L'attrait pédophile très prononcé de certaines élites...

 « Le poisson pourrit toujours par la tête. » Proverbe chinois

« La France est l'eldorado des pédophiles. » Marie Grimaud, avocate pénaliste de l'association Innocence en danger
« Il vaut mieux violer un enfant que de dealer ses grammes de shit dans la rue. La sanction est beaucoup plus lourde pour le dealer que pour celui qui viole un enfant. C'est une réalité, il est temps de l'affronter et peut-être que nous aurons moins de drames comme celui d'Angélique. » Marie Grimaud

Force est de constater qu'il existe une tendance de fond concernant la pédophilie chez les élites, qui semble tout simplement endémique dans certains milieux germanopratins de la politique et du showbiz. Ces gens qui, comble de l'audace, non-content d'avoir de telles mœurs, complètement dissolues, abjectes et décadentes, n'hésitent jamais à s'ériger en autorité morale supérieure, pour faire la leçon au populo ! Ces gens-là, donnent vraiment la nausée… Parmi eux, on peut compter, Daniel Cohn-Bendit, Frédéric Mitterrand, Jack Lang, Michel Polac, Gabriel Matzneff, dont voici quelques citations sans la moindre ambiguïté, car ces gens-là, forts d'un sentiment d'impunité totale, ne se cachent même pas de leurs turpitudes. Certains en viennent même à l'écrire noir sur blanc dans des livres, ou à en parler librement et ouvertement sur des plateaux de télévision.





On peut ainsi retrouver des extraits vidéos d'archive de Daniel Cohn-Bendit, parlant avec enthousiasme, de ses expériences dans des crèches alternatives en Allemagne, où il pratiquait une forme de pédagogie assez particulière avec les enfants : « Il m'était arrivé plusieurs fois que certains gosses ouvrent ma braguette et commencent à me chatouiller. Je réagissais de manière différente selon les circonstances, mais leur désir me posait un problème. Je leur demandais : "Pourquoi ne jouez-vous pas ensemble, pourquoi m'avez-vous choisi, moi, et pas d'autres gosses ?" Mais s'ils insistaient, je les caressais quand même. » On ne peut qu'être saisi de stupeur, d'effroi et d'un profond dégoût en visionnant cette séquence d'aveux filmés et publics de Dany Le rouge, que le plateau d'une vieille émission littéraire d'Apostrophes. Loin de se scandaliser de telles déclarations, et c'est encore bien là le plus choquant de toute cette affaire, cet aréopage d'intellectuels, fait preuve d'une extrême complaisance vis-à-vis de Cohn-Bendit. Ils semblent même goûter ces propos, pourtant parfaitement abjectes. Certains sont tout bonnement hilares, ce qui en dit très long, sur le réel degré de pourrissement de ces soi-disant élites culturelles et intellectuelles ! Autre infâme déclaration de Cohn-Bendit, toujours dans Apostrophe : « Quand une petite fille de 5 ans commence à vous déshabiller, c'est fantastique. C'est fantastique, parce que c'est un jeu absolument érotico-maniaque. »


