« L’ignorance, c'est la force ! »
https://vk.com/video503570987_456239028
« La dictature parfaite serait une dictature qui aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs, où les prisonniers ne songeraient même pas à s'évader. Un système d'esclavage, grâce à la consommation et au divertissement, les esclaves auraient l'amour de leur propre servitude. » Aldous Huxley
« L'Éducation est un système d'ignorance imposé. Des centaines de milliards de dollars sont dépensés chaque année pour contrôler l'opinion publique. » Noam Chomsky, philosophe américain
« À l'avenir, chacun aura droit à 15 minutes de célébrité mondiale. » Andy Warhol, artiste du Pop Art
« Il n'existe que deux choses infinies, l'univers et la bêtise humaine... mais pour l'univers, je n'ai pas de certitude absolue... » Albert Einstein
L'abrutissement de masse
Comme on peut le constater tous les jours avec affliction, absolument tout est mis en œuvre pour rabaisser le niveau intellectuel général de la masse, pour maintenir l'homme plus bas que terre, prisonnier de ses plus bas instincts, livré à ses pulsions les plus primaires.
On pourrait parler d'irresponsabilité, de bêtise érigée en système. On se met à vouer un culte à tout ce qui peut niveler vers le bas, dans une véritable et incessante apologie de la bêtise ! Il s'agit de fabriquer des crétins à la chaîne, des êtres malléables, sans colonne vertébrale, prêts à tout accepter, et surtout n'importe quoi ! Il s'agit d'arracher aux individus, toute conscience de leur aliénation, de leur véritable condition et de leur exploitation.
Ainsi, il devient si cool et branché de se complaire dans sa médiocrité, c'est tellement "fun", c'est l'esprit du temps... La figure de l’intello est bien volontiers moquée et dénigrée : il passe souvent pour un sinistre rabat-joie, synonyme de terribles prises de tête ! C'est un frustré, qui ne saurait pas profiter de la vie, de l'instant présent, un gars carrément rasoir et au fond, il faut bien se l'avouer, profondément emmerdant !
De manière générale, tout ce qui permet d'endormir la lucidité et d'occuper les esprits à des futilités est encouragé. Nous sommes plongés en permanence dans la culture du fun, de l'amusement généralisé, du "Carpe Diem". Il s'agit de bannir systématiquement le sérieux de l'existence, de dénigrer et tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée de verticalité, comme la spiritualité, d'entretenir une constante apologie de la frivolité.
Cette culture de l'immaturité se prolonge souvent tard chez les adultes, comme le met en lumière le néologisme "d'Adulescents" (contraction d'adultes et d'adolescents). Ce phénomène sociologique est surtout apparu avec les générations de Baby Boomer et les post soixante huitard, donnant lieu plus tard, à la fameuse génération Tanguy, qui ne décolle plus de chez ses parents avant la 30aine ou la 40aine, parfois aussi pour des raisons économiques. Dans la publicité et les médias, on s'adresse d'ailleurs souvent de manière très infantilisante au public, comme à des enfants en bas-âge. Cela permet de faire régresser l'adulte à un stade plus infantile. La propagande s'accompagne souvent de ce ton très enfantin... Car l'enfant est parfaitement immature, il est beaucoup plus irrationnel que l'adulte, il est très impulsif et fonctionne sur un mode pulsionnel, avant tout par envies et par caprices, ce qui est idéal pour faire consommer. Ces passions ne seront maîtrisées et canalisées que plus tard, après une certaine maturité à l'âge adulte.
C'est encore plus le cas dans les publicités radio qu'à la TV, qui emploient systématiquement une tonalité d'attardé mental, avec des intonations de voix grotesques, caricaturales, parfaitement insupportables et des dialogues affligeants. Les médias mettent aussi en avant des référents, des modèles particulièrement médiocres et stupides, comme certains présentateurs TV... Véritables bouffons des temps modernes, ils se complaisent dans une vulgarité crasse, de Hanouna, en passant par Arthur, Nikos Aliagas, Laurent Ruquier, Jean-Luc Reichmann, Patrick Sébastien et tant d'autres amuseurs publics de bas étage…
Par ailleurs, les grosses plateformes vidéos telles que YouTube, ne cessent de mettre en avant dans leur onglet "Tendances", des contenus indigents, profondément médiocres, tour à tour, stupides, trash et vulgaires. On passe ainsi de clip musicaux, à des vidéos de clashs, des accidents, des challenges dangereux, des tutoriels maquillages, des test ou des vidéo de séquences de "Gameplay" de jeux vidéo, des vidéos de "tuning", des zappings abscons, ou encore des compilations d'exploits de chats, etc. Les titres des vidéos parlent d'eux-même : "Peut-on faire cuire un œuf sur son PC", "Défi nourriture, la licorne gentille contre la licorne méchante", "Acheter tous les produits de la carte KFC, + 8.600 calories", "Je ne mange que de la glace pendant 24 heures", "24 heures non stop avec un casque VR, dormir en réalité virtuelle", "Je mange 600 popcorns chicken de KFC", "Tu perds, tu vois les alcool les plus forts du monde", "Je cherche de l'herbe, Défi Prank". Soit, un véritable concentré de contenus indigents, d'une bêtise crasse des plus toxique et qui arrivent malgré tout à comptabiliser des millions de vues, ce qui laisse perplexe sur la nature humaine, à moins que les vues ne soient artificiellement gonflées... Car les vues peuvent se monnayer, et se trafiquer.
