Pierre Bergé et Yves-Saint-Laurent, le couple infernal !


D'après le livre témoignage explosif de Fabrice Thomas, ancien chauffeur et amant d'YSL, mais aussi de Pierre Bergé : l'ancien propriétaire du monde et fervent militant de la cause homosexuelle, fondateur de la revue Têtu, président du Sidaction (cherchez l'erreur...), était aussi un très grand pervers et malade sexuel, qui possédait de nombreux esclaves sexuels à son service. Il s'agissait d'une condition sine qua non pour ses employés, s'ils escomptaient travailler à ses côtés et faire parti de son personnel.

Pierre Bergé, véritable sadique aimait tout particulièrement abuser de sa position de pouvoir pour humilier et rabaisser les autres.


Il aurait tourmenté Yves Saint-Laurent, son amant (oui, car tout le monde est amant avec tout le monde dans ce milieu...) pendant des années dans une relation amour/haine des plus tortueuse, tourmentée et malsaine. 

D'après le livre de témoignage de Fabrice Thomas, "Saint-Laurent et moi.", Pierre Bergé affectionnait tout particulièrement uriner sur ses partenaires sexuels et aurait même forcé YSL à manger ses excréments ! Suite à quoi, ce dernier lui aurait voué une profonde et tenace haine ce qui, il faut bien l'avouer, reste parfaitement compréhensible... 

De telles mœurs, complètement dissolues, font vraiment penser au film sulfureux et particulièrement éprouvant de Pasolini, "Salo ou les 120 journées de Sodome et de Gomorrhe" directement inspiré du Marquis de Sade.

Il faut bien comprendre que dans la psychologie de ces élites, ce qui les intéresse avant toute chose, c'est l'ivresse du pouvoir, l'ivresse de soumettre l'autre plus bas que terre. Le vrai pouvoir, le seul qui compte à leurs yeux, est l'abus de pouvoir ! Le pouvoir est un aphrodisiaque, il rend fou. Nous avons affaire, en réalité, à des sociopathes, dénués de la moindre capacité d'empathie et aux émotions complètement fausses et superficielles…

Ces gens-là sont atteints par un complexe de supériorité, ils ont le sentiment d'être au-dessus de la morale du commun des mortels, de la "Common Decency", la décence commune, si chère à Georges Orwell. C'est ce qui fait d'eux à leurs yeux des êtres supérieurs.

Affiche originale du film consacré à Yves Saint Laurent
on appréciera son rictus sardonique des plus malsain. L'affiche était sans doute trop explicite car ce n'est pas celle qui fut retenue
Nos deux compères complices, à noter l'expression des plus perverse et glaçante dans le regard de YSL !


C'est ce sinistre Bergé qui, en tant que grande autorité morale adoubée par le système, avait passé son temps à invectiver les opposants à la GPA dans les colonnes de son prestigieux journal, lors du Mariage pour tous, allant de déclarations fracassantes, en déclarations tonitruantes. Il s'était notamment fendu de cette stupéfiante sortie : « Louer son ventre pour faire un enfant ou louer ses bras pour travailler à l'usine, quelle différence ? » Soit une justification en règle d'une nouvelle forme d'esclavage et d'exploitation… 

Cet apôtre de la tolérance aurait aussi amèrement regretté qu'aucune bombe n'ait éclaté pendant le cortège de "la manif pour tous" : « Vous me direz, si une bombe explose le 24 mars sur les Champs à cause de la Manif pour tous, c'est pas moi qui vais pleurer. »


La vilaine Lulu

Yves Saint-Laurent, aurait lui été l'auteur d'une bande dessinée extrêmement curieuse, troublante et sulfureuse, "La Vilaine Petite Lulu", comprendre Lucifer, qui narre les tribulations d'une petite fille sadique et cruelle, au sourire sardonique. Cette petite peste prend un malin plaisir à faire le plus insondable mal, elle se donne vraiment beaucoup de peine et redouble d'ingéniosité pour accomplir ses méfaits. Tous les pires vices, turpitudes et atrocités de l'humanité y sont décrits par le menu : de la pédophilie, à la torture en passant par le meurtre, le sacrifice humain, le viol, le cannibalisme, le catharisme ou les messes noires sacrificielles. Parmi ses exploits : Elle enlève des gamins à la sortie des écoles pour les revendre à des réseaux de trafic humains, où il finissent dans des soirées de cérémonies sacrificielles occultes. Elle empoisonne le pape pour prendre sa place sur son siège, elle manipule les foules à l'aide de la télévision, elle achève les malade en tant qu'infirmière dans un hôpital, elle pend des enfants à des arbres ou s'amuse à les piétiner à l'aide de gros messieurs...

Si les dessins sont d'une facture très naïve, d'un trait maladroit et enfantin, la teneur des scènes décrites est d'une insoutenable violence. On pourrait croire à de la simple dérision, du pur second degré, un délire fantaisiste, à prendre au 10e degré, une simple provocation insolente de très mauvais goût... 

Mais, une note liminaire de la bande dessinée laisse entendre que c'est un peu plus que cela, car Yves Saint-Laurent y précise avec malice qu'il est inutile d’essayer de psychanalyser à travers son héroïne et que « Toute ressemblance avec des personnes qui existent ou qui ont existé est parfaitement voulue. Toutes ces aventures ont été tirées de faits réels. » 

Dans une interview filmée de l'époque, il précisera aussi, qu'il était tout à fait en accord avec la vision du monde de cette petite peste de Lulu. Décidément le vilain petit YSL aurait mieux fait de s'appeler Yves Malsain Laurent.

Épuisée un moment,  elle se vendait à prix d'or, comme un objet de collection hautement convoité avant d'être rééditée. Une édition signée de la main de Yves Saint-Laurent était vendue dans les 550 euros.
Cette BD, éminemment sulfureuse et choquante, ce concentré d'immondices, est très facilement trouvable dans les rayonnages jeunesse de la FNAC ou de Cultura !

On appréciera aussi tout particulièrement le traitement médiatique réservé à ces deux infâmes ordures, entre hagiographie, vénération et sainte déférence.








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