Dans le domaine, Jack Lang n'est pas non plus en reste avec cette déclaration : « La sexualité puérile est encore un continent interdit, aux découvreurs du XXIe siècle d'en aborder les rivages. » L'ancien ministre de la Culture, est aussi nommément accusé, sur l'honneur, de pédocriminalité, dans un discours prononcé en 1998 par un certain Roger Holeindre, un ancien membre du FN (ce qui ne retire d'ailleurs rien à la véracité des faits rapportés, car la sincérité, le dégoût et la colère bien légitimes de Holeindre sonnent très justes) d'être directement impliqué dans l'affaire du Coral, où l'on a retrouvé un gamin mort sodomisé et croupissant dans un saut de merde ! Jack Lang n'a jamais engagé la moindre poursuite contre ces accusations publiques d'une extrême gravité, ce qui leur confère une forte crédibilité. Cette affaire des « ballets bleus du Coral » est une sordide affaire d'abus sexuels sur mineurs qui s'est déroulée dans un lieu de vie éducatif alternatif fondé par des éducateurs soixante-huitard anticonformistes. « Parce qu'il y a encore 10 ans, hein, il existait une morale... Comme tout est parti à vau-l'eau, on arrive aujourd'hui à ce que l'on prostitue des gamines de 3, 4, 5, 6 ans. Une région du monde qui permet ce genre de choses, est condamnée à mort tôt ou tard et ça aussi, il faudra bien l’arrêter. Mais, ne croyez pas que je sois axé principalement là dessus, mais je trouve que c'est une des choses les plus dégueulasses. Monsieur Jack Lang qui prétendait être candidat à la présidence de la République, que l'on m’arrête à la sortie si ce que je dis n'est pas vrai, a été compromis dans l'affaire des lieux de vie, et dans un lieu de vie tenu par des socialistes qui s’appelait le Coral. Et là, des gamins étaient prostitués à des gens comme Jack Lang et un gosse a été trouvé mort ! Sodomisé, la tête dans un seau de merde ! Que l'on m'arrête à la sortie si cela n'est pas vrai ! »


Poursuivons notre tournée des ordures, avec cette fameuse citation, tirée du livre autobiographique "La mauvaise vie" de Frédéric Mitterrand, qui semble tout particulièrement affectionner le tourisme sexuel en Thaïlande : « Tous ces rituels de foire aux éphèbes, de marché aux esclaves m'excitent énormément. La lumière est moche, la musique tape sur les nerfs, les shows sont sinistres et on pourrait juger qu'un tel spectacle, abominable d'un point de vue moral, est aussi d'une vulgarité repoussante. Mais il me plaît au-delà du raisonnable. La profusion de garçons très attrayants, et immédiatement disponibles, me met dans un état de désir que je n'ai plus besoin de refréner ou d'occulter. L'argent et le sexe, je suis au cœur de mon système. »


Dans une émission, "93 Faubourg Saint-Honoré" de Thierry Ardisson sur Paris Première, Frédéric Mitterrand récidive avec une blague très douteuse, en affirmant que les rapports sexuels, « au-dessus de 14 ans, c'était dégueulasse ! » On ne peut légitimement que craindre le pire pour ces deux fils tunisiens, Saïd et Jihed, issus de la même fratrie, qu'il a réussi à adopter sans la moindre difficulté, alors que c'est absolument proscrit par la loi Tunisienne, le pays d'origine des deux garçons et malgré la teneur de ses écrits et ses confessions... La loi locale stipule pourtant que pour pouvoir adopter, il faut être un couple marié, obligatoirement musulman, ayant un écart d'âge de 15 ans au minimum avec l’enfant. Pour finir, l'enfant doit aussi être légalement abandonné, ou tout simplement orphelin. Ces deux adoptions de la part de Frédéric Mitterrand, ne répondant à strictement aucuns de ces critères, elle ne peuvent être que le fruit d'une corruption avec la junte en place ! Comme quoi l'argent permet de tout acheter en ce bas monde…

Évoquons maintenant le cas du cinéaste Roman Polanski, aux prises avec la justice américaine et qui avait été contraint de prendre la fuite des États-Unis pour se soustraire à la justice du pays. Il est coupable d'avoir drogué et sodomisé une adolescente de 13 ans en 1977 dans la demeure de l'acteur Jack Nicholson. Lorsque cette sordide affaire est remontée à la surface médiatique, il fut vigoureusement défendu par toute l'intelligentsia germanopratine parisianiste, Bernard-Henri Lévy et Frédéric Mitterrand en tête. Le cinéaste n'aime pas trop que l'on évoque ce sulfureux passé comme on peut le voir lors d'une interview avec Léa Salamé où il n'hésite pas à menacer à demi-mots cette dernière lorsqu'elle évoque cette question.