On remarquera que beaucoup de ces vidéos doivent être d'ailleurs directement produites et financées par des marques, comme KFC pour assurer de manière détournée des placements produits et une promotion de la junk food. C'est d'autant plus problématique que ces Youtubeurs Stars, qui font "le buzz", servent de modèles de référence pour les jeunes générations…
De manière générale, tout est bon pour faire le buzz, pour verser dans la surenchère de bêtise, choquer, impressionner, pour attirer l'attention vers soi, gagner le plus de viewers et de fans, quitte à se mettre en danger, à s'exposer aux comportements les plus irrationnels et risqués, à se livrer aux exploits les plus extrêmes.
Sur les médias sociaux, on assiste aussi à une véritable émulation dans la méchanceté gratuite, avec des challenges d'une bêtise invraisemblable comme lécher des glaces dans un magasin sans se faire surprendre, refermer le pot pour de potentiels acheteurs et repartir ni vu, ni connu ! Ou encore, frapper une personne au hasard en ayant pour objectif de la mettre chaos au premier coup tout en filmant son exploit.
On pourrait parler d'irresponsabilité, de bêtise érigée en système. On se met à vouer un culte à tout ce qui peut niveler vers le bas, dans une véritable et incessante apologie de la bêtise ! Il s'agit de fabriquer des crétins à la chaîne, des êtres malléables, sans colonne vertébrale, prêts à tout accepter, et surtout n'importe quoi ! Il s'agit d'arracher aux individus, toute conscience de leur aliénation, de leur véritable condition et de leur exploitation.
Ainsi, il devient si cool et branché de se complaire dans sa médiocrité, c'est tellement "fun", c'est l'esprit du temps... La figure de l’intello est bien volontiers moquée et dénigrée : il passe souvent pour un sinistre rabat-joie, synonyme de terribles prises de tête ! C'est un frustré, qui ne saurait pas profiter de la vie, de l'instant présent, un gars carrément rasoir et au fond, il faut bien se l'avouer, profondément emmerdant !
De manière générale, tout ce qui permet d'endormir la lucidité et d'occuper les esprits à des futilités est encouragé. Nous sommes plongés en permanence dans la culture du fun, de l'amusement généralisé, du "Carpe Diem". Il s'agit de bannir systématiquement le sérieux de l'existence, de dénigrer et tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée de verticalité, comme la spiritualité, d'entretenir une constante apologie de la frivolité.
Cette culture de l'immaturité se prolonge souvent tard chez les adultes, comme le met en lumière le néologisme "d'Adulescents" (contraction d'adultes et d'adolescents). Ce phénomène sociologique est surtout apparu avec les générations de Baby Boomer et les post soixante huitard, donnant lieu plus tard, à la fameuse génération Tanguy, qui ne décolle plus de chez ses parents avant la 30aine ou la 40aine, parfois aussi pour des raisons économiques. Dans la publicité et les médias, on s'adresse d'ailleurs souvent de manière très infantilisante au public, comme à des enfants en bas-âge. Cela permet de faire régresser l'adulte à un stade plus infantile. La propagande s'accompagne souvent de ce ton très enfantin... Car l'enfant est parfaitement immature, il est beaucoup plus irrationnel que l'adulte, il est très impulsif et fonctionne sur un mode pulsionnel, avant tout par envies et par caprices, ce qui est idéal pour faire consommer. Ces passions ne seront maîtrisées et canalisées que plus tard, après une certaine maturité à l'âge adulte.
