David Rockefeller et sa fondation
Décédé en 2017, à l'âge de 101 ans, David Rockefeller fut l'un des plus riche milliardaire au monde et un très beau spécimen de philanthrope-banquier, soit le plus parfait oxymore... Petite anecdote savoureuse, les origines de la puissante dynastie des Rockefeller sont déjà des plus douteuses, car la fortune du grand père, William Avery Rockefeller s'est bâtie en vendant des remèdes contre la constipation à base de pétrole brut, le Nujol. Des médecins découvrirent plus tard que le Nujol était nocif et provoquait des maladies graves… Soit de la pure charlatanerie ! Pour en revenir à David Rockefeller, ancien président de la Chase Manhattan Bank, il a créé le CFR (Council of foreign relations/Conseil des relations étrangères) et est aussi le cofondateur du fameux Groupe de Bilderberg avec le Prince Bernhard des Pays-Bas, un ancien haut dignitaire nazi. Ce club, très sélect, regroupe tous les ans le gratin des hommes politiques, des médias, des hommes de pouvoir et d'influence. Chaque année, ils se rassemblent pour discuter à huis clos d'un agenda secret et de grandes décisions pour la gestion de ce monde. Ces réunions ultra-confidentielles se déroulent toujours sous très haute surveillance et dans la plus parfaite opacité, soit de manière totalement non-démocratique ! On peut dire qu'avec sa fondation, David Rockefeller aura été à peu près dans tous les mauvais coups du siècle dernier. L'ambition déclarée de cette organisation serait pourtant de « promouvoir le bien-être de l'humanité dans le monde ».
Dès 1913, cette fondation de malheur a financé les programmes eugénistes américains, ainsi que la Société eugénique française. Elle a financé également les programmes eugénistes de l’Allemagne nazie, en aidant à la création et en finançant la Société Kaiser-Wilhelm. L'eugénisme allemand consistait à concevoir une race supérieure et trouver des moyens techniques pour tuer et stériliser ceux qui étaient jugés "inférieurs". En 1938, la fondation Rockefeller contribua également à l'institutionnalisation de l'eugénisme au Danemark, en finançant la création de l'Institut de génétique humaine de l'université de Copenhague.
l'Institut Tavistock, l'ingénierie sociale le contrôle mental des masses
Juste après la Seconde Guerre Mondiale, David Rockefeller s'est arrangé pour faire exfiltrer d’éminents scientifiques nazis, via le "Projet Paper Clip". Ils furent réintégrés dans des projets de recherche secrets, comme la conquête spatiale ou comme le "Projet MK Ultra", qui fut mené par la CIA en liaison avec l'Institut Tavistock et portait sur le contrôle et la manipulation mentale... Ce projet secret, mais déclassifié n'a pas hésité à prendre directement des citoyens américains non consentants comme de vulgaires cobayes ! Il faut aussi savoir que bon nombres de criminels scientifiques fascistes nazis, mais également provenant du Japon impérial (qui faisaient des recherches sur les armes chimiques avec l'unité 731) ne furent jamais inquiétés, ni jugés lors du procès de Nuremberg. Leurs connaissances étaient bien trop précieuses pour nos apprentis dictateurs ! Les savants nazis, ainsi recyclés dans le "monde libre" poursuivront de plus belle leur œuvre de mort et de destruction, mais de manière clandestine. C'est grâce à eux que les USA auront des connaissances scientifiques très poussées dans le domaine des fusées, des missiles et des drones… Des scientifiques tels que Wernher Von Braun, le spécialiste des missiles allemands V2, furent ainsi très chaleureusement accueillis, à bras ouverts, et très bien rémunérés pour continuer et perfectionner leurs recherches. Wernher Von Braun travailla ainsi au programme américain Apollo de la conquête spatiale. La fondation Rockefeller finança également l'Institut Tavistock, spécialisé en sciences sociales et dans la manipulation de l'opinion publique, des groupes sociaux et dans le contrôle mental. Après la première Guerre Mondiale, cet institut s'est consacré à l'étude des effets traumatiques sur les soldats britanniques revenant du front. Son but était d’établir le "point de rupture" de la psyché humaine en état de stress, sous la direction du Bureau de l’armée britannique pour la guerre psychologique. Ce point de rupture atteint, il deviendrait possible de reconditionner totalement un individu. L'Institut Tavistock avait mis au point de véritables techniques de lavage de cerveau, qui furent au départ utilisées expérimentalement sur les prisonniers américains de la guerre de Corée. Ses expériences de méthodes de contrôle des foules ont largement étés utilisées sur le public américain, avec des agressions furtives, mais néanmoins scandaleuses contre la liberté humaine, en modifiant le comportement individuel par une psychologie ciblée. En 1932, un réfugié allemand Kurt Lewin, devint directeur du Tavistock. Il fonda la clinique de psychologie d’Harvard, qui est à l'origine de la campagne de propagande pour monter les américains contre l’Allemagne et pousser à leur intervention dans le conflit. À la fin de la guerre, l'Institut Tavistock sera