Introduction au blog


Ce Blog n'est pas celui d'un universitaire, d'un chercheur, d'un sociologue, d'un anthropologue, d'un intellectuel, d'un théologien, d'un théoricien, ou même d'un écrivain... C'est celui d'un simple être humain, qui s'interroge sur l'état actuel du monde et de la société dans laquelle il est plongé et évolue… Un monde de plus en plus immonde et qui à ses yeux, lui paraît, à bien des égards tout simplement marcher sur la tête et foncer droit dans le mur, le tout, dans la joie et la bonne humeur !

J'essaye ici de remettre, humblement et en toute modestie, certaines idées à l'endroit qui me paraissent des plus fausses, de démonter la propagande ambiante omniprésente. Je serai donc bien souvent à contre-courant de la doxa ambiante et de la pensée dominante, de la pensée médiatique ou institutionnelle... 

J'ai écrit ces articles, autant pour moi, que pour mes contemporains, histoire de tout mettre à plat, de synthétiser mes idées, de mettre des mots sur nos maux, et de ne pas sombrer dans la folie.


Sentant bien intuitivement et instinctivement que quelque chose ne tournait pas rond ici-bas, j'ai décidé d'explorer la face obscure de ce monde et le moins que l'on puisse dire, c'est que je n'ai pas été déçu du voyage...


Il est absolument saisissant, terrifiant et vertigineux de constater ô combien "1984", cet incontournable roman de Georges Orwell, daté de 1949, constitue bien plus qu'un simple livre de science-fiction, mais bien davantage, un livre d'anticipation, décrivant à merveille et en profondeur les principaux rouages du fonctionnement de notre propre société contemporaine. "Big Brother" est devenu une figure emblématique d’un régime policier et totalitaire, d’une société de surveillance généralisée et de réduction des libertés. C'est donc une œuvre incontournable pour décrypter la matrice du monde dans lequel nous sommes plongés au quotidien, à l'instar de l'autre très grand classique et visionnaire roman d’Aldous Huxley"Le meilleur des mondes" !





Bien que les deux romans dystopiques absolument visionnaires d'Aldous Huxley et de Georges Orwell présentent deux approches assez différentes du totalitarisme, ils sont en réalité très complémentaires. Comme l'analysait Neil Postman dans son excellent livre, "Se distraire à en mourir" : « Orwell nous avertit du risque que nous courons d'être écrasés par une force oppressive externe. Huxley, dans sa vision, n'a nul besoin de faire intervenir un Big Brother pour expliquer que les gens seront dépossédés de leur autonomie, de leur maturité, de leur histoire. Il sait que les gens en viendront à aimer leur oppression, à adorer les technologies qui détruisent leur capacité de penser. (...) « Orwell craignait ceux qui interdiraient les livres. Huxley redoutait qu'il n'y ait même plus besoin d'interdire les livres, car plus personne n'aurait envie d'en lire. Orwell craignait ceux qui nous priveraient de l'information. Huxley redoutait qu'on ne nous en abreuve au point que nous soyons réduits à la passivité et à l'égoïsme. Orwell craignait qu'on ne nous cache la vérité. Huxley redoutait que la vérité ne soit noyée dans un océan d'insignifiance. » Avant de conclure, glaçant : « Orwell craignait que ce que nous haïssons nous détruise ; Huxley redoutait que cette destruction nous vienne plutôt de ce que nous aimons. »

Force est de constater que  nous nous dirigeons vers un système de contrôle très perfectionné et absolu, vers une société qui fait la synthèse parfaite du pire de ce qu'anticipaient respectivement "1984" et "Le Meilleur des Mondes".

"1984" pour les aspects de dictature, de surveillance de masse, de contrôle des médias, de désinformation, de pensée unique imposée, de propagande omniprésente, de réécriture et d'effacement de l'histoire, d'emprise technologique...