Il en fut de même pour le réalisateur New-yorkais Woody Allen, qui a épousé Soon-Yi, la propre fille adoptive de son ex-femme, Mia Farrow. Le cinéaste est aussi accusé d'attouchements par Dylan Farrow, une autre de ses filles adoptives, alors qu'elle était âgée de 7 ans. Encore une fois, c'est Jack Lang qui est monté au créneau pour défendre bec et ongles Allen, ce qui doit s'en doute en dire long sur ses propres turpitudes…

En outre, dans leur livre "Le nouveau désordre amoureux", des philosophes comme Pascal Bruckner ou Alain Finkielkraut écrivaient à propos de la pédophilie que c'était : « Une fantaisie sexuelle qu'on devrait pouvoir s'autoriser. »


Gabriel Matzneff quant à lui, déclamait cette véritable ode à la pédophilie : « coucher avec un ou une enfant c'est une expérience hiérophanique, une épreuve baptismale, une aventure sacrée. Le chant de la conscience s'élargit, les remparts flamboyant du monde (Lucrèce) reculent. » Quant à Michel Polac, Daniela Lumbroso a révélé dans son journal N°147 cet extrait « Oui, j’ai vécu cela à 14 ans avec I. J’ai défailli comme on disait au XVIIIe siècle, rien qu’en frôlant son ventre nu avec mon ventre. De même avec un autre I. à 28 ans, il avait 18 ans environ, mais ce fut moins foudroyant, car je l’avais pris pour un tapin : et enfin à 40 ans, avec ce curieux gamin un peu bizarre, sauvage, farouche, un rien demeuré, fils de paysan, orphelin peut-être, qui devait avoir 10, 11 ans, peut-être moins, et qui m’a si étrangement provoqué jusqu’à se coucher nu dans ma chambre d’hôtel en me racontant une obscure histoire de relation sexuelle avec un homme de son entourage et je me suis rapproché de lui, et il était nu sur le côté, et j’ai seulement baissé mon pantalon et ai collé mon ventre contre son cul, et j’ai déchargé aussitôt, en une seconde, dans un éblouissement terrible, et il a eu un petit rire surpris comme s’il s’attendait à ce que je le pénètre, il paraissait si expérimenté, si précocement instruit, tout en ignorant ce que cela signifiait, tout en étant capable de préciser ce qu’il savait ou voulait. »


Mais ce n'est pas tout, on a aussi vu Elisabeth Badinter dans son ouvrage "XY de l’identité masculine", faire cette  stupéfiante déclaration à propos de la maternité : « Le lien érotique entre la mère et l'enfant ne se limite pas aux satisfactions orales. C’est elle qui, par ses soins, éveille toute la sensualité, l’initie au plaisir, et lui apprend à aimer son corps. La bonne mère est naturellement incestueuse et pédophile. »




