Lorsque les versions officielles présentent des failles béantes - 11 Septembre 2001

11 Septembre, le nouveau Pearl Harbor



Abordons maintenant les fameux et très controversés Attentats du 11 septembre 2001, qui ont durablement changé la face du monde. Véritable séisme planétaire, ils marquèrent un tournant majeur dans la géopolitique internationale. Cet événement choquant, qui a profondément frappé et marqué les esprits, a généré sur le coup, un véritable choc émotionnel et plongé les masses dans un état de sidération et d'effroi. Étonnamment, chacun se souvient encore précisément de ce qu'il faisait et où il se trouvait alors ce jour-là...

Or, comme on le sait bien, la peur et les émotions exacerbées sont de très mauvaises conseillères et paralysent toute capacité d'analyse et de réflexion. Cet état de stupeur fut exploité à bien mauvais escient par l'administration Bush et son équipe de néoconservateurs Américains, selon la méthode théorisée par la journaliste Naomi Klein dans son remarquable essai "La Stratégie du Choc", pour attaquer durablement les libertés publiques, avec la mise en place d'une politique ultra-sécuritaire et l'entrée en vigueur du "Patriot Act".


Ce dernier, nouvel arsenal juridique, à permis d'imposer toute une série de mesures d'exception, soi-disant provisoires et de les maintenir indéfiniment dans le temps. Ainsi, à partir de ce moment, il devenait possible et légal d'arrêter arbitrairement n'importe quelle personne sur la planète, sur la base de simples soupçons de participation à une organisation terroriste, sans autre forme de procès. Il était désormais possible de faire interner tout suspect de force dans des camps de détention tels ceux de Guantanamo ou de la prison d'Abou Ghraib, où les conventions de Genève n'ont plus court, mais les mauvais traitements, les humiliations, la torture psychologique voir des sévices physiques en tout genres sont pratiqués en toute impunité. Au nom de la lutte contre le terrorisme, les néoconservateurs en ont aussi profité pour pratiquer une politique d'ingérence militaire très agressive et belliqueuse, dont on a pu apprécier le destructeur et sanglant bilan au cours des années suivantes.

Passé cet état initial de sidération et avec le recul, de nombreuses questions entourant cette tragédie ont commencées à être soulevées puis à émerger dans l'opinion publique. Quelques voix un peu dissonantes et très minoritaires, se sont timidement élevées dans le débat public, pour apporter d'autres éclairages sur cet événement. Elles se sont vues attaquées médiatiquement de toute part, avec la plus grande des violences.


Ainsi en France, pour avoir eu le courage, l'audace et l'intégrité d'émettre quelques doutes bien légitimes, quelques réserves sur la version officielle présentée des faits, des personnalités publiques telles que Marion Cotillard, Mathieu Kassovitz et surtout Jean-Marie Bigard se sont presque vus lynchés en place publique par les médias mainstream.


Pour faire part de ses doutes et de ses profondes interrogations sur toute cette affaire, Bigard avait même fort courageusement réalisé et publié sur la toile internet, toute une série de onze vidéos. Très bien argumentées, elles relevaient sur le ton de l'humour certaines des incohérences manifestes de la version officielle.


Que n'avait-il fait? On a très rapidement rappelé à l'ordre notre indélicat et pour le coup un peu naïf Bigard, en lui faisant bien comprendre qu'il avait franchi la ligne rouge. Sous la pression, le malheureux a été contraint de formuler ses plus plates excuses publiques, pour ce moment d'égarement : « Je demande pardon à tout le monde pour les propos que j’ai tenus vendredi dernier pendant l’émission de Laurent Ruquier sur Europe 1. Je ne parlerai plus jamais des événements du 11 septembre. Je n’émettrai plus jamais de doutes. J’ai été traité de révisionniste, ce que je ne suis évidemment pas ! » Il a tout de même avoué, par la suite, à demi-mots, qu'on lui avait gentiment signifié qu'il ferait bien de « fermer sa grande gueule », s'il ne voulait pas mettre un terme prématuré à sa carrière...


Ça se passe comme cela, au pays de Charlie !

