Des camps pour les cas positifs, ou pour les opposants au vaccin ?

Des camps pour les cas positifs,
ou pour les opposants au vaccin ?

«Ceux qui ne peuvent se souvenir du passé sont condamnés à le répéter.» – George Santayana

«Tout ce que l’homme a appris de l’histoire, c’est que de l’histoire, l’homme n’a rien appris.» – George Friedrich Hengel

«En ce qui me concerne, je ne serai jamais vaccinée avec un produit qui n’a pas été testé et qui ne me montre pas que la balance bénéfice/risque est positive, sans effet secondaire à long terme, ce qui n’est à ce jour pas garanti avec ces vaccins. Je ne serai pas réduite à un cobaye de laboratoire et je ne me vaccinerais pas sous prétexte que mon gouvernement me l’impose contre la liberté. Personne n’achète ma liberté, car je suis une personne libre. Je mets au défi la Commission européenne et le gouvernement allemand de me jeter en prison. Mais vous ne pourrez jamais me contraindre à votre vaccination, si le citoyen libre que je suis, décide de ne pas l’être.» - Déclaration de Christine Anderson au parlement européen

«La menace qui pèse sur le monde est celle d’une organisation totalitaire et concentrationnaire universelle qui ferait, tôt ou tard, sous un nom ou sous un autre, qu’importe ! de l’homme libre une espèce de monstre réputé dangereux pour la collectivité tout entière, et dont l’existence dans la société future serait aussi insolite que la présence actuelle d’un mammouth sur les bords du Lac Léman. Ne croyez pas qu’en parlant ainsi je fasse seulement allusion au communisme. Le communisme disparaîtrait demain, comme a disparu l’hitlérisme, que le monde moderne n’en poursuivrait pas moins son évolution vers ce régime de dirigisme universel auquel semble aspirer les démocraties elles-mêmes.» - Georges Bernanos, “La liberté, pour quoi faire?”

«Il y aura dès la prochaine génération une méthode pharmaceutique pour créer une dictature sans larmes, en réalisant des camps de concentration pour des sociétés entières où les gens se verront privés de leurs libertés mais en ressentiront du plaisir.» - Adlous Huxley en 1961


Encore plus inquiétant, on commence de plus en plus à évoquer la possibilité de placer les cas positifs COVID dans des camps d’internement, alors même que les tests manquent totalement de fiabilité. Il a en effet été évoqué sur la chaîne LCI, l’hypothèse de séparer les membres de leur propre famille, voir les enfants de leurs parents ! On marche sur la tête, du pur délire…

Au Canada, il a été question au parlement, de la mise en place et de la construction d’une quarantaine de camps de confinement, dont la finalité reste très obscure, bien qu’ils soient officiellement présentés comme des lieux d’isolement pour les voyageurs en provenance d’autres destinations. Ils sont pour le moment définis comme des hôtels de quarantaine ou des maisons de repos. Mais, techniquement, ce sont bien des camps et on a pas le droit ni de les quitter, ni de recevoir de visite. Il pourrait bien s’agir par exemple, de lieux de détention ultérieurs pour les réfractaires à la vaccination. Ce qui est certain, c’est que cela interroge et inquiète vraiment, surtout lorsque l’on constate le décalage abyssal entre la radicalité des mesures prises et la virulence effective du virus…

En Allemagne, les autorités ont même construit, comme le rapporte “le Journal Bild”, un établissement carcéral pour littéralement mettre en cellule les plus récalcitrants aux mesures de confinement. L’établissement situé dans le Land de Schleswig-Holstein s’apprête à ouvrir en février dans la ville de Moltsfelde.

De même en Chine, d’immenses centres de rétention, ou de camps ont été construits, afin de parquer les individus comme des animaux dans de petits conteneurs industriels en taule. Quiconque entre en contact avec une personne testée positive est obligé de vivre dans ces centres de quarantaine pendant 3 semaines à ses propres frais, qui s’élèvent à 300 yuans, soit 46 $ par jour !

D’autre part, l’État de New York a promulgué un nouveau projet de loi, le “Bill A416” pour enfermer dans des camps sur simple ordre du gouverneur, les gens qui présenteraient potentiellement une “menace sanitaire” !