"Le Meilleur des Mondes" pour tout ce qui a trait au changement en profondeur de la nature humaine et de la biologie, la théorie du genre avec l'apparition d'un troisième sexe neutre, les techniques de procréation artificielles, la sexualité omniprésente, purement récréative et coupée de toute reproduction, l'éducation sexuelle précoce, l'essor d'une nouvelle humanité artificielle, la transformation du vivant, le clonage humain, les fœtus fabriqués en laboratoires par incubation et exogénèse, un nouvel eugénisme avec des avortements thérapeutiques ou le  contrôle à venir de la naissance de bébés à la carte, pourvus d'aptitudes et de qualités prédéterminées, le contrôle de la mort avec l'euthanasie, la destruction des familles et la fin de toute transmission avec les anciennes générations, l'endormissement des masses par toutes sortes de drogues (tv, pornographie, jeux vidéos, jeux de hasard, sports de masses, cannabis en passe d'être légalisé, spiritueux, etc...), la réorganisation du territoire et des zones de peuplement…


Par certains aspects, notre monde, si on le considère objectivement, a déjà dépassé le stade décrit par le livre d'Orwell, tandis que celui décrit par Huxley s'ancre de plus en plus dans notre réalité quotidienne, aussi bien dans la législation que dans les mœurs, ou dans les expérimentations scientifiques.


Il faut bien avoir à l'esprit que le livre d'Aldous Huxley, relève plus d'un programme politique, d'une feuille de route à appliquer sur la société pour les élites de ce monde, que d'un simple roman de science-fiction… En effet, il faut savoir que l'auteur "du meilleur des mondes" fréquentait directement les plus hauts cénacles du pouvoir, les cercles mondialistes et la société Fabienne.


Il s'agit donc bien plus du livre d'un initié. Bien Loin d'être une œuvre de dénonciation, Huxley était en réalité un fervent partisan de ce projet et du type de société dépeinte par son roman, qu'il ne dénonce en fait qu'en apparence, de manière très ambiguë...


Il a ainsi contribué à la diffusion massive dans la société de drogues comme le LSD ou la mescaline, qui sont semblables au Soma, la pillule du bonheur artificiel de son roman.

Ce Blog est pour moi le fruit de beaucoup de recherches et de réflexions personnelles, que j'ai tâché de synthétiser au mieux au travers de ces articles. Il est le résultat d'une longue maturation et d'une bien douloureuse prise de conscience d'ordre générale,  sur la nature profonde de notre monde, à des années lumières de celui que l'on nous présente habituellement avec son lot d'absurdités, ces douloureuses vérités sur nos élites et leurs folies, sur notre système politique totalement biaisé, sur notre environnement culturel de plus en plus violent, malsain et inhumain, voir carrément toxique, tant pour nos âmes que pour nos corps... Bref de l'état général de notre société, dans laquelle nous sommes tous plongés et de la direction funeste qu'est en train de prendre le cours des événements.

Ces informations sont pour la plupart, j'en ai bien conscience, très difficiles à appréhender, à affronter et à accepter, pour toute personne sensible et profondément humaine. Ces recherches sont issues de nombreux questionnements et réflexions personnelles qui ont germé suite au récit officiel, à mon sens totalement incohérent, qui fut avancé par les autorités pour présenter ces fameuses attaques terroristes du 11 septembre 2001.


Véritable bug dans la matrice, ce fut pour moi, l'occasion d'une profonde remise en question, qui a réduit en poussière, et au néant la confiance que je pouvais alors placer dans les autorités et dans nos gouvernants, un peu à l'image de la poussière pyroclastique laissée dans l'empreinte des deux tours après leur effondrement, elles qui semblaient pourtant si inébranlables...


Ce fut un saut de paradigme, un point de non-retour : cela a été une sorte de déclencheur qui a ouvert une infernale boîte de Pandore et qui m'a fait remonter, bien malgré moi, le fil d'Ariane de douloureuses et insoupçonnées réalités… En un sens, toutes ces découvertes édifiantes, m'ont amené à brûler ce que j'avais adoré et à adorer ce que j'avais brûlé, selon l'expression consacrée par Saint Rémi…


J'avais alors un peu l'impression d'être embarqué dans un douloureux et amer voyage, à l'image du Capitaine Willard, du film "Apocalypse Now" (apocalypse veut aussi d'ailleurs signifier révélation) qui, à mesure qu'il remonte la rivière et s'enfonce dans l'impénétrable et hostile jungle, en eaux troubles, en quête du mystérieux Colonel Kurtz, remonte le cours des abominations de ce monde et s'enfonce toujours plus loin dans la folie humaine... C'est un peu la perte de l'innocence et celles des illusions perdues. C'est peut-être aussi ce sentiment que vous partagerez en parcourant ces articles.

