

Par ailleurs, il faut aussi savoir que notre cher Président, Jupiter le bien-aimé, qui se comporte lui aussi comme un pervers narcissique, est un pur produit de ses milieux, puisqu’il était associé de cette richissime famille, en tant que banquier d’affaire du groupe LCF (qui sonne comme Lucifer), avant qu’il ne prenne la tête de notre pays, à la faveur d’un d’État médiatique sans précédent. Ce poulain peu scrupuleux avait justement été soigneusement sélectionné par ces milieux financiers de requins pour sa prodigieuse duplicité, son habileté à séduire et sa capacité à tromper son monde, ses aptitudes à la duperie et aux mensonges, comme l’avait à l’époque affirmé Alain Minc dans une interview parce que d’après ses propres propos, le métier de banquier d’affaires, «c’est quand même un métier de pute !»


La Cérémonie du Tunnel du Gothard

Rappelons-nous aussi de la cérémonie absolument surréaliste de l’inauguration du tunnel ferroviaire du Saint-Gothard en suisse, le tunnel le plus long et le plus cher de toute l’histoire du monde ! Ce spectacle qui avait convié bon nombre de hauts dignitaires de ce monde avait un aspect occulte et profondément malsain qui sautait littéralement aux yeux ! Ce fut une mise en scène complètement incongrue et démentielle, signée par le chorégraphe allemand Volker Hesse. Un moment hors de ce monde qui figurera probablement parmi les 10 cérémonies d’ouverture les plus étranges de tous les temps…

Ce spectacle pouvait se résumer à une procession des plus inquiétantes, avec une omniprésente dimension Apocalyptique, totalement explicite et parfaitement décomplexée ! Tous nos braves dirigeants, dignitaires et notables européens de l’époque, de la chancelière allemande Angela Merkel, au Chef de l’État français François Hollande, en passant par le Premier ministre italien Matteo Renzi, se sont alors pressés pour venir inaugurer en grande pompe ce tunnel et assister à ce spectacle particulièrement glauque et décadent !

Au cours de la première partie de ce lugubre et repoussant spectacle, qui se déroulait dans les entrailles du tunnel, on avait pu voir surgir sur le devant de la scène, une sorte de bébé ailé, androgyne, hideux et monstrueux. Il descendait, tel un ange déchu des cieux sur la terre. Nul doute qu’il s’agissait d’une représentation de Lucifer en personne… D’une grande laideur, cette entité était affublée d’une grotesque et démesurée tête de nouveau-né, et de seins nus, qui sont des attributs féminins, couplés avec une corpulence aux contours très masculins… Il faut savoir que l’androgynie est l’une des principales caractéristiques de la figure ésotérique et alchimique du Baphomet.

Dans la seconde partie du spectacle située en extérieur, nous avions aussi eu le droit à une apparition de la même figure de Baphomet comme maître de cérémonie. Jaillissant tel un beau diable au beau milieu de panaches fumants accompagné d’une procession d’individus blafards aux formes spectrales, qui semblaient directement revenir du royaume d’entre les morts, avec leurs livides visages couverts par des voiles blancs évoquant des linceuls. L’infâme créature venait prendre place dans notre monde, afin d’y être intronisé. D’impressionnants et assourdissants cors des Alpes suisses accompagnaient en fanfare, avec tumulte et fracas, l’arrivée de cette repoussante créature, mis homme, mis bouc. Tout bondissant, grimaçant et éructant, il fut rapidement rejoint et entouré par toute une myriade d’entités et d’esprits, qui s’inclinèrent avec déférence et soumission tout autour de lui, comme en adoration devant la Bête.

On ne peut alors s’empêcher de penser au célèbre tableau du peintre hispanique Goya, le Sabbat des sorcières, ou a bien d’autres toiles tirées de sa série dite des «peintures noires», qui traitent toute de sorcellerie et de satanisme. Puis la scène fut plongée dans une sorte de débauche et de folie collective, où les corps à demi-nus, comme possédés tournoyaient, se contorsionnaient, et convulsaient au rythme de percussions tribales et de cris déments, à vous glacer le sang, alors même que le Baphomet était occupé à mimer frénétiquement des scènes de copulation, avec tout ce qui lui passait entre les pattes. Une femme vint par la suite lui couvrir le dos de ses mains, de telle sorte qu’il apparaisse en majesté, au centre de la scène, au fait de sa puissance. La bête exulta de ce moment de gloire, gesticulant avec excitation. Par la suite, on aura pu relever l’entrée en scène d’une femme enceinte, tout de rouge pourpre vêtue, qui s’apparentait à la fameuse femme écarlate” de l’Apocalypse de Saint-Jean, à savoir, la grande prostituée de Babylone, la mère de toutes les abominations. Elle était couronnée et finit par donner naissance à l’Antéchrist, suite à quoi, on pouvait discerner des chœurs psalmodier distinctement et à plusieurs reprises «Sancta Babalon, ora pro nobis !», soit Sainte Babalon, priez pour nous, qui est la singerie du «Sancta Maria, ora pro nobis !» des Chrétiens. Autant dire que ce jour-là, la coupe de l’abomination était pleine.

La cérémonie s’achevait par une représentation des puissants de ce monde s’inclinant avec déférence devant une horloge géante que l’on peut présumer être, sans trop s’avancer celle de l’Apocalypse. La même horloge que l’on retrouve dans la couverture de The Economist”

Autant dire qu’avec cette cérémonie, nous étions plus conviés à un rite et à une procession religieuse, à une sorte d’invocation et de messe satanique à grande échelle, qu’à une représentation aux simples prétentions artistiques. Il s’agissait véritablement là d’un tableau de nature Apocalyptique qui nous a été exposé, où “Apocalypse” peut s’entendre au sens de révélation et de dévoilement… Les élites s’affichaient ici en pleine lumière, avec leurs systèmes de croyances profondément occultes. Encore fallait-il avoir des yeux pour le voir, des oreilles pour l’entendre et l’esprit pour le discerner… Désormais, ils ne se cachent plus et sortent de l’obscurité, des ténèbres et des profondeurs du tunnel, pour se révéler à la face du monde, en pleine lumière au grand jour.


CHAPITRE 7
UNE CRISE PLUS SPIRITUELLE
QUE SANITAIRE ?



«À regarder évoluer l’humanité, je veux bien croire que Dieu est l’auteur de la pièce, mais Satan est le directeur du Théâtre.» – Victor Hugo

«L’enfer est vide et tous les diables sont ici.» – William Shakespeare, La Tempête

«Le monde est gouverné par de tout autres personnages que ne se l’imaginent ceux dont l’œil ne plonge pas dans les coulisses.» – Benjamin Disraeli 1804-1881, dans Coningsby

«Ils parlent comme des anges, mais ils pensent comme des assassins» – Les Khmers rouges, par un des leurs

«Je ne suis pas venu pour élever, je suis venu pour détruire et rabaisser toutes choses, jusqu’à ce que tout soit englouti profond, qu’il ne puisse descendre plus… Il n’y a pas d’ascension sans descente préalable…» – Jacob Frank, faux messie

«Est-ce que Dieu existe ? Je dirais : pas encore !» – Ray Kurzweil

«Je vous envoie comme des brebis au milieu des loups : soyez donc prudents comme des serpents, et simples comme des colombes.» – Matthieu 10.16

«Nous sommes dans la dernière bataille. C’est l’Apocalypse. Nous nous battons pour le salut de l’humanité. Nous savions tous que cela allait arriver à un moment donné. Je n’ai jamais cru que ça arriverait de mon vivant, mais c’est arrivé. Nous sommes les quelques heureux, le groupe de frères et sœurs. Nous savons quel est notre travail dans cette vie. Nous savons que nous faisons partie de cette bataille. Nous devons nous battre et nous devons mourir avec nos bottes si nécessaire. Tout le monde ici, j’en suis sûr, sait quel est son devoir et va le faire, et je serai à vos côtés quand vous le ferez. Je sais que vous serez tous à mes côtés.» – Robert F. Kennedy Jr

«Dans ce que nous vivons à présent, il y a aussi une dimension très spirituelle qui joue un rôle essentiel, ce n’est pas simplement une question de droit, il y a bien plus en jeu que cela, des choses impalpables qui se jouent entre le ciel et la terre et qu’en tant qu’avocat nous ne pouvons écrire d’une manière rationnelle. Bien sûr, vous ne pouvez pas le faire figurer dans une plainte judiciaire, mais vous devez en tenir compte, et je pense que ça peut nous aider dans le combat. […] Nous n’avons pas le choix de nous battre, chacun d’entre nous doit se battre. Sincèrement, je ne pensais pas voir cela un jour, mais c’est véritablement une lutte entre le bien et le mal qui se joue là !» – Reiner Fuellmich

«Je n’ai absolument aucun doute que nous sommes en présence du mal, une détermination que je n’avais jamais eu auparavant en 40 ans de carrière de recherche et de produits dangereux.» Dr. Mike Yeadon

«Je pense que la société va se séparer en deux, deux groupes. Je crois vraiment que Dieu nous teste ici et que chaque individu se voit poser une simple question : de qui allez-vous chercher le salut. Allez-vous vous prosterner devant celui qui vous a fait, celui qui vous aime, qui vous vivifie à chaque seconde et placer votre confiance en lui, ou allez-vous vous prosterner devant des oligarques sociopathes, des gouvernements corrompus, ou le veau d’or du faux vaccin. Parce que si vous faites ça, on va voir comment ça marche pour vous… » - Dr. Zelenko


La démesure des élites

«Quand le dernier arbre sera abattu la dernière rivière empoisonnée le dernier poisson capturé alors le visage pâle s’apercevra que l’argent ne se mange pas.» - Sitting Bull

Manifestement, nous sommes plongés dans une opération de domination et de contrôle du monde. Ce n’est pas une question d’argent, car cela émane déjà des individus les plus riches de la planète qui en termes de capacité financière, ont déjà beaucoup plus que ce dont ils auraient réellement besoin. Il faut bien avoir conscience que pour eux, l’argent n’est qu’un simple moyen, un outil de corruption et d’aliénation des populations pour parvenir à leurs fins. Argent-dette créée ex nihilo dont ils sont les producteurs et dont ils  possèdent déjà tous les leviers de création et d’émission.  En tout état de cause, cette crise est bien plus profonde qu’une simple crise sanitaire : elle nous révèle que l’humanité se divise désormais en deux camps irréconciliables et bien distincts.

D’un côté, il y a une caste de puissants qui se livrent à une transgression permanente, est entrée en rébellion contre la nature et l’œuvre du créateur. De l’autre côté, il y a ceux qui s’opposent à ces projets mortifères et destructeurs, qui veulent à tout prix la préserver et la célébrer. Les premiers estiment que la création est imparfaite, l’œuvre d’un démiurge mauvais et dans leur mystique, ils se donnent pour mission de la corriger et de la réparer, de changer en profondeur la nature des choses. Ces apprentis sorciers mégalomanes se prennent littéralement pour Dieu, comme on peut le voir par exemple avec le PDG de Goldman Sachs, Lloyd Blankfein, qui affirmait sans scrupules avec un orgueil démesuré que je cite : «Je ne suis qu’un banquier faisant le travail de Dieu.»

De même, pour l’auteur Yuval Noah Hararile plus important des projets en cours de l’homme du futur est de donner aux hommes «les capacités des dieux, des capacités divines de création, comme dans les mythologies traditionnelles, les dieux étaient perçus comme ayant le pouvoir de créer, de concevoir et de produire la vie, comme le Dieu de la Bible, crée les humains les animaux et les plantes. En ce moment nous essayons de développer les technologies qui nous permettront de concevoir et créer la vie nous-mêmes. Il est très probable que les produits du 21ᵉ siècle, les principaux produits de notre économie, deviendront en effet des corps, soit des cerveaux et des esprits. Nous sommes en train d’apprendre comment les fabriquer.»


Le cas de Bill Gates, Ange ou Démon ?

À ce titre, Bill Gates, ce bon «filoutrope» est un cas d’école, puisqu’on le retrouve dans un peu près tout ce qui va radicalement à l’encontre des lois immuables de la vie et du créateur ! Le bonhomme est manifestement victime du Syndrome de Dieu. Ainsi, d’après ses propres dires, il déclare avoir pour ambition de, je cite : «Retravailler tout ce que Dieu et la nature auraient raté.»

Ainsi, il n’hésite pas par exemple, à trafiquer la météo, avec la mise en place de programmes de géo-ingénierie pour masquer en partie le rayonnement solaire, afin officiellement de lutter contre le réchauffement climatique. Tel un apprenti sorcier, il n’a pas le moindre scrupule à envisager de pulvériser du dioxyde de soufre et de l’oxyde d’aluminium dans l’atmosphère via des épandages d’avions ! Il finance ainsi des expériences et des programmes de géo-ingénierie et de modification artificielle du climat, comme celle menée par un laboratoire de “l’Université de Harvard”. Ainsi, un article datant de 2018 de la prestigieuse “Revue Nature”, nous informe de la mise en place au cours de l’année 2019, d’une série d’épandages de fines particules de produits chimiques en haute atmosphère, afin de bloquer une partie des rayonnements solaires, avec pour ambition de réduire la température globale de 1,5 degrés. L’expérience s’inspirant du phénomène naturel de l’éruption pendant 18 mois du volcan philippin du Mont Pinatubo de 1991 qui, avec 20 millions de tonnes de dioxyde de soufre, avait entraîné une baisse de la température de 0,5 degrés.

En outre, Gates n’hésite pas non plus, via la firme Monsanto” (maintenant Bayer), à modifier et à contrôler la nourriture avec les semences OGM, tout en étant devenu grâce à sa colossale fortune, le plus grand propriétaire de terres agricoles de tous les États-Unis !

N’oublions pas la fameuse citation de Henry Kissinger «Qui contrôle la nourriture contrôle les populations, qui contrôle l’énergie contrôle les nations et celui qui contrôle la monnaie contrôle le monde.»

Parallèlement, Bill Gates a fait construire au Svalbard, en Norvège, un gigantesque grenier à graines. Il s’agit d’une sorte d’arche écologique de la fin des temps. Placé sous haute surveillance, cet inquiétant bunker végétal comprend en son sein, toutes les cultures vivrières et toutes les graines non modifiées par génie génétique de la planète ! On peut donc dire que d’un côté, Bill Gates cherche à préserver ce qu’il s’applique à consciencieusement détruire et dénaturer de l’autre.

Par ailleurs, dans un avenir proche et dans un souci pseudo-écologique, il envisage d’en finir avec l’élevage en préconisant un passage complet à de la viande de bœuf synthétique, totalement artificielle. Car il faut savoir qu’avec les incroyables dernières avancées technologiques, il est maintenant techniquement possible d’imprimer des steaks, en reproduisant des cellules dans des bio-réacteurs comme le ferait une imprimante 3D !


De plus, Bill Gates cherche aussi à contrôler la santé de toute l’humanité avec ces programmes massifs de vaccination, ou à altérer la vie et les espèces, avec l’introduction sauvage dans la nature de moustiques OGM capables d’injecter des vaccins, comme de véritables «seringues volantes», de sorte que lorsqu’ils piquent les humains, ils leur délivrent au passage le vaccin, en sécrétant une protéine contre le paludisme ou d’autres maladies infectieuses !

Ce savant fou de Bill Gates, qui n’en est pas à une idée tordue prête, finance aussi des recherches sur des légumes vaccin, comme des laitues anti-COVID ! Un excellent moyen détourné pour lutter contre ceux qui hésitent encore à se faire vacciner. Les scientifiques ambitionnent ainsi de distribuer des protéines de pointe “Spike” du COVID dans tous les aliments. Cette expérience pourrait donner naissance à un nouveau paradigme de vaccination qui donnerait à Big Pharma un contrôle complet sur l’approvisionnement alimentaire. Est-ce la raison pour laquelle Bill Gates, investisseur en OGM et en vaccins, achète tant de terres agricoles à travers les États-Unis ?

Il a aussi fait produire  par la société Oxitec, à coup de millions de dollars, des millions de moustiques génétiquement modifiés dans le but de tuer, en plusieurs générations, des espèces ciblées de moustiques qui véhiculent des maladies comme le Zika ou la Malaria. Hélas, la nature ne se laissant pas abuser aussi facilement, au bout d’un an et demi, le résultat fut tout autre que celui escompté. En effet, les moustiques mâles génétiquement modifiés s’accouplaient avec les moustiques femelles locales naturelles, donnant ainsi naissance à une nouvelle espèce hybride et proliférante. Le gène auto-limitatif étant inopérant, si bien que le résultat fut un désastre, avec une espèce rendue encore plus forte qu’auparavant. Comment peut-on envisager de mettre en péril l’équilibre naturel des écosystèmes, sans s’exposer à des désastres en chaîne ?

Après ce premier et cuisant échec, Bill Gates a pourtant continué sur sa mauvaise lancée en Floride, avec un autre programme test de libération de 750 millions de moustiques génétiquement modifiés. Mais devant l’ampleur des protestations, ce programme fou à néanmoins cette fois-ci été avorté. Le spot officiel de communication, qui fut diffusé le 17 août 2020 pour annoncer cette opération, était incroyablement sinistre, lugubre et inquiétant ! Cette courte séquence faisait tout simplement froid dans le dos, puisqu’on pouvait y voir une représentation de la mort, la faucheuse dont la silhouette était composée de moustiques. Cette figure macabre évoque résolument l’un des quatre cavaliers de l’Apocalypse, celui de la mort. Voilà qui n’augure décidément rien de bon… 

Aux dernières nouvelles, Bill Gates serait même en train de développer un programme de recyclage de nos excréments pour qu’ils deviennent des aliments consommables, en nourrissant des larves coprophages. Bill Gates investit dans une machine qui transforme nos déjections, les excréments humains en eau potable. N’en doutons pas, au nom de l’écologie et de la défense de l’environnement, ils nous feront manger au menu de demain, des insectes, des larves et notre propre merde. Voilà qui ouvre résolument l’appétit

Bill Gates contrôle donc l’air que vous respirez, la nourriture que vous mangez, l’eau que vous buvez, le climat avec la Géo-ingénierie les soins auxquels vous pouvez accéder. Et bientôt, là où vous aurez le droit d’aller, de vous déplacer, ou même si vous pouvez travailler ou pas via le pass sanitaire. Bill Gates a pris le contrôle de l’approvisionnement alimentaire, il modifie les semences, il se débarrasse de l’industrie bovine américaine pour prendre le contrôle du secteur de l’alimentation, comment elle est produite et ce qu’il y a dedans. En somme, pour résumer : il contrôle votre vie du berceau à la tombe…

Et pour finir, encore plus ahurissant : Gates songe aussi à “ressusciter les morts” avec des doubles virtuels de personnes décédées, exactement comme l’avait présenté un épisode de la série d’anticipation “Black Mirror” ! C’est aussi le scénario présenté par le film “Replicas” où un neurologue désespéré suite à la perte accidentelle et tragique de sa femme et de ses deux enfants, cherche alors à les cloner, à partir de leurs cadavres, pour en faire des répliques et transférer leur conscience défunte à l’intérieur d’enveloppes corporelles… 

Soit exactement le même type de délire dans lequel verse le directeur de l’ingénierie chez “Google”, Raymond Kurzweil qui dans son livre “The Singularity Is Nearer”La singularité se rapproche aborde ce concept de réplique, de clone d’une personne décédée. Il déclare avec enthousiasme à ce sujet : «Ce processus passera par différentes étapes. D’abord, nous allons créer un avatar sur la base d’archives sur la personne : e-mails, SMS, lettres, vidéos, fichiers audio et souvenirs. Vers 2025, il sera assez réaliste, mais pas vraiment une réplique exacte. Il y a pourtant des gens qui aimeraient retrouver une réplique imparfaite de la personne qu’elles aimaient.» On comprend mieux maintenant pourquoi “Google”, “offre” autant de services gratuits à la disposition de ses internautes et collecte autant de data possible à travers les photos, recherches en lignes, mails, échanges écrits, habitudes de déplacements, etc. Ces GAFAM en sont arrivés à un point où ils connaissent bien mieux les individus qu’ils ne se connaissent eux-mêmes. Dites-vous bien que : «Si c’est gratuit, c’est que c’est vous le produit !»

Ainsi l’homme possède maintenant le pouvoir de se singer lui-même, avec le concours de la robotique.

