La subvertion dans l'art et la mode

L'art comptant pour rien, mais valant une fortune !

« Les raffinés, les riches, les oisifs, les distillateurs de quintessence cherchent le nouveau, l'extraordinaire, l'original, l'extravagant, le scandaleux. Et moi, depuis le cubisme et au-delà, j'ai contenté ces messieurs et ces critiques avec toutes les multiples bizarreries qui me sont venues en tête, et moins ils les comprenaient, et plus ils les admiraient. (...) Aujourd'hui, comme vous savez, je suis célèbre et très riche. Mais quand je suis seul avec moi-même, je n'ai pas le courage de me considérer comme un artiste dans le sens grand et antique du mot. Ce furent de grands peintres que Giotto, Le Titien, Rembrandt et Goya. Je suis seulement un amuseur public qui a compris son temps. » Pablo Picasso, Lettre à Papini (visiblement, Picasso aurait dû s'appeler Picassiete, en tout cas ce qui est sûr c'est qu'il est parvenu à piquer l'intérêt des sots.)

Force est de constater que l'art contemporain tient plus lieu d'un lucratif business, d'une niche fiscale pour les plus fortunés de ce monde et d'un objet de spéculation financière infinie, que d'un moyen d'expression artistique à proprement parler…


Cet art moderne se complaît à repousser toujours plus loin les limites du mauvais goût, dans une inlassable volonté de vouloir choquer, provoquer, déconstruire, ou recomposer. La plupart de ces "œuvres" sont vidées de toute substance, pour ne livrer que des coquilles vides, parfaitement grotesques.

Elles sont bien souvent d'une laideur formelle confondante, qui n'a d'égal que leur vide conceptuel absolument sidérant !


On peut assister aux happening les plus absurdes, aux installations les plus improbables, aux mises en scène les plus folles. Mais, avec la simple apposition du Label Art certifé, on est prié de s'incliner et de s'émerveiller devant une telle débauche de talent et de créativité...sous peine de passer pour le dernier des imbéciles et des rétrogrades.



On peut voir une certaine Milos Moiré, une pseudo "artiste" ou plutôt une exhibitionniste, pondre par le vagin, des œufs chargés de peinture en place public, pour faire une toile. La même récidivera un peu plus tard en exposant son vagin devant le tableau de Gustave Courbet, "Aux origines du monde".



Ou bien encore, une procession surréaliste d'hommes et de femmes, décrivant une ronde à la queuleuleu, tout en s'enfonçant chacun un doigt dans le rectum car, c'est tout de même une plus-value artistique non-négligeable, par rapport au simple fait, si conformiste et désespérément quelconque, de se tenir par la main. Au cœur même d'une église, on peut aussi contempler incrédule, une statue de gorille géante, toute bleue et le sexe à l'air, être installée pour une exposition temporaire.




Tout le monde aura également en mémoire le très controversé Plug anal, une sorte de Sex Toy géant de la place Vendôme, érigé par les institutions en guise de sapin de Noël par "l'artiste" américain Paul McCarthy. Ce dernier s'est défendu d'avoir voulu réaliser un plug Anal.




Cependant, en se penchant un peu sur le reste de l'oeuvre de cet artiste, on pourra y observer une véritable ode à la scatophilie et à l'obscénité parle d'elle même… l'artiste ayant trouvé dans la merde une inépuisable matière première d'inspiration, qu'il décline sous toutes ses formes. En effet, il avait déjà commis une crotte de chien géante gonflable baptisée "Complex shit" qui transcendait sans doute l'esthétique de l'excrément, ou encore "Santa Chocolate Shop", des lutins qui font du chocolat avec leur caca, "Static 2004-2009", deux types enculant des porcs. McCarthy avait aussi réalisé par le passé "Cultural Gothic", une œuvre d'un raffinement ultime, où l'on pouvait apprécier un père en train d'encourager son jeune fils à enculer un bouc.









Tout ceci est parfaitement normal et du meilleur goût… et financé avec l'argent public, s'il vous plaît !

