Bas les masques, nous sommes en guerre !
Bas les masques, nous sommes en guerre !
Le Covid-19 a bon dos pour nous mettre en esclavage et sous contrôle total.
Une crise qui aurait pourtant pu être évitée avec des dirigeants responsables et raisonnables... Cette crise sanitaire étant de toute évidence l'arbre qui cache la forêt de cette crise économique d'une ampleur sans précédent qui s'en vient et qui couve depuis des décennies
Et si vous pensez que nos dirigeants s'agitent et entretiennent tout ce cirque médiatique, ce qu'il convient maintenant d'appeler une bien cruelle mascarade pour notre plus grand bien, pour prendre soin de nous, et bien regardez un peu avec quelle absence d'humanité, ils ont traité les anciens dans les EPHAD, en les euthanasiant arbitrairement avec des brigades d'urgence, via un protocole criminel à base de Rivotril...
Et du côté des plus jeunes, ce n'est guère plus reluisant, avec l'imposition du masque/bâillon qu'ils sont forcés de porter toute la journée pour assister à leurs cours, quelques fois jusqu'au malaise, sous peine d'être exclus de leurs établissements scolaires ! Quels seront à long terme les effets de cette expérience traumatisante sur leur psyché et sur leur relation aux autres ?
Et je ne parle même pas des onze injections vaccinales dans les veines des bébés, imposées par l'ex ministre de la Santé Agnès Buzin. Une véritable aberration et une attaque en règle sur des systèmes immunitaires en formation !
De plus, pensez-vous encore que si ces gouvernements et ceux qui les financent en coulisses voulaient réellement notre bien, ils bloqueraient des traitements efficaces comme l'hydroxychloroquine, le zinc, la vitamine C, ou encore des plantes naturelles comme l'Artemisia, tout en ne parlant jamais des moyens efficaces pour renforcer notre immunité et notre santé, au moment même où c'est justement le plus essentiel et décisif ?
D'autre part, s'ils voulaient vraiment notre bien, pensez-vous qu'ils censureraient sans la moindre vergogne, des experts scientifique ou des médecins qui apporteraient des pistes de solutions pour enrayer le virus, ou qui auraient des avis divergeant sur l'ampleur réelle de la "pandémie" ?
Pensez-vous qu'ils mettraient tout en œuvre pour museler systématiquement toutes les voix et opinions dissidentes, allant jusqu'à faire passer un homme droit, épris de liberté et de justice comme Robert Kennedy pour un fasciste s'adressant à des foules de nazis en liesse ?
Les médias n'hésitent pas à présenter les "anti-masques" comme un ramassis d'affreux "complotistes" et une résurgence du Troisième Reich, alors même que les représentants du gouvernement avaient eux-mêmes pendant des mois, martelé haut et fort l'inutilité, voir la dangerosité de la généralisation des dits masques au grand public pour lutter contre une attaque de nature virale ? Ils étaient alors allés jusqu'à organiser directement la pénurie des masques, comme en témoignent certains entrepreneurs empêchés d'importer ces masques directement de Chine via leurs filières d'approvisionnement, tout en promulguant l'interdiction formelle de leur vente en pharmacie ! Entre-temps, il serait paradoxalement devenu la pierre angulaire pour combattre la propagation de la maladie ! De qui se moque-t-on ?
En outre, n'oublions non plus jamais que ces mêmes politiques, qui prennent tant à cœur notre santé à tous, ont consciencieusement et méticuleusement saboté et détruit l'hôpital public, en le privant de moyens durant des décennies...
D'autre part, s'ils pensaient vraiment à notre bien, pensez-vous vraiment qu'ils laisseraient des produits aussi nocifs que le "glyphosate" de Monsanto être distribués et diffusés dans la nature, malgré leur toxicité avérée et prouvée ? Qu'ils encourageraient la malbouffe au détriment d'une alimentation saine et respectueuse de l'environnement en nous inondant de produits alimentaires dénaturés, appauvris, saturés en sucres et bourrés de chimie, souvent cancérigène ?
