Lorsque les versions officielles présentent des failles béantes - Notre-Dame de Paris en feu

Notre-Dame de Paris en feu



Intéressons-nous maintenant un peu à l'affaire de l'incendie, plus que suspect, de Notre-Dame de Paris, survenu le 15 avril 2019...

Encore une fois, de très nombreuses zones d'ombre se posent autour de cet événement particulièrement marquant et choquant de par sa si forte portée symbolique… Notre-Dame étant sans nul doute un des symboles les plus importants de la chrétienté et l'un des monuments les plus visité au monde, ce fut un véritable électrochoc, qui a soulevé une grande vague d'émotion dans le monde entier !

Cet incendie s'inscrit dans un contexte bien particulier et fait suite à une série incroyable de dégradations, d'attaques criminelles d'églises, qui ont déjà eu lieu au cours des derniers mois. Ainsi, juste pour l'année 2018, on dénombre pas moins de 877 églises qui auraient été vandalisées ou brûlées, selon les chiffres officiels du ministère. Soit la bagatelle de 15 profanations par semaine ! Le tout dans l'indifférence la plus totale et dans un silence médiatique et politique proprement assourdissant! Un mois avant l'incendie ravageur de Notre-Dame, c'était déjà l'église Saint-Sulpice de Paris qui était la proie d'un incendie criminel.

Pour en revenir à quelques questions que soulève cet incendie :

Dans les heures qui ont suivi l'événement, des experts ont parlé sur la chaîne LCI de deux foyers distincts de départ d'incendie. Comment serait-ce possible, s'il ne s'agissait pas d'un incendie criminel ?

D'autre part, pourquoi
tous les médias se sont précipités en cœur pour affirmer d'une seule voix, avant l'expertise et les conclusions de toute enquête, qu'il ne pouvait s'agir d'un acte criminel, nous faisant bien comprendre qu'il fallait circuler et qu'il n'y avait rien à voir…

La première piste avancée par les médias de soi-disant mégots oubliés pour expliquer le départ d'un tel feu ne tient pas un seul instant la route, elle est grotesque.


Celle d'un court-circuit avancée plus tard, n'est pas plus crédible !

L'entreprise chargée des travaux a aussi démenti formellement toute responsabilité ou implication dans l'incident. Il se trouve que les travaux n'avaient même pas commencés et que le feu a démarré dans une zone vierge de tout chantier.

Le 16 avril 2019, pendant un direct sur un plateau de LCI, Benjamin Mouton, l'ancien ingénieur en chef responsable de la cathédrale pendant 13 ans, a fait part de sa grande stupeur et de son incrédulité par rapport à cet incendie, affirmant de manière catégorique que cette charpente en chêne de plus de 800 ans était extrêmement dure ! Ces pilastres imputrescibles ne pouvaient en aucun cas flamber comme une allumette, ou comme un feu de paille : « Il est impossible qu'une étincelle ou l'usage d'un chalumeau interdit sur le chantier est pu être la cause de l'incendie. » Le chêne ne fait pas de grandes flammes, il rougeoie. C'est un bois idéal pour chauffer dans les cheminées, car il se consume très lentement et donc il peut chauffer très longtemps.

On a pourtant observé, en direct sur les chaînes d'informations, tout le contraire, avec un incendie d'une rare violence et intensité, se propageant à une vitesse exceptionnelle et stupéfiante. Ainsi, entre 10 à 20 minutes auront suffit pour l'embrasement intégral de la charpente, et en moins d'une heure, l'ensemble s'était effondré, ce qui laisse en tout état de cause supposer l'usage d'un accélérateur d'incendie !

Comment expliquer que 500 tonnes de bois et 250 tonnes de plomb aient brulés aussi vite, ce qui est contraire aux lois fondamentales de la physique et de la thermodynamique.