Intéressons-nous maintenant à certaines œuvres d'Anish Kapoor comme son "Dirty Corner" ou Vagin de la reine qui prend le pouvoir" installé à Versailles, que le dit artiste justifia par une volonté de «bouleverser l'équilibre et d'inviter le chaos», ou bien encore, l'artiste Jeff Koons et son Homard Géant suspendu au plafond du salon de mars du château.




Visiblement, les artistes comptant pour rien ont un goût immodéré pour la provocation, la profanation et la souillure gratuite. Ils n'ont pas leur pareil pour défigurer les plus hauts lieux sacrés et sites historiques de notre patrimoine… Pour reprendre l'esprit de Big Brother, on pourrait dire qu'en matière d'art contemporain, la règle d'or et non plus le nombre d'or serait, "La beauté c'est la laideur !"


Cet art prend presque systématiquement le contre-pied du beau, du vrais et du juste, dans un permanent renversement des valeurs.

Cette tendance au néant et à la vacuité la plus parfaite ne date pas d'hier et à sans doute été initiée dès 1917 par "l'œuvre" révolutionnaire et iconoclaste "The Fountain" de Marcel Duchamp, qui marquait désormais la rupture totale de l'art, avec toute considération d'ordre esthétique.

Ce bidet ne devient pièce d'art que par la volonté arbitraire et artificielle de l'artiste, de par son contexte et de par tout l'appareillage conceptuel souvent abscons qui l'accompagne. En dehors de sa galerie, il redeviendrait instantanément un vulgaire bidet, contrairement à une pièce d'art classique, qui en tout circonstance restera une œuvre d'art à travers le temps quel que soit le contexte qui accompagnera l'œuvre. Elle sont dépendante du discours et du contexte dans lequel ont les inscrit.

L'art moderne trouve sa propre finalité en lui-même, il est autotelique alors que pour les œuvres se réclamant de l'art traditionnel, la sensibilité qu'elle peuvent éveiller en vous n'est pas réductible à leur intelligibilité et au verbal.

Dans ce refus permanent de toute forme de beauté, de toute harmonie, de toute représentation du réel, dans cette tendance manifeste à sublimer l'infâme, la laideur et la dissonance, n'y a-t-il pas là,  une volonté subtile et cachée de salir et d'outrager la création toute entière, plutôt que de l'honorer ou de la sublimer, comme c'était le cas des siècles durant, où l'art avait un caractère évident de sacré et d'élévation ?


Désormais, ces impostures ne tombent plus que dans l'outrance purement gratuite, vaine et stérile ce qui à force, finit par tourner à vide et n'est même plus provoquant, ou subversif...


En réalité, ces œuvres n'ont plus rien à dire sur la société, à donner à réfléchir, à aimer ou à admirer ! 


Ces impostures artistiques, s'évertuent toujours à justifier leur existence et leur importance, en s'accompagnant d'un argumentaire conceptuel abscon, totalement artificiel, auquel seuls quelques bobos peuvent encore rester sensibles.


L'art est devenu une notion passe partout, vidée de toute signification précise. Il sert bien trop souvent de simple alibi intellectuel pour justifier tout et surtout n'importe quoi.


L'art moderne est devenu profondément élitiste et exclusif, un facteur d'exclusion, une émanation de la culture bourgeoise qui nécessite d'en posséder les codes afin d'être à même de pouvoir le décrypter et de posséder une bonne culture de l'histoire de l'art.

A y regarder de prêt, l'art moderne est le reflet de l'esprit du temps, il est en pleine déconfiture et déliquescence !


Peut-être serait-il grand temps de redonner du sens à l'art pour retrouver l'art, tout comme du sens à la vie, pour retrouver la vie…Tout cela n'est pas non plus sans rappeler le roman du "Meilleur des Mondes", où la culture est délibérément détruite, et les arts ont subi des pertes irréparables. Tout ce qui peut rattacher au passé et aux traditions est systématiquement éliminé. La création artistique a irrémédiablement disparu…



Bienvenue dans la galerie des horreurs

Intéressons-nous maintenant plus en détail à certaines œuvres qui témoigneront de la faillite totale et du haut degré de perversion, et même de satanisme que l'on peut trouver dans ce prétendu art.