Ce Blog se veut un cri d'alarme et un cri du cœur de la part d'un humble humain qui entend le rester et qui s'adresse à d'autres frères humains...

Nous arrivons dans un monde rempli d'absurdités et de non-sens, coupé de son histoire et privé de son avenir. Un monde, où l'on glorifie à tout bout de champ la liberté individuelle, mais où tout n'est en réalité qu'aliénations, un monde où l'on nous parle de vérité, mais où tout n'est que mensonges, faux semblants, simulacres et impostures. Les fondamentaux de la civilisation semblent compromis, durablement atteints et menacés, tout ce qui peut structurer les individus est méthodiquement attaqué, ce qui met en péril à court terme, la vie collective et l'équilibre de la société. Tout se passe comme si une guerre sourde était livrée à l'humanité toute entière, comme si nous étions tous des grenouilles en train de cuir dans une Marmite à feu doux, incapables de donner une bonne fois pour toute un coup de patte salvateur pour s'extraire de cette mortelle cuisson... L'humain semble attaqué de toute part, en tant qu'humain, en tant qu'homme, en tant que femme, en tant qu'enfant, en tant que travailleur, en tant que père ou mère, en tant que croyant, en tant qu'être humain en bonne santé… Tout porte à croire que nous sommes rendus à la croisée des chemins, face à une convergence des catastrophes, inédite dans l'histoire humaine : une crise écologique, une crise énergétique, une crise économique, une crise anthropologique, une crise migratoire, une crise sociologique, une crise métaphysique et surtout une crise de sens, qui est sans doute à l'origine de beaucoup de ces crises...

À mon sens, il est donc vraiment urgent de revenir à l'essentiel, de retrouver le sens des mots, de se réapproprier leur véritable sens, de retrouver le sens des limites, et même, d'une manière générale, de renouer avec le simple bon sens, qui fait si cruellement défaut à notre société.

Il ne faut pas hésiter à sortir du politiquement correct et rompre avec toutes ces idéologies mortifères, ces délires pseudo-intellectualistes, qui sous couvert de progrès, nous plongent gentiment mais sûrement, tout droit dans l'abîme.


Il est urgent de s'éloigner avec le tout technologique et cette foi inébranlable et aveugle dans la technique. Il faut remettre la technique au service de l'homme, et non plus à son asservissement. Il faut en finir avec cette religion du progrès, cette vision scientiste ultra rationaliste du monde, cet esprit techno-gestionnaire et technocratique, qui traduit toute réalité sous la forme d'équations et de modélisations mathématiques, tournée vers la recherche de la performance et de l'efficacité ultime.


Il faut mettre un terme au règne de la machine et redonner toute sa place à l'homme, sauvegarder son identité et son essence profonde, celle d'un homme avec les pieds sur terre, mais la tête dans les étoiles et non pas un homme-machine déshumanisé, aliéné, mécanisé, sérialisé, labellisé et interchangeable.


Il faut redonner à la vie toute sa valeur, renouer avec son caractère sacré et non pas la réduire à la valeur d'une unité marchande. Il faut rompre définitivement avec cette vision purement utilitariste de l'homme, qui devrait avant tout être rentable, un outil de production fonctionnel et efficace, un simple rouage, une variable d'ajustement d'une mécanique industrielle bien huilée.


Il faut renouer avec la civilisation de l'être plutôt qu'avec celle de l'avoir, refuser de toutes nos forces et de toute notre âme cette anti-civilisation de la barbarie institutionnalisée, eugéniste et impitoyable qui se met doucement, mais sûrement en place et qui marque le triomphe de la loi du marché et de la rentabilité économique toute puissante, sur celle de la loi naturelle et de la vie.