C'est encore plus le cas dans les publicités radio qu'à la TV, qui emploient systématiquement une tonalité d'attardé mental, avec des intonations de voix grotesques, caricaturales, parfaitement insupportables et des dialogues affligeants. Les médias mettent aussi en avant des référents, des modèles particulièrement médiocres et stupides, comme certains présentateurs TV... Véritables bouffons des temps modernes, ils se complaisent dans une vulgarité crasse, de Hanouna, en passant par Arthur, Nikos Aliagas, Laurent Ruquier, Jean-Luc Reichmann, Patrick Sébastien et tant d'autres amuseurs publics de bas étage…
Par ailleurs, les grosses plateformes vidéos telles que YouTube, ne cessent de mettre en avant dans leur onglet "Tendances", des contenus indigents, profondément médiocres, tour à tour, stupides, trash et vulgaires. On passe ainsi de clip musicaux, à des vidéos de clashs, des accidents, des challenges dangereux, des tutoriels maquillages, des test ou des vidéo de séquences de "Gameplay" de jeux vidéo, des vidéos de "tuning", des zappings abscons, ou encore des compilations d'exploits de chats, etc. Les titres des vidéos parlent d'eux-même : "Peut-on faire cuire un œuf sur son PC", "Défi nourriture, la licorne gentille contre la licorne méchante", "Acheter tous les produits de la carte KFC, + 8.600 calories", "Je ne mange que de la glace pendant 24 heures", "24 heures non stop avec un casque VR, dormir en réalité virtuelle", "Je mange 600 popcorns chicken de KFC", "Tu perds, tu vois les alcool les plus forts du monde", "Je cherche de l'herbe, Défi Prank". Soit, un véritable concentré de contenus indigents, d'une bêtise crasse des plus toxique et qui arrivent malgré tout à comptabiliser des millions de vues, ce qui laisse perplexe sur la nature humaine, à moins que les vues ne soient artificiellement gonflées... Car les vues peuvent se monnayer, et se trafiquer.
On remarquera que beaucoup de ces vidéos doivent être d'ailleurs directement produites et financées par des marques, comme KFC pour assurer de manière détournée des placements produits et une promotion de la junk food. C'est d'autant plus problématique que ces Youtubeurs Stars, qui font "le buzz", servent de modèles de référence pour les jeunes générations…
De manière générale, tout est bon pour faire le buzz, pour verser dans la surenchère de bêtise, choquer, impressionner, pour attirer l'attention vers soi, gagner le plus de viewers et de fans, quitte à se mettre en danger, à s'exposer aux comportements les plus irrationnels et risqués, à se livrer aux exploits les plus extrêmes.
Sur les médias sociaux, on assiste aussi à une véritable émulation dans la méchanceté gratuite, avec des challenges d'une bêtise invraisemblable comme lécher des glaces dans un magasin sans se faire surprendre, refermer le pot pour de potentiels acheteurs et repartir ni vu, ni connu ! Ou encore, frapper une personne au hasard en ayant pour objectif de la mettre chaos au premier coup tout en filmant son exploit.
Le phénomène Jackass, en route vers la décadence
Cet état d'esprit particulièrement délétère de glorification de la bêtise, a été notamment popularisé et encouragé par la célèbre et inénarrable bande de dégénérés congénitaux des "Jackass", dont la signification en argot anglais signifie littéralement niais, bougre d’âne ou de crétin.
Cette fine équipe sévissait dans une série d'épisodes sur MTV, qui remonte déjà à une 20 aine d'années. On y assistait, consterné au spectacle affligeant d'une bande de jeunes adultes, totalement attardés, prendre les risques les plus inconsidérés, effectuer les cascades les plus dangereuses et stupides, adopter les comportements les plus puériles, déviants et toxiques, se livrer aux fantaisies les plus débiles, le tout avec un état d'esprit totalement trash, malsain, pervers et avec une vulgarité confondante…
Il va de soit que, cette belle bande d'abrutis, de fous furieux, a aussi fait en abondance, la promotion de toutes sortes de substances illicites, d'alcools et de drogues en tous genres. Les performances nihilistes de cette bande de Jackass ont rencontré un tel succès public, que plusieurs films sont même sortis dans les salles obscures de cinéma, afin de compiler et célébrer leurs plus imbéciles exploits.
Pour mesurer le sidéral degré de connerie atteint par ces dégénérés, on peut énumérer quelques exploits particulièrement tordus accomplis par Steve-O, le plus fêlé et extrême de la bande. On a ainsi vu ce parfait énergumène s'infliger de très vives douleurs physiques, en ayant été capable de s'agrafer le postérieur ou encore de se fouetter jusqu'au sang. Le même individu s'est aussi, lors d'un One Man Show promotionnel pour le film "Jackass", entre autres réjouissances, aspergé les yeux de citron, coupé la langue avec du verre, avant de se badigeonner le corps avec son propre sang, pour achever de se faire cracher de l'essence enflammée sur les cheveux et le dos ! En somme, un spectacle de haute volée et assurément, un très bel exemple à suivre pour la jeunesse…
Tout cela n'est pas sans rappeler la philosophie d'un certain occultiste et mage Aleister Crowley et de son fameux credo "fait tout ce qu'il te plaît"… En outre, il est aussi très intéressant de remarquer que ce show, profondément décadent et subversif est né dans un magazine spécialisé sur le skateboard et l'humour portant le nom de "Big Brother" !