Même inquiétude en Nouvelle-Zélande où la première ministre  Jacinda Ardern a proféré une terrible et fracassante allocution. Tout sourire aux lèvres, elle semblait prendre un plaisir bien malsaint à instaurer l’internement en camps de quarantaine des récalcitrants aux mesures sanitaires.

Quant à Roselyne Bachelot, elle propose rien de moins que de la prison pour les patrons qui n’imposeraient pas le pass sanitaire à leurs employés, non sans afficher un léger sourire proprement démoniaque, quand elle annonce, avec une satisfaction qu’elle peine à contenir, l’emprisonnement des individus récalcitrants. Comment peut-on faire preuve d’une telle perversité et d’un tel degré de sadisme, tout en ayant dirigé le ministère de la Santé par le passé ?

Aux Philippines, le Président de la République Rodrigo Duterte menace aussi les réfractaires au vaccin d’enfermement en prison.

En Israël, qui ont un pied d’avance sur la dictature, les citoyens qui doivent voyager peuvent porter des bracelets électroniques de sécurité pour surveiller leurs déplacements, comme s’ils étaient prisonniers de leur propre maison.


En Australie, de gigantesques camps Covid-19 ont également été construits dans chaque État, quels que soient les progrès de la nation en matière de vaccination. Ils sont utilisés pour placer en quarantaine forcée les voyageurs qui arrivent sur le territoire aux frais de ces derniers à raison de 2500 dollars par personne les deux semaines.

Quant aux personnes en quarantaine à leur domicile, elles doivent obligatoirement télécharger une application combinant reconnaissance faciale et géolocalisation, développée par le gouvernement d’Australie-Méridionale, pour prouver qu’elles restent bien à la maison pendant qu’elles y sont contraintes. À tout moment et de manière aléatoire, elles peuvent ainsi recevoir un SMS émanant des autorités et elles doivent alors séance tenante, dans un délai de cinq minutes, scanner leur visage chez eux en activant la géolocalisation. Si une personne ne parvient pas à justifier de son emplacement ou de son identité sur demande, les autorités de santé en informeront alors directement la police qui procédera à une vérification in situ de la personne placée en quarantaine, avec un mandat d’arrêt.

Et la France, pays de la pseudo-liberté et des sacro-saints “Droits de l’Homme” ne fait pas exception puisque pour les réfractaires à la vaccination qui seraient cas contacts primaires ou même secondaires, le Conseil de la Santé de Jérôme Salomon envisage l’imposition de quarantaines strictes et surveillées dans un lieu autre que le domicile !

Nous arrivons sur un modèle de société concentrationnaire, de prison à ciel ouvert, appuyé sur de permanentes menaces de confinement avec un système de “Stop and Go”. Le retour à la normale n’est pas à l’ordre du jour, ni à celui de demain, jamais d’ailleurs, si l’on s’en fie aux propres déclarations de ces psychopathes. Il faut donc partir à la reconquête de ses libertés perdues, où elles le seront à tout jamais. Au programme, ce sera Dictature Ad Vitam Æternam. Il faut bien avoir conscience que le système d’avant ne reviendra plus jamais, car il est condamné par ceux-là même qui l’ont mis en place et le dirigeaient, mais aussi par ceux qui le subissent, comme le confirme sans la moindre ambiguïté Klaus Schwab du “Forum Économique Mondial” : «Beaucoup d’entre nous se demandent quand les choses reviendront à la normale. Pour faire court, la réponse est “jamais”. La normalité d’avant la crise est “brisée” et rien ne nous y ramènera, car la pandémie de coronavirus marque un point d’inflexion fondamental dans notre trajectoire mondiale.»


Des milices au service du Nouvel Ordre ?


On peut légitimement s’inquiéter de voir depuis quelques années la mise en place d’un nouveau contingent de force de gendarmerie européen appelé “EuroGendFor” qui est dédiée à la gestion des crises extérieures. Ses missions officielles seraient la gestion de crises hors du territoire de l’UE, sous l’égide de l’ONU, de l’OTAN, de coalitions internationales, ou de l’U.E. Sous l’égide de l’U.E. Donc, et c’est là où le bât blesse, il suffirait qu’un pays de l’union fasse une demande d’intervention à l’UE et qu’elle l’accepte par exception, pour qu’une intervention dans un des pays européens soit possible. Autant dire que si le peuple se soulève contre les mesures iniques promulguées à son encontre, ces forces étrangères, qui n’auront que peu de compassion à l’égard des populations locales, se tiennent prêtes à intervenir sur tout le territoire européen. Ces effectifs sont habilités à intervenir en substitution ou en renforcement des forces de police locales. Ces forces armées seront alors le bras armé de la tyrannie qui pourra procéder à des arrestations arbitraires et à des rafles des résistants.

