COVIDISME - Une propagande de guerre
COVIDISME - Une propagande de guerre
En Belgique, des panneaux d’affichages déploient dans l’espace public leurs manipulations en grand avec l’argent du contribuable avec leurs messages chocs : «Pour un grand barbecue dans le jardin, demain je me vaccine!», ou «pour dire adieu au couvre-feu demain, je me vaccine.», ou encore, «pour manger au resto, je me vaccine.» Tel un odieux chantage de mafieux qui auraient sournoisement pris en otage nos vies…
Il ne manquerait plus qu’un “Vaxx Macht Frei” apposé à l’entrée des camps de confinement et le tableau du devoir de mémoire et de la reconstitution historique sera complet. Sur d’autres panneaux, le ton est carrément agressif, avec une forme de familiarité déplacée et un tutoiement ultra-méprisant et culpabilisant : «TOI, qui n’as pas regardé la TV, qui n’as pas écouté la radio ou lu le journal et ne t’es pas connecté à Internet depuis plusieurs mois, ON te rappelle QUE LE MASQUE EST OBLIGATOIRE, si tu n’as pas compris, on t’a fait un dessin !» (avec une flèche pointant vers le schéma d’un visage masqué).
Rien ne nous est plus épargné, avec quelques fois, une culpabilisation insupportable des individus, comme dans cet abject spot de l’État français, où l’on voit une brave dame qui fête un anniversaire, un moment convivial en famille et qui finit aux soins intensifs… Il s’agit là d’une violence symbolique extraordinaire, insupportable destinée à conditionner et frapper durablement les esprits… Le message implicite est clair : «Ne soyez surtout pas heureux avec votre famille parce que cela pourrait vous tuer !»
La propagande pour la lutte contre la COVID-19, fait par certains aspects penser à celle des campagnes de prévention contre le péril de la bombe nucléaire pendant la guerre froide des années 50. Au premier signal de leur maîtresse, les écoliers étaient alors invités à se réfugier sous leurs bureaux et il y avait toute une série de protocoles à mettre en œuvre avec les bons gestes de survie et l’ensemble des actions à exécuter en cas d’explosion d’une “bombe A”.
Des films éducatifs étaient distribués dans lesquels on insistait toujours sur le fait qu’au moment du flash intense qui précède le souffle dévastateur de l’explosion, il fallait se recroqueviller et se couvrir la tête de ses bras. C’est le fameux “Duck and cover !”, plonge et couvre-toi, ce qui n’est pas sans faire penser au virus du COVID-19, qui ne circulerait plus lorsque dès l’on est assis au restaurant, mais qui redoublerait de virulence à l’instant même où l’on se relève de sa chaise pour quitter sa place et que le port du masque redevient subitement obligatoire. À l’époque, il était précisé, histoire d’entretenir le climat de psychose et de peur paranoïaque, qu’une bombe atomique peut exploser n’importe quel jour à n’importe quelle heure et que chaque citoyen doit se tenir toujours prêt ! Des consignes aussi aberrantes et irrationnelles que certaines actuelles préconisées dans la lutte contre le coronavirus…
Pourtant, en tout état de cause, si nous étions confrontés à une véritable pandémie, comme Ebola, le Choléra, la Peste bubonique ou la peste Noire, nous n’aurions pas besoin du matraquage continuel des médias pour jour après jour, heures après heures nous en rendre compte… La maladie se matérialiserait concrètement et se rappellerait à nous en permanence. Ce serait une véritable hécatombe, une boucherie de tous les instants et nous verrions nos proches tomber comme des mouches les uns après les autres, les rues seraient jonchées de cadavres, il y aurait des fosses communes, des camps d’incinération, des sacs mortuaires en pleine rue, on aurait de réelles images choc tous les jours, la terreur se lirait sur tous les visages. On n’aurait pas besoin de messages continuels pour rappeler les bons gestes barrière à respecter. Sans ce sentiment de peur distillé par la perfusion quotidienne de nouvelles alarmistes dans nos cerveaux par les grands médias, l’épidémie ne serait sans doute même pas perceptible ! L’existence même de ce virus passerait complètement inaperçue… Force est de constater que plus ils en rajoutent et plus cela devient hautement suspect si bien que le décalage entre le récit médiatique et la réalité empirique observable du terrain devient de plus en plus saisissant et intenable.