L'art rectal, quand l'artiste se projette dans son œuvre au sens propre...


Un exemple éloquent de cet art provoquant jusqu'à l'absurde et au grotesque, est "l'artiste" Keith Boadwee. Ce professeur en beaux-arts au "California College of the Arts", membre du corps professoral du "San Francisco Art Institute" revisite, d'une manière très personnelle la technique du "Dripping", si chère à Jackson Pollock, puisqu'il peint directement avec son anus, avec lequel il projette vigoureusement de la peinture sur la toile.

Reconnaissons-lui d'avoir enfin trouvé une solution et une alternative imparable aux prix particulièrement prohibitifs des pinceaux... Le seul inconvénient est que le degré de maîtrise et de précision du geste s'en trouve, tout de même quelque peu amoindri...  Pour ce faire, il s’injecte de la peinture à l’aide d’une bouteille d’eau chaude en caoutchouc et d’un tube en plastique qui va directement dans son rectum..

Barbie est une psychopathe...



Dans le genre ultra tordu et glauque, il y a aussi l'œuvre du jeune photographe Mariel Clayton, qui dans sa série "Barbie Murderess", Barbie la meurtrière, réalise des mises en scènes incroyablement trash, violentes, pornographiques, cannibales ou pédophiles avec des poupées Barbies.

Il les dépeint dans des situations effroyables, plus choquantes les unes que les autres. Le but étant de prendre avec ironie le contre-pied de l'image habituellement parfaitement lisse de Barbie, afin de casser les stéréotypes de femme modèle qui lui sont systématiquement accolés. Ainsi Barbie devient une meurtrière sanguinaire qui boulotte les restes de son mari dépecé et démembré dans le frigo, tandis qu'elle prend des photos avec ses petits-enfants de la scène du carnage. En résumé, Barbie devient une barbare...

La culture du blasphème

Par ailleurs, on ne compte plus les œuvres de nature profondément blasphématoires, qui outragent le sacré et les symboles religieux avec la plus grande des violences. Il est indéniable que ce sont les chrétiens qui sont tout particulièrement visés ou profanés, sans doute lié à l'absence totale de réaction de leur part. On imagine mal de telles atteintes à l'égard des musulmans ou du judaïsme… Le diable se voit aussi accordé une place prépondérante, tandis que de très nombreuses œuvres profanent l'image du Christ à un degré inégalé. Comme toujours le droit au blasphème et à la liberté d'expression absolue de création est mise en avant comme une valeur fondamentale, sacrée, pour légitimer et tolérer toutes ces immondices.

On peut penser par exemple à l'œuvre qui a défrayé la chronique le "Piss Christ" d'Andrea Serrano où un Crucifix plongé dans de la pisse est pris en photo, ou aussi, "Sur le concept du visage du fils de Dieu" une pièce de théâtre scatologique, de l'Italien Romeo Castellucci, où l'on jette des excréments directement sur le visage du Christ. Elle provoqua un tollé lors de sa présentation au festival d'Avignon en 2011, ou bien encore, la pièce "Golgota Picnic", où le Christ est moqué, représenté comme un pauvre fou et insulté.

On peut aussi évoquer "La multiplication des christs en putréfaction", par Roberto Cuoghi à la Biennale de Venise 2017, où l'on découvre toute une série de Christs décomposés, démembrés, tout ratatinés, dans un état de décomposition et de pourriture avancé.

Une vision d'horreur qui fait inconsciemment penser à Auschwitz et aux camps de la mort. Quel peut bien être le message d'une telle œuvre absolument glauque ?

Passons maintenant à une autre œuvre ou un artiste à jugé hautement pertinent de crucifier une vache morte trempée dans du silicon puis peinte en blanc et entourée de lait… Cette œuvre de l’artiste "The Holy Cow", la vache sacrée est exposée depuis le 6 novembre dans l’église de Kuttekoven, à Looz en Belgique. Encore une fois quel est le sens de cette œuvre si ce n'est un blasphème totalement gratuit. L'artiste justifie sont œuvre comme d'une dénonciation militante des gaspillages dans notre société, un argumentaire qui ne trompera personne sur ses véritables intentions.