Peu-importe :
  • Oui, peu-importe que des mouvement tout à fait inhabituels et anormaux des cours de la bourse, aient étés constatés, dans les jours précédents les attaques et concernant uniquement les compagnies aériennes impliquées dans le drame, "United Airlines" et "American Airlines", en pariant sur de fortes baisses du cours de leurs actions, soit un délit d'initié caractérisé. Les options de ventes de ces deux compagnies ce sont multipliées par dix trois jours avant la survenue du drame ;
  • Peu-importe que les propres familles des victimes demandent elles-mêmes une réouverture de l'enquête, cette fois-ci menée par des autorités indépendantes, car elles contestent la version gouvernementale qui fut commanditée par le gouvernement à "l'Institut National des Standards et de la Technologie", le NIST. Ce rapport a aussi été pris en défaut sur de nombreux points techniques par l'Association d'ingénieurs professionnels "Architectes et ingénieurs pour la vérité sur le 11 septembre" sous la houlette de Richard Gage. Cette association regroupe plus de 2500 professionnels, experts en génie des structures, science des matériaux, conception architecturale, protection incendie, technique de construction et experts en démolitions contrôlées. Ils ont amené quantité d'informations scientifiques qui contredisent le rapport et les conclusions du NIST. Ils contestent la version officielle de l'effondrement des deux tours par les flammes, mais parlent plutôt de démolitions contrôlées. Pourtant le sujet reste parfaitement tabou dans les médias, couvert sous une épaisse chape de plomb et frappé du terme infamant et paralysant de "Théorie du Complot". Terme qui est une invention des service de la CIA pour couper court à toute controverse autour de la mort pour le moins suspecte et mystérieuse de JFK ;
  • Peu-importe que pas moins de 71 pourcents des Américains aimeraient la tenue d'une enquête indépendante autour des actes et agissements du président Georges W. Bush et de son vice président Dick Cheney pendant et après ces événements ;
  • Peu importe que lorsqu'il appris la nouvelle de l'attaque des deux tours, le comportement du président Georges W. Bush fut absolument déconcertant... En déplacement dans une école primaire, il faisait alors la lecture d'un livre pour enfant qui parlait d'une biquette . Imperturbable, il continua comme si de rien était la lecture de son ouvrage aux élèves de la classe alors que l'Amérique était attaquée sur son propre sol. Une posture surréaliste, soi-disant justifiée par la nécessité de maintenir le calme et ne pas faire paniquer la population ;
  • Peu-importe que dans un article publié en septembre 2016 dans le magazine de la "Société européenne de physique", des scientifiques défendent la thèse de la démolition contrôlée des trois tours à l'aide d'explosifs et non suite aux impacts des avions de ligne. Pour ces spécialistes, les faits sont tout simplement accablants et convergent tous vers cette conclusion. Ils demandent l'ouverture d'une nouvelle enquête indépendante à ce sujet. Encore une fois, ce sont là les conclusions d'experts et de scientifiques et non les élucubrations fantasmagoriques d'illuminés, amateurs de théories du complot et en mal d'histoires sensationnelles ;
  • Peu-importe que l'on ne puisse que s'étonner de la rapidité fulgurante avec laquelle les coupables et commanditaires de ces attentats ont clairement été désignés et jetés en pâture dans les médias, les jours suivant les attaques... Ainsi, tout juste trois jours après, le nom d'Oussama Ben Laden était divulgué comme étant le cerveau de toute l'opération, supervisant le déroulement des attaques du fond de sa caverne high-tech. Il en fut de même pour les 19 autres pirates de l'air, dont les noms et CV ont très vite étés diffusés. Pourtant, Oussama ben Laden n’a jamais revendiqué formellement l’attaque contre le "World Trade Center", donc comment établir sa culpabilité aussi vite ? Curieusement, on pourra observer qu'avant la survenue de bien des attentats, les services de renseignement ne voient jamais rien venir, malgré la débauche de moyens de surveillance actuels, mais qu'après-coup, ils ont toujours l'identité des coupables presque instantanément et sans enquête, ce qui est pour le moins extraordinaire ;
  • Peu-importe que comme l'a révélé le journaliste d'investigation Eric Laurent, faute de preuves, le FBI n'ai jamais émis de mandat d'arrêt contre Ben Laden, l'homme alors le plus recherché de toute la planète ! Ce dernier fut une sorte d'insaisissable Goldstein, qui a servi pendant une dizaine d'années, le rôle d'un épouvantail bien utile, avant d'être abattu dans sa villa par une mission commando ;
  • Peu importe, que certains des présumés pirates de l'air, coupables tout désignés de cette liste officielle, sois-disant directement impliqués et morts au cours de l'opération, étaient en fait encore vivants et séjournait simplement à l'étranger ! Ces derniers furent stupéfaits de se retrouver incriminés pour de tels agissements et se signalèrent aux autorités ;
