Diviser, déconstruire, dissoudre et affaiblir pour régner

Diviser, déconstruire, dissoudre et affaiblir pour régner



Voilà pourquoi ils s’attaquent à la masculinité depuis des décennies, avec une féminisation à outrance… Ils savaient qu’avec une société d’hommes fort pourvus d’un minimum de virilité, leur projet de dictature mondialiste était voué à l’échec, impossible à mettre en œuvre !

Résultats des courses de ce travail de sape, les hommes postmodernes 2.0 émasculés ne se lèvent même plus pour défendre leur propre progéniture et leur femme (ne parlons pas de la veuve et de l’orphelin) face à une menace, une maltraitance ou une attaque extérieure (le masque dans les écoles au hasard). Ils ont perdu jusqu’à leur instinct de survie, trop occupé à suivre leurs tutos make-up sur Youtube… Ils deviennent capables de renoncer à leur propre avenir et vie pour quelques quelques loisirs et divertissements. Ce n’est certainement pas “iel”, ou autres divas distinguées en robes de soirées à la Conchita Wurtz ou à la Bilal Hassani qui vont se dresser pour faire face à l’implacable tyrannie en marche…

Depuis des décennies, ils ont éclaté les familles, brisé la cellule familiale de base de la société (On ne compte plus les divorces, les familles éclatées et recomposées), ils ont cassé les solidarités naturelles en promouvant un culte boursouflé de l’Ego et un individualisme forcené, détruit le tissu social, brisé les liens inter-générationnels pour isoler au maximum les individus.

L’individu atomisé, coupé de ses racines, livré à lui-même est rendu totalement dépendant du système, qui peut maintenant l’asservir et lui imposer ses quatre volontés, jusqu’à assiéger et prendre le contrôle de son propre corps avec ces inoculations géniques expérimentales forcées.

De même dans les écoles, en quelques générations, ils ont saboté la culture et l’éducation (le ministère de “l’instruction” est devenu celui de “l’éducation”). Ils ont misé sur les écrans, sur l’école du tout numérique plutôt que sur la qualité humaine de la transmission des savoirs. Une approche parfaite pour préparer à la société déshumanisée de demain, paver une voie royale pour le transhumanisme et au contrôle numérique global qui se met maintenant en place avec les QR-codes avec la passivité et la bénédiction des masses. Ils ont privilégié une culture de l’image à celle de la lecture, ainsi ils ont appauvri la langue avec toujours moins de vocabulaire. Car, comme l’avait développé George Orwell dans son livre “1984”, un peuple qui a un langage peu développé n’est plus à même de se défendre intellectuellement, d’élaborer des raisonnements construits et de comprendre les mécanismes mis en œuvre pour le dominer.

Ils ont aussi déconstruit les identités et les représentations à grands coups de délirante théorie du genre et autres extravagances hyper-sexualisées d’un LGBTisme sacralisé et promu à toutes les sauces. Ils ont abruti les plus jeunes générations en les noyant sous un flot continuel d’inepties, à grand renfort de TV réalité, de Sitcoms, de Talk-show débilitant, de musique toujours plus décadente, déstructurée et dénuée de toute harmonie, de séries Netflix américaines affligeantes, de jeux abrutissants et ultra-répétitifs, d’une pornographie omniprésente et d’une sous-culture du “Tittytainement” s’appuyant sur la satisfaction des plaisirs futiles et immédiats.