également à l'origine des bombardements massifs perpétrés sur les populations civiles allemandes alors même que le régime Nazi était déjà à l'agonie. Ces frappes auront pour effet de raser entièrement des villes telles que Dresde. Le but de telles abjections ? Une expérience clinique menée à grande échelle pour évaluer la terreur et les réactions des masses, avec archivage des résultats après observation des "cobayes" dans "des conditions de laboratoire contrôlées". Il s'agissait de briser la force psychologique des populations et de les rendres impuissantes, de casser tout ce qui peut structurer et stabiliser l'individu afin de l'affaiblir et de parvenir à un contrôle poussé sur les masses. L'Institut s'est aussi spécialisé dans la diffusion des drogues, utilisées comme outils de contrôle social. Il est à l'origine de toute la contre-culture des années 60, du phénomène Woodstock et de la diffusion du LSD. En 1951, dans le cadre de leurs recherches sur le LSD, la CIA n'a pas hésité à pulvériser et empoisonner par voie aérienne la petite bourgade française de Pont-Saint-Esprit, pour tester les effets de ces drogues, occasionnant crises de démence, hallucinations et même des morts ! Les habitants de la ville ont pensé à un empoisonnement aux ergot de seigle, avant que l'affaire ne soit déclassifiée bien plus tard et que l'on comprenne la véritable cause du problème. Ce genre de test de guerre bactériologique n'était pas exceptionnel, de nombreuses villes américaines ont fait l’objet d’expériences similaires, avec du LSD ou d’autres drogues. Autre haut fait de l'Institut Tavistock, l'épisode de la fausse invasion extraterrestre à la radio CBS, célèbre canular du réalisateur Orson Welles, réalisé pendant une lecture de "La Guerre des Mondes" de H.G. Wells, qui fut par exemple une opération psychologique commandité par l'Institut. Durant les années 1970, en bons eugénistes qui se respectent, les frères Rockefellers, avec Henry Kissinger, dirigèrent un Mémorandum top secret du nom de NSSM-200 sur les « implications d'une croissance de la population mondiale sur les intérêts sécuritaires et extérieurs des États-Unis. » pour s'alarmer de la croissance de la population dans les pays émergents qui constituait un grave péril. Cette augmentation étant alors jugée comme une « menace pour la Sécurité Nationale. » Ce programme a alors mis en place des plans de réduction de la population dans ces pays, en les imposants comme prérequis à l'obtention d'aides américaines. Ils ont ainsi développé des vaccins contre le tétanos, avec la complicité de l'organisation mondiale de la santé OMS, qui rendaient les femmes infertiles. Les chocs pétroliers de 1973-74 furent aussi orchestrés par le Groupe de Bilderberg. Le blâme dans l'opinion publique devait en être porté par les « cheikhs pétroliers arabes avides. » Or ces chocs pétroliers sauvèrent le dollar américain alors vacillant, et propulsèrent les banques de Wall Street, incluant la Chase Manhattan de David Rockefeller, au rang des plus grandes banques du monde. La fondation Rockefeller créa le champ tout entier de la manipulation génétique, à travers sa propriété sur la Société Monsanto, et en finançant les recherches biologiques universitaires afin de créer le "canon à gènes", et d’autres techniques qui devaient être utilisées afin d'altérer artificiellement l'expression génétique d'une plante donnée. Le but de ces manipulation sur le vivant étant en réalité de contrôler la chaîne alimentaire humaine et animale. Car, comme le disait si bien Henry Kissinger : « Si vous contrôlez le pétrole, vous contrôlez le pays, mais si vous contrôlez les semences, vous contrôlez l'alimentation. Et celui qui contrôle l'alimentation tient la population en son pouvoir. »
En procès depuis 2015, la fondation est accusée pour son rôle supposé dans l'affaire des Expérimentation sur la syphilis au Guatemala. En janvier 2019, la justice américaine accepte enfin d'ouvrir un procès contre la Fondation Rockefeller. Près de 700 cobayes, parmi lesquels des enfants, auraient été contaminés, sans leur consentement, pour vérifier l’efficacité de la pénicilline sur les maladies sexuellement transmissibles. Mondialiste convaincu, ce grand philanthrope à contribuer via sa Commission Trilatérale à la destruction des économies nationales, une politique qui ne bénéficie en réalité qu'aux grosses banques de Wall Street ou de la City de londre et à un petit cartels d'immenses firmes multinationales. Dans son autobiographie, "Mémoires", David Rockefeller avoue même, avec une morgue et une arrogance certaine : « Quelques-uns croient même que nous (la famille Rockefeller) faisons partie d’une cabale secrète travaillant contre les meilleurs intérêts des Etats-Unis, caractérisant ma famille et moi en tant qu’internationalistes et conspirant avec d’autres autour de la Terre pour construire une politique globale ainsi qu’une structure économique plus intégrée – un seul monde si vous voulez. Si cela est l'accusation, je suis coupable et fier de l’être ! »
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