Le message de la devise en latin “Lex Paciferat” du blason de l’EuroGendFor” est très martial puisqu’elle signifie que “la loi apportera la paix”.

Il faut aussi souligner que d’après ce qui est stipulé dans “La Convention des droits de l’homme”, dans son article 2 relatif au “Droit à la vie”, il est précisé que «La mort n’est pas considérée comme infligée en violation de cet article dans les cas où elle résulterait d’un recours à la force rendu absolument nécessaire pour assurer la défense de toute personne contre la violence illégale, pour effectuer une arrestation régulière ou pour empêcher l’évasion d’une personne régulièrement détenue, et enfin pour réprimer, conformément à la loi, une émeute ou une insurrection.» Il est donc rendu possible par ce texte de réprimer dans le sang une révolte populaire. De plus, dans son article 5 relatif au “Droit à la liberté et à la sûreté”, il est rappelé que si toute personne a droit à la liberté et à la sûreté et que nul ne peut être privé de sa liberté, ce n’est cependant plus le cas, si la personne a été arrêtée et détenue en vue d’être conduit devant l’autorité judiciaire compétente, lorsqu’il y a des raisons plausibles de soupçonner qu’il a commis une infraction, ou qu’il y a des motifs raisonnables de croire à la nécessité de l’empêcher de commettre une infraction ou de s’enfuir après l’accomplissement de celle-ci, ou encore, s’il s’agit de la détention régulière d’une personne susceptible de propager une maladie contagieuse… Voilà qui dans le cas de la présente pseudo-pandémie laisse présager du pire !

Relevons aussi que l’armée française a mobilisé 10 000 soldats pour se préparer à un éventuel grand conflit en 2023 d’après le journal “The Economist”.


Les non-vaccinés, bouc émissaires jetés à la vindicte populaire

«Je crois qu’il y a deux France : une France des gens vaccinés et une France des gens qui sont dangereux. Dangereux idéologiquement d’abord, parce qu’ils sont fous !» – Raphaël Enthoven

«Les manifestants anti pass sont des tueurs de flics, des ennemis de la République et de la démocratie, des antisémites, des abrutis qui veulent contaminer et tuer les autres…» – Laurence Saillet sur Cnews

«Il n’y a que deux conceptions de la morale humaine, et elles sont à des pôles opposés. L’une d’elles est chrétienne et humanitaire, elle déclare l’individu sacré, et affirme que les règles de l’arithmétique ne doivent pas s’appliquer aux unités humaines – qui, dans notre équation, représentent soit zéro, soit l’infini. L’autre conception part du principe fondamental qu’une fin collective justifie tous les moyens, et non seulement permet mais exige que l’individu soit en toute façon subordonné et sacrifié à la communauté – laquelle peut disposer de lui soit comme d’un cobaye qui sert à une expérience, soit comme de l’agneau que l’on offre en sacrifice.» – Koestler, A. Le Zéro et l’Infini.

«S’il vous faut persuader, rappeler, mettre la pression, mentir, inciter, contraindre, intimider, faire honte, culpabiliser, menacer, punir et criminaliser… Si tout cela est nécessaire pour obtenir votre consentement, vous pouvez être absolument certain que ce qui est promu n’est pas dans votre meilleur intérêt.» – Ian Watson, Écrivain

«C’est la première fois dans l’histoire que l’inefficacité d’un médicament est imputée à ceux qui ne l’ont pas pris.» – Dr. Robert Malone