En outre, pensez-vous qu'ils nous dispenseraient une éducation aussi médiocre dans les établissements scolaires, en collant maintenant les enfants devant des tablettes numériques, qu'ils nous laisseraient baigner dans une culture de masse d'une bêtise crasse, qui relève plus de l'idiocracie et de l'abrutissement qu'autre chose...
Car à bien y regarder de près, le déroulement de cette pandémie rappelle les techniques de tortures développées à l'échelle individuelle sur les prisonniers dans des camps de détention comme Guantanamo, avec le manuel de torture psychologique "Kubark", mais qui serait cette fois-ci appliqué à grande échelle, celle des sociétés.
Ainsi, on y retrouve :
- "La privation sensorielle" avec le port du masque obligatoire
- "Le développement d'un sentiment d'insécurité" et de stress permanent avec un martelage médiatique incessant et quotidien du nombre de morts. Quoi de mieux aussi pour rendre les gens malades que de leur parler de maladie à longueur de journée, surtout pour les personnes les plus sensibles et hypocondriaques
- "L'isolation" avec le confinement, les gestes barrières et l'éloignement des proches
- "Le harcèlement" des concitoyens avec des mesures absurdes, sous peine de recevoir des amendes exorbitantes, le port du masque continuel. Tout est fait pour rendre la vie quotidienne pénible.
- "La désorientation" et la "perte des repères" avec des discours officiels évolutifs qui changent en permanence et de manière contradictoire, des mesures à géométrie variable, voir parfaitement incohérentes.
On dirait donc bien la mise en œuvre de ce que la politologue Naomi Klein décrivait dans son essai sur la montée du capitalisme du désastre, comme la "Stratégie du choc". Une stratégie proprement machiavélique, qui permet de profiter de l'état de sidération générale pour passer en force et sans réaction des mesures absolument inacceptables d'un point de vue moral et démocratique et qui seraient rejetées avec force en temps normal.
En somme, nous nous retrouvons face à une gigantesque expérience de contrôle social et de soumission de la population, à l'instar de la fameuse "Expérience de Milgram". On doit obéir aveuglément aux décisions les plus aberrantes, au nom du respect de l'autorité supérieure, car c'est elle qui aurait l'expertise scientifique, les compétences et le savoir, malgré des conflits d'intérêts qui sautent aux yeux. Mais que vaut encore la compétence si elle est corrompue et ne vise plus l'intérêt du bien commun ?
Une soumission qui a culminé jusqu'à l'absurde, avec la nécessité ubuesque de se faire signer à soi-même une dérogation d'autorisation de sortie, lors du confinement ! À croire qu'ils sont aussi en train d'évaluer le degré d'abrutissement et de zombification de la population générale avant de passer à la vitesse supérieure...
On entretient aussi la division dans la population, on encourage la délation, comme lors de l'une des plus sombre et funeste époque de notre histoire. Ainsi, désormais, tout le monde surveille tout le monde, et tout le monde se méfie de tout le monde ! Soit la mise en place d'une société délirante, paranoïaque et kafkaïenne, en somme invivable et infernale.
On pourra aussi penser à l'expérience en psychologie sociale qui fut menée dans la prison de Stanford, où l'on donnait autorité à tout un groupe d'individus lambda sur un autre groupe, avec le pouvoir de surveiller et de punir ces derniers. Ainsi, on ne peut que déplorer que dans cette crise sanitaire, certains forts de cette nouvelle autorité se prêtent très bien au jeu, se faisant les relais zélés du pouvoir. On pourra, par exemple, penser à certains vigiles surveillants les entrées des magasins, ou autres contrôleurs SNCF qui jouent les shérifs, n'hésitant pas à stopper tout un train et à plaquer violemment au sol un passager père de famille devant les yeux apeurés de sa fille traumatisée et sanglotante, au seul motif d'un port du masque jugé trop relâché !
En fait, force est de constater que tout se passe plutôt comme si ces "bons dirigeants" nous livraient une guerre totale, s'ils mettaient tout en œuvre pour nous affaiblir sur tous les plans : physiologique, affectif, psychologique, intellectuel et économique.
