La fausse écologie
« Quand le dernier arbre aura été abattu... Quand la dernière rivière aura été empoisonnée... Quand le dernier poisson aura été péché... Alors, on saura que l'argent ne se mange pas ! » Sitting Bull, chef indien
« Celui qui croit qu’une croissance infinie est compatible avec une planète finie est soit un fou, soit un économiste! » Serge Latouche
« Au printemps 2007, nous avons publié officiellement que le maïs de Monsanto MON 863 provoque des signes de toxicité hépatique et rénale chez les animaux qui en consomment : une augmentation de 20 à 40% des graisses dans le sang des femelles, de 10% du taux de sucre, de la masse pondérale du foie et du corps… » Gilles-Éric Séralini - "Ces ogm qui changent le monde", 2010
La parfaite hypocrisie du système
On nous parle sans cesse d’écologie, de respect de la planète, tout en nous abreuvant, en nous bombardant littéralement d'incessants messages publicitaires quotidiens, comme autant d'injonctions paradoxales, nous invitants à nous abandonner à la grande fête de la consommation, pour acheter de manière toujours plus frénétique et compulsive des biens, pour la plupart parfaitement inutiles, mais qui nuisent en revanche durablement à la planète…Dans cette société de l'ultra consommation, ce n'est plus la demande qui fait l'offre, mais l'offre qui fait la demande, en orientant les besoin des consommateurs sur, des marchandises des produits tout à fait dispensables, voir absolument inutiles ou nocifs. Il paraît pourtant clair, que l'authentique écologie devrait prôner un modèle de consommation frugale, voir de décroissance, basée sur la responsabilité et la modération, plutôt que sur l'hyper consommation permanente !
Les contradictions internes du capitalisme ne sont pas soutenables du point de vue de la planète et des êtres humains, ce n'est pas un système viable et raisonnable, mais une fuite en avant qui, de par son essence même, mène à une inexorable destruction. Le système capitalisme entraîne mécaniquement un phénomène de surproduction. Les acteurs du capitalisme étant soumis à la concurrence féroce du marché, ils doivent dès lors constamment faire baisser le prix des marchandises, car c'est celui qui vend le moins cher qui est le plus compétitif et qui peut vendre le plus. Il faut donc faire baisser sans cesse les coûts de production et donc faire baisser la part de temps et de coût humain nécessaire à la fabrication de chaque marchandise. D'où le recours à une automatisation et une mécanisation de plus en plus systématique et l'appel à des mains d'œuvres à très bas coûts et à faibles revendications. Les capitalistes produisent des marchandises qui valent de moins en moins chères, entraînant une baisse du taux de profit que peuvent dégager ces dernières. Pour compenser cette baisse tendancielle et mécanique du taux de profit, qu'avait parfaitement identifié et mis en lumière Karl Marx dans son ouvrage "le Capital". Il faut donc produire, de plus en plus de marchandises, pour maintenir à niveau les profits ! Les marchés deviennent alors saturés en marchandises et entrent dans des crises de surproduction, dont la résolution passe souvent par la guerre, afin de reconstruire ce qui a été détruit.
Ce modèle économique de capitalisme globalisé et mondialisé, parfaitement insoutenable, vise une croissance infinie, dans un monde aux ressources pourtant limitées et finies. Actuellement, les besoins en énergie, à l'échelle mondiale augmentent de 2 % par an. Soit, un modèle de développement parfaitement aberrant et suicidaire sur le long terme, où des marchandises produites à l'autre bout du monde, dans des conditions toujours plus effroyables et inhumaines, font quatre fois le tour de la planète, avant d'êtres consommées ou d'atterrir dans nos assiettes…
Les marchandises sont les matières premières proviennent souvent du continent africain, sont produites en Asie puis consommées en Europe ou en Amérique, pour finir par êtres jetées en Afrique, la boucle est bouclée. Ce modèle de développement fou, qui hypothèque sur l'avenir des générations futures et de la planète, est la promesse inéluctable de violents conflits pour la conquête de ressources qui s'amenuisent inéluctablement.
Il tombe pourtant sous le coup du bon sens le plus élémentaire, que la seule chose à faire pour éviter la catastrophe finale, serait une rupture radicale avec ce système de production et de consommation ubuesque, pour revenir à des circuits courts et à une consommation beaucoup plus raisonnée, frugale et locale !
Les contradictions internes du capitalisme ne sont pas soutenables du point de vue de la planète et des êtres humains, ce n'est pas un système viable et raisonnable, mais une fuite en avant qui, de par son essence même, mène à une inexorable destruction. Le système capitalisme entraîne mécaniquement un phénomène de surproduction. Les acteurs du capitalisme étant soumis à la concurrence féroce du marché, ils doivent dès lors constamment faire baisser le prix des marchandises, car c'est celui qui vend le moins cher qui est le plus compétitif et qui peut vendre le plus. Il faut donc faire baisser sans cesse les coûts de production et donc faire baisser la part de temps et de coût humain nécessaire à la fabrication de chaque marchandise. D'où le recours à une automatisation et une mécanisation de plus en plus systématique et l'appel à des mains d'œuvres à très bas coûts et à faibles revendications. Les capitalistes produisent des marchandises qui valent de moins en moins chères, entraînant une baisse du taux de profit que peuvent dégager ces dernières. Pour compenser cette baisse tendancielle et mécanique du taux de profit, qu'avait parfaitement identifié et mis en lumière Karl Marx dans son ouvrage "le Capital". Il faut donc produire, de plus en plus de marchandises, pour maintenir à niveau les profits ! Les marchés deviennent alors saturés en marchandises et entrent dans des crises de surproduction, dont la résolution passe souvent par la guerre, afin de reconstruire ce qui a été détruit.
Ce modèle économique de capitalisme globalisé et mondialisé, parfaitement insoutenable, vise une croissance infinie, dans un monde aux ressources pourtant limitées et finies. Actuellement, les besoins en énergie, à l'échelle mondiale augmentent de 2 % par an. Soit, un modèle de développement parfaitement aberrant et suicidaire sur le long terme, où des marchandises produites à l'autre bout du monde, dans des conditions toujours plus effroyables et inhumaines, font quatre fois le tour de la planète, avant d'êtres consommées ou d'atterrir dans nos assiettes…
Les marchandises sont les matières premières proviennent souvent du continent africain, sont produites en Asie puis consommées en Europe ou en Amérique, pour finir par êtres jetées en Afrique, la boucle est bouclée. Ce modèle de développement fou, qui hypothèque sur l'avenir des générations futures et de la planète, est la promesse inéluctable de violents conflits pour la conquête de ressources qui s'amenuisent inéluctablement.
Il tombe pourtant sous le coup du bon sens le plus élémentaire, que la seule chose à faire pour éviter la catastrophe finale, serait une rupture radicale avec ce système de production et de consommation ubuesque, pour revenir à des circuits courts et à une consommation beaucoup plus raisonnée, frugale et locale !
Le profit et l'appât du gain passent toujours avant la question écologique.
On cherche à contrôler entièrement le vivant, sous toutes ses formes, pour le marchandiser, à grand coup d'OGM et de pesticides. On brevette le vivant pour s'approprier et commercialiser tout ce que la nature, dans sa grande générosité, peut offrir de gratuit. Ainsi, l'usage libre et gratuit des graines ne sera bientôt plus qu'un doux souvenir rappelant des méthodes paysannes d'un autre temps. Ressemer sa propre récolte sera interdit ou taxé. Ces graines traditionnelles dites "semences de ferme", étaient jusqu'alors sélectionnées d'une année à l'autre par les agriculteurs au sein de leurs propres récoltes pour êtres replantées. 99% des graines utilisées par les agriculteurs tombent ainsi sous le coup d'un brevet.