On peut légitimement s’inquiéter de voir que les réfractaires au vaccin sont de plus en plus désignés comme une menace pour le reste de la communauté, relégués au ban de la société, ils sont jetés à la vindicte populaire, ils deviennent les nouveaux ennemis publics numéro un. Par glissements progressifs et insidieux, on est passé de la désignation du virus comme ennemi à combattre à celle des non-vaccinés. Ces derniers sont traités en brebis galeuses, comme les victimes expiatoires toutes trouvées à sacrifier en place publique pour le reste de la population qui est chauffée à blanc. Certains suggèrent déjà de les isoler et de les enfermer. La transformation de l’opposant en délinquant ou en bouc-émissaire est bien la marque indéniable d’une profonde dérive totalitaire. Ils seront les responsables tous désignés du chaos à venir et peut-être des décès massifs qui ne manqueront pas de survenir à la suite de ces vaccinations hautement hasardeuses… Tout comme la crise économique, qui était inéluctable, sera mise sur le dos du virus et non des malversations des “Banksters” au pouvoir, le chaos et l’impossibilité de sortir de cette perpétuelle crise sanitaire sera mise sur le dos des non-vaccinés. Encore une fois, c’est une marque indéniable d’un processus totalitaire en cours de déploiement. La stratégie bien perverse et machiavélique du pouvoir est simple : faire monter l’hostilité, générer de la haine parmi l’ensemble de la société sur les non-vaccinés en leur faisant porter l’exclusive responsabilité des prochaines restrictions, privations et confinements qu’ils auront programmé, alors qu’ils ne servent pourtant à rien. Les responsables politiques n’hésitent pas à parler d’épidémie de non-vaccinés au reste de la population. Ces politiques et ces médias détestables auront une responsabilité écrasante devant l’histoire en clivant à un tel degré la société et en instillant la haine et le ressentiment dans la population, en menaçant le corps social. Il faut refuser de rentrer dans ce jeu pervers, car on ne sait que trop bien où il peut mener.

Sur les plateaux TV, la parole se libère, décomplexée, les chroniqueurs et les journalistes se lâchent littéralement, à l’image de l’ignoble éditorialiste économique, Emmanuel Lechypre. Ce petit tyran en puissance, laissant sur le plateau de RMC libre cours à ses pulsions fascistes, en proposant le plus naturellement du monde, l’emploi de la méthode forte et coercitive pour faire piquer les irréductibles réfractaires à la vaccination : «les non-vaccinés, je ferais tout pour en faire les parias de la sociétéOn vous vaccinera de force. Moi, je vous ferais emmener de force par deux policiers au centre de vaccination. Il faut aller les chercher, avec les dents et les menottes !» Les pires propos totalitaires et tyranniques trouvent maintenant place à l’antenne des médias du système, sans que personne ne s’insurge de ces appels à la haine et à la violence. Ce fieffé imbécile, ce médiocre économiste à la petite semaine, ce cochon de bourgeois en tient décidément une sacrée couche. Déjà au tout début de l’épidémie, il avait jugé bon de venir vomir sa diarrhée verbale, en proférant des énormités d’une finesse de vue à la hauteur de son maladif embonpoint. Ainsi, cet abject et grossier personnage, croyant sans doute faire un trait d’esprit d’une irrésistible drôlerie, avait déjà été l’auteur d’une ignoble saillie, en désignant les personnes enterrées qui venaient juste de succomber à la COVID-19 sur le site de Wuhan de Pokémons«Ils entèrent des Pokémons», avait-il déclaré, en se gaussant comme une yourte… Et cela en pleine cérémonie de commémoration rendue en hommage aux victimes, manquant pour l’occasion de créer un incident diplomatique international.

Mais ce n’est pas tout, cette menteuse pathologique de Caroline Fourest, qui visiblement postule activement pour le poste de la directrice de la Gestapo sanitaire, nous a aussi gratifié d’une sortie, en tapant du poing avec rage, «Non-vaccinés récalcitrants, notre patience à des limites». Ça tombe bien Caroline, notre patience à aussi ses propres limites : cours Fourest, cours, très loin et hors de notre vue ! En pronostiquant, en bonne virologue et épidémiologiste qu’elle n’est pas, une quatrième vague, dont les non-vaccinés seraient par avance tenus pour être les grands responsables : «Si nous sommes frappés par une quatrième vague, ce ne sera ni la faute de la mère Nature ni même, pour une fois, celle du gouvernement. Mais la faute des non-vaccinés. À cause d’eux, nous risquons de perdre la course contre la montre : monter le niveau d’immunité collective avant que le virus n’ait trop muté.»