Depuis des mois, ils mettent en place à grand coup de propagande médiatique, une campagne de terreur incessante, hors de proportion avec le danger réel. Ils mettent l'économie du monde à genoux, ils asphyxient et tuent les petits exploitants et entrepreneurs tout en renforçant les grands groupes, pour un virus qui, somme toute, n'est pas plus mortel et ravageur qu'une grippe saisonnière ! Sera alors venue le règne incontesté et sans partage des multinationales, qui n'auront plus qu'à racheter à vil prix et à aspirer ces petites exploitations et entreprises.
Sommes-nous face à une "Plandémie" ?
Il faut bien comprendre que l'origine de cette crise est vraisemblablement non naturelle, contrairement à ce que l'on nous a affirmé à l'envie dans un premier temps dans les médias. En effet, elle ne serait pas transmise par une chauve-souris ou un Pangolin, mais le fruit d'un laboratoire de type P4, avec un virus qui aurait été trafiqué de la main de l'homme, comme l'ont affirmé des équipes de scientifiques Indiens, mais aussi le virologue et Prix Nobel Luc Montagné qui y a décelé des séquences entières de VIH et que l'on fait passer depuis cette déclaration pour un vieillard sénile !
Tout porte à croire que nous sommes donc en face d'une "Plandémie" et non d'une simple pandémie, c'est-à-dire d'un événement planifié en haut lieu. Plusieurs documents tout-à-fait officiels et vérifiables nous portent vers cette hypothèse.
Ainsi, comme l'affirmait déjà Jacques Attali, l'éminence grise et conseillé de l'ombre de nos présidents, dans un article tiré du journal "L'Express" daté du 13 mai 2019, les crises permettraient de faire évoluer l'humanité, de faire table rase du passé pour tout remettre à plat, de créer un nouvel ordre à partir du chaos comme le dit la devise de l'ordre maçonnique auquel il appartient, "Ordo ab Chaos". Voici ce qu'il affirmait alors :
« L’Histoire nous apprend que l’humanité n’évolue significativement que lorsqu’elle a vraiment peur», « La pandémie qui commence pourrait déclencher une de ces peurs structurantes [...] On en viendra alors, beaucoup plus vite que ne l’aurait permis la seule raison économique, à mettre en place les bases d’un véritable gouvernement mondial. »
De même, en 2010, le journaliste et spécialiste des relations internationales, Alexandre Adler dans son essai "Le nouveau rapport de la CIA", une vision prospective pour l'année 2025, évoquait de manière visionnaire la survenue en Chine d'une pandémie de Coronavirus, une maladie respiratoire entraînant des dizaines de millions de morts en occident.
On peut aussi évoquer l'un des documents de travail de la "Fondation Rockefeller" daté de 2010. La fondation prévoyait comment une pandémie de virus transmise à l'homme par des oies sauvages, pouvait être utilisée pour jeter les bases d'un pouvoir autoritaire mondial. Le document s'intitulait "Scénarios pour l'avenir de la technologie et du développement international". L'un des scénarios dont il était alors question était intitulé "Lock Step", pour étape de confinement. Il décrivait un monde où le gouvernement exerçerait un contrôle total et un leadership autoritaire. Il envisageait un avenir où une pandémie permettrait l'instauration et l'imposition de nouvelles règles d'exception sécuritaires et liberticides qu'il s'agirait de maintenir et de pérenniser dans le temps. Un scénario qui laisse véritablement songeur et qui ressemble en tous point à celui que nous sommes en train de vivre avec l'actuelle pandémie de coronavirus !
