Le tropisme eugéniste, neo-malthusien des élites mondialistes
Le tropisme eugéniste des élites mondialistes
Par ailleurs, il n’est vraiment pas rassurant de se rendre compte que ceux qui ont financé les recherches sur ces pseudos-vaccins sont des eugénistes Malthusiens qui prônent explicitement un contrôle et une limitation de la population humaine… Il faut bien avoir conscience que le point commun entre les plus riches et influents acteurs actuels du philantro-capitalisme, de Bill Gates à Georges Soros, en passant par David Rockefeller, Warren Buffet ou Jeff Bezos est de partager l’idéologie du néo-malthusianisme et de la dépopulation !
Comme après l’épisode du “Troisième Reich”, l’eugénisme avait très mauvaise presse dans l’opinion, il fallait bien lui donner un nouveau visage, plus respectable… Ces mondialistes, profondément préoccupées par l’amélioration et l’avenir de l’homme ont alors, sous l’impulsion de Julian Huxley, un farouche eugéniste, postulé que l’écologie serait un excellent moyen de parvenir à leurs fins… Car, qui peut en effet, raisonnablement être contre la protection de l’environnement, la limitation de l’exploitation des ressources de la planète, ou la lutte contre la pollution ? Dès 1946, Julian Huxley, le premier directeur général de l’UNESCO, confirmait cette manœuvre avec cette déclaration sans équivoque : «S’il est vrai qu’une politique eugénique radicale sera politiquement et psychologiquement impossible pendant de nombreuses années, il sera important pour l’UNESCO de veiller à ce que le problème eugénique soit examiné avec le plus grand soin et que le public soit informé sur le sujet en question, afin que tout ce qui semble impensable aujourd’hui puisse au moins redevenir pensable.» Déjà à leur époque, les nazis, avaient déguisé l’eugénisme en “science de la santé héréditaire” ou en “soins héréditaires” pour le rendre acceptable pour les masses.
Au passage, il faut savoir que Julian Huxley était le frère d’Aldous Huxley, l’auteur de l’incontournable “Meilleur des Mondes”. Ce roman n’était pas un simple récit dystopique, mais la formulation d’un projet politique, la proposition d’une nouvelle société reflétant les aspirations profondes de ces milieux mondialistes, comme Aldous Huxley l’avait lui-même avoué lors d’une conférence à Berkley. Un monde dont il était non pas un farouche opposant et un critique, mais un fervent partisan. Dès lors, on ne s’étonnera pas de voir le monde décrit dans ce livre devenir de plus en plus une réalité au cœur de notre société… Huxley affirmait au sujet de l’avenir «Il me semble parfaitement plausible qu’il y ait, dans une ou deux générations, un moyen pharmacologique pour que les gens aiment leur servitude, produisant ainsi une sorte de camp de concentration pour des sociétés entières afin que les gens privés de liberté aiment ça, parce qu’ils auront perdu tout désir de se révolter grâce à la propagande, le lavage de cerveau provoqué par des méthodes pharmacologiques.»
Pour comprendre cette liaison étroite entre écologie et eugénisme, on peut par exemple faire référence aux déclarations eugénistes de David Ross Brower, un écologiste et environnementaliste très connu aux États-Unis, fondateur de nombreuses organisations environnementales, dont le “Sierra Club Fondation” dont voici une éloquente citation : «La grossesse devrait être un crime punissable contre la société à moins que les parents aient une licence du gouvernement. Tous les parents potentiels devraient être tenus d’utiliser des contraceptifs chimiques et des antidotes seraient données par le gouvernement aux citoyens choisis pour procréer.»
Dans la même veine, on peut se référer à Philip Cafaro, professeur à “l’Université d’État du Colorado”, qui dans un article intitulé “Ethique du climat et politique de la population” affirme que «Mettre fin à la croissance de la population humaine est presque certainement une condition nécessaire (mais non-suffisante) pour prévenir un changement climatique mondial catastrophique. En effet, une réduction significative du nombre humain actuel peut être nécessaire pour le faire.»
Bien plus récemment et dans ce même état d’esprit, on pourra aussi relever le livre très révélateur “Permis de procréer” d’Antoine Buéno, un proche du pouvoir, conseillé au Sénat chargé du suivi de la “Commission du Développement durable”. Dans ce livre choc, ce croisé de la dénatalité défend l’idée que pour des raisons écologiques il faudrait réguler drastiquement la population en mettant en place un contrôle des naissances fondé sur un contrat de parentalité à l’échelle nationale, avec l’introduction d’un marché mondial des droits à procréer !