Cette fine équipe sévissait dans une série d'épisodes sur MTV, qui remonte déjà à une 20 aine d'années. On y assistait, consterné au spectacle affligeant d'une bande de jeunes adultes, totalement attardés, prendre les risques les plus inconsidérés, effectuer les cascades les plus dangereuses et stupides, adopter les comportements les plus puériles, déviants et toxiques, se livrer aux fantaisies les plus débiles, le tout avec un état d'esprit totalement trash, malsain, pervers et avec une vulgarité confondante…
Il va de soit que, cette belle bande d'abrutis, de fous furieux, a aussi fait en abondance, la promotion de toutes sortes de substances illicites, d'alcools et de drogues en tous genres. Les performances nihilistes de cette bande de Jackass ont rencontré un tel succès public, que plusieurs films sont même sortis dans les salles obscures de cinéma, afin de compiler et célébrer leurs plus imbéciles exploits.
Pour mesurer le sidéral degré de connerie atteint par ces dégénérés, on peut énumérer quelques exploits particulièrement tordus accomplis par Steve-O, le plus fêlé et extrême de la bande. On a ainsi vu ce parfait énergumène s'infliger de très vives douleurs physiques, en ayant été capable de s'agrafer le postérieur ou encore de se fouetter jusqu'au sang. Le même individu s'est aussi, lors d'un One Man Show promotionnel pour le film "Jackass", entre autres réjouissances, aspergé les yeux de citron, coupé la langue avec du verre, avant de se badigeonner le corps avec son propre sang, pour achever de se faire cracher de l'essence enflammée sur les cheveux et le dos ! En somme, un spectacle de haute volée et assurément, un très bel exemple à suivre pour la jeunesse…
Tout cela n'est pas sans rappeler la philosophie d'un certain occultiste et mage Aleister Crowley et de son fameux credo "fait tout ce qu'il te plaît"… En outre, il est aussi très intéressant de remarquer que ce show, profondément décadent et subversif est né dans un magazine spécialisé sur le skateboard et l'humour portant le nom de "Big Brother" !
Des défis extrêmes et morbides
Il y a une expression populaire qui dit que « Heureusement que le ridicule ne tue pas », mais sur l'internet, ce n'est clairement pas toujours le cas, puisque nombre de ces vidéos de challenges imbéciles ont souvent tourné au drame et donné lieu à de tragiques et mortels accidents.
Parmi ces défis d'une confondante stupidité et dangerosité, on peut évoquer :
Le "Fire Challenge", ou des adolescents s'immolent en filmant la scène pour faire le buzz ;
Le "Neknomination", qui consiste à boire le plus d'alcool possible d'une seule traite ;
Le "À l'eau ou au resto", qui consiste à se jeter à l'eau pour éviter de payer un restaurant ;
Le "Blue Whale Challenge", qui pousse les adolescents à réaliser des jeux morbides, les incitant parfois jusqu'au suicide (130 adolescents sont ainsi morts de cette aimable plaisanterie) ;
Le classique "Jeu du Foulard", qui consiste à s'étrangler jusqu'à avoir des hallucinations, voire de s'évanouir et qui peut même entraîner des arrêts cardiaques ;
Et beaucoup d'autres, comme "le Cercle infernal", "Le jeu de la "canette", "mikado", "bouc émissaire", "petit pont massacreur", "jugement", "tatane"...
Parmi ces défis d'une confondante stupidité et dangerosité, on peut évoquer :
Le "Fire Challenge", ou des adolescents s'immolent en filmant la scène pour faire le buzz ;
Le "Neknomination", qui consiste à boire le plus d'alcool possible d'une seule traite ;
Le "À l'eau ou au resto", qui consiste à se jeter à l'eau pour éviter de payer un restaurant ;
Le "Blue Whale Challenge", qui pousse les adolescents à réaliser des jeux morbides, les incitant parfois jusqu'au suicide (130 adolescents sont ainsi morts de cette aimable plaisanterie) ;
Le classique "Jeu du Foulard", qui consiste à s'étrangler jusqu'à avoir des hallucinations, voire de s'évanouir et qui peut même entraîner des arrêts cardiaques ;
Et beaucoup d'autres, comme "le Cercle infernal", "Le jeu de la "canette", "mikado", "bouc émissaire", "petit pont massacreur", "jugement", "tatane"...
Dans l'actualité, on peut aussi régulièrement lire ce genre de faits divers dramatiques, comme ce gros malaise en Malaisie, où le 13 mai 2019, une adolescente de 16 ans a réalisé sur Instagram un petit sondage pour savoir si elle devait continuer à vivre ou plutôt mourir. Le verdict fut sans appel, la majorité de ses abonnés s'étant prononcés pour sa mort… l'ado s'est donc exécutée, mais au sens propre du terme, en passant à l'acte en se défenestrant du troisième étage de son immeuble !