Quand à David Rockefeller qui était alors a la tête de cette fondation dite philanthropique, voici ce qu'il déclarait au "Groupe Bilderberg" à Baden Baden en 1991 : « Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, au magazine Time, et aux autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos réunions et respecté leurs promesses de discrétion depuis presque quarante ans. Il aurait été pour nous impossible de développer notre projet pour le monde si nous avions été exposés aux lumières de la publicité durant ces années. Mais le monde est aujourd’hui plus sophistiqué et préparé à l’entrée dans un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est assurément préférable à l’autodétermination nationale des siècles passés »
De plus, il est extrêmement curieux, voir particulièrement douteux que le pseudo philanthrope, Bill Gates ai participé, coïncidence extraordinaire, en octobre 2019, par le biais de sa fondation "Bill et Melinda Gates", à un évènement appelé "Event 201". Il s'agissait d'une simulation autour d'une pandémie fictive de Coronavirus se soldant par la bagatelle de 65 millions de morts ! Or, comme chacun le sait, tout juste cinq mois après cet exercice, une véritable épidémie de Coronavirus se déclarerait depuis le site de Wuhan en Chine.
Mais ce n'est pas tout, car Bill Gates intervenait même dans une vidéo sur Netflix, dans la série "Explained", dont le scénario se déroulait précisément dans un marché Chinois, où des animaux étaient entassés et un virus hautement mortel propagé dans le monde entier. Gates apparaissait comme expert dans la vidéo pour lancer, tel un oracle de malheur, ce sinistre avertissement : « Si vous pensez à quelque chose qui pourrait tuer des millions de personnes, une pandémie est notre plus grand risque ! »
Autres éléments fort interpellant, la couverture annuelle de "The Economist, le monde en 2019", la feuille de choux économique de la puissante dynastie des Rothschild, qui est littéralement truffée de symbolismes en liaison avec la pandémie.
On y retrouve pêle-mêle représenté :
- Un pangolin, animal qui fut tenu pour responsable de la propagation du virus à l'homme au tout début de l'épidémie en Chine
- Les "quatre cavaliers de l'apocalypse": figures menaçantes et macabres s'il en est, ils sont synonymes de grandes tribulations, de cataclysmes et interviennent dans les épidémies, en semant derrière eux chaos et désolation. L'un des quatre cavaliers est coiffé comme la statue de la liberté et semble même porter un masque médical de protection pour les pandémies. Il n'est pas anodin d'avoir fait porter le masque médical, symbole de la soumission aveugle à l'autorité sur la statue de la liberté... Faut-il comprendre que la liberté est désormais une notion désuète, reléguée au passé ? À ses côtés, on peut observer un autre cavalier, dont les traits ressemblent étrangement à ceux du professeur Didier Raoult, microbiologiste de renommée internationale, qui a fait couler beaucoup d'encre tout au long de cette pandémie... Il porte sur la tête une couronne, ce qui peut ramener au virus à couronne, le "Coronavirus".
- En figure centrale de la composition, se dresse un homme de Virtuve. Célèbre figure kabbalistique de Léonard de Vinci, ici dans une version modernisée, il tient dans la main droite un smartphone avec un QR code, ce qui peut rappeler les autorisations de déplacement pendant le confinement... Sur son bras gauche, on peut apercevoir un brun d'ADN tatoué. Hors, le vaccin qui va être utilisé pour lutter contre le coronavirus sera justement un vaccin à ARN, capable d'intervenir au niveau de l'ADN humain sans doute pour l'altérer. Il s'agit ici sans nul doute d'une satire de l'homme moderne, qui est tout simplement tourné en dérision avec malice par les Rothschild. En effet, si cette figure représente traditionnellement l'homme accompli, réalisant l'union entre la matière représenté par le carré, et l'esprit représenté par le cercle, ici ce nouvel homme de Vitruve 2.0, cet "homo numericus", semble désespérément ancré dans le matérialisme, coupé de toute transcendance et connexion divine. En effet, il tient dans ses mains un portable, une feuille de cannabis, une balle de baseball et voit son regard empêché par ce qui s'apparente être un casque virtuel... Il est littéralement aveuglé et ne comprend rien à ce qui lui arrive, empêtré dans son univers factice et insignifiant de divertissements. Les yeux étant le reflet de l'âme, celle-ci est alors définitivement voilée.