De son côté, Le premier, ministre britannique Boris Johnson a déclaré que : «Le principal défi de notre espèce est de se reproduire elle-même… Il est temps que nous ayons une discussion adulte sur la quantité optimale d’êtres humains dans ce pays et sur cette planète… Les preuves montrent que nous pouvons contribuer à réduire la croissance démographique et la pauvreté dans le monde en favorisant l’alphabétisation, l’émancipation des femmes et l’accès au contrôle des naissances.»
Nicolas Sarkozy a lui aussi fait part de ses inquiétudes relatives à la croissance démographique dans un discours au MEDEF en 2019 : «Le Choc n’est pas un choc climatique, il y a un dérèglement climatique évident auquel il faut apporter une réponse, mais le plus grand choc mondial, c’est le choc démographique. Des dérèglements climatiques, le monde en a connu, qui on conduit pour certain à la disparition de plus de 80% des espèces du vivant. Mais un choc démographique comme celui que nous sommes en train de vivre, le monde ne l’a jamais connu, JAMAIS ! […] Le sujet démographique est un sujet, mais monumental, tectonique ! […] Si on n’agit pas très rapidement, on va devant d’une catastrophe extravagante. La question combien d’êtres humains peuvent-ils vivre en même temps sur cette planète ?»
Il est aussi particulièrement intéressant et révélateur de prêter une oreille attentive aux déclarations ultra-cyniques, de certains puissants de ce monde, comme celles, proprement édifiantes du Prince Philip de Mountbatten, le duc d’Édimbourg, cofondateur du “World Wild Found”, l’ONG représentée par un adorable panda, qui confiait que : «Si j’étais réincarné, j’aimerais l’être sous la forme d’un virus mortel afin de contribuer à résoudre le problème de la surpopulation.» Espérons pour nous qu’il ne s’agisse pas là d’une prophétie et qu’il ne se réincarne en “COVID-PHILIP-21”, puisque ce dernier vient tout juste de passer de vie à trépas, à l’âge de 99 ans. Le WWF a placé parmi ses objectifs principaux, la réduction de la population mondiale, surtout dans les nations développées, les fonds nécessaires étant fournis par les Rockefeller pour laquelle l’eugénisme est une tradition familiale… Ainsi, feu David Rockefeller affirmait : «L’impact négatif de la croissance démographique sur tous nos écosystèmes planétaires devient de plus en plus évident.»
De même, le mathématicien Bertrand Russell, de la “Fabian Society” et de la “London School of Economics”, qui dans une vision scientiste et rationaliste souhaitait que la Mort noire, c’est-à-dire la peste, frappe le monde à large échelle à chaque génération, de façon à ce que les survivants «puissent procréer librement sans sur-peupler trop le monde.» En 1931, dans son essai, “The Scientific Outlook” il faisait la déclaration eugéniste suivante : «On doit supposer que pour chaque génération, 25 pourcents des femmes et 5 pourcents des hommes seront sélectionnés pour être les parents de la prochaine génération, et le reste de la population sera stérilisé.» Dans l’esprit de Russell, ce techno gestionnaire globaliste, il faut mettre un terme à la famille qui est une source d’attachement irrationnel, pour préférer une gestion directe des individus par l’État mondial scientifique.
Francis Crick, qui fut le Prix Nobel de 1962, pour sa découverte du génome humain, déclarait de son côté : «Aucun enfant nouveau-né ne devrait être reconnu humain avant d’avoir passé un certain nombre de tests portant sur sa dotation génétique […] S’il ne réussit pas ces tests, il perd son droit à la vie.»
Quant à Warren Buffett, troisième fortune mondiale au classement “Forbes”, avec ses 82,5 milliards de dollars, il avait aussi déclaré que, je cite : «Il y a une lutte des classes, bien sûr, mais c’est ma classe, celle des riches, qui fait la guerre. Et nous gagnons !» Au regard de la situation générale actuelle, on ne peut que lui donner raison… Précisons au passage que c’est ce même grand humaniste devant l’éternel, qui se préoccupe tant de notre bonne Santé qui dirige aux côtés de Bill Gates, “La Fondation Bill & Melinda Gates”… Voilà qui n’est pas des plus rassurants !
Les propos de Ted Turner, le grand magnat des médias, fondateur de CNN et donateur d’un milliard de dollars aux Nations Unies sont aussi édifiants puisqu’il estime pour sa part «qu’une population totale de 250 à 300 millions de personnes, soit une diminution de 95 % par rapport au niveau actuel, serait idéale.»