Bref, avec ces Bill Gates, ces Ray Kurzweil et consorts, nous sommes bien confrontés à de véritables savants fous, des malades du contrôle et du pouvoir, soit de réels dangers pour l’humanité, alors que l’on a de cesse de nous les présenter dans l’espace médiatique comme des bienfaiteurs et des sauveurs… Comme souvent, ces autoproclamés progressistes sur le plan de la technologie, sont en réalité les pires régressifs sur un plan humain ou social, des esclavagistes en puissance qui s’ignorent… Les guerres déclarées par ces pseudos-élites mondialistes contre le virus, le terrorisme, ou encore le réchauffement climatique anthropique sont des guerres contre un ennemi virtuel. Au final, par l’intermédiaire de ces ennemis désignés, c’est l’humanité tout entière qui est visée, car nous sommes tous des terroristes potentiels, des porteurs de virus potentiels et qui plus est, nous produisons tous du CO₂ quand nous respirons. Il faut donc comprendre que le système est parti en guerre contre l’humanité, révélant ainsi son essence satanique…


La tentation transhumaniste, l’ultime transgression



«J’ai peur du jour où la technologie surpassera notre interaction humaine. Le monde sera une génération d’idiots.» – Albert Einstein

«C’est une longue histoire qui fait que progressivement l’homme cesse d’être un homme pour devenir un objet et un artefact […] La seule chose qui est immortelle est l’objet : l’homme est mortel, la table ne l’est pas. Et donc, la seule façon de devenir immortel est de devenir un objet. La grande tentation du transhumanisme c’est progressivement de nous transformer en cyborg.» – Jacques Attali en 2015

«Dans vingt ans, notre cerveau sera directement relié à un cerveau synthétique virtuel, et notre pensée deviendra un mélange de pensée biologique et non biologique.» – Ray Kurzweil

«Les GAFA ont un projet Démiurgique et développent l’ensemble des nanotechnologies, bio-technologies et sciences cognitives.» – Laurent Alexandre

«Et que sert-il à un homme de gagner tout le monde, s’il perd son âme ?» – Marc 8 : 36

«Le problème c’est de changer l’homme, lisez bien ce qu’ont écrit les dirigeants de Google, ils sont messianiques, ce ne sont pas seulement des entrepreneurs.» – Laurent Alexandre

«L’antique serpent vit qu’il avait le temps de lutter contre les fils de l’homme, s’il réussissait à précipiter dans le péché les conceptions des hommes.» – Livre des œuvres divines, 10ᵉ vision de Hildegarde de Bingen, mystique, visionnaire et docteur de l’Église

«Satan dit : Ma force est dans la conception de l’homme, par là, l’homme m’appartient.» – Svilias livre I, 2ᵉ vision de Hildegarde de Bingen, mystique, visionnaire et docteur de l’Église

«Jusqu’ici Dieu était propriétaire du brevet, nous étions ses enfants. Et voilà que, tout à coup, l’homme-réparateur devient lui-même créateur !» – Pr. Bernard Debré


Et que dire de la tentation transhumanistece projet d’essence purement luciférienne, cette aspiration prométhéenne d’arracher l’homme à sa nature, et donc à sa condition d’homme, qui est celle d’un simple mortel. Le mouvement transhumaniste ambitionne rien de moins que de dissocier sexe et reproduction, de détruire le corps incarné, de rester jeune et de ne plus vieillir, d’accroître les capacités intellectuelles, physiques et psychologiques, d’augmenter considérablement l’espérance de vie, voire de vaincre la mort, de recombiner la génétique de l’espèce humaine pour les générations futures. Le Graal ultime de ces postulants Dieux, héritier directs des alchimistes et de leur pierre philosophale conférant la vie éternelle serait, tout simplement, de vaincre la mort, d’en finir avec notre propre finitude. Il faudrait refaire une humanité nouvelle et détruire l’ancienne créée par ce démiurge jugée imparfaite. Quel orgueil démesuré et quelle ultime transgression, véritable crachat au visage de Dieu qui a pourtant créé l’homme à son image.

Tout cela nous ramène immanquablement à la fameuse promesse de l’antique serpent de la Genèse, qui promettait à Adam de manger les fruits de l’arbre défendu de la connaissance : «Vous ne mourrez point ; mais Dieu sait que le jour où vous en mangerez, vos yeux s’ouvriront et vous serez comme des dieux, connaissant le bien et le mal.»

Ne serait-ce pas l’accomplissement ultime, la revanche tant recherchée par Satan l’ange déchu qui, dans son insondable haine et jalousie viscérale pour l’homme, veut précisément le faire chuter et lui faire perdre son salut par là où il a lui-même pêché, c’est-à-dire par excès d’orgueil. Depuis sa chute, il ne cesse de chercher à influencer l’humanité pour mieux la faire chuter à son tour. 

Cela fait parfaitement écho aux déclarations enflammées de ce thuriféraire fanatique du courant “transhumaniste” qu’est Laurent Alexandre, qui le 3 novembre 2015, a affirmé dans le journal “Le Monde” que : «Dieu n’existe pas encore, il sera l’homme de demain, il sera doté de pouvoirs quasi-infinis, grâce aux nanotechnologies, biotechnologies informatiques et aux sciences cognitives. L’homme va réaliser ce que seuls les Dieux étaient supposés pouvoir faire : créer la vie, modifier votre génome, reprogrammer notre cerveau et euthanasier la mort  !» En 2015, dans l’émission “La Science va-t-elle sauver le monde ? Les Grandes Questions” de Franz-Olivier Giesbert, il déclarait que nous serions bientôt amenés à devenirs des “Cyborgs”, mais que «La première étape est de garder un corps biologique pendant quelques siècles et quelques millénaires et d’augmenter nos capacités par l’ingénierie génétique. Les progrès qui ont été faits pour modifier notre ADN sont stupéfiants depuis six mois. La semaine dernière, on publiait la réussite d’une expérimentation avec soixante-deux manipulations génétiques sur une cellule. Notre capacité, à changer notre ADN, à changer nos chromosomes sera totalement illimitée et à coût très bas dans les années qui viennent. Le coût des manipulations génétiques est en train de s’effondrer, comme le coût des microprocesseurs. Nous avons une capacité explosive à changer notre nature biologique dans les décennies qui viennent et ça va être révolutionnaire. Cette révolution du vivant, c’est la bombe atomique du 21ᵉ siècle. C’est une vraie déflagration…» Dans la même veine, le chef de fil de ce mouvement, Raymond Kurzweil affirme que : «Nous sommes à l’aube d’une nouvelle civilisation dans laquelle nous ne serons plus dépendants de nos corps physiques ; nous serons des milliards de fois plus intelligents et il n’y aura pas de distinction claire entre humain et machine, réalité réelle et réalité virtuelle. Le vieillissement humain et la maladie seront inversés ; la faim et la pauvreté dans le monde seront résolues et nous finirons par guérir la mort.»

Comme si la mort était une maladie honteuse et se résumait juste à un algorithme, dont il s’agirait simplement de percer le code, pour en guérir une bonne fois pour toutes. De toute évidence, l’esprit de ces scientistes est bien loin de la sagesse des anciens et de la philosophie qui est «l’art d’apprendre à mourir»Pourtant, la conscience de notre inéluctable mort, de notre fin dernière, socle commun de notre condition humaine, est ce qui a toujours poussé et stimulé l’humanité à se dépasser, à se transcender, non par de simples prothèses artificielles, mais par la puissance de l’esprit humain, de façon à laisser une trace de soi pour la postérité, par les inventions, par les arts, ou par la littérature… Nos ancêtres transcendaient la mort par la création, mais aussi par la filiation en se projetant dans leur descendance, qui donnaient un sens et un accomplissement à leur vie. Une société composée d’immortels serait purement stérile au niveau de la transmission, mais aussi en matière de créativité. Un tel monde, parfaitement insipide et déshumanisé ne fait vraiment pas rêver ! Il est de plus en plus manifeste que ce système essaie de nous arracher à tout ce qui reste encore d’humain en nous.

Serait-ce l’avènement de la promesse d’un nouvel Eden terrestre, comme ils nous le font miroiter, ou bien la matérialisation d’un enfer digital ? Ce qui est sûr, c’est que ces technologies vont créer une fracture sociale profondément déshumanisante, donner naissance à une effroyable société de castes, à deux vitesses partagée entre les immortels et les déchets recyclables. D’ailleurs, c’est le cas de le dire puisque des entreprises planchent déjà sur des projets de compost de nos restes humains pour les convertir en sacs de terreau, via un processus appelé “réduction organique naturelle”. La société se partageant alors entre cette nouvelle race de seigneurs, aux aptitudes cognitives améliorées et une sous-classe d’esclaves, euthanasiables à merci qui n’auront pas les moyens financiers d’accéder et de bénéficier de tels upgrades technologiques. L’homme du quotidien, peu fortuné, sera ainsi laissé définitivement sur la touche, semblable à un vulgaire chimpanzé du futur, inadapté à ce nouveau monde du tout technologique, ou tout simplement insensible voire hostile aux sirènes du progrès en ayant manqué, en quelque sorte, la dernière marche de l’évolution. Mais dans le présent cas, ne sommes-nous pas plutôt dans l’évolution de l’involution ?

Ainsi, certains fanatiques de cette folle idéologie, sorte de résurgence de l’idéologie mortifère nazie de l’Übermensch se lâchent et n’ont pas peur de se lancer dans des déclarations teintées d’un sidérant cynisme, comme Kevin Warwick, professeur de cybernétique à “l’Université de Coventry”, qui affirme que je cite : «Il y aura des gens implantés, hybrides, et ceux-ci domineront le monde. Les autres qui ne le seront pas, ne seront pas plus utiles que nos vaches actuelles gardées au pré. » Ou encore que «Ceux qui décideront de rester humain et refuseront de s’améliorer auront un sérieux handicap. Ils constitueront une sous-espèce et formeront les chimpanzés du futur.»

Ou encore, Laurent Alexandre : «La coexistence entre des gens extrêmement intelligents, grâce à la technologie et des gens qui ont des capacités intellectuelles moyennes d’aujourd’hui ne peut être harmonieuse. Y a-t-il cohabitation harmonieuse entre les Chimpanzés et les hommes ? Non, nous les mettons dans des zoos.» Dans “La guerre des intelligences”, page 71, Laurent Alexandre écrit : «L’Évangile des transhumanistes va se répandre comme une traînée de poudre, enchaînant les conversations avec bien plus de rapidité que l’Évangile chrétien n’avait pu le faire au début de notre ère. La religion transhumaniste pourrait imposer sa loi en quelques décennies, ses apôtres sont déjà dans les faits, les nouveaux maîtres du monde. Ils ont entre leurs mains les deux pouvoirs : celui de l’argent, grâce à leurs immenses réserves de cash, et celui de la donnée, qui fonde le pouvoir politique – savoir, depuis toujours, c’est contrôler.» Voilà qui confirme de manière éclatante que c’est bien une guerre spirituelle qui se joue là.

Marvin Minsky, chercheur au MIT, imagine quant à lui, que les machines super évoluées, lorsqu’elles auront achevé de dominer l’homme, finiront par «les prendre chez eux comme animaux de compagnie !» 

Rappelons-nous bien que le mythe du nouvel homme et du surhomme est une lubie constante, partagée par tous les régimes totalitaires, il faisait déjà fantasmer les Adolf Hitler et les Joseph Staline !

Mais d’ailleurs, à quoi rime de prolonger «Ad Vitam Æternam» l’existence, dans un monde fini, déjà aux prises avec de très graves problématiques de ressources, c’est un parfait non-sens ! L’immortalité est une impossibilité physique, car elle suppose une énergie infinie, ce qui implique automatiquement de venir la puiser dans l’énergie vitale de quelqu’un d’autre, à son détriment, un peu comme le fait le vampire, qui pour s’assurer de la vie éternelle, suce le sang de ses victimes jusqu’à que mort s’ensuive. L’immortalité des uns étant assurée et garantie par la mortalité de tous les autres. Ces transhumanistes sont donc de parfaits parasites. Cette utopique quête d’immortalité ne se soldera donc que par une totale destruction ! L’idéologie transhumaniste sous-tend une limitation de la population mondiale, le “transhumanisme” et l’eugénisme sont les deux faces d’une même médaille, qui sont initiés et portés par les mêmes individus. 

Le terme de transhumanisme a d’ailleurs été inventé en 1957 par le biologiste partisan fanatique de l’eugénisme, Julian Huxley dans un texte intitulé New Bottle, for New Wine. Julian Huxley était le frère du romancier Aldous Huxley auteur du Meilleur des mondes. Le transhumanisme n’étant en fait que le dernier avatar du courant eugéniste qui avait une très mauvaise image après la Seconde Guerre Mondiale. On change les noms mais les idéologies perdurent. Le projet de Julian était clairement d’améliorer la qualité des individus, tout en en diminuant la quantité.

Cette quête est d’ailleurs bien veine car en réalité, le transhumanisme n’augmente pas l’homme, mais ne fait que le réduire à l’état de vulgaire produit technologique, d’objet auto-aliéné et de simple marchandise évolutive, qui peut s’Upgrader lui-même, à l’aide d’accessoires marchands. L’homme devient alors un assemblage d’accessoires standardisés. En réalité, il perd sa souveraineté et ne s’appartient plus, il devient soumis aux contingences du marché dont il reste captif. Les transhumanistes renforcent toujours plus loin l’emprise technologique sur leurs corps. Bien loin de la promesse de l’homme déifié, l’homme augmenté sera en réalité un esclave technologique, tributaire de la bonne maintenance de ses composants électroniques, d’un prestataire extérieur, car ces derniers pourront très vite s’avérer dysfonctionnels. On ne voit pas bien, par quel miracle ces accessoires matériels résisteraient aux outrages du temps ! Un simple grain de sable, un boulon manquant ou mal ajusté, et c’est toute cette merveilleuse mécanique qui pourrait s’enrayer. Sans parler de la problématique du piratage informatique et de probables intrusions extérieures…

En ce sens, il est particulièrement intéressant d’observer que dans le même temps que l’on cherche à vaincre la mort, au profit exclusif de certains, l’État et derrière lui, en coulisses, certains influents lobbies et puissances d’argents, font du forcing pour autoriser la mise à mort et écourter la vie de certains autres… Ils cherchent ainsi à faire passer l’euthanasie dans l’opinion publique pour un bel humanisme, une nécessité et une conquête, au nom de la pseudo-dignité humaine dont ils se contrefichent royalement le reste du temps. Ces rêves d’immortalités ne sont donc manifestement pas pour tout le monde

Il faut bien comprendre que le courant transhumaniste n’est que la réactualisation, l’aboutissement et le parachèvement d’idées gnostiques très anciennes. “La Gnose” étant une doctrine secrète, une connaissance initiatique issue du monde antique, dont on trouve les racines en Égypte et en Mésopotamie et qui est réservé à une élite d’initiés. “La Gnose” est le chemin hermétique à emprunter pour s’auto-diviniser. Dans la Gnose, l’homme est une parcelle du divin et peut par ses propres forces, sa propre intelligence et en s’appuyant sur des moyens techniques, remonter à la source du divin pour se fondre dans un grand tout et aboutir à l’idéal de l’homme-dieu. 

Comme par hasard, le principal symbole de La Gnose, la connaissance est le serpent Ouroboros qui se mord la queue en effectuant une révolution sur lui-même, ce qui représente un cycle, un processus d’Ordo ab Chaos, de destruction et de recréation. On pourra remarquer que dans le monde dit moderne, on n’a de cesse de chercher à dissoudre les identités dans la société, d’abolir les distinctions entre par exemple les hommes et les femmes  et de séparer l’esprit et la matière. Il faut couper l’homme de tous ses déterminismes préexistants pour le régénérer, le coaguler dans un nouvel homme. Ce courant de pensée ésotérique voue une éternelle haine au corps et à sa nature viciée qui se dégrade. Selon eux, il faudrait libérer l’homme de sa mauvaise enveloppe corporelle, afin de libérer son Pneuma, et enfin retrouver son étincelle Divine initiale. Les gnostiques distinguent en effet chez l’homme trois parties, trois composantes bien distinctes : le Soma la partie charnelle, mauvaise, mais aussi la Psyché, la partie psychologique qui est le siège des passions, et enfin la partie Pneuma, qui est celle qui s’identifie avec l’étincelle divine. L’homme est donc à la fois matière et esprit divin, mais il est retenu prisonnier dans sa dimension matérielle. Il faudrait donc extraire l’homme de cette gangue de matière, où il a été piégé par l’ignoble et malfaisant Démiurge, le Dieu chrétien. Dans leur vision gnostique des choses, ce mauvais Dieu, véritable despote sadique, féroce et cruel, aurait emprisonné pour son bon plaisir l’homme dans cette matière, alors qu’il était un être pur et spirituel, afin de jouir ensuite des souffrances dans lesquelles l’homme ne cesse de se débattre dans sa tentative de se libérer de la matière qui le dégrade, en le ramenant à un être inférieur à Dieu.

Dans cette doctrine “Gnostique”, le Mal, ne provient donc pas de la révolte de l’Ange déchu  Lucifer et de la faute originelle de l’homme qui aurait provoqué sa chute, mais du monde divin, de ce Démiurge, qui est un Dieu malfaisant, inférieur et ignorant. Cette chute originelle, aurait été accomplie pour eux, non pas par Adam, mais par le Dieu des chrétiens, Jéhovah. Ils considèrent ce dernier comme un artisan maladroit, qui de la matière éternelle incréée aurait tiré le monde tel que nous le connaissons, non par un processus de création ex-nihilo, mais en organisant et en transformant une matière préexistante. Ces gnostiques postulent aussi à l’existence d’un autre Dieu, bienfaisant, le Plérome, ou le Grand Tout qui se développerait en dehors de lui par émanation, en créant une multiplicité d’êtres dans un processus éternel. Ce processus d’expansion aurait subi un ralentissement, à cause de l’intervention maladroite et indésirable du mauvais Démiurge, faisant ainsi obstacle à l’évolution vers la réunion des esprits gnostiques avec le Dieu-Tout lui-même. Le Gnostique perpétue l’esprit de révolte qui anima le serpent, l’antique tentateur quand il murmurait à Adam et à Ève de manger du fruit de l’Arbre de la Connaissance. Il est convaincu de posséder déjà tous les attributs de Dieu et de ne devoir se soumettre à personne, étant désormais partie du Grand Tout dans lequel il se perd et se confond.

C’est le principe philosophique même du satanisme qui postule que la divinité réside à l’intérieur de l’homme et non pas dans une entité abstraite extérieure. En ce sens, il n’est pas du tout anodin de savoir que justement, l’un des pères du mouvement transhumaniste est un certain Max More et que ce dernier a écrit un manifeste pour le transhumanisme, dans lequel il adresse directement ses louanges à Lucifer : «Lucifer est l’incarnation de la raison, de l’intelligence, de la pensée critique. Il s’oppose au dogme de Dieu et à tous les autres dogmes. Il représente l’exploration de nouvelles idées et de nouvelles perspectives dans la poursuite de la vérité.» Max More, “Atheist Notes 003”Lucifer est pour More un héros de la liberté : «Dieu, étant le sadique bien documenté qu’Il est, a sans aucun doute voulu maintenir Lucifer en vie afin qu’Il puisse le punir et essayer de le ramener sous son pouvoir. Il est probable que ce qui s’est réellement passé, c’est que Lucifer en est venu à haïr le royaume de Dieu, Son sadisme, Son exigence de conformité servile et d’obéissance, sa rage psychotique contre toute manifestation de pensée et de comportement indépendants. Lucifer se rendit compte qu’il ne pourrait jamais entièrement penser par lui-même et ne pourrait certainement pas agir en toute indépendance d’esprit, tant qu’il était sous le contrôle de Dieu. C’est pourquoi il a quitté le ciel, ce terrible État spirituel gouverné par le sadique cosmique Jéhovah, et a été accompagné par certains des anges qui avaient eu suffisamment de courage pour remettre en question l’autorité de Dieu et Sa perspective de valeurs.» Il déclare aussi : «Plus de Dieux, plus de foi. Plus de timide retenue : Débarrassons-nous enfin de nos faiblesses, de nos ignorances et de notre mortalité. L’avenir appartient aux post-humains». Max More considère donc Lucifer comme une force éminemment positive, qui donne à l’humanité les outils pour combattre la tyrannie de Jéhovah et s’en affranchir définitivement, un peu à l’image du mythe de Prométhée, le fils de Giapete et Climène qui vole à Zeus le feu et les connaissances réservées aux dieux (la Gnose) pour les transmettre aux hommes. Il leur apporte ainsi les moyens d’affirmer leur volonté de puissance et de s’émanciper des dieux… 

Il incarne donc la révolte contre l’autorité divine. La malédiction proférée par Zeus à l’encontre de Prométhée est la même que celle de Dieu à Satan!

C’est donc une figure symbolique de nature éminemment Luciférienne et qui est très chère à nos élites, comme en témoigne l’immense statue de bronze dorée de Prométhée au “Rockefeller Center” de Manhattan. Ceci est confirmé par cette citation très révélatrice et éclairante de Léo Campion, un franc-maçon de haut grade du 33ᵉ degré du Rite Écossais : «Prométhée, génie de son état qui, dérobant le Feu du Ciel, nous apporta la Lumière, et Satan, un moraliste, à la fois le Libérateur et l’Initiateur, lui qui nous apprit la Désobéissance et la Volupté ; Satan que le Frère Bakounine qualifiait l’éternel révolté, le premier libre-penseur et l’émancipateur des mondes»

Cette utopie transhumaniste est donc la transgression, l’affront ultime et terrifiant vis-à-vis du Dieu créateur. C’est la victoire finale de la matière et du matérialisme sur l’organique et le spirituel, le triomphe du tout technologique sur l’humain. L’homme veut dominer Dieu à l’aide de la maîtrise des sciences et de la technique. Si ce “modèle” de société parvient à s’imposer, il n’y aura aucun retour en arrière possible. La nature humaine aura été irréversiblement dénaturée, détruite et y perdra définitivement son âme.