Un grand vide existentiel
Cette course à la reconnaissance est sans doute là pour combler un certain vide existentiel, consubstantiel à cette société en totale perte de sens, de valeurs et de repères. Une société profondément malade, qui n'offre plus aucuns grands idéaux et plus d'horizon pour la jeunesse.Ce qui explique aussi cette invasion d'antidépresseurs dans la population véritables pillules du bonheur, semblables au "Soma" de Huxley. La France étant numéro un au monde dans ce domaine, les antidépresseurs sont devenus des ingrédient essentiel pour tenir le coup et son déjà consommés par les plus jeunes.
Bien sûr, ce n'est pas un phénomène nouveau et de tout temps, la jeunesse est passée par une période de révolte, de rébellion, à chercher à se sentir vivre et exister, en repoussant sans cesse ses propres limites, en recherchant des sensations fortes, en bravant les interdits et l'autorité parentale.
C'était déjà le sujet en 1955 du mythique film de Nicholas Ray, "La fureur de vivre", avec James Dean, où les jeunes se défiaient et se mettaient en grand danger, lors de courses de voitures périlleuses et extrêmes. James Dean, est d'ailleurs mort au volant d'une voiture de course, une Porsche 550 Spyder. Mais il y a eu, depuis lors, comme un saut qualitatif, et le niveau atteint par les nouveaux jeux et défis que se lancent de nos jours nos jeunes adolescents n'a strictement plus rien à voir avec celui des anciennes générations.
La TV réalité, toujours plus trash
Les émissions de TV trash pullulent et monopolisent de plus en plus de temps de cerveaux et d'antenne, tout en devenant de plus en plus extrêmes, choquantes, abjectes, avilissantes et dégradantes. C'est presque une mécanique inévitable qui s'impose de fait, afin de maintenir en éveil l'intérêt et continuer à piquer la curiosité malsaine des spectateurs, qui pourraient finir par se lasser de toutes ces émissions creuses, qui finissent immanquablement par tourner en rond et à vide. C'est comme pour la drogue, il faut augmenter les doses pour faire encore de l'effet…
Ainsi, la société ENDEMOL (dont on pourra remarquer que l'anagramme forme le mot "LE DEMON", simple coïncidence, ou volonté cachée ?), une des pionnières en matière de TV réalité, est allée encore plus loin dans la subversion et dans la perversion en proposant, en Hollande, l'émission "Spuiten en Slikken", qui passe en plus sur une chaîne jeunesse de la télévision publique néerlandaise... Cette émission, au concept plus que douteux, propose de tester toutes les drogues existantes ainsi que différents rapports et expériences sexuelles, en direct ! On défie ici la morale la plus élémentaire, en titillant toujours plus loin, notre curiosité, en attisant notre perversité et notre voyeurisme. Au programme donc : sniffer de la cocaïne, participer à des orgies sexuelles, se faire sodomiser par un homme, ou bien gober des champignons hallucinogènes. Au menu des drogues testés, de la cocaïne, du LSD, de l'ecstasy, de la kétamine et de l’héroïne. Du côté des expériences sexuelles, des reportages ont été réalisés portant sur une comparaison entre, une fellation faite par un homme et par une femme... Ce qui revêt, il faut en convenir, un caractère de question existentielle.
Mais ce n'est pas tout, si on pensait avoir tout vu dans cette course effrénée vers toujours plus de contenus choquant et extrêmes, et bien non, c'était sans compter la télé-réalité néerlandaise, qui ose mettre le cannibalisme à l'honneur des festivités ! Ainsi, deux jeunes présentateurs ont dû manger en direct un morceau de la chair de l'autre ! Dennis Storme et Valerio Zeno, se sont ainsi fait prélever un petit bout de chair par un chirurgien. Un cuisinier a ensuite été requis pour cuire les deux morceaux, de la taille d'un raisin sec. On se demande bien comment les autorités peuvent laisser diffuser en Prime Time de telles abjection, aussi dangereuses pour le corps social, si ce n'est dans une volonté délibérée d'avilissement et de subversion !
De même, on peut aussi légitimement se demander, jusqu'où toute cette folie va nous emporter... Allons-nous revenir aux temps des barbares ou des gladiateurs, avec la mise en scène de spectacles cruels et hautement décadents, de féroces combats à mort, où le public pourra voter à distance, par voie électronique, en pressant sur un pouce Facebook, pour la mise à mort où la clémence du vaincu ? Y aura-t-il sous peu des chasses à l'homme, sous l'œil des caméras, comme dans les films "Le prix du danger" de Yves Boisset, "Running Man" de Paul Michael Glaser ou "Battle Royale" de Kinji Fukasaku, ou encore la série "Hunger Games" de Gary Ross ? Aux États-Unis, la police diffuse bien en temps-réel, les images des arrestations et des courses-poursuites, qui finissent parfois de la plus tragique des manières… En réalité, on en est plus très loin !