- Une reproduction d'un tableau autoportrait de la peintre Artemisia Gentileschi, sans doute pour jouer avec le nom de "l'Artemesia". En effet, cette dernière, aussi appelée armoise, est une plante médicinale efficace contre le paludisme, tout comme la chloroquine et elle est donc efficace pour lutter contre le coronavirus. Cette couverture parle alors du mal, mais aussi subtilement de son remède...
Il faut bien préciser que rien ne laissait présager alors d'un avenir aussi chaotique et sombre au moment de la parution de cette couverture.
Mais ce n'est pas tout, pour rester sur les couvertures de la revue "The Economist", sur l'édition d'avril 2020 figure un citoyen lambda qui promène avec son masque médical son chien en laisse pendant la pandémie et qui est lui-même tenu en laisse et surveillé par une main invisible que l'on peut interprété comme la main cachée des élites... En somme, il est désormais placé sous le contrôle et la botte des puissants, comme un bon toutou à son maître... Sur cette même couverture, il est aussi précisé que "Tout est sous contrôle", le gouvernement globalisé mondial, les libertés, et même le virus. Encore une fois de la part de ces élites, quelle audace et quel cynisme absolu !
Mais la couverture la plus sinistre et la plus menaçante de "The Economist" est sans nulle doute celle de 2020, "The Next Catastrophe, and how to survive it", littéralement la prochaine catastrophe et comment y survivre. Elle présente une scène de nature proprement apocalyptique, avec une famille assise sur un canapé dans son salon, chaque membre de la famille étant muni d'un masque à gaz, sauf l'enfant qui est juste coiffé par un simple casque militaire. Encore une fois, il s'agit ici sans doute là d'une subtile moquerie pleine d'ironie et de sarcasme portant sur l'homme moderne, qui bien trop souvent, se préoccupe plus de son animal de compagnie que de sa propre progéniture... On pourra en effet observer que le chat, contrairement à l'enfant est équipé lui aussi avec un masque a gaz ! Dans les tableaux suspendus au mur en arrière-fond, on peut observer différentes catastrophes dépeintes, des catastrophes d'ordre naturelles avec une chute de météorite, bactériologiques, atomiques avec une bombe nucléaire, écologique avec le réchauffement climatique... Et, au beau milieu de toutes ces scènes de désolation est représenté une horloge qui semble bien être celle de l'apocalypse et qui indique minuit moins une...
En fait, à bien y regarder de près, ces pseudo élites se comportent comme des pervers narcissiques, qui prennent un malin plaisir à jouer avec leurs victimes... Il faut tout de même vous en conviendrez, être sacrément vicelard et tordu pour se livrer à de tels petit jeux, tabler pour l'année à venir sur un possible chaos, des destructions, des famines décimant les peuples et le représenter le plus naturellement du monde sur une couverture de magazine glacé. Voilà qui est véritablement glaçant !
Par ailleurs, on peut aussi mentionner l'édition par l'Union européenne d'une bande-dessinée titrée "Infected" étrangement prédictive évoquant elle aussi une pandémie mondiale avec un virus mortel transmit à l'homme par un animal dans un pays asiatique. Il y est aussi mentionné des équipes de scientifiques travaillant sur un virus mortel dans un laboratoire P4 basé en Chine.
Et ne parlons pas du nombre de films hollywoodien qui ont préparé les esprits et les imaginaires collectifs pendant des années à l'éventualité d'une telle pandémie, de "Contagion" de Steven Soderbergh à "28 jours plus tard" de Danny Boyle, en passant par "l'armée des douzes singes" de Terry Gilliam, "Alerte" de Wolfgang Petersen, ou encore la série de film des "Resident Evil" et tant d'autres. Dans le script du film "Perfect Sense" de David Mackenzie sorti en salle en 2011 , les gens perdent progressivement l'usage de leurs sens, suite à la propagation d'un mystérieux virus, ce qui ne manquera pas de faire penser au Covid-19, qui enlève le goût.
Bref, il est difficile de croire qu'une telle accumulation d'éléments ne puisse que relever du pur hasard... Il y a vraiment matière à se poser de sérieuses questions sur ce virus, son origine et sa véritable finalité...