  • Peu-importe que l'on ait retrouvé dans les décombres des deux tours, le passeport d'un des terroristes presque intact, au beau milieu de la poussière pyroclastique, des flammes et de l'acier en fusion... Ce qui relève d'un véritable prodige ! Mais qu'en revanche, nulle trace des boîtes noires des avions ;
  • Peu-importe que de nombreux témoins crédibles, dont des pompiers présents sur place et William Rodriguez, décoré pour son héroïsme et honoré par la maison blanche, pour avoir sauvé beaucoup de vies ce jour-là, rapportent avoir clairement entendu des dizaines explosions se produisant à la base des tours jumelles, juste avant leur complet effondrement. Certains affirmant même avoir étés fortement secoués et projetés dans les escaliers sous l'effet du souffle de ces détonations, alors même qu'ils se trouvaient en intervention à la base des tours ;
  • Peu-importe que les architectes avaient justement élaboré et construit la structure des deux tours dans la perspective de résister à ce type d'attaques. Elles étaient conçues pour absorber et encaisser de tels chocs, comme l'a affirmé Frank de Martini, le directeur de la construction du WTC en 1973 ;
  • Peu-importe que les deux tours se soient quasiment effondrées à la vitesse de la chute libre, en n'opposant que très peu de résistance. La progression de la chute des étages supérieurs aurait dû, en toute logique, être fortement freinée, puis arrêtée par les étages inférieurs... Or, tout c'est déroulé comme si les étages supérieurs n'avaient rencontré aucune résistance lors de leur effondrement. Ce qui implique de facto l'usage d'explosifs pour un permettre au préalable un affaiblissement général de la structure ;
  • Peu-importe que l'effondrement ait toutes les caractéristiques d'une démolition contrôlée, avec un effondrement vertical parfait des tours jumelles sur leur empreinte.
  • Peu-importe que l'on puisse observer très nettement, en analysant la vidéo de l'effondrement des deux tours au ralenti, de très puissantes projections latérales de matériaux, provoquées sans doute par le souffle de micros explosions. On a même retrouvé ainsi une poutre de plusieurs tonnes directement fichée dans le bâtiment de la Deutsche Bank ;
  • Peu-importe que dans les décombres fumants des deux tours, le métal était en fusion, à des degrés de température hallucinants pendant deux semaines suivant l'effondrement ;
  • Peu-importe que Larry Silverstein, le propriétaire ait fait assurer les tours jumelles contre le risque d'attaques terroristes, juste un peu avant la survenue des attentats. Il contracta une police d'assurance couvrant pour un montant de 3.2 milliards de dollars la destruction totale des deux tours. On peut dire que ce géant de l'immobilier aura décidément eu un sacré nez dans toute cette affaire. Opportuniste comme jamais, il exigea aussi 7 milliards de dollars de réparation aux assurances, considérant que chaque attaque était un attentat bien distinct. On peut dire que ces événements auront finalement étés pour lui une sacrée aubaine ;
  • Peu-importe que des exercices militaires aient eut lieu le même jour, mettant à mal la réactivité et la capacité d'intervention des avions de chasse du "Commandement de la défense aérospatiale de l'Amérique du Nord", le NORAD et en échec une éventuelle riposte de la  défense. Néanmoins, comment expliquer une telle défaillance et une telle lenteur dans l'intervention des chasseurs pour intercepter et neutraliser les avions détournés, qui ont pu tranquillement poursuivre leur funeste trajectoire avant d'atteindre leurs cibles, jusqu'à 90 minutes durant pour certains ! Les avions de chasses sont pourtant capables de voler à une vitesse de 2.400 km/heure, bien plus que les avions de ligne civils détournés. Selon la version officielle, cela s'expliquerait par le fait que "la défense aérienne n'a pas été prévenue à temps par les contrôleurs de l'Aviation civile américaine". Une explication tout simplement abracadabrantesque ! Malgré cette incompétence et cette négligence crasse, personne n'a jamais eu à rendre de compte de ce fiasco intégral. Bien au contraire, de nombreux protagonistes directement responsables de ce désastre ont été promus ;
  • Peu-importe que trois tours se soient effondrées avec l'impact de deux seuls avions ! La troisième tour étant le WTC7, une tour de 46 étages, de la hauteur de la tour Montparnasse ! Elle s'est effondrée sur elle même, 8 heures après le premier impact, tout en n'ayant pourtant été touchée par strictement aucun avion de ligne ;
  • Peu-importe que l'effondrement de cette troisième tour ait presque été totalement passé sous silence, malgré un battage médiatique énorme concernant les deux autres tours, dont on aura pu apprécier les images d'effondrement défiler en boucle sous différents angles sur tous les écrans de TV des chaînes d'information. Faites un sondage dans la rue ou avec vos amis, personne ou presque n'est au courant de l'existence de cette tour effondrée ce même jour, du moins avant que l'on ne commence à en parler sur Internet ;