D'ailleurs, de manière générale, dans les incendies classiques de vieilles maisons, il reste presque toujours en place l'ossature des poutres de la charpente en bois, et cela, même après plusieurs heures de combustion et alors que tout le reste de la maison est déjà entièrement consumé. Un ancien pompier témoignait également que de toute sa carrière, il n'avait jamais vu de feu de charpente se déclarer sans l'usage préalable de combustibles...

En outre, étant donné l'âge élevé du bois, il faut savoir qu'il était dans un état complètement minéralisé et donc semblable à du béton.

Un directeur de recherche au CNRS, Bernard Thibault, confirmait dans le journal "Le Point" que pour brûler ce type de bois, il devait être dégazé : « Ne croyez surtout pas qu'une poutre peut brûler facilement, il n'y a cas essayer d'y mettre le feu avec un briquet, ou même un allume-feu… Pour brûler, le bois doit dégazer, et pour faire dégazer du chêne, il faut apporter beaucoup d'énergie, au-dessus de 250 degrés et durant un certain temps. » Quel était donc ce combustible qui a permis de faire de cette charpente centenaire un véritable fétu de paille ?

François de Roby, maître de conférence à l'université de Pau et enseignant en physique affirmait quant-à lui : « À moins de croire aux miracles, il est totalement déraisonnable de penser que de grosses poutres en chêne puissent s’enflammer accidentellement à cause d’un mégot ou d’une étincelle électrique, et se consumer à grande vitesse. Autrement dit, l’incendie de Notre-Dame ne peut pas avoir été accidentel, malgré les premières affirmations des autorités, qui sont au choix totalement incompétentes ou… pire »

D'autres spécialistes ayant déjà travaillé sur la cathédrale, dont Anthony et Didier Dupuy déclareront dans le Parisien « On n'y a pas cru, les sections de chaîne sont énormes, il faut vraiment une source d'énergie hors-norme pour les embraser. L'enquête dira ce qui c'est passé, c'est vraiment surprenant. Le bois des charpentes était dur comme de la pierre, vieux de plusieurs siècles, la poussière sur la peau des poutres a pu s'enflammer, mais je n'arrive pas à m'expliquer. »

Par ailleurs, comment cet événement a-t-il pu se produire, alors que la protection et la surveillance incendie étaient à leur plus haut niveau. En effet, il faut savoir que la cathédrale bénéficiait d'un dispositif de protection très onéreux, que les portes en bois avaient été remplacées par des portes coupe-feu, que tous les appareils électriques étaient interdits dans les combles. Mais aussi, que deux hommes étaient chargés en permanence de la sécurité du site. De l'avis de tous les experts, le niveau de sécurité du site était de très haut niveau, semblable à celui d'un établissement pénitentiaire ! D'après les propos de Benjamin Mouton, la sécurité incendie mise en place dans la cathédrale était à son plus haut niveau.

De même, Philippe Villeneuve, le successeur de Benjamin Mouton, s'est dit lui aussi totalement incrédule concernant la thèse officielle : « Les travaux n'avaient pas encore commencé, on était encore en train de monter les échafaudages », déclarait-il incrédule « en 40 ans de carrière, il n'avait jamais vu un tel incendie » ajoutait-il. Il faut une vraie charge calorifique extrêmement intense pour démarrer un tel feu, le chêne est un bois particulièrement résistant.


Autre élément fort troublant et coïncidence particulièrement étonnante : ce jour-là, l'alarme incendie a subi un étrange dysfonctionnement, avec un double bug informatique, ralentissant ainsi considérablement l'intervention des pompiers !

Par ailleurs, pendant l'incendie, des volutes de fumée qui avaient une couleur jaune très suspecte et des flammes orangées furent observées. Une telle couleur est caractéristique de l'usage d'un accélérateur à incendie, comme "la Thermite".
Un pompier témoignait à ce propos : « Il est impossible d'avoir un tel feu en moins de deux heures, sans accélérateur : le bois n'émet pas de fumée jaune, la pétrochimie, oui ! » Cela suppose donc tout un minutieux travail de préparation en amont, qui n'est certainement pas à la portée du premier venu et par conséquent, l'implication de responsabilités à très haut niveau, probablement à celles d'un État et de ses services.