Par ailleurs, la fausse émancipation de la femme a été promue pour que les deux parties du couple s’épuisent, se perdent et finissent par se déchirer dans une vie active rendue frénétique. Ainsi pendant qu’ils perdent leur vie à la gagner, ils peuvent progressivement être dépossédés de l’éducation de leur propre progéniture, prise en charge et de plus en plus accaparé par la TV et par l’État en vue d’un formatage toujours plus précoce des cerveaux afin de les rendre compatibles avec l’esprit de ce nouveau monde en gestation. On le voit, l’État entend maintenant bien interdire l’école à la maison, sous le fallacieux prétexte d’un séparatisme, d’un danger Islamiste en grande partie fantasmé et que l’on agite comme un chiffon rouge (tout en ayant mis en place une politique d’immigration/invasion à outrance dans les précédentes décennies)… En réalité, la condition des femmes, ils s’en contrefichent royalement, il suffit pour s’en convaincre de voir comment les infirmières ont été maltraitées par les forces de l’ordre dans leurs manifestations bien légitimes, jetées à terre et tirées par les cheveux sans que l’inénarrable Marlène Schiappa ne s’en émeuve une seule seconde… Opposer hommes et femmes dans une rivalité stérile, alors qu’ils sont complémentaires et faits pour s’entendre en s’appuyant justement sur la richesse de leurs différences pour aller de l’avant ne pouvait qu’être contre-productif… Ce qui est sûr c’est que tous esclaves, nous seront parfaitement égaux dans l’exploitation, l’asservissement et la pauvreté ! Si auparavant, un seul salaire suffisait à assurer le fonctionnement de l’ensemble du foyer, maintenant deux rentrées d’argent suffisent à peine pour vivre.

Sur des décennies, ils ont aussi tout fait pour éliminer les petites entreprises indépendantes en leur infligeant une fiscalité écrasante et des normes délirantes toujours plus difficiles à remplir afin de concentrer et de toujours plus centraliser le pouvoir dans les mains de quelques puissants groupes industriels. Ils ont aussi conjointement à la révolution verte, dénigré les paysans en les faisant passer pour de vulgaires péquenots, des bouseux arriérés. Ces derniers constituaient une menace à éliminer en priorité, car ils étaient enracinés et armés du fameux « bon sens paysans » et donc les plus à même d’assurer leur propre subsistance ainsi que l’autonomie de la communauté. En éliminant la majorité des petits exploitants, ils ont ainsi pu prendre le contrôle de l’alimentation et imposer un mode de production toujours plus industriel et artificiel générant une alimentation complètement appauvrie et dévitalisée.

Pendant ce temps, ils nous ont familiarisé avec tous les outils numériques nécessaires à notre propre futur asservissement, à commencer par le smartphone, dont tout le monde est devenu totalement accro, comme s’il était un prolongement naturel de notre cerveau et de notre main. C’est oublier qu’il constitue avant tout un redoutable mouchard, un outil de traçage et de renseignements. À mesure qu’ils collectaient avec notre bénédiction nos informations privées, qu’ils analysaient tous nos comportements, notre manière d’agir de réagir et de penser, ils ont acquis une capacité de plus en plus subtile de nous manipuler et d’anticiper nos réactions. Ils ont ainsi pu peaufiner leurs méthodes d’ingénierie et de contrôle social. Ils ont aussi perfectionné la précision de la reconnaissance faciale avec toute sorte d’application très ludiques… Parallèlement, les caméras de surveillance ont progressivement fleuri pour quadriller et couvrir tous les espaces de nos rues, et on a introduit la reconnaissance faciale, les drones, les portiques sur les routes.

Ils nous ont aussi habitués à être notés et évalués en permanence dans tous les aspects de notre vie : contrôle sur les routes avec radars et flicage omniprésents, contrôles et évaluations dans les entreprises, évaluation dans les émissions de TV divertissement avec élimination du maillon faible au besoin, etc. De même, la notion de vie privée, qui était auparavant sacrée a été complètement abandonnée, elle est même devenue hautement suspecte ! Ceci a été rendu possible avec les émissions de Talk-show, où on étalait au grand jour sans la moindre retenue sa vie intime, puis l’arrivée de la TV réalité et des réseaux sociaux. Tout ceci permettant l’instauration ultérieure d’un système de crédit social permanent basé sur une identité numérique et évaluant, selon des critères imposés par le pouvoir en place, les moindres faits et gestes des individus.

Tout ceci n’est pas le fruit du hasard, mais un projet sur le long terme d’une grande cohérence et perversité qui s’articule parfaitement dans toutes ses composantes, avec une volonté de modeler, d’orienter et de piloter la société dans une direction bien précise, sous couvert de pseudo-progressisme et de sécurité pour tous. Avant de lancer la grande offensive actuelle contre les peuples, il fallait au préalable les affaiblir pour neutraliser toute capacité de réaction.

« Le chemin qui mène à l’enfer est pavé de bonnes intentions »

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