Il faut rester raisonnable, accepter la vie avec ses limitations et ses faiblesses et non pas chercher à atteindre un hypothétique surhomme mécanisé. L’homme, après avoir tué Dieu comme l’a affirmé Nietzsche, se met maintenant à vouloir le remplacer. Or, si Dieu n’existe plus, alors tout devient permis. L’homme s’est mis en tête de vouloir tout contrôler, tout exploiter, tout marchandiser et tout quantifier. C’est ce que certains penseurs avaient appelé le “règne de la quantité”. L’homme cherche à affirmer sa suprématie absolue sur l’univers, à tout pouvoir contrôler, il s’est voulu la mesure de tout, mais a dans le même temps, perdu le sens de toute mesure ! Cette course folle à la modernité, cette fuite en avant risque de lui coûter très cher.


Nanotechnologies, pour Maxi pouvoir !

Mais ce n’est pas tout, là où le “transhumanisme” ambitionne de remplacer et d’élaborer un nouvel homme augmenté, les nanotechnologies elles, ambitionnent de prendre le contrôle même de toute la création, du Cosmos… Rien de moins ! Il s’agirait donc de percer tous les secrets de la matière et d’en prendre le contrôle, en maîtrisant l’assemblage des briques élémentaires de la nature et de la vie, de jouer, tels des apprentis sorciers, avec les éléments constitutifs de l’Univers. Il serait alors possible de les recombiner à l’infini, afin d’être en mesure de construire de nouvelles choses, de nouveaux objets, de nouvelles machines d’une complexité inédite, ou même des organes biologiques. Il pourrait même être envisageable de combiner la matière électronique au biologique pour fusionner corps et machine et arriver à une forme d’êtres hybrides bioniques. Pour ces idéologues, héritiers de la science de la cybernétique, tout est réductible à des systèmes d’échange informationnels, dont il s’agit de se rendre maître. L’homme et la création ne seraient plus que de vulgaires systèmes, des machines informationnelles et des modèles mathématiques.

Il existe aussi des nano-poussières constituées d’infimes particules, d’innombrables et minuscules «puces» bourrées d’informations, grâce auxquelles le moindre de nos déplacements, les plus insignifiants de nos actes peuvent laisser des traces informatiques stockables. Les scientifiques ambitionnent d’atteindre une taille 100 000 fois moins épaisse qu’un cheveu, excusez du peu ! Il s’agit donc de technologies invisibles, capables de surveiller tout le monde à son propre insu et qui plus est, dont le prix de production est parfaitement dérisoire. Autant dire qu’elles font donc peser un danger redoutable sur les libertés humaines fondamentales ! À ce rythme-là, on va déboucher sur une société entièrement sous le contrôle électronique des ordinateurs. Ces nanos-capteurs très intrusifs, peuvent être disséminés sous forme de nuages de particules, dans l’air, ou dans l’eau. Ils forment alors un minuscule réseau sans-fil, qui peut capter des informations et les renvoyer à un serveur informatique, grâce à leur technologie de radiofréquence embarquée, afin qu’elles soient traitées et analysées. Les nanos permettent entre autres, de mesurer, par exemple, la lumière, la température ou des vibrations. 

Dans son ouvrage “La quatrième révolution industrielle”, Klaus Schwab évoque ces “smartdusts” : «La smartdust ou poussière intelligente, composée d’une myriade d’ordinateurs équipés d’antennes, est bien plus petite qu’un grain de sable et capable de s’organiser à l’intérieur du corps pour créer des réseaux ad-hoc et d’activer un ensemble de processus internes complexes. Imaginez-la attaquer une tumeur récente, soulager une blessure, voire stocker des informations personnelles critiques avec un chiffrement puissant quasi impossible à déchiffrer. Grâce à la “smartdust”, poussière intelligente, les médecins pourront agir dans le corps sans l’ouvrir et des informations chiffrées pourront être stockées en vous jusqu’au moment où vous les débloquerez à partir de votre “nano-réseau” personnel.»

Ce phénomène des nanos, dont on parle très peu dans les médias, est pourtant de toute première importance, puisque les scientifiques en parlent déjà comme d’une troisième révolution industrielle. En effet, ces nouvelles technologies émergentes sont en passe de transformer radicalement la nature, la société et l’homme.

Bref, autant dire qu’entre ces nanotechnologies, le “transhumanisme” les OGM, la GPA et toutes les manipulations génétiques à visées eugéniques avec des recombinaisons de l’ADN qui outrepassent les barrières naturelles établies entre les espèces, on peut dire qu’il y a vraiment une lourde tendance dans la science moderne à vouloir jeter Dieu et l’ordre naturel aux oubliettes. Le tout au mépris le plus total de tout principe de précaution ou d’éthique


Des élites bienveillantes, vraiment ?

«Si vous pensez sincèrement que cette poignée de multimilliardaires égocentriques possédant plus d’argent que la moitié des habitants de cette planète en a quelque chose à foutre de votre santé, soit vous êtes cons, soit vous êtes con !» - Auteur inconnu

«Dans toute l’histoire de l’humanité, il n’y a jamais eu d’élite politique sincèrement préoccupée par le bien-être des gens ordinaires. Qu’est-ce qui fait que chacun d’entre nous pense que c’est différent maintenant ?» Christine Anderson au Parlement EU.

«Les gouvernements ne veulent pas d’une population intelligente, car les gens qui ont une pensée critique développée ne peuvent être dominés. Ils veulent d’un public juste assez intelligent pour payer des taxes et assez crédule pour aller voter et élire des politiciens corrompus.» – George Carlin, humoriste

«Ne leur pardonnez pas, ils savent ce qu’ils font.» Claire Séverac


Si les élites tenaient autant à la vie humaine, ils ne laisseraient pas 6 millions d’enfants mourir de malnutrition, soit un enfant toutes les cinq secondes et 854 millions de personnes sous alimentées dans le monde.

En tout état de cause, si ces puissantes élites œuvraient réellement à la félicité et au bonheur de l’humanité, le monde ne serait pas de plus en plus fou, tordu et dysfonctionnel. De même, la société ne serait pas plongée dans un semblable désarroi, aux prises avec un tel degré de chaos, à presque tous les niveaux. La civilisation ne serait pas aussi décadente… Ils ne détruiraient pas le vivant, la création sous toutes ses formes avec autant d’ardeur et d’enthousiasme, ne scieraient pas la branche sur laquelle nous vivons avec autant d’entrain et d’application.

De plus, ces élites ne chercheraient pas à dénaturer, souiller, rabaisser ou avilir en permanence l’homme, en allant jusqu’à toucher au caractère sacré de la vie, à grand coup de manipulations génétiques, de chimères homme/animal, ou d’homme machines robotisées… Ils ne chercheraient pas à renverser l’ordre naturel et ses lois immuables. Ils ne chercheraient pas non plus à prendre le contrôle absolu sur la vie, de la naissance à la mort. Nous sommes entrés dans la négation même de tout ordre naturel. Ils ne seraient pas lancés dans une quête effrénée d’immortalité ! En outre, la disparité dans la répartition des richesses ne serait pas aussi obscène !

Par ailleurs, la culture de masse et les programmes de télévision ne seraient pas de plus en plus abrutissants, baignés de violence, de pornographie, de vulgarité crasse, teintés d’occultisme, tout en flattant constamment nos plus bas instincts ! Il n’y aurait pas  un tel culte pour l’obscénité et la laideur. Ils n’encourageraient pas une culture de mort, avec par exemple la mode des zombis et des films de nature apocalyptiques à n’en plus finir. Ces films  gores qui sonnent le glas d’une humanité en perdition, d’une nature profondément morbide, macabre, ultra-violents  et qui décrivent ni plus ni moins en substance, que la fin de notre civilisation. En outre, l’éducation et le niveau culturel ne seraient pas constamment nivelés vers le bas !


Si ces élites étaient véritablement bienveillantes, elles ne seraient pas empêtrées dans de retentissants et épouvantables scandales sexuels. Ils ne tremperaient pas dans une immonde pédocriminalité impliquant des enfants, comme on a pu le voir avec les retentissants scandales des affaires de Jimmy Savile ou de Jeffrey Epstein ! De toute évidence, ces élites carburent à la dépravation, à la drogue et à la luxure…


 

Enfin, s’ils œuvraient véritablement au bonheur de l’humanité, ces élites mondialistes n’auraient nul besoin de s’organiser en huis-clos, dans des cénacles inaccessibles au grand public, dans d’obscures “Think-Tank”, ou réservoirs de pensée, tels que le CFRla Trilatéralele Groupe de Bilderbergou encore le Bohemian Grove”, en dehors de tout contrôle démocratique, ils n’auraient rien à nous cacher pour discuter de notre devenir dans notre dos… Comme le disait Albert Pike, l’un des princes de la maçonnerie : «Divers groupes œuvrent dans l’ombre depuis des siècles. S’ils s’enveloppent d’un tel secret, c’est que leurs motivations ne sont pas claires.» Pourquoi se cacher de la sorte si c’est pour faire le bien comme ils le clament ? Qui dit secret, dit inavouableEt le maître de l’occulte n’est-il pas Satan en personne ?

Quand on remonte dans la pyramide de pouvoir et de contrôle social, on retrouve quelques puissantes dynasties et familles, un petit nombre de décideurs prêts à tout pour arriver à leurs fins. Ils sont derrière des sujets aussi différents que les questions de la pollution sous toutes ses formes, de la préservation de la biodiversité, de la sécurité alimentaire, des normes sanitaires, de la crise énergétique et financière… Et qui plus est, ils contrôlent l’information, la presse et les médias qu’ils entretiennent à grand coup de subventions, bien souvent en pure perte… Pourquoi font-ils cela si ce n’est pour pouvoir s’assurer du contrôle de nos esprits ?

La souveraineté des individus a été progressivement retirée dans tous les domaines de la vie. On a liquidé dans un premier temps les agriculteurs, le monde rural et maintenant, c’est au tour des entrepreneurs qui sont dépossédés de leurs moyens de production. Pour qu’en dernière instance, le contrôle de tout ne revienne qu’à une poignée d’individus au sommet de la pyramide du contrôle social. Petit à petit, on a déstructuré l’homme, en le coupant de ses racines et de son héritage, de tous ses déterminismes, qu’ils soient religieux, culturels, familiaux et même de son identité première sexuelle, avec la délirante théorie du genre, de façon à ce qu’il se retrouve totalement isolé, atomisé, déboussolé, sans véritable colonne vertébrale, si bien qu’il se retrouve maintenant telle une proie affaiblie et à la merci de ce nouveau système prédateur qui s’apprête maintenant à l’asservir.

Force est de constater que notre société est de plus en plus malade, rongée par un mal indicible. Bien qu’en apparence, elle soit de plus en plus moderne, capable de prouesses techniques et de prodiges technologiques incroyables, elle n’est pas pour autant de plus en plus évoluée. Bien au contraire les rapports humains se détériorent et deviennent de plus en plus superficiels et artificiels. L’humanité semble de plus en plus désemparée et perdue. La société la plus évoluée contient en elle les germes d’une barbarie.

Pour finir, le mensonge ne dominerait pas autant partout, il n’imprégnerait pas à ce point toutes les strates de notre société. Dans ce monde moderne, même nos sens et nos perceptions sont de plus en plus trompés et abusés, avec par exemple les “additifs alimentaires” et les “exhausteurs de goûts” dans les plats industriels, ou maintenant avec les “Deep Fake” qui trafiquent la vérité et les vidéos de manière imperceptible grâce à la puissance de l’I.A. Et ne parlons pas de la réalité virtuelle et augmentée, de la TV réalité qui est totalement artificielle, des couvertures de magazines trafiquées à grands coups de retouche, de l’apparence physique des corps qui sont refaits à coup de bistouris et de chirurgie esthétique, des rapports humains qui sont de plus en plus superficiels et artificiels, et même des rapports sexuels qui sont de plus en plus faux, avec l’introduction de poupées ou de robots sexuels. Dans cette société de fraudes et d’impostures, même la base de l’économie repose sur un mensonge et une illusion avec une création monétaire qui est créée à partir de rien, ex-Nihilo par les banques centrales, mais qu’il faut pourtant rembourser avec notre vraie sueur ! Quant aux discours politiques, ils sont truffés de mensonges, de fausses promesses et d’illusions. Nous sommes véritablement dans le royaume de la trahison, des apparences et des faux-semblants. Les gouvernements ne respectent même pas la constitution et les textes qui fondent leur autorité…

Qui plus est, le mensonge est presque une nécessité pour survivre dans la société et beaucoup de gens en sont réduits à se mentir à eux-mêmes pour simplement travailler et gagner leur vie avec des métiers pourtant si éloignés de leurs véritables aspirations. Bref, le mensonge est roi et nous vivons dans une sorte de gigantesque illusion sociétale.

Nous ne pouvons que constater une inversion de plus en plus grande des valeurs, où le mal se pare de toutes les vertus en se faisant passer pour le bien, où le mensonge absolu devient la vérité incontestable, où le malsain devient sain, où la laideur absolue s’impose comme le nouveau canon de beauté, où l’anti-naturel devient le naturel, où la folie devient la raison, etc.

Et qui au juste est réputé pour être le père incontestable du mensonge ? La réponse nous est donnée dans l’évangile selon Saint-Jean : «Vous avez le diable pour père, et les désirs de votre père, vous les voulez faire. Il a été homicide dès le commencement, et n’est point demeuré dans la vérité, parce que la vérité n’est point en lui. Lorsqu’il parle le mensonge, il parle de son propre fond ; car il est menteur et le père du mensonge.»


Ces thérapies géniques ne seraient-elles pas
la marque de la bête ?

En tous les cas, il semblerait bien que ces vaccins soient capables d’entraîner non seulement des maux de nature physique, mais aussi des désordres d’une nature spirituelle.

Rappelons-nous déjà de l’étonnante mise en garde de l’occultiste Rudolf Steiner : «Dans l’avenir, nous éliminerons l’âme avec la médecine. Sous le prétexte d’un ‘point de vue de santé’, il y aura un vaccin par lequel le corps humain sera traité dès que possible directement à la naissance, afin que l’être humain ne puisse pas développer la pensée de l’existence de l’âme et de l’Esprit. […] Une fois le corps éthérique détaché, la relation entre l’univers et le corps éthérique deviendrait extrêmement instable, et l’homme deviendrait un automate, car le corps physique de l’homme doit être relié sur cette Terre par la volonté spirituelle.»

Certains témoignent que depuis leur inoculation, ils ressentent des impressions étranges, comme si leur lumière intérieure avait été éteinte et se sentaient déconnectés de leur côté spirituel, de leur âme, qu’ils avaient été coupés de la source, de leur lien avec le sacré. Un peu comme si leur corps était vivant d’un point de vue physique, mais mort d’un point de vue spirituel, que leur corps physique était séparé de leur corps éthérique. De plus, bien que ce soit une appréciation subjective, certains témoignages rapportent ainsi avoir observé des changements notables dans l’attitude, dans l’humeur et dans la personnalité des vaccinés, certains devenant plus irascibles. D’autres affirment avoir perdu le goût à la vie, de se sentir comme dépouillé, vide et triste. Des thérapeutes témoignent aussi qu’ils ne distinguent plus l’aura énergétique qui émane des personnes chez les vaccinés. Ainsi, une certaine Aurélie a témoigné sur le média Vécu de son étrange expérience et impression : «Il m’a piquée, je me suis assise et en fait, j’ai eu la sensation que mon âme, ça peut paraître bizarre hein… j’avais la sensation que mon âme, elle sortait de mon corps et qu’elle était à côté de mon corps et je me suis dit qu’est-ce que c’est que ce truc ? J’avais l’impression de me vider de l’intérieur et que quelque chose ressortait de mon corps ! Et en fait, j’ai cru sur le coup à l’angoisse, que j’étais probablement angoissée du fait que j’étais contre le vaccin. J’ai mis ça sur le compte de l’angoisse sur le moment… J’ai essayé de me calmer du mieux que je pouvais, mais j’avais cette sensation de quelque chose qui ressortait de moi et j’avais l’impression que la chose était à côté, je me sentais à côté de mes pompes !»

Pour aller dans ce sens, voici le témoignage étonnant rapporté par prêtre-moine orthodoxe, qui suite à sa première injection a ressenti et éprouvé une profonde transformation au niveau de sa spiritualité : «En allant à l’Autel, au lieu de la joie que je ressentais habituellement lorsque je m’approchais de l’Autel, je n’ai absolument rien ressenti. J’étais comme mort en dedans et j’ai vu que des gens que je connaissais détournaient le visage. Le jour suivant, je me suis rendu compte que ma conscience me causait de terribles peines. Comme si on m’avait transpercé le cœur. Jamais je n’avais ressenti une telle douleur. […] La peine de ma conscience me torturait sans cesse et augmentait. Maintenant, permettez-moi de vous dire la partie la plus horrible : jour et nuit j’avais devant les yeux, à 20 mm de mon visage le visage de Satan. J’allais me coucher le soir et je sentais son étreinte et je me sentais devenir glacé. Je récitais des Ave Maria et je sentais mon sang bouillir dans mes veines. Je sentais en moi une présence étrangère qui me jugeait. J’étais horrifié quand je l’ai entendu dire : «maintenant, tu m’appartiens.» De retour au Monastère, lors de la Liturgie, je ne comprenais pas un mot. Je me sentais mort en dedans. Je faisais le Service avec grande hâte, avec grande anxiété, pas une once de joie et ne sentais plus que j’étais prêtre ou même que j’étais Chrétien baptisé ! J’étais rendu à un point ou je ne pouvais plus parler, je n’avais plus de voix ! Je sentais que ma vie était sombre et j’étais dans un constant état de désespoir. […] À mon humble avis, ce vaccin “Pfizer” que j’ai pris n’est pas la marque de la Bête, mais comme une pré-figure de la marque finale de la Bête.»

Ce témoignage corrobore le témoignage d’un prêtre exorciste à qui le démon, forcé par son exorcisme à lui révéler la vérité, lui confessa ceci : «Ceux qui ont pris ce vaccin seront incapables de se repentir !» Fort troublé, le Père exorciste demanda alors au démon : «Pourquoi ne seront-ils pas capables de se convertir ?» et le démon lui rétorqua : «Parce que je serai à l’intérieur.» Le Père exorciste demanda alors : «Comment es-tu à l’intérieur d’eux ?» Le démon : «avec le sang des fœtus avortés. Je suis déjà à l’intérieur de ceux qui ont pris le vaccin à travers le sang des fœtus.» Il confia aussi : «Oui, ce vaccin n’est pas la marque finale, mais c’est tout de même une marque, un précurseur et ceux qui comme vous prennent le vaccin perdent la lumière. Le Père-moine n’a pas retrouvé toute sa force. Maintenant qu’il a pris ce vaccin et perdu sa force, je peux l’approcher et baiser sa main !»

En outre, il faut savoir que l’assistant d’Intelligence Artificielle “Siri” embarqué sur les appareils de la marque “Apple” qui est issue de la Silicon Valleyou vallée du silicium répondait à la question : «Siri, crois-tu en Dieu ?» de la manière suivante : «Ma politique est d’être pour la séparation de l’âme et du silicium». Or, le silicium est un composant de l’argile et dans les écritures, l’homme est une créature créée à partir de l’argile. L’âme humaine étant incarnée dans une enveloppe corporelle, le but recherché par ces gnostiques ne serait-il pas de séparer l’âme et du corps afin de le déconnecter spirituellement ? L’humain augmenté 2.0 serait connecté à tout autre chose qu’à sa source divine originelle.


Sommes-nous plongés en plein dans “l’Apocalypse de Saint-Jean” ?


«C’est le passage du Royaume du Christ au Royaume de l’Antéchrist.» – Archevêque Carlo Maria-Vigano

«Le problème, c’est que tous les pas que nous faisons pour arriver à ce point sont exactement les mêmes pas que si nous poussions la porte et qu’en fait, de l’autre côté, ce n’est pas le grand monde réinitialisé à zéro, mais l’enfer… Nous sommes aux portes de l’enfer.» Mike Yeadon

«Aussi Dieu leur envoie une puissance d’égarement, pour qu’ils croient au mensonge, afin que tous ceux qui n’ont pas cru à la vérité, mais qui ont pris plaisir à l’injustice, soient condamnés.» – Sainte Bible2 Thessaloniciens, chapitre 2

«C’est pourquoi, lorsque vous verrez l’abomination de la désolation, dont a parlé le prophète Daniel, établie en lieu saint, que celui qui lit fasse attention !»Sainte Bible, Matthieu 24:15


Est-ce que les écrits eschatologiques de “l’Apocalypse de Saint-Jean” concernant la fin des temps pourraient concerner précisément notre époque ?