Ainsi, des firmes comme Monsanto, n'hésitent pas à faire main-basse sur des plantes millénaires, qui font partie intégrante du patrimoine de l'humanité. Des plantes qui ont étés transmises au cours des siècles, par des générations entières d'agriculteurs ! Ils s'octroient ce droit, juste pour le simple fait d'avoir modifié un seul des gènes de la plante. Ces plantes, ainsi trafiquées, par génie génétique (un bien mauvais génie), deviennent alors la propriété exclusive de la firme ! Lorsqu'au gré du vent, les plantes ainsi brevetées par Monsanto se disséminent et finissent par contaminer d'autres parcelles de cultures, composées elles de plantes naturelles et biologiques, alors, comble de l'audace, à l'aide de toute une armée de juristes, Monsanto en profite pour accabler de ruineux procès, ces pauvres agriculteurs ! Ces derniers étant coupables aux yeux de la firme, d'avoir violé un brevet, en utilisant des OGM, sans en avoir payé les droits afférents, alors qu'en réalité, ils ont été malencontreusement affectés par cette dissémination ! C'est donc vraiment le monde à l'envers, une situation tout simplement ubuesque... Avec le puissant pouvoir des lobbies, c'est la victime qui subit un préjudice qui devient le coupable ! Pour ces criminels patentés de Monsanto, il s'agit bien là, d'une ruse juridique et d'une stratégie démoniaque pour s'approprier le monopole du marché de la semence, de la plus déloyale et scandaleuse des manières ! Et ne parlons pas des graines Terminator commercialisées par la firme, qui ne germent d'une saison à l'autre, rendant ainsi les agriculteurs piégés, complètement captif et à la merci du groupe de semencier. C'est ce qui a conduit à la ruine et au suicide massif des milliers d'agriculteurs du coton en Inde.
Même les cultures BIO sont progressivement souillées par les autres cultures chimiques. Christine Lagarde, l'ancienne patronne du fond monétaire international avait d'ailleurs autorisé en 2007, les productions biologiques à utiliser 1% de pesticides !
Le profit et l'appât du gain passent toujours avant la question écologique. Ainsi, la loi interdit de faire la promotion du purin d’orties, alors même que c'est un formidable engrais 100 % naturel, mais aussi un répulsif efficace contre les acariens et les pucerons. Dans le même temps, elle autorise l'usage de produits phytosanitaires très nocifs, tant du point de vue de l’utilisateur, que du point de vue de la contamination des sols, des végétaux, des animaux et des nappes phréatiques !
On pourrait parler aussi du chanvre et de ses feuilles de cannabis, une plante miraculeuse révolutionnaire, qui à des centaines d'applications possibles, tant thérapeutique qu'industrielles et qui est interdite sur le marché. C'est l'une des plus puissantes plantes médicinales de la planète, ce qui ne va pas dans les intérêts des puissants lobbies pharmaceutiques. Cette plante est le pire ennemi de l’oncologie, parce que son huile est un vrai remède efficace contre le cancer, elle peut combattre les tumeurs. Mais ce n'est pas tout, car elle peut aussi alcaliniser le métabolisme, relâcher le stress, la nervosité et l’anxiété, prévenir la dépression, réduire l’insomnie, stimuler la digestion et accroître l’appétit, hydrater la peau et les cheveux, abaisser la douleur ! Le chanvre peut aussi servir à faire des vêtements solides et durables avec ses fibres et peut même servir dans la construction pour créer un habitat bien plus écologique, car ses composants polyvalents peuvent être formés et utilisés pour recréer les caractéristiques du bois, du béton, du plastique, de l'isolation, et même des revêtements soit quasiment toutes les parties nécessaires à la construction d'une maison. À notre époque de dégradation et destruction avancée de l'environnement au niveau mondial, il est donc tout à fait inexcusable de ne pas se tourner vers le chanvre et d'en cacher toutes les applications et débouchés à la population ! C'est une ressource précieuse, au bilan carbone négatif, locale et renouvelable, facile à travailler et non-toxique, tout en offrant une résistance et une isolation supérieures.
Les lobbies parviennent toujours à détourner et à dévoyer la loi et les réglementations, pour imposer sur le marché des produits chimiques hautement nocifs, qui sont directement responsables de l'explosion des cancers et qui nuisent à l'environnement en se répandant dans la nature, dans l’air, l’eau, les sols… Quant aux solutions naturelles, transmises dans la tradition populaire, simples à mettre en œuvre aux effets bénéfiques, elles sont tout simplement interdites de commercialisation ou d'usage. Il faut étendre toujours plus loin le règne de la marchandise, même sur ce qui est gratuit, ce qui relève du don désintéressé ou de l'amour.
Ainsi, des firmes comme Monsanto, n'hésitent pas à faire main-basse sur des plantes millénaires, qui font partie intégrante du patrimoine de l'humanité. Des plantes qui ont étés transmises au cours des siècles, par des générations entières d'agriculteurs ! Ils s'octroient ce droit, juste pour le simple fait d'avoir modifié un seul des gènes de la plante. Ces plantes, ainsi trafiquées, par génie génétique (un bien mauvais génie), deviennent alors la propriété exclusive de la firme ! Lorsqu'au gré du vent, les plantes ainsi brevetées par Monsanto se disséminent et finissent par contaminer d'autres parcelles de cultures, composées elles de plantes naturelles et biologiques, alors, comble de l'audace, à l'aide de toute une armée de juristes, Monsanto en profite pour accabler de ruineux procès, ces pauvres agriculteurs ! Ces derniers étant coupables aux yeux de la firme, d'avoir violé un brevet, en utilisant des OGM, sans en avoir payé les droits afférents, alors qu'en réalité, ils ont été malencontreusement affectés par cette dissémination ! C'est donc vraiment le monde à l'envers, une situation tout simplement ubuesque... Avec le puissant pouvoir des lobbies, c'est la victime qui subit un préjudice qui devient le coupable ! Pour ces criminels patentés de Monsanto, il s'agit bien là, d'une ruse juridique et d'une stratégie démoniaque pour s'approprier le monopole du marché de la semence, de la plus déloyale et scandaleuse des manières ! Et ne parlons pas des graines Terminator commercialisées par la firme, qui ne germent d'une saison à l'autre, rendant ainsi les agriculteurs piégés, complètement captif et à la merci du groupe de semencier. C'est ce qui a conduit à la ruine et au suicide massif des milliers d'agriculteurs du coton en Inde.
Même les cultures BIO sont progressivement souillées par les autres cultures chimiques. Christine Lagarde, l'ancienne patronne du fond monétaire international avait d'ailleurs autorisé en 2007, les productions biologiques à utiliser 1% de pesticides !
Le profit et l'appât du gain passent toujours avant la question écologique. Ainsi, la loi interdit de faire la promotion du purin d’orties, alors même que c'est un formidable engrais 100 % naturel, mais aussi un répulsif efficace contre les acariens et les pucerons. Dans le même temps, elle autorise l'usage de produits phytosanitaires très nocifs, tant du point de vue de l’utilisateur, que du point de vue de la contamination des sols, des végétaux, des animaux et des nappes phréatiques !