D'autre part, toutes ces émissions de TV réalité regorgent de candidats plus incultes les uns que les autres... On propulse sur le devant de la scène, des bimbos décérébrées, comme Nabilla ou Kim Kardashian, sans aucun talents particuliers, si ce n'est peut-être le calibre imposant de leurs seins ou de leur fessier, qui peuvent, il faut bien en convenir, forcer le respect ! Leur affligeante bêtise, si elle est moquée et tournée en dérision, devient tout de même un atout majeur, elle fait toute leur gloire et leur notoriété, elle est célébrée.
La bêtise est alors érigée comme modèle de réussite sociale. Pour nos élites, cela permet de niveler la populace vers le bas, car cela lui donne le sentiment, qu'après tout, elle n'est pas si bête, elle n'a donc nul besoin de fournir plus d'efforts que cela pour tenter de s'élever ou de se cultiver… Elle peut très bien se complaire dans sa médiocrité et son ignorance crasse.
Dans une certaine mesure, les presse des magazines People et la TÉLÉ-réalité ont gommé le fossé, du moins en apparence, entre les gens lambda et les stars. On nourrit auprès de la population, le sentiment parfaitement illusoire, qu'elle peut partager un peu de leur vie, en les suivant dans leur vie privée, dans les coulisses et dans leur quotidien. Ce qui laisse penser tout un chacun, qu'au fond, ils ne sont pas si différents de nous. Les émissions, qui auparavant s'intéressaient surtout aux stars pour leurs productions et leurs œuvres artistiques, tournent maintenant essentiellement autour de leur intimité privée. Tandis que dans le même temps, on fait miroiter des rêves de célébrité et de gloire accessible et facile à l'ensemble de la population.
D'où une explosion de la culture du narcissisme et l'hyper-individualisme, où chacun reste intimement persuadé qu'une étoile sommeille en lui. Dans un perpétuel jeu de rôle, Monsieur tout le monde joue alors à la star, tandis que les stars jouent à Monsieur tout le monde. Ainsi, depuis l'essor des émissions de télé-réalité des années 2000, la TV met sans cesse en avant des gens du quotidien, des "vrais gens", qui connaissent une ascension aussi irrésistible que soudaine, leur quart d'heure de gloire à la Andy Warhol. Mais cette notoriété si fulgurante, reste un parfait miroir aux alouettes, car elle demeure aussi illusoire qu'éphémère, en étant totalement artificielle, puisque n'étant basée sur aucun mérites ou talents particuliers. En toute logique, elle ne peut qu'immanquablement retomber dans l'anonymat le plus total !
De plus, on diffuse aussi sans cesse, sur les télécrans, de belles "Success Story", des émissions qui mettent en avant des personnes fortunées, comme autant de vitrines de réussites éclatantes, qui seraient produites par ce modèle de société capitaliste. On place sous le feu des projecteurs, des individus qui mènent une existence dorée et un train de vie somptuaire. Ces portraits servent à maintenir l'illusion d'une possibilité de réussite indécente au sein de ce système. Ainsi, nous avons souvent le droit à des parcours de personnes qui sont issues de milieux modestes et qui ont bâti toute leur fortune, juste avec un peu de détermination, de l'opportunisme et quelques bonnes idées... Alors même que de toute évidence, ce genre de trajectoire reste parfaitement marginale, on entretien ainsi l'idée que l'ascenseur social fonctionne encore pleinement dans cette société en réalité profondément inégalitaire,...
D'où l'émergence et le développement massif que l'on peut constater de tous ces nouveaux métiers de conseils et de coachings, de développement personnel, censés nous aider à décrocher la lune, nous délivrer la formule magique de l'accomplissement ultime, dans tous les domaines de la vie. Ces coachs sont en fait les béquilles psychologiques de ce système parfaitement inégalitaire et disfonctionnel. Ils permettent de rediriger les difficultés et les problèmes qui sont souvent d'ordre extérieurs, liés par exemple, au marché de l'emploi ou à la conjoncture, vers la personne qui est en difficulté et est en demande d'aide et de soutien. Comme on ne pourrait pas changer la société, il reviendrait à l'individu la pleine et entière responsabilité de se changer lui-même à son échelle...
Mais ce n'est pas tout, si on pensait avoir tout vu dans cette course effrénée vers toujours plus de contenus choquant et extrêmes, et bien non, c'était sans compter la télé-réalité néerlandaise, qui ose mettre le cannibalisme à l'honneur des festivités ! Ainsi, deux jeunes présentateurs ont dû manger en direct un morceau de la chair de l'autre ! Dennis Storme et Valerio Zeno, se sont ainsi fait prélever un petit bout de chair par un chirurgien. Un cuisinier a ensuite été requis pour cuire les deux morceaux, de la taille d'un raisin sec. On se demande bien comment les autorités peuvent laisser diffuser en Prime Time de telles abjection, aussi dangereuses pour le corps social, si ce n'est dans une volonté délibérée d'avilissement et de subversion !