Dans les années 70, le journal Libération, dans la dynamique de la libération sexuelle et de tout cet élan de pratiques libertaires et transgressives, avait fait une promotion sans détour de la pédophilie. Le journal cherchait sans doute à normaliser cette déviance et à la faire passer pour une orientation sexuelle comme une autre... On avait ainsi retrouvé dans les colonnes du journal, d'abjectes illustrations, dont un incroyable dessin du groupe Bazooka reprise de la revue Regards modernes, montrant très crûment une fellation réalisée par une petite fille, sous le titre « apprenons l’amour à nos enfants » (publié le 5-6 /11/1978 dans la page d’annonces "Taules"). En janvier 1979, un pédophile nommé Jacques Dugué, arrêté pour abus sexuels et accusé de faire partie d'un réseau de proxénétisme pédophile, publiait pendant deux jours dans les colonnes de Libération, une tribune libre, où il faisait l’apologie de la « sodomisation » d'enfants, affirmant que « l’enfant qui aime un adulte (...) aime ressentir dans son corps le membre viril de celui qu’il aime, d’être uni à lui, par la chair », et demande « qu’on arrête de persécuter ceux qui aiment les enfants, même s’ils les aiment aussi avec leur corps. » Jacques Dugué sera plus tard arrêté, pour une affaire de viol et de pornographie enfantine. En 2002, il sera condamné à trente ans de réclusion pour abus sexuels. Toujours suivant cette vague libertaire et très permissive, certains influents intellectuels avaient eu l'audace d'écrire des tribunes pour exalter "l'aventure pédophile". Ils avaient aussi lancé une pétition, en janvier 1977, pour plaider la cause de trois pédophiles coupables d'attentats à la pudeur sur mineur de moins de 15 ans. Plus tard, il y eu également une lettre ouverte, relayée dans les colonnes du journal, pour plaider à un assouplissement des lois concernant les détournements de mineur dans le sens « d'une reconnaissance du droit de l'enfant et de l'adolescent à entretenir des relations avec les personnes de son choix » cosignée par les intellectuels en vue du moment faisant partis du gratin du gaucho-freudisme post-soixante huitard, dont Jean-Paul Sartre, Françoise Dolto, Michel Foucault, Roland Barthes, Simone de Beauvoir, Alain Robbe-Grillet, Jacques Derrida, Jack Lang, Gabriel Matzneff, Philippe Sollers, Catherine Valabrègue, Louis Aragon, etc… D'ailleurs, en parlant de la célèbre pédiatre et psychanalyste Françoise Dolto, cette figure faisant autorité en matière de questions d'éducation des enfants, voici ce qu'elle écrivit dans son livre "La cause des adolescentes" à propos de relations consenties entre adultes et enfants : « Ce qu'il faudrait, c'est que la loi ne s'occupe plus de l'âge. Ne s'occupe seulement que de l'inceste, des relations entre parents proches, frères, sœurs, parents, oncles, tantes, mais qu'il n'y ait absolument rien entre adultes et enfants comme interdiction. » Dans son autre livre "L'enfant, le juge et la psychanalyste", elle soutient également cette thèse hautement contestable du consentement de l'enfant, dans le cadre d'une relation sexuelle avec un adulte. En effet, elle estime que, si l'enfant est informé des problématiques de la sexualité et de la pédophilie, il devient alors de fait, responsable et peut dès lors être considéré comme pleinement consentant dans la relation. Elle rejette ainsi le principe de l'irresponsabilité morale et juridique du mineur alors qu'il paraît pourtant évident qu'un enfant n’a ni la force physique, ni la maturité psychique pour repousser l'adulte… En outre, la séduction d'un enfant n'a rien à voir avec la sexualité d'un adulte ! « Si les enfants savaient que la loi interdit les privautés sensuelles entre adultes et enfants, et bien, à partir du moment où un adulte le lui demande, s’il accepte, c’est qu’il est complice, il n’a pas à se plaindre. Mais il peut avoir, sans se plaindre, à dire : « mais ça m’a fait très mal. – Oui. Pourquoi t’es-tu laissé faire puisque tu savais que ce n’était pas permis… À partir du moment où l’enfant est au courant, très jeune de la loi, il est complice et on peut l’aider beaucoup mieux. » l'aider au mieux à quoi au juste, à avouer qu'il est coupable de la situation, car complice  ?

De plus, il est aussi très intéressant et édifiant de se pencher un peu sur le cas de son fils, le chanteur Carlos, cette sorte de beignet libidineux à fleurs ambulant, indigeste car trop sucré, suintant l’humour gras, la vulgarité crasse et tout dégoulinant de médiocrité, pour voir les résultats de la mise en application des "bons" préceptes de Dolto en matière d'éducation… Ce dernier, avait visiblement quelques dérèglements en matière de sexualité, puisqu'il le chantait même toute honte bue, aux enfants dans les émissions du "Club Dorothée" ! Il parlait ainsi, à tout bout de champ, de son sexe, de manière à peine voilée, avec des textes bourrées de sous-entendus et d'allusions graveleuses dans des chansons grivoises comme "Tirelipimpon",  ou "Papayou"  et leurs paroles de haute volée, que vous pouvez retrouver en annexe de ce livre. Dans "Big Bisous", il demande à la fin de la chanson de donner un « baiser moelleux » sur le sexe aux personnes autour. Dans "tout nu, tout bronzé", il nous parle des « safaris Fesses parties ». Dans une autre vidéo on peut voir Carlos et Jean Edern-Hallier se congratulant mutuellement et avouant ouvertement leurs pratiques des ballets roses et bleus. Une fois de plus, personne sur le plateau télé ne fut choquée…