Force est de constater que la présente situation est totalement inédite et extraordinaire, nous vivons un événement d’une ampleur mondiale, sans précédent dans toute l’histoire de l’humanité. Tout ce chaos, tout ce cirque n’est que l’acmé purulente, le symptôme terminal d’une société profondément malade, c’est la faillite complète de ce système qui s’effondre sous le poids de sa propre médiocrité. La vraie science, le bon sens et la raison semblent avoir été définitivement écartés et manifestement, il n’y a plus rien de sanitaire à toute cette sinistre mascarade, cette danse macabre, cette cruelle et infernale pantomime. Qui aurait pu croire qu’un jour, des hôpitaux refuseraient des patients s’ils n’ont pas de pass sanitaire ? Qui aurait pu croire qu’un jour des citoyens seraient employés bénévolement pour fliquer leurs semblables ? Qui aurait pu croire qu’un jour des hôpitaux préfèreraient payer des vigiles pour contrôler les pass sanitaires plutôt que d’engager du personnel soignant ? Qui aurait pu croire qu’un jour vous pourriez perdre votre travail si vous n’êtes pas vacciné ? Qui aurait pu croire qu’un jour on nous dirait que les services hospitaliers sont débordés pendant que dans le même temps on ferme des centaines de lits ? Qui aurait pu croire qu’un jour en France on exigerait des restaurateurs ou autres commerçants qu’ils trient leurs clients ? Qui aurait pu croire qu’un jour on obligerait toute une population à se faire vacciner sous la menace de privation de liberté ? Qui aurait pu croire qu’un jour un président traite «d’ultra-violents qui voudraient détruire la démocratie» des centaines de milliers de gens désespérés qui luttent pour leurs droits fondamentaux et inaliénables en criant à la liberté ? Qui aurait pu croire qu’un jour on imposerait des lois anticonstitutionnelles ? Qui aurait pu croire qu’un jour tant de gens accepteraient toutes ces infamies sans la moindre réaction ? Tout dans cette lamentable gestion de crise relève de la corruption, du scandale et de l’inacceptable et pourtant, le programme se poursuit de plus belle, inéluctablement… Nos droits sont piétinés par des lois scélérates, votées en catimini et en toute impunité à 3h du matin par un personnel politique traître au peuple et au genre humain qu’il est pourtant censé représenter et protéger, en complet décalage avec l’urgence sanitaire réelle de la situation. La vérité est systématiquement bafouée, évincée, censurée, bannie des plateaux TV, dénigrée, moquée, au profit du mensonge-roi, tout-puissant qui s’étale sur les ondes 24h sur 24. Plus de doute, nous sommes plongés dans la plus grande imposture de tous les temps, aux portes d’une barbarie à visage transhumain qui avance masquée. Nous assistons bien à la fin d’un monde, à un complet changement de paradigme, conduits à marche forcée vers cette nouvelle société, cette civilisation de mort totalement déshumanisée, numérisée, QR-codisée, et robotisée. N’est-ce pas là un basculement vers un monde invivable et des plus ténébreux, l’ultime prise de contrôle du mal ici-bas ? N’est-ce pas la situation prophétisée dans les textes sacrés issus des religions du livre, l’accomplissement des écritures et les évènements dramatiques contre lesquels tant de mystiques nous ont depuis des temps reculés mis en garde ?

Étymologiquement, le diable, “Diabolos” signifie “celui qui divise”… Or dans cette crise, n’est-ce pas son œuvre perfide que nous pouvons ici contempler ? La société est divisée et atomisée comme jamais, jusqu’au cœur même des foyers. Des parents en arrivent même à rejeter ou renier leurs propres enfants, car ils n’auraient pas leur schéma vaccinal à jour, de même que des grands-parents triples dosés refusent de se laisser approcher de leurs petits-enfants ! Depuis des décennies, on a fracturé les familles, brisé la cellule familiale qui est à la base de la société. On ne compte plus les divorces, les familles déchirées, éclatées et recomposées. On a cassé les solidarités naturelles en promouvant un culte boursouflé de l’Ego et un individualisme forcené. On a détruit le tissu social, brisé les liens inter-générationnels pour isoler au maximum les individus. L’individu ainsi atomisé, coupé de ses racines, livré à lui-même, à ses seules ressources est rendu totalement dépendant d’un système, qui peut maintenant l’asservir avec la plus grande facilité et lui imposer ses quatre volontés, jusqu’à assiéger et prendre le contrôle de son propre corps avec ces inoculations géniques expérimentales imposées. Le pacte cornélien imposé à chacun de nous relève d’un parfait jeu de dupes, d’un pacte Faustien : Choisir entre le risque de perdre sa santé et celui de conserver son confort matériel et d’être totalement exclu de la société. Sous la façade séduisante de la modernité, jamais l’homme ne s’est trouvé dans une position aussi précaire, aussi proche de sa disparition. Sous couvert de faire le bien, c’est une œuvre de destruction implacable et massive de l’humanité qui s’est enclenchée. C’est bien la perversion ultime, lorsque dans leur confusion les gens perdent tous repères et ne sont même plus capables de discerner ce qui relève du bien et du mal le plus absolu. Toute cette folie n’est rendue possible que par un cruel manque de conscience. L’humanité n’a jamais été confrontée à un tel péril, tombée sous le joug d’individus sans foi ni lois qui s’attaquent maintenant au génome d’humain et qui touchent sans vergogne à l’innocence de l’enfance.

On peut le penser, car seul le XXᵉ siècle, grâce à la puissance décuplée et exponentielle de l’informatique couplée à celle de l’Intelligence Artificielle, a permis l’émergence d’un système aussi globalisé, capable de prendre le contrôle de tous les achats et de toutes les ventes, de toutes les personnes sur l’ensemble de la planète… Notre économie, nos transactions bancaires dépendent de systèmes informatiques globaux et interconnectés comme à aucune autre période de l’histoire humaine. Jamais il n’y avait eu un système financier aussi englobant et puissant. À l’époque, c’était techniquement tout simplement impossible…

Dans notre société moderne aux valeurs Mammonique, l’argent a été porté sur un piédestal, il est devenu le maître étalon de tant de vies, détruisant tel un poison dissolvant les rapports humains. Tel le Veau d’or, il est vénéré comme jamais. Rappelons-nous de la fameuse devise du film “Wall Street”, “Greed is Good” ou l’avidité est bonne. La poursuite effrénée de l’argent est la racine de tous les maux qui rongent notre société.

De plus, force est de constater que le monde s’achemine vers toujours plus d’uniformité et d’unité, avec l’instauration progressive de l’État mondial, qui serait le prélude à l’avènement du règne de l’Antéchrist, afin, si l’on en croit les écritures, qu’il puisse établir son royaume sur la terre. Les différences culturelles ont été abrasées et l’anglais a fini par s’imposer comme langue universelle. De plus, la technologie internet de communication instantané à travers le monde a permis d’abolir les frontières entre les peuples. Au niveau politique, cette unité se prépare à deux niveaux complémentaires, planétaire et continental. Au niveau planétaire, nous avons eu l’embryon de la SDN, “la Société des Nations” au début du siècle dernier, puis l’ONU, “l’Organisation des Nations-Unies” et au niveau continental, il y a la création de Super-États comme l’Union européenne, dont l’architecture du parlement reprend d’ailleurs celle de la célèbre tour inachevée de Babel… Mais aussi en Afrique avec l’Unasur qui ne sont que le marchepied vers cette “Gouvernance Mondiale”. Pour instaurer ces organisations mondialistes, il aura fallu entrainer la civilisation dans sa lente et progressive décadence, affaiblir les nations les unes après les autres avec des guerres fratricides et des crises économiques.


D’autre part, en Israël, ils s’attendent à l’arrivée très proche de leur Messiah. En effet, pour la première fois en deux mille ans, une vache rouge, considérée par la Torah, le livre sacré du judaïsme, comme un signe avant-coureur de l’Apocalypse, est née en Israël. Des employés du temple de Jérusalem ont déjà examiné ce veau à la légende morbide. Le Centre de recherche qui s’occupe des questions relatives à la construction du Troisième Temple de Jérusalem ont procédé à l’élevage de vaches rousses, qui pour les besoins du sacrifice, se doivent d’être entièrement rouge. De plus, des années de recherche ont été nécessaires pour fabriquer et rassembler les objets rituels du Temple, réalisés à l’identique. Le Troisième Templeest, selon la tradition juive, le temple de Jérusalem, qui doit être reconstruit aux temps messianiques. Prophétisé après la destruction du “Temple de Salomon” dans les derniers chapitres du livre d’Ézéchiel, il est décrit comme un édifice perpétuel accueillant pour l’éternité la divinité d’Israël. Benyamin Netanyahou a déjà annoncé en grande pompe et en présence de Donald Trump, la reconstruction à venir de ce Temple.

Dans son analyse très intéressante et passionnante du texte de l’Apocalypse, l’écrivain Pierre Jovanovic, dans son livre 777, identifie les différents Bêtes de l’Apocalypse à la Bête-Vatican, à la Bête-Argent et à la Bête-Mass-Média (avec son pouvoir d’animer des images). «Je vis encore s’élever de la terre une autre Bête qui avait deux cornes semblables à celles de l’Agneau, mais elle parlait comme le Dragon. Elle exerça toute la puissance de la Bête-Argent en sa présence : elle fit que la terre et ceux qui l’habitaient adorèrent la Bête-Argent celle dont la plaie mortelle [crise de 1929] avait été guérie. Elle fit de grands prodiges, jusqu’à faire descendre le feu du ciel [filmer le soleil] sur la terre à la vue des hommes. Et [la Bête média] séduisit ceux qui habitaient sur la terre… Et le pouvoir fut donné [à la Bête média] d’animer l’image de la [Bête Argent].»

Attardons-nous aussi sur un autre passage de l’Apocalypse avec le verset 18:23 : «La lumière de la lampe ne brillera plus chez toi, et la voix de l’époux et de l’épouse ne sera plus entendue chez toi, parce que tes marchands étaient les grands de la terre, parce que toutes les nations ont été séduites par tes enchantements.» Le monde est donc trompé par des marchands représentés par les grands de ce monde, par la séduction des enchantements. La séduction est le mensonge, la tromperie, et le mot grec pour les enchantements, la magie et la sorcellerie est “Pharmakiea”, ce qui renvoie au mot moderne de pharmacie, donc à la médecine. Dans les anciens temps, la pratique de la médecine était étroitement liée à la sorcellerie, à l’utilisation de drogues pour induire des hallucinations et réaliser des incantations. La puissante industrie pharmaceutique est un business véreux contrôlé par de puissants “marchands de la terre”, capables comme on l’a vu de se livrer aux pires méthodes crapuleuses pour engranger d’immenses profits. La médecine moderne, en ne soignant que les symptômes des maladies et en ne cherchant jamais la source du mal profond qui affecte les patients est un marché captif. 

De plus, bien souvent les traitements induisent des effets secondaires qu’il faut traiter avec d’autres médicaments, ce qui entraîne une surconsommation sans fin de pilules et autres molécules chimiques… Un peu à l’image du serpent se mordant la queue qui est symbolisé par la figure hermétique de “l’Ouroboros”. En outre, le symbole de la médecine moderne est le caducée médical, c’est-à-dire deux serpents entrelacés autour d’un bâton ailé. C’est le symbole d’Hermès (qui a la base n’a rien à voir avec la médecine), la divinité grecque du commerce et des voyages, le patron des marchands, des voleurs, des menteurs et des joueurs. Comment un serpent venimeux pourrait-il être bon pour la santé ?

À noter qu’on retrouve également ce symbole sur le “Serment d’Hippocrate”, qui est prononcé par tous les médecins avant leur entrée en fonction. Le symbole original de la médecine était en réalité le bâton d’Asclépios, autour duquel un seul serpent s’enroulait. Le caducée se retrouve aussi au niveau du phallus du “Baphomet”, figure alchimique et occultiste qui est directement liée au satanisme. Depuis sa séduction du péché originel au jardin d’Éden, le serpent est un symbole associé à Satan. Le caducée est porté par Hermès, dont l’autre nom est Mercure, mercure qui est introduit dans les corps depuis l’époque de l’alchimiste Paracelse, puis comme un des composants des vaccins.

Rappelons-nous aussi de cet autre passage, concernant le premier des fléaux déversés par les anges sur les hommes : «Allez, et versez sur la terre les sept coupes de la colère de Dieu. Le premier alla, et il versa sa coupe sur la terre. Et un ulcère malin et douloureux frappa les hommes qui avaient la marque de la bête et qui adoraient son image.» Ne pourrait-il pas s’agir des effets secondaires désastreux de ces injections ? Des médecins commencent déjà à parler de recrudescence de cancers.

L’Archevêque Carlo Maria-Vigano s’inscrit en faux contre la position officielle totalement complaisante de l’Église face à cette crise : «Il me semble clair maintenant, que nous sommes confrontés à un siège sur les fronts sociaux et religieux : la soi-disant urgence pandémique a été utilisée comme un faux prétexte pour imposer la vaccination et le pass sanitaire dans de nombreuses nations du monde, de manière simultanée et coordonnée. En même temps sur l’autre front, non seulement les autorités ecclésiastiques ne condamnent pas l’abus de pouvoir de ceux qui gouvernent les affaires publiques, mais elles le soutiennent dans ce plan diabolique, allant jusqu’à condamner ceux qui n’acceptent pas de se faire inoculer un sérum génétique expérimental aux effets secondaires inconnus et qui ne confère pas d’immunité contre le virus. Sans parler des implications morales de la présence de matériel génétique provenant de fœtus avortés, ce qui pour un catholique est en soi une raison plus que suffisante pour rejeter le vaccin. Nous sommes en guerre, une guerre qui n’a pas été ouvertement déclarée et qui n’est pas menée avec des armes conventionnelles, mais il s’agit tout de même d’une guerre, dans laquelle il y a des agresseurs et des agressés, des coupables et des victimes, des tribunaux illégaux et des prisonniers. Une guerre dans laquelle la violence se manifeste sous des formes apparemment légales, afin de violer les droits des citoyens ainsi que des croyants. C’est une guerre qui fera date, c’est le prélude à la fin des temps et à la grande apostasie dont parlent les Saintes Écritures.»

Pour les croyants, on peut donc voir cette crise comme un test, comme une épreuve de vérité et d’intégrité, dont l’enjeu véritable n’est nul autre que celui du salut de notre âme, comme pour séparer le bon grain de l’ivraie. Nous allons tous à notre petite échelle, nous retrouver acculés, afin d’être soumis à ce mensonge, à cette tromperie universelle à laquelle nous sommes sommés de prêter allégeance, jusqu’à nous faire inoculer et à faire couler ce mensonge dans nos propres veines. Altérant ainsi et profanant le génome humain, le code sacré de la vie, afin de rejoindre la cohorte des esclaves de la “bête de l’événement en marche” et de ses serviteurs zélés, de ces marchands du temple, sans foi ni loi. Adore la bête, accepte et prend le pass sanitaire et son passeport pour Babylone, tu pourras alors à nouveau jouir des plaisirs et des bienfaits de ce bas monde, semblent nous promettre ses adeptes dans ce marché de dupes. Ceux qui résistent, éternels réfractaires à ce diktat infernal payeront très cher le prix de la vérité, quitte à être stigmatisé, à perdre leur travail, leurs quelques avantages matériels et en étant relégués à une vie de paria, rejetés tels des pestiférés hors de cette nouvelle Babylone moderne. Au nom d’un prétendu bien commun, le mal semble maintenant s’imposer et recouvrir  de son obscur manteau le monde, rongeant en profondeur une société déjà à la dérive et en totale perte de repères. Les intelligences et les consciences ont été comme subjugué et obscurcis, tant d’esprits et de cœurs ont été égarés, aveuglés et illusionnés par l’intense et féroce propagande médiatique déversée, tel un puissant sortilège ou un maléfice par leur boîte télévisuelle à mensonges.

N’était-ce pas Anton Lavey, le fondateur de l’Église de Satan et de la Bible satanique, qui écrivait dans son livre “The Devils Notebooks” à propos de la petite lucarne : «La naissance de la télévision est un événement magique ayant une signification satanique […] Ce qui a démarré modestement dans les familles par de petits boîtiers, s’est transformé petit à petit, par de grandes paraboles et antennes qui dominent l’horizon et qui remplacent les croix au sommet des églises (Le terme de “parabole” est dans ce contexte des plus intéressants, puisque les nouvelles paraboles nous livrent un message bien différent de ce que transmettaient les anciennes dans les livres sacrés). La télévision, ou l’hôtel satanique s’est rapidement développé depuis les années 50 à partir d’un petit écran flou jusqu’à un énorme matériel qui recouvre des murs entiers. Ce qui a commencé comme un divertissement innocent dans la vie quotidienne des familles a fini par remplacer la vraie vie pour des millions de gens, c’est devenu une religion majeure pour les masses.» Égarés par le poison de ces ondes, qui imprègne leur esprit, bien des hommes ne sont plus capables du moindre discernement, de faire la différence, la part des choses entre bien et mal, comme si leur boussole interne avait été désorientée et l’aiguille de leur vie tordue et brisée.



La corruption à tous les étages

«Un spectacle épouvantable et douloureux s’est levé devant mes yeux : j’ai écarté le rideau de la corruption des hommes.» – Friedrich Nietzsche

Comment un système aussi malveillant et aux antipodes des meilleurs intérêts des populations peut-il se mettre en place, tout en faisant mine de le représenter et de le servir ? Comment un tel niveau de mensonge peut-il être rendu possible ? Eh bien, tout repose sur la corruption des hommes à toutes les échelles possibles. Il faut bien avoir conscience que beaucoup de politiques et de décisionnaires de premier-plan sont par exemple tenus par de sordides affaires sexuelles impliquant bien souvent des enfants, comme on a pu le voir avec l’affaire médiatisée de Jeffrey Epstein. Le sexe, le pouvoir et l’argent dominent le monde. À une plus basse échelle, les hommes sont achetés par l’appât du gain et par l’attrait du confort matériel. On achète ainsi, par exemple le silence complice des médecins par de l’argent facile, ou par des menaces s’ils tentent de parler. Les plus petits exécutants sont quant à eux tenus par des pressions, du chantage ou par la peur, comme celle de manquer, de ne plus pouvoir payer ses traites, de perdre sa maison et sa situation sociale. En fait, notre société pourrait se résumer à une vaste pyramide de corruption, où tous les échelons sont fermement tenus. C’est le règne généralisé de la compromission. Beaucoup en sont réduits à accepter le pire juste pour conserver leur place et leur situation. Tant de médecins ont déjà été corrompus et soudoyés, allant jusqu’à accepter des primes, en se faisant les relais et les complices actifs du mensonge. Ils ont aussi, dans leur écrasante majorité, accepté l’intolérable, allant jusqu’à se renier eux-mêmes, en refusant de traiter leurs patients, ou bien en faisant par exemple de faux certificats de décès COVID. Les journalistes mainstream peuvent de leur côté aussi bien faire quelques arrangements avec la vérité, eux qui sont si grassement payés et attachés à leur confort de vie, à leur petite cage dorée et qui vivent en circuit fermé dans leur petit microcosme, à des années-lumière des préoccupations de leurs concitoyens. De même, tant de parents ont accepté sans broncher de maltraiter leurs propres enfants, en les muselant pendant des mois, voire en les piquants avec ces produits dangereux et hautement suspects, en acceptant ainsi de risquer de sacrifier ce qu’il y a de plus précieux et de sacré dans leur vie. Et ne parlons pas de ce personnel soignant, qui a en silence accepté d’administrer aux anciens le Protocole Rivotril, au lieu de les traiter et de dénoncer haut et fort cet infâme et immonde crime d’État. Les hôpitaux commencent maintenant à refuser de prendre en charge, de soigner les personnes non-vaccinées, ou d’empêcher les visites des patients malades, les mamans en maternité qui viennent tout juste d’accoucher ne peuvent plus voir leur bébé, si elles n’ont pas de pass sanitaire à jour. Quel individu encore doté d’une once d’humanité et de sens moral peut encore tolérer cette folie furieuse et cette dérive criminelle ? Certains sont aussi prêts à brader leur dignité, leur liberté, voire leur vie pour de simples sorties, pour partir en vacances, pour une place de camping, une place à la terrasse d’un café, pour un billet de cinéma, pour jouir de la vie terrestre. Mais rappelons-nous bien que nous ne sommes que de passage ici-bas et que nous n’emporterons jamais avec nous nos biens dans la tombe. Tous les pouvoirs de l’État, tous les médias, toutes les institutions internationales publiques et privées, tous les potentats économiques et financiers sont complices, qu’ils soient pleinement conscients ou non, de ce crime sans précédent en termes d’échelle et d’ampleur. Qu’il suffise de constater qu’en France, ce qui fait office de “Conseil Constitutionnel” est confié aux mains souillées par le sang de tant d’innocents, de Laurent Fabius. Ce dernier fut le ministre, “responsable”, mais “pas coupable” lors du scandale de l’affaire du sang contaminé. Tandis que son fils, Victor Fabius, est l’un des directeurs associés du Cabinet Conseil McKinsey” qui conseille directement Emmanuelle Macron sur sa campagne de vaccination. Soit un conflit d’intérêts dans toute sa splendeur et qui ne semble déranger personne. Ce conseil fait fi de ses prérogatives et viole allègrement la constitution qu’il est censé protéger, en ne garantissant plus ni principe de liberté en France, ni celui d’Égalité entre les citoyens en introduisant une discrimination entre non-vaccinés et vaccinés. Nous passons d’un régime de libertés à un régime de contraintes, où nous sommes dépossédés de la maîtrise de notre propre corps qui appartient désormais à l’État et est soumis à son bon vouloir. Il acte la fin de l’État de Droits. La corruption des autorités et des plus hautes instances est telle qu’il est très difficile, sur un plan temporel purement humain, d’imaginer une issue pacifique à cette impasse. Avant cette crise, nous avions déjà conscience qu’il y avait d’énormes problèmes de corruption au sein du monde politique, avec des magouilles en pagaille et des détournements d’argent public astronomiques, mais finalement nous nous en accommodions bon gré, mal gré, car nous pouvions encore mener notre vie comme nous l’entendions. La différence est que maintenant, cette corruption nous a rattrapé et est montée d’un cran : elle impacte en profondeur nos vies, elle nous menace directement. La politique de l’autruche n’est donc plus une option, car tôt où tard cette réalité finira par tous nous rattraper pour nous priver de notre liberté, pour nous faire souffrir jusque dans notre chair et pourquoi pas, jusqu’à mettre en péril notre vie !


