L'imposture du féminisme 2.0

« Aucune femme ne devrait être autorisée à rester à la maison et à élever ses enfants (...) Les femmes ne devraient pas avoir ce choix, parce que si un tel choix existe, trop de femmes feront celui-là » Simone de Beauvoir, dans Saturday Review en 1975. On se demande bien où est l'indépendance et où réside la liberté de la femme dans cette citation de l'une des figures de proue du féminisme…



Le féminisme radical

Le féminisme est une autre idéologie qui, sous des abords très séduisants, prend une tournure de plus en plus délétère et agressive. Dans ses dernières formes, car elle inscrit de plus en plus, hommes et femmes dans une lutte de rivalité, d’influence et de pouvoir acharnée.


Si à ses débuts, le mouvement féministe était une aspiration tout à fait légitime, noble et fort louable, visant à obtenir une égalité de traitement et de droits, il a muté en de nouvelles formes, de plus en plus offensives, voir même très agressives. Dans les dernières dérives de ce mouvement, elles cherchent tout simplement, par un glissement, non plus à assurer une seule égalité de droits, mais une égalité de sexe !

Au nom de l’émancipation des femmes, cette idéologie place de plus en plus, hommes et femmes, dans une lutte permanente des sexes. Il s'agirait de mettre un terme à leur oppression, vis-à-vis du patriarcat et d'une société jugée profondément phallocrate.

Le féminisme créé ainsi des rivalités permanentes, au lieu de chercher à viser l’union, la complémentarité et l’harmonie au sein des couples. Une base nécessaire pour établir une société équilibrée et pérenne. Pourquoi vouloir systématiquement envisager les relations hommes/femmes, sous le prisme d'un rapport de force et d'une lutte de pouvoir ? N'est-ce pas là une démarche au fond profondément malsaine et contre-productive ? Ne serait-il pas plus souhaitable pour le bonheur de tous d'accepter nos différences, de s'en réjouir, de s'en nourrir et de s'en enrichir ? Ne vaudrait-il pas mieux rechercher une véritable symbiose et une complémentarité, au bénéfice et à l'avantage de chacun ?

Les dernières ambassadrices et représentantes en date de cette nouvelle forme de féminisme radical dévoyée, sont les activistes Femen, qui ne parlent d'ailleurs même plus d'égalité avec les hommes, mais, s'efforcent plutôt de prendre le pouvoir et l'ascendant sur ces derniers, avec un état d'esprit revanchard détestable des plus puéril, en n'hésitant même pas à castrer symboliquement l'homme sur leur site internet... Sur ce dernier, on peut en effet y voir une représentation d'une Femen brandissant fièrement entre ses mains, tel un trophée, les attributs masculins de l'un de ses représentants, qu'elle vient vraisemblablement tout juste de castrer...

Pourtant, si les hommes ont toujours étés si machistes, ignobles, odieux et dominateurs, alors, comment expliquer la présence de femmes de grand pouvoir et d'influence, tout au cours de l'histoire ? Surtout avant la Renaissance... Comment expliquer l'existence de toutes ces Reines, ces duchesses, ces prophétesses, ces abbesses, ces artistes, ces théologiennes ou ces éducatrices, de Cléopâtre, en passant par Blanche de Castille, par la Reine Victoria ou encore, par Jeanne d'Arc, qui commandait toute une armée de butors et non pas de gentilshommes... Et même lorsqu'elles étaient dans l'ombre de leur mari, les femmes ont toujours eu un grand pouvoir d'influence sur ces derniers, en usant de leur charme et de psychologie... Elle pouvait agir de manière indirecte.

Et puis d'ailleurs, si domination implacable il y a eu, quel serait alors l'intérêt des femmes de se rabaisser au même niveau que leurs rustres homologues masculins, pour reproduire exactement les mêmes erreurs ?



Ces "Femen" en furies, véritables harpies des temps modernes, guidées par leur subtile quête d'émancipation, appellent toutes les Françaises à, je cite : "baiser, sucer, se faire lécher, branler, doigter, pomper et niquer." Tout un programme... Il faut croire que dans leur esprit, le modèle de la femme vraiment libérée n'est autre qu'une prostituée !