Nous avons affaire à une sorte de coup d'état autoritaire permanent. Quoi de mieux en effet qu'un virus, à s'avoir une menace qui est insaisissable et illimitée dans le temps pour détruire tout état de droit et imposer progressivement, au nom du bien commun, un état d'urgence permanent et une forme très pernicieuse de dictature sanitaire. Mais n'oublions pas, comme le dit si bien le dicton que « l'enfer est pavé de bonnes intentions ».
Ainsi, il devient très facile de faire passer tous les opposants potentiels à la mise en place de ce système totalitaire pour de mauvais citoyens, irresponsables et égoïstes, n'ayant aucun égards pour la vie de leurs semblables. Il peut alors s'exercer une forme de chantage basé sur de lourdes sanctions financières et aussi sur le rejet du groupe social, voir la perte de son emploi pour non conformité aux nouvelles normes, même si ses dernières ne s'appuient en réalité sur aucunes véritables bases scientifiques !
Le couronnement de leur projet
En fait, il faut comprendre que ce virus est pour les mondialistes une occasion en or pour passer d'un monde à l'autre, comme le ferait un catalyseur. Cette rupture violente permet d'imposer à l'ensemble de la société leur nouveau paradigme, comme "un Portail" ouvert sur leur nouveau monde, à savoir, celui de leur fameuse Gouvernance Mondiale et de leur rêve messianique. Nos élites l'affirment elles-mêmes dans les vidéos de leur organisation mondialiste "Global Goals" ou objectifs globaux, à laquelle adhèrent comme un seul homme tous nos bon dirigeants.
Cela est aussi confirmé par le président exécutif du forum économique mondial, Klaus Schwab qui affirme que, je cite:
« La crise du COVID-19 nous a montré que nos anciens systèmes ne sont plus adaptés au 21e siècle » et d'ajouter que « la pandémie représente une fenêtre d’opportunité rare mais étroite pour repenser, réinventer et réinitialiser notre monde. »
N'oublions pas non plus les stupéfiantes déclarations passées d'un certain chef de l'état, Nicolas Sarkozy le 16 janvier 2009, lors de voeux prononcés devant des corps diplomatiques étrangers : « Nous irons ensemble vers le Nouvel Ordre Mondial, et personne, je dis bien personne ne pourra s’y opposer. (...) La gouvernance internationale ne tend à être efficace que lorsqu’elle est anti-démocratique. » Désormais, on comprend mieux pourquoi personne ne pourra s'y opposer... Il s'agit manifestement d'un projet tyrannique, dont les contours n'ont plus rien à voir avec le simulacre de démocratie dans lequel nous pouvions encore jusqu'à présent nous illusioner.
Bill Gates, l'un des acteurs principaux de cette crise, est aussi visiblement un fervant promoteur de cette gouvernance mondiale, comme il le déclarait sans ambiguïtés en 2015 : « Compte-tenu des problèmes urgents dans le monde, un gouvernement mondial est un mal nécessaire. »
D'ailleurs ces derniers temps, ces mêmes élites parlent beaucoup par le biais du forum économique mondial de "Great Reset", autrement dit, une grande réinitialisation de l'économie.
Cette refonte totale du système devrait affecter en profondeur tous les aspects de nos existences, sans retour en arrière possible. Une transformation d'ordre monétaire, sanitaire, sociale, commerciale, éducative, logistique, industrielle, technologique et jusqu'à la distribution alimentaire.
Il va sans dire que pour ces dirigeants, une sortie de crise ne serait uniquement envisageable que par le biais d'une vaccination généralisée de la population mondiale, comme on peut le voir avec Bill Gates qui envisage de vacciner ni plus, ni moins que 7 milliards d'individus ! Ce qui, au passage n'a plus aucun sens, puisque le virus mute et a perdu toute sa force et sa virulence depuis le début de l'épidémie...