De même, on peut aussi légitimement se demander, jusqu'où toute cette folie va nous emporter... Allons-nous revenir aux temps des barbares ou des gladiateurs, avec la mise en scène de spectacles cruels et hautement décadents, de féroces combats à mort, où le public pourra voter à distance, par voie électronique, en pressant sur un pouce Facebook, pour la mise à mort où la clémence du vaincu ? Y aura-t-il sous peu des chasses à l'homme, sous l'œil des caméras, comme dans les films "Le prix du danger" de Yves Boisset, "Running Man" de Paul Michael Glaser ou "Battle Royale" de Kinji Fukasaku, ou encore la série "Hunger Games" de Gary Ross ? Aux États-Unis, la police diffuse bien en temps-réel, les images des arrestations et des courses-poursuites, qui finissent parfois de la plus tragique des manières… En réalité, on en est plus très loin !
D'autre part, toutes ces émissions de TV réalité regorgent de candidats plus incultes les uns que les autres... On propulse sur le devant de la scène, des bimbos décérébrées, comme Nabilla ou Kim Kardashian, sans aucun talents particuliers, si ce n'est peut-être le calibre imposant de leurs seins ou de leur fessier, qui peuvent, il faut bien en convenir, forcer le respect ! Leur affligeante bêtise, si elle est moquée et tournée en dérision, devient tout de même un atout majeur, elle fait toute leur gloire et leur notoriété, elle est célébrée.
La bêtise est alors érigée comme modèle de réussite sociale. Pour nos élites, cela permet de niveler la populace vers le bas, car cela lui donne le sentiment, qu'après tout, elle n'est pas si bête, elle n'a donc nul besoin de fournir plus d'efforts que cela pour tenter de s'élever ou de se cultiver… Elle peut très bien se complaire dans sa médiocrité et son ignorance crasse.
Dans une certaine mesure, les presse des magazines People et la TÉLÉ-réalité ont gommé le fossé, du moins en apparence, entre les gens lambda et les stars. On nourrit auprès de la population, le sentiment parfaitement illusoire, qu'elle peut partager un peu de leur vie, en les suivant dans leur vie privée, dans les coulisses et dans leur quotidien. Ce qui laisse penser tout un chacun, qu'au fond, ils ne sont pas si différents de nous. Les émissions, qui auparavant s'intéressaient surtout aux stars pour leurs productions et leurs œuvres artistiques, tournent maintenant essentiellement autour de leur intimité privée. Tandis que dans le même temps, on fait miroiter des rêves de célébrité et de gloire accessible et facile à l'ensemble de la population.
D'où une explosion de la culture du narcissisme et l'hyper-individualisme, où chacun reste intimement persuadé qu'une étoile sommeille en lui. Dans un perpétuel jeu de rôle, Monsieur tout le monde joue alors à la star, tandis que les stars jouent à Monsieur tout le monde. Ainsi, depuis l'essor des émissions de télé-réalité des années 2000, la TV met sans cesse en avant des gens du quotidien, des "vrais gens", qui connaissent une ascension aussi irrésistible que soudaine, leur quart d'heure de gloire à la Andy Warhol. Mais cette notoriété si fulgurante, reste un parfait miroir aux alouettes, car elle demeure aussi illusoire qu'éphémère, en étant totalement artificielle, puisque n'étant basée sur aucun mérites ou talents particuliers. En toute logique, elle ne peut qu'immanquablement retomber dans l'anonymat le plus total !
De plus, on diffuse aussi sans cesse, sur les télécrans, de belles "Success Story", des émissions qui mettent en avant des personnes fortunées, comme autant de vitrines de réussites éclatantes, qui seraient produites par ce modèle de société capitaliste. On place sous le feu des projecteurs, des individus qui mènent une existence dorée et un train de vie somptuaire. Ces portraits servent à maintenir l'illusion d'une possibilité de réussite indécente au sein de ce système. Ainsi, nous avons souvent le droit à des parcours de personnes qui sont issues de milieux modestes et qui ont bâti toute leur fortune, juste avec un peu de détermination, de l'opportunisme et quelques bonnes idées... Alors même que de toute évidence, ce genre de trajectoire reste parfaitement marginale, on entretien ainsi l'idée que l'ascenseur social fonctionne encore pleinement dans cette société en réalité profondément inégalitaire,...
