La propagande du lobby LGBT


Dans ce mouvement général que les élites cherchent à impulser au cœur de la société, le mouvement LGBT+ occupe une place décisive dans la propagande. Cet incessant matraquage, a envahit tout l'espace public, les divertissements, les médias et l'éducation.

Ce puissant lobby, quasiment intouchable, s'est arrogé le droit de représenter toute la communauté homosexuelle, alors qu'en réalité, il ne  s'agit que d'une minorité très tapageuse, d'une simple association beneficiant d'une grande visibilité médiatique et dont nombre d'homosexuels ne partagent pas du tout les approches et orientations. Ces derniers sont pris en otage, ils servent à la victimisation systématique du mouvement LGBT. Ce lobby intervient de plus en plus impunément auprès des enfants, au sein même des écoles, dans les centres de loisir, dans la rue. 


Par exemple, le nouveau géant de l'Entertainment Netflix, a lancé un programme nommé "Dancing Queen", dont le concept est de transformer des petits garçons en petites filles sexy ! Il s'agit là de toucher les plus petits, avec cette propagande d'un nouveau (et d'un très mauvais) genre. 



Là où c'est inquiétant, c'est que ces enfants, qui sont visés par ce type de programmes, seront les adultes de demain et visiblement le lavage de cerveau va être amorcé de plus en plus tôt...

Aux États-Unis, qui sont, dans presque tous les domaines, à la pointe en matière de subversion, il y a maintenant la tenue de "Drag Time Stories". Ainsi, dans des bibliothèques municipales, de charmants Drags Queen, dont certains ont plus l'allure d'effrayantes sorcières qu'autre chose, viennent raconter à de tous petits bouts de choux, des contes, des histoires et des chansons non-genrées de Drag Queen.

Avec, comme il se doit, en intermède musical, une séquence bonus de Booty Shake, à savoir un remuage frénétique de popotin en règle, histoire de commencer le formatage et le conditionnement des esprits, le plus tôt possible ! 



Nul doute que ce genre d'initiative et de désolant spectacle viendra aussi, dans un très proche avenir dans notre pays. D'ailleurs l'idée a déjà été reprise une première fois sur Paris, dans une bibliothèque municipale. 

Le phénomène Desmond


Dans la même veine, on a un gamin de 10 ans, "Desmond dit le magnifique", qui a créé le premier Club de Drag Queens pour enfants et ados !

On peut "l'admirer" défiler fièrement dans d'extravagantes tenues dans des Gay Pride, participer à la conférence annuelle des Drag Queen, ou encore, à la "Fashion-Week" de New-York.



Sa mère aurait affirmé avoir découvert son homosexualité dès l'âge de 3 ans, alors même que les enfants ne se découvrent et ne s'affirment que bien plus tard… 


On ne peut que parler de véritable exploitation de cet enfant, qui se retrouve ainsi instrumentalisé par son inconsciente et peu scrupuleuse mère, qui lui vole tout simplement son enfance et les étapes nécessaires à la structuration de sa personnalité, ce qui ne manquera pas de lui créer plus tard, de graves séquelles psychologiques... Loin de s'indigner de cette triste situation de maltraitance psychologique, profondément malsaine, Desmond est traité par les médias complices, comme un Drag Queen adulte, faisant l'impasse totale sur sa condition d'enfant.

Il est même élevé au rang de star, comme une icône de la liberté et de la tolérance. Mais la tolérance ne devrait jamais permettre de sexualiser les enfants… Suivi assidûment sur les réseaux sociaux, par toute une communauté d'enfants et de fans, il joue un rôle d'influenceur de premier-plan, pour tous ceux qui sont susceptibles de suivre ce "modèle". 


Véritable coqueluche en fanfreluches, icône et égérie LGBTQ+, il a annoncé la création d'un club réservé aux enfants travestis, "les drag kids", interdit aux adultes. 



On a vu aussi ce gamin Drag-boy, visiblement instrumentalisé par le puissant lobby et servant des intérêts qui le dépassent manifestement totalement, être filmé en train de danser dans un bar gay devant des clients adultes matures qui lui jetaient des billets d'un dollar pour saluer sa prestation, comme ont l'habitude de le faire les clients des bars à prostituées. 


Ne sommes nous là pas dans un cas de corruption de mineur caractérisée ?



Suite à de vives réactions et critiques concernant cette initiative de club pour drag kids de Desmond, l'intéressé à répondu « Vos mots ne m'atteignent pas, j'ai confiance en moi ! » ou encore « Vous ne m'arrêterez jamais, je suis l'avenir. » ce qui, vous en conviendrez, est d'une violence symbolique, d'une audace et d'une prétention assez extraordinaire ! 


Le gamin dont la notoriété est manifestement artificiellement poussée s'est vu aussi approché par la marque de chaussures "Converse" pour promouvoir une nouvelle gamme de chaussures compatibles avec les personnes LGBTQ +... 



