Satanisme dans la musique

Satanisme dans la musique

"Vous commencez  à  sentir  que c'est  Satan le plus puissant, et que si vous rendez service à Dieu dans la vie, cela signifie que vous n'allez pas prospérer, et que le seul moyen de prospérer est de se vouer à la gloire... C'est comme si le diable avait volé tous les bons producteurs... Que le diable avait volé tous les bons musiciens, tous les bons artistes, tous les bons designers, tous les bons affairistes et leur avait dit de travailler pour lui." Kayne West, rappeur américain à grand succès

"Donnez moi la musique d'une nation et je ne me soucis guère de ceux qui font ses lois,
je vais contrôler sa population."
- Platon


La musique a toujours été quelque chose, de positif, d'agréable, d'entraînant, d'inspirant, de ressourçant, une libération et une émancipation. Pourtant, on ne peut que constater que depuis des dizaines d'années, elle devient de plus en plus aliénante, déshumanisante, pauvre, décadente, sombre et violente… La musique est un fait social et un vecteur d'identité, elle structure notre perception du monde. Ainsi, ce que l'on entend à une importance aussi capitale que ce que l'on peut voir ou ce que l'on peut lire par ailleurs. Elle est un révélateur social, un générateur de symboles politiques, mais aussi religieux. Avec ces messages répétés en boucle et ses mélodies aux rythmes accrocheurs, la musique constitue un canal idéal pour changer les mentalités et ancrer durablement dans les esprits toutes sortes de propagandes.

C'est une manière bien plus efficace d'influencer que par un autre média, ou par une voie politique. Force est de constater que le satanisme est une lourde tendance de fond dans toute cette sous-culture de la musique industrielle, dans le Rock, le Rap, mais aussi dans la Pop, avec des chansons mainstream réservées à un très large public.



Quant aux musiques de Black Métal et de Death Metal, on n'en parle même pas... C'est tout simplement ahurissant, tant cela saute littéralement aux yeux et aux oreilles. En fait, il en faut pour tous les goûts, il faut pouvoir toucher le cœur et les sensibilités de tous les types de publics  !

Cette dimension occulte et ésotérique de la musique est un phénomène particulièrement évident, tant dans la forme des clips musicaux, que dans le fond des paroles des chansons, qui ne souffrent souvent d’aucune ambiguïté ! On ne peut qu'être frappé par leur nature profondément blasphématoire à l'égard de Dieu, du Messie et de son message... Il y a bien là une volonté manifeste de salir, outrager et avilir tout ce qui relève du sacré et aussi de glorifier toute une culture de mort.

Les thématiques tournent essentiellement autour de tueurs en série, du suicide, de la guerre, de massacres, de l'enfer, des démons et du satanisme. Il n'est pas excessif de parler d'empoisonnement des esprits. C'est tout particulièrement le cas dans le Death Metal, la forme de Heavy Metal la plus extrême.

Chaque année, pour célébrer cette musique tapageuse, il s'organise en France, un immense festival, le Hellfest, littéralement, "La fête de l'Enfer", où se succèdent les groupes les plus provocants et violemment blasphémateurs, aux noms particulièrement évocateurs comme "Black Sabbath" (soit une ode à la sorcellerie), "Morbid Angel" (Ange morbide), "Redrum" (comprendre "meurtre", en verlan...), "Cannibale Corpse" ("Corps cannibale"), "Sepultura", "Apocalyptica", "Mass Hysteria" (Hystérie de masse), "Rob Zombi", "Bad Religion" (La religion du mal), "Suicidal Tendencies" (Tendances suicidaires), KISS (King In Satan Service), Judas Priest, Alice in chains, Dead Cross, Church of Misery, Ho99o9 (dont le nom évoque le chiffre de la bête, le 666), j'en passe et des meilleurs. Ce festival, connaît un succès retentissant, depuis son lancement en 2006 et il a attiré, jusqu'à 152 000 spectateurs en 2015. Bien entendu, il a la caution pleine et entière de ce système de propagande médiatique et a même été élu par trois fois comme meilleur grand festival musical, respectivement en 2014, 2015 et 2018. Il a eu pour ardant défenseur le député Patrick Roy, qui en a même fait la promotion à l'Assemblée nationale, et pour caution morale, un certain Frédéric Mitterrand, alors ministre de la "cul-ture" et pédophile notoire ! Tout ceci participe à la banalisation et à la normalisation de cet événement. On pourra s'étonner que personne ne s'émeuve des fréquents appels à la haine ciblant les Chrétiens que profèrent la plupart de ces groupes, alors même qu'on ne cesse de faire par ailleurs la chasse aux propos haineux sur internet... Le deux poids, deux mesures est ici manifeste et d'une incroyable hypocrisie.

Les codes vestimentaires de la culture Metal, sont gothiques, très sombres, ultra-glauques, malsains et lugubres. Les croix inversées, les crânes, les pentagrammes et les symboles occultes se bousculent. Les références liées au Moyen-âge se mêlent à l'Antiquité Babylonienne, aux Vikings et aux paysages enneigés de la Scandinavie.

Le signe de reconnaissance par excellence de ces rassemblements est "le Cornuto", qui représente, ni plus ni moins, que les cornes de bouc des adorateurs du Diable. Certains arguent que ce signe voudrait en réalité signifier "je t'aime" en langage des sourds, car c'est effectivement le même signe.

Mais, d'une part je ne ressens clairement aucun amour émanant des personnes qui manifestent ce signe et d'autre part, Hélène Keller, qui a inventé le langage des sourds, était elle-même une occultiste et faisait partie de la secte théosophique dont la créatrice, Helena Blavatsky était une occultiste et sataniste de premier plan qui écrivait à ses heures perdues des éloges enflammés au prince de monde.

Elle affirmait ainsi que : « Satan est le dieu de notre planète, et le seul Dieu ! »  ou encore « Voyez, l'homme est devenu comme l’un d'entre nous, capable de connaître le bien et le mal (...) doit en réalité avoir été l'Ilda-baoth, le Démiurge des Nazaréens, plein de rage et d’envie envers ses créatures (...). Dans ce cas il est très naturel, même en s'en tenant à la lettre, de considérer Satan, le Serpent de la Gnose, comme le vrai Créateur et Bienfaiteur, comme le Père de l'Humanité spirituelle. Ce fût lui, en fait, le "Précurseur de la Lumière", le brillant et radieux Lucifer qui ouvrit les yeux à l'Automate "créé", comme on le prétend, par Jéhovah. Ce fut lui qui le premier murmura : "Le jour où vous en mangerez, vous serez comme Elohim et vous connaîtrez le bien et le mal ; donc il ne peut être considéré que comme un Sauveur (...)” le magnifique apostat, le puissant rebelle qui est toutefois en même temps le "Porte-Lumière”, le " Lucifer ", "L'Étoile du Matin” [...]. Énergie céleste, invincible et sans sexe (...) invincible combattant virginal, revêtu (...) et en même temps armé du jeu gnostique du "refus de créer". »
Dommage, pour l'amour on repassera...

La teneur des paroles de ces chansons se passe de commentaires, elle dépasse l'entendement, et se résume bien souvent à un torrent d'insanités ordurières. Elles possèdent souvent une indéniable dimension religieuse, liturgique et sont même parfois constituées de psaumes sataniques ou d'incantations en latin !

Quant à la dite "musique" de ses groupes, insupportablement dissonante, elle est dénuée de la moindre harmonie. Force est de constater qu'elle tient plus d'une infâme bouillie sonore, innommable et ténébreuse ! Les "chanteurs" passent le plus clair de leur temps à hurler, vociférer, tels des possédés, avec fureur et bestialité, à cracher leurs tripes dans les micros, à s'en casser les cordes vocales, le tout au son de guitares ultras saturées.

Fait intéressant à relever, les rythmes dissonants du Métal sont basés sur le triton qui a été systématiquement évité dans la musique, car jugé trop dur et agressif à l'oreille, ce qui lui a valu au Moyen-âge, le surnom de « Diabolus In Musica ». En raison de cette association symbolique originelle, les sonorités de l'intervalle ont été, dans l'inconscient populaire, culturellement assimilées à quelque chose de diabolique. "Le triton" créé une grande tension qui est liée à un déséquilibre. L'emploi du triton tend souvent à connoter un sentiment « malsain » ou « maléfique », surtout quand sa dissonance est utilisée sans fonctionnalité tonale.

Quant aux paroles des chansons de Metal, si au début elles étaient subtiles ou intégraient même certains de leurs messages par voie subliminale ou codée ou joué à rebours. Une pratique initiée par le mage sataniste Aleister Crowley, elles sont maintenant devenues de véritables odes à Satan, totalement assumées. Au fil du temps, on assiste donc à une gradation, un mouvement ascensionnel, de plus en plus extrême dans ces mouvements de musique, qui s'affirment et s'affichent de manière de plus en plus décomplexée, comme ouvertement satanistes. On est ainsi passé du "Rock n'roll", au "Hard rock", puis au "Metal", au "Heavy metal", et enfin au "Metal extrême" qui comprend le "Black metal" et le "Death metal". Soit, une véritable pyramide dans l'échelle de la subversion et de la transgression totale, avec des apologies des comportements des plus délétères. Au programme : dépravation à outrance du sexe, ultra violence, gore, incitation au meurtre ou au suicide, anarchisme, destruction, consommation des drogues et de l'alcool à outrance. Tout cela opère comme un viol des consciences et un lavage collectif des cerveaux avec une banalisation de la débauche et une normalisation progressive du mal le plus profond. Un mouvement subversif continu qui creuse le fossé entre les différentes générations.

Voici, par exemple, la teneur des paroles de la chanson "The God of thunder" du groupe KISS, dont le nom signifie Kings in Satan's Service, or Kings signifie ministres de Satan :

« Je fus élevé par un démon
Préparé à régner comme celui qui est.
Je suis le Seigneur du désert,
Un homme de fer des temps modernes.
J'appelle les ténèbres pour me faire plaisir
Et je t'ordonne de te mettre à genoux
Devant le dieu du tonnerre,

le dieu du Rock'n'roll.»

Dans le Métal, certaines chansons constituent même des apologies de la violence, des appels caractérisés au meurtre ou au suicide, sans que personne ne s'en émeuve outre mesure, alors que toute incitation à la haine est théoriquement censée être réprimée par la loi, et que l'on fait la chasse aux propos tendancieux et haineux sur la toile, en limitant de plus en plus la liberté d'expression ! Certains adolescents se sont d'ailleurs suicidés, influencés par une musique qui véhicule des messages aussi délétères.