D'où l'émergence et le développement massif que l'on peut constater de tous ces nouveaux métiers de conseils et de coachings, de développement personnel, censés nous aider à décrocher la lune, nous délivrer la formule magique de l'accomplissement ultime, dans tous les domaines de la vie. Ces coachs sont en fait les béquilles psychologiques de ce système parfaitement inégalitaire et disfonctionnel. Ils permettent de rediriger les difficultés et les problèmes qui sont souvent d'ordre extérieurs, liés par exemple, au marché de l'emploi ou à la conjoncture, vers la personne qui est en difficulté et est en demande d'aide et de soutien. Comme on ne pourrait pas changer la société, il reviendrait à l'individu la pleine et entière responsabilité de se changer lui-même à son échelle...
La courbe du quotient intellectuel en chute libre.
L'intelligence générale dans les pays occidentaux décrit maintenant une courbe descendante, avec une baisse nette du quotient intellectuel. Dans les pays scandinaves, par exemple, il à été observé qu'il baisse inexorablement chaque année. Ainsi, en Finlande, depuis 20 ans, ce marqueur de l'intelligence a baissé de deux points par année, comme le révèle des études scientifiques présentées dans le documentaire "Idiocracy, devenons nous tous idiots ?" de la chaîne Arte.
En dehors de l'abrutissement ambiant et généralisé par les divertissements et la sous-culture de masse, des effets délétères de la télévision et des écrans, ce phénomène peut aussi être expliqué par d'incessantes agressions environnementales, avec de nombreux perturbateurs endocriniens, des substances et molécules chimiques comme le Brome, le Chlore et le Fluor qui ont une structure très proche des hormones thyroïdiennes. Le bon fonctionnement de la thyroïde étant décisif pour le bon développement cérébral.
De plus, il y a aussi le rôle très néfaste joué par les PCB, les pesticides, triclosan, perfluoré, glyphosate, bysphenol A, métaux lourds, Phtalates, etc... On peut encore évoquer la responsabilité des retardateurs de flammes qui sont présents dans d'innombrables objets du quotidien, au mépris de la santé publique et en dépis du bon sens, puisque leur efficacité est nulle !
En fait, nous baignons tous en permanence dans une véritable soupe de substances chimiques hautement agressives et dangereuses pour nos neurones et nos organismes ! Il serait peut-être temps d'arrêter le massacre.
De plus, il y a aussi le rôle très néfaste joué par les PCB, les pesticides, triclosan, perfluoré, glyphosate, bysphenol A, métaux lourds, Phtalates, etc... On peut encore évoquer la responsabilité des retardateurs de flammes qui sont présents dans d'innombrables objets du quotidien, au mépris de la santé publique et en dépis du bon sens, puisque leur efficacité est nulle !
En fait, nous baignons tous en permanence dans une véritable soupe de substances chimiques hautement agressives et dangereuses pour nos neurones et nos organismes ! Il serait peut-être temps d'arrêter le massacre.
Idiocracy
Tout cela n'est pas sans rappeler le film satirique, très drôle et malheureusement assez visionnaire "Idiocracy" de Mike Judge, qui dépeint une société totalement décérébrée, où un Américain moyen, des plus médiocre se retrouve, après une très longue période d'hibernation de 1000 ans, transporté dans une société peuplée de débiles mentaux, de joyeux drilles attardés. Malgré sa médiocrité originelle, il se retrouve alors propulsé au statut de véritable petit génie, car au royaume des cons, les imbéciles sont rois ! Suivant la même inexorable déchéance que le reste de ses cons-de-citoyens, le président de cette société en pleine déliquescence, est alors devenu un vulgaire acteur porno, qui salue son peuple en lui adressant des doigts d'honneur ravageurs, un personnage haut en couleur, caricatural qui par certains côtés, n'est pas sans rappeler un certain Donald Trump ; mais ce n'est pas tout puisqu'un musée d'histoire présente Charlie Chaplin, comme le véritable responsable des crimes nazis ; Les gens vivent aussi dans une décharge à ciel ouvert, car ils ne sont même plus capables de gérer leurs propres déchets ; les jeux du cirque consistent en de furieux et tonitruants affrontements de bulldozers, en forme de godemichés géants... Un véritable festival de conneries !
La description de cette société du futur, est un jeu de massacre assez jubilatoire, mais aussi très effrayante, car, de plus en plus crédible et plausible ! Sous ses dehors anecdotiques de petit film trash sous acide et de farce bien potache, c'est en fait une mise en abîme vertigineuse tendue comme un miroir vers notre société !
La description de cette société du futur, est un jeu de massacre assez jubilatoire, mais aussi très effrayante, car, de plus en plus crédible et plausible ! Sous ses dehors anecdotiques de petit film trash sous acide et de farce bien potache, c'est en fait une mise en abîme vertigineuse tendue comme un miroir vers notre société !
En fait, la principale erreur de ce film est sans doute les 1000 ans estimés par le réalisateur pour atteindre ce niveau d'inexorable décadence, c'est du moins la réflexion que l'on peut faire, suite au visionnage d'une simple émission de l'insupportable Hanouna, véritable thermomètre de la lobotomisation ambiante...
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