Assassinats sur ordonnance, on achève bien les petits vieux !

Assassinats sur ordonnance, on achève bien les petits vieux !

«Je suis encore… choquée. Je suis choquée par ça. Qu’on ait osé nous demander… de piquer nos patients pour les faire partir plus vite… C’est insupportable, c’est un sentiment d’horreur…» Témoignage anonyme d’une soignante au journal de France 3


Au lieu de cela, qu’a-t-on pu observer : l’abandon total de la prise en charge des anciens, quand ce n’est pas pour les euthanasier tout court, par le biais de brigades d’intervention rapide GIR, à grands coups de protocole de “Rivotril” et sans même en avoir informé les familles au préalable ! Ces pauvres âmes furent ainsi laissées, livrées à elles-mêmes, enfermées, cloîtrées dans leur chambre. Elles furent totalement isolées de leurs proches pour quitter ce bas monde. Beaucoup d’anciens ne sont pas morts de la Covid-19, mais tout simplement de désespoir, de solitude et de chagrin lié au sentiment d’abandon. La sociabilité jouant chez-eux de manière déterminante sur leur espérance de vie. Pour les personnes âgées, elle est un facteur qui va du simple au double. Les familles ont juste eu l’insigne privilège de récupérer en guise d’adieu leurs derniers effets dans des sacs-poubelles. La grande classe au pays de l’humanisme et des droits de l’homme ! Quel bel hommage pour clôturer une vie de dur labeur… 

En 2020, les prescriptions de “Rivotril” ont explosées avec 25 000 de plus par rapport aux autres années. Autant dire que les empoisonnements à mort, l’euthanasie active, le géronticide a dû battre son plein  !

Voilà qui devrait faire grandement plaisir à un certain Jacques Attali, lui qui déclarait en 1981, dans “l’avenir de la vie” «Dès qu’il dépasse 60-65 ans l’homme vit plus longtemps qu’il ne produit et il coûte cher à la société. La vieillesse est actuellement un marché, mais il n’est pas solvable. Je suis pour ma part en tant que socialiste contre l’allongement de la vie. L’euthanasie sera un des instruments essentiels de nos sociétés futures.»

Comme le rapporte le docteur Gérard Delépine, le décret “Rivotril” a été un assassinat programmé des anciens, quelques fois sur la base de simples suspicions Covid liées à la présence de problèmes respiratoires. Les pensionnaires des EPHAD ne bénéficiant d’aucun test de dépistage pour le confirmer, car ils étaient réservés au personnel soignant. Dans le cas de l’apparition du moindre symptôme respiratoire, ils étaient d’office considérés comme atteints de la Covid. Une seringue était alors préparée pour être injectée par le premier aide-soignant venu, s’il pensait que la maladie s’aggravait, sans même l’expertise et le diagnostic préalable d’un médecin. Avec cet abject décret, il s’agit donc d’une mort par ordonnance légalisée. Le “Rivotril” est fatal en cas d’insuffisance ou de détresse respiratoire, ce cas de figure fait précisément partie des contre-indications majeures de cet anxiolytique.

Même sordide constat en Angleterre, avec John O'looneyun directeur de pompes funèbres qui est en relation avec 45 autres entreprises de pompes funèbres, ce qui lui permet d’avoir une vision très claire de ce qui s’est passé. Il témoigne de ce qu’il a observé tout au long de la crise sanitaire et expose les dissimulations de son gouvernement autour du COVID-19 depuis 2019. Il affirme que des milliers de personnes ont été tuées et euthanasiées : «D’habitude sur dix décès, huit sont de l’hôpital. En mars 2020 on m’appelait tous les soirs pour des décès covid seulement en maison de retraite. Je n’ai jamais vu de médecin, de test ou de ventilateur. Je soupçonne que des milliers de gens ont été euthanasiés à l’aide du “Midazolam”.» Au début de la pandémie, ce croque-mort n’avait constaté aucune augmentation significative du nombre de morts, mais simplement beaucoup de personnes étiquetées arbitrairement COVID, alors qu’elles étaient manifestement mortes de toute autre chose. Les personnes âgées avaient été transférées des hôpitaux vers les maisons de retraite pour les décharger. Durant cette même période, la quantité de commande en pharmacie de “Midazolam”, une molécule de la famille des benzodiazépines, avait augmenté de mille pourcents ! Il a alors été appelé à une fréquence tout à fait anormale par des maisons de retraite pour des décès intempestifs de personnes âgées, toutes les nuits pendant trois semaines. Du jamais vu. Sur place, il n’avait constaté la présence d’aucun matériel, d’aucun médecin ni incubateur. Il n’y avait donc aucune raison de sédater ces personnes… Il a donc une très forte présomption que tous ces pauvres personnes furent tout simplement euthanasiées dans ces établissements, à l’aide du “Midazolam” dont il avait sur les lieux constaté la présence de plusieurs fioles. Pour se référer à cette période, il parle de douze semaines “d’abattage”. Pour lui, ces décès en série ont été instrumentalisés pour prétendre qu’il y avait une vague très mortelle de COVID qui sévissait. Des milliers de personnes âgées sont ainsi mortes dans les EPHAD durant la première vague, les rapports ont été détruits et les autopsies interdites.

Tout cela est encore plus cynique sachant que le gouvernement a axé toute sa communication de prévention COVID vis-à-vis du reste de la population et des jeunes en particulier, en les culpabilisant qu’ils mettraient en péril les personnes âgées et vulnérables au virus, s’ils ne respectaient pas les gestes barrière… Mais de son côté, qu’a fait ce gouvernement pour nos anciens, si ce n’est de les abandonner lâchement à leur triste sort, ou de les euthanasier sans le moindre état d’âme ? Au lieu de protéger les anciens, les plus faibles, on les a sacrifiés ! Le degré d’une civilisation peut s’évaluer aux égards qu’elle réserve à ses morts. Les malades décédés de la COVID-19 n’ont même pas bénéficié de funérailles dignes de ce nom et les proches n’ont même pas été en mesure de reconnaître leurs morts et de veiller sur eux pour faire leur deuil. C’est proprement monstrueux. On se retrouve plongés dans le mythe de la tragédie grecque d’Antigone où le roi Créon interdit à cette dernière d’enterrer son propre frère, si bien qu’elle se fait enterrer et emmurer vivante pour pouvoir l’accompagner dans l’au-delà. Comment peut-on expliquer de telles mesures, avec une telle absence de considération pour la dignité humaine ? Comment a-t-on pu veiller des semaines durant sur ces mêmes malades juste avant leur mort, avant de se refuser à leur rendre ce dernier hommage ? Ça n’a aucun sens… Comment là encore ne pas y voir une volonté délibérée et bien perverse de semer la peur dans la population ?

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