Prophétie du Grand Sage amérindien Bison Blanc


Voici une prophétie amérindienne époustouflante de vérité dans le contexte actuel… En 1919, Bison Blanc, un grand Sage amérindien, eut cette vision du futur qu’il partagea avec ses enfants. Cette Prophétie fut transmise de génération en génération dans le plus grand secret. Selon son arrière-petit-fils, qui souhaite garder l’anonymat, il est temps désormais que cette prédiction soit traduite dans le langage courant, et révélée au monde avant qu’il ne soit trop tard pour l’avenir de notre humanité :

«Lorsque les dates du calendrier qu’ils nous ont imposé seront de nouveau en position de miroir, les hommes auront oublié cette première grande guerre qui aura versé tant de sang.

Les souvenirs des horreurs qu’ils ont traversées s’effaceront de leur mémoire, et les esprits s’endormiront de nouveau. Les cœurs se fermeront les uns aux autres, chacun s’isolant dans son propre univers, coupé du sens de la solidarité.

Tels des loups solitaires, les humains se croiront libres d’aller là où bon leur semblera, et d’agir à leur guise sans tenir compte des autres. Ils ne réaliseront pas à quel point, sans la protection de sa meute, un loup isolé est d’autant plus vulnérable…

C’est alors que, aux quatre coins de la Terre, débutera une nouvelle guerre, la plus grande de toute. Une guerre sans fusils et sans canons. Une guerre redoutable contre notre Mère la Terre, dans le but de la maîtriser et de contrôler chacun de ses soupirs.

Une guerre viscérale qui exploitera toutes ses richesses et causera l’extinction de nombreuses espèces, tant animales que végétales. Une guerre sournoise qui anéantira le lien même des hommes avec la Nature, et le grand cycle de vie dont ils font partie.

L’esprit endormi des hommes, coupé de sa reliance avec le grand Tout, ne verra rien venir lorsqu’il deviendra la prochaine cible de cette soif absolue de contrôle de ces envahisseurs.

Ultime conquête, le cerveau humain sera une proie de choix sur leur tableau de chasse. Et ils n’auront besoin d’aucune arme pour asservir les hommes : il leur suffira simplement, pour les réduire à néant, de leur insuffler la peur.

Tel un loup solitaire traqué par un chasseur sans merci, l’humain isolé de ses semblables ne trouvera aucune aide, aucun soutien, aucun répit, ni aucun terrier pour se réfugier lorsque débutera cette guerre de terreur et d’effroi.

Il sera traqué jusque dans sa propre maison. Assailli jour et nuit par des images terrifiantes, les mémoires de ses ancêtres oubliés, il craindra de sortir de chez lui.

Son cœur, coupé de sa lignée et endurci par des années de solitude intérieure, en viendra à se méfier de ses voisins, de ses amis, et même de sa propre famille. Ce sera le début de la fin pour cette humanité sans âme et sans vision commune.

Seuls ceux et celles qui ont nourri le lien à la Terre, qui ont gardé leur cœur ouvert et leur esprit éveillé, sauront qu’il est temps de se lever et de quitter le confort de leur foyer pour se regrouper sur de hauts lieux sacrés afin d’invoquer la clémence des Astres, des Anciens et des Esprits.

Ceux et celles qui prendront le temps de laver leur âme du sang versé par leurs ancêtres, et de purifier la Terre entachée par tant de massacres, auront la possibilité de survivre à cette guerre impitoyable.

Ceux et celles qui créeront des havres de paix, des communautés solidaires et unies par le Cœur, sauront résister à l’épreuve du feu qui embrasera les cerveaux terrifiés par la peur.

Aux quatre coins de la planète, toutes ces âmes, rassemblées dans un même Esprit d’Amour absolu, sauront retrouver le chemin qui mène à la Paix.

Ensemble, elles s’uniront aux Astres, aux Anciens et aux Esprits, pour réactiver la grande Roue de Médecine universelle, le Cercle de la Création Éternelle, afin d’y bercer la Terre-Mère et tous ses habitants, en faisant tomber le voile de l’oubli et les éveillant à leur véritable Nature unifiée.

Ce sera le début d’une Ère nouvelle où, enfin, tous les humains seront frères et feront UN avec la Nature, les animaux, les plantes, les Anciens et les Astres. Alors, mes enfants, nous pourrons en toute conscience quitter cette Terre et redevenir nous-mêmes des Étoiles.»

Bison Blanc


CHAPITRE 8
DE L’ACCUSATION
DE COMPLOTISME




«À chaque fois que vous vous retrouvez à penser comme la majorité des gens, faites une pause, et réfléchissez» – Mark Twain

«Pour examiner la vérité, il est besoin une fois dans sa vie de mettre toute chose en doute autant qu’il se peut.» – René Descartes

«Le monde se divise en trois catégories de gens : un très petit nombre qui fait se produire les événements, un groupe un peu plus important qui veille à leur exécution et les regarde s’accomplir, et, enfin, une vaste majorité qui ne sait jamais ce qui s’est produit en réalité.» – Nicholas Murray Butler, membre du CFR

«Le premier qui dit la vérité, il doit être exécuté.» – Guy Béart

«Même si vous êtes seul et que personne ne vous suit, défendez toujours ce qui vous paraît juste.» – L’abbé Pierre

«Il faut bien que la vérité monte des profondeurs du peuple, puisque d’en haut ne viennent que des mensonges.» – Louise Michel

«Plus une société s’éloigne de la vérité, plus elle déteste ceux qui la disent.» – George Orwell

«Le “complotisme” est une arme dans les mains des comploteurs pour décrédibiliser tout scepticisme et toute contestation d’un discours public établi. Donc là, on est vraiment dans Orwell, si vous voyez ce que je veux dire !» –  Valérie Bugault

«Ce qu’ils appellent “théorie du complot” se nommait auparavant esprit critique et était considéré comme salutaire pour une démocratie. La “théorie du complot”, c’est le fait de s’interroger sur la véracité des discours politiques, et se demander à qui profite le crime.» – Ariane Walter

«L’Internet représente une menace pour ceux qui savent et qui décident. Parce qu’il donne accès au savoir autrement que par le cursus hiérarchique.» – Jacques Attali

«Je ne sais plus quoi penser. Je suis dépassé par cette avalanche d’absurdités, dont je ne peux pas croire qu’elles sont uniquement une absurdité. Parce que sinon c’est grave. Il y a deux options. Ou ils sont stupides ou ils sont diablement intelligents.» – Maître Fabrice di Vizio

«Quand vous pensez, quand vous poser des questions, vous êtes aujourd’hui un complotiste, vous êtes un fasciste, vous êtes un dangereux criminel… C’est-à-dire que la subjectivité est devenue un potentiel désordre ! Eh bien ça, c’est la définition même du totalitarisme.» – Marie-Estelle Dupont

«Il y a dans ce pays un complot qui vise à rendre esclave chaque homme, femme et enfant. Avant de quitter ce haut et noble bureau, j’ai l’intention d’exposer ce complot.» – Sept jours après avoir prononcé ces mots, le Président J. F. Kennedy a été assassiné

«Car, nous sommes confrontés dans le monde entier a une conspiration monolithique et impitoyable qui compte principalement sur des moyens secrets pour étendre sa sphère d’influence par l’infiltration plutôt que l’invasion, la subversion plutôt que les élections et l’intimidation au lieu du libre arbitre. C’est un système qui a nécessité énormément de ressources humaines et matérielles dans la construction d’une machine étroitement soudée et d’une efficacité remarquable des opérations militaires diplomatiques de renseignement économique scientifique et politique. Leurs ramifications sont occultées et non publiées. Ses erreurs sont enterrées et ne font pas les gros titres on fait taire ses dissidents, on ne les glorifie pas ; aucune dépense n’est mise en question, aucune rumeur n’est imprimée et aucun secret révélé. Elle conduit la guerre froide en bref, avec une discipline de guerre qu’aucune démocratie n’espérerait égaler. Je sollicite votre aide dans l’immense tâche qui est d’informer et d’alerter le peuple américain avec la certitude qu’avec votre aide l’homme deviendra ce pourquoi il est né, libre et indépendant.» – J. F. Kennedy



“Complotiste”, cet anathème, ce mot-valise, ce fourre-tout invraisemblable et infamant, véritable taser idéologique, censé faire frémir dans les chaumières dès qu’il est prononcé, est devenu de par son recours quasi-systématique, parfaitement grotesque ! Voilà un artifice rhétorique vraiment usé jusqu’à la corde, mais si commode pour se défausser de ses responsabilités et tout nier en bloc d’un simple revers de main… Pas sûr que cet artifice de plus en plus grossier continue à tromper et illusionner encore beaucoup de monde dans les prochains temps. “Le complotisme” est un curieux abus de langage car, jusque-là on désignait les complotistes, comme un groupe qui agit en secret dans le but de fomenter un complot. Mais de nos jours, les “complotistes” désignent plutôt ceux qui en réalité ne complotent strictement rien, mais dénoncent des potentiels complots, ce qui est pour le moins paradoxal. En somme, il s’agit d’une sorte d’inversion accusatoire qui conduit à ce que tout propos s’écartant de la “doxa” bien-pensante, de la pensée dominante, ne pourrait provenir que d’adeptes de la “théorie du complot”. Et déclarer que quelqu’un est complotiste, signifie qu’il ne peut en aucun cas être crédible, puisqu’il est parfaitement évident que s’il y avait un complot, cela se saurait et que la télé en aurait parlé.

Car c’est bien simple, on le brandit à l’envi dès lors que l’on ose émettre la moindre réserve, même des plus légitimes sur la politique conduite par le gouvernement et sur ses mesures sanitaires, proprement délirantes qu’il met en œuvre. Le mot d’ordre est simple : ne posez surtout pas de questions, ne pensez pas, faites juste confiance à ce qu’on vous dit, appliquez et soumettez-vous, car c’est pour votre bien. Personne n’en est plus épargné : même des personnalités politiques, comme la députée Martine Wonner, des sommités scientifiques, de brillants virologues, des stars au niveau de la médecine, des icônes de la recherche, tels que le Professeur Didier Raoult ou le Dr. Christian Perronnele Pr  Jean-François Toussaint, le chercheur Laurent Toubiana, ou encore, des prix Nobel de médecine comme Luc Montagné sont traînés dans la boue, traités de vulgaires “Complotistes”, de charlatans, d’illuminés, de vieillards séniles, voire même de druide loufoque ! Bref, des gens peu recommandables à ne surtout pas écouter. Mais, comme le dit l’expression d’origine turque : «Les chiens aboient, mais la caravane passe.» Prenons exemple sur le courageux Pr Christian Perronne qui repousse cette grossière accusation : «Je m’en moque. Les gens qui disent que je suis complotiste, c’est des gens qui n’ont pas d’arguments contre moi. Moi je suis très tranquille parce que je dis la vérité. La vérité, elle dérange. C’est tout.» Pourtant, avant d’être discrédités de la sorte, ces derniers étaient bien invités sur tous les plateaux médiatiques du système, du moment que leur discours allait dans le sens attendu par ce dernier… Depuis qu’on leur a collé cette infamante étiquette, pour avoir mis en garde contre ces vaccins et leur dangerosité potentielle, comme pour une chasse aux sorcières, ils sont devenus des pestiférés, des “Persona non gratta”. Alors que par ailleurs, on continue de réserver des tribunes entières, avec la plus grande complaisance à des docteurs bien moins compétents et titrés et qui plus est, qui sont en conflit d’intérêt manifeste avec l’industrie du médicament. 

Ainsi, des docteurs comme Karine Lacombe en conflit d’intérêt majeur avec le laboratoire “Gilead”, tiennent lieu de référence pour conseiller directement le gouvernement. Vous savez, il s’agit de cette merveilleuse médecin cathodique de plateaux qui a fait du forcing intensif pour imposer le traitement ruineux, parfaitement inefficace et dangereux du Remdesevir, qui aura coûté 900 millions d’euros en perte sèche à l’Union européenne. Pour ses bons et loyaux services rendus à Big Pharma, cette dernière a même hérité de sa risible breloque bling-bling vermoulue, de sa légion d’honneur, ou plutôt, dans ce monde aux valeurs de plus en plus inversées, de sa médaille du déshonneur. Une médaille qui sera aussi attribué en forme d’affront ultime à Agnès Busyn qui avait quitté le ministère de la Santé en pleine crise COVID et avait été mise en examen pour mise en danger de la vie d’autrui dans sa gestion de crise... 

Rien d’étonnant à cela, car comme l’avait relevé la philosophe Hannah Arendt, dans une société totalitaire, tout est à front renversé, le discours devient de plus en plus irrationnel et les mesures prises n’ont plus aucun  rapport avec la réalité ou la vérité. Ainsi, le résistant devient un lâche ; celui qui est dans la peur et court se faire vacciner devient un héros de la nation ; celui qui se bat pour la sauvegarde des libertés fondamentales devient un danger pour la démocratie, ou serait un fanatique d’extrême droite ; le bourreau se fait passer pour une victime, tandis que la victime est désignée comme l’agresseur ; les résistants sont considérés comme des terroristes ; les collaborateurs, voire ceux qui dénoncent leur prochain, comme d’exemplaires citoyens. La philosophie morale est inversée, le mensonge devient la norme. Autant dire que comme le constatait l’écrivain, cinéaste et militant révolutionnaire Guy Debord«Dans le monde réellement renversé, le vrai est un moment du faux.»

Mais qu’elle est l’origine de ce terme de pure Novlangue qu’est Complotiste ? Eh bien, il a été créé lors de l’Opération Mockingbird lancée par la CIA en 1950 pour prendre le contrôle des médias et imposer un discours officiel. En plus de mettre leurs agents en place dans les rédactions du monde entier et d’acquérir les principaux titres, ils ont imposé un lexique à utiliser pour le discours officiel des médias sous contrôle. Le premier mot était Complotiste, le second Nazi, le troisième Fasciste le 4ᵉ “Antisémite”… La liste comprend plus de 200 mots et expressions utilisées pour discréditer et bâillonner les lanceurs d’alerte. Ce mot fut utilisé depuis en ingénierie sociale pour faire taire tout avis critique.

Rudy Reichstadtle fondateur et rédacteur en chef de “Conspiracy Watch” prétend paradoxalement que “le complotisme met la démocratie en péril”. Mais de quelle démocratie parle-t-il au juste ? Celle qui consiste à faire revoter les peuples autant de fois que nécessaire pour qu’ils aient une position conforme à la volonté des puissants, ou celle qui fait revoter les représentants du peuple contre l’avis du peuple comme pour le traité de Lisbonne. Celle qui consiste à imposer des décrets iniques et impopulaires à coup de 49.3 ? Ou peut-être parle-t-il de celle qui consiste à faire tirer sur le peuple mécontent à coup de LBD ? Ou bien alors parle-t-il de la démocratie qui muselle des spécialistes et des experts, car leur position n’est pas conforme à la doxa et au discours dominant ? On ne sait plus trop… Si exercer son esprit critique face aux abus et aux dérives du pouvoir revient à être taxé de complotiste par des chiens de garde à la solde de ce même pouvoir, alors je le suis et résolument et sans la moindre hésitation.

Cette accusation et cette étiquette infamante ne tiennent plus la route, car ceux qui parlaient encore il y a tout juste une année de pass-sanitaire, étaient traités de complotistes. Pourtant, c’est bien maintenant une réalité incontestable tout ce qu’il y a de plus officielle. Et d’ailleurs, suprême horreur, il s’avère que ces affreux “théoriciens du complot” avaient en fait raison sur tant d’autres choses, comme l’arrivée du QR-code, en passant par l’identité numérique, la puce, les effets désastreux des vaccins, les confinements à répétition, les vaccins à vie, ou encore le virus artificiel produit en laboratoire, la géo-ingénierie. Force est de constater que les théories du complot d’hier sont de plus en plus les faits d’actualité d’aujourd’hui. Décidément, il va falloir trouver de nouvelles théories si toutes les anciennes se sont révélées vraies… Mais pendant que nous perdons un précieux temps à nier les évidences, le programme d’asservissement des peuples avance inexorablement.

La vérité se trouve-t-elle du côté des agresseurs, qui possèdent tous les leviers de communication et toute la puissance de feu des médias, ou bien de celle des agressés, des censurés qui bricolent, improvisent des vidéos avec les moyens du bord pour tenter d'exposer leur point de vue et ont tout à perdre ? Pourquoi les premiers, si puissants, redouteraient-ils tant l'expression des seconds ?

Et puis avec toute cette situation exceptionnelle de la COVID-19, comment ne pas se poser de sérieuses questions, voir remettre en cause nos convictions et nos certitudes les plus profondes devant un tel étalage de mauvaise foi, de contradictions et d’incohérences gravissimes, voir de prises de mesures criminelles qui s’enchaînent les unes après les autres, sans pour autant trouver d’explications qui tiennent la route

Comme dirait le grand écrivain dissident Alexandre Soljenitsyne : «Nous savons qu’ils mentent. Ils savent qu’ils mentent. Ils savent que nous savons qu’ils mentent. Nous savons, qu’ils savent que nous savons qu’ils mentent. Et pourtant, ils persistent à mentir !» tout en insistant sur la nécessité de barrer la route au mensonge : «Je n’ai pas la force, tout petit individu que je suis, de m’opposer à l’énorme machine totalitaire du mensonge, mais je peux au moins faire en sorte de ne pas être un point de passage du mensonge.»


N’oublions pas non plus le constat implacable que Georges Orwell dressait de la politique : «Le langage politique est destiné à rendre vraisemblables les mensonges, respectables les meurtres, et à donner l’apparence de solidité à ce qui n’est que du vent.»

Force est de constater que nos gouvernements sont beaucoup plus efficaces pour lutter contre le peuple que contre ce virus ! C’est un constat empirique, qui ne fait que se confirmer semaines après semaines, mois après mois !

On ne peut que raisonnablement conclure à une forme de malveillance délibérée et exclure l’incompétence lorsque les mêmes erreurs aux si lourdes conséquences sont inlassablement reproduites plusieurs fois, comme avec les mesures de confinement ou la multiplication des doses vaccinalesAlbert Einstein disait dans une citation restée célèbre «La définition de la folie, c’est de refaire toujours la même chose, et d’attendre des résultats différents.»

Une fois, c’est le hasard. Deux fois, c’est une coïncidence. Mais trois fois, c’est un complot !

«Une erreur répétée plus d’une fois est une décision.» – Paulo Coelho

Mais aussi, que les conséquences malheureuses de ces échecs ne donnent jamais lieu à aucune véritable remise en question de la part des autorités, à aucunes sanctions voire, qu’elles se soldent au final par des promotions pour les responsables de ces décisions iniques ! Lorsque l’on n’est pas à la hauteur de la situation, on démissionne. Comme le met si bien en lumière l’expression populaire «errare humanum est perseverare diabolicum», l’erreur est humaine, mais la persévérance dans l’erreur, elle est diabolique ! Aussi, comment est-il possible de se retrouver exactement dans la même situation qu’il y a un an, malgré toutes ces mesures liberticides et tous ces sacrifices exigés auprès des populations, pour un virus qui aurait dû être endigué en quelques semaines ?

Tout l’art de ce gouvernement de félons est de nous faire passer pour de l’incompétence crasse ce qui relève en réalité d’un crime prémédité et d’une stratégie belle et bien délibérée ! Ne nous y trompons pas, ils  sont tout sauf bêtes ou incompétents : ils ont une intelligence perverse au service d’une feuille de route bien précise. En réalité, du point de vue des lobbies et des puissances d’argent qu’ils servent, ils sont hypers compétents… Nous ne sommes pas plongés dans une crise sanitaire, mais dans un crime sanitaire, un problème d’ordre politique, avec la mise en œuvre d’une politique de mort, et non de santé. Ce qui fait une énorme différence ! Il faut remettre les mots à leur juste place, ils ne sont pas « stupides », mais très intelligents, ils ne sont pas « incompétents », mais très stratégiques, ils ne sont pas « menteurs », mais hautement pervers, ils ne sont pas « mauvais gestionnaires », mais ils volent l’argent.

Comme le dirait avec réalisme Étienne Chouard : «Les politiciens ne sont pas incompétents, ils sont intelligents et corrompus. Ils font leur job parfaitement, contre l’intérêt général et pour les riches qui les ont portés au pouvoir, précisément pour ça. Dire qu’ils sont incompétents empêche de diagnostiquer la trahison !»

Et puis d’ailleurs, au nom de quoi devrions-nous d’office nous interdire de penser à l’hypothèse d’un complot et rejeter systématiquement et avec la plus grande indignation cette éventualité ?