On pourrait parler aussi du chanvre et de ses feuilles de cannabis, une plante miraculeuse révolutionnaire, qui à des centaines d'applications possibles, tant thérapeutique qu'industrielles et qui est interdite sur le marché. C'est l'une des plus puissantes plantes médicinales de la planète, ce qui ne va pas dans les intérêts des puissants lobbies pharmaceutiques. Cette plante est le pire ennemi de l’oncologie, parce que son huile est un vrai remède efficace contre le cancer, elle peut combattre les tumeurs. Mais ce n'est pas tout, car elle peut aussi alcaliniser le métabolisme, relâcher le stress, la nervosité et l’anxiété, prévenir la dépression, réduire l’insomnie, stimuler la digestion et accroître l’appétit, hydrater la peau et les cheveux, abaisser la douleur ! Le chanvre peut aussi servir à faire des vêtements solides et durables avec ses fibres et peut même servir dans la construction pour créer un habitat bien plus écologique, car ses composants polyvalents peuvent être formés et utilisés pour recréer les caractéristiques du bois, du béton, du plastique, de l'isolation, et même des revêtements soit quasiment toutes les parties nécessaires à la construction d'une maison. À notre époque de dégradation et destruction avancée de l'environnement au niveau mondial, il est donc tout à fait inexcusable de ne pas se tourner vers le chanvre et d'en cacher toutes les applications et débouchés à la population ! C'est une ressource précieuse, au bilan carbone négatif, locale et renouvelable, facile à travailler et non-toxique, tout en offrant une résistance et une isolation supérieures.
Les lobbies parviennent toujours à détourner et à dévoyer la loi et les réglementations, pour imposer sur le marché des produits chimiques hautement nocifs, qui sont directement responsables de l'explosion des cancers et qui nuisent à l'environnement en se répandant dans la nature, dans l’air, l’eau, les sols… Quant aux solutions naturelles, transmises dans la tradition populaire, simples à mettre en œuvre aux effets bénéfiques, elles sont tout simplement interdites de commercialisation ou d'usage. Il faut étendre toujours plus loin le règne de la marchandise, même sur ce qui est gratuit, ce qui relève du don désintéressé ou de l'amour.
La pollution des ondes
Ne parlons pas non plus de la pollution des ondes électromagnétiques ou electro-smog ultra présente, avec la prolifération des antennes-relais, des réseau wifi, qui recouvrent presque l'ensemble du territoire et qui est imposée à toute la population, alors qu'elle rend la vie tout bonnement impossible aux personnes dites électro sensibles. Là aussi, c'est tout bonnement édifiant, car 1800 récentes études scientifiques renforcent la certitude de la nocivité des ondes et de l'urgence de mise en œuvre de nouvelles normes pour protéger la population. Elles entraîneraient une recrudescence des probabilités de contracter un cancer, favoriseraient l'autisme, seraient des plus nocives pour les abeilles, les appareils sans fils tels que téléphones et ordinateurs portables utilisés par les femmes enceintes peuvent altérer le développement cérébral de leurs fœtus. Ces ondes causeraient aussi des dommages à l'ADN et aux gènes, ont des effets délétères sur la mémoire, sur l'apprentissage, le comportement, l'attention, les problèmes de sommeil, le cancer et les maladies neurologiques telle que la maladie d'Alzheimer. Encore une fois, il semblerait que la population soit traitée comme de vulgaires cobayes et que le principe de précaution soit définitivement relégué aux oubliettes…
Et le pire semble être à venir, avec le déploiement prochain de la 5G, dont la dangerosité promet d'être redoutable ! Alors que pourtant le réseau 4G fonctionne déjà très bien en terme de débit d'informations...
Et le pire semble être à venir, avec le déploiement prochain de la 5G, dont la dangerosité promet d'être redoutable ! Alors que pourtant le réseau 4G fonctionne déjà très bien en terme de débit d'informations...
Le royaume des savants fous
On a perdu toute forme de respect pour les êtres vivants : avec la technique de la transgenèse, on rend les porcs fluorescents en leur intégrant de l'ADN de méduse ! On fait des vaches équipées de hublots latéraux avec une canule et un clapet pour intervenir directement dans la panse de l'animal, en y introduisant son bras ! On modifie génétiquement ces mêmes vaches pour qu'elles produisent du lait maternel humain !
Les conditions d'élevages industriels sont tout bonnement effroyables, un univers concentrationnaire abominable, où les bêtes sont traitées comme de la matière première ou de vulgaires déchets. Ne parlons pas des poussins mâles, incapables de pondre et donc jugés improductifs, qui sont broyés, mutilés, hachés vivants dans des broyeurs à haute pression, étouffés dans des sacs-poubelles dans les usines de l'industrie de l'œuf... On parle de 150 000 par jour et 21 millions par an ! Les poules pondeuses sont confinées dans des espaces très réduits, où elles ne peuvent se mouvoir et ne touchent même pas le sol. On leur coupe aussi le bout du bec, pour les empêcher de s'attaquer entre-elles !
Quant à l'écologie humaine, on n'en parle même pas, puisque de "brillants scientifiques" ou des "savants fous", je ne saurais dire, sont en train de réfléchir à trouver les moyens techniques pour rendre la procréation humaine complètement artificielle, en développant l'ectogenèse. Ce concept incroyable a été inventé en 1923 par le généticien britannique, John Burdon Sanderson Haldane un ami proche de Aldous Huxley, qui a repris l'idée pour la développer dans son livre d'anticipation "Le meilleur des mondes", ou plutôt de l'immonde ! Les bébés seraient alors produits en série, comme de vulgaires marchandises calibrées. Même si ce n'est pas encore pour demain, car la vie ne se laisse pas dompter aussi facilement, les avancées scientifiques dans ce domaine sont particulièrement impressionnantes et angoissantes.
Techniquement, le professeur Shinya Yamanaka, a obtenu pour la première fois des cellules souche pluripotentes similaires à celles que l'on trouve au stade embryonnaire en partant de cellules adultes différenciées, de peau, par exemple. On peut donc extraire le noyau de n'importe quelle cellule. Dans la foulée, d'autres scientifiques sont parvenus à créer de toute pièce, des gamètes germinales, en ovules et spermatozoïdes, en partant de ces mêmes cellules souche indifférenciées, soit le préalable à toute forme de vie ! Il serait alors possible de faire de la fécondation à partir de vos propres cellules de peau. Manifestement, au rythme où vont les recherches, Adam et Eve seront bientôt en chômage technique et les fantasmes scientifiques d'un Michael Crichton et de son roman de science-fiction "Jurassic Park" ne seront plus si éloignées du champ des possibles. Par ailleurs, d'autres équipes de chercheurs ont réussi à faire naître des moutons extra-prématurées viables, qui étaient placés dans un utérus totalement artificiel. Les fœtus d’agneaux se sont développés "normalement", dans un sac en plastique transparent, relié à divers circuits sanguins et physiologiques. La scientifique Hung-Ching Liu, du laboratoire d'endocrinologie reproductive de l'Université de Cornell à New York, partenaire de la Rockefeller University (toujours les mêmes...) mène des expérimentation dans le but de parvenir à une fécondation d'un fœtus humain hors du sein maternelle. Elle a déjà réussi à le faire, avec plus ou moins de succès pour des chèvres qui sont mortes peu de temps après leur naissance.