Le traitement médiatique réservé à cette pandémie est juste indécent. Ils ont véritablement inoculé le virus hautement contagieux de la peur dans les esprits. De sorte que depuis un an, la communication autour de la COVID monopolise tout l’espace, si bien que tous les autres sujets sont quasiment éclipsés, comme si le monde entier s’était arrêté de tourner. Rappelons-nous que la répétition d’un même message est à la base de la propagande, comme le fameux slogan «Je reste à la maison, je sauve des vies.»
Certains individus fragiles sont si impactés psychologiquement par ce matraquage qu’ils se livrent aux comportements les plus irrationnels, allant jusqu’à se confectionner artisanalement les plus improbables équipements de protection, des panoplies complètes surréalistes, avec parfois des combinaisons dignes de cosmonautes en expédition sur la planète peur, alors qu’ils s’aventurent juste dehors en terrain hostile pour faire quelques courses. Courses qu’ils s’empressent de méticuleusement désinfecter dès leur retour à la maison. Parfois, on a un peu le sentiment étrange d’être devenu un extra-terrestre sur sa propre planète, on a l’impression d’évoluer et non plus de vivre dans un mauvais film de science-fiction, ou plutôt dans une fiction qui n’a strictement plus rien à voir avec la science. Dans ce nouveau royaume de “l’Absurdistan”, certains ont même préconisé de placer des plantes sur les terrasses des restaurants afin de scrupuleusement respecter les distanciations sociales entre les individus afin d’endiguer l’irrépressible propagation de la COVID. Certains ont plongé dans les abysses de la bêtise la plus irrationnelle, en gardant même leur masque de papier mouillé à la mer, ou à la piscine ! Tandis que d’autres sombrent dans le ridicule en fichant sur leur tête un dispositif à base de frites en mousse de piscine d’une longueur de 1m pour tenir toute source de contamination à bonne distance et tenir le virus en respect.
«Pour que l’égalité humaine soit à jamais écartée, pour que les grands, comme nous les avons appelés, gardent perpétuellement leurs places, la condition mentale dominante doit être la folie dirigée.» – Georges Orwell
«Plus l’effondrement d’un empire est proche, plus ses lois sont folles» – Cicéron, avocat, philosophe, rhéteur et écrivain latin
«Je me heurte parfois à une telle incompréhension de la part de mes contemporains qu’un épouvantable doute m’étreint : suis-je bien de cette planète ? Et si oui, cela ne prouve-t-il pas qu’eux sont d’ailleurs ?» – Pierre Desproges
«La réalité dépasse la fiction, car la fiction doit contenir la vraisemblance, mais pas la réalité.» – Mark Twain
Certains emportés par leur peur panique délirante et par leur paranoïa aiguë et irrationnelle, vont même jusqu’à tapisser de masques toutes les ouvertures de soufflerie de l’habitacle de leur voiture, histoire de boucher la moindre aspérité ! D’autres ne quittent plus leur masque, que ce soit, lors d’une activité physique, en forêt, au cœur de la nature ou bien au volant de leur voiture… D’autres dorment même avec. Certains amoureux n’osent plus se toucher ou s’embrasser, même le jour de leur Mariage. C’est à la fois tragique, mais aussi comique… Et on prend alors toute la mesure de la puissance incroyable des médias et du lavage des cerveaux réalisé à grande échelle.
Tous les ressorts de la propagande de guerre sont utilisés pour prendre le contrôle des esprits et de l’opinion publique et la concentrer vers un seul et unique but, la résolution de l’épidémie. Comme si nous étions tous de bons petits soldats avec un rôle décisif à jouer dans l’issue de cette guerre.