Il faut accepter la vie avec ses limitations et ses faiblesses et non pas chercher à atteindre un hypothétique surhomme machininisé. L'homme, après avoir tué Dieu comme l'a affirmé Nietzsche, se met maintenant à vouloir le remplacer. Or, si Dieu n'existe plus, alors tout devient permis. L'homme s’est mis en tête de vouloir tout contrôler, tout exploiter, tout marchandiser et tout quantifier. C’est ce que certains avaient appelé le « règne de la quantité ». L’homme cherche à affirmer sa suprématie absolue sur l'univers, à tout pouvoir contrôler, il s’est voulu la mesure de tout, mais à dans le même temps, perdu le sens de toute mesure ! Cette course folle à la modernité, cette fuite en avant risque de lui coûter très cher.

On me fera sans doute le procès d'être conservateur à l'excès, voire technophobe, ce qui est très loin d'être mon cas, mais peu m'importe, car dans conservateur, il y a conservation… Et il me paraît, plus que jamais nécessaire, de réinterroger la notion de progrès que l'on nous présente toujours comme inéluctable et qui est l'idéologie centrale de la modernité. Car, cette course folle et ininterrompue ne semble pas nous mener vers un plus grand bien, ni à plus de bonheur, d'émancipation et d'épanouissement collectif, mais bien plus, vers toujours plus de contrôle, d'asservissement et de destruction, nous conduisant tout droit dans une impasse globale.

Il faut cesser de se laisser aveugler, subjuguer par cette fausse lumière du progrès universel et comprendre qu'un progrès technique, n'est pas pour autant une avancée morale et humaine. La bombe atomique était aussi, en son temps, qualifiée de progrès, d'avancée technologique, de prodigieuse conquête pour la science ou de véritable révolution. De mon point du vue, la technique n'est pas mauvaise en soi, si elle est viable. Seule la technologie, quand elle est poussée à l'extrême, c'est-à-dire, qu'elle dénature artificiellement et irrémédiablement l'humain et son environnement est pathogène. De toute évidence, tout ce qui peut être réalisé techniquement n'est pas pour autant d'office souhaitable et ne devrait pas systématiquement être mis en œuvre, car c'est bien là que réside la véritable sagesse, dans la prudence et la mesure. Comme disait avec justesse Georges Orwell : « Quand on me présente quelque chose comme un progrès, je me demande avant tout, s'il nous rend plus humain ou moins humain. »