En outre, avec la technique du séquençage génétique et la découverte du "ciseau génétique" CRISPR-Cas9 de la Française Emmanuelle Charpentier et de l'Américaine Jennifer Doudna, les apprentis sorciers de l'ADN, cherchent maintenant à créer un homme à la carte en éditant et en trafiquant directement le code génétique. On se retrouvera bientôt, à n'en pas douter, dans une situation semblable à celle décrite dans l'excellent et magnifique film d'anticipation "Bienvenue à Gattaca" d'Andrew Nichols, où les parents se voient proposer des bébés modulable à la carte, à composer sur catalogue comme un meuble IKEA… Ces bébés personnalisés selon les déshydratas des clients sont élaborés par génie génétique et sont presque-parfaits, dénués de toute faille. Ils constituent l'élite de cette société totalement déshumanisée, tandis que les bébés naturels, sont relégués tout en bas de l'échelle sociale, cantonnés à l'exécution de tâches subalternes. Avec ces BGM, Bébés Génétiquement Modifiés, l'humanité poussée par son instinct grégaire et conformiste, ne tardera sans doute pas à ressembler à une armée de clones, étant donné que les médias façonnent toujours les goûts et les standards de beauté.
Techniquement, le professeur Shinya Yamanaka, a obtenu pour la première fois des cellules souche pluripotentes similaires à celles que l'on trouve au stade embryonnaire en partant de cellules adultes différenciées, de peau, par exemple. On peut donc extraire le noyau de n'importe quelle cellule. Dans la foulée, d'autres scientifiques sont parvenus à créer de toute pièce, des gamètes germinales, en ovules et spermatozoïdes, en partant de ces mêmes cellules souche indifférenciées, soit le préalable à toute forme de vie ! Il serait alors possible de faire de la fécondation à partir de vos propres cellules de peau. Manifestement, au rythme où vont les recherches, Adam et Eve seront bientôt en chômage technique et les fantasmes scientifiques d'un Michael Crichton et de son roman de science-fiction "Jurassic Park" ne seront plus si éloignées du champ des possibles. Par ailleurs, d'autres équipes de chercheurs ont réussi à faire naître des moutons extra-prématurées viables, qui étaient placés dans un utérus totalement artificiel. Les fœtus d’agneaux se sont développés "normalement", dans un sac en plastique transparent, relié à divers circuits sanguins et physiologiques. La scientifique Hung-Ching Liu, du laboratoire d'endocrinologie reproductive de l'Université de Cornell à New York, partenaire de la Rockefeller University (toujours les mêmes...) mène des expérimentation dans le but de parvenir à une fécondation d'un fœtus humain hors du sein maternelle. Elle a déjà réussi à le faire, avec plus ou moins de succès pour des chèvres qui sont mortes peu de temps après leur naissance.
En outre, avec la technique du séquençage génétique et la découverte du "ciseau génétique" CRISPR-Cas9 de la Française Emmanuelle Charpentier et de l'Américaine Jennifer Doudna, les apprentis sorciers de l'ADN, cherchent maintenant à créer un homme à la carte en éditant et en trafiquant directement le code génétique. On se retrouvera bientôt, à n'en pas douter, dans une situation semblable à celle décrite dans l'excellent et magnifique film d'anticipation "Bienvenue à Gattaca" d'Andrew Nichols, où les parents se voient proposer des bébés modulable à la carte, à composer sur catalogue comme un meuble IKEA… Ces bébés personnalisés selon les déshydratas des clients sont élaborés par génie génétique et sont presque-parfaits, dénués de toute faille. Ils constituent l'élite de cette société totalement déshumanisée, tandis que les bébés naturels, sont relégués tout en bas de l'échelle sociale, cantonnés à l'exécution de tâches subalternes. Avec ces BGM, Bébés Génétiquement Modifiés, l'humanité poussée par son instinct grégaire et conformiste, ne tardera sans doute pas à ressembler à une armée de clones, étant donné que les médias façonnent toujours les goûts et les standards de beauté.
En novembre 2018, une équipes de chercheurs chinois sous la direction de Jiankui He ont d'ailleurs déjà donné naissance à des jumelles génétiquement modifiées, sans doute en vue d’augmenter leurs capacités intellectuelles et avec des arrières-pensées eugénistes. Mais la nature ne se laisse pas violer aussi impunément et l'espérance de vie de ces bébés serait écourtée avec un risque de mortalité supérieur de 21 %. Encore une fois, dans ce domaine, ce sont les Chinois qui sont en pointe, ils ne s'encombrent pas de trop de considérations éthiques… Ils sont dors et déjà sur la brèche pour arriver à identifier et isoler les gènes responsables de l'intelligence. Ils ont ainsi séquencé le génome de 2200 individus à haut potentiel de QI dans ce seul espoir. La guerre des QI va bientôt faire rage ! Le neurone devient l'enjeu de la domination de demain. Heureusement, l'intelligence ne se résume certainement pas à une histoire de génétique, car la plasticité du cerveau joue également un rôle central. En tous les cas, vivement que l'on arrive à identifier les gènes responsables de l'orgueil, de la vanité et de la bêtise humaine pour les neutraliser au plus vite !
Par ailleurs, avec la PMA, la procréation médicalement assistée, les parents peuvent dors et déjà choisir librement le sexe de leur enfant à naître, et on commence déjà à leur proposer aussi de choisir parmi d'autres caractéristiques, comme la couleur des yeux. Nous sommes tombés en pleine dérive eugéniste, mais ce n'est pas grave… En outre, pour la naissance des bébés, on se permet toutes les combinaisons possibles sur "le matériel" humain. La conception est de plus en plus artificielle, éclatée et fragmentée : certaines fives font intervenir jusqu'à trois géniteurs, à savoir, une donneuse d'ovocytes, un donneur de sperme, plus éventuellement une mère porteuse. On se retrouve donc avec trois parents géniteurs, pour un seul enfant, ce qui risque d'être quelque peu problématique en matière de filiation pour les années à venir ! On pourra alors, de plus en plus, casser définitivement toute transmission entre les générations, ne plus avoir affaire qu'à des individus atomisés et isolés.
Il y a donc une tendance de fond à vouloir contrôler tous les aspects de la vie, à faire plier cette dernière selon sa propre volonté. L'homme se prend véritablement pour un démiurge, entraîné dans une sorte d'hystérie collective, porté par une religion scientiste aveugle. Il veut à tout prix, tout maîtriser et tout marchandiser, avec la PMA, procréation médicalement assistée, la GPA, gestation pour autrui, la biologie de synthèse, la géo-ingénierie (contrôle du temps, manipulation du climat), les organismes et animaux génétiquement modifiés, la robotique, le clonage, l'intelligence artificielle, ou encore l'euthanasie. On cherche à contrôler tout le cycle de la vie, de la naissance à la mort ! On a donc perdu tout respect pour la dimension sacrée du vivant, mais aussi pour sa propre nature humaine… Ce qui semble d'ailleurs ne jamais déranger nos écologistes, si concernés par le sort, il est vrai effroyable réservé aux animaux, mais totalement insensibles à l'écologie humaine, à la préservation de notre espèce.
On pourra aussi constater que toutes ces pratiques, de plus en plus folles et inhumaines, se développent surtout depuis que l'homme s'est écarté de toute transcendance et de spiritualité, pour adopter un paradigme purement matérialiste, cédant à une vision purement mécaniste de l'homme, de la vie et de l'univers, marquant ainsi l'essor et le triomphe d'une nouvelle religion planétaire : celle de la religion du progrès et aussi celle du capitalisme de marché ultra libéral, du règne absolu de la marchandise, qui embrasse et vampirise tous les êtres et toutes les choses !
Quand les chimères n'en sont plus !
L'homme s'arroge toutes les libertés et s'autorise toutes les combinaisons possibles et imaginables pour manipuler la nature et la création à sa guise, qui serait devenue un champ d'expérimentation infini. Les scientifiques essayent même de produire de nouvelles créatures chimériques, en outrepassant la barrière des espèces.