Quant à ce jouisseur libertaire de Michel Onfrayil semble avoir oublié jusqu’au sens même du mot de “Liberté”, en traitant les réfractaires à la sainte piquouse d’enfants-roi capricieux, lui qui érigeait l’égoïsme comme valeur cardinale de son système de pensée. Il est allé jusqu’à comparer les non-vaccinés à des sidaïques coupeurs de têtes, à des racailles et à des violeurs de jeunes filles ! Cet anarchiste de salon de thé, ce révolutionnaire germanopratin si subversif que sa présence est ubiquitaire dans tous les médias du système s’est, aussi fait l’ardent défenseur du Pass sanitaire, cet outil ségrégationniste d’essence purement totalitaire, voix royale pour une citoyenneté à deux vitesses. «Vous avez le droit de ne pas vous faire vacciner, mais la société a le droit de se protéger de vous», avance-t-il. «Dans des endroits où vous aurez la possibilité de contaminer des gens, vous n’aurez pas le droit d’entrer». Cette éminente autorité en virologie, qui entend bien nous imposer notre manière de gérer notre santé, est tellement documenté sur la question qu’il était convaincu que le Covid-19 avait été baptisé de la sorte, car il était l’énième avatar des précédents Covid-18,  Covid-17, Covid-16, etc. Cette idole des plateaux mondains, vient-elle de signer par sa félonie le crépuscule de son œuvre ? En tout cas, il pourrait bientôt faire front au populo pour lui rendre des comptes. Nous assistons vraiment à la trahison, à la complicité active des clercs, des philosophes, des intellectuels et des artistes. Cette crise a le mérite de démasquer tout le monde afin qu’il révèle son véritable visage.

De son côté, la journaliste Emmanuelle Ducros a aussi déclaré en martelant comme un disque rayé d’un ton véhément : «Maintenant ça suffit, il n’y a pas des milliers de réponses à donner et il n’y a plus d’excuses à donner, la seule réponse à donner, c’est le VACCIN… c’est le VACCIN… c’est le VACCIN !»

Le médecin généraliste Jean-Paul Hamon n’est de son côté pas non plus en reste en déclarant le 4 juillet sur Cnews : «Il va falloir un petit peut cogner sur les irresponsables ! […] Maintenant, je pense qu’il faut sortir la boîte à claques, avoir le courage de dire aux 47 millions d’électeurs, vaccinez-vous.»

Le médecin Martin Blachier, ce tartufe mercenaire à la solde de Big Pharma, qui se refuse à faire piquer ses propres enfants, se lance dans une véritable chasse aux sorcières, une implacable croisade contre les non-vacciné en maniant l’inversion accusatoire avec un culot monstre : «Aujourd’hui il y a une guerre, et cette guerre elle est contre les antivax. Ce sont des gens qui clairement n’ont aucun scrupule, qui utilisent les pires méthodes et qui font extrêmement mal dans le monde entier. Les Américains s’en rendent compte et c’est notre vrai ennemi collectif, ce n’est plus le virus, parce que le virus, on peut le combattre, c’est l’influence des antivax et Emmanuel Macron a eu raison d’être ferme, car il ne faut pas être mou avec ces gens. Ces gens sont aussi dangereux que d’autres groupuscules qu’on a l’habitude de montrer du doigt. Il ne faut pas les prendre à la légère, ce sont des gens qui sèment le doute dans la tête des gens et qui conduisent à faire des mauvais choix et qui en plus disent des contrevérités et n’hésitent pas à utiliser tous les contre-arguments possibles pour faire adhérer les gens à ces thèses et c’est extrêmement difficile d’extraire ces thèses de la tête des gens une fois qu’ils ont été injectés par ces thèses antivax.»


Et ne parlons pas de Renaud Muselier, le Président du conseil régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur, qui annonce tout de même sans aucune gêne à une journaliste qu’il a été double injecté, mais qu’il a tout de même contracté une forme grave de la COVID, puis qu’il aurait ensuite contaminé jusqu’à douze personnes, elles-mêmes aussi étant pourtant complètement injectées… Avant de conclure son interview en recommandant vivement et sans la moindre réserve la vaccination, tout en traitant les non-vaccinés d’assassins en proférant une phrase lapidaire : «Aujourd’hui celui qui dit qu’il ne faut pas se faire vacciner est un assassin potentiel.»