On peut trouver de véritables appels aux meurtre, le sacrifice ultime pour plaire à Lucifer et ainsi obtenir les promesses de ses bonnes grâces . Ainsi dans les paroles de la chanson "Sacrifice", véritable ode à Lucifer du groupe Venom d’Anthony C. Bray, il est déclamé : Figures encapuchonnées, ciel nuageux Des incendies brulent dans leur yeux Pentagramme avec Baphomet à minuit Chèvre de Mendes lève la tête Convoque les morts-vivants La chaire vierge est attachée et liée Je vous salue Satan
S.A.C.R.I.F.I.C.E.
Criez pour le cri de miséricorde et repentez-vous, Satan réclame votre âme Sacrifice, sacrifice, oh si gentil sacrifice Les bougies illuminent les corps nus La mort d’une vierge est nécessaire là-bas Sacrifiez à Lucifer mon maître Apportez le calice, brandissez le couteau Bienvenue dans mon sacrifice Plongez le poignard dans sa poitrine J’insiste
S.A.C.R.I.F.I.C.E.
Les membres affaiblissent les membres Les démons se réjouissent Sacrifice, sacrifice, nommez votre prix, Sacrifice La mort est rapide quand s’abat l’épée de Satan Qu’ils soient jeunes ou vieux La vie ne signifie rien pour mon seigneur Boire du calice chaud et doux Le dernier battement de coeur de la vierge Satan sourit
S.A.C.R.I.F.I.C.E.
La lune noire et les sorcières dansent, le ciel est refusé Sacrifice, sacrifice, sacrifice, sacrifice

D'autre part, Il est à noter que tous ces groupes donnent lieu à des réactions tout à fait irrationnelles et excessives, provoquant occasionnelement de violentes scènes d'hystérie collective de la part des fans, des mouvements de foules incontrôlés, des pogos déchaînés, où les gens se rentrent dedans avec rage et fracas, tandis que d'autres entrent parfois même dans des états seconds de transe...

De nombreux concerts et festivals rock, ont déjà donné lieu à de véritables scènes d'émeutes, fait éclater des rixes et ont même donné lieu, dans certains cas, à des morts. Quelques fois, d'irrépressibles pulsions de violence, donnent même lieu à des agressions comme cette  spectatrice, qui a dû être évacuée d'un concert de Code Orange, car un autre spectateur, avait exécuté un "Crowd Kill", à savoir un coup de pied au visage alors qu'elle se tenait au bord du pit, entraînant une fracture de  la mâchoire et une hémorragie cérébrale !

Il existe une autre pratique hallucinante : lors de certains concerts de Hard Rock et de Métal, il s'agit du "mur de la mort" (tiré de la désignation anglophone Wall of Death), appelé aussi "Braveheart". Il est question d'un mouvement de foule, où on organise une violente confrontation entre deux côtés des spectateurs, dans un espace dégagé. Au signal, les deux côtés s’élancent alors avec fureur, perte et fracas les uns sur les autres en direction du milieu de l'enceinte, comme lors d'une charge barbare d'infanterie médiévale !

De telles manifestations d'hystérie de masse dans la musique ne sont pas récentes et ont d'ailleurs débutées avec la folie incroyable des Beatles. C'était à l'époque, un phénomène d'une ampleur tout à fait inédite, où certains fans et groupies, comme plongés dans un état second, s'évanouissaient littéralement dans le public à l'apparition de leurs chanteurs vénérés. C'est là que l'on peut mesurer tout la puissance de ces phénomènes sur la psychologie des foules.

On tombe là dans une forme d'idolâtrie des plus excessive et fanatique. D'ailleurs, l'étymologie du mot "fan", n'est-elle pas le terme anglais fanatic. De toute évidence, on est très proche d'un sentiment d'ordre religieux...

Lors de certains concerts, on peut se demander, s'il ne s'agit d'ailleurs pas de véritables rituels, exécutés en direct, ou même de messes noires savamment orchestrées, où l’on chercherait à tirer parti de toute l’énergie générée et libérée par le public à un niveau subtil, tel un égrégore, sans que les fans en transe et en extase en aient d'ailleurs réellement bien conscience…

L'influence du mage Crowley dans la culture populaire

Par ailleurs, l'ombre malfaisante du sinistre mage Aleister Crowley, l'homme décrit par ses contemporains comme le plus malfaisant de son temps, plane sur toute cette industrie et les disques de très nombreux groupes musicaux.

Son influence fut considérable dans la contre-culture underground, notamment à partir des années 60 avant de se répandre plus tard dans la culture populaire. Ainsi des groupes de pop de premier plan comme les Beatles (Crowley figure en bonne place sur la pochette de leur album Sergent Pepper qui est considéré comme l'album le plus influent au monde) ou de rock, comme, Mick Jagger des Rolling Stones, avec leur fameuse chanson "Sympathy for the devil", David Bowie, ou encore Jimmy Page de Led Zeppelin (qui dans sa dévotion et son obsession totale envers le mage, ira jusqu'à racheter son manoir situé dans le Loch Ness) n'ont pas caché êtres profondément influencés par l'œuvre de Crowley.

Il a aussi inspiré, entre autres, Timothy Leary, le vulgarisateur du LSD, dont l'influence a été énorme sur la contre-culture, la culture psychédélique et le New Age, ou des musiciens comme les Red Hot Chili Pepper, Ozzy Osbourne du groupe "Black Sabbath", Jim Morrison, Iron Maiden, Sting du groupe Police, Marilyn Manson un membre très actif de l'église de Satan.




On peut aussi voir le chanteur Jay Z porter un t-shirt à l'effigie de Crowley, tout comme les membres du groupe The Jonas brothers. C'est comme si tous ces gens se baladaient avec le t-shirt d'un tueur en série et psychopathe…

David Bowie était aussi un fidèle de Crowley. Dans une de ses chansons on peut trouver ces paroles : « I’m closer to the Golden Dawn, Immersed in Crowley’s uniform, I’m not a prophet or a stoneage man, Just a mortal with potential of a superman » (je suis proche de l'Aube Dorée, Immergé dans l'uniforme de Crowley, Je ne suis pas un homme des cavernes, Juste un mortel avec le potentiel d'un surhomme). Grand amateur de Kabbale, il n'hésitait pas à reproduire tel quel des postures et des accoutrements du mage noire. En 1976 Bowie déclarait : « Mon intérêt majeur, c’est la Kabbale et Crowley. Ce monde noir et plutôt effrayant du vilain côté du cerveau. » Dans son dernier album posthume, "Blackstar", l'étoile noire qui renvoie au concept occulte de soleil noir, Bowie parle d'un être humain qui devient un dieu ce qui ramène à la Kabbale et à la quête alchimique. Aussi incroyable que cela puisse paraître, tous ces musiciens se sont présentés en disciples de cet homme redoutable et profondément malfaisant !

Pour revenir aux Beatles, il est  intéressant de noter qu'ils étaient très proche du malade mental Jimmy Savile, dont j'ai fait le monstrueux portrait...

Couverture de l'album des Beatles Sergent Pepper figurant Aleister Crowley en haut à droite, la couverture de l'album ne rassemblant que des personnalités admirées par le groupe, selon les Beatles… la couverture aurait également dû figurer Adolf Hitler mais il a été retiré au dernier moment...

Plutôt glauque cette pochette des "sympathiques" Beatles

John Lennon annonçait avec satisfaction, dans une interview donnée à Evening Standard, le 4 mars 1966 : « Le christianisme passera. Il s’éclipsera et se ratatinera. Je n’ai pas besoin de discuter de cela. J’ai raison et il sera prouvé que j’ai raison. Maintenant, nous sommes plus populaires que le Christ. Je ne sais pas qui partira le premier, le Rock’n’roll ou le Christianisme. Jésus était très bien mais ses disciples étaient épais et ordinaires. »

Sur cette pochette de l'album HELP, les Beatles n'écrivent pas HELP en signes de sémaphore, mais font référence et reproduisent  des positions associées à l'église de Crowley, la Thelema. George = Osiris tué / Jean = Signe de Typhon / Apophis Et Paul = Isis en deuil /  Ringo = fait le signe occulte ce qui est en haut est similaire à ce qui est en bas 

Le pacte Faustien

De plus, aussi étonnant que cela puisse paraître, nombres de ces artistes affirment, le plus naturellement du monde, avoir vendu leurs âmes au diable, pour s'assurer d'une gloire toute matérielle et terrestre, ce qui nous ramène directement au mythe Faustien de Goethe. Parmi eux, on peut compter le célèbre guitariste de blues Robert Johnson, Jimmy Page de Led Zeppelin, Bob Dylan, Jay Z, le rappeur Eminem, Bon Jovi (qui affirma qu'alors qu'il était juste un enfant le diable le pris par la main et l'emmena hors de sa maison et il fit de lui un homme), Katy Perry, Kanye West, Lil Wayne, Beyoncé, Christina Aguilera, Fergie, etc. Le Rappeur Eminem affirmait : « J'ai vendu mon âme au diable, je ne la retrouverait jamais ! » La liste est longue, très longue… interminable !


Même notre Johnny Hallyday national, n'est pas en reste, puisque ce dernier aurait avec aplomb confié au journaliste ami intime, François Jouffa, avoir tout simplement « signé un pacte avec le diable et qu’il irait en enfer » !

Quel aurait été l'intérêt d'affirmer une telle chose à son ami, certainement pas de créer le buzz… A noter que Johnny, s'était aussi fait tatouer un magnifique 666 sur l'avant-bras.

On se souviendra aussi des paroles de la chanson de Johnny, "Veau d'Or"

« Je suis le fils de Lucifer
Seigneur et maître de la Terre
Je sème la mauvaise parole
Quand vous pleurez, moi, je rigole
J’ai mis K.O. mon challenger
Le jeune hippie de Bethléem
Qui se battait avec des fleurs
Vous l’avez démoli vous-mêmes
Vous êtes mes humbles serviteurs
Soyez maudits en ma demeure »



Alice Cooper, quant-à lui déclarait : « Il y a quelques années, je suis allé dans une séance de spiritisme où Norman Buckley supplia que "l'esprit" se fasse entendre. "L'esprit" s'est finalement manifesté et il m'a parlé. Il m'a promis à moi et à mon groupe de musique, la gloire, la domination mondiale dans la musique rock et la richesse en abondance. La seule chose qu'il m'a demandé en retour, c'était de lui livrer mon corps pour que cet esprit prenne possession de moi. En échange de la possession de mon corps, je suis devenu célèbre dans le monde entier. Pour ce faire, j'ai pris le nom par lequel "il" s'était identifé lors de la séance. Je suis donc reconnu mondialement. Vous vous doutez de ce nom : Alice Cooper. »

En 1962, John Lennon des Beatles affirma à R. Colman « Je sais que les Beatles connaîtront le succès comme aucun groupe ne l’a encore connu. Je le sais très bien, car pour ce succès, j’ai vendu mon âme au diable. » Derek Tylor, l'agent de presse des Beatles affirmait à propos du groupe « Ils sont complètement antichrists. Je veux dire que moi aussi je suis antichrist mais eux le sont tellement qu’ils me choquent. »



Mick Jagger des Rolling Stones, aurait lui été initié avec Keith Richard au satanisme et à tous les rites de magie noire par l'entremise de Kenneth Anger, le disciple de Crowley dans la secte de la Golden Dawn. Jagger se considérait personnellement  comme « l'incarnation de Lucifer ».



Ozzy Osbourne du groupe Black Sabbath avoue quant à lui, très candidement, le plus simplement du monde, qu'il n'a jamais composé une seule musique, sans être en état de transe médiumnique ! Peut-on parler d'inspiration divine, dans ce cas ? « Il me semble être un médium pour une puissance extérieure à moi. J'espère que ce n'est pas la puissance de celui que je redoute : Satan. Il y a une puissance surnaturelle qui m'utilise pour écrire le Rock 'n' Roll. J'espère que cette puissance n’est pas celle du diable, Satan, mais… »

Le chanteur Santana affirma quant-à lui dans le magazine Rolling Stones écrire ses chansons sous l'influence d'un démon nommé Metatron, il entendrait une voix pendant ses méditation qui lui dicterait les paroles de ses chansons.