On a déjà eu les plantes transgéniques OGM, mais visiblement, on va aussi avoir le droit aux animaux et aux hommes transgéniques, des chimères monstrueuses toutes droit sorties de "l'île du Docteur Moreau" de H.G. Wells ! Des équipes de scientifiques ont ainsi déjà réalisé en laboratoire, le premier hybride humain-porc viable (et non, il ne s'agit pas de DSK) ! Quel sera le statut de ces nouvelles créatures, ces mutants seront-ils nos semblables ou finiront ils dans nos assiettes ?
Toutes les combinaisons deviennent possibles, on est à l'air du mélangisme intégral, de la bouillie informe, on peut combiner des gènes de plantes avec d'autres d'animaux ou d'humains.
Toujours dans le champ des manipulations génétiques, en Chine, où visiblement, ils sont prêts à toutes les formes d'abominations, une équipe de scientifiques Lei Shi, de l’Institut de zoologie de Kunming au sud de la Chine, a créé des singes transgéniques, en les dotant d’un gène impliqué dans la croissance et le développement du cerveau humain ! Cette saugrenue idée, semble sortie toute droit d'un scénario d'un épisode de "la Planète des singes" , mais c’est pourtant une expérience bien réelle et dont les résultats viennent d’être publiés dans la revue "National Science Review", parrainée par l’Académie des sciences chinoise. À croire que toute forme d'éthique scientifique a complètement et irrémédiablement disparue au pays du soleil levant…
Encore, plus fou, incroyable et improbable, un groupe de scientifiques à l’Université Rockefeller de New York, a créé un embryon hybride mi-humain et... je vous le donne en mille, mi-poulet en mélangeant des cellules humaines artificielles à des embryons de poulets !
Mais ces apprentis sorciers, ces docteurs Frankenstein des temps modernes, s'exposent à faire face à des effets tout bonnement indésirables, à des menaces inédites, à de nouveaux monstres incontrôlables. C'est le cas pour le micro-organisme bactériologique "Cynthia", créé artificiellement par le scientifique J. Craig Venter dans des laboratoires américains, pour lutter contre les marées noires. Ce microbe recombiné, une nouvelle espèce inédite dans la création, a rapidement muté, pour se nourrir d'autres formes de vies organiques, s'attaquer aux animaux et aux hommes. Une fois que la bactérie est dans un organisme, elle pénètre dans les tissus entre la peau et les muscles et commence à produire une toxine qui perturbe tout le métabolisme. La maladie mystérieuse affecte les poissons, les mammifères marins, les animaux, les volailles, les arbres et les plantes proviennent des génomes de synthèse qui transforment les organismes naturels et les forcent à muter. Maintenant, ce micro-organisme hautement létal est en route vers l'Europe. On croirait le scénario d'un film catastrophe, mais pourtant c'est la triste réalité.
En tout état de cause, certains feraient mieux de se rappeler de la fameuse maxime de Rabelais « Science sans conscience, n'est que ruine de l'âme. » tirée de son "Pantagruel".
On a déjà eu les plantes transgéniques OGM, mais visiblement, on va aussi avoir le droit aux animaux et aux hommes transgéniques, des chimères monstrueuses toutes droit sorties de "l'île du Docteur Moreau" de H.G. Wells ! Des équipes de scientifiques ont ainsi déjà réalisé en laboratoire, le premier hybride humain-porc viable (et non, il ne s'agit pas de DSK) ! Quel sera le statut de ces nouvelles créatures, ces mutants seront-ils nos semblables ou finiront ils dans nos assiettes ?
Toutes les combinaisons deviennent possibles, on est à l'air du mélangisme intégral, de la bouillie informe, on peut combiner des gènes de plantes avec d'autres d'animaux ou d'humains.
Toujours dans le champ des manipulations génétiques, en Chine, où visiblement, ils sont prêts à toutes les formes d'abominations, une équipe de scientifiques Lei Shi, de l’Institut de zoologie de Kunming au sud de la Chine, a créé des singes transgéniques, en les dotant d’un gène impliqué dans la croissance et le développement du cerveau humain ! Cette saugrenue idée, semble sortie toute droit d'un scénario d'un épisode de "la Planète des singes" , mais c’est pourtant une expérience bien réelle et dont les résultats viennent d’être publiés dans la revue "National Science Review", parrainée par l’Académie des sciences chinoise. À croire que toute forme d'éthique scientifique a complètement et irrémédiablement disparue au pays du soleil levant…
Encore, plus fou, incroyable et improbable, un groupe de scientifiques à l’Université Rockefeller de New York, a créé un embryon hybride mi-humain et... je vous le donne en mille, mi-poulet en mélangeant des cellules humaines artificielles à des embryons de poulets !
Mais ces apprentis sorciers, ces docteurs Frankenstein des temps modernes, s'exposent à faire face à des effets tout bonnement indésirables, à des menaces inédites, à de nouveaux monstres incontrôlables. C'est le cas pour le micro-organisme bactériologique "Cynthia", créé artificiellement par le scientifique J. Craig Venter dans des laboratoires américains, pour lutter contre les marées noires. Ce microbe recombiné, une nouvelle espèce inédite dans la création, a rapidement muté, pour se nourrir d'autres formes de vies organiques, s'attaquer aux animaux et aux hommes. Une fois que la bactérie est dans un organisme, elle pénètre dans les tissus entre la peau et les muscles et commence à produire une toxine qui perturbe tout le métabolisme. La maladie mystérieuse affecte les poissons, les mammifères marins, les animaux, les volailles, les arbres et les plantes proviennent des génomes de synthèse qui transforment les organismes naturels et les forcent à muter. Maintenant, ce micro-organisme hautement létal est en route vers l'Europe. On croirait le scénario d'un film catastrophe, mais pourtant c'est la triste réalité.
En tout état de cause, certains feraient mieux de se rappeler de la fameuse maxime de Rabelais « Science sans conscience, n'est que ruine de l'âme. » tirée de son "Pantagruel".
L'obsolescence programmée
Pour revenir à l'hypocrisie générale en matière d'écologie, les industriels organisent sciemment l'obsolescence programmée de leurs appareils, raccourcissent délibérément leur cycle de vie, alors qu'ils laissent un impact écologique considérable… Encore une fois, ces basses manœuvres ne sont là que pour augmenter le cycle du renouvellement des appareils et augmenter les profits. Au diable la planète ! Le tout, en prenant bien soin, cela va s'en dire, d'accoler de manière bien visible, de rassurants logos estampillés écologiques ou de recyclage, histoire de se donner une bonne conscience…Les appareils de la modernité, véritables camelotes aux courbes et aux designs séduisants, se payent le luxe d'être moins fiables que les appareils d'anciennes générations, dont pouvaient bénéficier nos parents ou grands parents et qui étaient dans bien des cas, bien plus robustes, faits pour tenir dans la durée. Les nouveaux modèles, ont la fâcheuse tendance de tomber en panne, souvent bien malencontreusement, ou fort opportunément, tout dépend du point de vue où l'on se place, juste un peu après la fin de la période de garantie…
C'est sans doute aussi un des effets collatéraux de la mondialisation, où la plupart des marchandises sont manufacturés dans le grand atelier de la planète qu'est devenu la Chine, avec des normes de qualité de production revues à la baisse, des conditions de fabrication dégradées et une exploitation humaine sans nulle autre pareil.