Mais, qui aurait donc bien pu être susceptible d'introduire ce type d'adjuvant sur les poutres afin de les préparer avant les événements ? Et bien, il faut savoir qu'en février dernier, la charpente avait été traitée contre les insectes et des champignons, tels que la mérule. On a donc pulvérisé un gel sur la charpente de plus de 800 ans, alors même que les tests de la présence de mérule étaient négatifs ! Le traitement coûta la bagatelle de 15 000 euros. Une information qui exclut de facto la présence de poussière, qui aurait pu aider à la combustion des poutres, comme cela avait été avancée dans les médias. Ce produit, dont la composition est inconnue pourrait bien avoir servi d'accélérateur dans la combustion des poutres.

Par ailleurs, il est aussi très troublant, voir même particulièrement louche de constater que les architectes des monuments historiques ont étés limités dans leur liberté d'expression, avec une communication très surveillée et étroitement encadrée par le gouvernement. Ainsi, Franck Riester, le ministre de la Culture avait déclaré que tous les intervenants autour de ces événements tragiques de Notre-Dame, avaient pour interdiction formelle de parler, sans son autorisation personnelle préalable ! Voilà une position bien étrange... Que cela cache t'il de la part du pouvoir ?

D'autre part, comment expliquer que le lendemain même de l'événement, des affiches de demandes de dons étaient déjà placardées dans les lignes de métro parisien ? Quelle réactivité, et quelle spectaculaire vitesse de communication !

À noter aussi que le timing de l'événement est des plus surprenant. En effet, l'incendie est intervenu
lundi 15 avril 2019, à l'approche de la fête chrétienne et des célébration de Pâques, au tout début de la semaine sainte, mais aussi en plein mouvement de contestation sociale des gilets jaunes, tout juste avant une prise de parole d'Emmanuel Macron, où il devait tirer le bilan de son pseudo grand débat politique autour des revendications sociales.

Enfin, autre fait troublant, il faut aussi savoir qu'avant l'incendie de 2019, il existait déjà dans les cartons, un colossal projet foncier se montant à 144 milliards d'euros de refonte totale de l'île de la cité et de Notre-Dame. Il s'agissait d'un abominable projet de site touristique, aux visées purement commerciales.

Commandité en décembre 2015 par Anne Hidalgo et la mairie de Paris, ce rapport fut élaboré dès 2016, pour repenser l'ensemble du site. Il s'agissait d'y intégrer toute une offre variée de commerces et de restaurants, afin de pouvoir exploiter au mieux la manne financière des touristes se rendant à Notre-Dame, avec ses 14 millions de visiteurs annuels. Il faut croire qu'il n'était pas acceptable, voir intolérable que ce flot humain échappe jusqu'à lors à toute logique marchande. Au programme, 100 000 m² crées, avec une valeur foncière dépassant le milliard d'euros, une privatisation du patrimoine publique, dont pour l'instant 47% du foncier est encore détenu par le secteur public et enfin, une monétisation du flux du premier site touristique de France avec plusieurs centaines de millions d’euros pour 15 millions de visiteurs annuels envisagés à la clé.

Seulement voilà, cet ambitieux projet commercial était bloqué jusqu'à nouvel ordre, faute de budget suffisant et afin de ne pas dénaturer ce site historique, classé au patrimoine mondial de l'UNESCO. Selon toute vraisemblance, « Il n'avait aucune chance de voir le jour », comme le soulignait lui-même ce rapport.

Ces deux obstacles majeurs sont désormais levés, vu l'ampleur faramineuse des dons versés par de "généreux philanthropes", tels que Bernard Arnault, qui auront trouvé là au passage, une véritable aubaine pour redorer leur image, tout en réalisant une opération fiscale neutre, voir un investissement sur l'avenir...
Hasard des hasards, il se trouve justement que ces donateurs sont aussi dans le tour de table pour la réalisation des travaux de restauration de la cathédrale sinistrée et le projet de rénovation global du site.