  • Peu-importe que, chose prodigieuse, l'annonce de cet effondrement du WTC7 est tout de même été annoncé avec 20 min d'avance sur une chaîne anglaise ;
  • Peu-importe que Larry Silverstein, le récent propriétaire du WT7, ait affirmé avec un culot sidérant avoir pris l'initiative et la décision, de son propre chef, de demander aux pompiers de démolir le bâtiment, car il était en proie à trop de flammes. Il se trouve que selon l'avis de nombreux experts en démolitions, l'effondrement de cette tour, filmé en vidéo, a toutes les caractéristiques d'une démolition contrôlée. Or, il faut savoir que pour mettre en œuvre la démolition contrôlée d'un tel bâtiment, cela demande des jours de préparation complexe et minutieuse, avec des calculs de charges très précis, réalisés par des spécialistes de la démolition... Ça ne peut donc certainement pas s'improviser en l'espace de deux heures ! Rien que ce seul fait est une preuve manifeste et définitive de l'ensemble de la manipulation ;
  • Peu-importe que les tours jumelles n'étaient plus du tout aux normes et qu'elles devaient être désamiantées. Une opération astronomique et tout simplement ruineuse, qui revenait même plus cher que de les détruire et de les reconstruire intégralement ! De plus, trente ans après leur construction, les immeubles du complexe du "World Trade Center" étaient devenus obsolètes par rapport aux nouvelles normes de construction. Ils constituaient un véritable gouffre financier, rien que pour chauffer l'ensemble des 4000 m2 de bureaux. Pour une mise au normes, l'autorité portuaire aurait dû dépenser jusqu'à 800 millions de dollars en câblages électriques, en communication électronique et en systèmes de climatisation ;
  • Peu-importe que ce jour là du 11 septembre, il y ait eu bien moins d'employés de bureau dans les tours qui se soient rendus au travail que le reste du temps, comme si certains avaient eu vent de l'attaque avant même qu'elle ne se produise ;
  • Peu-importe que contrairement à ce qui a été affirmé, le feu ne peut en aucun cas être la cause de l'affaissement d'une telle structure. Ainsi, à Madrid, par exemple, un immeuble avec une structure en acier comparable à celle des tours jumelles a lui été ravagé pendant plus de 20 heures par les flammes d'un incendie très virulent. Le bâtiment s'est embrasé comme une gigantesque torche sur toute sa hauteur, avec un temps de combustion bien plus long que celui des tours jumelles, sans pour autant s'effondrer. La structure porteuse était toujours bien en place. D'autre part à en croire la couleur des fumées sur les vidéo des deux tours après les impacts des avions, le feu n'était pas si virulent. Tout indique qu'il manquait en fait d'oxygène ;
  • Peu-importe que le point de fusion de l'acier des tours soit à 1480 degrés, alors que le kérosène ne peut brûler en condition optimale qu'à 820 degrés Celsius ;
  • Peu-importe que l'on ait retrouvé des traces de l'usage de Thermite, un explosif exclusivement militaire pouvant atteindre les 2.200 degrés, à base de poudre d'aluminium, d'oxyde de fer et de soufre dans les décombres fumantes des tours. Ainsi Niels Harrit, un chercheur de l'Université de Copenhague au Danemark, a retrouvé cette substance dans ses analyses en laboratoire des poussières prélevée sur le site de Ground Zero ;
  • Peu-importe que des personnalités et des intellectuels de premier plan, tels que Noam Chomsky, l'ancien vice-président du sénat américain Walter Mondale, le député européen Giulietto Chiesa, ou encore le général Wesley Clark mettent en doute différents aspects de la thèse officielle et des travaux de la commission d'enquête ;
  • Peu-importe que des pilotes chevronnés de haut-vol tels que Marianne Shaw, une pilote multi-championne d’Europe de voltige, ou bien Adam Shaw, un pilote américain de voltige et instructeur de vol, ou encore Michel Charpentier, un pilote de ligne avec 13000 heures de vol sur des longs courrier, affirment que la manœuvre d'approche de l'avion qui aurait frappé le Pentagone est hautement improbable, voir tout simplement impossible à réaliser, surtout pour un néophyte ! Or, il s'avère justement que le témoignage de l'instructeur de vol particulier de Mohammed Atta As-Sayed, rapporte que ce dernier, terroriste présumé et auteur de la manœuvre en question, qui était aux commandes de l'avion pendant l'attaque, était un pilote exceptionnellement médiocre, à peine capable de piloter un petit avion de tourisme ;
  • Peu importe que le profil de certains des dits terroristes ne cadre pas du tout avec celui d'Islamistes radicalisés de la mouvance Salafiste. En effet, ces derniers auraient passé la veille de leur attaque en boite de nuit à faire la fête et à boire de l'alcool. D'autres étaient connu comme étant de bon vivants, amateurs de spiritueux et de drogues comme la cocaïne ;
  • Peu-importe que des pirates de l'air armés de simples cutters, aient pu miraculeusement s'emparer et prendre le contrôle de 4 avions de ligne, en maîtrisant leurs équipages ;