On peut aussi évoquer le scandale des fabricants d'imprimantes, Epson, Hewlett-Packard et compagnie, qui nous font renouveler leurs cartouches consommables, vendues à prix d'or alors qu'elles ne sont même pas vide et qu'elles sont remplies à près de quarante pourcents ! Et ne parlons pas des appareils mobiles, dont les batteries ne sont plus remplaçables et qui contraignent l'usager à remplacer tout l'appareil plutôt que la batterie lorsque cette dernière est usagée. Des marques telle qu'Apple ou Samsung ne se privent pas de telles techniques. Cette obsolescence programmée qui est l'une des premières cause de la pollution dans le monde, est une politique criminelle, qui n'est rendu possible, que par la complicité totale des politiques. Là aussi, ces derniers font mine d'êtres très concernés par le sort de la planète alors qu'ils n'auraient que quelques décrets contraignants à faire passer auprès des constructeurs pour imposer une bonne fois pour toute, des garanties beaucoup plus longues. Ce qui contraindrait de force les fabricants à produire de la qualité.
Autre mémorable arnaque sans nom, imposée au nom de l'écologie : les nouvelles ampoules économiques basses consommation, soit disant plus écologiques et avec une meilleure durée de vie que les anciennes à filaments… Pourtant à l'usage, force est de constater que ces nouvelles ampoules miraculeuses, que d'obscurs industriels ont eu la lumineuse idée d'imposer au marché, ces prodiges technologiques censés révolutionner à tout jamais l'univers de nos lampes de chevet, non seulement, coûtent 3 à 4 fois plus chères à l'achat, mais contiennent un mercure très dangereux si elles éclatent, émettent des rayonnements nocifs à courte distance, mais se sont aussi révélées avoir une fiabilité et une durée de vie des plus médiocres. Tout cela en sachant qu'il existe une ampoule qui brûle dans une caserne de pompiers à Livermore aux USA depuis plus de 100 ans. Elle veillerait depuis 1901, elle n'a presque jamais été éteinte ! Bref dans ce domaine, comme dans beaucoup d'autres, on se moque donc bien du monde dans les grandes largeurs..
L'imposture du tout électrique
Autre arnaque de taille, les nouvelles voitures électriques, soit disant plus écologiques, que l'on nous avance comme solution ne le sont en réalité pas du tout ! La faute incombe à leurs batteries, qui utilisent des matériaux très rares : du Lithium, du Cobalt et du Graphite. Le Cobalt est souvent récolté dans d'atroces conditions par des enfants exploités dans d'obscures filières, notamment au Congo. Ainsi, des enfants et des adultes extraient le cobalt dans des tunnels étroits, creusés manuellement, et sont constamment exposés à des risques d'accidents mortels et de graves affections pulmonaires. Ces fameuses batteries qui constituent le plus gros du prix de la voiture ayant une durée directement liée au nombre de cycles de charge-décharge qu'elles subissent. De ce fait, les usagers seront certainement réticents à laisser ces dernières à disposition du réseau général, comme cela est suggéré, afin de rationaliser et d'optimiser les consommations globales en électricité. On ne sait d'ailleurs absolument pas comment traiter ses batteries et les recycler en fin de vie. D'autre part, la construction de ces véhicules pollue trois fois plus que les véhicules à moteur thermique. Sans compter, le nombre de nouvelles centrales nucléaires nécessaires pour alimenter ce parc de voitures et répondre à tous ces nouveaux besoins en énergie électrique…Le plastique, c'est pas fantastique !
Quand aux déchets plastiques, c'est un véritable désastre puisqu'ils polluent pour des millénaires. Nous sommes rendu au point où il pleut même du plastique dans les zones les moins peuplées, c'est dire l'ampleur de la contamination ! Des chercheurs du CNRS ont ainsi retrouvé jusqu'à 365 microplastiques par mètre carré et par jour dans une station météorologique reculée des Pyrénées. Il pleut partout constamment du plastique ce qui contamine tous les organismes. Il faut compter entre 500 et 1000 années pour le décomposer ! Les informations à ce sujet donnent le tournis : les plastiques s'accumulent en quantité industrielle dans les océans, à tel point qu'on assiste à l'émergence d'un nouveau septième continent constitué intégralement de plastiques agglomérés. Plus de huit millions de tonnes de plastiques finissent ainsi dans les océans chaque année. Les milliards de kilos de plastique qui se sont accumulés dans les océans représentent déjà environ 40 pour cent des surfaces océaniques mondiales. À ce rythme là, les experts estiment qu’il y aura plus de plastique que de poissons dans les océans d’ici 2050 ! L'industrie a produit plus de plastique au cours des dix dernières années qu'au cours du siècle dernier. La plupart du plastique que nous utilisons est jeté juste après une seule utilisation. Seuls cinq pourcents des plastiques finissent recyclés. Pourtant malgré cette situation désastreuse, les industriels de l'alimentaire continuent le sur-emballage de leurs aliments, comme pour les paquets de gâteaux où presque chaque gâteau se retrouve emballé individuellement ou par lot de trois. On peut aussi, chose complètement aberrante et contradictoire, trouver des pommes étiquetées Bio, prétendument écologiques et responsables, vendues individuellement sous cellophane !
Pourtant, les industriels ne prennent que peu de mesures d'envergure pour limiter cette prolifération alors qu'il serait possible de prendre des décisions très simples, comme par exemple, remplacer les bouteilles plastiques par des emballages bio dégradables…
Pourtant, les industriels ne prennent que peu de mesures d'envergure pour limiter cette prolifération alors qu'il serait possible de prendre des décisions très simples, comme par exemple, remplacer les bouteilles plastiques par des emballages bio dégradables…
Un modèle parfaitement absurde
Le citoyen, éternel coupable
On parle de responsabiliser le citoyen, de le sensibiliser, de lui apprendre à être plus économe en consommation électrique en s'astreignant à quelques gestes simples, pendant que dans le même temps, on illumine des villes de mille feux, les grandes boutiques et enseignes s'affichent avec d'immenses lettres lumineuses qui brillent toute la nuit, pour éclairer le parking vide du magasin, on multiplie les affichages sur écrans géants dans les centres commerciaux et pendant la période de Noël, on se retrouve avec une véritable orgie de lumières dans l'espace public, Las Vegas, mais sur l'ensemble du territoire…
Au niveau des appareils électroniques, c'est une course effrénée à l'innovation permanente. Pour les smartphones, les fabricants sortent toujours plus de nouveaux modèles, plus puissants et perfectionnés, qui rendent le précédent modèle, tout juste sorti six mois plus tôt et avec simplement deux fonctions en moins sur 99 autres, complètement obsolète ! Même fuite en avant délirante au niveau des téléviseurs, où on parle déjà de vendre des écrans 8K, alors qu'il n'y a même pas de flux vidéo suffisants pour tirer vraiment parti de la résolution d'image des écrans 4K…
Au niveau des appareils électroniques, c'est une course effrénée à l'innovation permanente. Pour les smartphones, les fabricants sortent toujours plus de nouveaux modèles, plus puissants et perfectionnés, qui rendent le précédent modèle, tout juste sorti six mois plus tôt et avec simplement deux fonctions en moins sur 99 autres, complètement obsolète ! Même fuite en avant délirante au niveau des téléviseurs, où on parle déjà de vendre des écrans 8K, alors qu'il n'y a même pas de flux vidéo suffisants pour tirer vraiment parti de la résolution d'image des écrans 4K…
Si l'on fait mine de prendre à bras-le-corps la question écologique, on ne s'attaque en réalité jamais aux véritables racines du problème, aux vrais responsables de la pollution, on ne remet jamais profondément en cause notre mode de vie, avec son modèle de société ultra-libérale de consommation de masse. On ne remet jamais en cause non plus le mode de production tant industriel, qu'agricole…
On taxe simplement le consommateur de base, éternel payeur en bout de chaîne, tout en le culpabilisant au passage, plutôt que de s'en prendre aux grands groupes industriels et multinationales, qui restent les principaux responsables de ce désastre écologique en cours… Ces pollueurs, en finançant des films pseudos-écologistes, comme "Home" de Yann Arthus Bertrand, se donnent une belle image de sauveurs providentiels de la planète, tout en nous culpabilisant au passage et en nous exportant de changer nos habitudes de vie, comme si c'était le fond du problème. Il ne sera jamais question de changer le mode de production en profondeur et le système capitaliste. On nous abreuve de quelques mots valise, bien rassurants et de termes de Novlangue comme, "éco responsable" ou, on nous parle de "développement durable", de "transition énergétique", de "croissance verte" ou de "planification écologique", alors que l'on est systématiquement dans la surexploitation des ressources de la planète et l’optimisation de profits à très court terme, piégés dans une infernale fuite en avant !