On peut aussi trouver sur le net une interview de Bob Dylan, dans laquelle il confie avoir fait, je cite « un pacte avec le commandant en chef de ce monde et du monde que l'on peut voir ! »

Dès lors, une question s'impose : tous ces artistes cherchent-ils ainsi à faire simplement un coup de buzz et de la provocation gratuite, en jouant sur une image sulfureuse ?
Ou bien, y aurait-il plus à comprendre que derrière toutes ces surréalistes déclarations ?

Quoi qu'il en soit, et quelles que soient nos propres croyances, ce qui est sûr, c'est que certains y croient dur comme fer et agissent en conséquences ! En tous les cas, le chanteur de rap américain DMX, qui a eu de gros démêlés de justice après avoir attaqué l'industrie du disque, déclara à ce sujet « Pour avoir du succès dans l'industrie de la musique, il faut passer par des rites initiatiques précis consistant à vendre son âme au diable. Et si l'on accepte de se faire refaire le visage et de chanter de la merde, alors le succès est assuré. L'essentiel est que cette musique abonde de symboles sexuels, sataniques et de haine, afin de faire ressortir les plus bas sentiments de l'homme. Vous connaîtrez le succès et vous verrez des milliers d'adolescents se trémousser devant vous et vous idolâtrer. Pour vous, ce sera bingo ! Pour eux aussi ! »

Les clips et les paroles des chansons de Madonna, de Lady Gaga, de Britney Spears, de Rihanna, de Beyoncé, d'Ariana Grande, de Katy Perry, de Nicki Minaj, de Miley Cyrus, de Kesha, de Billie Eillish et de tant d'autres stars de la musique pop au succès retentissant, qui comptent des milliers de fans de par le monde et ayant donc un pouvoir d'influence considérable, baignent eux aussi régulièrement dans une atmosphère occulte, pénétrée d'un fort symbolisme luciférien.

Les valeurs véhiculées par ces clips et chansons sont de la pure dégénérescence. On y sublime la laideur morale, on y célèbre le matérialisme, le culte de l'argent facile et coulant à flots, le bling-bling, le monde du paraître, des apparences, de la superficialité, de l'orgueil et de l'ego, mais aussi le nihilisme, la révolte, les drogues, l'ultra violence, les armes, les gangs, l'auto-destruction morbide, l'humiliation ou même l'annihilation pure et simple d'autrui. Tenues extravagantes, drogue, outrance, blasphèmes, violence, culture macabre et gore. Un cocktail infernal des plus explosif qui sent décidément le soufre  !



Des signes qui ne trompent pas

Chez nombre de ces artistes, on retrouve systématiquement les mêmes postures, attitudes et gestuelles, les mêmes gimmicks, la même symbolique occulte, les mêmes thématiques et obsessions. Rien est laissé au hasard, tout est soigneusement pensé et ritualisé, mais cette dimension cultuelle échappe complètement à la plupart des fans, qui s'attardent simplement à l'aspect superficiel de simple divertissement, de grand défouloir, ou bien prennent tous ces symboles pour de la créativité ou de l'art.

Lorsque l'on prend conscience de tout cela, de tous ces gestes et postures savamment orchestrées, codifiées, qui reviennent systématiquement, chez un nombre incalculable d'artistes, qui sont inlassablement déclinés, sur tant de pochettes, c'est vraiment intrigant et assez inquiétant...

En fait, on se croirait tombé nez à nez avec une puissante et grande secte aux dimensions planétaire, ce qui, il faut bien l'avouer, est plutôt terrifiant ! En effet, pour qu'exactement les mêmes signes apparaissent de manière constante et répétée sur toutes les plateformes de médias et dans le monde, cela implique qu'il doit exister une source de pouvoir centralisée qui coordonne tout cela. Cela présuppose un pouvoir d'influence et financier considérable, pour que toutes ces célébrités réalisent ces gestes spécifiques, sous forme de vidéos ou de séances photo. Le fait que les photos soient posées et réfléchies avec le souci de chaque détail exclut définitivement tout hasard dans la réalisation de ces gestes symboliques.



Parmi ces gestes incontournables, on peut retrouver celui de la main qui vient masquer l'un des deux yeux et qui est effectué par d'innombrables artistes. On le retrouve avec une récurrence ahurissante, tant sur des pochettes, que des photos d'artistes dans la presse, ou encore affiché ostentatoirement dans des clips, ce qui exclut de facto toute coïncidence ou tout hasard.

Il s'agit manifestement d'une volonté délibérée de répendre ce symbolisme de la manière la plus massive et étendue possible. De plus, on retrouve également ce signe parmi des mannequins, des personnalités publiques, des acteurs de cinéma ou encore, des hommes politiques ! Si on y prête attention, on se rend compte que ce signe est littéralement reproduit partout, dans les vidéos musicales, sur les couvertures de magazines, sur les affiches de films, dans les publicités, etc. Mais quelle peut bien être la signification de ce mystérieux et interpellant geste ?

Le symbolisme de l'œil à une portée mystique et spirituelle. On le retrouve depuis la nuit des temps, à travers toutes les civilisations et cultures, dans les religions à mystère de l'Egypte antique avec l'œil d'Horus, avec l'œil de la Providence dans la religion chrétienne pour symboliser la divinité, dans la magie noire avec le mauvais œil qui est une malédiction. Il symbolise aussi l'illumination spirituelle avec le troisième œil dans certaines croyances et notamment dans le Yoga Kundalini, on le retrouve aussi dans la franc-maçonnerie avec l'œil qui voit tout de l'être suprême, du grand architecte et son regard vigilant qui observe les actions et les pensées des hommes.

Par ailleurs, plusieurs divinités issues de différentes cultures sont borgnes, c'est le cas d'Horus, qui perd l'usage de l'un de ses yeux suite à un combat l'opposant à son frère Seth, c'est aussi le cas pour le Dieu Perse, Ahura Mazda qui était considéré comme le créateur de la Terre, des cieux et de l’humanité, ainsi que la source de tout bien et de tout bonheur sur terre, c'est également le cas du Dieu de la mythologie nordique, Odin qui était le père des autres dieux et était représenté comme un vieil homme avec un seul œil. Odin est aussi le passeur de l'âme des morts, tout comme Charon qui mène sa barque sur le Styx.

D'autre part, dans l'Islam, à la fin des temps, est prophétisé la venue d'un faux messie semblable à l'Antéchrist des Chrétiens, qui dominerait le monde par la tromperie, le Dajjal, qui est lui aussi décrit comme aveugle de l'œil droit.

Pour en revenir à la symbolique de l'œil, il représente, la conscience, la clairvoyance, la connaissance, la sagesse, l'omniscience et une porte d'entrée dans l'âme. Il y a bien une expression populaire qui dit que « Les yeux sont le reflet, le miroir de l'âme ». C'est aussi en observant attentivement les yeux d'une personne, que l'on peut déceler si elle est honnête et dit la vérité…

Pour toutes ces célébrités, il n'est donc absolument pas anodin, symboliquement parlant, de masquer l’œil. C'est un geste d'une grande puissance et portée. Il pourrait symboliser que l'on cherche à voiler la conscience, à obscurcir les intelligences ou bien représenter la perte de l'âme.
En termes symbolique, vous devenez à moitié aveugle à la vérité !

Étant donné les anti-valeurs systématiquement prônées et véhiculées par tous ces artistes, qui dans leurs productions, sont bien loin de prôner le vrai, le beau et le juste, mais n'ont de cesse de rabaisser l'homme et de le livrer à ses plus bas instincts, de le maintenir plus bas que terre, c'est en fait parfaitement cohérent !

Manly P. Hall, un franc-maçon de premier plan a écrit que "l'Oeil qui voit tout" représente de manière ésotérique l'objectif ultime de l'occultisme, à savoir, atteindre la divinité par ses propres moyens. Cela se fait par l'activation de la glande pinéale, le troisième œil. « La maçonnerie opératoire, au sens le plus complet de ce terme, signifie le processus par lequel l'œil d'Horus est ouvert. Dans le cerveau humain, il existe une minuscule glande appelée corps pinéal, œil sacré des anciens et correspondant au troisième œil du cyclope. »

Toute cette symbolique occulte, ces symboles archétypaux, à force de répétition, pénètrent et imprègnent profondément, durablement l'inconscient collectif de la masse, sans qu'elle en soit réellement bien consciente. Ce concept d'inconscient collectif, fut développé par le psychiatre Carl Gustav Jung.

Il postule que les humains possèdent une forme de mémoire génétique dans laquelle se loge d’anciens souvenirs de l’humanité, des rites de passage, des symboles, des images, des croyances, des idées, etc. Comme un patrimoine symbolique universel en quelque sorte.

Carl Gustav Jung explicite donc sa thèse de la manière suivante « en plus de notre conscience immédiate, qui est d’une nature toute personnelle et que nous croyons être le seul psychisme empirique, il existe un deuxième système psychique de nature collective, universelle et impersonnelle qui est identique chez tous les individus. Cet inconscient collectif ne se développe pas individuellement mais il est hérité. Il se compose de formes préexistantes, les archétypes, qui ne peut devenir consciente secondairement et qui donnent forme définitive à certains contenus psychiques »

Par conséquent, les symboles occultes, qui remontent souvent à la nuit des temps, ont donc un impact considérable sur les gens, sans même avoir étés initiés à leur signification ésotérique profonde... Chaque fois qu'ils sont à nouveau exposés, ils éprouvent alors à leur égard, une fascination et une attraction naturelle et irrésistible. Ces symboles ont une charge énergétique qui contourne la logique et la raison, ils puisent leur force d'une source primitive de connaissance, ils ont imprégné la conscience culturelle même avec un sens originel oublié.