Et bien entendu pour finir par convaincre les plus récalcitrants, ou les individus dits "complotistes" peu enthousiastes vis-à-vis de tout ce projet et peu enclin à servir de cobaye, on fera alors peser sur eux le chantage odieux d'être tout simplement exclu et définitivement coupé de toute vie sociale. Car, il est bien question de couplé la vaccination avec un passeport et une identité numérique. Autant dire que dans un avenir proche, il ne sera plus possible de pouvoir assurer ses besoins vitaux tout en travaillant. Ce "Covipass", nouveau passeport de santé numérique vérifiant en permanence si l'individu n'est pas susceptible d'être porteur du virus et qu'il est bien à jour dans son carnet de vaccination.
Il faut aussi préciser que ce vaccin est une première et qu'il ne ressemblera à aucun autre déjà développé par le passé, puisqu'il s'agit d'un vaccin à ARN, qu'il faudra activer et qui va intervenir directement au niveau de notre ADN !
Sommes-nous devenus des animaux de laboratoire et des cobayes livrés et soumis aux dernières lubies délirantes de ces scientifiques ? Au passage, le fait que ce vaccin ait été développé en un temps record laisse vraiment augurer du pire en matière de sécurité.
Conclusion
En réalité, nos élites sont des individus animés par un cynisme absolu qui n'ont que le plus grand mépris pour l'humanité, comme cela est de plus en plus visible avec toutes les décisions proprement aberrantes qu'ils mettent en œuvre.
Manifestement, ils nous considèrent avant tout comme du bétail, tout juste bon a être pucés, ou bien comme une menace à éliminer pour préserver leur égémonie et l'accès aux précieuses ressources en raréfaction de la terre qu'ils se réservent jalousement.
Désormais, les choses sont claires : nous sommes vraiment rendus à la croisée des chemins et nous devons choisir dans quel type de société nous voulons encore vivre.
Allons-nous rester à genoux, bien dociles, écrasés sous la botte et à la merci de ces fous de pouvoir et de contrôle, dans une société hyper-surveillée, numérisé, aseptisée, déshumanisée, robotique et transhumaniste, ou allons-nous enfin nous redresser pour vivre sainement et dignement, en laissant un monde vivable et viable pour nos enfants ?
D'ailleurs, il faut bien comprendre que dans le monde qu'ils ambitionnent de voir naître, ce nouvel âge d'or, il n'y aura plus de place pour l'humain, tout sera robotisé et automatisé, les travailleurs laborieux étant devenus superflus. Un monde divisé entre les Dieux et les inutiles, les êtres substituables, dixit le détestable pape français du transhunanisme Laurent Alexandre.
N'oublions pas qu'une liberté qui est "temporairement" suspendue est bien souvent perdue à tout jamais, et que les mesures provisoires ne tardent jamais à s'imposer à tout le monde comme la nouvelle norme. Comme le disait avec justesse Benjamin Franklin : « Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l'une ni l'autre, et finit par perdre les deux. »
Autant dire que si un réveil des masses ne se réalise pas très vite, nous sommes cuits, notre liberté, notre santé et notre vie seront sérieusement compromises. Peuples du monde, il est donc grand temps d'ouvrir les yeux, de résister et de se lever pour reprendre enfin en mains les clés de notre destinée collective et de dire non à toutes ces folies et projets mortifères !
Vous ne publiez pas souvent sur ce blog, mais quand vous le faites c'est réfléchi à bon escient.
RépondreSupprimerCent pour cent d'accord avec cet excellent texte ! Néanmoins cette vision d'un plan supra-nationale qui ne fait plus de doute me pose questions.
La disparité des moyens employés dans les différents pays serait-elle volontaire , Qu'est-ce-que cela cache ? La suède s'en sort avec son économie debout tandis que la France se fait hara-kiri !!!
Les masque je comprends, certains pays testent la docilité de leurs citoyens et ce qu'ils sont capable de supporter... Mais si la misère atteint un point tel que les gens crèvent de faim, rien ne les retiendra !!!
Cherchent-ils l'explosion de cette violence ?
Tous simplement excellent ! Merci Olivier.
RépondreSupprimerMerci Gavroche
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