Pour ce qui est des émissions de carbone, là aussi l'imposture est gigantesque, car il faut savoir qu'un seul supertanker de marchandises qui sillonne les mers, pour importer d'ailleurs bien souvent des marchandises parfaitement inutiles et dispensables, pollue autant qu'un vingtième du parc de voitures mondial. Les 20 plus gros supertankers polluent plus que toutes les voitures au monde réunies et ils ne sont pas taxés car ils naviguent sur des voies maritimes internationales ! Or il existe une flotte de 86.000 de ces gros pollueurs. De même pour les avions, un seul avion pollue autant que 100.000 voitures.
Un mode de production insoutenable
D'après l'ancien ingénieur agronome de l'INRA, Claude Bourguignon, « On ne fait plus de culture en Europe, nous gérons de la pathologie végétale, nous essayons de maintenir vivant des plantes qui ne demandent qu'à mourir tellement elles sont malades... Rien à voir avec de l'agriculture, l'agriculture normalement, c'est cultiver des plantes saines ! En 1950, on ne mettait pas un seul pesticide sur les blés en Europe, il n'y avait pas un traitement fongique qui était appliqué. Maintenant, ce sont au moins 3 à 4, sinon le blé, il est pourri avant d'arriver dans le silo. » Ce modèle de production intensif, aberrant et fou détruit toute la bio diversité, et ne peut tenir qu'à très court terme. 90 % de la biodiversité serait dors et déjà détruite
C'est d'ailleurs toute la folie de cette société, qui ne vise que la maximisation des profits à très court terme, sans jamais penser aux conséquences à venir, qui sont d'ailleurs souvent irréversibles, tant pour la planète que pour l'humanité. Les industriels et les scientifiques hypothèquent ainsi de la plus criminelle des manière sur les générations à venir.
Fait encore plus apocalyptique et des plus alarmant, on peut déplorer, horrifié, la disparition en masse, très inquiétante des abeilles. Leurs colonies sont décimées depuis quelques décennies par la maladie et des parasites, ainsi que par les effets néfastes des pesticides, mais aussi de par la disparition des fleurs sur les parcelles cultivées. En effet, les champs qui jadis entourés de bosquets, étaient alors couverts de fleurs sauvages et sont devenus, de part l'usage intensif des pesticides, de véritables zones désertiques pour ces indispensables et si précieuses butineuses, ces infatigables pollinisatrices. Les abeilles viennent d'ailleurs d'êtres classées comme espèce en voie de disparition... Il faut savoir que 75 % de la production mondiale de nourriture dépend de ces pollinisateurs. Autant dire que nos jours sont comptés si on n'arrête pas le massacre ! Massacre qui n'est pas prêt de prendre fin puisque l'on va bientôt assister au déploiement des antennes 5G, qui sont absolument redoutables pour les abeilles !
Mais, surtout pas de panique, si les abeilles disparaissent, qu'à cela ne tienne, le monde moderne a déjà trouvé la solution toute faite, remplacer ce prodige d'abeilles de mère-nature par des abeilles artificielles, des robots pollinisateurs. Plusieurs projets sont développés en ce sens par les Américains et les Japonais. Il y a le projet "Robotbee" élaboré par des ingénieurs d'Harvard et un autre projet mené par une équipe de chercheurs de l’Institut National Japonais des Sciences et des Technologies Industrielles.
Ces petits génies ne sont même pas capables de remettre en question en profondeur le système de production et d'exploitation, l'agriculture ultra intensive. Au lieu de simplement mettre un terme aux pesticides qui sont responsables de cette situation, ils préfèrent les remplacer par de l'artificiel et le marchand, car ces butineuses high-tech ne seront pas gratuites…
C'est toute la beauté de cette modernité, comme toujours, la solution est pire que le problème d'origine ! Nous sommes dans une éternelle fuite en avant, en dépit de la raison, de la mesure et du bon sens. À chaque fois qu'il y a un problème lié à la technique, on cherche à le résoudre par davantage de technique, sans jamais remettre en cause la réalité à l'origine du problème !
C'est un peu comme pour l'Union européenne, elle ne fonctionne pas du tout, donc il faut aller de l'avant, c'est qu'il ne doit pas y avoir assez d'Europe…
Il faut aussi savoir qu'au niveau de la nourriture, il y a un gaspillage monstre : des pertes alimentaires considérables depuis le début de la chaîne de production et d'approvisionnement de l'ordre de 1 tiers jusqu'aux gaspillages alimentaires liés aux comportements des consommateurs de l'ordre de 30 pourcents. La théorie malthusienne, selon laquelle la planète ne pourrait jamais être en mesure de nourrir autant d'êtres humains est donc parfaitement fausse, et relève en réalité, d'une forme d'eugénisme voilée de la part des élites.
Ces petits génies ne sont même pas capables de remettre en question en profondeur le système de production et d'exploitation, l'agriculture ultra intensive. Au lieu de simplement mettre un terme aux pesticides qui sont responsables de cette situation, ils préfèrent les remplacer par de l'artificiel et le marchand, car ces butineuses high-tech ne seront pas gratuites…
C'est toute la beauté de cette modernité, comme toujours, la solution est pire que le problème d'origine ! Nous sommes dans une éternelle fuite en avant, en dépit de la raison, de la mesure et du bon sens. À chaque fois qu'il y a un problème lié à la technique, on cherche à le résoudre par davantage de technique, sans jamais remettre en cause la réalité à l'origine du problème !
C'est un peu comme pour l'Union européenne, elle ne fonctionne pas du tout, donc il faut aller de l'avant, c'est qu'il ne doit pas y avoir assez d'Europe…
Il faut aussi savoir qu'au niveau de la nourriture, il y a un gaspillage monstre : des pertes alimentaires considérables depuis le début de la chaîne de production et d'approvisionnement de l'ordre de 1 tiers jusqu'aux gaspillages alimentaires liés aux comportements des consommateurs de l'ordre de 30 pourcents. La théorie malthusienne, selon laquelle la planète ne pourrait jamais être en mesure de nourrir autant d'êtres humains est donc parfaitement fausse, et relève en réalité, d'une forme d'eugénisme voilée de la part des élites.
L'écologie malthusienne de nos élites
Il faut aussi avoir conscience que même si l'écologie est une préoccupation absolument capitale, étant donné l'état déplorable de la planète, elle est bien souvent le visage respectable et humain qu'ont trouvé nos élites, pour couvrir d'un voile pudique, leur mentalité profondément eugéniste, parfois même directement et cyniquement assumée ! Dès les années 1960, ces personnes profondément préoccupées de l’avenir de l’homme ont postulé que l’écologie serait un excellent moyen de parvenir à leurs fins...