Et à en croire les tous derniers avatars du féminisme, comme les actrices Asia Argento, ou sa consœur Rose Mac Gowam, qui ont beaucoup fait parler d'elles avec le mouvement "Meetoo", la vraie femme émancipée, ne serait nulle autre qu'une sorcière ! Les deux féministes de combat, figures de proue de "Meetoo" ont aussi en commun d'avoir été les petites copines d'un certain Marilyn Manson, membre illustre de l'église de Satan. Toutes deux  se proclament ouvertement sorcières sur les réseaux sociaux. La sorcière est en passe de s'imposer progressivement comme une figure incontournable du féminisme, comme le démontre le livre de Mona Chollet, "Sorcières, la puissance invaincue des femmes" ! Les féministes nouvelle génération seraient littéralement hantées par cette figure, car elle est une insoumise à l'ordre établi, une rebelle, le modèle de la femme indomptable et indépendante... « La sorcière incarne la femme affranchie de toutes les dominations, de toutes les limitations ; elle est un idéal vers lequel tendre, elle montre la voie. »

Avec ce mouvement "Meetoo", le féminisme se concentre exclusivement sur les violences infligées aux femmes, en occultant systématiquement toute forme de violence faite aux hommes. Une situation certe plus rare, mais qui peut se retrouver. D'autant plus qu'il est bien plus délicat et humiliant d'en faire part en tant qu'homme. C'est donc un phénomène sans doute largement sous estimé... Et ne parlons même pas des souffrance infligée aux enfants de l'Ometa qui règne autour des réseaux de pedo criminalité... Toutes les violences, d'où qu'elles viennent restent condamnables.

Dans la logique folle et mortifère de certaines féministes, la maternité est méprisée, regardée comme quelque chose de dégradant et d'infamant, un intolérable signe de soumission concédé aux hommes... L'enfant est alors considéré comme un véritable fardeau pour la femme, l'instinct maternel est tout simplement nié en bloc, il ne serait plus qu'une vue de l'esprit, voire une honteuse maladie.

Comble de la folie et de la pathologie mentale, dans cette aspiration à toujours plus d'égalité, le philosophe espagnol Paul. B Preciado, qui n'a visiblement pas encore passé le stade anal, préconise de faire de la sodomie le centre de la sexualité humaine ! En effet, l'anus étant partagé, tant par les hommes, que par les femmes, il aurait l'inestimable avantage de ne pas être discriminant, contrairement aux autres organes génitaux !

Il existe aussi un extraordinaire paradoxe, qui ne semble pas déranger le moins du monde, la plupart des activistes féministes, (qui clament pourtant œuvrer haut et fort,  pour l'émancipation des femmes, et lutter contre les mauvais traitements que leur infligent les hommes) : Dans notre société libertaire, où la marchandise règne en maître, on met constamment en avant, au travers des publicités, ou bien de la pornographie, des femmes-objets, réduites à de simples véhicules de plaisir, des consommables jetables après usage !

La parité parfaite

Dans l'idéologie dominante, on cherche à pousser et à instaurer une parité parfaite entres hommes et femmes, dans tous les secteurs de la vie. C'est le cheval de bataille qu'a décidé d'enfourcher l'inénarrable Marlène Schiappa, la secrétaire d'état du Premier ministre, chargée de l'égalité entre les hommes et les femmes et de la lutte contre les discriminations et auteur(.e), sous le pseudo de Marie Minelli, de romans érotiques, comptant sans nul doute parmi les plus hauts fleurons de la littérature de gare, aux titres si évocateurs : "Osez les sexfriends", "Comment transformer votre mec en Brad Pitt en 30 jours" ou "Les filles bien n'avalent pas".

"LOL"...


Voici une couverture parfaitement tendancieuse d'un livre de Schiappa où on se demande bien quel âge peut avoir le gamin par rapport à la dame...

Ainsi, Marlène Schiappa cherche à tout prix à imposer une parfaite parité, avec 50% de femmes dans tous les domaines de la société. Une idéologie parfaitement absurde et contre-nature. Mais quel est le sens de cette démarche, alors qu'en toute logique, ce qui devrait toujours primer, avant toute autre considération et en toutes circonstances, ne devrait-il pas être la réelle compétence, l'aptitude à exécuter une chose, à accomplir une tâche efficacement, indépendamment du sexe de la personne ?

