Ode à Macron
Ce jeune arrogant et prétentieux freluquet, ce cuistre jupitérien qui méprise tous ceux qui ne sont rien, ce mignon inféodé à la haute finance, fort avec les faibles et faible avec les puissants.
Cette véritable antithèse de Robin des Bois, qui vide sans foi, mais avec ses lois, les poches de ses malheureux de gueux, pour remplir les caisses de ses coquins de copins, au mépris de tout bien commun !
Ce faux philosophe, dont la seule philosophie de vie se résume à parader, à faire le beau, tel un paon à la vacuité confinant à l'absolu néant, tout en écrasant avec un souverain mépris son prochain.
Ce faux philosophe, dont la seule philosophie de vie se résume à parader, à faire le beau, tel un paon à la vacuité confinant à l'absolu néant, tout en écrasant avec un souverain mépris son prochain.
Ce golem Attaliesque, cette infâme créature et marionnette Rotchildienne, ce pantin de la haute finance, ce Bankster d'affaires, qui ne manque décidément pas d'air, quand il ment comme un arracheur de dents. Cet habile bonimenteur de malheur, cette charmante et séduisante prostituée de luxe, selon la propre expertise d'Alain Minc lorsqu'il synthétise en toute franchise l'imposteur.
Ce fossoyeur de la France en service commandé, qui n’a de cesse de mettre notre belle contrée en coupe réglée, depuis son OPA sur sa "Start-up nation", la livrant aux féroces appétits des lobbys et des puissances d'argent. Ravalant ainsi notre nation, à une vulgaire entreprise commerciale, soumise à la plus sale exploitation et aux seuls infernales lois du profits.
Cet illuminé, aux discours qui tournent court, aux envolées stratosphériques, lyriques et mystiques, dignes des plus mythiques divagations d'un Jean-Claude Vandamme, sous l'emprise de substances illicites, qui n'ont plus rien à voir avec la politique, mais bien plus avec la métaphysique... Serait-ce là les effets d'un excès de poudre de perlinpinpin sur ce galopin ?
Cet enfiévré, au regard halluciné de possédé, dont l'être tout entier, comme emporté dans un état de transe, semble animé, de par ses outrances, par un obscure délire de mission transcendantalle, d'ordre surnaturelle, qui le dépasse, et qui nous dépasse...
Tel un mystérieux tour de passe-passe, il nous mène assurément dans une totale impasse. Puisse faire que ses obscures projets trépassent.
Ce Jupiter de misère, avec son fidèle Benalla, qui devrait arrêter son char, freiner un peu des quatre fers sur le caviar et les homards, avant de faire une sortie de piste prématurée de l'arène du pouvoir.
S'il semblait un temps dans le pétrin, ce parfait gredin de Benalla, qui à ses heures perdues, se plaît à jouer du gourdin sur les têtes des citadins, fit feu de tout bois en planquant son feu et au mépris de la loi, remballat tout le sénat, fort de tous ses passe-droits.
S'il semblait un temps dans le pétrin, ce parfait gredin de Benalla, qui à ses heures perdues, se plaît à jouer du gourdin sur les têtes des citadins, fit feu de tout bois en planquant son feu et au mépris de la loi, remballat tout le sénat, fort de tous ses passe-droits.
Ce minable petit boutiquier, qui a réduit la grandeur de notre belle France à une vulgaire échoppe de goodies de pacotilles des plus rance, à quelques mugs pour les tocards et à quelques médailles en toc, ornées de son auguste et Élyséenne personne, histoire de faire encore un peu plus de fric, plutôt que de nous donner le RIC.
Cet apatride hors-sol, qui méprise au plus haut point notre si raffinée langue, lui préférant sans doute celle de nos cousins germains, ou bien celle envahissante et omniprésente de l'Empire Ricain. Quand à notre culture, elle ne rencontre, à ses yeux d'inculte, pas plus ses faveurs, tout comme notre héritage, qui serait tout simplement d'un autre âge.
Cette idole des journaux People, de la presse de caniveau et des tabloïdes glacés de Mimi Marchand, à la vulgarité affichée, décomplexée et parfaitement assumée, qui est un affront permanent à la dignité de la fonction qu’il est censé incarner.
Il aura bien dupé et fait marcher les masses, une fois de plus à la ramasse, dans son irrésistible marche au pouvoir, avec son séduisant physique de jeune premier et sa face de gendre idéal, sous son hideux masque de tyran féodal qui se prend pour légal d'un dieu.
Cet énarque qui joue au monarque, ce souverain républicain qui ne doute plus de rien, ce roitelet des plus laids, ce brillant esprit de pacotille, dépourvu de grandeur d’âme, de noblesse de cœur, d’une seule once de dignité, de la moindre étincelle d’humanité.
Ce parvenu à la décadence raffinée, puisqu’il ne se sent vraiment à l'aise qu’en dînant à grands frais, sur le dos des cons de contribuables, dans de la vaisselle dorée toute étincelante, en compagnie des grotesques et improbables trémoussements de fesses des plus beaux spécimens de la communauté LGBTesque.