Tout comme le fait d’avoir mis en place le petit rituel quotidien du 20 heures, avec ses salves d’applaudissements collectifs pour rendre grâce aux sacrifices des soignants martyrs partis au front. Un moyen très efficace pour galvaniser et impliquer tout le monde dans cette nouvelle forme de communion compassionnelle, tout en recréant un semblant de lien social, qui le reste du temps est déstructuré et cassé par toutes les mesures de distanciation. Attention, je tiens à préciser que je ne nie aucunement la souffrance des malades, ni ceux qui sont morts de la COVID-19 pour avoir moi-même perdu des connaissances dans cette tragédie, ni le dévouement exemplaire du personnel soignant… Mais pour moi, il est hors de question de céder pour autant à des manipulations de masse basées sur le sentimentalisme !
Et pour ce qui est de la campagne de vaccination, on reprend les grands principes de la propagande marketing et des relations publiques chères à Edward Bernays, en utilisant des influenceurs, des célébrités, des artistes de renom et des personnalités publiques pour inciter les populations à franchir le pas en tirant à outrance sur la corde de la fibre émotionnelle… Ainsi, ce n’est pas moins de 200 personnalités du monde de la culture dont Arielle Dombasle, Daniel Auteuil, Nagui, ou Grand Corps Malade qui ont lancé, jeudi 7 janvier 2021, un vibrant appel en faveur de la vaccination contre la COVID-19.
Encore plus grossier au niveau manipulation des masses, nous avons aussi eu le droit à une initiative bien démagogique d’Emmanuel Macron, qui a lancé un défi vidéo à un duo populaire de deux blancs-becs Youtubeurs influenceurs, McFly et Carlito afin de toucher la jeunesse et de la sensibiliser aux gestes barrières, avec en contrepartie une invitation au palais de l’Élysée si leur vidéo arrivait à dépasser la barre des 10 millions de vues. C’est dire à quel degré, ils prennent littéralement les gens pour des imbéciles !
Et que penser de ce spot de propagande publicitaire «Parce qu’on rêve tous de se retrouver, vaccinons-nous !», absolument dégoulinant de bons sentiments, présentant au ralenti les retrouvailles émues d’une mamie avec ses petits enfants qu’elle peut enfin embrasser et enlacer tendrement dans ses bras, parce quelle aurait été vaccinée ? Tout en précisant en petits caractères, dans la toute dernière image du clip, que la vaccination n’empêche en rien le respect et le maintien des gestes barrières… C’est donc de la publicité parfaitement mensongère.
Mais la propagande vaccinale ne s’arrête pas là et atteint quelquefois des niveaux spectaculairement risibles, en nous gratifiant d’un véritable festival. Il faut vraiment le voir pour le croire. Tout y passe, avec par exemple, une distribution de pizzas, de boissons gratuites, de glaces, de bières, d’argent, de bijoux en or, de tatouage éphémère ayant pour message “Vacciné pour maman”, de bons d’achat. Pour encourager la vaccination, tous les moyens sont décidément bons, même aux États-Unis l’organisation de LOTO, uniquement réservés aux personnes vaccinées avec un prix fixé à 1 million de dollars. Ironie du sort, ces pauvres ne savent pas qu’ils participent déjà à une grande loterie. Un primeur a eu la brillante initiative de proposer 20% de réduction sur les fruits et légumes aux personnes vaccinées. La grande surface “Super U” propose un bon d’achat de 5€ pour les personnes vaccinées. Il a même été proposé une danse dans un club de strip-tease au “Larry Flint's Hustler Club de Las Vegas”.