  • Peu-importe que la famille de Ben Laden soit très proche de celle de Bush, qu'ils aient eu des intérêts financiers communs dans le même fond de gestion des actifs, le groupe "Carlyle" ;
  • Peu-importe qu'Al Qaïda soit à l'origine, une création de la CIA et du stratège Zbigniew Brzeziński datant des années 80 pour combattre la Russie en pleine guerre froide ;
  • Peu-importe que l'espace aérien du Pentagone soit le plus surveillé au monde et que pourtant, aucune capture vidéo exploitable ne soit disponible, sauf une malheureuse vidéo de bien piètre qualité et d'une très mauvaise définition. Cette dernière fut filmée à partir d'une station essence voisine. Les autres vidéos des 83 autres caméras de surveillances auraient été confisquées par le FBI, classées secret défense et on se demande bien de quel droit ;
  • Peu-importe que le trou laissé par l'avion sur la façade du Pentagone soit large d'environ 4m50, ce qui ne correspond en rien aux 38 mètres d'envergure d'un avion 757 avec ses ailes déployées. Ces dernières ayant vraisemblablement disparues. Devant l'étonnement de certains observateurs, on a affirmé qu'elles se seraient vaporisées sous l'effet de la vitesse et du choc et ce sera bien la première fois dans l'histoire de l'aviation qu'on aura pu assister à un tel phénomène ! De même, on ne pourra que s'étonner qu'au sol, sur les vidéos diffusées dans les médias juste après l'attaque, il n'y ait aucun impact crédible constatable d'un supposé crash d'avion de ligne. On a tout juste eu le droit à la diffusion de photos présentant quelques morceaux de tôle froissée, histoire de donner le change. Mais nulle trace des réacteurs, des moteurs, des boîtes noires, alors qu'ils constituent pourtant les pièces les plus robustes d'un appareil. Aucun bagages non plus, ni même cadavres de passagers. Au lieu de cela, une pelouse impeccable et une série de lampadaires aux abords direct du Pentagone qui n'ont même pas étés pliés par le passage au ras du sol du supposé avion ;
  • Peu-importe que les conditions de l'assassinat de Ben Laden au Pakistan par les services de la CIA et une équipe de Navy Seals, en mai 2011, soient des plus rocambolesques. Pourquoi donc avoir éliminé l'homme le plus recherché de la planète, plutôt que de le neutraliser, afin de lui soutirer quelques précieuses informations sur les réseaux terroristes. Pourquoi diable avoir balancé son corps en mer pour qu'il aille nourrir les poissons. Par ailleurs, des photos truquées sous Photoshop du cadavre de Ben Laden, le visage ensanglanté et tuméfié ont circulé dans un premier temps dans la presse pour accréditer sa mort effective ;
  • Peu-importe que la puissante machine de propagande Hollywoodienne ait eu besoin d'être déployée pour tourner à plein régime, en produisant à postériori, 4 films dramatiques jouant sur les émotions des spectateurs, afin de donner plus de crédibilité à la version officielle des événements. Ainsi, dans les salle obscures, nous avons vu défiler, les films "United 93" de Paul Greengrass, "World Trade Center" d'Oliver Stone, "Zero Dark Thirty" de Kathryn Bigelow et "11 septembre" de Martin Guigui ;
  • Peu-importe qu'un an avant la survenu des attentats du 11 septembre 2001, le PNAC, "Projet pour un Nouveau Siècle Américain", un Think-tank néo-conservateur ait parlé dans un document officiel intitulé "Reconstruire les défenses de l’Amérique" d'une stratégie visant à conserver la domination des États-Unis sur le reste du monde en exposant la nécessité d'un "Nouveau Pearl Harbor" « De plus, le processus de transformation, même s'il apporte un changement révolutionnaire, sera probablement long en l'absence d'un événement catastrophique et catalyseur - comme un nouveau Pearl Harbor » ;
  • Peu-importe que le Général 4 étoiles Wesley Clark ait révélé sur une vidéo qui circule sur Internet, qu’un plan du Pentagone et des néo-conservateurs était prêt et déjà établi en 2001. Il visait à attaquer 7 pays du Moyen-Orient sur 5 ans, dont la Syrie, le Liban, la Libye, la Somalie, le Soudan et l’Iran. Les choses se sont mal passées en Irak ce qui n’a pas permis de mener à terme l’ensemble de ce plan. Ce plan a néanmoins détruit l’Afghanistan, l’Irak, la Libye, la Syrie… et causé des millions de morts ;
  • Peu-importe qu'il est avéré que tout au long de l'histoire, le gouvernement et l'appareil d'état américain n'ont jamais cessé de mentir pour provoquer et justifier leurs guerres… Que cet événement dramatique a servi pour mettre sur pied une politique interventionniste dans les pays du Moyen-Orient, avec de vastes intérêts géopolitiques et économiques à la clé ;
  • Peu importe qu'en 2003, soit deux ans après la tragédie du 11 septembre, le secrétaire d'État Colin Powell ait fait peur au monde entier en agitant, dans une scène surréaliste, devant l'ONU sa redoutable fiole présumée d'Antrax, censée prouver l'existence "d'Armes de Destruction Massive Biologiques" détenues par Sadam Hussein. Un mensonge de la CIA, qui servira entre autre de prétexte pour appuyer une invasion armée en Irak comme le mensonge des couveuses au Koweit avait servit de prétexte pour motiver la première guerre du Golf ;