Marina Abramovic




Au rayon satanisme décomplexé dans l'art, on peut aussi évoquer l'incontournable artiste serbe, très en vogue, Marina Abramovic, grande amie des chanteurs Kayne West et Lady Gaga, et dont les performances "artistiques" sont particulièrement choquantes et extrêmement perturbantes !

Ces happenings cherchent à repousser toujours plus loin les limites de la souffrance. Ces œuvres ayant pour matière première le corps de l'artiste ont d'ailleurs, de toute évidence, bien plus à voir avec des rituels, qu'avec une simple performance d'ordre artistique...


L'artiste confie ainsi, au sujet de sa démarche artistique : « si le rituel est exécuté dans une galerie d’art, c’est simplement de l’art, mais si le rituel est exécuté en privé, alors il représente une cérémonie spirituelle intime. »


D'aucuns appellent cela de l'art, moi j'appelle cela bon pour l'asile !



À travers ses performances d'art corporel, Marina étudie et repousse sans cesse les frontières du potentiel physique et mental, le pouvoir de l'esprit humain. Elle se consacre et se livre entièrement pour son art, corps et âme, au sens littéral du terme, puisqu'elle n'a pas hésité, entre autres réjouissances, à se laisser agresser sexuellement par le public, à se lacérer, à se flageller, à congeler son corps sur des blocs de glace ou encore, à prendre des produits psycho-actifs et de contrôle, qui lui ont causé des pertes de connaissance.

"Mes amis, qui veut bien se dévouer pour manger le cœur ?"


Mêmes pas capables de faire des tranches de gâteau correctes...
 ça ne ressemble vraiment à rien, une bouillie informe même plus présentable !

Depuis les années 1990, elle a créé un évènement très particulier et tendance, où se précipite la Jet Set du tout Hollywood : les dîners de Spirit Cooking qui évoquent des repas cannibales !


Du boudin, qui veut du boudin ?

Ainsi, en juin 2015, une poupée très réaliste en gâteau baignant dans une sauce rouge sanguinolente a été mangée par les convives. Dans une vidéo des plus sordide de "happening artistique", on peut voir Marina effectuer un rituel de "spirit cooking", où elle asperge avec une mixture infâme et des hectolitres de sang, une sorte de poupée vaudou ! Elle décrit la composition de la recette ainsi : du sang, du lait maternel et du sperme frais  !


Ce genre de gâteau, incroyablement sordide et répugnant semble d'ailleurs faire quelques émules puisqu'une certaine Katherine Dey réalise des gâteaux hyper-réalistes, présentant des fœtus morts, des têtes coupées, des sexes mutilés, des morceaux de cerveaux coupés ou encore de cœurs humains…

Miam, miam !!!!

Le meilleur, c'est la cervelle. C'est bien connu.






Cela fait aussi penser à l'un des derniers clips de Katy Perry, "Bon Appetit", où la chanteuse passe à la casserole et est présentée comme un met raffiné, servie en plat de résistance, qu'une assemblée de convives s'apprête à déguster avec gourmandise, avant de se retrouver, dans un ultime retournement de situation, pris au piège et à leurs tours cuisinés pour passer à la casserole...

Ou comment faire une subtile promo pour des pratiques cannibales, sous couvert d'un propos féministe luttant prétendument contre la femme objet.





Tout cela évoque aussi une interview de l'actrice Béatrice Dalle chez Olivier Fogiel, qui pour le coup avait vraiment la dalle, puisqu'elle confiait hillare avoir travaillé dans une morgue dans sa tendre jeunesse et en avoir profité pour bouloter l'oreille d'un cadavre, histoire d'avoir une idée du goût de la chair humaine.