Allons-nous déboucher sur une société où les effectifs de l'armée seront composés de 50% de femmes qui monteront au front, tandis que les hommes s'occuperont des enfants ? N'est-ce pas parfaitement délirant ?

Dans cette folle logique, on débouche sur des lois parfaitement absurdes, où le maire de Bourg-en-Bresse se voit sanctionné à payer une amende exhorbitante s'élevant à 90.000 euros, pour le simple fait de ne pas avoir respecté la parité de rigueur dans son personnel municipal  qui compterait trop de femmes !

Mais quel est l'intérêt de viser constamment à une égalité artificielle, forcenée et absolue, dans tous les domaines de la vie ? Là où, on pourrait simplement agir en bonne intelligence, en prenant en compte avant tout les compétences, les goûts, les envies et les aspirations profondes de tout un chacun ? De toute évidence, certains métiers, notamment les métiers manuels, qui exigent une grande force physique, sont plus appropriés aux hommes qu'aux femmes et inversement, d'autres métiers se prêtent bien plus aux femmes qu'aux hommes. Personnellement, je ne vois absolument pas en quoi cela devrait poser le moindre problème !

Ce qu'il faudrait viser, ce n'est pas l'égalité en toutes choses, mais l'équité et la justice, tout en respectant nos différences. Vivre ensemble, ce qui est le but de la société, c'est bien accepter nos différences, ce n’est pas les nier, au nom d'une illusoire et utopique égalité que l'on décreterait arbitrairement.

À quoi peut bien rimer cette volonté d'atteindre à tout prix une égalité parfaite, en usant même au besoin, de discrimination positive, un mot de pure Novlangue, pour parvenir à un équilibre statistique, purement artificiel et rentrer à grand coup de marteau dans les clous de cette idéologie contre-nature ?

Cette nouvelle forme de discrimination régulatrice et arbitraire, ne serait-elle pas d'ailleurs, la porte ouverte à une nouvelle forme d'injustice, une forme d'exclusion dictée par les besoins de cette vision idéalisée des rapports hommes-femmes ? Ainsi, dans cette religion de l'égalitarisme fou, pour que tous soient égaux, certains devront l'être finalement plus que d'autres !

D'ailleurs, quelle peut bien être la satisfaction personnelle, pour une femme de savoir qu'elle ne doit sa place que pour respecter un certain quota, pour répondre au cahier des charges de la parité et non pour ses qualités propres ?

L'écriture inclusive

Dans cette volonté inflexible, qui tourne à l'obsession, d'atteindre une égalité absolue en toutes choses, ces idéologues patentés ont même eu pour ambition de massacrer, de saccager notre belle langue, fruit de mille ans de lente construction, avec cette nouvelle lubie, ce concept risible d'écriture inclusive…

Mais, c'est ignorer la nature profonde de la langue qui est une matière vivante qui évolue toujours selon ses propres lois et son rythme, mais ne peut en aucun cas être brusquée, voir violée arbitrairement par un simple décret de loi...

Au-delà de l'aspect pragmatique tout simplement impraticable de parler et même d'écouter une telle langue : il est incroyable d'envisager de complexifier encore davantage l'usage de notre langue alors même que tant d'élèves peinent déjà à en acquérir la maîtrise la plus élémentaire...
En outre, c'est une grossière erreur d'appréciation, car dans la langue française, on ne confond pas les "signes" et les "choses" qu'ils représentent. Masculin et Féminin dans la grammaire française sont indépendants de l'espèce humaine. Ils sont complètement arbitraires concernant les choses et les réalités qu'ils recouvrent. On dit ainsi un fauteuil et une chaise pour parler d'un objet qui remplit exactement la même fonction...

Le masculin l'emporte sur le féminin par norme et par convention de langage, pour une simple question de simplicité d'usage.

Mais c'est intéressant de remarquer que comme dans le livre "1984" de Georges Orwell, on s'attaque à la langue à des fin de propagande, pour influencer le réel, les systèmes de penser et de représentations.