Dans le même ordre d’idée, un bordel à Vienne fournit des vaccins COVID-19 et offre à ceux qui acceptent le marché, des bons pour une passe gratuite ! On connaissait déjà le principe de la cigarette du condamné, mais pas encore celui de la “vaccipute” qui pour une dose offre une passe, soit un tour de manège pour un baiser de la mort. À se demander qui se prostitue véritablement dans toute cette affaire… Les amateurs de pipes seront aussi comblés d’apprendre qu’un club de sexe genevois propose des fellations gratuites réservées aux seuls injectés. Et pour ceux qui aiment tirer des coups d'une toute autre nature, le sommet du raffinement à l’intérieur du cloaque de la bêtise humaine est atteint avec l’obtention d’armes à feu, instrument de mort en échange d’une inoculation en bonne et due forme de ce pseudo-remède. Ailleurs, les futurs vaccinés-cobayes ont aussi eu le droit à des entrées gratuites dans des parcs d’attractions, des donuts et même du cannabis, car il faut bien comprendre que tout est bon pour refourguer leur came. Il en faut vraiment pour tous les goûts. Même les délinquants qui se font vacciner deviennent des citoyens exemplaires, qui méritent bien des remises de peine pour service rendu à la nation.
Mais la folie covidiste ne s’arrête pas là, puisqu’en Nouvelle-Zélande, le gouvernement, chien de garde des mafieux de chez Big Pharma, a fait appel à des VRP de gros calibres, en enrôlant des gangs de criminels et de truands, en vue de promouvoir la vaccination contre le COVID-19 au sein de la communauté maorie. Une ironie du sort pour ces trafiquants de drogue, reconvertis pour l'occasion en dealer de doses “Pfizer”… En France on a même assisté à la mise en place de fanfares pour encourager les futurs cobayes encore par trop indécis et hésitants à se faire inoculer. Espérons juste que cette ambiance de joyeuse kermesse ne vire pas prématurément à la marche funèbre. Dans une scène que l’on jurerait directement tirée du film satirique “Idiocracy”, on a vu médusé le maire de New-York en train de déguster en pleine conférence de presse des frites et un Hamburger en partenariat avec le fast-food “Shake Shak”, promettant tel un vulgaire marchand de tapis aux futurs vaccinés un repas gratuit de “Junk Food”. Vendre un poison par un autre poison, avouons que c’est audacieux ! Mais ce n’est pas tout, après les parts de gâteau, la tombola, ou encore les billets de 50 francs, le harcèlement vaccinal se poursuit de plus belle, jusque dans l’intimité de son domicile, avec des opérations insistantes de démarchage téléphonique de la part de “l’Assurance Maladie”.
Au Canada, à Québec, une grotesque et pathétique journée des “vedettes” a été organisée pour les élèves préposés à la vaccination. Traités pour l’occasion comme des stars glamours de cinéma, comme sur Hollywood Boulevard, on leur déroule le tapis rouge sur la piste aux étoiles, entre deux séances de photos paparazzi et d’autographes. Ils ont même droit à des glaces “Mister Freeze” et un Disc Jockey anime la séance de vaccination pour chauffer la salle pendant que les d’jeuns se font piquer dans leur petit enclos à bétaillère. Dans la même veine, les jeunes de la ville de Nîmes ont eu le droit à une “Vaccination Party”, avec des cadeaux à la clé, tandis qu’en Belgique, on organise des sessions “DJ Maxi Boost” en plein centre de vaccination pour inciter les jeunes à se faire piquer dans la joie et la bonne humeur. Les spots lumineux de la piste de danse et les éclats éblouissants de la boule à facettes du DJ faisant en la matière place au consentement libre et éclairé nécessaire à tout acte médical. Autre scandale au canada avec des petits camions de glace qui s’arrêtent devant les écoles pour proposer gratuitement des glaces aux enfants en échange de la vaccination.
L’entreprise criminelle “Pfizer” ne recule devant aucun procédé manipulatoire pour étendre son marché et son emprise aux enfants, pas même la diffusion de spots qui les font passer, s’ils sont vaccinés pour des “super héros” œuvrant sans relâche pour sauver le monde et aider les autres, les protéger, tout en affrontant l’inconnu et en bravant leurs peurs. Où comment suprême abjection, instrumentaliser sans aucun scrupule l’innocence et les rêves d’enfants, pour leur retourner le cerveau ! Le seul super-pouvoir que ces pauvres enfants seront jamais à même de développer suite à ces inoculations géniques est de faire une crise cardiaque prématurée, ils finiront “superdead” ou “supersteriles”.