Sans cette grille de lecture, de nature ésotérique, la plupart des clips de ces artistes ne seraient pas du tout compréhensibles, ils se résumerait alors à une succession d'images, sans queue ni tête, sans aucune cohérence interne, ni logique…

La culture MK de l'industrie musicale

Par ailleurs, on retrouve aussi énormément de références à la manipulation, au contrôle mental et au projet MK Ultra, dans de très nombreux clips de l'industrie musicale ! On peut véritablement parler de culture MK avec le développement de tout un univers symbolique qui y est directement associé. Cette forme de contrôle mental fut développé par les nazis, suite à leurs recherches sur le fonctionnement du cerveau et de la psyché humaine dans les camps de concentration. Elles furent par la suite reprises et développées par la CIA avec le projet MK Ultra, notamment par le docteur Ewen Cameron et le Dr. Sidney Gottlieb… les programmes MK débutèrent en 1954 pour s'achever vers 1970. Ils concernent 80 institutions dont 12 hôpitaux. Aussi incroyable que cela puisse paraître, ce projet secret à été reconnu de manière officielle et déclassifié en octobre 1995, Le président Bill Clinton ayant, devant l'ampleur du scandale, été contraint de présenter des excuses publiques à la nation américaine, pour toutes ces abominables expérimentations, menées par le gouvernement sur des sujets humains non-consentants ! Suite à ces aveux officiels, certaines victimes ont même étés dédommagées. La CIA avait pour objectif avec ces programmes de développer une technologie de contrôle de l'esprit humain, de créer et de manipuler de véritables tueurs activables à distance. L'assassin, le tueur, ou l'espion parfait que l'on peut activer à l'envie pour accomplir des tâches programmées, tuer sur commande, sans même que l'agent garde la conscience de ses actions. Au cinéma, les thrillers politiques "Un crime dans la tête" et "The Manchurian Candidate" parlent très bien de ce phénomène… Ces projets ont consisté à chercher à développer des personnalités multiples chez les sujets d'études en fractionnant et en dissociant leur psychés. Le sujet peut alors développer différentes personnalités qui fonctionnent à tour de rôle, sans avoir conscience de toutes les autres. Ces différentes personnalités ou Alter Ego, peuvent avoir des caractères totalement différents, des compétences et des aptitudes spécifiques qui peuvent être convoquées en utilisant des déclencheurs, des signaux, des stimulis ou "trigger" que l'on a au préalable programmé dans le subconscient du sujet. La personne perd alors toute forme de réel libre arbitre et est sous l'emprise totale de son contrôleur. On peut penser aux célèbres chiens de Pavlov qui sont conditionnés par le maître et qui salivent dès qu'ils entendent le signal et stimulis d'une cloche alors qu'il n'y a pas de nourriture, sauf qu'ici, c'est avec des êtres humains… On peut aussi comparer cela à un ordinateur qu'on pourrait reprogrammer en y implémentant différents logiciels et routines de fonctionnement, chaque logiciel pouvant être exécuté indépendamment de tous les autres. Là où c'est le plus sordide est que ces fractionnements et programmations de la personnalité ne sont obtenus qu'en générant des chocs et des traumatismes d'une intensité telle que la victime n'ait aucune autre échappatoire que de dissocier son esprit, afin de pouvoir se soustraire à la situation parfaitement insoutenable qu'elle est en train d'endurer, pour pouvoir dépasser la douleur et la souffrance, dans une sorte de mécanisme de défense et de survie ultime. De plus, ces programmations ne sont possibles que pour des enfants. On peut alors formater la personne, faire table rase de son passé et réécrire une nouvelle personnalité sur une ardoise vierge. Pour atteindre cet état de rupture dans l'individu, le programmeur/contrôleur peut alors avoir recours à toutes sortes de procédés monstrueux comme des formes d'abus sexuels, de privation sensorielle, de torture physique, d'hypnose, des drogues comme le LSD ou encore,  des électrochocs, etc. À un niveau plus métaphysique, ces états dissociés de conscience altérés, seraient aussi une porte ouverte vers d'autres plans de réalités, une sorte de passerelle pour rentrer en contact avec d'autres forces et d'autres entités. Tout cela paraît complètement fou, effroyable, très difficile à concevoir, à intégrer et à accepter… Une fantaisie tout droit sorti d'un livre d'espionnage ou de science-fiction... Pourtant, c'est bien la stricte vérité ! Il existe toute une symbolique autour de ce contrôle de l'esprit que l'on retrouve dans d'innombrables clips musicaux de cette industrie profondément malade : le papillon monarque qui représente le changement d'état passant de la chrysalide au papillon, les jeux de miroirs brisés en éclats les masques en porcelaine fissurés qui représentent les personnalités fractionnées de la victime du programme mk, les marionnettes ou pantins désarticulés sous-tendus avec des fils qui représentent l'absence de volonté propre, de libre arbitre et le contrôle extérieur du marionnettiste, le maître de l'esclave monarch. Il serait ainsi possible de programmer différentes classes d'Alters spécialisés dans certaines tâches bien spécifiques, il y aurait ainsi des Alters  Alpha, des Bêta (programmation sexuelle avec une désinhibition morale totale, esclaves sexuels), des Delta et des Thêta (programmation militaire, tueurs et agents spéciaux, soldats d'élites), des Oméga (programmation d'autodestruction, suicide si nécessaire) et Gamma (système de protection interne d'illusion et de tromperie ).

Il existe quelques témoins et survivants de ces abominables pratiques clairement sataniques du contrôle mental monarch, dont l'une des plus remarquable est l'artiste peintre Kim Noble. Suite à cette programmation, elle a été victime d'un TDI, un trouble dissociatif de la personnalité très poussé en développant jusqu'à 13 personnalités distinctes, indépendantes et inconscientes les unes des autres ! Ces différents Alters ont pour point commun d'êtres tous artistes peintres, mais pour particularité de posséder chacun leur propre style graphique, leur propre palette de couleurs, leurs propres thématiques, allant de scènes de déserts solitaires à des scènes de la mer, des collages, des peintures au contenu traumatique. Les peintures des Alters qui décrivent les sévices de la programmation monarch sont particulièrement insoutenables. On peut y voir des personnes enchaînées à la mercie de leurs tortionnaires, des électrocutions, des scènes de viol, d'abus sexuels et rituels. C'est tout un univers effroyable et d'une noirceur insoupçonnée qui se dévoile à travers ses peintures. « Chacune des personnalités de Kim est un artiste à part entière: Patricia peint les paysages désertiques solitaires, Bonny compose souvent des figures dansantes robotiques, Suzy peint à plusieurs reprises une mère agenouillée, les toiles de Judy sont grandes tandis que les travaux conceptuels de Ria révèlent des événements profondément traumatiques impliquant des enfants. »



Cette œuvre de Kim Noble est particulièrement intéressante, elle est découpée en 7 niveau, c'est le processus complet de l'esclave monarch qui passe de sévices corporelles, de  tortures et d'abus rituels sataniques décrits dans la partie du bas vers un état beaucoup plus aérien. On notera l'arbre de vie de la Kabbale au milieu du processus...

Allison Carey, la sœur de la chanteuse de renommée internationale Mariah Carey a aussi témoigné au journal britannique "Le Sun" que sa sœur aurait été victime toute petite, d'abus sexuels sataniques dans son milieu familial et qu'elle souffre depuis lors de troubles de la personnalité. « Les cérémonies ou les rituels se déroulaient toujours entre 2 heures du matin et 4 heures du matin. Ce n'était pas toutes les semaines autant que je m'en souvienne, juste à certaines dates précises. Tout le monde portait de longues robes noires à capuchon, en marchant en rang deux par deux. Au début des rituels, ils chantaient dans une autre langue - je pense que c'était du latin. Je n'ai jamais compris ce qu'il se passait, je me souviens qu'il y avait une sorte de table ou d'autel, ils chantaient, tout le monde se mettait en cercle. Il y avait environ 20 personnes, y compris des enfants. C'est alors que de terribles choses arrivaient, des choses qu'un enfant de devrait jamais voir. J'ai été abusée sexuellement là-bas. Ils me disaient que si je ne faisais pas ce qu'ils m'ordonnaient, ils feraient du mal à Mariah. Je pense que j'avais environ 6 ans lorsque j'y suis allée pour la première fois et cela a duré pendant quelques années. Je ne les ai jamais entendu prononcer le mot "satan" mais c'était extrêmement mauvais, tellement malsain. Je suis sûre que c'était des adorateurs de Satan. C'était terrifiant et cela m'a marqué à vie. Je ne me souviens pas avoir vu Mariah parce qu'elle était plus jeune que moi, mais ça ne veut pas dire qu'elle n'était pas là... c'est impossible à dire. »

Ces dernières années, on a pu observer l'émergence de toute une série de stars de la musique pop qui semblent avoir été formatées sur le même moule et qui reprennent inlassablement les mêmes codes. Leurs clips, souvent tapageurs et insipides sont presques interchangeables. Beaucoup de ces stars ont étés récupérés et pris en charge par l'industrie à des âges très précoces, adolescence, ou prime enfance de Britney Spears, en passant par Miley Cyrus, ou Justin Bieber et tant d'autres. Vu le très large public que ces chanteurs sont capables de toucher en tant qu'influenceurs, on comprendra aisément l'intérêt pour l'industrie des majors de prendre le contrôle le plus étroit de ces individus pour pouvoir agir directement sur la société et sur les esprits.

Intéressons-nous maintenant au parcours très révélateur de quelques groupes emblématiques des mouvements Hard Rock et Métal... 

AC/DC

L'un des groupes précurseur de cette hostilité et de cette violence viscérale dirigé contre la religion fut AC/DC (dont le nom n'est pas une référence au courant alternatif mais signifie Antechrist/Death to Christ, quant à l'éclair qui figure sur leur logo, il symbolise Satan qui est descendu sur la terre et fait référence au verset biblique de Luc 10, 18) « Je voyais Satan tomber du ciel comme l'éclair » ce groupe de Rock'n'Roll, précurseur du hard rock et du Heavy Metal et dont le clip le plus connu est "Highway to Hell","L'autoroute pour l'enfer", autrement dit, un aller simple pour la damnation. Un autre de leur titre à succès qui a même fait l'objet d'un single "Rock'n'Roll Damnation". Un autre album s'intitule "Hell Bell", les cloches de l'enfer… Il exalte le triomphe du mal sur la terre et la domination sans partage de Satan. L'un de leur album ayant connu le plus grand succès fut "Black in Black" qui est le deuxième album le plus vendu au monde, juste après "Thriller" de Michael Jackson.

Gorgoroth

En 2006, ce groupe de métal a sorti un album intitulé "Ad Majorem Satanas Gloriam", qui constitue une parfaite inversion de la fameuse devise de la Compagnie de Jésus, "Pour la plus grande gloire de Dieu". Il faut bien comprendre que les satanistes affectionnent tout particulièrement inverser les symboles, les retourner, afin de satisfaire leur goût immodéré pour le blasphème et la profanation du sacré.

Le meneur de ce groupe, un certain Kristian Eivind Espedal ayant pour nom de scène Gaahl, s'illustrera tout particulièrement, en agressant et torturant un homme des heures durant, tout en recueillant son sang et en le menaçant de lui faire boire ! Il fut incarcéré en 2006 pour ces hauts faits. Comme quoi, certains n'hésitent pas à mettre en pratique les abominations qu'ils développent en chansons et ceci ne relève donc pas d'un simple folklore comme on voudrait bien nous le faire croire ! Ce trouble individu a aussi déclaré, sans ambages, sa haine viscérale pour le christianisme : « Les incendies d'église sont bien sûr une chose dont je suis partisan à cent pour cent, encore plus d'églises devraient être immolées, et elles le seront prochainement. Nous nous devons d'éradiquer toute trace de christianisme et tout racine sémitique qui subsiste encore dans ce monde. »

Une déclaration fort sympathique, que l'on peut mettre en parallèle avec l'actualité, qui est émaillée d'un nombre ahurissant d'églises incendiées, dans l'indifférence la plus totale des pouvoirs publics et des médias. Visiblement, l'immolation d'Églises est un sport très prisé pour ces dégénérés.