Adieux Galanterie

Dernier cheval de bataille et fantaisie féministe en date, la galanterie serait devenue, anachronique, ringarde, déplacée, et même offensante !

Elle serait une marque persistante de l'éternelle domination masculine, un reliquat insupportable d'un sexisme venu tout droit d'un autre âge, sans doute du Moyen-âge, avec son fameux esprit chevaleresque et son Amour Courtois.


Par conséquent, pour ces féministes radicaux, elle serait donc à proscrire au plus vite de tous nos comportements sociaux. La galanterie ne serait que la contrepartie du servage, comme le déclare Simone de Beauvoir dans "Le deuxième sexe" : « Au lieu de leur faire porter les fardeaux comme dans les sociétés primitives, on s’empresse de les décharger de toute tâche pénible et de tout souci : c’est les délivrer du même coup de toute responsabilité. On espère qu’ainsi dupées, séduites par la facilité de leur condition, elles accepteront le rôle de mère et de ménagère dans lequel on veut les confiner. » La galanterie serait donc une arrière-pensée inavouable, nécessaire pour soumettre la femme. Elle serait donc la condition préalable pour réduire la femme et l'enfermer dans son dégradant rôle de "pondeuse" et donc une manière de déconsidérer la femme...

Des différences intangibles

N'en déplaise à tous ces idéologues, qui nient en bloc tout principe de réalité : hommes et femmes ne pourront jamais être égaux, c'est une complète vue de l'esprit !

Ils sont en essence profondément différents, tant par leurs capacités physiques, comportementales, qu'émotionnelles. Ces caractéristiques, relatives aux deux sexes, ne sont pas d'ordre culturelles, mais sont essentiellement induites directement par la biologie, par des différences d'ordre hormonales, par le taux de testostérone qui influe sur leur manière d'être, de se comporter et sur leur agressivité.
Ces différences radicales et immuables, donnent d'ailleurs lieu à de nombreux décalages au quotidien au sein des couples et peuvent même occasionner de petites incompréhensions mutuelles... Ces dernières sont d'ailleurs très bien décrites, avec beaucoup d'esprit et d'humour par John Gray, dans son savoureux best-seller, "Les hommes viennent de Mars, les femmes viennent de Vénus".

Il reste cependant vrai qu'en chacun de nous, il y a une certaine part de féminin et de masculin, plus ou moins développée selon les individus, mais de là à vouloir chercher à inverser complètement ces polarités... Il y a un très grand pas, qu'il me semble bien dangereux de franchir !
Bien sûr, comme en toutes choses, il y a toujours des exceptions qu'il convient d'accepter, de respecter et d'accueillir avec bienveillance....

Hommes et femmes ne développent pas les mêmes centres d'intérêt, ne sont pas attirés par les mêmes choses. Chaque sexe possède ses domaines de prédilection, où il peut s'épanouir et exceller, avec plus ou moins de facilité et prédisposition.

Les hommes sont, par exemple, bien plus performants dans les sports de haut niveau lorsqu'il s'agit de délivrer de la puissance brute et c'est bien pour cela, que la pratique des sports n'a jamais été mixte lors des compétitions… A contrario, on retrouve une domination écrasante et une surreprésentation des femmes dans d'autres domaines, 80% d'étudiantes en médecine, 90% en école de magistrature, 80% en psychologie. Une prédilection des femmes pour des activités comme les loisirs créatifs, la couture, le shopping... 

Il est tout à fait faux de penser que cela est forcé, ce sont des inclinaisons naturelles. S'il est vrai qu'on ne peut que constater que l'on retrouve une domination écrasante des hommes dans les hautes sphères de la société, dans des postes à responsabilité, parmi les grands penseurs philosophes, les génies, les inventeurs, les artistes, ou les créateurs, ce n'est certainement pas le résultat d'une oppression patriarcale millénaire, d'un complot ourdi par les hommes pour s'assurer, tout au long de l'histoire, d'une implacable domination sur les femmes : c'est simplement lié au fait qu'il y a une proportion beaucoup plus importante de surdoués garçons que de surdouées chez les filles, même si l'intelligence moyenne des hommes et des femmes est à peu près équivalente, pour ce qui concerne la norme. Cependant, à la marge, dans les extrêmes de l'intelligence à hauts potentiels de QI, on compte 1 femme pour 20 hommes !