L’ARS PACA a lancé une opération séduction ciblant les jeunes adultes, ceux qui en pourcentages manquent encore à l’appel. Grâce au vaccin, nous disent les affiches, tu pourras à nouveau embrasser à pleine bouche ton conjoint, faire la teuf et partir te dorer la pilule au Club Med. On admirera au passage la trouvaille lexicale des “effets désirables”, censée s’opposer aux effets indésirables produits en masse par ces pseudo-vaccins. Un jeu de mots plus que douteux, sorti de la tête d’un communicant qu’apprécieront sûrement les nombreuses victimes collatérales non indemnisées de ces essais cliniques à grande échelle.
La radio hautement décadente “Skyrock”, (ayant pour patron, Pierre Bélanger, un repris de justice versé dans les délires et les rituels sataniques), en partenariat avec le ministère de la Santé, a mis en place une campagne de propagande vaccinale, avec en ligne de mire les ados de 12 à 17 ans. Ils ont ainsi lancé la tournée du “Vaxibus”, un camion itinérant dans plusieurs villes. Une opération propulsée avec comme mot d’ordre le slogan risible et totalement ringard «Ça va ? Ça vax !»
Les prosélytes de la vaccination ont aussi eu l’initiative, complètement surréaliste, d’organiser en la ville de Marly, un festival de musique, ou plutôt de propagande, baptisée pour l’occasion «Vacci´Fest chez Oscaar». Il s’agit d’une grande fête de la vaccination, où entre deux concerts, deux discours à la toute gloire de l’injection et deux verres de vin entre amis, on peut joyeusement aller se faire injecter. On pourra relever que l’affiche promotionnelle dédiée à cet événement est incroyablement douteuse et lugubre et n’inspire vraiment pas à la confiance. Il s’agit en effet d’une scène particulièrement ténébreuse, où pour un peu, on se croirait devant la représentation d’une messe noire. En position centrale de l’affiche on peut observer un homme masqué, livide et blafard, qui respire bien plus la mort et la pestilence que la santé, distribuer du haut de sa montgolfière, cernée de nuages menaçants, des flacons représentant des fioles de vaccin. Ces dernières sont réceptionnées dans une atmosphère de religiosité et avec une vénération béate par des adeptes, qui comme sous l’emprise d’une hypnose collective ou aveuglés par un sortilège tendent les bras vers la sainte ampoule miraculeuse. L’ensemble dégageant un fort parfum d’occultisme et de satanisme, particulièrement troublant, malsain et déplacé dans ce contexte !