Pour se convaincre de cette mentalité profondément ancrée chez nombre de nos élites, il suffit d'observer de près le parcours de grandes dynasties, comme les Rockefeller... Ou de prêter attention à certaines de leurs déclarations, comme celles du Prince Philip, ancien SS et fondateur du W.W.F., le charmant panda, tout mignon tout plein et si craquant : « Si j’étais réincarné, j’aimerais l’être sous la forme d’un virus mortel afin de contribuer à résoudre le problème de la surpopulation. » Il faut savoir que sous la couverture de la « conservation de la nature » le W.W.F. a placé parmi ses objectifs principaux, la réduction de la population mondiale, surtout dans les nations développées, les fonds nécessaires étant fournis par les Rockefeller. On pensera aussi à Julian Huxley, le frère d'Aldous à la tête de l'UNESCO et farouche eugéniste. Ou bien à Bertrand Russell, de la Fabian Society et de la "London School of Economics", qui dans une vision scientiste et rationaliste souhaitait que la Mort noire (la peste) frappe le monde à large échelle à chaque génération, de façon à ce que les survivants « puissent procréer librement sans surpeupler trop le monde. » En 1931,dans son essai, "The scientific outlook" il faisait la déclaration eugéniste suivante : « on doit supposer que pour chaque génération, 25 pour-cent des femmes et 5 pour-cent des hommes seront sélectionnés pour être les parents de la prochaine génération , et le reste de la population sera stérilisé (…) » Dans l'esprit de Russell, ce techno gestionnaire globaliste, il faut mettre un terme à la famille qui est une source d’attachements irrationnels, pour préférer une gestion directe des individus par l’Etat mondial scientifique. Ou encore, le prix Nobel de 1962, Francis Crick pour sa découverte du génome humain : « Aucun enfant nouveau-né ne devrait être reconnu humain avant d’avoir passé un certain nombre de tests portant sur sa dotation génétique [...]. S’il ne réussit pas ces tests, il perd son droit à la vie. »
Dans l'idéologie et le discours actuel, il s'agit de désigner l'homme et son activité comme principal responsable de la destruction de la planète pour promouvoir la dénatalité, la réduction drastique de la population sans pour autant changer de modèle marchand alors que c'est de toute évidence le coeur même du problème.
Dans l'idéologie et le discours actuel, il s'agit de désigner l'homme et son activité comme principal responsable de la destruction de la planète pour promouvoir la dénatalité, la réduction drastique de la population sans pour autant changer de modèle marchand alors que c'est de toute évidence le coeur même du problème.
Les Georgia Guidestones, le malthusianisme gravé dans le marbre
Pour s'en convaincre, on peut aussi bien s'intéresser aux inscriptions gravées dans le granite des "Georgia Guidestones", un monument massif et imposant, tant par son aspect visuel, mais surtout de par la nature du message qu'il délivre à l'humanité.
Ce monolithe de pierre, localisé en Géorgie, appelé aussi "Stonehenge américain", établit les 10 commandements à respecter pour le nouveau monde idéalisé de nos élites. Il diffuse son message de portée universelle en 8 langues : anglais, espagnol, russe, chinois, arabe, hébreu, hindi et swahili. Ce mystérieux et très inquiétant monument, dont l'énigmatique et anonyme commanditaire, a fait une référence directe au mouvement des Rose-Croix, puisqu'il a utilisé le nom de R.C. Christian (pour Christian Rosencreutz), a été construit par la firme Elberton Granite Finishing Company. Le premier commandement propose, dans un souci écologique, de « maintenir l'humanité, ni plus ni moins qu'en dessous de 500 millions d'individus, en perpétuel équilibre avec la nature ! » Or, il se trouve qu'en 2019, nous sommes tout de même entre 7,6 et 7,7 milliards d'êtres humains, ce qui constitue, tout de même, un sacré paquet de monde à génocider, pour l'intérêt bien compris de notre si belle planète bleue, cela va s'en dire ! Le second commandement propose, dans un esprit purement eugéniste, de « Guidez la reproduction sagement, en améliorant l'aptitude et la diversité.» La suite est tout à l'avenant : « Unifiez l'humanité avec une nouvelle langue vivante.» « Dirigez la passion, la foi, la tradition et toute chose par l'usage de la raison et de la modération. » « Protégez les peuples et les nations, par des lois équitables et des tribunaux justes. » « Laissez toutes les nations se gouverner librement, et réglez les conflits internationaux devant un tribunal mondial. » « Évitez les lois tatillonnes et les officiels inutiles. » (Pour une fois c'est pas mal, l'Union européenne pourrait en prendre de la graine...) « Équilibrez droits individuels et devoirs sociaux. » « Privilégiez vérité - beauté - amour - recherche de l'harmonie avec l'infini. » (pour l'amour, c'est déjà plutôt mal parti, vu la teneur du premier commandement...) « Ne soyez pas un cancer à la surface de la Terre. Laissez de l'espace à la nature. »
Il faut bien comprendre que les élites de ce monde, étant des obsédées du pouvoir et du contrôle, ne peuvent qu'aspirer à limiter l'expansion de la population, pour s'assurer de la conservation de leur position et de leur hégémonie.
Ce monolithe de pierre, localisé en Géorgie, appelé aussi "Stonehenge américain", établit les 10 commandements à respecter pour le nouveau monde idéalisé de nos élites. Il diffuse son message de portée universelle en 8 langues : anglais, espagnol, russe, chinois, arabe, hébreu, hindi et swahili. Ce mystérieux et très inquiétant monument, dont l'énigmatique et anonyme commanditaire, a fait une référence directe au mouvement des Rose-Croix, puisqu'il a utilisé le nom de R.C. Christian (pour Christian Rosencreutz), a été construit par la firme Elberton Granite Finishing Company. Le premier commandement propose, dans un souci écologique, de « maintenir l'humanité, ni plus ni moins qu'en dessous de 500 millions d'individus, en perpétuel équilibre avec la nature ! » Or, il se trouve qu'en 2019, nous sommes tout de même entre 7,6 et 7,7 milliards d'êtres humains, ce qui constitue, tout de même, un sacré paquet de monde à génocider, pour l'intérêt bien compris de notre si belle planète bleue, cela va s'en dire ! Le second commandement propose, dans un esprit purement eugéniste, de « Guidez la reproduction sagement, en améliorant l'aptitude et la diversité.» La suite est tout à l'avenant : « Unifiez l'humanité avec une nouvelle langue vivante.» « Dirigez la passion, la foi, la tradition et toute chose par l'usage de la raison et de la modération. » « Protégez les peuples et les nations, par des lois équitables et des tribunaux justes. » « Laissez toutes les nations se gouverner librement, et réglez les conflits internationaux devant un tribunal mondial. » « Évitez les lois tatillonnes et les officiels inutiles. » (Pour une fois c'est pas mal, l'Union européenne pourrait en prendre de la graine...) « Équilibrez droits individuels et devoirs sociaux. » « Privilégiez vérité - beauté - amour - recherche de l'harmonie avec l'infini. » (pour l'amour, c'est déjà plutôt mal parti, vu la teneur du premier commandement...) « Ne soyez pas un cancer à la surface de la Terre. Laissez de l'espace à la nature. »
Il faut bien comprendre que les élites de ce monde, étant des obsédées du pouvoir et du contrôle, ne peuvent qu'aspirer à limiter l'expansion de la population, pour s'assurer de la conservation de leur position et de leur hégémonie.
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