Ainsi, Vegard Sverne Tveitan, connu sous le nom de scène de Ihsahn, un autre fou furieux norvégien du groupe Emperor déclarait à propos de l'église qu'il venait de réduire en cendres, « L'église de Skjold était une grande église en bois d'environ 100 ans. Cette église contenait un hôtel et une chaire de prêche du 16e siècle. Tout cela avait une grande valeur historique et chrétienne donc elle devait être réduite en cendre. L'Église était toujours utilisée par un large troupeau de croyants aveugles, elle devint une victime pour le vrai esprit norvégien, le 13 septembre 1992, durant une nuit de tempête. Sous le regard de la lune, cet acte symbolique de la guerre antichrétienne illumina la nuit avec des flammes païennes. Le paganisme barbare est en ascension. Nous ramènerons les temps oubliés de la force, de la fierté et de la Victoire ! »

Visiblement ces individus sont en guerre ouverte et déclarée, mais dans notre société, les dénoncer relève de la plus grande des intolérances... Cherchez l'erreur !

Mayhem

Pour se représenter le degré de sauvagerie atteinte par certains de ces groupes, on peut évoquer le parcours hallucinant du groupe norvégien "Mayhem", qui n'hésitait pas, pour les besoins de ses performances scéniques, à se grimer tout badigeonné de sang, à empaler des têtes de cochons ou de moutons sur scène ! Le chanteur du groupe, surnommé Dead (un nom prédestiné, car il finira suicidé) enterrait ses vêtements dans un cimetière, afin de les « imbiber de l'âme des morts » et se mutilait affreusement, avec des couteaux de chasse ou des bris de verre ! Un de leur album à succès a pour titre « Des mystères du seigneur Satan » et on trouve des titres tels que « Father, Yes son! I want to kill you Mother, I want to fuck you all night long. » (« Papa, oui mon fils ! Je veux tuer ta mère, je veux vous baiser toute la nuit. ») Tout cela est tout à fait normal, très sain et parfaitement équilibré… Encore plus dingue, sordide et effroyable, l'un des autres membres de ce charmant groupe, un certain Varg Vikernes, est accusé d'avoir participé à plusieurs incendies criminels, visant des églises en 1992 et pour lesquels il sera condamné. Il sera aussi condamné un an plus tard, pour le meurtre d'Øystein Aarseth, un autre membre de Mayhem, tête de file du mouvement black metal qu'il aurait lardé de 23 coups de couteaux. Il faut croire que suprême ironie, l'enfer, dans sa folie destructrice est donc divisé contre lui-même ! Lors de la mort du chanteur Dead, les membres du groupe l'auraient trouvé à son domicile, les poignets ouverts avec une balle logée dans la tête. Après l'avoir photographié, la rumeur dit qu'ils auraient procédé à des rituels inspirés d'une cérémonie viking et consommé des fragments de sa cervelle, ainsi que confectionné des colliers avec des morceaux de son crâne ! Comble de l'abomination, ils ont utilisé cette photo du cadavre du chanteur gisant sur le sol, la cervelle éclatée pour illustrer la couverture d'un de leur ultérieur album "Dawn of the Black Hearts"! En 2007, le groupe sort un album "Ordo Ad Chaos", du chaos naît l'ordre, qui n'est nulle autre que la célèbre devise maçonnique ! Ceux qui ne voient dans ces groupes de Métal que du simple folklore pour ados en mal de sensations fortes, se trompent donc lourdement, car visiblement certains mêlent la parole aux actes et ils n'hésitent pas à passer à l'action !

Marilyn Manson

L'un des artistes qui se réclame le plus ouvertement d'œuvrer pour le satanisme est le chanteur au look androgyne et hautement décadent, Marilyn Manson. Mondialement connu, il est à la tête d'un groupe de Métal industriel éponyme. Son nom de scène a été choisi en hommage à l'actrice Marilyn Monroe, la pin-up mannequin présidentielle et au gourou tueur complètement illuminé, Charles Manson resté tristement célèbre pour avoir assassiné sauvagement Sharon Tate, l'ancienne femme du cinéaste controversé Roman Polanski alors même qu'elle était enceinte. Drôle de paternité ! « Marilyn Monroe n'était même pas son vrai prénom. Charles Manson n'est pas son vrai nom et maintenant, je prends les deux pour en faire mon vrai nom. Mais qu'est-ce qui est réel ?  Vous ne pouvez pas trouver la vérité, il faut choisir le mensonge que vous préférez. »
Manson avec son mentor, le fondateur de l'église de Satan
Membre actif de l'Église de Satan et très proche de son fondateur, Anton Lavey. Ces disques sont d'une grande perversion, teintés d'une profonde symbolique mystique et sont très violemment blasphématoires à l'égard de Jésus-Christ. L'un de ces tous premiers albums porte le nom évocateur d'Antichrist Superstar

Sur la pochette de son autre album, "Holy Wood", In the Shadow of the Valley of Death, en guise de couverture, on peut voir le Christ Crucifié, humilié et atrocement défiguré... Manson développe par ailleurs, à l'instar de bien d'autres groupes de Heavy Métal une imagerie très proche de celle du nazisme tant dans les codes couleurs que dans la symbolique affichée ou même dans le fond du discours qui consiste à écraser l'autre. Beaucoup de groupes de Métal à l'idéologie sataniste sont d'ailleurs aussi de fervents supporters de l'idéologie du Darwinisme Social où seul les plus aptes doivent dominer et n'ont pas de scrupules à écraser plus faibles qu'eux. Manson dans sa haine viscérale du message du Christ à même brûlé une bible en plein concert, il a aussi arraché quelques pages du livre saint pour les manger ! Le chanteur Adam Darski, alias Nergal, du groupe de Death Metal, Behemoth avait aussi déchiré des pages de la Bible lors d’un concert. Il les avait lancées au public et avait demandé de les brûler. Il avait qualifié la Bible de « livre malhonnête » et l’Église de « secte criminelle ». Le chanteur risquait deux ans de prison, mais se défendit en disant qu'il s'était accordé cette liberté, dans le but d'améliorer sa performance scénique, sans avoir l'intention d'être offensant (LOL). Il soutint également que la liberté d'expression devrait primer sur la religion en Pologne. Manson devient aussi l'égérie de la prestigieuse maison française de luxe Saint-Laurent, un choix tout à fait cohérent, étant donné le portrait du fondateur de la marque, YSL au début de ce livre... Pour la collection prêt-à-porter du printemps-été 2014.

Slayer

Le groupe slayer, dont le nom même constitue déjà une incitation au meurtre, a quant à lui, sorti un album "Hells Awaits", "l'enfer attend", entièrement consacré à l'enfer et à Satan et dont l'intro est constitué d'un enregistrement passé à l'envers d'une voix aux sonorités démoniaques, qui répète en boucle, comme un mantra, « Join us », "rejoins-nous". Dans l'album suivant "Reign of blood", le règne du sang et non pas celui de l'amour, un titre "Angel of Death" est dédié à Josef Mengele, ce scientifique et docteur Nazi de si funeste mémoire, véritable ange exterminateur de la mort des camps de concentrations de l'Holocauste, qui a conduit de nombreuses et effroyables expérimentations humaines. Le groupe cultive visiblement une fascination pour le régime Nazi, comme en témoigne leur logo, avec le signe SS appliqué sur les guitares des musiciens, mais aussi de par  leur fan-club dénommé Slaytanic wehrmacht !

En 1998, Slayer sortira aussi un album intitulé "Diabolus in musica", une formule en latin que l'on peut traduire par le diable en musique.


La couverture de leur album "Christ Illusion" représente un Christ aux bras amputés, borgne, debout dans une mer de sang où flottent de nombreux cadavres dont certains se religieux.

L'avantage avec ce type de groupe, c'est que le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il jouent cartes sur table.

À noter que ce groupe hallucinant a remporté un prestigieux Grammy Awards en 2007, ce qui est révélateur de l'état d'esprit qui préside à cette institution et à celui de la puissante industrie musicale qui organise ces célébrations.

Gwar

Ce gars-là a dû beaucoup souffrir dans sa jeunesse...
Dans le genre de nihilisme extrême et incroyablement trash, il y avait aussi le groupe Gwar, qui versait dans des mises en scène extrêmement morbides, scatophiles, zoophiles, nécrophiles et pédophiles ! Dans certains concerts, ils simulaient même des meurtres symboliques, dans un esprit totalement grand-guignolesque, et des actes ultra-violents comme des décapitations en faisant jaillir des geysers d'hémoglobine des têtes coupées, comme d'autres sabrent des bouteilles de  champagne. Ces joyeux drilles cornus ont aussi mis en scène l'éviscération d'une réplique de Sarah Palin à la rapière, avant de se confectionner des guirlandes avec ses tripes. La justification de toutes ces horreurs d'une violence outrancière des plus baroque serait, d'après Dave Brockie, d'interpeller ses contemporains et de rendre compte de toute la folie et la bêtise humaine, de sa nature profondément destructrice, le concept susciterait ainsi plus de questionnement que de dégoût…. Un argument des plus fallacieux !

Après cette suffocante plongée dans les vapeurs infernales de l'univers du Metal et du Metal Death, intéressons-nous maintenant à quelques chanteurs et groupes de Pop-Rock, qui ne sont pas en reste en matière de subversion.

Kanye West

Ce chanteur de rap au succès incroyable se plaît aussi à moquer l'image du Christ dans ses chanson et sur ses pochettes d'album, notamment sur l'album "Yeezus", où il affiche une superbe croix renversée au centre de la pochette. On remarquera la main du diable discrètement suggérée dans la partie gauche de la pochette. Lors d'un concert, il déclare : « J'ai vendu mon âme au diable: c'est une affaire de merde, mais au moins il est venu avec quelques babioles comme un repas de happymeal. »


Madonna

Madonna est l'une des pionnières de ses dits artistes de pop, elle est une des figures de proue de cette industrie mortifère, de ce star système décadent et sans âme. Elle a vendu plus de 200 millions d'albums de par le monde avec son Label Warner Music Group. Madonna est très versée dans la Kabbale et elle en diffuse de nombreux messages dans ces clips comme "Frozen".

Rihanna

Rihanna, la beauté du diable se refait un masque de beauté saignant...
Les clips de Rihanna sont, par exemple, saturés de poses lascives de la part de la chanteuse, de suggestions sexuelles très explicites, dans ce qui relève d'une permanente incitation à la débauche et à la luxure la plus complète. Une perversion pleinement assumée et recherchée par cette dernière. La chanteuse à même avouée, sans ambage, être une adoratrice du diable. La sexualité est aussi souvent combinés à d'autres thèmes beaucoup plus sombres de façon à rendre ces derniers sexy...

Ainsi dans un clip Rihanna fait la promotion de l'état policier, de la dictature, ou de la guerre, avec des poses lascives, très sexy et provocantes notamment pour ses clips "Umbrella" et "Pour it up". C'est une manipulation qui vise à provoquer une réponse positive, inconsciente chez le spectateur, a quelque chose d'objectivement profondément inquiétant… On peut ainsi la voir chevaucher le canon d'un tank, comme un symbole phallique…

En outre, Rihanna multiplie la symbolique occulte, des signes de la main très précis et codifiés comme des Cornuto, des postures symboliques, des images subliminales contenants des messages et des symboles d'essence clairement satanique et luciférienne.