Ce n'est sans doute pas juste, mais la nature est ainsi faite et ne s'embarrasse pas de ce genre de considérations…

De même, pour ce qui concerne la bêtise des bas QI, on retrouve en proportion beaucoup plus d'hommes que de femmes. Les hommes sont toujours situés dans les extrêmes... Que l'on s'entende bien, on parle là d'individus à hauts potentiels, rarissimes dans la population globale…

De manière générale, les hommes sont plus brillants dans les domaines théoriques et dans l'abstraction pure, tandis que les femmes sont bien plus douées pour le langage et l'intuition.

Ainsi, pour le prix Nobel de physique chimie, on compte 6 femmes pour 361 hommes, soit 1,6 pourcents et pour les mathématiques, on retrouve 1 seule femme pour 35 hommes soit 1,8 %, une domination masculine tout à fait écrasante !

De toute façon, il paraît clair que tous ces brillants hommes, qui ont durablement marqué l'histoire de l'humanité n'ont, pour la plupart, réussir à s'accomplir pleinement, qu'en étant épaulé par la présence aimante et le soutien d'une femme à leurs côtés…

Une société patriarcale, vraiment ?

Pour justifier le mouvement féministe, on met sans cesse en avant d'inacceptables inégalités hommes/femmes qui perdureraient toujours au sein de notre société et qui seraient le fruit d'une forme d'oppression sociale machiste : des inégalités de traitement, de considération et d'ordre salarial.



La chaîne ARTE est même allée jusqu'à affirmer que la différence de taille constatée entre les femmes et les hommes, qui sont souvent plus grands que leurs homologues féminins, s'expliquait par le fait que ces sadiques, ces rustres cruels privaient depuis la nuit des temps délibérément leur femelle de nourriture ! Où, comment raconter d'insondables inepties et réécrire tout simplement l'histoire, pour soutenir à tout prix une idéologie… C'est très fort pour une chaîne culturelle, réservée aux citoyens les plus éclairés de la nation.

Pour ce qui est des inégalités salariales : à compétences et poste équivalents, contrairement aux idées reçues, elles sont en réalité tout à fait négligeables, et s'expliquent essentiellement par le fait que les femmes, sont par nature, moins carriéristes et ont souvent à cœur de ne pas négliger l'intérêt de leur famille. Elles feraient alors passer leur carrière au second plan, se ménageant plus de temps pour leurs enfants, contrairement aux hommes souvent plus ambitieux et qui ne lésinent pas à faire des heures supplémentaires.

Les effets délétères de l'idéologie

L'un des probables résultats de cette idéologie pseudo-progressiste est le nombre ahurissant de divorces et de séparations qui affectent maintenant notre société moderne : ils ont étés multipliés par 3 en 30 ans, ils représentent 1 mariage sur 3.

Nous sommes tombés dans la société du zapping, même dans le domaine des relations humaines... Ces innombrables séparations peuvent, sans doute, s'expliquer, en grande partie, par le fait que l'on a systématiquement, scrupuleusement et consciencieusement déconstruit, cassé toutes les représentations et rôles traditionnels dévolus à chacun des deux sexes, tant est si bien qu'hommes et femmes se sentent souvent totalement perdus et ne trouvent plus vraiment leur repères et leur place au sein du foyer, ils ont de plus en plus de difficulté pour aborder le sexe opposé et cela génère inévitablement de fortes incompréhensions mutuelles.

En outre, ces divorces sont rarement à l'avantage des femmes et elles se retrouvent bien souvent à devoir assumer seules l'éducation des enfants… Le mariage à été complètement dénigré et dévalorisé, il est en passe de disparaître et est passé d'une institution sacrée, d'un profond engagement au regard de Dieu, à un simple contrat, une simple formalité administrative signée en mairie sur un bout de papier.