Voici un petit extrait de cet échange parfaitement surréaliste :


Béatrice Dalle : « je vais plus avec mes potes Zicos dans les morgues la nuit... Haha... Ah ouais on a fait ça deux trois fois pour gagner un peu de sous. »
Olivier Fogiel : « Mais, vous parlez de cela avec une forme de détachement ,c'est cela qui m'intéresse... »
Béatrice Dalle : « Ben personne n'est venu se plaindre, tu vois. »
Olivier Fogiel : « Non, mais euhh, vous, découper des parties de cadavres, ça ne vous à jamais effrayé, la petite gamine que vous étiez ? »
Béatrice Dalle : « Non, ah non, même une fois, on s'était fait un plat... On voulait le manger tu sais parcequ'on avait pris un acide. On peut bien couper les mains, quand on pense à les manger ! »
Olivier Fogiel : « Et vous l'avez mangé ? »
Béatrice Dalle : « Ben, on a goûté ! »
Olivier Fogiel : « Mais c'était quoi ? »
Béatrice Dalle : « C'était de l'oreille, hahaha (hilare). Roh....lala, c'est pas grave ! T'facon l'mec, y s'est pas plaint, hein ! Il savait même pas que j'ai mangé ses oreilles, hahaha »



Comme quoi la Béatrice Dalle, elle n'a pas du trop se forcer pour jouer le rôle de la psychopathe cannibale dans "Trouble Every Day" de Claire Denis. Ça doit être un peu une seconde nature chez elle.



De quoi se poser de sérieuses questions sur les pratiques certaines élites de ce bas monde...


Pour en revenir à notre sorcière bien aimée, Marina Abramovic, elle a aussi été accusée de satanisme, notamment pour sa performance "Devils Heaven" (Le paradis du Diable), lors d'une soirée caritative au profit du Robert Wilson's Watermill Center, le 22 juillet 2013.



Lady Gaga et sa bonne copine de rituel Marina. Voilà qui donne diablement faim.


Hans Ruedi Giger

le papa de l'Alien, encore plus flippant que sa créature !
Parmi les artistes très tourmentés et occultistes notoires, on peut aussi évoquer l'artiste plasticien Hans Ruedi Giger, créateur de la célèbre et terrifiante créature Alien qui a grandement contribué au succès des films. Ce dernier a créé un jeu de Tarot qui est d'un niveau de blasphème envers le Messie tout bonnement stupéfiant ! L'œuvre biomécanique de H.R. Giger est remplie de visions torturées, fantasmagoriques, saisissantes, monstrueuses et absolument cauchemardesques. Elle est obsédée par la fusion de l'organique et de la machine, dans un esprit purement Transhumaniste. Giger fut un ami de Timothy Leary qui a popularisé le LSD et qui est un disciple assumé de Crowley… Le monde est petit.



Le Dernier Cri, vomir des yeux


Toujours au rayon de l'art totalement décadent, à Marseille, à eu lieu une exposition subventionnée avec de l'argent public des plus scandaleuses. "Le Dernier Cri, vomir des yeux" proposée par l'association la belle de mai, avec des illustrations de deux artistes, Stu Mead et Reinhardt Schreiber.

Les œuvres du premier ayant clairement un caractère pédopornographique, voir de zoophile, avec des scènes de bestialité explicite, sans ambiguïté tout à fait ignobles et abjectes !


Encore une fois, sous couvert d'art, on tombe là, dans de l'incitation, de la célébration à la pédophilie, sans aucun complexe ni retenue. Sur les dessins et peintures, on peut observer des démons à forme de bouc abuser d'enfants innocents, totalement nus et livrés à la luxure bestiale de ces satyres.


D'autres dessins possèdent un très haut degré de blasphème envers la religion catholique et ont une connotation ritualistique et sataniques évidentes… C'est à un véritable festival de diableries, de sorcellerie, de cérémonies sacrificielles que nous convie cette exposition dont le titre n'est pas usurpé et qui est subventionnée avec des deniers publics.