Cependant, si vous avez le moindre doute concernant un seul de ces points soulevés plus haut, alors vous êtes à en croire les médias, un parfait abruti, un exalté ou un paranoïaque fou... Vous faites parti de la grande famille des complotistes, des amateurs de la théorie du complot. Vous êtes sans doute un monstre dénué de toute compassion pour les 3000 victimes décédées ce funeste jour, ou alors, il se peut même que vous soyez un agent Iranien ou encore pire, un nervi d'extrême droite, ou un terroriste qui s'ignore !


Peu importe en effet, que le récit de la version officielle soit contradictoire et hautement improbable, qu'il soit lacunaire, partiel, incohérent, qu'il défie le bon sens, la raison et les lois de la physique ! Oui, peu importe ! Tout questionnement devient hautement suspect et le fruit d'un cerveau malade, qu'il convient d'isoler et de traiter au plus vite, de peur qu'il ne contamine le reste du corps social.

Dans cet univers Orwellien, les désinformations des médias aux ordres doivent être considérées comme vérités d'évangile, tandis que les vérités révélées par des médias alternatifs et des chercheurs indépendants, doivent être considérées d'office comme de pures affabulations. Ainsi, seule la vérité de Big Brother compte, même si ce dernier vous martele que 2 et 2 font 5, tout comme deux avions détournés font trois tours détruites. C'est la référence ultime, une parole auto-référentielle, presque de nature divine, une parole qui ne souffre d'aucune remise en cause sous peine d'excommunication.