À en croire les médias mainstream, nous vivrions dans un monde de Bisounours, où aucun événement ne serait au grand jamais programmé et aucun fait ne pourrait avoir la moindre relation avec d’autres. Tout partirait d’une génération spontanée, et ne serait que le fruit du pur hasard, ou de coïncidences malheureuses, même si la raison, le bon sens et la logique indiquent tout le contraire… Pourtant, l’intelligence n’est-elle pas justement la capacité d’établir des liens entre des éléments disparates, qui à première vue n’en auraient aucun ?

Enfin, pour tous ceux qui s’indigneraient et se scandaliseraient que l’on puisse douter de la probité de la parole officielle, faut-il leur rappeler que les autorités et leurs représentants ont déjà sans la moindre vergogne, menti à maintes reprises sur tant de sujets comme : le tabac, l’amiante, les opioïdes, la grippe porcine, la grippe aviaire, l’aluminium dans les déodorants, l’aspartame, les produits d’hygiène cancérigènes, les additifs et édulcorants artificiels alimentaires, le cholestérol, les médicaments, les statines, la thérapie des hormones, la toxicité de la peinture au plomb, le fluor dans l’eau potable et les dentifrices, sur les pesticides, la géo-ingénierie, les OGM, le glyphosate, la sécurité des vaccins, la relation entre autisme et vaccination, les bienfaits du soja pour la santé, les aliments non gras, les armes de destruction massive en Irak, le nuage de Tchernobyl… J’en passe et des meilleures ! Signalons aussi au passage que tous les grands crimes de masse dans l’histoire ont toujours été l’affaire des gouvernements, sans exception. Les cimetières sont remplis de gens qui ont eu une confiance aveugle dans le baratin et dans la propagande de leurs gouvernements. Mais comme le disait Albert Einstein«La croyance absurde dans l’autorité est le pire ennemi de la vérité.»

Et puis, l’histoire du monde n’est-elle pas littéralement émaillée de complots, d’intrigues et de trahisons en toutes sortes pour obtenir ou conserver le pouvoir ? En réalité, l’histoire a toujours été le fait de minorités actives, bien organisées et structurées qui agissent en réseaux de pouvoir et sont capables de manipuler les masses indistinctes pour arriver à leurs objectifs et servir leurs dessins. Le pouvoir oligarchique fragile étant très minoritaire, il est souvent obligé d’en passer par là, d’user de manipulations et de ruses pour se maintenir en place. Les puissants de ce monde sont des conspirateurs nés, car l’ivresse du pouvoir rend fou ! Comme le disait avec justesse Lord Acton «Le pouvoir rend fou, et le pouvoir absolu rend absolument fou.» Le romancier Harlan Coben de son côté, affirmait que : «Derrière chaque grande fortune, il y a un grand crime.» La normalienne, docteur en psychopathologie Ariane Bilheran revient aussi sur cette notion de complot: «La paix n’est qu’un moment d’accalmie dans toute l’histoire de l’humanité. L’humanité n’est aux prises qu’avec des complots contre elle-même. Il y a une constante dans l’histoire de l’humanité : c’est que ceux qui ont des privilèges au détriment de ceux qui n’en n'ont pas, se sentent persécutés par ceux qui n’en ont pas, parce qu’ils sont plus nombreux et qu’ils pourraient éventuellement se rendre compte qu’ils ont confisqués des privilèges et même pourquoi pas, les tuer. Et donc, ils organisent des complots contre ceux qui n’en n'ont pas.»

Et il est indéniable que la concentration des pouvoirs n’a jamais été aussi grande que de nos jours… Par conséquent, les maladies et les pathologies inhérentes au pouvoir doivent donc l’être tout autant… De même que les instruments d’hypnose et de manipulation collective, comme la télévision, les moyens technologiques de traçage, de contrôle et de répression, donc les moyens d’assouvir, d’affirmer et de maintenir ce pouvoir n’ont jamais été aussi développés  ! Déjà en son temps, l’écrivain Honoré de Balzac affirmait que : «Tout pouvoir est une conspiration permanente » et également dans son livre les illusions perdues que «Il y a deux histoires, l’histoire officielle mensongère, qui nous est enseignée “ad usum delphini” et l’histoire secrète, où se trouvent les causes véritables des événements, une histoire honteuse.»

Mécaniquement, il faut bien avoir conscience que ce sont toujours les individus les moins scrupuleux et vertueux, les passionnés du pouvoir qui sont propulsés aux postes les plus influents, car les gens de bien eux, sont dénués de toute ambition pour dominer les autres, ils n’aspirent qu’à vivre en paix ! C’est ainsi qu’est faite la nature humaine depuis la nuit des temps et ce n’est certainement pas près de changer… Comme le disait Mirabeau : «Les gens de bien sont faibles et timides : il n’y a que les Vauriens qui soient déterminés.»

Nos gouvernements ont dérivé vers ce qui s’apparente à une pathocratie, comme l’avait analysé Andrew M. Lobaczewski dans son ouvrage des mécanismes totalitaires “La ponérologie politique”. C’est-à-dire que le pouvoir est aux mains d’individus pervers narcissiques souffrants de profonds troubles de la personnalité psychopathologiques, allant de la psychopathie, à la schizophrénie, en passant par la paranoïa ou la pathocratie. Cette minorité de déviants arrive à s’emparer du pouvoir et à soumettre la grande majorité constituée d’êtres humains psychologiquement équilibrés et “normaux”. Ces déviants sont capables de se reconnaître instantanément entre eux et il leur est donc aisé de “s’unir” pour œuvrer “ensemble” à un but commun, but qui est l’opposé de celui des êtres humains normaux. Ils veulent que le monde entier se conforme à leur vision du monde. Ils font tout cela en se cachant derrière un “masque de santé mentale”, de raison et de décence, en faisant des promesses qu’ils n’ont nullement l’intention de tenir. Comme ils sont dénués de toute conscience et du moindre sentiment d’empathie, il leur est facile de commettre les crimes les plus atroces, de raconter les mensonges les plus aberrants, sans ressentir le moindre remords ou la moindre responsabilité ! Par leur duplicité, ils arrivent à propager leur délire et à plonger l’ensemble de la société dans des phénomènes de pensée unique, de propagande idéologique, d’endoctrinement de la population par la Terreur, d’exterminations de masse, etc. Le résultat est un système totalitaire caractérisé par un gouvernement tourné contre son propre peuple.

En outre, tout ce matraquage médiatique intensif, incessant depuis quelques années autour desdites “Théories du Complot” et de ces fous de “conspirationnistes”, qui ressemble à un véritable conditionnement, à un formatage de masse et à de l’ingénierie sociale, n’est-il pas en lui-même hautement suspect ? Ce néologisme signifie juste à bannir, à ostraciser et à persécuter… Ceux qui se retrouvent affublés de ce terme infamant sont les nouveaux hérétiques de la religion de la vérité officielle et gouvernementale.

Et d’ailleurs, que cache cette obsession autour de toutes ces thématiques ? Cette nouvelle forme de terrorisme intellectuel imposé ne serait-il somme toute pas là pour empêcher les gens de penser par eux-mêmes, en leur définissant un cadre politiquement correct, une prison mentale autorisée et bien délimitée, dans laquelle ils auraient le droit de réfléchir ?

N’est-ce pas aussi un moyen de désarmer le peuple et de lui enlever toute possibilité de défense et de riposte dans le cas d’une éventuelle attaque, de l’empêcher de dénoncer les dérives du pouvoir en place et ses ambitions totalitaires ? En tous les cas, l’enjeu du “complotisme” est si important que pour l’endiguer, le pouvoir semble d’ailleurs prêt à toutes les extrémités, à psychiatriser le phénomène, voir à l’assimiler, à l’amalgamer à une nouvelle forme de terrorisme. On est dans le crime de pensée cher à Orwell. Le pouvoir n’hésite pas à parler de vouloir rééduquer les récalcitrants à son catéchisme obligatoire.

Manifestement, “l’anti-complotisme” imposé est une émanation directe du pouvoir lui-même, dont la finalité serait de le protéger et de lui permettre d’échapper à la compréhension de ceux sur lesquels ce pouvoir s’exerce! “L’anti-complotiste” ne fait en réalité que recracher bien docilement, dans le plus pur conformisme et sans la moindre prise de risque le catéchisme de la doxa, le discours pré-mâché officiel édicté par le pouvoir en place. Il n’a rien à prouver, ni à justifier, il est en terrain conquis et peut se contenter de se reposer sur de simples arguments d’autorité ! C’est l’exact opposé du dit “complotiste”, ce franc-tireur qui de son côté se met en péril en s’aventurant sur un terrain extrêmement glissant… Ainsi, ce dernier a absolument tout à perdre : tant sa réputation, que sa position sociale… Ce qui le contraint pour étayer sa thèse des plus délicate et inconfortable, à la plus grande rigueur, à chercher de solides preuves et arguments. Le “complotiste” se doit de connaître très finement la thèse officielle, afin de mieux pouvoir la démonter et la soumettre à un examen critique poussé. “L’anti-complotiste”, en s’interdisant d’office certaines thèses et hypothèses de travail basées sur une possible malveillance, se retrouve comme handicapé pour saisir la nature humaine dans toute sa complexité qui, dans son éventail des possibles, peut aller de la plus absolue horreur et noirceur, à la plus sublime et lumineuse bonté ! Bien entendu, “l’anti-complotiste” est convaincu de se trouver dans le camp du bien et d’œuvrer pour sa sauvegarde, afin d’assurer la défense et la préservation de grandes et belles valeurs lénifiantes que le “complotiste” mettrait en péril

Comme le disait J. Edgar Hoover du FBI, qui en connaissait certainement un rayon en matière de pouvoir en étant dans ses coulisses, «L’individu est handicapé face à une conspiration si monstrueuse qu’il ne peut croire qu’elle existe.» La position du “complotiste” est donc la moins idéaliste, mais aussi assurément la plus réaliste… Le “complotiste” n’a pas de tabou, il ouvre son champ des possibles à toutes les éventualités, même les plus atroces. Il n’hésite pas à se mouiller pour désigner le mal, à exposer les puissances qui œuvrent en coulisse, à dénoncer les acteurs qui contribuent aux destinées de ce monde… Il est donc subversif et dangereux pour le système du pouvoir en place, car il ne se contente pas de pointer la vague responsabilité de concepts abstraits dans le présent chaos.

En outre, par les contradictions et failles parfois béantes qu’il soulève dans la thèse officielle, le dit “complotiste” fait rentrer en jeu le principe du contradictoire. Un principe essentiel et incontournable à tout débat qui s’articule en tension entre la thèse et l’antithèse, pour parvenir à la manifestation de la vérité, quelle qu’elle soit d’ailleurs… Car, en vertu de quoi la thèse officielle serait-elle d’office la bonne ? Admettre celle-ci comme directement vraie ne revient-il pas en réalité à imposer systématiquement la raison du plus fort ?

Paradoxalement, nous sommes arrivés dans une société où il faudrait plus avoir peur desdits “Théoriciens Conspirationnistes” que d’éventuels praticiens comploteurs… Cherchez l’erreur !

Le philosophe Michel Weber, auteur du livre “COVID-1984” dit à ce propos : «Il faut être comploteur pour traiter quelqu’un de complotiste. » Ce qui est confirmé par les propos de l’essayiste Charles Gave : «Le complotisme c’est l’accusation que portent les comploteurs envers ceux qui parlent de ce qu’ils complotent.»

Déjà en son temps, Malcolm X, nous mettait en garde sur cette forme de renversement total : «Si vous n’êtes pas vigilant, les médias arriveront à vous faire détester les gens opprimés et aimer ceux qui les oppriment.»

En fait, cette obsession médiatique pour le complot, n’est-elle pas, tout compte fait, un aveu de faiblesse de la part du système et le signe que de plus en plus de gens ne croient plus en lui, que l’empire du mensonge, l’imposture sociétale profonde dans laquelle nous sommes empêtrés est sur le point de s’effondrer, tel un frêle château de cartes peinant encore à se maintenir sur sa base, prêt à s’écrouler au moindre courant d’air ! En effet, le fossé entre la réalité officielle, la narration médiatique et la réalité perçue par tout un chacun n’aura jamais été aussi béant.

Mais comme le disait un ancien conseiller en communication de Nicolas Sarkozy«La réalité ne compte pas, seule compte la perception de la réalité  !»

Tous ces abominables “conspirationnistes”, qui sont vilipendés, conspués, ridiculisés et pourfendus à longueur d’antenne, de plateaux en plateaux par les anti-complotistes, ne seraient-ils pas, tout compte fait, les dernières sentinelles d’une démocratie à l’agonie ? Des citoyens alertes, plus curieux et éveillés que la moyenne, qui à force de recherches intensives et de profondes remises en question, en osant sortir de leur zone de confort, ont clairement pu percevoir les contours tyranniques du nouveau monde en train de s’édifier à l’ombre de ces pseudo-démocraties de façade. Des citoyens qui essayent tant bien que mal d’alerter leurs semblables, car instinctivement, ils ont bien compris que la situation était de plus en plus compromise, véritablement grave et pas forcément pour les raisons avancées par les médias…

En somme, tout se passe comme si nous étions collectivement semblables à la grenouille, que l’on plonge et fait mijoter à feu doux dans une casserole. Dans un premier temps, celle-ci bien à son aise, nage allègrement, en trouvant cela fort plaisant et agréable… Puis, à mesure que la température de cuisson monte, elle perd progressivement toute sa vigueur, ses forces vitales, si bien qu’à la fin, totalement engourdie, elle ne puisse plus du tout se débattre afin de donner un énergique coup de patte salvateur pour enfin sortir de ce piège infernal. La stratégie de la cuisson douce est le secret de la réussite pour mener à bien la cuisson de la grenouille. Les changements négatifs amenés par dégradé dans la société échappent ainsi à la conscience de la plupart des individus et n’entraînent aucune réaction de sursaut collectif, aucune révolte


C’est exactement le principe et le credo de la société mondialiste Fabienne. La “Fabian Society”, dont le logo initial était un loup revêtu d’une peau de mouton et qui prône une forme de collectivisme mondial. Cela nous renvoie au verset de Matthieu 7:15 : “Gardez-vous des faux prophètes, qui viennent à vous en vêtements de mouton, mais à l’intérieur, ce sont des loups ravisseurs”. Pour les Fabiens, la planète est à leurs yeux considérée comme une vaste termitière humaine, devant être gérée par une élite technocratique éclairée. La philosophie de ce groupe est d’avancer à pas feutrés de loup, tout en finesse, petit pas après petits pas, dans leurs planifications avec un mode d’action très discret, au goutte-à-goutte, comme l’indique le choix du nom du groupe qui fait référence au Général romain, Fabius Cunctator (Fabius le temporisateur) qui vainquit Hannibal en usant de stratégie et en lui laissant croire qu’il ne lui résistait pas

Pour reprendre les propos d’Ariane Bilheran, au sujet du complotisme : «Celui qui dénonce les complots que fomentent les puissants au pouvoir contre les peuples, cela s’appelle, non pas un complotiste, mais : un philosophe ! C’est ce que la haute philosophie politique et morale, à commencer par Platon, Aristote et Cicéron, s’est attelée à faire depuis la nuit des temps.»

«Oui, je suis un complotiste. Comme tout citoyen digne de ce nom, je suis vigilant et donc je me méfie des complots des puissants du moment.» Étienne Chouard, février 2019 sur France Inter

Et puis finalement, tout bien réfléchit, c’est un abus de langage de parler de Théorie du Complot. Car de fait, il n’y a plus aucun complot lorsque le programme est clairement défini et annoncé à l’avance dans les communications des organisations mondialistes, ou lorsque tout est dit, voir même fièrement revendiqué dans les différentes déclarations des intéressés. Peut-on alors encore raisonnablement parler de complot, lorsque tout est ainsi affiché au grand jour ? C’est ce que le célèbre écrivain de science-fiction, très proche des milieux mondialistes H. G. Wells appelait en son temps, dans l’un de ses essais, Une Conspiration Ouverte.

Mais, pourquoi tout dévoiler et révéler en toute transparence de la part de ces élites, si ce n’est pour que l’homme puisse faire jouer son libre-arbitre et en définitive, qu’il consente à sa propre destruction et qu’il l’accompagne

Quel triste monde que celui où ceux qui osent dénoncer les dysfonctionnements et la corruption endémique de ce système se font censurer et accuser d’être des diffuseurs de Fake News, ou d’être une poignée d’égoïstes irresponsables qui mettraient en danger la Santé de leurs concitoyens par des organismes soi-disant indépendants, mais financés par ceux-là même qui cherchent à nous imposer toutes ces horreurs. Il est cocasse de constater que lorsque les politiciens se trompent et mentent avec de lourdes conséquences désastreuses, il s’agit de simples erreurs, mais lorsqu’un simple citoyen lambda se trompe, c’est une Fake News et un danger pour la démocratie

Pour bien des individus, ladite Théorie du Complot constitue aussi un artifice bien commode, une porte de sortie salvatrice, un mécanisme de protection mental et psychologique derrière lequel se ranger pour éviter d’affronter la dure réalité de certains faits qui sortent de leur paradigme de pensée… Mais, peut-on vraiment leur en tenir rigueur  ? La vérité à bien souvent un goût amer, dégueulasse voire infecte. Le réel est tellement insupportable qu’ils ne peuvent pas se le représenter. Comme le disait Jean de La Fontaine«L’homme est de glace aux vérités. Il est de feu pour les mensonges.» Tandis que Winston Churchill, le Premier ministre de la Grande-Bretagne faisait le constat que : «Tous les êtres humains trébuchent un jour sur la vérité, la plupart se relèvent rapidement secouent leur vêtement et retournent à leurs préoccupations, comme si de rien n’était.» Gustave Le Bon, le grand spécialiste de la psychologie des foules, établissait cette vérité : «Les masses n’ont jamais eu soif de vérité. Elles se détournent des preuves qui ne sont pas à leur goût, préférant déifier l’erreur, si l’erreur les séduit. Celui qui peut leur fournir des illusions est facilement leur maître. Celui qui tente de détruire leurs illusions est toujours leur victime.» C'était aussi le constat sur la nature humaine de Friedrich Nietzsche qui affirmait que : «Souvent les gens ne veulent pas voir ou entendre la vérité parcequ'ils ne veulent pas que leurs illusions soient détruites.»

Et puis, comment finir par admettre la possibilité que l’on puisse avoir été berné depuis tant d’années sur tant de choses que l’on pensait acquises  ? Comment accepter que ces choses dans lesquelles on a crû et placé toute notre confiance puissent en définitive se révéler totalement fausses, vaines et illusoires ? C’est tout simplement insupportable, c’est comme si le sol se dérobait sous ses pieds ! Cela exige donc une grande force intérieure et une bonne dose d’humilité pour sortir de cet état de dissonance cognitive. Comme l’avait constaté le célèbre écrivain Mark Twain, «Il est plus facile de tromper les gens que de les convaincre qu’ils ont été trompés.» Mais, comme dirait aussi le philosophe Marshall McLuhan, «Seuls les plus petits secrets ont besoin d’être protégés. Les plus gros sont gardés par l’incrédulité du public.»

Les gens sont naturellement disposés à faire confiance à leurs gouvernements, ils sont persuadés de vivre libres en démocratie, comme conditionnés depuis leur plus tendre enfance. On les a bercés d’illusions, en leur répétant en boucle, de manière incantatoire, presque hypnotique, tel un mantra la fameuse devise: LibertéÉgalitéFraternité. Sans doute pour qu’ils finissent par s’auto-convaincre de la réalité effective de ces idéaux et de leur mise en pratique dans la société. Mais plus on parle des choses et moins elles existent… 

Ils n’arrivent pas à concevoir que le pouvoir n’est pas leur “papa bienveillant” qui recherche leur bien. Pourtant, toute l’histoire est là pour témoigner du contraire : les gouvernements sont bien souvent des monstres froids, dénués du moindre scrupule, n’hésitant pas à prendre quelquefois leurs propres populations pour cobayes, comme on a pu le voir par exemple, avec l’affaire hallucinante de Pont Saint-Esprit, où la CIA avait déversé du LSD par voie aérienne directement sur les civils d’un village français afin de tester les effets in vivo de cette puissante drogue, ou encore avec le scandale officiel du contrôle mental MK-Ultra. Le gouvernement américain a officiellement reconnu s’être livré à de telles expérimentations sur des individus non-consentants qu’il a été contraint de dédommager par la suite. Le 03 octobre 1995, Bill Clinton avait même présenté ses excuses officielles au peuple américain devant l’ampleur du scandale.

Comme le disait avec lucidité l’humoriste George Carlin : «Vous le réaliserez tôt ou tard. Tôt ou tard, les gens de ce pays vont se rendre compte que le gouvernement n’en a rien à foutre d’eux ! Le gouvernement ne se soucie pas de vous, ni de vos enfants, ni de vos droits, ni de votre bien-être, ni de votre sécurité. Il n’en a tout simplement rien à foutre de vous ! Tout ce qu’il l’intéresse, c’est son propre pouvoir. Le garder et l’étendre, partout où c’est possible.»