Aldous Huxley faisait déjà le constat de cette tendance sociétale de fond en son temps et anticipait l'évolution du mariage, prédisant l'apparition d'une sorte de Mariage à contrat déterminé avec date d'expiration : « Dans quelques années… On vendra des permis de mariage, comme on vend des permis de chiens, valables pour une période de douze mois, sans aucun règlement interdisant de changer de chien ou d'avoir plus d'un animal à la fois. »

Il est aussi intéressant d'observer que les vocables de mari et de femme sont de plus en plus remplacés par ceux de compagne et compagnons, ce qui est très révélateur de même que père et mère sont remplacés par parent 1 et 2.

Les conquêtes du féminisme en sont-elles vraiment ?

Ce qu'on nous présente comme des conquêtes de haute lutte de la part des mouvements féministes, sont-ils bien de véritables acquis et des émancipations ?

Pour une femme, est-ce que le fait, de pouvoir être exploitée par un patron, au même titre que leurs hommes, constitue une véritable conquête sociale ?

On a présenté le salariat comme une liberté et un choix, alors que de fait, les femmes n'ont maintenant presque plus la possibilité financière de rester à la maison afin de s'occuper de leur foyer, il s'agit d'une obligation. Si auparavant, un seul salaire suffisait pour vivre décemment et entretenir le foyer, ce n'est, de nos jours, malheureusement clairement plus le cas, surtout pour les classes moyennes.

Les femmes qui optent pour ce projet de vie sont d'ailleurs souvent dénigrées et subissent une forte pression sociale, alors même qu'il s'agit pourtant de quelque chose de précieux, noble, valorisant et d’éminemment utile pour la société, en prenant en charge l'éducation des générations futures.

Dans les médias et les films, on a accompagné cette imposture féministe en développant l'image de la femme entreprenante, fière et audacieuse, de l’exécutive Woman, célébrée dans des films comme "Working Girls" de Mike Nichols.

En réalité, tout le monde est perdant dans ce jeu de dupes : les gens n'ont plus le temps, ni l'énergie de prendre véritablement soins d'eux, de passer des moments de qualité et d'échange enrichissants. Leur existence se résume bien souvent à métro/boulot/dodo... Du coup, cela pourri les rapports humains à long terme, et les couples finissent par s'éloigner et se perdre de vue au fur et à mesure. Comble de l'absurde de la situation, il faut dépenser des sommes astronomiques en frais de garde pour combler l'absence et faire élever ses enfants par des tiers.

Dans bien des cas, la femme à troqué le mari aimant pour le patron exploiteur, et je ne pense pas que l'on puisse affirmer qu'elle ait vraiment gagné au change ! Le féminisme est avant tout une posture bourgeoise, les femmes des classes supérieures étant les seules à y trouver véritablement leur compte, contrairement à la caissière de LIDL qui se passerait bien de ce genre d'émancipation...

Le féminisme a été utilisé comme un parfait alibi, pour maximiser les profits du capital, en intégrant pleinement les femmes dans le système économique, en tant que salariées et pour étendre la société marchande, en les comptant en tant que consommatrices. La femme n'a pas été libérée mais enchainée à l'économie de marché ! 

Concrètement, le féminisme à servit les meilleurs intérêts des élites en leur permettant d'attaquer et de casser les familles, de façon à isoler les individus et séparer très tôt les enfants du giron de leurs parents.

Le mouvement a été financé par les élites et notamment par la fondation Rockefeller, afin de pouvoir simplement taxer l'ensemble de la population, de la plus cynique manière.

D'autre part, l'autre grande conquête du féminisme serait le fait de pouvoir voter pour un maître politique ,choisir un pion de l'oligarchie et se bercer d'illusions, au même titre que leurs hommes... soit participer activement à cette vaste mascarade. Une conquête... vraiment ?

Pour terminer cet article, voici une vidéo tout à fait édifiante avec le producteur hollywoodien Aaron Russo, un peu candide et qui tombe tout simplement des nues en apprenant les véritables objectifs du féminisme de la bouche d'un certain Nicholas Rockefeller :
https://www.youtube.com/watch?v=f1I6vZ3OCk0

Commentaires

  1. "Cependant, à la marge, dans les extrêmes de l'intelligence à hauts potentiels de QI, on compte 1 femme pour 20 hommes !"
    Et si on compte 1% d'homme à ce niveau cela ne fait plus beaucoup de femmes.
    Vous allez vous faire des ennemies !!!


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