Désormais, c'est Big Brother et ses agents médiatiques qui redéfinissent le cadre de votre réalité.



Il faut aussi préciser que cette liste d'anomalies et d'aberrations est loin d'être exhaustive et qu'un livre complet ni suffirait probablement pas pour démasquer toute l'ampleur de cette imposture, qui constitue sans doute le plus grand mensonge médiatique et la plus grande mystification de toute l'histoire !

On pourrait même dire qu'il s'agit sans doute là d'une opération psychologique réalisée à grande échelle d'évaluation des foules, visant à tester la crédulité générale de l'opinion publique, sa soumission aveugle à l'autorité et son manque de réaction.


Malgré toutes les informations qui resteront en suspend autour de ces sanglants événements dont nous n'aurons sans doute jamais le fin mot de l'histoire... Une chose est sûre : cette tragédie démontre de manière éclatante, le peu de considération que les puissants de ce monde ont pour la vie humaine... Car, force est de constater, qu'ils n'hésitent pas une seule seconde à sacrifier des milliers de vies sur l'hôtel de leurs profits et pour faire avancer leurs obscures dessins géopolitiques, voir pour réaliser leurs visions et ambitions d'ordre messianiques, comme on avait pu le constater, avec les envolées mystiques d'un Georges W. Bush, confiant à un Jacques Chirac incrédule, que les temps de "Gog et Magog" et de l'Armageddon étaient en passe de s'accomplir...

On aura aussi, au passage, une pensée émue pour tous les braves pompiers et bénévoles, qui sans protection, sont allés au péril de leur vie, déblayer le site de Ground Zéro. Ces malheureux dans leur générosité, ont eu la faiblesse de croire aux discours faussement rassurants des autorités, leur affirmant qu'ils ne risquaient rien. En inhalant les vapeurs et les poussières toxiques qui émanaient de Ground Zéro, beaucoup ont développé dans les années suivantes de foudroyants cancers et y ont laissé leur peau...

Et pour tous ceux qui fustigent de "Complotistes" les personnes critiques qui osent remettre en question la nature et le déroulement plus que troublants de ces événements... Il est à noter, au passage, que la théorie officielle, relève en soit elle aussi d'une théorie de la conspiration islamiste. Celle-ci est basée sur le postulat que 19 redoutables pirates de l'air Arabes, armés de simples cutters, auraient détourné 4 avions de ligne. Aucun d’entre eux ne sachant pourtant piloter efficacement un simple avion de tourisme... Ils auraient néanmoins miraculeusement perpétré le crime du siècle, en effectuant des manœuvres improbables, le tout orchestré de main de maître par un super cerveau machiavélique, Ben Laden, alors sous dialyse, mais supervisant les opérations à partir d'une obscure grotte en Afghanistan.

Néanmoins, il y en aura toujours pour s'indigner que l'on puisse oser soulever de telles questions, car il y a eu les morts des avions, qui sont bel et bien disparus, arrachés à leur familles et que ce serait faire grandement offense à leur mémoire. À ceux-là, je leur répondrais que je ne conteste certainement pas leur mort, mais que ce serait à une véritable enquête, digne de ce nom, qu'il reviendrait de déterminer les conditions dans lesquelles ces victimes sont disparues. Elles mériteraient bien justement ainsi que leurs familles, d'obtenir la pleine et entière vérité sur les circonstances de leur mort et c'est là leur rendre le plus bel hommage posthume.




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