Ce pervers narcissique, grand amateur de selfies iniques, obscènes, provocants et vulgaires, qui n'hésite pas à faire le pitre, au mépris de son titre et de sa fonction présidentielle, devenue sous son mandat, fonction pestilentielle !
C'est ainsi que toute honte bue, il s'affiche bien en vue, au devant de la plèbe, en compagnie de jeunes éphèbes délinquants, tout de sueur ruisselants dans un spectacle des plus consternant.
Ce faisant qu'il dispense ses leçons de bienséance et de morale au bon peuple qui travaille et l'entretien au quotidien, qui trime, pendant qu'il frime avec sa gourgandine, qu'il s'agite de manière frénétique avec sa Brigitte, tel un parasite des plus pathétique.
Ce suppôt à la solde de Big Pharma, avec sa Buzin complètement zinzin, qui abuse de son autorité et n'hésite pas à mettre en péril les fébriles systèmes immunitaires de nos enfants, sous des prétextes sanitaires, tout en nous faisant taire.
Soit, sacrifier sur l'hôtel du profit, la santé des plus petits, les plus fragiles d'entres nous, à grands coups d'intempestives injections vaccinales, aux adjuvants potentiellement dévastateurs, quelle parfaite abjection !
Ce parfait tartuffe, qui prend son peuple pour des truffes, en contrôlant, comme le dernier des hypocrite, l'ensemble de la presse écrite, tout en muselant, sans vergogne, la grogne des besogneux.
Ce tyran, aux faux airs de démocrate, ce boucher sanguinaire, qui n'hésite pas à faire gazer, bastonner, éborgner et mutiler, à grands coups de flashballs ses cons-de-citoyens.
Ce faisant qu'il feigne de leur accorder une écoute attentive, en organisant un simulacre de pseudo-débat, une mascarade tout juste bonne pour la parade, un grand battage, mais véritable enfumage, dont les modalités, les conclusions et le cap sont préalablement fixés, comme aux plus pathétiques heures du régime soviétique !
Cette Fake News sur pattes, ce fieffé menteur pathologique, qui s'érige en garant de la version officielle d’État, tel un Big Brother d'opérette, à la tête de son ministère de la vérité manipulée et de son armée de decodex qui mettent à l'index toute voix dissidente et toute vérité alternative.
Ce négationniste du réel, qui affirme avec un cynisme aux relents de fascisme, sans la moindre vergogne, les mains toutes couvertes du sang d'innocents, "qu'il n'y a pas eu de violences irréparables" dans la gestion du mouvement des gilets jaunes, niant ainsi tout simplement la féroce répression et son sanglant cortège d'yeux éborgnés, de crânes fendus, de mains arrachées, de gueules fracassées et de vielles dames assassinées...
Ce complice qui met la justice au supplice, coupable de participer aux pires immondices et crimes de guerre en se faisant le bras armé du génocide Yéménite, tandis qu'il dispense à la terre entière ses leçons de démocratie avec sa double éthique de fanatique...
Ce Néron des temps modernes, qui ne cesse de jeter de l'huile sur le feu de l'incendie social, de raviver les flammes de la colère populaire et qui lors d'une mauvaise farce, esquisse avec malice, un subtil rictus avec son comparse Édouard Philippe, alors même que Notre-Dame est en prise aux flammes.
Cet impudant et imprudent coquin, qui plastronne, plein de morgue et d'assurance, fanfaronne tel un coquelet plein de toupet, dans la plus parfaite inconséquence, avec une grotesque arrogance, dont lui seul à le secret, devant la puissante Russie.
Ce pantin désarticulé, tombé dans les griffes du CRIF, exhibé tel un trophée l'air tout hébété. Avec son regard d'impuissance dépité, Il inspirerait presque la pitié, lui qui se fait publiquement humilier par un Francis Kalifat, qui s'était pour l'occasion, pris pour le calife, à la place du calife, ou plutôt pour le président, à la place du président... Alors qu'il n'est que le représentant d'une simple association communautaire, à l'influence des plus délétère, qui serait à l'avant garde de la République pourtant censée être laïque, et non celui de tous les français...
Que serais-tu petit Micron, sans tes mercenaires à la violence primaire, sans ta servile milice, que le peuple a encore la faiblesse et la naïveté d'appeller, par habitude et abus de langage, "Police" ?
Que resterait-il de ton régime, sans les implacables forces de ton ordre marchand, sans ta clique de truands et ton lot de petites frappes de la BAC ?
De toute évidence, plus grand chose...
Que resterait-il de ton régime, sans les implacables forces de ton ordre marchand, sans ta clique de truands et ton lot de petites frappes de la BAC ?
De toute évidence, plus grand chose...
Merde !!! Ce texte rappe... (j'aime pas ça, le rap) mais j'y peux rien ce texte chante.
RépondreSupprimerPeut-être me fait-il plaisir..j'aime pas Macron !