Les œuvres de Reinhardt Schreiber, le second glorieux artiste mis à l'honneur par cette sublime exposition, sont quand à elles, éminemment tordues et malsaines. Elles tombent dans la pornographie la plus dégradante, avec un penchant très prononcé pour la scatophilie, l'un des tableaux de cet obscur artiste, maître incontesté du dessin de crottes à visage humain représente même une orgie se déroulant un camp de concentration, ce qui est, il faut bien en convenir du meilleur goût !



Il y a eu beaucoup de réactions outrées, choquées et indignées dans l'opinion publique sur la toile et pour cause…

Toute la presse est alors montée au créneau, comme un seul homme, pour parler d'extrémistes, de mouvances d'extrême droite, à grand renfort de titres chocs. La liberté d'expression et de création était en grand péril, menacée par des hordes de fascistes qui n'y entendent rien à l'art : il fallait réagir au plus vite ! Les Inrocks titraient alors "La friche belle de mai dans la ligne de mire de la fachosphère", Buzz Fred titrait « l'extrême droite s'en prend à une exposition qu'elle juge "pedopornographique" ». On appréciera l'usage des guillemets lourds de sous-entendus utilisés par le journaliste, alors que ce sont des faits parfaitement vérifiables, on ne peut plus objectifs et qui sautent aux yeux au premier coup d'œil posé sur l'une de ces immondices... Ce n'est donc en aucun cas un procès d'intention subjectif !


En tout état de cause,  ces œuvres devraient tomber sous le coup de la loi, les attouchements sur enfants n'étant pas encore licites, même si certains y travaillent avec application...

A t'on le droit d'affirmer, selon des critères tout à fait objectifs, que cette œuvre est vraiment merdique et ne vaut pas plus qu'un étron ?

Le public , scandalisé et indigné par cette exposition, à juste titre, étant donné la teneur des œuvres exposées, s'est vu généreusement calomnié par les journaux, traité de tous les noms d'oiseaux. On assiste bien là à un renversement intégral des valeurs : ce qui est de l'ordre de la perversion la plus absolue est normalisé, tandis qu'une réaction modérée, naturelle et tout à fait saine de rejet est taxée d'extrémisme, au nom de la sacro-sainte liberté d'expression... Cette liberté d'expression servant ici de véhicule à toutes les perversions, qui obtiennent alors un caractère sacré. Le sacré est souillé et la souillure est sacralisée !

On ne s'étonnera d'ailleurs pas outre mesure de cette levée de boucliers massive de la part des journaux pour protéger de la fureur populaire cette sulfureuse exposition au caractère pédophile affirmé et incontestable, car dans les années 70, le Journal Libération avait déjà pris la défense active de cette pratique...


Un drôle de Street Art à Bruxelles

Même les façades de certaines villes ne sont pas épargnées, comme Bruxelles avec certaines œuvres de Street Art, où l'on retrouve de véritables horreurs, qui viennent souiller tant les murs que les regards. On peut ainsi contempler avec écoeurement plusieurs peintures, où le sordide le dispute à l'abject.

On trouvera, tour à tour :



Un jeune garçon sous l'emprise d'un adulte tenant un immense couteau à proximité de sa gorge ;



Une scène de pénétration ultra crue, rue des poissonniers ;



Un pénis géant très réaliste, à la barrière de Saint-Gilles ;



Un anus géant qui détourne la marque Zanussi ;



Un cadavre décapité accroché par les pieds affreusement mutilé, avec les membres arrachés à proximité de la Gare Bruxelles-Chapelle ;

Dans l'univers de la mode, on est pas en reste non plus !

En Angleterre, un défilé de mode à l'imagerie occultiste, baroque, gothique et clairement satanique s'est tenu dans L'Église évangélique de St. Andrew à Londres. Elle est une collaboratrice de Lady Gaga et de Marylin Manson...

À l'occasion de la "Fashion Week", une troupe de mannequins a défilé dans une église évangélique transformée en podium de mode pour le compte de la créatrice turque Dilara Findikoglu. Cette dernière se dit fascinée par la parapsychologie, l'occultisme et la magie...