Parmi ces adeptes absolument décomplexés de la dépopulation, on peut aussi faire référence à John Holdren, l’ancien conseiller d’Obama pour les sciences et les technologies. Surnommé le “Tsar de la science”, il est l’auteur du livre “Ecoscience – Population, Resources, Environment” qui fut publié en 1977 et dans lequel il déclare explicitement que la population mondiale optimale serait d’un milliard. Pour y arriver, il prônait des avortements forcés, de la stérilisation de masse, la diffusion de drogues dans l’approvisionnement d’eau et la mise en place de permis de naissance… Tout un programme ! Et cerise sur le gâteau empoisonné, il parle lui aussi d’un gouvernement supranational, un régime planétaire qui imposerait une population maximum dans les différentes zones du monde. Soit le programme du meilleur des mondes.
L’ancien conseiller scientifique du président George W. Bush, auteur de l’essai “The Population Bomb”, Paul R. Ehrlich déclarait la chose suivante : «La résolution du problème de la population ne résoudra pas les problèmes du racisme… du sexisme… de l’intolérance religieuse… de la guerre… de l’inégalité économique flagrante. Mais si vous ne résolvez pas le problème de la population, vous ne résoudrez aucun de ces problèmes. Quel que soit le problème qui vous intéresse, vous ne pourrez le résoudre que si vous résolvez également le problème de la population.» ou encore «Une population mondiale de cinq cents millions d’hommes, moyennant quelques changements technologiques minimes et quelques changements radicaux dans le rythme d’utilisation et la répartition des ressources mondiales, on résoudrait sans doute la crise écologique.»
De même la biologiste Penny Chisholm, professeure au MIT, le “Massachusetts Institute of Technology” affirmait que : «Le vrai truc, pour tenter de se stabiliser à un niveau inférieur à ces 9 milliards, est de faire chuter les taux de natalité dans les pays en développement aussi vite que possible. Et cela déterminera le niveau auquel les humains se stabiliseront sur la terre.»
Sir David Attenborough, le célèbre rédacteur scientifique, écrivain et naturaliste britannique déclarait que : «On ne peut plus permettre à la population humaine de croître de la même manière incontrôlée. Si nous ne prenons pas en charge la taille de notre population, la nature le fera pour nous.» ou bien qu’ «Au lieu de contrôler l’environnement de la planète pour le bénéfice de la population, peut-être devrions-nous contrôler la population pour assurer la survie de notre environnement.»
Quant à Thomas Ferguson, l’ancien responsable du “Bureau des affaires de la population du Département d’État américain”, il affirmait que : «Tous nos travaux ont un thème unique : nous devons réduire les niveaux de population. Soit les gouvernements agissent à notre façon, avec des méthodes propres et agréables, soit ils obtiennent le genre de dégâts que nous avons en El Salvador, en Iran ou à Beyrouth. La population est un problème politique. Une fois la population incontrôlable, il faut un gouvernement autoritaire, voire fasciste, pour le réduire…»
En octobre 2021, Lord Adair Turner, l’ancien président de la Commission britannique sur les transitions énergétiques, a aussi reconnu que l’élite souhaite que la population de la Terre diminue dans les années à venir. «Mais l’arrêt d’une croissance démographique sans fin permettra également de réduire la pression future de l’humanité sur l’environnement naturel, d’atténuer le défi que représente la fourniture de logements adéquats et de faciliter la réalisation d’émissions nettes de gaz à effet de serre nulles tout en soutenant la croissance de la prospérité dans les pays en développement.» Lui-même père de cinq enfants, il a également suggéré que les «droits de fertilité» pourraient être commercialisés afin d’inciter les personnes pauvres à ne pas avoir d’enfants en tirant profit de la vente de leur crédit d’enfant à des personnes plus riches.
Les élites sont depuis longtemps très préoccupées par la révolution démographique, comme on peut le voir dès les années soixante, avec le fameux “Rapport Meadows” : “Les limites de la croissance” qui fut publié en 1972 par le groupe de réflexion mondialiste du “Club de Rome”. Ce club de réflexion était financé par la famille Rockefeller. Ce rapport alarmant mettait déjà en exergue les dangers de la croissance démographique. Ils avaient pronostiqué à l’horizon 2020 une rupture des énergies fossiles, avec une possibilité d’effondrement de la civilisation. On peut aussi faire mention du sommet de la terre à l’ONU, avec les interventions de Maurice Strong, le secrétaire général de la Conférence des Nations unies sur l’environnement. Il est vrai que nous sommes tout de même passés en 50 ans de 2 à près de 8 milliards d’habitants… Ce dernier affirmait que : «Soit nous réduisons volontairement la population mondiale, soit la nature le fera pour nous, mais brutalement.» La pensée de Strong a grandement inspirée celle de Klaus Schwab qui le considère comme un grand ami et un mentor pour son action au sein du “Forum Économique Mondial”.