Beaucoup plus récemment, sur France 3, dans l'émission "Ce soir ou jamais" de Frédéric Taddeï, on a aussi pu voir l'avocat Thierry Levy se lancer dans un vibrant plaidoyer pro-pédophilie, ce dernier regrettant amèrement qu'il reste encore des gens pour s'offusquer de telles déviances : « Je parle de tolérance en général. La tolérance est quelque que chose qui en ce moment est en train de disparaître totalement. Et vous parlez des événements récents comme s'ils avaient libéré une situation bloquée jusque là. Mais il y a plus de vingt ans que le tourisme sexuel est réprimé, très sévèrement, très durement, impitoyablement. (…) Vous nous parlez de la beauté du monde, et de la beauté du sexe, mais concrètement, en actes, que faites-vous, que faites-vous sinon brandir sans cesse le bâton, le bâton de la morale. Mais oui, que faites-vous? (...) Sur les enfants, les enfants, la beauté du sexe sur les enfants …! Je pensais que le débat était très arriéré en Italie mais je m’aperçois qu'en France il est beaucoup … (...) Je vous en prie, le sexe avec les enfants, je vous en prie. Ce sujet-là est un sujet que l’on ne peut plus aborder aujourd’hui, plus personne n’ose parler de la sexualité des enfants. (...) On interdirait Pinocchio aujourd’hui … Il y a une espèce de chape de plomb qui tombe, comme ça, qui tombe de boucles blondes, n’est-ce pas, sur l’ensemble de la société, qui vient interdire tous les comportements un peu différents, un peu anormaux … Un peu différents … Mais bien sûr, et alors là chaque fois, on revient à la pédophilie. La pédophilie est un sujet qui est maintenant totalement interdit. C’est le politiquement correct. Vous ne pouvez plus dire un mot sur ce sujet, sans être diabolisé immédiatement. » un échange tout bonnement surréaliste...


Tout récemment, on peut aussi évoquer l'intervention sur RMC, le 15 novembre 2018 de Gérard Fauré, l'ancien délinquant et dealer du tout Paris, qui parle ouvertement de pédophilie d'élites et de réseaux d'esclaves sexuels au service de personnalités politiques, notamment à Marrakech au Maroc. Il confie que son père, qui était médecin, était régulièrement appelé pour réparer les séquelles des abus sexuels perpétrés sur les jeunes victimes. Il va jusqu'à incriminer des membres de la monarchie anglaise. Une monarchie qui est régulièrement cité dans des affaires de pédophilie… ce qui est tout à fait extraordinaire c'est que dans les médias, dénoncer ces réseaux, ces connivences évidentes, ces atrocités sans nom vous range d'office dans les médias comme un membre de la fachosphère.


Autre fait notable récent, qui démontre qu'il existe toujours un lobby pro-pédophile très actif et puissant, qui cherche à faire passez cette déviance pour une orientation sexuelle à part entière, afin de la normaliser dans la société : le prestigieux centre de conférences TEDx, à organisé, le 07 mai 2018 à l'Université allemande de Würzberg, une conférence autour de la pédophilie. La conférence qui comprend de nombreux passages surréalistes, fut animée par une certaine Mirjam Heine, qui a affirmé, qu'il ne fallait surtout pas amalgamer les pédophiles à des violeurs, que la pédophilie ne rimait pas forcément avec abus sexuels et qu'il existerait des actes pédophiles pleinement consentis par les enfants.
On ne s'étonnera pas outre mesure de trouver derrière TEDx, des financiers comme la fondation Rockefeller ou Bill Gates...





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