Désormais, même une simple visite insouciante de bon matin chez votre Boulanger du coin vous expose à des messages vaccinalistes, si bien que votre baguette se retrouve emballée dans un sac papier imprimé avec le message suivant : «MARRE DE LA COVID-19 ? Cet été, c’est simple, je me vaccine ! Ensemble, luttons contre la pandémie» Merci Doctolib de nous pourrir notre petit déjeuner ! Impossible d’y échapper. Ces publicitaires n’ont donc pas encore compris que je ne mange pas de ce pain-là et qu’ils ne sont pas près de me faire marcher à la baguette ? Par contre, qu’ils soient assurés que le levain de la colère n’est pas près de retomber et que l’addition finale risque d’être salée pour les collaborateurs zélés. Personnellement, je ne lutte pas contre la pandémie, mais contre la plandémie, ce qui fait toute la différence…
La propagande vaccinale est partout, même dans l’opposition contrôlée comme celle du PCF, le Parti Communiste Français, qui milite pour que ces dits “vaccins” contre la Covid-19 soient un “Bien public mondial” gratuit pour tous et non pas un produit capitalistique, sans même questionner la nature de ces pseudo-vaccins, le fait que les gens soit traités comme des cobayes et la nécessité de vacciner avec une pandémie si peu létale. Ou l’art et la manière de s’indigner à la marge, sans dénoncer le véritable problème et même, en le validant…
On peut dire qu’avec toutes ces indignes et scandaleuses pratiques de racolage, ils achètent tout simplement le consentement éclairé des gens. Et à tous ceux qui voudraient tenter le diable et se laisser séduire par ce genre d’opération totalement démagogique, dites-vous bien qu’une des règles de base en ce bas monde est de se méfier de tout ce qui brille trop. Goebbels peut aller se rhabiller en matière de propagande et de manipulation mentale. Ceci était pour la phase carotte, pour la petite sucrerie réservée au bon toutou qui obéit bien docilement à la voix de son maître, mais gageons que pour venir à bout des derniers récalcitrants, les coups de bâton ne tarderont pas avec au besoin, un retour forcé au chenil pour les chiens les plus sauvages et non-dressables. Décidément, les essais cliniques pharmaceutiques sont bien moins payés de nos jours : risquer sa vie pour un misérable donut, ou un malheureux hot-dog, alors qu’à l’époque, on offrait jusqu’à 5 000$ pour participer à certaines expérimentations cliniques volontaires. Force est de constater que de nos jours, les cobayes ne valent guère plus cher sur le marché…
On a aussi le droit à toutes sortes de chorales poussant la chansonnette à la toute gloire du vaccin, “ce miracle de la science” et de son injection bénie, qui va tous nous arracher aux griffes d’une mort certaine. On ne sait plus si c’est du premier, ou du troisième degré tant ce genre de prestation pathétique et insupportable sombre dans la bêtise et la niaiserie la plus crasse.
Depuis avril 2021, “Facebook”, toujours en pointe en matière de propagande et qui en connait un rayon sur l’importance du regard d’autrui et sur la pression sociale du groupe, propose pour les photos de profil de ses abonnés, des filtres à thème à ajouter permettant d’indiquer qu’on est bien vacciné. Et pour la vie réelle, n’ayez crainte, vous aurez aussi la possibilité d’afficher fièrement votre appartenance au camp du BIEN, avec de superbes PINS “Fully Vaccinated” épinglant à sa juste valeur votre bravoure, votre sens du devoir et votre indéfectible attachement au bien commun.
Du côté des médecins, ils se voient aussi corrompus par des pratiques fort douteuses, comme celle à l’initiative de la banque suisse “Swissquote” consistant à leur demander d’investir massivement à des conditions avantageuses des actions dans les laboratoires responsables de la vaccination contre la COVID-19. Il s’agit de, je cite : «d’injecter les performances du vaccin dans votre portefeuille, opportunité pharma». Il est évident que ceux qui ont la faiblesse de se laisser séduire par ce genre de propositions alléchantes, mais dénuées de toute éthique, ne peuvent plus avoir une position de neutralité, car ils engagent leurs fonds propres dans cette entreprise. Il n’y a décidément plus aucune limites dans l’indécence.
Par ailleurs, il est piquant de constater que ces grands promoteurs du vaccin, comme par exemple la première ministre australienne, n’hésitent pas à se faire faussement vacciner sous l’œil des caméras, dans de grotesques mises en scènes, où si l’on prête bien attention, on peut parfois encore remarquer la présence du capuchon en plastique qui recouvre la seringue après injection… Autant dire que ces acteurs au rabais tirent à blanc ! Et d’ailleurs, en quoi ces mises en scènes grossièrement tapageuses constitueraient une preuve de la moindre vaccination puisque l’on peut très bien injecter d’autres produits. Ce fut d’ailleurs déjà le cas lors de la précédente crise du H1N1, où il y avait eu en Allemagne un retentissant scandale, car deux versions du même vaccin étaient en circulation, un sans adjuvant réservé aux élites, dirigeants et personnel de l’État, et un autre pour la vile populace des manants ordinaires… Si l’objectif était de rassurer, c’est raté et cela montre juste leur profonde duplicité et à quel degré ils se moquent littéralement du peuple dans les grandes largeurs !