Dans le sillage du grand architecte de la cause écologique Maurice Strong, on retrouve des personnages très versés dans la mystique “New-Age” tels que James Lovelock, le scientifique de la “Gaïa theory”, codirigeant de l’ONG “Population Maters”. Gaïa étant le culte écologiste voué à la Terre Mère, comme une substance universelle qui contient tous les êtres vivants. Auteur du livre “L’hypothèse Gaïa”, il a déclaré que «Sur Terre, les humains se comportent à certains égards comme des micro-organismes pathogènes, ou comme les cellules d’une tumeur ou d’un néoplasme. Nous avons accru notre population et ses effets nocifs sur Gaïa à un tel point que notre présence est devenue visiblement invalidante, comme une maladie. […] Aucune des atteintes écologiques auxquelles nous sommes confrontés […] ne constituerait un problème perceptible si la population humaine du globe était de 50 millions. Même avec un milliard d’humains, il serait probablement encore possible de limiter les pollutions.» En 2009, il déclarait aussi à un journaliste de la BBC que Gaïa ne pouvait plus soutenir et tolérer qu’un nombre limité d’humain de l’ordre de 1 milliard, voire probablement moins, en vivant sur le mode de vie actuel. En 2019 il parlait de la COVID-19 comme d’une volonté de Gaïa de réguler la population excédentaire : «La COVID-19 pourrait bien avoir été un retour négatif. Gaïa fera plus d’efforts la prochaine fois avec quelque chose d’encore plus méchant.»
Le Rapport Kissinger NSSM-200, produit le 10 décembre 1974 commandité par le président Richard Nixon avoue noir sur blanc que l’objectif de la politique étrangère en Afrique est de réduire la population, car elle dispose d’importantes matières premières et ressources minérales. La croissance de la population dans le tiers-Monde est considéré comme une menace pour les intérêts des États-Unis. Ce rapport a été mis en pratique à partir de 1976 et la politique étrangère des États-Unis a pris un caractère résolument néo-malthusien. Des milliards de dollars ont été utilisés par les fonctionnaires des ambassades américaines dans le monde pour financer des programmes pour le contrôle démographique comprenant, en même temps que la contraception, des pratiques comme l’avortement et la stérilisation.
Par ailleurs, le 18 janvier 2010 était publié dans le journal “le Monde” un article intitulé “Faut-il réduire la population mondiale pour sauver la planète ?” qui faisait état de deux rapports sur la surpopulation mondiale, le premier, émanant en 2009 du “Fonds des Nations unies pour la population” (UNFPA) et postulant que le réchauffement planétaire ne peut être endigué que par une réduction massive de la population mondiale, le second émanant de la “London School of Economics” qui estimait que le moyen le moins coûteux de résoudre le problème du réchauffement planétaire serait de réduire la population mondiale de 500 millions d’individus d’ici 2050. Or, comme la majorité des projections prévoient que la population totale devrait s’élever à plus de 9 milliards d’ici là, la proposition de réduire la population mondiale à seulement 6 milliards implique l’élimination de 3 milliards de personnes…
Sachant qu’en plus, parallèlement au problème insoluble des ressources, le Grand Capital, avec la généralisation de la robotisation et de l’automatisation de la production appuyée par l’avènement de l’I. A., n’a plus du tout besoin d’autant de main-d’œuvre pour fonctionner. Cette masse grouillante de travailleurs laborieux devient inutile, voire encombrante et dangereuse du point de vue des puissants de ce monde, avec des risques accrus de révoltes de la part de ces laissés pour comptes, de ces damnés de la mondialisation… Ainsi, une étude réalisée par des scientifiques d’Oxford conclut que dans à peine une génération, 47 % de tous les métiers seront remplacés par des systèmes automatisés et des robots. On arrive à grands pas sur une société qui n’a plus besoin que de 20 % d’activité humaine pour être fonctionnelle, ce qui implique que 80 % d’humains n’auront plus le moindre intérêt du point de vue des élites. Désormais, il faut bien comprendre que le Grand Capital ne vise plus à exploiter un sous-prolétariat comme un bon père de famille en redistribuant quelques maigres richesses produites, comme avec le Fordisme, mais à s’en débarrasser, car il n’a plus besoin de l’entretenir pour tirer profit de sa force de travail. L’humain devient obsolète.