Dans un des clip on peut la voir désignée de "Princesse Illuminati", c'est écrit en toutes lettres dans l'arrière-plan du décor où elle chante. Les Illuminés de Bavière étaient une secte satanique créée par un ancien jésuite, Adam Weishaupt, à la veille de la révolution française.

Là où c'est extrêmement pervers et profondément malsain, c'est que dans ses clips il y a comme une véritable sublimation du mal ! Ainsi, perpétuer le mal y est présenté comme quelque chose de cool, de branché, de tendance, de désirable, de sexy, voire d'infiniment voluptueux, en somme, un plaisir raffiné d'esthète, dont l'on peut se délecter !

À ce titre, son clip très choquant, vulgaire, nihiliste, gore et sulfureux "Bitch Better Have My Money" (que l'on peut traduire par "Salope, tu ferais mieux d'avoir mon fric !") est on ne peut plus éloquent. Rihanna y enlève une grande blonde, une richissime bourgeoise, afin de faire chanter son fortuné mari et de le rançonner. Stupéfait, médusé et incrédule, on la voit enlever dans la suite du clip cette brave dame et la trimballer dans une grande mallette. Dans une scène suivante, par pure jouissance sadique, elle prend un malin plaisir à suspendre et laisser accrocher cette pauvre femme par les pieds dans un hangar désaffecté ! Mais le calvaire de la pauvre femme n'est pas prêt de s'arrêter, puisqu'on la voit ensuite traîner sa victime en slip, l'humilier, la torturer en compagnie d'autres bonnes copines qui partagent visiblement la même ivresse et délectation pour la perversion, avec une très grande dose de sadisme. Tout cela est d'autant plus malsain que le tout est filmée de manière séduisante, avec grande volupté dans un enchaînement d'images dynamiques, aguichantes, parfaitement léchées et tape à l'œil ! Comme le pauvre mari n'est pas en mesure de payer la rançon, elle se met alors en tête de le torturer à son tour, en usant de tout un attirail d'instruments contondants et mutilants. Après une éclipse temporelle, qui laisse suggérer qu'elle a finit par assassiner le couple, on la voit apparaître à la fin du clip , toute nue, maculée au visage par le sang de ses deux victimes, trônant fièrement et lascivement sur une malle bourrée de billets !

Ce clip  traite de la toute-puissance, de la jouissance immédiate et instinctive, du plaisir puéril et capricieux de soumettre l'autre, qui se retrouve déshumanisé, relégué et réduit à l'état de chose, un simple objet de jouissance, dont on peut disposer et avec lequel on peut jouer à sa guise. Une véritable abomination, qui est suivie par de nombreux adolescents de par le monde. La vidéo de ce clip ignoble, nauséabond, abjecte et dégueulasse a tout de même été suivie par plus de 139 millions de personnes dont beaucoup, à en croire les commentaires laissés sous la vidéo, ont même semblés trouver ce spectacle absolument ravissant, délicieux et génial !

Pauvre humanité…

Cerise sur le gâteau, Rihanna est soutenue à fond par les médias de masse et plébiscitée par le système. Elle se voit reçue en grandes pompes par les chefs d'états, comme Emmanuel Macron. Elle s'est vue propulsée "première ambassadrice mondiale pour l'éducation", pour faciliter l'accès à l'éducation des jeunes enfants défavorisés des pays pauvres. On se demande bien de quelle éducation il pourrait être question, "comment torturer son prochain, avec classe et raffinement" ?


On peut aussi évoquer son clip extrêmement torturé et sombre "Disturbia", qui parle ouvertement de possession démoniaque : « (...) C'est un voleur dans la nuit, Qui vient jusqu'à toi et t'enlève, Il peut se glisser en toi, Et te consumer, C'est une maladie de l'esprit, ça peut te contrôler, C'est trop dur à supporter, C'est un voleur dans la nuit, Qui vient jusqu'à toi et t'enlève (...) Ton esprit est perturbé, C'est comme si l'obscurité est la lumière (...) Libère-moi de cette malédiction dans laquelle je suis tombée, J'essaie de tenir le coup, mais je me démène. » Dans le clip, on peut voir la chanteuse les yeux révulsés tous blancs, ils ne reflètent plus aucune âme. Elle est captive derrière des barreaux qui représente la prison de son esprit. On peut observer des araignées grimper sur son corps qui symbolise l'emprise progressive de la possession...

Ke$ha


Encore un pur produit de cette industrie sans âme. Tout d'abord, on notera l'allusion au Dieu argent Mamon, avec le symbole du dollar inscrit directement dans le nom de scène de cette pseudo-artiste…

Son premier clip et tube, "Die Young" participe d'une culture de mort largement développé au sein de la société. Les paroles sont une véritable célébration de la mort dans la fleur de l'âge. La chanteuse déclame « Vivons cette nuit comme si nous allions mourir jeunes. » Encore une fois, cette chanson très mainstream est d'un degré de blasphème et de symbolisme occulte stupéfiant, et déploie toute une imagerie clairement satanique. En effet, le clip se déroule dans une église perdue au beau milieu du désert alors qu'une immense étoile à cinq branches, symbole du satanisme est gravée à même le mur. Kesha, incarne une sorte de grande prêtresse luciférienne, qui improvise une messe noire avec les membres de son culte, tous habillés de cuir noir, tandis que des couples, à moitié nus, s'embrassent, se caressent pour achever de copuler dans une orgie généralisée. Le tout saupoudré d'images subliminales à base de crânes et d'os, de croix renversées, de pyramide clignotantes, d'œil d'Horus, de liasses de billets jetés qui virevoltent en l'air, d'images bestiales et sauvages de loups qui s'entretuent férocement, (sans doute, pour faire allusion à l'expression, l'homme est un loup pour l'homme), de pauses lascives de la chanteuse, presque nue, mais habillée de peaux de bêtes. Le sexe Eros et la mort Thanatos sont constamment entremêlés, la mort devient sensuelle et désirable. Des formes géométriques et psychédéliques se superposent aux images trash.

La chanteuse a avoué dans un tweet à propos de cette chanson avoir été forcée de chanter ses paroles d'une nature satanique par son staff. On pensait pourtant les artistes libres de leurs créations… Ne seraient ils en fin de compte que les vulgaires pantins d'une industrie sans âme, les minions, les jouets d'un système auquel ils ont prêté allégeance ? Cerise sur le gâteau…

En guise de dessert, sur le même album que ce titre, on a une autre chanson sobrement intitulée "Dancing with the devil" soit danser avec le diable, où elle répète en boucle qu’elle aurait vendu son âme au diable et qu’il n'y aurait plus de retour possible. Cette chanteuse, qui a connu une notoriété fulgurante, comptabilise pas moins de 31 millions de fans sur sa page Facebook.

Lady Gaga

Pourquoi tant de haine ? Elle doit probablement avoir ses règles...

Quant à Lady Gaga, elle rend littéralement Gaga son public… Son grand dada et son péché pas mignon consiste à multiplier les tenues les plus folles et les plus extravagantes. Elle s'est même affichée avec une robe constituée d'un assemblage tout à fait repoussant de morceaux de viande ! Chacun son trip, comme on dit.

"La vérité nue", mais de quelle vérité inavouable s'agit il ?

Faut-il comprendre que le message implicite véhiculé par la Gaga, serait que les femmes ne sont que de vulgaires bouts de viande, de la barbaque sur pattes. En tout cas,  ce qui est sûr, c'est que ce n'est pas une tenue Vegan ! Je pense que tout cela va bien au-delà du simple plaisir puéril et stérile de vouloir choquer…


Ahlala, on dit pourtant qu'il faut se nettoyer la bouche après un bon repas, cette pauvre fille n'a aucune éducation !
Les clips de Lady Gaga laissent une grande place pour le morbide, le sexe, la violence, le gore et l'occultisme. Lady Gaga a aussi écrit une chanson intitulée "Judas", qui est une parodie et une moquerie du Christ, pour vénérer Judas à sa place… Comme toujours, l'inversion des symboles est une des particularités du satanisme. Dans une interview à Google au sujet de son clip "Judas" elle déclare « La chanson parle d'aimer vos ténèbres afin de vous amener dans la lumière. Vous devez regarder dans ce qui vous hante et doit vous apprendre à pardonner pour avancer. » Une rumeur insistante circule même sur la toile qui affirme que la Lady Gaga, selon le témoignage du personnel d'entretien d'un des luxueux hôtel qu'elle a fréquenté, aurait laissé de très nombreuses traces de sang dans sa chambre et dans la baignoire de sa suite ! De bien drôles de mœurs... Qui font froid dans le dos.


À noter que la Gaga est aussi une grande amie de l'artiste serbe provocante, hautement transgressive et sataniste notoire parfaitement assumée, Marina Abramovic, qui est pour elle une référence et une influence de premier plan… Gaga est aussi clairement très inspiré par Aleister Crowley… Elle y fait directement référence dans le titre "Do What U Want" tirée de l'album Artpop.

Katy Perry

Le clip totalement apocalyptique "Dark Horses" de cette chanteuse est proprement hallucinant, tant il déborde de symbolisme occulte : une véritable orgie de 3mn. On retrouve l'incontournable œil d'Horus, Babylone, un serpent, des boucs en référence au Baphomet. Katy Perry se transforme en déesse Isis, qui revêt une importance de premier-plan pour les ésotéristes et les sociétés secrètes occultes, car elle représente la clé des mystères.

Par ailleurs, la star était en procès avec de vieilles religieuses d'un couvent du sacré-cœur. Ces dernières, furent tout à fait outrées et fermement opposées au rachat par Perry de leur établissement religieux situé à Silver Lake. En effet, les nonnes accusaient la chanteuse de sorcellerie, par rapport à sa déclaration d'avoir vendu son âme au diable lors d'une interview passée et de sa récente visite dans la belle ville de Salem, à l'occasion de la marche des sorcières. Étonnement et très symboliquement, une des religieuses a même trouvé la mort lors d'une audience, elle s'est effondrée en plein tribunal, sans doute emportée par l'émotion.

Billie Eillish




Billie Eillish est la figure montante de la scène Pop, c'est la toute dernière chanteuse star, qui rencontre un succès fulgurant auprès des jeunes ados.


Elle a un style très particulier, avec des chansons et des clips pour le moins glauques, malsains, tordus et très sombres. Certaines de ses chansons font directement référence au contrôle mental MK. Rien d'étonnant pour le nouveau jouet de l'industrie des majors.


Dans son tout dernier titre en date, "All the Good Girls Go to Hell", littéralement "Toutes les bonnes filles vont en enfer", elle incarne un ange déchu tombé du ciel tel un astre, qui rappelle furieusement la célèbre gravure "La chute de Satan" de Gustave Doré. On devine sans peine que cet ange aux yeux injectés d'un profond et insondable noir, n'est nul autre que Lucifer en personne.

La chanson est présentée pour être une critique écologique de l'état du monde et porterait sur le réchauffement climatique. Elle aurait soi-disant pour louable ambition de sensibiliser et de responsabiliser les plus jeunes d'entre nous à toutes ces problématiques environnementales. Cependant, la vraie nature du message sous-jacent est éminemment occulte et s'apparente à du pur satanisme, sans la moindre équivoque !

