Jeffrey Epstein, les réseaux pédophiles d'élites



« Le secret des grandes fortunes sans cause apparente, est un crime. » Honoré de Balzac

Abordons maintenant le cas de l'affaire du milliardaire américain Jeffrey Epstein, figure de la Jet Set mondialisée, membre des très puissants cénacles mondialistes, le CFR (conseil des affaires étrangères) mais aussi de la Commission Trilatérale. Son arrestation constitue un véritable séisme outre atlantique, de par l'ampleur du scandale, le caractère explosif de ses révélations et de par l'identité des puissantes personnalités impliquées. Cet ancien trader et homme d'affaires a été arrêté pour la seconde fois, pour proxénétisme et trafic sexuel sur mineurs, avec la mise en place d'un réseau d'esclaves sexuels.

Déjà accusé il y a plus de dix ans de recourir aux services de dizaines de prostituées mineures, dont certaines avait juste 12 ans, notamment dans sa grande demeure de Palm Beach, en Floride, Jeffrey Epstein avait déjà été condamné en 2008 à une peine symbolique, parfaitement dérisoire de seulement 18 mois de prison. Epstein avait bâti sa fortune sur la finance, la spéculation et le trading. Il possède de multiples et grandioses propriétés tant à New York, qu'à Paris, dans les Îles Vierges, au nouveau Mexique, ou en Floride…

Encore un membre de l'élite qui, pour couvrir ses turpitudes, se plaisait à se faire passer pour un philanthrope, un généreux donateur de fondations de bienfaisance. Epstein faisait en effet partie de la "Fondation Hillary Clinton", sensée venir en aide entre autres, aux enfants démunis d'Afghanistan et d'Haïti... 

Très proche des puissants de ce monde, son prestigieux carnet d'adresses comprenait des prix Nobel, des célébrités de cinéma, des chefs d’entreprise, des intellectuels, et même des têtes couronnées et des présidents ! Il serait ainsi un ami de Bill Clinton et du Prince Andrew d'Angleterre, le fils de la reine Elizabeth II

Epstein serait à la tête d'un réseau de rabatteurs d'enfants et affréterait son avion privé, baptisé le "Lolita Express" (en référence au livre sulfureux de Vladimir Nabokov, dont le thème était une relation pédophile et qui sera adapté par Kubrick au cinéma), pour organiser des parties fines privées, où il fournirait en chair fraîche et en jeunes filles, sa riche clientèle. 

Parmi son carnet d'adresses, consigné dans un livre noir, on trouve une centaine de prestigieux noms tels que Ted Kennedy, le frère de JFK, les acteurs Dustin Hoffman, Woody Allen, Alec Baldwin, Ralph Fiennes, Kevin Spacey, Christophe Lambert, Naomi Campbell, Courtney Love ou Chris Tucker, les politiciens, Peter Soros, le neveu de Georges Soros (milliardaire qui a financé Macron), l'actuel président Donald Trump, Barack Obama, le Prince Bandar d'Arabie Saoudite, l'ancien premier ministre israélien Ehud Barack, Tony Blair, Henry Kissinger, John Kerry, David Rockefeller, Richard Branson, Édouard de Rothschild, les musiciens Mick Jagger, Phil Collins, Mickael Jackson, l'éminent scientifique Stephen Hawking, etc.

L'ancien président Bill Clinton serait un habitué de ces vols (et de ces viols) : il aurait emprunté le "Lolita Express" à vingt-six reprises, comme le stipulent les enregistrements du carnet de vol. Il se serait à cinq reprises passé des services secrets qui l'accompagnent habituellement en toutes circonstances, ce qui est contraire aux procédures habituelles et doit être dûment justifié.

Epstein conduirait aussi ses fortunés clients au cœur des îles Vierges, (qui portent pour le coup, bien mal leur nom!) sur son île privée de "Little Saint-James", surnommée par les locaux de "l’île des pédophiles" ou encore, "l'île des orgies". Dans ce lieu isolé, à l'abri des regards indiscrets, est édifié un bien mystérieux temple abritant un vaste réseau de salles souterraines et dont l'architecture est directement inspirée par celle du Hammam Yahl Bugha. Sur les images aériennes hautes définition prises par des drones, au centre de l'île, on peut clairement distinguer un immense et très mystérieux cadran solaire circulaire, avec des bancs positionné tout autour du cadrant et un bloc de pierre placé en évidence sur la position de minuit, ce qui peut faire penser à un lieu de culte. Cette île serait réputée être un endroit de débauche et de luxure, le paradis des plaisirs interdits, avec de très nombreuses chambres équipées de caméras, sans doute pour jouer les maîtres chanteurs, en filmant des scènes sexuelles compromettantes impliquant de hautes personnalités.