Pour conclure toute cette analyse, je citerai les propos du philosophe français Henri Bergson «Heureusement, certains sont nés avec un système immunitaire spirituel qui, tôt ou tard, rejettent la vision illusoire de ce monde qui leur a été greffé depuis la naissance jusqu’au conditionnement social. Ils commencent à sentir que quelque chose est mal et apparaît alors la recherche de réponses. La connaissance intérieure et les expériences extérieures anormales leur montrent un côté de la réalité que les autres ignorent et commencent ainsi leur voyage vers l’éveil. Chaque étape du voyage est faite en suivant le cœur au lieu de suivre la foule et en choisissant la connaissance et non pas les voiles de l’ignorance.»


Pour achever ce volet sur “Le Complot” et les dites Fake News, voici un petit dialogue très troublant tiré de la série TV X-Files. Il s’agit d’un échange très intéressant, où un énigmatique personnage, «le Charlatan» alias le Diable s’adresse dans un parc à l’agent du FBI, Fox Mulder :

 Le Charlatan : Vous avez passé votre vie entière à passer à chercher la vérité entière qui se cachait derrière chaque complot, et ce n’est que maintenant que vous découvrez qui je suis.

 Fox Mulder : Eh bien cela prouve juste que vous êtes doué pour vous cacher du reste du monde. Me cacher ? Je suis dans le bottin, même si plus personne ne sait ce que c’est de nos jours. Il faut avouer que le peut que je sais de vous, je l’ai appris grâce à une vidéo douteuse sur le net

 Le Charlatan : Oh, et vous avez aimé ? C’est moi qui l’ai faite ! C’est ma nouvelle plateforme, les fausses “Fake News”. Ça consiste à ne parler que de faits vérifiés, mais présentés de façon à ce que personne n’en croit un traître mot.

 Fox Mulder : Dans quel but ?

 Le Charlatan : Le but ultime ! Donc quand j’ai appris votre existence mon cher Mulder, j’ai pensé qu’il serait plus professionnel de vous rencontrer pour vous dire ce qu’il va suivre, en personne. Vous êtes mort ! Euh non, ça sonne mal, désolé, je ne voulais pas vous faire peur. Vous êtes un «has been», votre heure de gloire est derrière vous.

 Fox Mulder : Je vois et qu’est-ce que vous appelez mon heure de gloire ?

 Le Charlatan : Eh bien, c’est une période au cours de laquelle les gens de pouvoir pensent qu’ils peuvent garder leurs secrets et ils sont prêts à faire tout ce qu’ils peuvent pour que ça continue. C’est fini ce temps-là, je vous assure. On est entré dans une ère totalement post complot, post dissimulation si je puis dire ainsi. Et ça ne m’étonnerait pas que les jeunes trouvent une formule pour décrire le phénomène, «Po-Comp» pr exemple. On les entendrait dire : Oh, c’est trop «Po-Comp». Là, vous regretterez vraiment de ne pas être mort.

 Fox Mulder : Tant que la vérité éclate, ça me va !

 Le Charlatan : Personne n’en a grand-chose à faire que la vérité éclate, parce que le public ne sait même plus ce que le mot vérité signifie.

 Fox Mulder : Comment ça ?

 Le Charlatan : Eh bien, je pense que les gens ne sont plus capables de faire la différence entre ce qui est vrai et ce qui est faux.

 Fox Mulder : Je crois qu’il y a toujours une vérité objective, une réalité objective.

 Le Charlatan : Oui, et alors ? Revenons à l’effet Mandela par exemple. Eh bien, dans le temps, je ne serais jamais venu ici et je ne vous aurais jamais avoué que je suis tout à fait capable de modifier la mémoire collective. Cela aurait aussi voulu dire que je pouvais aussi contrôler le passé, et si c’est exact, alors comme le disait Orson Wells, «Celui qui contrôle le passé, contrôle le futur».

 Fox Mulder : C’est George Orwell qui disait cela.

 Le Charlatan : Pour le moment… Enfin bref, le plus important, c’est que je peux vous parler de tout cela ouvertement parce que je me fiche que quelqu’un nous entende, de toute façon personne ne saura s’il doit y croire ou pas…

 Fox Mulder : Pour être honnête, moi, je n’y crois pas une seconde.

 Le Charlatan : Bien, penser ce que vous voulez, c’est ce que tout le monde fait de toute façon. Vous ne faites que prouver ce que je dis, Crétin !

 Fox Mulder : Quoi ?

 Le Charlatan : Mais je dois avouer que vous avez raison. Je ne peux manipuler l’esprit de personne, et puis entre nous, je n’en ai pas vraiment besoin, il me suffit juste que quelques-uns soient convaincus que c’est possible. Ensuite, il ne me reste plus qu’à semer les graines de l’incertitude. Tout ce qu’il faut en réalité, c’est un ordinateur.

 Fox Mulder : C’était cela votre but, la propagation de fausses informations sur le net ?

 Le Charlatan : Peut-être bien. Vous savez, notre Président actuel a dit quelque chose d’une grande profondeur : personne n’en a la certitude !

 Fox Mulder : À quoi faisait-il allusion ?

 Le Charlatan : Qu’est-ce que ça peut faire ?


CHAPITRE 9
QUE FAIRE ?



«Il n’est pas possible pour un individu conscient de vivre dans une société telle que la nôtre sans vouloir la changer.» - George Orwell

«Ne doutez jamais qu’un petit groupe d’individus conscients et engagés puisse changer le monde. C’est même de cette façon que cela s’est toujours produit.» - Margaret Mead

«Revêtez-vous de toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir tenir ferme contre les ruses du diable. Car nous n’avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les autorités, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes. C’est pourquoi, prenez toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir résister dans le mauvais jour, et tenir ferme après avoir tout surmonté.» - Sainte Bible, Éphésiens 6

QUE FAIRE ? Voilà une question épineuse s’il en est. Comment faire pour sortir de toute cette impasse ?

Toute forme d’affrontement frontal et violent à ce système parait assez vain, tout comme les manifestations classiques, à moins de sortir en masse par milliers et de manière pacifique mais déterminée pour mettre un terme à tout cela. Mais la masse critique ne semble malheureusement pas encore être au rendez-vous. Néanmoins, gardons bien à l’esprit que l’histoire a toujours été écrite par des minorités conscientes et agissantes qui sont le moteur de l’histoire. Ce n’est pas la quantité qui est déterminante, mais la qualité. Déjà lors de la seconde guerre mondiale, les résistants ne représentaient qu’une infime partie de la population. Sous le régime de Vichy, toute la France était Vichyste.

Nos gouvernements ont fait la démonstration collective de leur propre incurie, de leur totale incapacité à nous sortir de là, voire qu’ils ne le souhaitaient tout simplement pas. La corruption est manifestement systémique, elle a gangrené toutes les strates de notre société et n’est pas un accident de parcours, elle est structurelle. Nous sommes à la merci d’un pouvoir pervers, toxique, radical et fanatique, jusqu’au-boutiste, qui piétine allègrement l’État de droit. Il n’y a plus rien à attendre de lui, nous ne pourrons sortir de cette crise, de cette impasse que par nous-mêmes, chacun de nous étant à sa petite échelle, une petite parcelle de la solution. Nous sommes donc collectivement LA SOLUTION. En réalité, notre plus grand problème ne sont pas ces gouvernements fantoches qui ne servent plus l’intérêt général et bafouent toujours plus nos droits, mais l’inertie de la masse, de cette majorité qui consent à tout, sans jamais rien dire ni faire. La seule chose qui pourra renverser toute cette folie collective est le réveil de la conscience humaine, individu par individu, jusqu’à atteindre une certaine masse critique. N’attendons pas de sauveur externe, d’homme providentiel, ne faisons confiance à aucun plan préétabli, ne tombons dans l’écueil d’aucune illusion parce que ce serait plus confortable et rassurant pour l’esprit.

Le pouvoir ultra-minoritaire, doit gérer une énorme masse d’individus. Pour ce faire, il ne cesse de fragmenter au maximum la communauté humaine pour se maintenir en place, en pratiquant le fameux diviser pour régner. C’est bien parce que nous sommes divisés et manquons singulièrement d’amour et de compassion qu’un monde aussi inhumain peut se manifester et émerger. Nous sommes faibles et ceux qui nous dominent sont forts, car après plus de 2000 ans de pseudo-évolution vers toujours plus de “progrès” et de “modernité”, nous n’avons toujours pas compris que sur cette planète, nous sommes tous frères en humanité. C’est bien parce qu’ils savent que nous sommes divisés qu’ils peuvent mettre en œuvre leur plan, inexorablement. Il faut donc faire corps avec les collectifs les plus vastes possibles, pour éviter de se retrouver isolé en petites poches. Il faut rassembler les forces vives, dépasser tous les clivages artificiels. Ces divisions étant bien souvent si stériles et dérisoires au regard des immenses enjeux actuels, droite contre gauche, extrême-droite contre extrême-gauche, chrétiens contre musulmans, pro-vaccin contre anti-vaccin, pro-masque contre anti-masques, pro pass-sanitaire et anti pass-sanitaire, complotistes et pro doxa, etc. Il faut catégoriquement refuser toutes ces étiquettes stupides, fallacieuses, mensongères et réductrices pour mieux les désamorcer, car elles empêchent toute forme de pensée nuancée et complexe. Il faut viser une union sacrée de tous les Français dans l’esprit du CNR de la résistance pendant la Seconde Guerre Mondiale, avec comme seul clivage et ligne de fracture qui reste dans ce contexte valide et pertinente : celle des pro-dictature, ou celle de la défense des libertés fondamentales, celle de ceux qui défendent ce projet inhumain et mortifère de société, ou ceux qui défendent le caractère sacré et inaliénable de la vie. Tout le monde est concerné et impacté dans sa vie, nous sommes engagés dans la mère des batailles et ce sera la dernière si nous la perdons. Nous devons nous battre contre cette oligarchie financière qui ambitionne de réduire les peuples en esclavage. Il faut faire bloc pour faire front face à cette caste de mondialistes corrompus. Nous sommes tous les damnées de l’impérialisme mondialiste.

Et avant toute chose, il faut surtout exiger la vérité et demander des comptes pour démasquer le mensonge, ne pas se contenter de réclamer quelques misérables miettes de liberté. Car que peut bien valoir la liberté sans la vérité ? En tout état de cause, pas grand-chose ! Et sortir du mensonge permettra de récupérer nos libertés. La seule manière d’être vraiment libre, c’est de se battre contre le mensonge. Ne sous-estimons pas la puissance intrinsèque de la vérité qui demande très peu de moyens pour finir par s’imposer face au mensonge, qui lui en revanche, pour se maintenir en place, exige la mise en œuvre de moyens colossaux, de milliards d’investissements, d’une propagande massive et continuelle et de la corruption à très grande échelle. Mais il suffit de la lumière d’une petite chandelle vacillante pour chasser l’obscurité et les ténèbres les plus profondes. Aucune société ne peut se bâtir durablement sur du mensonge. Le mal est le refus délibéré des évidences, car il n’y a rien de plus évident que la vérité. Et lorsque l’on nie cette vérité, alors on plonge irrémédiablement dans la folie.

Malgré le constat général très alarmant, ne cédons surtout pas au désespoir, car ce modèle de société qu’ils cherchent à tout prix à nous imposer est basé sur de faux principes qui sont dysfonctionnels et contre-nature et par conséquent, qui sont voués à l’échec. Ils contiennent en eux les germes de leur propre auto-destruction. La transgression transhumaniste n’est par exemple pas viable et elle ne pourra sans doute pas se maintenir durablement, même si elle parvient à s’imposer à nous dans un premier temps. Ce monde déliquescent en putréfaction se détruit sous nos yeux, ce monde si immonde à bien des égards, qui au cours de ces dernières décennies a atteint des degrés de déchéance inouïe et qui à la faveur de cette crise dite “sanitaire” a manifesté et a révélé au grand jour, toute sa noirceur et ses profonds dysfonctionnements. Nous sommes aux premières loges, témoins de cette vertigineuse et irrépressible chute. Impossible de ne pas la voir, impossible de se voiler plus longtemps la face. Nous ne pouvons pas ne pas voir cette gamine de douze ans qui se fait gazer parce qu’elle n’a pas son masque, nous ne pouvons pas ne pas voir cette dame de quatre-vingts ans qui se fait violemment jeter dehors d’un centre commercial parce qu’elle n’a pas son passe sanitaire et qu’elle ne comprend rien à cette absurdité sans nom qui s’abat sur elle, non nous ne pouvons pas ne pas voir cette jeune femme qui se fait sauvagement jeter à terre et maîtriser par d’énormes policiers à l’allure de molosses dénués d’âme. Non, décidément, nous ne pouvons pas ne pas voir la férocité démoniaque, la violence tant physique que psychologique, la folie humaine qui se déchaîne avec fureur aux quatre coins de la planète et dont nous sommes les impuissants témoins. Peut-être que nous assistons en réalité aux derniers soubresauts d’une bête agonisante qui se déchaîne aveuglément, d’une bête blessée à mort, qui redouble de virulence et de violence avant sa chute terminale. Tâchons juste de faire en sorte qu’elle emporte avec elle le moins de victimes et d’âmes dans son sillage destructeur.

Il faut sortir du jeu, commencer par se changer soi-même. Viser à un maximum d’autonomie, en recréant des réseaux alternatifs de résistance, de solidarité, d’échange et de trocs, en cultivant son propre potager, par exemple. Revenons à des valeurs plus humaines et fuyons ce monde de plus en plus stérile et artificiel. Retissons des liens et contre l’artifice, retrouvons toute la profondeur de l’authenticité. Bref, retrouvons qui nous sommes vraiment, pour nous éloigner de ce qu’ils voudraient que nous devenions. Cultivons notre part d’humanité en nous coupant autant que possible de cette infernale matrice de contrôle numérique. Boycottons les grands acteurs des réseaux, les GAFAM pour privilégier des réseaux alternatifs et des plateformes plus  respectueuses de la liberté d’expression. Résistons au quotidien par de petits gestes, en consommant autrement et en privilégiant systématiquement des circuits courts, en passant directement par les producteurs, sans aucun intermédiaire, sans plus nourrir la bête, mais en l’asphyxiant, avant qu’elle ne finisse par nous dévorer.

Si nous allons sans doute beaucoup souffrir et être poussés dans nos derniers retranchements pour accoucher de cette nouvelle société en gestation, finalement, c’est peut-être par là qu’il faut en passer pour rebâtir un monde plus sain, plus juste et plus viable à transmettre à nos enfants. Gardons bien à l’esprit que toute fin est un commencement et que la destruction même, n’est que le prélude nécessaire, la préparation du terrain pour la reconstruction. Il s’agit ni plus, ni moins que de la plus grande remise en question de toute notre existence à laquelle nous sommes confrontés  et en cela, cette crise même si elle est hautement déstabilisante, est peut-être salutaire. C’est sans nul doute une occasion unique à saisir pour redéfinir un nouveau modèle de société, plus simple et plus humble, non plus basé sur la compétition, le matérialisme, l’argent et la surconsommation à outrance, mais sur de vraies valeurs plus humaines et avec plus d’authenticité.

Quoi qu’il en coûte, refusons à tout prix le vaccin et son corollaire le “Pass-Sanitaire”, afin qu’ils ne puissent pas devenir obligatoires et définitifs. Si assez de gens ne s’y plient pas, ils ne pourront pas l’imposer durablement. Boycottons aussi tous les restaurants qui mettent en place ce système de ségrégation à base de “QR-codes” et de traçage numérique… Refusons de payer nos achats en mode sans contact, refusons les caisses automatiques,  utilisons de la monnaie papier dès que possible.

Coupons-nous et détachons-nous aussi des différentes sources de propagande du système, des médias sous contrôle, qui ne sont plus que les instruments et les relais serviles du pouvoir profond, de l’oligarchie des puissances d’argent et de la future gouvernance. C’est le seul geste barrière vraiment utile et dans cette incessante guerre de l’information, il devient absolument vital. Nous avons l’impérieuse nécessité, l’obligation morale de sortir de tout ce narratif fallacieux, car comme le disait Georges Orwell, «La dictature s’épanouit sur le terreau de l’ignorance.» Il faut le déconstruire, mensonges après mensonges, afin de nous éveiller les uns les autres à la douloureuse réalité, car ces mensonges si délétères et destructeurs nous poussent tout droit à l’abîme. Il faut pointer les multiples incohérences des autorités, tirer profit de leur empressement, de leur véhémence et de leur arrogance, de plus en plus visible, de plus en plus intenables, pour renverser tout cet édifice artificiel. Il faut mettre un coup d’arrêt définitif à cette fuite en avant afin de sortir par le haut de cette période si turbulente et dangereuse.

Par conséquent, informons et éveillons au quotidien, toujours dans la bienveillance, nos proches des enjeux réels de la situation. Agissons en dehors des réseaux, de manière directe, afin de ne pas rester en circuit fermé, entre personnes déjà convaincues. Il ne faut pas hésiter à s’impliquer au maximum dans le réel pour toucher ceux qui ne vont pas spontanément se ré-informer par eux-mêmes sur les réseaux sociaux.

Le masque étant la pierre angulaire de la propagande, il faut le porter le moins possible en extérieur afin de rentrer dans le champ visuel des personnes hypnotisées par le discours médiatique ambiant pour faire passer son message, là où il peut être entendu et remarqué. Il faut faire infraction dans leur nouvelle réalité contrôlée. Ne pas perdre trop d’énergie avec les personnes agressives et trop fermées au message, se contenter de semer les graines du doute avec finesse et subtilité, car comme le dit le proverbe, « On ne fait pas boire un âne qui n’a pas soif »Mais il ne faut surtout pas sous-estimer son pouvoir individuel à influencer les autres. Bref, il faut faire sa petite part de colibri pour éteindre le feu qui ravage la forêt, car même un petit geste aussi insignifiant soit-il peut contribuer à faire avancer la cause.

Le premier acte de résistance est de ne pas se conformer. Tout est basé sur le consentement tacite des masses, il faut donc retirer ce consentement de toute urgence, retrouver le pouvoir du “NON” ! La désobéissance est un acte individuel qui tire toute sa force de la capacité des hommes à œuvrer en commun. Elle ouvre la voie à la résistance collective. Beaucoup s’illusionnent en pensant que c’est en obéissant à l’autorité qu’ils vont retrouver leur petite vie bien confortable d’avant, mais c’est justement parce qu’ils obéissent que le processus totalitaire peut se poursuivre de plus belle et les mesures arbitraires devenir de plus en plus draconiennes. Il ne faut jamais céder au chantage d’un maître chanteur, c’est la meilleure façon de s’assurer qu’il se poursuive de plus belle. Cette crise est l’épreuve de vérité, elle va faire tomber tous les masques et toutes les impostures, elle va nous forcer à prendre position et à nous révéler pour qui nous sommes vraiment derrière le voile des apparences, tant à l’échelle individuelle que comme groupe humain. Il faut choisir entre la prison des illusions et la liberté de l’être. Il n’y aura plus de statu quo. Nous sommes à l’heure des choix et ils sont cornéliens, voire radicaux. En tout état de cause, si tout ce qui représente nos valeurs profondes et tout ce qui nous anime et nous définit en tant qu’être humain est attaqué et menacé de disparaître à tout jamais. Alors, cela mérite bien toutes les audaces et toutes les prises de risques. Aussi, sommes-nous prêts à défendre, les plus grandes et précieuses valeurs humaines : la vérité, la justice, la bienveillance et l’amour véritable, ou allons-nous nous résigner à une vie artificielle d’esclave totalement sous contrôle ?

Cette crise globale, inédite de par son ampleur est peut-être aussi pour notre humanité l’occasion de se remettre en question. Comment en sommes-nous arrivés là ? Quelle est la racine de ce profond mal qui nous affecte et nous ronge ? Après tout, nous avons certainement hérité de nos dirigeants, de ces mauvais bergers qui nous conduisent dans l’impasse, dans l’abîme, parce qu’au fond, nous les méritons bien. Nous avons des dirigeants à la hauteur de notre égarement et ils sont à l’image de cette société. Nous sommes donc sans nul doute les principaux responsables de notre propre châtiment. Car, si l’humanité est accablée par un mal aussi profond, c’est sans doute qu’elle s’est perdue elle-même, qu’elle est en faute et qu’elle est punie pour avoir rejeté, en miroir, un bien au moins aussi grand. Peut-être que Dieu nous éprouve pour que nous revenions simplement à lui en attendant juste notre appel. Il s’agit bien d’une lutte d’essence spirituelle qui se joue en ce moment et il est donc pour les croyants incontournable de se recentrer et de prier. En effet, comme tout porte à le croire, il s’agit manifestement d’une guerre tous azimuts livrée à l’humanité, où l’homme est désigné comme une menace pour lui-même, comme son propre ennemi ! Nous sommes face à une attaque sans précédent contre notre conscience. Or, qui peut bien être l’instigateur d’une telle attaque, aussi étendue et concertée, si ce n’est l’adversaire, Satan en personne, dont la haine à l’égard du genre humain est incommensurable ? Et comment peut-on lutter contre une telle force à l’œuvre, si ce n’est par la prière, en se tournant vers une puissance qui lui est supérieure, en implorant avec humilité et sincérité son pardon et sa miséricorde ? Car force est de constater que les recours sur un plan purement temporel semblent pour le moment bien vains, échouant les uns après les autres, les institutions humaines montrant chaque jour plus leurs limites, leur faillite généralisée et leur profonde imposture. Les pétitions restent lettres mortes, les recours juridiques sont déboutés, les manifestations tournent en rond… Au-delà de l’amer et effroyable constat, ne nous laissons pas emporter par les émotions et sombrer dans le chagrin. Nourrissons par notre attention, par nos prières, par nos pensées et par nos actes ce qui commence à émerger de positif. Cultivons la beauté pour contrer la laideur ambiante. Recherchons toujours à tendre vers le beau, le vrai et le juste. Renouons avec le sacré pour revenir à l’essentiel, à l’essence du ciel ! Et quoi qu’il puisse advenir, gardons bien à l’esprit que la toute fin est en faveur de ceux qui auront été “du bon côté”. Puissions-nous avoir la force et la dignité d’en faire partie !