Le symbolisme maçonnique de ce défilé est évident et saute aux yeux, avec le décor du Temple en arrière-fond, les colonnes, l'étoile flamboyante, la sorcellerie, le sol en damier de la dualité. La symbolique occulte est elle aussi clairement affichée, femme en rouge, pentagrammes, œil d'Horus, des cornes, etc.





Paradoxalement, nous vivons dans une société où au nom du laïcisme, le moindre signe religieux exposé jugé trop ostentatoire dans l'espace public est susceptible de créer une vive polémique, pendant que l'on fait des défilés totalement décadents, qui débordent littéralement de symbolisme occulte au cœur même d'une église et personne n'y trouve rien à redire ...


En matière de mode, il y a aussi le "Met Gala", "Costume Institute Gala", un gala annuel de collecte de fonds au profit du Anna Wintour Costume Center et du Metropolitan Museum of Art de New York. L’événement est supervisé par Anna Wintour, rédactrice en chef de Vogue, qui définit la liste des invités.

En 2014, les billets individuels coûtaient la bagatelle de 30 000 $ pour les personnes ne figurant pas sur la liste officielle des invités ! C'est l'occasion pour tout le gratin et la Jet Set mondaine New-yorkaise de se déguiser de la plus sophistiquée, extravagante, baroque et provocante manière, avec une dimension occulte bien marquée.

Décidément, c'est la grande passion de Jared de se déguiser en Christ...
À ce niveau c'est maladif Jared
Jared, tu en fais un peu trop... Ça va finir par ce voir ton petit manège...

L'édition 2018 avait pour thème, "Corps célestes : mode et imagination catholique", il s'agissait d’utiliser et de détourner le symbolisme associé au sacré, au spirituel et au divin… Ce fut alors l'occasion d'un véritable festival de symbolisme avec une volonté manifeste de blasphème, de profanation et de moquerie à l'égard de la religion très affirmée…. On a ainsi vu la chanteuse Rihanna déguisée en pape argenté, Katy Perry en ange, alors qu'elle venait tout juste d'être accusée de sorcellerie par des religieuses catholiques, Jared Leto en figure Christique, Sarah Jessica Parker était coiffée d'une crèche sur la tête, tandis que la robe de Kim Kardashian ressemblait à un calice utilisé pour l'Eucharistie lors des messes...

Pour l'édition 2019 dont le thème était «l’amour du non-naturel: de l’artifice et de l’exagération.», on a pu admirer le chanteur et acteur Jared Leto se promenant avec une réplique très réaliste de sa propre tête coupée sous le bras, le tout dans un look très androgyne. Plutôt morbide et tordu, non ?

Encore une fois le mélange et la confusion des sexes est à l'honneur avec ce costume de soirée, moitié smoking, moitié robe...


Après la galerie des horreurs, le défilé des horreurs


Ça part vraiment en grand n'importe quoi...


À se demander ce qu'il peuvent bien avoir dans la tête... Et d'où vont-ils puiser toute cette prodigieuse inspiration !


On sent le fan inconditionnel de "Game of Throne"


Là, on dirait bien qu'ils nous prennent pour des Mickey décérébrés


Les créateurs, il faudrait peut-être songer à freiner un peu sur la coke, ça à tendance à vous crâmer le cerveau...
En tous les cas, à la place du modèle, j'irai directement porter plainte à la cour des droits de l'homme, pour atteinte à la dignité humaine.


Un modèle, tout simplement renversant ! La combinaison gagnante. On touche au génie.
L'humain devient un accessoire de mode, j'avoue il fallait y penser... Ou pas !


Un assemblage hétéroclite des plus improbables, entre un joueur de water-polo, un super-héro et un joueur de golf. On a la classe, ou on l'a pas...
En tous les cas, il faut avoir les épaules solides pour endosser une telle humiliation publique, ce dont notre modèle ne semble fort heureusement pas dépourvu !


Perso, j'ai une petite préférence pour l'éclatante tête d'œuf en troisième position, après les goûts et les couleurs...

Ça part en sucette...






Commentaires

Articles les plus consultés