Cela évoque aussi Victor Dominello, un ministre australien, qui tout en  arborant un bandeau de pirate sur l’œil pour avoir été victime d’une paralysie faciale de Bell suite à sa première injection, continuait tout de même, comme si de rien était à faire la promotion du vaccin. Le degré de folie de ces gens est proprement inimaginable : si ça ne ressemble pas à une forme de fanatisme aveugle sans plus aucune prise avec le réel, je ne sais pas ce que c’est…

Le plus tragi-comique de cette liste de tristes personnages étant encore Bernard Kouchner, alias le French Doctor ou monsieur sac de riz. Cet humaniste de façade a affirmé, sans rougir, que ceux qui refusaient de se faire vacciner étaient des traîtres. Dire que cet imposteur est l’auteur de la “loi Kouchner de 2002”, qui prévoit que le patient doit avoir un consentement libre et éclairé des actes et traitements qui lui sont proposés. Sans commentaire.

Ce sont ces mêmes infects tartuffes, ces invétérés donneurs de leçons, qui niaient l’efficacité de traitement auxquels ils avaient eux-mêmes eu recours, ceux-là qui insistaient aussi sur l’importance de masquer les plus petits toute la sainte journée, tout en se refusant de le porter eux-mêmes du fait de l’efficacité de la ventilation qui équipe leurs tribunes propagandistes, ceux-là aussi qui dansaient à tout rompre après le couvre-feu dans un bâtiment du ministère de l’Éducation nationale. Pour maintenir leur confortable vie de petits privilégiés, ces collaborateurs bons teints de la belle époque, ces valets serviles se font les complices du pire et sont prêts à piétiner le libre arbitre, tout comme à annihiler le principe d’égalité.

Le personnel soignant qui refuse le vaccin, qui était hier encore salué pour son admirable courage, célébré pour son exemplaire sens du sacrifice dans cette crise, se voit maintenant, au gré des besoins de la propagande, traîné dans la boue. Ils sont passés de héros de la nation idolâtrés quotidiennement à la grande messe du 20h à des zéro pointés. Les soignants sont devenus objets de mépris et d’attaques incessantes. Ils sont subitement stigmatisés, traités comme des pestiférés, vilipendés comme des criminels, désignés comme des super-contaminateurs.

Le Dr Frédéric Badel, médecin psychiatre spécialisé dans les stress post-traumatiques, analyse la situation de cristallisation et de radicalisation des positions entre les deux camps ainsi : «La manipulation a montré des limites qui étaient prévisibles et elle sera sans effets sur ceux qu’elle a tenté, en vain, de convaincre. Ces groupes se sont figés, leurs effectifs se sont immobilisés, et peu importe les arguments avancés, les scandales établis ou les preuves apportées, ceux-ci se noieront dans un récit national inaliénable impossible à dénoncer sauf à être traité de complotiste. Les mots se seront substitués à la réalité et, utilisés à contre-emploi, ils auront perdu de leur sens et véhiculeront des idées en rupture avec les faits. Le pouvoir en place pourra même avouer ses mensonges, le peuple l’acclamera, incapable de le croire malintentionné et persuadé qu’il est au-dessus des soupçons. Il n’est donc plus temps de publier des résultats d’études prouvant l’efficacité de tel produit, le mensonge sur tel autre, de produire des courbes démontrant le caractère infinitésimal du risque sanitaire et disproportionné des réactions de peur. Surdité et aveuglement règnent en maître chez les personnes qui, conditionnées, sont privées de jugement et incapables d’admettre que des faits objectifs puissent démentir la réalité qu’elles ont construite.»