Les premières paroles du clip commencent par un « My Lucifer is lonely », « Mon Lucifer se sent seul » plein d'ambiguïté, mais on peut dire que le décor est planté d'entrée de jeu...

La suite est plutôt confuse, mais on devine qu'il s'agit d'une moquerie pure et simple à l'égard de Dieu, du paradis et de son gardien, Saint-Pierre, qui serait parti en vacances, laissant ainsi les portes du ciel grandes ouvertes et accessible à tous.

Puis, sur un plan plus terrestre, il est fait référence aux incendies qui ravagent actuellement la planète, et qui sont imputés au réchauffement climatique. Alors même que le facteur anthropique de ce dernier est hautement contestable, et ne fait d'ailleurs pas l'objet d'un véritable consensus scientifique...

Lucifer, qui parle au travers de Billie, semble trouver tout cela particulièrement plaisant et jouissif... Dans cette situation désespérée, il se moque ouvertement de l'impuissance de Dieu à intervenir, et se garde bien de l'aider. Lucifer estime en effet que l'homme mérite bien son sort, qu'il est pleinement responsable de sa propre déchéance, de sa situation et qu'il ne mérite par conséquent certainement pas d'être sauvé ! Du haut de son orgueil, il méprise et nargue l'humanité en souffrance, qui dans son grand désarroi demande de l'aide. En fait, il se réjouit de sa prochaine destruction...


On pourra observer que ce message apocalyptique est pleinement compatible avec les désirs inavoués de réduction de la population des élites malthusiennes de ce monde ! D'ailleurs cet état d'esprit délétère a déjà contaminé bon nombres d'esprits influençables qui se refusent à assurer leur descendance pour des raisons d'ordre écologique.

Sur la fin du clip, l'incendie redouble d'intensité et c'est la terre entière qui s'embrase, devenant ainsi un véritable enfer terrestre. Tandis que même les ailes de Lucifer prennent feu, le condamnant à rester définitivement sur terre, l'on peut distinguer des corps de femmes être consummés par les flammes, sans doute pour faire allusion aux bonnes filles du titre de la chanson...

La chanson s'achève par ces paroles nihilistes et définitives « Il n'y a plus rien à sauver » et l'on comprend que l'œuvre de destruction de Lucifer est maintenant pleinement achevée.

Cette chanson effroyable, qui quand on l'écoute attentivement, célèbre ni plus, ni moins que notre propre destruction, et porte un message sans aucune once d'espoir a d'ors et déjà rencontré un succès planétaire avec 13 millions de vues et des milliers de commentaires enthousiastes.

Ce monde à définitivement perdu toute raison...

Miley Cyrus


Il y a aussi Miley Cyrus qui a commencé sa carrière de gentil petite fille bien sage et des plus niaise en incarnant Hannah Montana dans une série anodine chez Disney, puis en chanteuse à succès pour midinettes pré-pubères. Quelques années plus tard, Cyrus s'est brutalement mué en une véritable furie hypersexualisée, complètement délurée et dévergondée, pour se livrer à des scènes d'une débauche, d'un degré de vice et de vulgarité absolu, tout bonnement inconcevable !


Médusé et incrédule, lors de l'édition 2013 des MTV Awards, on peut l'observer faire le show pendant la cérémonie, devant un public conquis en se frottant frénétiquement les fesses, à moitié nue et mimant l'acte sexuel, contre le sexe du chanteur Robbie Williams, ou bien porter des faux seins, le tout harnachée d'un godemiché géant, ou chevauchant un gigantesque pénis gonflable, ou, s'accouplant avec une poupée gonflable, ou bien encore, mimant une fellation en public lors d'un concert à Londres ! Des attitudes d'un tel degré de vulgarité qu'elles rendraient n'importe quelle prostituée honteuse et des plus mal à l'aise... Un spectacle consternant, dégradant et tout simplement dégueulasse, à fuir de toute urgence pour tout parent encore doté de raison dans ce monde de folle perdition !

L'objectif affiché et celui de ses producteurs étant sans doute d'hyper-sexualiser la jeunesse, sachant que cette artiste complètement délurée et dégénérée est suivie par des milliers d'adolescentes. Il paraît clair que le but était d'entraîner le maximum d'innocentes petites filles à devenir des fans inconditionnelles de la star, pour ensuite leur faire suivre la trajectoire et la déchéance de Miley. Un peu comme dans le célèbre conte du joueur de flûte de Hamelin des frères Grimm...

Cela permet aussi d'endormir dans un premier temps la vigilance des parents, qui ne se méfient pas et n'ont pas le temps de voir le coup venir et de prendre les dispositions de protection qui s'imposent face à une influence aussi délétère sur les jeunes esprits ! Le décalage, les tensions et les profondes incompréhensions, le fossé générationnel entre parents et enfants ne peut qu'êtres de plus en plus béant avec de telles immondices qui sont mises en avant le plus naturellement du monde. On assiste bien là à ce qui s'apparente à une vaste entreprise de subversion de toute évidence soigneusement préméditée, car rien est laissé au hasard dans cette industrie qui brasse de si colossales sommes d'argent. Au rythme où vont les choses, la subversion est tellement rapide que les générations ne se comprennent même plus entres elles...



Et oui, c'est bien la même société profondément schizophrénique qui nous fait tout un scandale médiatique pendant des mois avec l'affaire du producteur hollywoodien Weinstein et les harcèlement incessants à l'encontre des femmes par des meutes de mâles en rut et qui, d'autre part, n'a de cesse de tout sexualiser à outrance, de diffuser la pornographie à une échelle industrielle, de marchandiser le corps des femmes... Tout est parfaitement cohérent, logique et normal !


La chanteuse a aussi posté sur Instagram, une photo réalisée en collaboration avec le planning familial et le photographe Marc Jacobs. Dans cette photo, Miley lèche goulûment un gâteau sur lequel est inscrit le message suivant : « L'avortement, c'est la santé. » Fait des plus intéressant à relever, Miley Cyrus a joué tout dernièrement un rôle dans un épisode de la série "Black Mirror", où elle joue le rôle d'une Pop Star à succès, étroitement contrôlée par l'esprit par une équipe de manipulateurs impitoyables qui la maintiennent constamment sous forte dose médicamenteuse. Véritable pion et jouet de ces contrôleurs, l'artiste n’a absolument plus aucun contrôle sur sa vie, sa carrière et le contenu des messages de ses chansons… Il va s'en dire que "toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existé est purement fortuite." Cet épisode de la série Netflix, fait bien évidemment subtilement référence au programme de contrôle de l'esprit MK. Ne serait-ce pas là une mise en abîme ultra-cynique de la propre carrière de Cyrus, parfait jouet et produit formaté d'une industrie déshumanisée ?

Panic at the disco, LA Devotee


Mais ne nous arrêtons pas en si bon chemin au milieu de ces immondices, poursuivons notre descente aux enfers avec un autre groupe qui rencontre une très large audience, "Panic at the  Disco".  Ce groupe très mainstream, aux rythmes accrocheurs a réalisé un stupéfiant clip, qui ne parle que de satanisme et d'abus rituel, "LA Devotee", où on assiste incrédule et horrifié à une effroyable scène. On y  voit un gamin se faire kidnapper dans un champ, le plus simplement du monde, par un mystérieux culte satanique, un groupe d'individus vêtus de toges écarlates à l'apparence de druides. 


Ces sorciers se mettent alors à tourmenter, à terrifier, et même à torturer le pauvre garçon, ligoté à une chaise électrique ! Ils lui infligent alors de multiples chocs électriques, ce qui nous ramène aux techniques de programmation mentales MK ultra basées sur les abus rituels. Le clip utilise de nombreuses images en mode subliminales qui défilent à toute allure figurants des pentagrammes, des triangles, une tête de Baphomet, un crâne ensanglanté, le souffle de l'explosion d'une bombe nucléaire, un serpent... Dans un dernier plan, il est clairement suggéré que le chanteur du groupe, qui prend un malin plaisir à tourmenter le gosse, va l'achever, car il fait craquer avec enthousiasme et délectation les os de sa main suggérant qu'il est temps de passer aux choses sérieuses après cette petite mise en bouche.


Cette abomination sans nom, qui tourne sur Youtube, sans le moindre contrôle ou avertissement quant à la nature de son contenu des plus choquant à été visionnée à plus de 37.347.171 vues et rencontre un très chaleureux accueil public au travers d'une profusion de commentaires enthousiastes !

Une influence délétère

Là, où c'est le plus malheureux et effrayant, c'est que la plupart de ces artistes bénéficient d'une aura et d'un pouvoir extraordinaire auprès de leur jeune et très influençable public. Ils sont adulés, vénérés tel des idoles par leurs groupies qui leur vouent un véritable culte, une vénération. Tout cela s'apparente à un renversement complet des valeurs traditionnelles, communément admises dans toute société évoluée et digne de ce nom. Il n'est pas difficile d'imaginer les redoutables dégâts provoqués par de telles énergumènes dans la construction du système de valeurs des plus jeunes, qui restent hautement influençables. Ne nous y trompons pas, nous sommes bien là en face d'une redoutable entreprise de subversion, de démoralisation et de perversion de la jeunesse à grande échelle ! Ces pseudos artistes et cette industrie créent insidieusement un conditionnement du psychisme qui encourage, à long terme, à des comportements de plus en plus immoraux, nihilistes et déviants.

Groupe Béhémoth



Maroon 5, le clip "Animals" Eros et Tatanos


Évoquons maintenant ce clip surréaliste hautement malsain, nauséabond qui empeste l'odeur de la mort, du sang et du sperme est très révélateur de là où en est rendue l'industrie. Il expose des scènes de sexe très crues, où se mêlent des allusions à peine voilées au... Cannibalisme !

On peut y voir le chanteur, Adam Levin, qui incarne un boucher complètement dérangé et un prédateur sexuel, déambuler dans une chambre froide, au milieu de carcasses de viandes suspendues, qu'il se prend à enlacer tout en se badigeonnant le corps de sang, alors même qu'il fantasme d'un rapport sexuel avec l'objet de ses désirs, une cliente de la boucherie !

Dans une séquence, on peut voir le boucher s'accoupler fougueusement avec la femme qu'il convoite tant, dans un grand bain de sang, de manière instinctive, sauvage et bestiale, les corps étant couverts de sang, comme s'il s'agissait de quelque chose de glamour ! Il y a un parallèle recherché évident entre la viande et la chair fraîche...

Le message du clip est des plus ambigus et peut s'apparenter à une apologie du viol. Encore une fois, la mise en scène est à la fois gore, léchée, sensuelle et parfaitement racoleuse, en complet décalage avec l'horreur de ce qui est présenté.

On va nous faire croire que l'auteur de ce clip ignoble et glauque à été maladroit et qu'il ne maîtrise pas le message qu'il véhicule, alors qu'en réalité, dans cette industrie qui brasse des millions, rien n'est laissé au hasard, tout est calculé, parfaitement calibré, réfléchi et délibéré. Encore une fois, la provocation semble payer puisque le clip a été visionné à 599 millions de vues.