Dans une émission à la TV américaine, une certaine Kendall a témoigné dans l'émission du Dr Phil., en parlant de fêtes orgiaques impliquant des enfants qui s'organiseraient sur ces îles. Ils seraient torturés et violés par de hauts fonctionnaires de la justice, des sportifs célèbres, des personnalités politiques américaines importantes et des notables.

Par ailleurs, il faut savoir que juste avant son arrestation, l'année dernière, Jeffrey Epstein aurait commandé jusqu'à 100.000 dollars de ciment pour combler les tunnels souterrains de son île, soit l'équivalent de 120 camions.

Epstein avait recourt aux services de Ghislaine Maxwell, la fille du milliardaire Robert Maxwell qui lui servait d'entremetteuse pour alimenter en filles le trafic sexuel. Cette dernière est soupçonnée d'avoir organiser un réseau international d'exploitation sexuelle de filles mineures.

Ce grand malade mental avait pour projet de mettre en place sa propre usine de fabrication de bébés. Il aurait confié à des scientifiques et à des hommes d'affaires qu'il souhaitait exploiter sa vaste propriété, le ranch Zorro au Nouveau-Mexique, pour mettre en œuvre ce projet fou. Epstein voulait engrosser 20 femmes en même temps, pour qu'elles tombent enceintes de ses enfants. Il espérait ainsi ensemencer la race humaine de son ADN si précieux de psychopathe. Les femmes seraient inséminées avec son sperme et donneraient naissance à ses bébés, ont déclaré au journal le Times, deux grands scientifiques et un important conseiller en affaires. Il n'avait cependant pas précisé si le mode de conception impliquerait qu'il couche avec chaque femme, ou si elles devaient être inséminées artificiellement. Il avait aussi visiblement pour projet de cryogéniser son pénis après sa mort.


Voici une toile figurant Bill Clinton, d'un goût plus que douteux, retrouvée dans une propriété de Epstein.

Comme on pouvait s'y attendre, l'homme à été retrouvé "suicidé" dans sa cellule, alors même qu'il devait être placé sous étroite surveillance, dans un quartier de haute sécurité et une cellule anti-suicide de la prison fédérale de New-York, étant donné la portée potentielle de ses révélations et de son témoignage. L'établissement pénitentiaire dont il est question, le "Metropolitain Correction Center", n'a jamais enregistré un seul cas de suicide en 40 ans, il porte le surnom du Guantanamo de New York, tant son niveau de sécurité est réputé inviolable. 




Et on voudrait nous faire avaler que les caméras étaient malencontreusement en pannes et que les gardiens avaient décidés de tous dormir en même temps, sans se relayer. De plus, il faut savoir que la configuration des cellules est justement étudiée dans les moindres détails pour rendre impossible tout suicide, avec des plafonds très hauts et strictement rien pour accrocher la moindre corde, des vêtements spéciaux, des stylos en plastique, etc...

Par ailleurs, il est donc tout simplement inconcevable et risible qu'il soit parvenu à se suicider, sachant qu'il avait déjà fait une prétendue première tentative, et que la sécurité et la surveillance devait être encore plus vigilante. 

Epstein n'avait rien d'un prisonnier de droit commun. Il s'agit d'une affaire du niveau de la sécurité nationale, pouvant faire tomber des têtes, au plus haut niveau des états. Et on veut nous faire croire que le bonhomme, qui avait tout d'un pervers en puissance et donc pas du tout le profil d'un suicidaire dépressif, aurait été soudainement perclus de remords et aurait mis brutalement fin à ses jours...



On pourra aussi s'étonner du peu de ressemblance entre la photo officielle du cadavre et les photos d'Epstein, notamment au niveau de la courbure du nez, de son oreille et même de son implantation de cheveux...

Rien ne colle, tout simplement !

Bref, la thèse du suicide est tout simplement UBUESQUE ! 


Il faut croire que de nos jours, le mensonge ne s'encombre même plus de crédibilité ou de cohérence

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