La paix sur vous tous.


Comment se détoxifier des injections

Et pour ceux qui malheureusement se seraient déjà laissé vacciné sous la pression ou pour d’autres raisons, il n’est peut-être pas trop tard puisqu’il existerait plusieurs solutions naturelles et peu coûteuses pour réduire les effets délétères de ces injections :

  • Le Glutathion liposomal

  • La Zéolithe, pierre volcanique en poudre ou en capsules est efficace contre les métaux lourds. C’est un antipoison puissant qui emprisonne tout type de parasite, y compris la protéine Spike.

  • La NAC, (N-acétyl-cystéine 600-750mg) qui permet à l’organisme de produire lui-même du glutathion. C’est acide aminé est un antioxydant puissant pour lutter contre le graphène présent dans les vaccins et dans les masques. On peut le trouver en poudre ou en capsules. Il protège les poumons et les cellules du cerveau.

  • La Suramine, qui est présente dans les aiguilles de pin sylvestre et est à boire en tisane, si possible trois fois par jour (surtout pas en huile essentielle, car la suramine est détruite par le processus de distillation)

  • L’Argile Verte ventilée : une cuillerée dans un grand verre d’eau. Laisser agir au moins dix minutes, puis tourner avec une cuillère en plastique ou en bois, car le métal annule l’action de l’argile. Elle enlève tous les métaux lourds présents dans le corps et détoxifie l’organisme, d’une manière générale. Elle purifie l’eau et la rend potable, même l’eau des flaques ou des mares.

  • L’Artemisia Annua en tisane, qui lutte spécifiquement contre les coronas. C’est d’ailleurs bien pour ça qu’elle a été interdite, tout comme les piscines dont le chlore détruit le coronavirus en dix minutes.

  • La Spiruline avec son grand apport nutritionnel, qui peut aider à lutter contre les métaux lourds et détoxifier l’organisme.

  • L’Argent Colloïdal (15 ppm), à raison d’un bouchon de 5 mg par jour pendant une semaine par mois.

  • Le Zinc et les Vitamines D : ils empêchent le virus d’entrer dans les cellules.

  • Le Bicarbonate de Soude : une demi-cuillerée à café par jour rend le PH du corps basique, et empêche le virus de se développer dans le corps.

  • Le Dioxyde de Chlore à usage thérapeutique, qui est un traitement totalement efficace contre la COVID-19 et dont on peut trouver le protocole d’usage sur le site du docteur Andreas Kalcker (www.andreaskalcker.com)


Discours de fin du film “le Dictateur” de Charlie Chaplin

Et pour clôturer ce livre, je citerais le discours final du film “Le Dictateur” de Charlie Chaplin qui résonne avec beaucoup d’actualité :

«Je suis désolé, mais je ne veux pas être empereur, ce n’est pas mon affaire. Je ne veux ni conquérir, ni diriger personne. Je voudrais aider tout le monde dans la mesure du possible, juifs, chrétiens, païens, blancs et noirs. Nous voudrions tous nous aider, les êtres humains sont ainsi. Nous voulons donner le bonheur à notre prochain, pas le malheur. Nous ne voulons ni haïr ni humilier personne. Dans ce monde, chacun de nous a sa place et notre terre est bien assez riche pour nourrir tout le monde. Nous pourrions tous avoir une belle vie libre, mais nous avons perdu le chemin.

L’avidité a empoisonné l’esprit des hommes, a barricadé le monde avec la haine, nous a fait sombrer dans la misère et les effusions de sang. Nous avons développé la vitesse pour finir enfermés. Les machines qui nous apportent l’abondance nous laissent néanmoins insatisfaits. Notre savoir nous a rendu cyniques, notre intelligence inhumains. Nous pensons beaucoup trop et ne ressentons pas assez. Étant trop mécanisés, nous manquons d’humanité. Étant trop cultivés, nous manquons de tendresse et de gentillesse. Sans ces qualités, la vie n’est plus que violence et tout est perdu. Les avions, la radio nous ont rapprochés les uns des autres, ces inventions ne trouveront leur vrai sens que dans la bonté de l’être humain, que dans la fraternité, l’amitié et l’unité de tous les hommes.

En ce moment même, ma voix atteint des millions de gens à travers le monde, des millions d’hommes, de femmes, d’enfants désespérés, victimes d’un système qui torture les faibles et emprisonne des innocents.

Je dis à tous ceux qui m’entendent : Ne désespérez pas ! Le malheur qui est sur nous n’est que le produit éphémère de l’avidité, de l’amertume de ceux qui ont peur des progrès qu’accomplit l’Humanité. Mais la haine finira par disparaître et les dictateurs mourront, et le pouvoir qu’ils avaient pris aux peuples va retourner aux peuples. Et tant que les hommes mourront, la liberté ne pourra périr. Soldats, ne vous donnez pas à ces brutes, ceux qui vous méprisent et font de vous des esclaves, enrégimentent votre vie et vous disent ce qu’il faut faire, penser et ressentir, qui vous dirigent, vous manœuvrent, se servent de vous comme chair à canons et vous traitent comme du bétail. Ne donnez pas votre vie à ces êtres inhumains, ces hommes-machines avec des cerveaux-machines et des cœurs-machines. Vous n’êtes pas des machines ! Vous n’êtes pas des esclaves  ! Vous êtes des hommes, des hommes avec tout l’amour du monde dans le cœur. Vous n’avez pas de haine, seuls ceux qui manquent d’amour et les inhumains haïssent. Soldats ! ne vous battez pas pour l’esclavage, mais pour la liberté !

Il est écrit dans l’Évangile selon Saint-Luc «Le Royaume de Dieu est au dedans de l’homme», pas dans un seul homme ni dans un groupe, mais dans tous les hommes, en vous, vous le peuple qui avez le pouvoir : le pouvoir de créer les machines, le pouvoir de créer le bonheur. Vous, le peuple, en avez le pouvoir : le pouvoir de rendre la vie belle et libre, le pouvoir de faire de cette vie une merveilleuse aventure. Alors au nom même de la Démocratie, utilisons ce pouvoir. Il faut nous unir, il faut nous battre pour un monde nouveau, décent et humain qui donnera à chacun l’occasion de travailler, qui apportera un avenir à la jeunesse et à la vieillesse la sécurité. Ces brutes vous ont promis toutes ces choses pour que vous leur donniez le pouvoir — ils mentent. Ils ne tiennent pas leurs promesses — jamais ils ne le feront. Les dictateurs s’affranchissent en prenant le pouvoir mais réduisent en esclavage le peuple. Alors, battons-nous pour accomplir cette promesse ! Il faut nous battre pour libérer le monde, pour abolir les frontières et les barrières raciales, pour en finir avec l’avidité, la haine et l’intolérance. Il faut nous battre pour construire un monde de raison, un monde où la science et le progrès mèneront vers le bonheur de tous. Soldats, au nom de la Démocratie, unissons-nous !

Hannah, est-ce que tu m’entends ? Où que tu sois, lève les yeux ! Lève les yeux, Hannah ! Les nuages se dissipent ! Le soleil perce ! Nous émergeons des ténèbres pour trouver la lumière  ! Nous pénétrons dans un monde nouveau, un monde meilleur, où les hommes domineront leur cupidité, leur haine et leur brutalité. Lève les yeux, Hannah ! L’âme de l’homme a reçu des ailes et enfin elle commence à voler. Elle vole vers l’arc-en-ciel, vers la lumière de l’espoir. Lève les yeux, Hannah ! Lève les yeux !»


Cadeau de “déconfinement”, lettre de Carole & Louis Fouché

Publiée le 3 mai 2021

Tout d’abord chapeau bas à tous ceux qui ont réussi à transformer le Coronavirus en “crise sanitaire mondiale”, en “pandémie globale”. Merci aux médias alarmistes, merci aux politiques dictatoriaux, merci aux scientifiques corrompus ou dogmatiques.

Nous tenons par cet article à leur exprimer toute notre gratitude. Gratitude qui vient du mot « grâce ». Oui nous avons été touchés par la grâce, grâce à vous.

Cette crise est une révélation, un dévoilement, une apocalypse. Et après l’apocalypse vient un autre monde. Nous ne reviendrons jamais au monde d’avant, n’en déplaise à ceux qui s’y accrochent encore.

Depuis plusieurs années, nous sentions bien que plusieurs choses « clochaient » dans ce monde. Pris par la vie de tous les jours avec ce sentiment confus d’un « quelque chose » qui n’allait pas, nous errions sans vraiment comprendre, nous raccrochant à ce monde vicié pour éviter la douleur de s’en détacher. Heureusement, le virus et son narratif burlesque envahissant la surface du globe est arrivé, nous arrachant nos œillères, nous laissant contempler le désastre.

D’abord, nous avons essayé de comprendre. Je peux vous le dire, nous n’avons jamais autant travaillé. Et je vais vous faire mal : nous sommes tous bénévoles ! Nous avons épluché tous les articles de sciences, toutes les informations, lois, décrets, ordonnances. Nous avons lu toutes les informations, celles des médias mainstream comme celles des «complotistes». Nous avons appris à maîtriser internet, les réseaux sociaux, la communication, le graphisme, la communication non violente… Nous avons écrit, filmé, publié, coordonné, dessiné, chanté, dansé créé des œuvres d’art. Nous nous levons aux aurores et nous couchons lorsque nos yeux se ferment.

Vous vouliez nous appauvrir, vous nous avez tant enrichis : nos connaissances sont plus grandes, nous nous sommes découverts de nouveaux talents. Nous avons repoussé nos limites : plus que jamais nous sommes emplis d’espoir, de courage et d’allégresse.

Vous vouliez notre mort, mais nous nous sentons plus vivants et rayonnants que jamais.

Vous vouliez nous désespérer, nous n’avons plus besoin d’espoir pour entreprendre.

Grâce à vous, nous avons pu cerner ce que nous ne voulions pas.

Nous ne voulons pas vivre masqués.

Nous ne voulons pas vivre en nous méfiant les uns des autres.

Nous ne voulons pas vivre dans la culpabilité hypothétique de « donner la mort » à nos proches en transmettant un virus.

Nous ne voulons pas vivre vaccinés de force tous les mois pour tous les virus qui sont ou viendront.

Nous ne voulons pas de passeport sanitaire, de reconnaissance faciale, nous ne voulons pas vivre fichés.

Nous ne voulons pas être incarcérés dans nos domiciles.

Vous vouliez nous séparer. «Attention, distanciation sociale: 1m, puis 1m50, puis 2m avec les nouveaux variants ».

Vous nous avez rassemblés.

Vous vouliez nous faire peur, nous sommes sortis de la caverne. Jouez tous seuls avec vos ombres.

Vous vouliez nous abrutir devant la télévision, nous l’avons éteinte et demain nous jetterons devant nos seuils tous vos biens de consommation à l’obsolescence programmée.

Vous vouliez nous imposer le passeport sanitaire, nous surveiller, nous reconnaître facialement, nous pucer peut-être ? Nous avons faim de liberté.

Vous vouliez nous vendre des médicaments couteux à l’efficacité et à la sécurité douteuse ? Nous arpentons d’autres chemins de santé.

Vous vouliez nous imposer votre vision du monde, marchande et basée sur la dette éternelle, la dépossession intégrale, jusqu’à celle de nos propres vies ? Nous posons les premières pierres d’un autre monde enthousiasmant basé sur la gratitude, la joie et la présence à l’autre.

Alors un immense merci à vous pour tous ces bienfaits.


“Invictus” par William Ernest Henley


Dans les ténèbres qui m’enserrent,
Noires comme un puits où l’on se noie,
Je rends grâce aux dieux quels qu’ils soient,
Pour mon âme invincible et fière,

Dans de cruelles circonstances,
Je n’ai ni gémi ni pleuré,
Meurtri par cette existence,
Je suis debout bien que blessé,

En ce lieu de colère et de pleurs,
Se profile l’ombre de la mort,
Je ne sais ce que me réserve le sort,
Mais je suis et je resterai sans peur,

Aussi étroit soit le chemin,
Nombreux les châtiments infâmes,
Je suis le maître de mon destin
Je suis le capitaine de mon âme

“Invictus” signifie invincible. Ce poème a été écrit par William Ernest Henley suite à l’amputation de son pied. Il symbolise la résistance, la résilience face à l’adversité.


Commentaires

  1. Bonjour,
    Merci pour ce livre. Est-il possible de le trouver au format pdf et epub de préférence ?
    Merci,
    Cordialement.

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    1. Je suis en train de faire un fichier Epub, je pense aussi l'éditer plus tard si je trouve un éditeur courageux.

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  2. Ahhhhhhhhhhhh 🤔
    L'avant Propos, rien que lui, je vivais tes paroles simple citoyen Olivier...
    J'attendais patiemment sa fin, lisant chaque phrase avec délectation... Pour arriver enfin à l'endroit où je pourrais enfin acheter ce texte avec envie, passion et curiosité.
    Là je scrolle des pages et des pages sans encore les lire, pour enfin comprendre que le "livre" est là, sous mes yeux...
    Un GRAND MERCI à toi Olivier !
    Si tu décide un jour de le monétiser en l'imprimant au compte d'auteur. Je serais le premier à t'en prendre un exemplaire... Pour le léguer à mes enfants, à une époque où ils seraient en âge de le comprendre et d'assimiler la finesse des tes mots, à une époque certaine où le numérique risque fort bien de ne plus être... Donc choisi bien ton papier de qualité stp 🙏
    Je m'en vais de Scroll vers le haut, commencer ta lecture...
    Alexandre PY BLOUCH - Isère -France

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  3. Bonsoir.
    Je viens de voir le film, percutant, mais certains éléments me dérangent comme l'aspect satanique, désolé, mais je pince le nez, et, ai-je bien compris, la collusion d'une partie de la culture à un complot mondial.
    Pour le complot mondial, j'en suis à l'interrogation sans réfuter, quand à l'implication de la culture citée, je tombe des nues.
    De plus, en partage sur mon Book, je l'ai regardé, je m'en suis rendu compte à la fin captivé par le film, sur un site catho intégriste...
    Et, pour couronner le tout, une fin avec Louis Foucher, dont je respecte les idées, le professionnalisme et implications dans RéinfoCovid, qui s'est déclaré dans une interview non croyant. Là, je "bouffe" l’hostie et je me fais une biture avec le vin de messe (humour).
    J'avoue qu'avec tout cela, je vais finir par devenir schizophrène, complotiste de ceux qui dénoncent ceux qui sont complotiste, rire.
    Bref, un film très intéressant mais qui me laisse des interrogations sur une partie du fond et sur les sites sur lesquels il est relayé.
    Peut-être pouvez vous m'y répondre sur la book, Bruno Jouin.
    Cordialement,
    Bruno

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    1. Tout d'abord, merci pour l'intérêt porté à mon film. Mon montage a été diffusé par pas mal de monde et je n'ai absolument aucun contrôle là-dessus... Je ne suis pas en liaison avec les différents sites catholiques qui ont relayé mon film. Je pense qu'ils ont étés séduits par mon approche spirituelle, un angle que n'aborde pas les autres vidéos traitant du sujet. Mais, objectivement qui vous semble le plus "dangereux" pour la société et notre avenir, un catholique "intégriste" (je n'aime pas cette étiquette) qui cherche à défendre coûte que coûte la vie et a rester au plus près des enseignements du Christ, ou un Bill Gates qui se prend objectivement pour Dieu et qui s'en prend directement à la création ? Personnellement, je n'hésiterai pas une seule seconde à choisir entre les deux... Je pense qu'il faut vraiment que nous dépassions toutes ces étiquettes, souvent totalement stériles et accolées par ce système qui est rentré en guerre contre l'humain. D'après mes nombreuses recherches, j'en suis venu à la conclusion que nous sommes bien face à une problématique de nature spirituelle, alors qu'à la base, je n'étais même pas croyant... Et pour ce qui est de la culture de masse actuelle, je pense qu'il faut vraiment être aveugle pour ne pas en voir la nature résolument satanique de bon nombre de productions.

      Bien à vous
      Olivier

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  4. Merci, pour ce livre. Une belle analyse de la situation. J'ai appris des choses, je me suis enrichie de vos connaissances. Si vous le commercialisé, je l'achèterai pour la postérité. Bien à vous et que Dieu nous garde, nous l'humanité, nous Amour, Joie, Tendresse, nous création du Divin.

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  5. Bonjour OLivier,

    Je confirme, un livre en ePub serait parfait pour pouvoir le lire et le diffuser autour de nous. Les gens sont tellement aveugles...
    merci pour ces informations qui apporteront pour certain une lumière sur ce qu'il se passe réellement

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  6. une bien belle synthèse de toutes ces questions sans réponse.

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  7. bonjour
    bravo pour ce magnifique travail, sur le fond et aussi sur la forme soignée. Vous avez été au fond des choses et je souscris totalement à votre thèse, qui rejoint mes réflexions. La situation est terrifiante, c'est mené de longue main (à ce sujet, les réflexions de Pierre Hillard sont très éclairante et vont dans le même sens). Je conserve un espoir que tout ceci se casse la figure lamentablement, il y a beaucoup de grains de sable dans la machine et leurs exécutants politiques sont tellement médiocres et corrompus que cela ne peut pas marcher. A la limite, face à ces psychopathes (Bill Gates , Klaus Schwab et autres tarés) je trouverais les musulmans fanatiques presque sympathiques, s'ils n'étaient eux aussi que les instruments de cette oligarchie: a-t-on vu un islamiste égorger un homme politique ou le patron d'un grand groupe ? Si ce jour arrive, alors je les prendrai aux sérieux.
    J'ai chargé le livre et vais le changer en pdf pour le lire sur une liseuse, ce qui est plus confortable que l'écran d'ordinateur. J'aurais acheté le livre papier s'il avait été proposé.
    Merci pour votre lumière.

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    1. Je vais l'auto édité n'ayant aucune réponse des différents éditeurs contactés. Je viens de me commander une version papier. J'attend juste de voir le rendu final...

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    2. Bonjour Olivier,
      As-tu des nouvelles concernant l'édition de ton livre ?
      Si oui as tu pensé au éditions TheBookEdition ? https://www.thebookedition.com/fr/
      Car d'autres comme moi serions très heureux de l'avoir au format papiers et ce serait aussi une forme de rétribution ou de remerciement pour ton travail.
      Merci :)

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  8. pour les personnes qui souhaitent avoir le texte en epub, c'est simple : faites un copier/coller du texte de cette page dans Word. Ensuite, vous allez sur ce site, vous chargez votre fichier .docx, il vous le convertit en epub, et voilà !https://convertio.co/fr/download/c3f65247b95054fb190505e0128f9081197b5b/

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  10. Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.

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  11. C'est un excellent travail ! Le documentaire (livre) décrypte parfaitement la tragédie covi-circus. Le manuscrit mérite d'être diffusé massivement. Il est, plus que jamais, d'actualité. Dommage qu'il ne soit pas édité. J'en ai fait une copie (pdf) au cas où il disparaît du site. Est-ce que je peux partager l'ouvrage ? Amicalement / HS

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    1. Bien sûr, il peut être partagé. C'est mon plus grand souhait d'ouvrir les yeux au plus grand nombre. Seul l'éveil des conscience permettra de nous sortir de cette impasse.

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    2. Merci pour cette réponse. Voilà un lien d'un article consacré à to ouvrage sur site MediaZone : https://mediazone.zonefr.com/news/au-meilleur-de-l-immonde-513

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    3. Merci beaucoup pour le partage. Un collègue m'a envoyé ce lien ce matin justement.

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  13. Ce livre m'a l'air excellent. Je n'ai pas encore eu le temps de tout lire, mais il me tarde de poursuivre. Un format epub m'intéresserait aussi grandement. Une très bonne continuation et bravo pour ce travail.

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  14. Merci Olivier pour ce magnifique travail, bien documenté.
    Ça fait du bien de voir des jeunes très au fait de ce qui se passe réellement (pilule rouge). Personnellement, c'est le choix que j'ai fait il y a un peu plus de 2 ans et tout ce que j'ai appris m'a aidé à comprendre bien des choses qui ne tournaient déjà pas rond.
    Gardons espoir, j'ai dit dès le début qu'ils tomberont dans leurs propres filets....

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  15. Voici un texte remarquable écrit dans un style qui démontre une très grande maîtrise de la langue française. Si j'avais votre fabuleux talent d'écriture et d'analyse, c'est exactement ce que j'aurais écrit sur cette abomination qui a balayé la planète en 2020 et qui fait encore d'innombrables ravages. Cette lecture a été pour moi un enchantement. Merci infiniment

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