Skyrock, dans l'antre de la Bête


Dans cette vaste entreprise de destruction, de subversion et d'avilissement  de la jeunesse, il ne faut pas négliger le rôle hautement délétère, des plus nuisible de radios particulièrement suivies, telles que Skyrock. Cette station fort peu recommandable, spécialisée comme NRJ dans le Rap, cible directement un public adolescent et propose des émissions particulièrement débilitantes, décadentes et dégénérées. Elle a malheureusement une influence certaine auprès de la jeunesse, en rassemblant quotidiennement près de 3,8 millions d'auditeurs et a aussi connu un très grand succès avec sa plateforme de blogs internet Skyblog. La radio a été à maintes reprises épinglée et condamnée par le CSA, pour la tenue de propos orduriers tout simplement surréalistes tenus  à des heures de grande écoute par l'animateur Difool. Pour toute réponse à l'une de ces condamnation, le patron de la radio déclara : « la crudité est une bénédiction, car elle décomplexe, libère modère, amuse, lève des tabous et des ignorances qui font mal. » Skyrock donne aussi la part belle à un obscure voyant, Claude Déplace, très versé dans l'ésotérisme New Age et les pratiques occultes... On peut ainsi le retrouver, dans un vieux document d'archives de l'INA daté de 1979, et consacré aux "sectes à la française", en train de pratiquer un rituel le plus naturellement du monde. On peut l'apercevoir en sorcier et maître de cérémonie, d'un étrange et ténébreux rituel, officiant tout nu au milieu des membres de sa secte satanique, "Les enfants des ténèbres". Lors du rituel, se déroulant dans un froid glacial, on peut voir les adeptes en train de s'automutiler joyeusement avec des braises portées au rouge ! À l'époque Claude Deplace se faisait appeler par ses adeptes du titre de "La Chose Astrale" ! Cet énergumène est reconnu dans le milieu pour faire partie des figures importantes du satanisme et du luciférisme en France. C'est ce personnage qui servira de Mentor et initiera le patron de Skyrock, Pierre Bellanger. Ce dernier a été condamné par la justice à quatre ans de sursis et une année de prison ferme pour des faits de corruption sur mineurs. Il était le gourou d'une secte nommée "Halcyon" aux mœurs d'une insondable perversion et aux surréalistes pratiques sataniques. En effet, ce grand malade, polygame avait pour pratique d'avoir à sa disposition tout un harem d'esclaves sexuelles mineures qu'il se plaisait à soumettre aux pratiques les plus dégradantes, comme lui uriner dessus. Au sein de ce groupe s'organisait des veillées spirituelles, faisant intervenir des oracles, des esclaves sexuels de premier et de second rang, des jeûnes et des orgies sado-masos. Les femmes tombées sous la coupe tyrannique de ce tordu avaient pour obligation de rédiger un journal intime codifié, mettant en scène "l'Âme", "l'Ego" et "la Bête" sous l'oeil vigilant et réprobateur du "maître" Bellanger. Ce dernier n'hésitait pas à faire subir toutes sortes d'humiliations et de sanctions, de mauvais traitements, dans le cas où le protocole de ses rites n'était pas scrupuleusement respecté, comme des douches glacées, des expositions nues sur le balcon en plein hiver, ou encore des scènes de soumission et de supplications à genoux. Comble de l'abjection, Bellanger n'hésitera même pas à faire participer l'une de ses jeunes esclaves mineure, Laetitia dans des orgies incluant sa propre sœur, dans une pratique incestueuse des plus malsaines. On notera la contradiction fondamentale de ces individus, qui font l'éloge de la liberté la plus absolue, tout en soumettant autrui au statut d'esclave privé de toute liberté… Et c'est ce genre d'énergumène hautement décadent qui veille sur l'éducation de nos enfants et qui les initie, par le biais de leurs émissions de radios à la vie et à la découverte de la sexualité... Dormez bien, braves gens !

Du folklore et de la simple provocation ?

Vous pensez sans doute, d'un haussement d'épaules amusé et dédaigneux, comme beaucoup de monde, que tout cela ne relève que d’un pur folklore, d'une sorte de théâtre de grand-guignol, un peu comme un grotesque et amusant défilé de carnaval, un simple défouloir et que cela n’a par conséquent pas la moindre importance ou incidence sur les auditeurs ?

Pourtant, si tout cela ne relevait que du simple folklore, alors pourquoi diable, tous ces "artistes" s'acharneraient-ils, avec autant de conviction, de détermination, de férocité et d'énergie, à longueur de disques, de morceaux, d'interview et de représentations, à profaner, souiller, tourner en dérision inlassablement le sacré, à moquer constamment les mêmes symboles religieux ? Et surtout, pourquoi au fond s'attaqueraient-ils à quelque chose, dont ils sont convaincus qu'elle n'a aucune réalité tangible et dont ils nient tout simplement l'existence, comme beaucoup d'entre eux l'affirment…

Les satanistes clament ainsi haut et fort qu'ils ne vénèrent aucun culte dédié à une véritable entité, qu'ils n'adorent aucune créature fantasmagorique, mais, qu'ils se réclament plutôt d'une simple philosophie de vie, mettant l'ego au centre de toutes choses, plaçant l'individualisme forcené comme valeur cardinale, primant sur toute autre considération. Pourtant, ils utilisent toujours les mêmes symboles renvoyant clairement au Baphomet, cette mystérieuse créature androgyne et des pentagrammes qui en sont aussi la représentation..

Cela n'aurait tout simplement aucun sens ! Si tel était le cas, ces groupes seraient semblables au héros picaresque de Cervantès, "Don Quichotte", ils n'hésiteraient pas à s'élancer tête baissée et avec rage contre de simples moulins à vent !


En outre, comment également expliquer toutes ces profanations dans certains cimetières, églises et lieux de cultes brûlés, ces meurtres rituels atroces qui font de temps à autre l'objet d'articles dans la presse locale. On pensera notamment au groupe de metal "Black Legion" ­qui s'est livré aux pires exactions en Norvège. Ces satanistes prendraient ils vraiment tous ces risques inconsidérés, juste pour nourrir leur orgueil et leur ego ? Cela ne tient décidément pas la route...

À titre personnel, je pense que bien au contraire, ces chanteurs dirigent toutes ces attaques de manière toujours très ciblées, en toute connaissance de cause, parfaitement conscients de toute la puissance et de la force de ce qu'ils combattent avec un tel acharnement.

En outre, les sons et les paroles, tout comme les images ont aussi un impact considérable sur nos âmes, elles entrent en résonance avec notre fort intérieur. Ne dit-on pas que les mots peuvent blesser plus durablement et profondément que des coups ?

La musique produit des ondes vibratoires qui ont directement des répercussions d'ordre physiologiques sur l'auditeur. Elles peuvent influencer notre état d'esprit, notre ressenti, nos sentiments. Certaines musiques sont apaisantes, ressourçantes, tandis que d'autres conduisent à un état d'excitation, d'agitation, d'euphorie galvanisante, d'énervement, d'agressivité ou de profond malaise. On peut observer, par exemple que de nombreuses musiques "Rap" très violentes et haineuses, avec des fréquences basses continuelles, entraînent des comportements agressifs chez certains auditeurs.

La musique peut jouer directement sur la psyché humaine, sur l'humeur, sur la disponibilité des auditeurs à agir, à se sacrifier. Elle anesthésie l'esprit critique, parasite la logique, elle est en mesure de manipuler les masses, de les faire plonger dans l'irrationalité.

C'est bien pour cela qu'à l'époque, sur les champs de bataille, on faisait jouer du tambour dont les percussions rythmées motivaient les troupes pendant leurs assauts. On jouait aussi en cadence des airs impressionnants pour intimider l'adversaire, la musique était alors utilisée comme une arme psychologique parmi tout l'arsenal disponible.

Les nazis avaient eux aussi, parfaitement conscience de cette puissance et ils l'utilisaient à mauvais escient pour appuyer leur propagande notamment lors des grands meetings du Führer à Berlin... Selon l'idéologie nazie, le peuple allemand était le « premier peuple musicien de la terre » et Wagner son héros.

La musique à aussi par exemple été utilisée par certains magasins pour influencer les consommateurs à céder plus facilement à leurs pulsions d'achat.  Ainsi, par exemple, dès 1978 on a appris que de nombreux supermarchés américains diffusaient au moyen de haut-parleurs, à un niveau sonore impossible à percevoir consciemment, des messages qui exhortait les clients à ne pas voler. Grâce à ce procédé subliminal, les vols à l'étalage se réduisirent d'environ trente-six pourcents. Ce type de messages furent par la suite interdits par la loi, mais reste à savoir si cette interdiction est réellement respectée.

Dans le même ordre d'idées, mais plus choquant encore, Paolo Baroni nous apprend dans son ouvrage "I principi del tramonto" que le constructeur automobile Fiat aurait eu aussi recours à des messages subliminaux au sein de ses usines afin d'augmenter la productivité de ses salariés et améliorer les relations entre les travailleurs et l'entreprise afin de réduire les situations conflictuelles et les revendications salariales !

Il faut aussi s'intéresser aux fascinants travaux scientifiques du professeur Masaru Emoto sur la mémoire de l'eau. D'après ses recherches, les fréquences sonores et musicales peuvent nous toucher directement, physiologiquement parlant, car notre corps fonctionne lui aussi selon une certaine fréquence vibratoire, dont l'état peut être influencé, perturbé par d'autres fréquences sonores… On dit bien que "cette musique me fait vibrer". C'est d'ailleurs là toute sa puissance et sa force. Nos organismes étant composés d'eau à 70% et les molécules d'eau réagissant même aux pensées, aux émotions, aux intentions positives comme négatives qui influerait même directement sur la structure des cristaux.

Aussi incroyable que cela puisse paraître, d'après Emoto, il y aurait donc un certain pouvoir de la pensée sur la matière !

Pour s'en convaincre, il existe une petite expérience très impressionnante à réaliser sur le riz. Ce test est reproductible, très simple à mettre en œuvre et peut confirmer cette influence réelle de la pensée sur la matière. Elle consiste à observer les effets que produisent de simples mots écrits ou bien des pensées (soit de nature positives ou négatives comme "AMOUR" et "HAINE") inscrits et collés sur deux pots de riz différents, stockés dans les mêmes conditions et contenant les mêmes grains de riz. Le résultat est des plus impressionnants, car les mots chargés de négativité font pourrir le riz beaucoup plus rapidement... Un résultat tout simplement incroyable et époustouflant  !

Des scientifiques comme Dorothy Retallack ont fait en 1969 une autre expérience sur l'influence de la musique sur deux séries d'une même plante en les soumettant à différents types de musiques ou sans aucune musique et les résultats furent tout simplement spectaculaires puisqu'il est avéré que les plantes sont sensibles à la musique pour leur croissance. Elles poussent même en direction de la source qui émet la musique ! On peut ainsi obtenir des rendements allants du simple au double selon le type de musique à laquelle on expose ces  dernières ! Les plantes se comportent différemment en fonction du type de musique qu’on leur fait écouter.

Certaines musiques sont bénéfiques comme la musique classique, tandis que d’autres ont des effets néfastes sur leur croissance, comme le rock qui peuvent entraîner la paralysie, l’arrêt complet du développement des plantes. Dans les cas les plus extrêmes, elles peuvent même provoquer des maladies ou la mort de la plante ! La musique de AC/DC serait à ce titre littéralement fatale pour le règne végétal !

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