Il est des plus alarmants d’observer le niveau d’agressivité et de violence médiatique de plus en plus intensifié à l’encontre des individus non-vaccinés, en jetant de manière irresponsable de l’huile sur le feu et en exacerbant les tensions entre les citoyens. On se croirait presque quelquefois sur les ondes de la radio des mille collines, juste avant le génocide du Rwanda. Rappelons que les grandes étapes qui précèdent la mise en place d’une guerre civile ou d’un génocide ont été définies avec précision par Gregory H. Stanton, le président de Genocide Watch. Il s’agit d’un processus se déroulant en dix étapes. Si toutes n’ont bien  heureusement pas été encore franchies, nous nous engageons doucement sur cette pente très dangereuse. N’attendons pas qu’il soit trop tard pour réagir et enrayer ce processus implacable

La Classification en deux classes d’individus, ici les vaccinés qui sont les bons citoyens vertueux et honorables et les antivaxconspirationnistes” et autres covidiots qui seraient les mauvais citoyens, des personnes égoistes, narcissiques ou sociopathes et qui représenteraient une menace pour le corps social, en somme les nouveaux pestiférés des temps modernes.

La Symbolisation et le Marquage des individus, avec des attributs qui les déterminent comme appartenant à l’une ou l’autre classe. On peut penser aux PINS ou au pass sanitaire, à certaines boutiques qui affichent si les personnes sont vaccinées ou non.

La Discrimination, avec un groupe dominant qui utilise la loi, la coutume et le pouvoir politique pour nier les droits d’autres groupes. Le groupe dominant est mû par une idéologie d’exclusion qui priverait les groupes moins puissants de leurs droits. On peut la voir à l’œuvre avec les pass sanitaire et les QR codes qui deviennent nécessaires pour rentrer dans certains lieux publics comme les restaurants, les concerts, les boîtes de nuit, etc.

La Déshumanisation, avec un groupe qui nie l’humanité de l’autre groupe, dont les membres seraient assimilés à des animaux, à de la vermine, ou à des maladies. Ici, le groupe visé n’est plus traité dignement, car il est jugé comme manquant totalement de civisme et de solidarité face au reste du groupe et comme porteur et transmetteur en puissance de la maladie. Il n’est donc plus respectable et ne mérite plus de faire partie du corps social. Ils sont juste bons à être envoyés et enfermés au Goulag.

La Polarisation, avec des extrémistes qui séparent les groupes tandis que des groupes haineux diffusent une propagande polarisante. Les motivations pour cibler un groupe sont endoctrinées par les médias de masse. On peut déjà voir fleurir de nombreux messages agressifs et haineux contre les non-vaccinés, tant dans les médias officiels que sur les réseaux sociaux.

La Persécution, où les victimes sont alors identifiées et séparées en raison de leur identité ethnique, religieuse ou autre. Parfois, ils sont même séparés dans des ghettos, déportés dans des camps de concentration ou confinés dans une région frappée par la famine et affamés. Ils sont volontairement privés de ressources telles que l’eau ou la nourriture afin de les détruire lentement. Dans notre présente situation, les camps et les infrastructures semblent bien se mettre en place et il a été évoqué d’y isoler les réfractaires à la vaccination. Il est aussi question de les surveiller avec des drones ou des bracelets électroniques.

Les ultimes étapes de cet engrenage fatal étant l’Organisationla Préparation et enfin l’Extermination puis le Déni


Terminons cette mise en perspective par cet extrait d’un dialogue tiré du film “I, comme Icare” très éclairant sur la mise en place d’un processus totalitaire par le fractionnement des responsabilités de chaque maillon de la chaîne : «Mais, dans le cas d’un génocide par exemple, quand un tyran décide de tuer froidement cinq millions, six millions d’hommes, de femmes, d’enfants, il lui faut au moins un million de complices, de tueurs, d’exécuteurs. Comment arrive-t-il à se faire obéir ? En morcelant les responsabilités. Un tyran a besoin avant tout d’un état tyran alors il va recruter un million de petits tyrans fonctionnaires qui auront chacun une tâche banale à exécuter, et chacun va exécuter cette tâche avec compétence et sans remords, car personne ne se rendra compte qu’il est le millionième maillon de l’acte final. Les uns vont arrêter les victimes, ils n’auront commis que de simples arrestations, d’autres vont conduire ces victimes dans des camps, ils n’auront fait que leur métier de mécanicien de locomotive et l’administrateur du camp ouvrant ses portes n’aura fait que son devoir de directeur de prison… Bien entendu, on n’utilise que les individus les plus cruels dans la violence finale, mais à tous les maillons de la chaîne, on a rendu l’obéissance confortable !»

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