Le toit de la cathédrale pourrait alors être transformé en une terrasse avec jardin suspendu, comprenant des pelouses, buissons et arbres, afin d'en faire une aire de promenade
branchée pour les bobos. Ces derniers pourraient alors, entre deux achats compulsifs, contempler l'imprenable vue sur la capitale. On pourrait aussi, pourquoi pas remplacer la flèche détruite de la cathédrale par un obélisque et la Nef, par une pyramide maçonnique du plus bel effet ! Ou comment profaner et dénaturer totalement l'esprit du site original et sa fonction symbolique. La cathédrale s'inscrirait alors désormais au beau milieu de tout un complexe marchand repensé.

Qu'il soit criminel ou non, l'incendie de Notre-Dame est donc bien une véritable aubaine pour ces entrepreneurs, un coup de pouce inespéré du destin pour la concrétisation de ce projet, qui était tout simplement impensable à mettre en œuvre auprès de l'opinion publique, très attaché à ce patrimoine... On peut dire que le hasard fait parfois bien les choses !

Ainsi Dominique Perrault, responsable, entre autres de la Bibliothèque nationale de France de François Mitterrand, la BNF et du projet de refonte de l'Île de la Cité, affirme que « oui, il faut repenser la cathédrale avec son île, pour ouvrir la réflexion sur l'accueil d'un public plus large, et sur les conditions d'appropriation de ce patrimoine. » Le mot "appropriation" est ici très lourd de sens...

Fort opportunément, le 10 novembre dernier, l'Assemblée nationale a aussi voté le dégagement de la France de l'accord de Venise. Ce dernier obligeait la France, en cas de restauration de bâtiments historiques, à les restituer dans leur état initial. Ce qui permet maintenant de faire ce que l'on a envie pour le toit sinistré de Notre-Dame.

De plus, le gouvernement a aussi préparé une loi d'exception pour accélérer la reconstruction de la cathédrale. Le texte rédigé en quelques heures, permettrait notamment de déroger au code du patrimoine. Il proposerait de s’affranchir des procédures habituellement en vigueur en matière de monuments historiques, sur un site qui n’en compte pas moins de 35... Ce projet de loi autoriserait de s'affranchir d'un certain nombre de règles, comme le Code des marchés publics.

Depuis l’incendie de Notre-Dame, les médias "Vanity Fair" et "L’Obs" ont consacré une interview au célèbre architecte. Selon Dominique Perrault«Ces idées sont toujours d’actualité et verront peut-être le jour grâce ou à cause de cet évènement. Car la cathédrale a été endommagée mais elle suscite aujourd’hui une attention nouvelle.»

Autant dire qu'on peut s'attendre au pire et à tous les délires architecturaux...

Pour conclure :

Nous ne pouvons que spéculer, mais il faut bien avouer que cette accumulation d'éléments qui vont tous dans le même sens, laissent particulièrement songeur et pour le moins dubitatif...

Donc, même si on ne peut l'affirmer catégoriquement, tout porte bien à croire, que contrairement à ce qui a été affirmé dans les médias, il s'agisse en réalité, bel et bien d'un acte prémédité, criminel et perpétré pour des raisons inavouables ! Au passage, il faut aussi signaler qu'on attend toujours les résultats de l'enquête visant à faire toute la lumière sur l'origine de ces tragiques événements, et je pense qu'on va pouvoir attendre longtemps...

Commentaires

  1. Super article. Il y manque l'étonnement sur la réaction résignée des Français ...Cela me fait penser au 11 septembre avec ses 3000 morts.
    Ils sont tellement forts et surs d'eux (les mafieux de la haute) qu'ils savent que personne ne sera capable de demander et d'obtenir des comptes.
    Plus c'est gros et plus cela passe. mais ils ont raté leur coup, Notre-Dame ne s'est pas effondrée ! Gare à la reconstruction.

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