On débouche ainsi sur la société des 20/80 qu’avait anticipé l’éminence grise des Présidents américains Zbigniew Brzeziński, le fondateur de la “Commission Trilatérale”, avec son concept du “Tittytainment”. Il s’agit d’une sorte de réactualisation du “Panem et Circenses” des Romains remis au goût du jour avec les moyens modernes. Histoire de canaliser et d’anesthésier l’esprit de révolte des masses, de neutraliser leurs frustrations en les noyant sous un déluge de divertissements infantiles, d’émission de TV poubelles débilitantes, de séries “Netflix” chronophages, de drogues abrutissantes, de jeux-vidéos ultra-répétitifs, de pornos et d’alimentation dégradées bourré d’additifs et de sucre, j’en passe et des meilleurs. Sans cette fabrique à crétins organisée et programmée, les peuples auraient encore les ressources intellectuelles et l’esprit critique assez développé pour garder tout leur instinct de survie et réagir à l’inacceptable.
Signalons aussi qu’en mai 2009, avait lieu à New-York une très discrète et secrète rencontre des milliardaires les plus influents des États-Unis, appartenant au club le plus élitiste au monde, le “Good Club”. Parmi eux, on pouvait relever la présence de David Rockefeller, le cofondateur du “Groupe de Bilderberg”, principal décideur du CFR, le “Conseil des Relations Étrangères” et de la “Commission Trilatérale”, Bill Gates, Warren Buffet, George Soros, Michael Bloomberg, Ted Turner et Oprah Winfrey. Ces milliardaires se sont réunis chez Sir Paul Nurse, prix Nobel et biochimiste pour évoquer la question de la surpopulation, des crises sanitaires et environnementales qui sévissent dans le monde. Bill Gates et George Soros via leur “Good Club” semblent bien mettre en œuvre les prophéties et les préceptes de Maurice Strong, lorsque celui-ci affirmait que «Les experts ont prédit que la réduction de la population humaine pourrait bien se poursuivre au point que ceux qui survivront ne seront peut-être pas plus nombreux que les 1.61 milliard de personnes qui peuplaient la Terre au début du 20ᵉ siècle.»
N’en doutons pas, ces ultra-riches et ultra-cyniques, ces sociopathes en puissance, adeptes du “Darwinisme social”, entendent surtout bien maintenir leur train de vie et continuer à jouir des ressources en raréfaction de la planète. Cette oligarchie prédatrice considère la populace avant tout comme une menace susceptible de remettre en cause son pouvoir et son hégémonie. Partant de cet implacable constat, ces élites mondialistes pourraient-elles dans leur rationalité froide et pure, envisager de réduire drastiquement la population ? C’est une question excessivement difficile à soulever, presque inconcevable à envisager, voire à intégrer pour l’esprit humain du commun des mortels… Cependant, il faut bien avoir à l’esprit que la psychologie, la tournure d’esprit, les dispositions morales et éthiques de cette caste de puissants n’ont strictement rien à voir avec celles de l’homme ordinaire. D’ailleurs, le fait que dans les prémices de cette crise dite sanitaire, les autorités aient en douce euthanasié bon nombre de personnes âgées, qu’ils se soient refusé à traiter bon nombre de malades, en leur bloquant tout simplement l’accès aux traitements disponibles, qu’ils exposent l’ensemble de la population à des inoculations génétiques encore en phase de test et qu’ils s’en prennent aussi aux tous jeunes enfants, alors même qu’ils ne risquent strictement rien avec ce virus, démontre de manière éclatante que bien qu’ils prétendent le contraire, ils méprisent la vie au dernier degré ! Seuls des pervers narcissiques peuvent agir ainsi, en mentant sciemment, sans le moindre état d’âme pour des questions touchant à la santé et à la vie humaine, ce qui est un profil compatible avec des génocidaires de masse potentiels. L’hypothèse d’une dépopulation programmée ne peut donc pas être définitivement écartée et doit être prise en considération. Voici une perspective qui éclaire l’actuelle crise sanitaire et sa flagrante instrumentalisation de la plus inquiétante manière et n’invite décidément pas à la confiance aveugle !
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