Ce livre n'a pas la prétention de changer les choses, il a pour seule ambition d'être une petite particule, un infime grain de sable parmi tant d'autres dans cette effroyable et implacable système machine à broyer l'humanité. Je souhaiterais de tout cœur participer à remettre l'humanité sur de bons rails. Ce livre est ma modeste contribution pour aller dans ce sens, c'est ma petite part de colibri. Il aura sans doute une diffusion ultra confidentielle et ne touchera probablement que très peu de personnes, mais ce sera déjà cela… Qu'importe, c'est aussi pour moi, une nécessité pour ne pas devenir fou, et un devoir moral pour ne pas dire, je savais, mais je n'ai rien fait, ni même dit. Car, comme le disait si bien, Etienne de la Boétie, « les tyrans de ce monde ne sont grands, que parce que nous sommes à genoux. » ou comme le disait Edmund Burke « La seule chose qui permet au mal de triompher est l'inaction des hommes de bien. »
« Oui on s'emmerde, on s'emmerde tous ! Mais ce processus qui conduit à cette morosité que l'on observe désormais, alimente peut-être une entreprise inconsciente de lavage de cerveau, mise en place par un gouvernement mondial totalitaire dirigé par le fric ! C'est plus dangereux qu'on ne croit ! Ce n'est pas une question de survie individuelle, Wally, c'est que si on s'emmerde, on dort, et l'homme qui dort, ne sait plus dire non. Ces gens, j'en vois partout ! Il y a quelques jours, j'ai vu cet homme que j'admire beaucoup, ce physicien suédois Gustave Bjornstrand et il m'a dit, qu'il ne regardais plus à télévision, ne lisais plus les journaux, ni aucun magazine. Il a arrêté complètement ! Parce qu'il est persuadé qu'on vit dans un cauchemar à la George Orwell et tout ce qu'on entend contribue à nous changer en robots. Et à Findhorn, j'ai rencontré ce formidable expert en arbres, qui a voué sa vie à la protection des arbres. Revenant de Washington pour y défendre les Redwoods ! À 84 ans il voyage avec un sac à dos, il ne sait jamais où il sera demain ! À Findhorn il m'a demandé : "D'où êtes-vous" ? J'ai répondu, "New-York". Il a dit : "Ah, c'est intéressant, New York ! Vous connaissez des New-Yorkais qui rêvent de partir, mais ne le font jamais ?" Et j'ai dit : "Oh oui !" Il a dit : "Pourquoi, d'après vous ?" J'ai répondu des banalités. "Ce n'est pas ça du tout. New-York est le nouveau prototype du camp de concentration... Bâti par les détenus eux-mêmes, ces détenus qui sont leurs propres gardiens. Ils sont fiers d'avoir bâti leur propre prison ! Ils vivent en état de schizophrénie à la fois gardien et détenus. Il en résulte qu'ils le voient pas, qu'ils sont lobotomisés, donc incapables de quitter leur prison, ni même de voir que c'est une prison !" Il a fouillé dans sa poche et après une graine en disant : "C'est un pin." Il me l'a donné en disant : "Filez, avant qu'il ne soit trop tard !" En fait, tu vois... Depuis 2 ou 3 ans, Chiquita et moi on a ce sentiment inconfortable que nous devrions partir ! On se sent comme des juifs allemands en 36. Il faut fuir ! Mais la question c'est : où aller ? Car, il semble évident que le monde entier va dans la même direction ! Je pense qu'il est très possible que les années 60 aient vu l'ultime manifestation de l'homme avant l'extinction finale. Et que c'est le début d'une ère nouvelle. Et que désormais, nous ne serons plus que des robots marchand en tous sens, ne ressentant rien, ne pensant à rien... Il ne restera presque personne pour se souvenir qu'il existe à jadis une espèce appelée "race humaine" doué de sentiments et de raison... L'histoire et la mémoire sont d'ores et déjà effacés, et bientôt, personne ne se souviendra que la vie a existé sur cette planète." » Extrait d'un dialogue tiré du film "My Dinner with André" de Louis Malle
« À une époque de supercherie universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire ! » Georges Orwell dans "1984"
« Les hommes trébuchent parfois sur la vérité, mais la plupart se redressent et passent vite leur chemin comme si rien ne leur était arrivé. »
Winston Churchill
« Nous pourrions tous avoir une belle vie libre, mais nous avons perdu le chemin. L’avidité a empoisonné l’esprit des hommes, a barricadé le monde avec la haine, nous a fait sombrer dans la misère et les effusions de sang. Nous avons développé la vitesse pour finir enfermés. Les machines qui nous apportent l’abondance nous laissent néanmoins insatisfaits. Notre savoir nous a rendu cyniques, notre intelligence inhumains. Nous pensons beaucoup trop et ne ressentons pas assez. Étant trop mécanisés, nous manquons d’humanité. Étant trop cultivés, nous manquons de tendresse et de gentillesse. Sans ces qualités, la vie n’est plus que violence et tout est perdu. Les avions, la radio nous ont rapprochés les uns des autres, ces inventions ne trouveront leur vrai sens que dans la bonté de l’être humain, que dans la fraternité, l’amitié et l’unité de tous les hommes. » Extraits du discours de Charlie Chaplin dans "le Dictateur"
« Mon optimisme est basé sur la certitude que cette civilisation va s'effondrer. Mon pessimisme sur tout ce qu'elle fait pour nous entraîner dans sa chute. » Jean-François Brient




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