Dans le cadre de la bien-pensance et de la pensée unique, il va s'en dire qu'il est pratiquement impossible de dire quoi que ce soit, pour remettre en cause, le bien-fondé de cette nouvelle direction impulsée à la société, sous peine de sortir du politiquement correct et de se voir immanquablement traité de "fasciste", "conservateur", "prude", "réactionnaire", "facho", "homophobe", "catho intégriste", "raciste" ou "intolérant"

Bien sûr, il faut toujours garder de l'ouverture d'esprit, une grande tolérance pour les personnes qui ne se sentent pas bien dans leur peau et qui n'arrivent pas à s'accepter tels qu'elles sont. Il ne s'agit en aucun cas de les dénigrer, il convient de les accepter avec la plus grande bienveillance, mais il faut aussi bien garder à l'esprit, qu'ils ne sont pas représentatifs de la masse, ils ne constituent pas la norme, mais ils sont une exception et c'est heureux, car sinon, nous ne serions même pas là pour en parler… 

Mais, en réalité, force est de constater qu'on assiste de plus en plus à une marche forcée vers la "normalisation de la marge" et la "marginalisation de la norme".


Ce quit est extrêmement pervers, c'est que nous sommes passés de la tolérance, qui est tout à fait normale et souhaitable, à une forme de promotion et de prosélytisme actif,p mettre en avant, via le puissant lobby LGBTQXYZ (On attend avec impatience les prochaines lettres de ce lobby en perpétuelle expansion) le transgenre.


Au nom de la tolérance, de la lutte contre l'homophobie, on s'attaque à la norme générale, on nie toute loi tendancielle, on fait du prosélytisme au nom du respect de certaines minorités.



Des minorités très visibles

Ces minorités deviennent d'ailleurs extrêmement revendicatrices, elles imposent leur présence dans l'espace public, lors de tapageuses Gays Pride.

Voilà des costumes qui ne manquent assurément pas de chien !
En Angleterre, c'est carrément tout un mois complet de l'année qui est consacré à la fierté de ses sexualités alternatives, alors qu'ils ne représentent qu'une très faible part de la population générale.



D'une minorité oppressée, ils passent à une minorité oppressante.



Au nom de la sacro-sainte tolérance, l'on permet à cette représentation LGBT toutes les outrances, toutes les extravagances, toutes les fantaisies, toutes les vulgarités, toutes les insanités et une totale absence de pudeur et de décence ! On est clairment passé de la tolérence à un mouvement de subvertion de la société.

Par ailleurs, il faut savoir qu'il existait des rapports étroits avec des mouvements d'activistes pro-pédophiles comme "la Nambla" ( la North Ameican Man / Boy Love Association) qui s'opposait à un âge minimal légal pour avoir des rapports sexuels avec les enfants. Dans les années 80, les groupes affiliés à la Nambla défilaient sans problème aux Etats Unis au sein des Gay Pride. Le mouvement serait depuis lors en totale perte de vitesse, mais son idéologie du "Boy Lover" n'est pour autant pas prête d'être abandonnée. Cela est tout de même fort édifiant sur la génèse du mouvement LGBT.


Certains n'hésitent ainsi pas à défiler à quatre pattes, déguisés en chiens sado-masos tous cloutés et soumis devant des enfants, d'autres gaillards musclés sucent goulûment et fièrement des sucettes en forme de pénis, tandis que certains se trimballent avec un costume prolongé par un braquemart géant, tellement long qu'il doit être porté et soutenu pour ne pas traîner par terre, d'autres font dans la sobriété et ne s'encombrent même pas de tels accessoires, puisqu'il se permettent de se présenter carrément à poil...


Bref ces défilés peuvent se résumer à un grossier étalage de vulgarité, un sommet de mauvais goût  et ne sont que le stigmate et le reflet du haut degré de décadence atteinte par notre société. On remarquera que la simple loi n'est même plus respectée et appliquée, car il s'agit bien là de pur exhibitionnisme et d'attentat à la pudeur caractérisé. À un tel niveau de matraquage de la société, on peut littéralement parler de Pinkwashing !

Il y a quelque chose de paradoxal à vouloir se déclarer si fier d'une sexualité qui serait naturelle, non choisie, indépendante de sa volonté et donc, en aucun cas représenter une forme d'accomplissement personnel. 


En outre, réduire tout son être et son identité à son entrejambe, ravaler son humanité à sa sexualité à quelque chose de pathologique et de profondément malsain. La sexualité relève de l'intimité et de la sphère privé, elle ne concerne nullement l'ensemble la société, c'est un jardin secret réservé à la personne de son cœur. Mais ce n'est pas tout, la folie LGBT ne s'arrête pas là, puisque chose incroyable, on commence à voir apparaître des Transkid pride, l'équivalent des Gaypride, mais réservé exclusivement aux enfants !

Toutes ces manifestations LGBTesques outrancières sont d'ailleurs probablement parfaitement contre-productives de par l'image déplorable qu'elles renvoient de l'ensemble de la communauté homosexuelle, qui ne peut et ne doit certainement pas se résumer à de telles outrances ! 
De par leurs excès, elles peuvent susciter et inspirer plus de rejet que de tolérance... 

Avec ses nouvelles idéologies en vogue, on débouche sur des situations proprement ubuesques, où des lesbiennes invectivent d'autres lesbiennes de trans-phobie, parce qu'elle refuserait de coucher avec d'autres femmes transgenres dotées d'un pénis, où des hommes homosexuels qui refuserait de coucher avec d'autres hommes transexuels ! 





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