D’ailleurs, d’après le témoignage du célèbre psychiatre et homme politique italien, Alessandro Meluzzi, cofondateur de Forza Italia et député de la Nation italienne de 94 à 96, «L’élite a fait semblant de se faire vacciner». Le médecin est catégorique : «Je jure sur la tête de ma fille, au risque de passer pour un fou», «qu’une grande partie de ceux qui ont été vaccinés, à partir d’une certaine sphère, ont fabriqué de faux vaccins» avant d’asséner «J’en suis sûr, ils me l’ont proposé aussi». Bref, selon le Pr. Alessandro Meluzzi, tous les membres de l’élite italienne ou presque, se sont procurés de faux passes sanitaires, en pratiquant des vaccinations bidons. Autant dire que ces hypocrites veulent donc bien que vous preniez des risques inconsidérés avec votre vie et votre santé, mais certainement pas eux !
Il se trouve justement que 180 personnes passées le 15 avril par le centre de vaccination de Deauville se sont vues inoculer par erreur un simple sérum physiologique au lieu de recevoir leur première dose de vaccin Pfizer. Mais a qui étaient donc destinées ces doses ? Ou bien s’agit-il, dans l’hypothèse d’une entreprise criminelle, de brouiller les pistes, avec certaines injections qui sont des placebos et d’autres qui sont dangereuses ?
Si l’efficacité de ce pseudo-vaccin reste à prouver, en revanche sa capacité à cliver et à scinder en profondeur la société en deux est remarquable, allant jusqu’à semer la zizanie au sein des familles les plus unies. Le fossé entre ceux qui sont éveillés et ceux qui sont désinformés, tout en étant persuadés du contraire est béant.
L’incitation vaccinale et la pression sociale sont fortement exercées, sous prétexte qu’il s’agirait d’un geste civique, altruiste et solidaire… On peut véritablement parler de harcèlement moral. Cependant, l’altruisme en général, c’est faire du bien aux gens et ce n’est pas éviter de leur faire du mal. Or, comment pourrait-il en être ainsi, puisqu’il n’y a absolument aucune preuve ou garantie véritable de son efficacité à réduire la transmission du virus ! Pire que cela, les premiers retours des vaccinations tendent à démontrer l’exact contraire, puisque paradoxalement d’après les résultats précoces, la contagion explose après la vaccination, comme en Israël. En Inde, depuis l’introduction du vaccin le 20 janvier, on assiste à une explosion exponentielle du nombre de cas et de décès et l’apparition d’un nouveau variant. Tout comme au Laos ou en Mongolie, où on peut faire le même constat. Cet argument est donc parfaitement fallacieux et repose sur une totale culpabilisation. Qui plus est : comment celui qui ne serait pas vacciné pourrait bien mettre en péril celui qui l’est ? Car si le vaccin est efficace, il ne devrait strictement rien avoir à craindre… Et dans le cas contraire, alors pourquoi donc faudrait-il l’imposer à tous ?
Dans cette campagne vaccinale, tous les ressorts de la manipulation sont utilisés en jouant sur les sentiments et les émotions comme :
- LA PEUR, car sans vaccination, vous risqueriez de mourir ;
- LA CULPABILITÉ, car ce serait des plus égoïstes de ne pas se faire vacciner et vous risqueriez de contaminer vos proches ;
- LA SOLIDARITÉ, afin de protéger les plus fragiles ;
- L’ESPOIR, car c’est le seul moyen de sortir de toute cette crise ;
- LE STRESS, car il faudrait agir rapidement avant qu’il ne soit trop tard ;
- LE SENTIMENT DE PRIVILÈGE ET DE RARETÉ, car vous faites partie des premières personnes à avoir le droit de vous faire vacciner ;
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